DE VIVRE ENSEMBLE 24 H SUR 24 DEPUIS PLUS D’UN MOIS MAINTENANT NOUS PERMET G.ET MOI D’INVENTER UNE HARMONISATION EUMÉTRIQUE DE NOS RITUELS DE CRÉATION … CE QUI A EU POUR EFFET L’ACCÉLÉRATION COMME LA MISE EN SAUTS CONCEPTUELS DE NOS PROBLÉMATIQUES DE DOCTORAT RESPECTIVES ….. QUELLE JOIE QUE CETTE RÉCLUSION CONSACRÉE À LA RECHERCHE ….. LE MOIS DE SEPTEMBRE NOUS CONVOQUE DONC À UNE SÉRIE D’AVANCÉES DANSANTES AU NIVEAU THÉORITIQUE

Pierrot Vagabond

IRINA RISH …. DE L’INSTITUT DE L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE DU QUÉBEC ….. UNE QUESTION POUR ELLE…. POURRIONS-NOUS RÉUSSIR À INVENTER L’INSTITUTION DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE PAR LE BIAIS DE L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE ICI AU QUÉBEC?

 

IRINA RISH …. DE L’INSTITUT DE L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE DU QUÉBEC ….. UNE QUESTION POUR ELLE…. POURRIONS-NOUS RÉUSSIR À INVENTER L’INSTITUTION DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE PAR LE BIAIS DE L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE ICI AU QUÉBEC?

 

AAA« JE TE DEMANDE PARDON»AAA

UNE MÉTHODOLOGIE DES DÉBRIS MULTIVERSIELS DE LA MÉMOIRE DU K-ŒUR…

JE TE DEMANDE PARDON…, à toi qui, comme des centaines de millions d’enfants-errants-fantomatiques, se meurt, jour après jour, de faim ou de blessures de guerre, et cela, au nom des 193 états hobbiens onusiens qui, sous la féodalité de monarchies nucléaires, font passer la course aux armements, les guerres et les paradis fiscaux avant TON DROIT MULTIVERSIEL à une vie personnelle œuvre d’art par un rêve big-bang.

JE TE DEMANDE PARDON… au nom de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) qui, depuis plus de 14 ans maintenant, cherche à répondre à la question suivante : AU 21EME SIÈCLE, QUELLE INSTITUTION FAUT-IL INVENTER POUR QUE SUR TERRE, PLUS AUCUN ENFANT NE MEURE DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE ?

JE TE DEMANDE PARDON… au nom de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) qui S’ACHARNE à déployer concrètement L’INVENTION DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE, dans le but de contribuer à la déshobbiation de l’O.N.U.  Par  la mise en algorithme de milliards de téléphones intelligents « wow-t=2.7k? » , si possible avec la complicité de l’institut de l’intelligence artificielle du Québec ,  nous validerons politiquement la création d’une cour suprême nano-citoyenne-planétaire composée de deux assemblées des justes (39 femmes et 39 hommes) élues… ville par ville et village par village, et cela par tirage au sort, dans le but de représenter incontournablement et éthiquement toi et les centaines de millions d’enfants-errants-fantomatiques qui souffrent de la même criminalité étatique banalisée que toi.

Dans ce doctorat, PAR UNE MÉTHODOLOGIE DES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU K-ŒUR (ier chapitre), le premier à te demander pardon sera moi, Pierrot vagabond (2eme chapitre), puis mon ami et partenaire de recherche Michel le concierge (3eme chapitre), pour enfin laisser la parole à sa compagne œuvre d’art, Marlene la jardinière (4eme chapitre).

Pourquoi nos trois archétypes hologrammiques veulent-ils tour à tour te demander pardon? Parce que notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) veut parler au  k-œur de l’humanité (5eme chapitre) et non à sa raison. Par le biais d’une CHANSON – MANIFESTE, nous affirmons que l’invention de la nano-citoyenneté-planétaire doit s’accompagner d’un « JE TE DEMANDE PARDON », en corollaire de la décision de ne plus tricher par chaque vie-personnelle-œuvre-d’art consacrée à l’ultime question : COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE? (6eme et dernier chapitre).

