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LE DOCUMENTAIRE «LA PELLE JAUNE»… MANIFESTE NANO-ROMANTIQUE DE LA PHILOSOPHIE D’EN BAS PLANÉTARISANT LA NANO-HUMANISATION DU 21EME SIÈCLE

L’esthétique-politique nano-romantique du 21eme siècle passe par le contre-pouvoir des errants fantomatiques partout sur la planète. Et en ce sens, le manifeste que constitue le nano-documentaire «LA PELLE JAUNE » de Michel le philosophe-cinéaste-concierge émeut pas l’authenticité de son archétype hologrammique exprimant LA CONDITION HUMAINE DES PERDANTS DE LA MONDIALISATION au point d’émouvoir et d’éveiller des prises de conscience dialectiques par le simple fait qu’un homme qui aime sa femme pellette durant 15 ans, sans jamais manquer une journée d’ouvrage pour prendre soin du rêve de sa femme, tout en faisant du récit de sa vie «LE RADEAU DE LA MÉDUSE» (Géricault) d’une nano-humanité qui ne s’est jamais sentie aussi près du chaos.

La philosophie d’en bas se place de plain-pied dans la réalité du 21eme siècle, en en infléchissant le thème jusqu’à en sublimer l’errance par les quatre questions de la vie personnelle œuvre d’art?

«La pelle jaune» provoque la rupture de l’histoire de la philosophie par le réchauffement des eaux des perdants universels de LA GRANDE HISTOIRE DONT ON NE PARLE QUE RAREMENT.

La montée océanique de cette marée nano-humaine risque de submerger par un seul événement traumatique la philosophie d’en haut dont le fil d’or ne put qu’être tissé que pour la libération des classes instruites.

Dans la biographie de Jean Sagne sur Géricault, publiée chez Fayard en 1991, il y a un passage aux pages 144-145 qui me suscite une lecture analogique électrisante.

«Dès 1814, sensible encore une fois à totue forme d’anglomanie, Théodore Géricault avait tracé plusieurs croquis de boxeurs chez Horace Vernet. A son retour d’Italie, il reprend cette première série de dessins et l’amène à un ABOUTISSEMENT EXTRÊME. Ce n’est qu’au moment de passer à la transposition sur la pierre qu’il modifie LA COULEUR DE L’UN DES DEUX PROTAGONISTES. La confrontation d’un Noir et d’un Blanc sur un ring N’ÉTANT PAS AUTORISÉE EN FRANCE, il avait eu des échos de ces affrontements très populaires, donnant lieu à des paris, aux États-Unis et en Angleterre. En présence de Géricault, nous ne sommes jamais éloignés de ces scènes où se tiennent DES COMBATS SINGULIERS. S’il n’aborde pas la première fois la représentation d’un noir – plusieurs dessins relatifs à la guerre font intervenir des cavaliers noirs -dans ce contexte, L’ACTE PREND UNE VALEUR TOUTE SYMBOLIQUE, CAR LE RING EST LE SEUL LIEU peut-être avec la guerre, OÙ L’ÉGALITÉ DES RACES EST ADMISE. Les combats entre l’ancien esclave américain Tom Molineaux et le champion anglais Tom Gribb avait défrayé la chronique et fait l’objet de plusieurs publications et forme d’estampes. En remplaçant un de ses boxeurs blancs par un noir, Géricault ne cherche pas seulerment à exploiter une opposition visuelle – le corps du noir est dessiné à la plume et son pantalon au crayon lithographique, alors que le blanc suun traitement inverse – mais signale déjà DE MANIÈRE MANIFESTE SON ENGAGEMENT EN FAVEUR DES DROITS DE L’HOMME.

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commentaire
CETTE LECTURE ANOLOGIQUE M’INSPIRE
L’IDÉE QUE…

Le ring de cet imaginaire nano-philosophique du 21eme siècle bien illustré par l’archétype hologrammique de «la pelle jaune», , c’est le combat entre la philosophie blanche d’en haut et la philosophie noire d’en bas en faveur DES DROITS DE JUSTICE ET D’ÉQUITÉ DE DE LA NANO-PERSONNE HUMAINE.

UNE MUTATION DES DROITS NANO-PLANÉTAIRES SE PRÉPARE SEMBLABLE À DES DÉPLACEMENTS INFIMES D’ERRANCE FANTOMATIQUE, PRÉLUDE À UN TSUNAMI D’HUMANITÉ EN COLÈRE CONTRE LES ÉTATS-VOYOUX

Dans «l’origine de nos idées du sublime et du beau», Edmund Burke (1757) précède Kant en nommant les attributs essentiels des facteurs déterminants de l’émotion esthétique, dont ce court extrait témoigne remarquablement:

« TOUT CE QUI EST PROPRE À EXCITER LES IDÉES DE LA DOULEUR ET DU DANGER, C’EST-À-DIRE CE QUI EST TRAITÉ D’OBJET TERRIBLE, TOUT CE QUI AGIT DE MANIÈRE ANALOGUE À LA TERREUR EST UNE SOURCE DU SUBLIME.»

Et pourtant, rien n’est sublime dans ce que vit l’errant fantomatique. Chaque migrant qui erre fantomatiquement guidé par son gps, application d’un téléphone cellulaire partagé par un groupe constitue UNE ONDE DE CHOC dont l’infime battement d’aile de papillon camouffle l’émergence imprévisible d’un tsunami nano-planétaire inoui qui fera vibrer une humanité en colère contre les états-prédateurs.

Tout tremblera, tout vacillera… le monde se fissure déjà entre les gagnants axiologiques de la mondialisation et les perdants fantomatiques. Un ordre du monde bascule déjà par les cris des milliards de personnes humaines qui ne mangent pas à leur faim.

Le mur du son de la nano-citoyenneté-planétaire fera parâitre la chute du mur de Berlin comme une vieille scène de film muet de la réorganisation financière des structures économico-politiques des possédants.

Un musée philosophique imaginaire s’écroulera avec son histoire, ses idéologies et ses engeux… la philosophie d’en bas, cette grande philosophie dont on ne parle que rarement a déjà commenté à envahir les tours d’ivoire de la philosophie d’en haut.

Place aux enfants qui hurlent le droit à une vie personnelle œuvre d’art. Place aux femmes qui hurlent à des droits équitable spour tous. Place aux hommes qui n’en finissent plus de chercher le passage entre leur forme d’errance (axiologique et fantomatique) avec celle dont ils désirent émerveiller leur quotidien par leur rêve, L,ERRANCE NANO-POÉTIQUE.

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Michel le concierge

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Marlene A. jardinière du pays œuvre d’art
Michel W. philosophe-cinéaste-concierge du pays œuvre d’art
Pierrot vagabond

LE PROJET RÉVOLUTIONNAIRE DE L’ÉMANCIPATION DE LA PERSONNE HUMAINE S’IMMATÉRIALISE GRATUELLEMENT DE KANT AU ROMANTISME DE LA RÉVOLUTION FRANÇAISE À LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE DU 21EME SIÈCLE

Dans un article du Devoir de ce matin… du journalisme Jean-Philippe Proulx… IL FAUT TOUT UN VILLAGE… CINQ COMBATTATTES SE MOBILISENT POUR L’AVANCEMENT DU DROIT DES FEMMES… deux passages m’ont particulièrement touché.

1) ( les droits des femmes sont des droits de la personne) d’Hillary Clinton, le combat reste vif pour bon nombre d’entre elles autour du monde.

2) Au Cameroun, d’où est originaire Hawaou Amadou, une petite fille sur trois ne va pas à l’cole. « Mon plus grand rêve c’était… Enfin JE NE SAIS MÊME PAS SI J’AVAIS UN RÊVE. C’est à l’âge de 40 ans que j’ai su QUE QUELQ’UN POUVAIT AVOIR UN RÊVE. Quand on est pas instruit, je ne sais ps si on peut savoir QU’ON PEUT AVOIR DES RÊVES?

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Quand on réfléchit sur Kant et sa révolution copernicienne visant  un projet révolutionnaire de l’émancipation de la personne humaine, de son émergence imprévisible par le romantisme naissant de la révolution française événementielle, on ne peut qu’être saisi de synthèse rhyzomatique dialectique devant l’événement planétaire que pourrait bien constituer la nano-citoyenneté-planétaire juste parce que soudainement dans l’épopée numérique, la dématérialisation des enjeux est devenu chaotique ordre/désordre au cœur même des applications potentielles de ces milliards de téléphones intelligents réseautés comme des fils barbelés  emprisonnant l’obséléité des états prédateurs de droits nano-humains.