JE TE DEMANDE PARDON

COUPLET 1
S’il m’arrive de parler au travers de mon chapeau
S’il m’arrive de prendre trop de place trop souvent
Si je m’approprie sans te voir l’espace de ta vie
Si je préoccupe ton âme en secret dans la nuit…                                                Je te demande pardon…
Je te demande pardon…

COUPLET 2
Si je vagabonde céleste tout autour de la planète
Si je suis parti sans avis au détour de nos vies
Si je t’ai volé ton rêve, déserté, laissé meurtri,
Si j’en ai trop fait, trop dit, ou pas assez dans ta vie
Je te demande pardon…
Je te demande pardon…

COUPLET 3

Si je n’ai pas compris la beauté du monde d’ici
Si je n’ai pas admis qu’il y a la vie après la vie
Si je suis révolté parce que je suis enchaîné
Si je ne peux te rassurer quand je suis déchaîné
Je te demande pardon…
Je te demande pardon…

COUPLET 4

Et si je le savais tout ce temps que je te volais…
Et si je le savais tout ce temps que toi tu m’aimais…
Je n’ai pas d’âme pas de K-œur aujourd’hui je le dis…
Je veux changer de vie et d’amour te dire merci
Je te demande pardon…
Je te demande pardon….

CHANSON MANIFESTE DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE

Michel le concierge

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wowwwww

Une sommité en intelligence artificielle choisit Montréal

PHOTO OLIVIER JEAN, LA PRESSE

Irina Rish, originaire de ce qui est aujourd’hui l’Ouzbékistan, est la nouvelle star de l’intelligence artificielle à Montréal.

Elle est détentrice de 64 brevets et a fait une longue carrière chez IBM avant de choisir Montréal pour y poursuivre ses travaux. Irina Rish, originaire de ce qui est aujourd’hui l’Ouzbékistan, dirigera l’automne prochain une chaire de recherche dotée d’un imposant budget de 34 millions afin d’approfondir les liens entre le cerveau humain et l’intelligence artificielle. Portrait.

Philippe MercurePHILIPPE MERCURE
LA PRESSE

La campagne de séduction a été longue et intense. Dans les conférences internationales, les stars de l’intelligence artificielle montréalaises comme Yoshua Bengio et Joëlle Pineau lui faisaient du pied. Mais Irina Rish était bien installée dans son laboratoire new-yorkais d’IBM, où elle travaillait depuis près de 20 ans.

« J’aimais mon travail, je ne cherchais pas le changement », dit-elle à La Presse. Mais le milieu montréalais a insisté. On lui a fait miroiter non pas une, mais bien deux chaires de recherche. Irina Rish a accepté de venir visiter Mila, l’Institut québécois d’intelligence artificielle, qu’elle connaissait de réputation.

« J’ai trouvé ça intéressant, raconte-t-elle. L’an dernier, j’ai reçu un appel et une offre et je me suis retrouvée confrontée à une décision difficile. J’avais beaucoup d’amis et de collaborateurs chez IBM. Les choses allaient bien. Mais il y avait cette opportunité. »

En blague, Irina Rish dit qu’elle a finalement choisi l’Université de Montréal et le Québec pour le ski. Chaque année, sa famille passait la relâche scolaire au mont Tremblant. « Pouvoir y aller en une heure et demie plutôt que huit heures de conduite est un gros plus pour nous ! », dit-elle. Plus sérieusement, celle qui tisse des liens entre l’intelligence des machines et celle des humains vante la recherche qui se fait dans la métropole québécoise.

Tant en matière d’intelligence artificielle et d’apprentissage profond que de neurosciences et de psychologie, il y a des choses ici qui sont très attirantes.

Irina Rish

Yoshua Bengio, professeur au département d’informatique et de recherche opérationnelle de l’Université de Montréal et directeur scientifique de Mila, se réjouit de cette nouvelle acquisition.