Loin de la connaissance stratifiée universitaire où les perroqueteux de professeurs de tous les niveaux ne font que désingurgiter la connaissance officielle, le divorce de la dialectique et de la logique par l’histoire de l’esprit sous la phénoménologie de l’esprit de Hegel paradigmatisé par un nouveau divorce entre le matérialisme historique et le déterminisme théocratique, réduit en cendre par le scientisme engelien par des applications opérationnelles désastreuses de Lenine, se retrouvent soudainement devant un nouveau divorce immatériel au cœur même de la dialectique par la science du 21eme siècle.

On se rend compte (Atlan) que le rapport ordre/désordre au cœur même de plusieurs sciences du réel (les théorie du chaos, de la cybernétique, du battement d’aile du papillon, de la physique quantique, amène un divorce tel d’avec la troisième forme de l’arsenal théorique de la dialectique qu’on est appelé à imaginer une synthèse infiniment plus créatrice que tout ce qu’on a pu imaginer jusqu’ici.

Loin d’être théléologique, a priori causale, ou même spirale matérialiste infra ou supra culturel, il est possible au contraire qu’elle soit un fondement «attracteur étrange» fait d’équations mathématiques résultantes de dynamiques constructivistes autant que rhyzomiques que virales.

A un point tel que, comme Kant à la fin du 18eme siècle, la révolution française et autre surgissement du pli de l’histoire, la nano-citoyenneté planétaire surgisse un peu partout en même temps sur la planète terre comme un ÉVÉNEMENT IMPRÉVISIBLE sous l’effet même d’algorythmes puissants unissant la machine dématérialisé aux droits inaliénables de toutes personnes humaines, et cela sous l’effet inoui des déplacements massifs des errants fantomatiques déplacés par millions par le simple enjeu des changements environnementaux menaçant la présence cosmographique de l’humanité entière, à la recherche de l’errance poétique pour tous malgré la philosophie du porc des errants axiologiques dans leur lutte de pouvoir indécente.

Constructiviste par modélisations algorythmiques, dialectique par rhyzomatisation virale événementielle, la nano-citoyenneté planétaire résultera PAR LA SYNTHÈSE INNOVATRICE MÊME DE LA DERNIÈRE PARTIE INFINIE DE SA DIALECTIQUE DÉSPIRALISÉE… de la puissance immatérielle INOUIE de quatre simples questions, parce que parfaitement accessibles à chacun ou chacune dans le respect créatif de la liberté numérique -nano-post-kantienne (suite logique de l’empirisme transcendental deleuzien) :

1: Quel est ton rêve?

2: Dans combien de jours?

3: qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?

4: Comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

De la cinquième question dépendra la survie de la nano-humanité-planétaire même:

5: COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ D MONDE?

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«RÉALISES-TU PIERROT QUE LA SEULE CHOSE QUI A PAS ENCORE ÉTÉ FAITE, C’EST DE DONNER LE POUVOIR AUX CITOYENS!» DIXIT MICHEL LE PHILOSOPHE-CINÉASTE-CONCIERGE

Nassim Nicholas Taleb
le cygne noir
La puissance de l’imprévisible
société d’édition les belles lettres
2008
extrait
p.74

… ce petit bijou de sagesse attribué à un célèbre capitaine de bateau:

« Mais de toute ma carrière, je n’ai jamais connu d’accident (…) d’aucune sorte qui vaille la peine d’être mentionné. Pendant toutes ces années passées en mer, je n’ai vu qu’un seul navire en détresse. Je n’ai jamais vu de bateau échoué et je n’ai jamais échoué moi-même, ni été dans une situation difficile qui menaçait de tourner en désastre.»
(E.J.Smith, 1907, CAPITAINE DU TITANIC)

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Ce matin, Nous avons tenu Marlene, Michel et moi un formidable conseil d’administration de créativité au début duquel je lui ai lu cet extrait du CYGNE NOIR, LA PUISSANCE DE L’IMPRÉVISIBLE….de Taleb.

Cela fait maintenant prées de 10 ans que j’écoute Michel le concierge, devenu par son archétype hologrammique (triplement conscience de lui-même philosophiquement) MICHEL LE PHILOSOPHE-CINÉASTE-CONCIERGE.

Et, dans ces 10 ans,  la phrase qui est revenue le plus souvent dans sa bouche est celle-ci: «ON EST JAMAIS TRÈS LOIN DU CHAOS». Cette phrase très bien illustrée par la citation du capitaine du titanic me semble la base même de la philosophie que j’appelle D’EN BAS qui que Michel en ALLUMEUR DE RÉALITÉ appelle: CETTE GRANDE PHILOSOPHIE DONT ON NE PARLE QUE RAREMENT.

Ce qui est magnifique, c’est que cette philosophie d’en bas issue de la sagesse populaire illustre aussi toute cette nouvelle argumenterie non-linéaire accompagnant logico-culturellement la science du chaos, de la cybernétique, du fractal comme les effets du battement d’ailes d’un papillon… au sens où l’imbrication ordre-désordre au cœur même de L’IMPRIVISIBILITÉ DU RÉEL réinvente la thèse-antithèse de la dialectique ascendante chez Platon, descendante par la logique chez Aristote, téléologique par Hegel sous-structure économique chez Marx, scientiste chez Engels et Lenine, sur-culturelle chez Lucaks et Adorno Hockeimer… et cela en faisant de la synthèse une sorte de rhyzome de la puissance de l’imprévisible.

La synthèse reposant donc sur L’IMPOSSIBLE issu d’une rhyzomisation de cette synthèse dont la complexité ne peut se lire que rétrospectivement par l’événementiel inoui d’une manifestation feu d’artifice imprévue.

Les quatre questions de la vie eprsonnelle œuvre d’art se veulent (comme le dit si bien Michel ) infiltrantes, impératives, incentrables se propageant tel UN MODULE D’INOCULATION.

C’est comme un cheval de Troie nano-socio-politique-planétaire impossible à détecter, briser ou détourner. Auto-créatrice en et par chaque nano-personne humaine.

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J’étais très fier ce matin de notre contextualité de recherche. Pendant que je consacre mes journées à approfondir une idée à l’extrême par une érudition sans relâche, Michel à son travail se transforme en professionnel d ela méditation pendant que Marlene met sa vie personnelle œuvre d’art de jardinière au service de la praxis modélisée d’un archétype hologrammique architecturé par le droit de la personne humaine à prendre soin de façon équitable de la beauté du monde.

LA DIALECTIQUE EST UNE PENSÉE LOGIQUE DE LA CONTRADICTION… MAIS CETTE PHILOSOPHIE D’EN BAS, CETTE GRANDE PHILOSOPHIE DONT ON NE PARLE JAMAIS EN EST LA FRACTURE PLATONIQUE LA PLUS ÉTRANGE.

Entre l ‘instabilité d’un système dynamique chaotique et sa stabilité structurelle, la philosophie d’en bas évacue l’empirisme rassurant par la vigilance pendant que celle d’en haut tire ses billes par des systèmes de concepts de dominance idéologique inquiétante.

La contradiction logique formelle du non-linéaire, ce qui est et ce qui n’est pas en même temps est vécue par les aphorismes d’en bas DE FAÇON RHYZOMIQUE pendant qu’elle est sur-théorisée par les bien-nantis des tours d’ivoire d’en haut, sautant comme une sauterelle d’une paradigmatisation de la connaissance à l’autre..

Mais pour la philosophie d’en bas comme pour la philosophie d’en haut les quatre questions de la vie personnelle œuvre d’art constituent UN ATTRACTEUR ÉTRANGE DE NANO-CHAOS-CHAOS DÉTERMINISTE UNIVERSEL imbrigé dialectiquement dans un réel infini complexe.

«Réalises-tu Pierrot, que la seule chose qui n’a pas encore été faite, c’est de donne le pouvoir au citoyen!» me disait Michel le philosophe-cinéaste-concierge ce matin.

Et moi de lui répondre. «Et si LE CELA EST NANO-CITOYEN arrivait un jour PAR LA PUISSANCE DE L’IMPRÉVISIBLE!» tel le mur du son en 1929 mettant fin au cinéma muet. Le mur du son de la nano-citoyenneté-planétaire ressemble à la dinde de Russel fierE de bien manger durant 1 ans et qui n’a jamais pu prévoir que c’était pour être mangée à Noel.

1: Quel est ton rêve?
2: Dans combien de jours?
3: Qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?
4: Comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

5: Comment nos rêves prennent-ils soin de la beauté du monde?