PHOTO OLIVIER JEAN, ARCHIVES LA PRESSE

Yoshua Bengio

« Irina Rish est une experte reconnue mondialement dans la recherche à l’interface de l’intelligence artificielle fondamentale et des applications médicales de l’intelligence artificielle. Elle a une longue expérience aux laboratoires de recherche d’IBM aux États-Unis, où elle a contribué à la fois aux progrès scientifiques profitant de la synergie entre neurosciences, psychiatrie et apprentissage profond et aux applications industrielles de l’intelligence artificielle », dit-il.

De l’Ouzbékistan à Montréal

Irina Rish est née à Samarcande, dans ce qui était à l’époque l’Union soviétique et forme aujourd’hui l’Ouzbékistan. Ses grands-parents, moscovites, s’y étaient réfugiés pour échapper à la répression sous le régime de Staline. Avec deux parents professeurs de mathématiques, la petite Irina tombe tôt dans la marmite des sciences.

« Petite, je m’amusais à résoudre des problèmes que mes frères aînés me donnaient. J’en tirais du plaisir », raconte-t-elle. À l’école, elle s’illustre dans les olympiades de sciences et de mathématiques organisées par le gouvernement.

PHOTO OLIVIER JEAN, LA PRESSE

Irina Rish

À 14 ans, Irina Rish tombe sur un livre intitulé Can Machines Think ? (« Est-ce que les machines peuvent penser ? »). « C’était mon premier contact avec l’intelligence artificielle et ça a frappé ma curiosité », raconte-t-elle. L’informatique est alors en plein essor et Irina Rish s’y lance. Après un baccalauréat en mathématiques appliquées à l’Institut Goubkine de Moscou, au cours duquel elle maintient une moyenne de 4,98 sur 5, elle prend le chemin des États-Unis. Elle effectue sa maîtrise et son doctorat en intelligence artificielle à l’Université de Californie à Irvine, avant d’entrer chez IBM, où elle mène une prolifique carrière au centre de recherche Thomas J. Watson de New York pendant près de 20 ans.

« Lire dans les pensées »

La professeure Rish résume son champ d’expertise comme on déclame un slogan : « l’intelligence artificielle pour la neuroscience, et la neuroscience pour l’intelligence artificielle ».

D’un côté, la spécialiste utilise l’intelligence artificielle pour mieux comprendre le cerveau humain et les problèmes qui le touchent. Chez IBM, elle faisait même partie d’un groupe de recherche sur la « psychiatrie computationnelle ».

« Nous essayons essentiellement d’utiliser des données provenant de l’imagerie du cerveau, en combinaison avec d’autres données de tests cognitifs ou de langage, pour détecter et reconnaître différents états mentaux ou des changements dans l’état mental », explique la spécialiste. En analysant l’activité du cerveau, les chercheurs peuvent ainsi déceler des problèmes comme la schizophrénie, la douleur ou la dépendance. Ils peuvent même deviner ce que fait un sujet sain ou comment il se sent simplement en analysant les données provenant de l’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle.

« Parfois, on dit que ce genre d’analyse revient à lire dans les pensées ! », lance Irina Rish.

Mais la chercheuse travaille aussi dans la direction inverse : elle s’inspire du cerveau pour développer de meilleurs modèles et de meilleurs algorithmes d’intelligence artificielle.

Nous voulons des systèmes plus larges et plus robustes. Des systèmes d’intelligence artificielle qui pourront éventuellement apprendre toute leur vie, comme les humains le font, et qui pourront résoudre différents types de problèmes.

Irina Rish

Elle rappelle que la plupart des systèmes actuels sont extrêmement spécialisés. Ils peuvent être entraînés à exécuter une tâche très spécifique — jouer aux échecs, par exemple —, mais sont pratiquement incapables de faire autre chose.