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LE MUR DU SON DE 1929… LE MUR DU SON NANO-CITOYEN-PLANÉTAIRE DE 2029

En 1929, le cinéma muet tomba à cause d’une révolution qu’on appelle aujourd’hui: la révolution du MUR DU SON de 1929. Toute une industrie s’écroula pendant qu’on mit quelques années à explorer sous forme de laboratoire la manipulation des masses par le son.

En 2029, il est bien possible que la constellation du mur du son nano-citoyen-planétaire annoncé par l’invention et la propagation fulgurante du téléphone intelligent devienne la norme à cause de quatre questions.. quatre simples questions qui pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, donnent LES CLÉS DE LA LIBERTÉ à la multitude sans exiger autre chose que la nano-créativité à réaliser ses rêves dans le respect de la beauté du monde.

1: Quel est ton rêve?
2: Dans combien de jours?
3: qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?
4: Comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

L’ère des liaisons décadentes ayant renversé le rapport entre le prosélytisme de l’hyper-sexualité, ses conséquences physiologiques versus son hyper esthétisation versus le droit à ne pas être prédaté sous quelque angle que ce soit, il m’apparaît évident que la cinquième question de la vie personnelle œuvre d’art aura des ancrages dans la justice comme équité comme base des rapports humains sur terre.

5: Comment nos rêves prennent-ils soin de la beauté du monde?

Entre la mort et soi, se lèvera un rideau millénaire de stratifications frauduleuses qu’ont depuis toujours construit sous forme de croyances (religieuses, politiques, sociologiques) les riches par peur de la multitude, seule façon rusée de se protéger des pauvres.

Le 21eme siècle sera l’ère d’une nano-citoyenneté-planétaire hantée par un droit universel à la justice comme équité pour ennoblir notre condition humaine à tous.

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LE DOCUMENTAIRE «LA PELLE JAUNE»…. UN OEUVRE QUI CONTESTE LE TRAITÉ COERCITIF ENTRE LE RÊVE ET LA RÉALITÉ

Pour moi, le documentaire «LA PELLE JAUNE» fait événement parce qu’il a été vécu «non stagé» par le ier archétype hologrammique (un concierge) du 21eme siècle portant au cœur de son cri… la soif  de justice comme équité toute la nano-citoyenneté-planétaire dans la modélisation de sa vie personnelle œuvre d’art.

«C’est un exemple de la grande philosophie dont on entend rarement parler»,,,, Un cri qui vient de l’humanité en colère contre les états, dans une approche conceptuelle aristocratique et téméraire qui passe par le cœur d’un philosophe-cinéaste-concierge qui n’a jamais manqué une journée de travail en 14 ans avec «SA PELLE JAUNE » et qui exprime sa condition humaine au nom de toutes les «pelles jaunes» de la planète, sans tenter de donner un vernis de respectabilité aux événements de sa vie.

Depuis le début de l’humanité, le traité coercitif entre le rêve et la réalité se vit dans l’injustice des classes sociales dominées par la philosophie du porc des classes sociales dominantes.

Et en ce sens, LA NANO-PHILOSOPHIE (ou cette grande philosophie dont on entend que rarement parler» se veut une forme d’élégance dans l’adversité. Maurice Richard étant, pour moi, le Spinoza de ce que j’ai oser appeler jadis LA PHILOSOPHIE D’EN BAS.

La crudité du chaos jamais loin par manque de sous se rêve philosophiquement dépourvu de sentimentalité, de faux espoirs et de réconfort religieux.

Les quatre questions du pays œuvre d’art sont la résultante ontologiques de la fin «des pelles jaunes obligatoires».

1: quel est ton rêve?
2: Dans combien de jours?
3: qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?
4: comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

Le rapport entre le rêve et la réalité doit offrir à chaque nano-personne citoyenne de la planète un droit inénaliénable à UNE ERRANCE POÉTIQUE NON COERCITIVE OÙ LA RÉALITÉ EST AU SERVICE DU RÊVE. De là la cinquième question de la nano-citoyenneté planétaire:

5: COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

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5:

« LA PHILOSOPHIE D’EN BAS… C’EST LA GRANDE PHILOSOPHIE DONT ON ENTEND QUE RAREMENT PARLER»… DIXIT MICHEL LE PHILOSOPHE-CINÉASTE-CONCIERGE

Lors du conseil d’administration de la créativité d’avant hier matin, Michel le philosophe-cinéaste-concierge me rappellait à quel point il lui semble condescendant d’appeler PHILOSOPHIE D’EN BAS» ces réflexions-archétypes qui viennent de la multitude.