Arrivée à Montréal l’automne dernier, Irina Rish dirigera à l’Université de Montréal une chaire d’excellence en recherche du Canada dotée d’un budget de 34 millions sur sept ans, en plus d’une autre chaire de recherche de l’Institut canadien de recherches avancées, organisation financée par des fonds privés et publics. Ses enfants, âgés de 16 et 8 ans, s’adaptent bien à Montréal, une ville appréciée par toute la famille.

« D’un côté, c’est une grande ville et il y a des choses à faire, observe-t-elle. De l’autre, c’est une atmosphère plus calme et plus relaxe qu’à New York, qui peut devenir assez stressante. Pour nous, c’est un peu le meilleur des deux mondes. »

LA GAROUINE CÉLESTE 2 … DU CONTEUR INTERNATIONAL SIMON GAUTHIER ….. RESSEMBLE ANALOGIQUEMENT À LA CONSTRUCTION DU VAGABOND CÉLESTE PAR MON 1000 PAGES PHILOSOPHIQUE INITIATIQUE MONSIEUR 2.7K? … AU SENS… COMME LE DIT SI BIEN SIMON ….. C’EST LE DÉTACHER DE SA VIE POUR EN FAIRE UN CONTE QUI CONSTITUE LE SECRET DU PASSAGE DES TRAGÉDIES DE L’ONTIKE À L’ÉBLOUISSEMENT DE LA LÉGÈRETÉ POÉTIQUE DF’AVANT LA CRÉATION…. DONC LE RENVERSEMENT ÉPISTÉMOLOGIQUE ENTRE LES CHAÎNES DE L’ONTIKE ET LA DANSE MUSICALEMENT ET SUBTILEMENT RÉENCHAÎNÉE PARCE QUE RÉENCHANTÉE DE L’ONTIKHATIF ……….. …..

COURRIEL DU CONTEUR INTERNATIONAL SIMON GAUTHIER

commentaire de Pierrot

simon a raison

mourir à soi-même par le détacher de sa vie pour en faire un conte…..

wowwww… quelle belle définition de l’ontikhation…. du passage archétypal hologrammique de la vie à la création oeuvre d’art d’avant la création du monde….

AUGUST 30, 2020 PIERROT LE VAGABOND CHERCHEUR

COURRIEL DE SIMON

Allo Pierrot, je vais bien.
Je dors peu ces temps ci l’énergie déborde et mes mains oeuvre dans la matière
Je me retape une ” Garouine céleste 2″ 😉 un trailer fermé que je fabrique tout de zéro à confort et pratique de la maison scène roulante oeuvre d’art!

Je’apprends à couper scier, visser imaginer des principe physique de poulie de tiroir , etc
de pose de fenêtre et j’en passe

Je pense faire voyage vers 7 iles dans 1 mois pour l’automne et donner quelques spectacle depuis ma scèen roulante maison auto portante.

Et surtout dormi chez moi toujours dans mes affaire et profiter de voir des ami.e.s à Tadoussac et ma famille à 7-Iles , donnner quelque conférence sur ma vie nouvelle et ma diète et plus encore sur le détacher de vivre sa vie et et d’en faire un conte
rconter comment je suis mort à moi même et comment je suis vivant comme jamais,
sourire dans la silence!

Je te serre fort ami

COURRIEL DU CONTEUR INTERNATIONAL SIMON GAUTHIER

COURRIEL DE SIMON

Allo Pierrot, je vais bien.
Je dors peu ces temps ci l’énergie déborde et mes mains oeuvre dans la matière
Je me retape une ” Garouine céleste 2″ 😉 un trailer fermé que je fabrique tout de zéro à confort et pratique de la maison scène roulante oeuvre d’art!

Je’apprends à couper scier, visser imaginer des principe physique de poulie de tiroir , etc
de pose de fenêtre et j’en passe

Je pense faire voyage vers 7 iles dans 1 mois pour l’automne et donner quelques spectacle depuis ma scèen roulante maison auto portante.