Au contraire, me dit-il soudain… la philosophie d’en bas..« c’est la grande philosophique dont on entend que rarement parler».

Prenons l’exemple de Maurice Richard, me dit-il. C’est pour la multitude de la grande philosophie parce que le fait de scorer des buts était sa seule passion à chaque coup de patin qu’il donne vers là-bas.

Tout un peuple a vibré à cette figure majestueuse, dont les silences même dessinaient cette grande philosophie dont on ne parle que rarement, parce qu’on prétend qu’elle vient d’en bas.

Mais en bas, c’est des milliards d’êtres humains qui souffrent et se battent pour le prochain lunch. La chance de compter des beaux buts ne fait pas encore partie d’un droit pour tous sur terre.

à suivre

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LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART, C’EST DESSINER DE L’EXISTENCE HUMAINE UN NANO-TABLEAU PEINT AUX COULEURS DE L’ÉTERNITÉ DU DEVENIR

Pascal Mérigeau
biographie de Renoir
(LECTURE ANALOGIQUE)
p.252
extrait

… que le cinéaste avait défini dès alors ce que devait être LE MOUVEMENT DU FILM, tel qu’il le décriera en 1961: « Techniquement, c’est un essai de lien, des fonds et du premier plan par le même plan. C’est un essai de mouvement de caméra réunissant à la fois ce qui se passe dans la vie, derrière les acteurs et ce qui se passe dans l’esprit des acteurs, en premier plan…»

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P.372
extrait

« Au soir de la première, le 9 février, à 21h, pour l’inauguration de l’Olympia, fraîchement rénové et présenté par la publicité comme «la plus belle salle d’Europe», c’est EN VESTE ET PULL-OVER À COL ROULÉ que le cinéaste se présenta devant les photographes. Ses amis voulurent voir dans ce choix vestimentaire UNE MARQUE D’INDÉPENDANCE ENVERS LES USAGES, traduction furieusement «prolétaire» D’UN DÉTACHEMENT SUPERBE.
En vérité
SEUL UN HOMME BIEN NÉ
ET SÛR DE SON FAIT
SE PERMETTRE
PAREILLE ENTORSE AUX CODES EN VIGUEUR
AVEC UNE ASSURANCE DÉCUPLÉE
S’IL SE SAIT PLACÉ AU CENTRE DE L’ÉVÉNEMENT»

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Commentaire

C’est la façon dont je dors sur « mon plancher œuvre d’art» comme le dit si bien Michel le concierge. Je laisse le corps se faire masser par le plancher qui tourne cette enveloppe charnelle comme un poulet embroché, pendant que la tension créatrice de mon cerveau se renoirdise dans l’entre-jour de deux demi-sommeils.

La nano-philosophie prend ainsi naissance dans les ruines des mots se fertilisant dans ses cendres pour n’en garder que le mouvement poïétique d’une question infiniment lumineuse: Comment rhyzomatiser la nano-citoyenneté planétaire sur terre par la simple mise en orbite des quatre questions de la vie personnelle œuvre d’art?

1: Quel est ton rêve?
2: Dans combien de jours?
3: qu’as-tu fais aujourd’hui our ton rêve?
4: Comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

De là la cinquième question, artiste au point d’être témoin de la vérité (Kierkergaard) car elle remplace le goût du risque de chaque personne humaine nano-citoyenne par la certitude de l’audace nano-conceptuelle:

Comment nos rêves prennent-ils soin de la beauté du monde?

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LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART… LA MÉMOIRE POÉTIQUE DE L’AVENIR D’UNE PERSONNE HUMAINE AMOUREUSE DE LA BEAUTÉ DU MONDE

La vie personnelle œuvre d’art n’est pas une suite de renoncements, mais un processus d’adaptations, d’enrichissement et surtout de DENSIFICATION.

La nano-densification m’est venue de mes 14 ans de recherche menant à une maîtrise sur le rire tissée de 250 spectacles par année avec le duo Rochette-Lamarre dont j’écrivais les numéros en fonction des enjeux reliés aux trois formes d’émotion que provoque un rire dans le cerveau humain: le rire de supériorité, le rire de soulagement et le rire d’incongruité.