Et surtout dormi chez moi toujours dans mes affaire et profiter de voir des ami.e.s à Tadoussac et ma famille à 7-Iles , donnner quelque conférence sur ma vie nouvelle et ma diète et plus encore sur le détacher de vivre sa vie et et d’en faire un conte
rconter comment je suis mort à moi même et comment je suis vivant comme jamais,
sourire dans la silence!

Je te serre fort ami

Simonx

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RÉPONSE DE PIERROT

wowwwwww…. Simon

Tu reprends le rêve big bang du violoniste Philippe Gagnon… avec sa Garouine au temps de la butte à Mathieu ….. et tu le réinventes…

LA LIBERTÉ OEUVRE D’ART… Une roulotte… une scène d’un mur qui s’y détache… des humains devant… un conte… partir sur les routes et donner par l’exemple la puissance d’un rêve big bang dans sa vie qu’importe les épreuves que l’on traverse…

Voilà ton rêve avec lequel tu n,as jamais triché qui te convoque pour un vagabondage d’errance poétique dune légèereté d,avant la création du monde

Pierrot

QU’EST-CE QUE L’ERRANCE POÉTIQUE? …. C’EST L’ONTI-KHA-TIF ÉMERGEANT FASCINAMMENT AU K-OEUR DE L’ONTI-KE…. TELLE QU’ELLE SERAIT V.ÉCUE AVANT LA CRÉATION DU MONDE

qu’est-ce que l’errance poétique?

G. et moi après avoir passé une partie de la nuit à cuisiner… puis… nous sommes aller dormir dans la chambre, lit contre sofa ouvert … poursuivre notre travail de recherche chacun au travers de nos sommeils respectifs….

G. s’est réveillée en premier…. l’invention d’une étiquette de nature métaphysique lui est apparue à la fin de son sommeil…. elle me réveille doucement pour me la communiquer… wowwww… que je lui dis…. magnifique… toute une avancèe doctorale.

De mon côté… je lui explique que durant ma nuit… j’ai vécu autre chose qu’une brosse d’être , une attaque d’être ou un mauvais rêve…

A partir de la fameuse question de G.  ……. LES DOMINÉS PEUVENT-ILS RÊVER …. à laquelle j’avais intuitivement répondu …… … LES DOMINÉS DOIVENT RÊVER LEUR VIE … C’EST LEUR SEULE CHANCE DE SORTIR DE LA DOMINATION  QUI LES ENCHAÎNENT À L’ONTIKE …. j’ai donc vécu l’onti-kha-tif se déployer au coeur même de l’ontike d’un dominé par l’appel à son rêve…Et cela m’est apparu comme le fondement même de l’errance poétique sur terre.

Et là je dis à G. …. L’ERRANCE POÉTIQUE …C’EST L’ERRANCE DE LA LÉGÈRETÉ VÉCUE AVANT LA CRÉATION DU MONDE QUI ÉMERGE SOUDAINEMENT AU K-OEUR MÊME DE L’ERRANCE FANTOMATIQUE OU DE L,ERRANCE AXIOLOGIQUE…. donc au k-oeur de l’ontijKe.

et de dire à G. La dernière demie-heure de mon sommeil…. mon socle abjetal aspiré par son rêve big bang ….  est tissé de cette légèreté poétique d’avant la création du monde et c’est cela que le cela est a tenté de m’enseigner à travers de délicates brosses d’être et de fascinantes attaques d’être….

De là les 4 questions de la vie personnelle oeuvre d’art qui permettent l’enclanchement des processus de brosses d’être et d’attaques d’être pouvant provoquer l’émergence au k-oeur même de l’ontike de la légèreté poétique d’avant même la créationn du monde

Pierrot vagabond

COMME C’ÉTAIT AGRÉABLE CE COUP DE TÉLÉPHONE DE MARLENE ET MICHEL AUJOURD’UI

Marlene est heureuse avec son honey comme elle le dit…. et c’est cela la beauté de leur amour oeuvre d’art… Pendant que notre côté G. et moi vivons une amitié oeuvre d’art en vue d’un rêve doctoral réciproque….