Toute ma vie personnelle œuvre d’art tournait autour de ces nuits et jour de lectures et de réflexion, de laboratoire par des séquences comiques où seul la théorisation architecturée du décodage des 3 formes de rire, d’un rire à l’autre comptait de façon à ce que le lendemain, je puisse réussir par le rythme ( comme la poune disait, quand le public va vite, va lent, quand le public va lent va vite) et le pacing.

Dès que mon diplôme de maîtrise fut réussi, je perdis tout intérêt pour la scène, mais pas pour ma vie personnelle œuvre d’art.

Combien de fois à l’intermission d’un spectacle Denis m’a retrouvé dans un coin perdu à continuer la lecture d’un chapitre de Bergson, demandant de retarder le retour sur scène pour que je puisse terminer mon chapitre. Je ne conaissais ni le trac, ni le plaisir d’être quelqu’un… mais que la joie d’être un chercheur que le public et l’institutionnalisation du métier dérangeait.

Arriver tôt, dormir dans un garde-robe d’un club de golf, repartir, passer la nuit à lire dans le camion plutôt que de rentrer… la réalité me fuyait et je la fuyais… A cette époque, la radio de radio-canada était somptueusement élitiste et beaucoup d’émissions provenaient de France-Culture. Que de joies dans des silences absolus entre deux villes.

Sans boire, ni fumer, ni droguer, sans aucune dépendance, illuminé de poésie existentielle, je n’ai pas vu passer la vie parce que la vie ne m’a jamais intéressé. Trop banale, trop instinctive, trop formelle par les traditions, morales ou institutions.. non j’aimais le rêve relié à une vie personnelle œuvre d’art LA MÉMOIRE DE L’AVENIR, qui non seulement ne renonçait à rien, mais qui e plus se nourrissant d’adaptations, d’enrichissements et de densification par la lenteur que donne la beauté d’une séquence parfaite d’osmose inouie entre l’artiste et le public.

Souvent au retour, Denis dans le camion faisait jouer des chansons de chansonniers inconnues que l’on commentait en long et en large, après avoir encodé et théorisé des moments exceptionnels de rythme enivrant entre le public et nous.

Que de fois, mon camion contenant tous les costumes de tous les numéros servait à nourrir une improvisation du spectacle s’appuyant sur la composition du public lorsqu’elle était d’une densité particulière.

Que de numeros de slapstic, de burlesque, de monologues, de duos, entrelacés de longues recherches sur la valeur axiologique positive, tout en prenant soin à l’intermission de gens qui souffraient en se rendant à leur chaises pour communiquer notre condition humaine.

Comme Michel le philosophe-cinéaste-concierge fut aussi un partenaire de scène au st-Vincent et aux Pierrots et aux deux pierrots durant près de 8 ans dans les années 70, je retrouve en nos conseils d’administration du matin la même soif de vie personnelle œuvre d’art. Lui se réalisant par sa vie de couple admirable et moi par un célibat céleste dédié à la beauté du monde.

Merci la vie

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Michel W. philosophe, cinéaste, concierge du pays œuvre d’art
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TOUT CE QUI PEUT NUIRE POTENTIELLEMENT À LA TENSION CRÉATRICE DE MON CERVEAU DEVIENT POUR MOI UN VECTEUR D’EXPRESSION DE LA DÉTESTATION…DIXIT L’ARCHÉTYPE HOLOGRAMMIQUE DE PIERROT VAGABOND

Cela m’a pris des années à faire de ma vie personnelle œuvre d’art DU CINÉMA EXISTENTIEL OUVERT SUR L’INFINI. Tout se passe comme si mon quotidien était constitué de couches de laboratoire gardant mon cerveau sous tension hors de toute dilution sociale. Et c’est en ce sens que se rhyzomatisant par Marlene la jardinière, Michel le philosophe-cinéaste-concierge, Alexis le poète-muséologue et et Isabelle la boxeuse, ma création artistique s’illumine par une polarisation de la fraternité avec eumétrie aristocratique de la plus-value créatrice de chacun et chacune de mes partenaires de recherche, UNE FORME DE GRISERIE DELEUZIENNE POST-KANTIENNE d’une sensation du travail complet en commun, mais constellé harmonieusement en toute autonomie.

Quand ce matin Michel me dit devant Marlene: MOI JE SUIS AVEC LA BONNE PERSONNE, JE L’SAIS….

et que Marlene répond: AU LIEU DE COURIR À LA RECHERCHE DE LA BONNE PERSONNE, TU PEUX COMMENCER À VIVRE…

L’impossible soulève mon enthousiasme… J’ai deux amis qui s’aiment profondément…. et par la qualité même de leur amour, ils contribuent majestueusement à protèger respectueusement cet ascétisme du célibat dont mon cerveau a tant besoin pour demeurer en tension créatrice 24 heures par jour, 7 jours par semaine. De par cette disposition que mes partenaires de recherche ont à fédérer les différents aspects de chacun, vient l’énigme ÉCLATANTE du documentaire «LA PELLE JAUNE» de mon grand ami Michel le philosophe-cinéaste-concierge.

DANS LA PELLE JAUNE
LA RELATION EST ENTRE CE QU’ON DIT
ET CE QU’ON VOIT EST DIALECTIQUE…..
C’EST EN CE SENS QUE CE NANO-CINÉMA-SELFIE
CONSTITUE UN CINÉMA-LABORATOIRE POTENTIELLEMENT
À DIFFUSION PLANÉTAIRE PAR LE TÉLÉPHONE INTELLIGENT.

Michel me faisait remarquer ce matin à quel point j’avais fait de ma vie de vagabondage universitaire un univers cosmologique où ON EST DANS MONSIEUR 2.7 K ( le 1000 pages gratuit sur internet,,, www.reveursequitables.com… cahier de presse…monsieur 2.7k), DANS UN BRUIT DE FOND QUI NE NUIT PAS À LA TENSION DE MON CERVEAU DE NANO-CHERCHEUR.

Il a bien raison… Je passe 15 heures par jour dans le silence, mais je ne parle qu’aux gardiens de sécurité, aux concierges, aux employés de la cafeteria avec des propos 2.7 k badins comme un bruit de fond esthétiquement pertinent parce qu’il n’y a aucune possibilité que se glissent des irritants de l’univers domestique ou commercial fait de problèmes banaux qui pourraient nuire aux architectures complexes de constellations théoriques sous-entendant les quatre questions du pays œuvre d’art.

1: QUEL EST TON RÊVE?

2: DANS COMBIEN DE JOURS?

3: QU’AS-TU FAIS AUJOURD’HUI POUR TON RÊVE?

4- COMMENT TON RÊVE PREND-IL SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

J’aime quand Isabelle la boxeuse arrive soudainement à ma table de la gare centrale pour me parler en moins de 15 minutes de sa maîtrise, de sa découverte de l’école de Francfort, de sa critique profondément intelligente d’un article du devoir.

J’aime quand Alexis le poète-muséologue arrive soudainement à la cinémathèque québécoise et vient me retrouver au ier banc pendant que je tente de me désengluer par une lecture analogique de deux films du cinéaste Luis Bunuel (Belle de jour).

Quand je l’accompagne à l’autobus Angrignon et que durant la demie-heure d’attente il me demande un cours sur l’histoire de la dialectique tout en assistant à l’ergonométrie conceptuelle des mises en arc de ses 8 blocs bibliographiques théorisés par l’acquisition même de l’invention méthodologique issue de croisement dialogotique entre la dialectique, le structuralisme radical et la cinétique.

Mais je suis incapable de vivre une baise de tension créatrice du cerveau quand Alexis et Isabelle sont ensemble avec moi ou que Michel et Marlene vivent une ouverture sociale avec d’autres personnes humaines et que j’y suis présent.

Ca fait longtemps que je cherche le moyen de resserrer la tension créatrice entre 2h et 4h pm. Je crois avoir trouvé. 5 jours semaine m’enfermer pour 2 heures dans la petite bibliotheque de la cinématheque québécoise. J’aime lire entre 250 et 500 pages par jour et cela analogiquement. j’ai besoin que cela soit 7 jours par semaine. Tout le reste n’est, pour moi configuré comme je le suis bien sur, QU’UN VECTEUR D’EXPRESSION DE LA DÉTESTATION QUI AMÈNE MON CERVEAU DANS DES ZONES TOXIQUES ET IMBÉCILES…. Tout est centré sur la nano-citoyenneté-planétaire et la mise en orbite nano- cosmo-génétique de la cinquième question de la vie personnelle oeuvre d’art qui iconera le 21eme siècle:

COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

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Michel le concierge

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Marlene A. jardinière du pays œuvre d’art
Michel W. philosophe-cinéaste-concierge du pays œuvre d’art
Pierrot vagabond

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