Un autre 2 heures de recherche méta-abstraite dans nos couches réciproques au réveil ce midi… après avoir passer la nuit debout…

2022 sera un événement …. Ce colloque international sur les dimensions du rêve ….. convoquera l’onérisme de la beauté du monde …. sous les dimensions des graphes de G., de l’amour oeuvre d’art de Marlene et Michel… et du rêve d’une humanité oeuvre d’art pour les millions d’enfants qui se meurent de faim ou de blessures de guerre de Pierrot vagabond….

En marche vers l’impossible en équipe

Pierrot vagaobnd

LES 4 QUESTIONS DE LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART… 1) QUEL EST TON RÊVE? …. 2) DANS COMBIEN DE JOURS? …. 3) QU’AS-TU FAIS AUJOURD’HUI POUR TON RÊVE? …. 4) COMMENT TON RÊVE PREND-IL SOIN DE LA BEASUTÉ DU MONDE …… CES 4 QUESTIONS DONNENT DONC LA POSSIBILITÉ À TOUTE PERSONNE HUMAINE VIVANT L’ERRANCE DE LA CONDITION HUMAINE SUR CETTE TERRE… DE SORTIR DE LA PRISON DE L’ONTI-KE …. POUR CONVOQUER UNE LIBERTÉ OEUVRE D’ART PAR L’ONTI-KHATION DU RÉEL VISITÉ EN SOI COMME UN RÊVE BIG BANG……

De là….. une métaphysique ontikhative de la condition humaine oeuvre d’art par l’invention de l’institution de la nano-citoyenneté-planétaire.

Pierrot vagabond

QU’EST-CE QU’UN ABCEPT? … C’EST LA PARTIE ONÉRIQUE D’UN CONCEPT ….. DE LÀ LA FASCINANTE ÉPOPÉE DES ÉTIQUETTES FLOTTANTES EN MODE CONSTELLATOIRE SOUS LES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU K-OEUR ASPIRÉS PAR UN RÊVE BIG BANG…..

Plus j’avance dans la glossarisation ……… plus la méta-théorisation abceptuelle des trois modes de l’errance sur terre (fantomatique, axiologique et poétique) m’apparaît comme porteuse d’une énigme…..

Et si tout n’était qu’un rêve?

Sans la mise en archétype hologrammique par mon roman philosophique de Pierre rochette en Monsieur 2.7k? ….. je me demande si j’aurais eu accès consciemment à l’onti-kha-tivité d’une vie humaine sur terre par un rêve big bang?

La glossaritation d’une pensée flottante, donc abceptuelle est en soi un geste de liberté oeuvre d’art…. car toute liberté oeuvre d’art traite l,oeuvre d’art en mineur et la liberté qui a rendu possible cette oeuvre d’art en majeure.

LE TRAITÉ INTITULÉ…. LE GLOSSAIRE D’UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART … par les métamorphoses de la poiétique (blogue,, glossaire thématique, glossaire alphabétique, constellation glossairique, définitions constellaires  )  ….. conduisant au fil d’or d’une métaphysique onti-kha-tive) …..  constitue en fait le cheminement d’un fractionnement d’une personnalité en deux postures existentielles  ….stations spatiales du corps (ontike) tributaires de deux formes d’errance en tension…. l’errance fasntomatique et l’errance axiologique . … et une station spatiale du k-oeur (onti-kha-tif) sous forme d’errance poétique.

Comment cette palette du tragique (fantomatique, axiologique) au dramaturgique épopétique (poétique) peut-elle nous instruire sur la condition humaine et sur la beauté du monde qui la colore de la naissance à la mort?

à suivre

Pierrot vagabond

 

 

APRÈS PLUS D’UN MOIS DE RÉCLUSION DANS NOS RECHERCHES MÉTAPHYSIQUES RÉCIPROQUES, LA MÉTAPHYSICIENNE G. ET LE VAGABOND P. VIVENT DES QWALIAS D’AMITIÉ OEUVRE D’ART DANS LEURS AVANCÉES RÉCIPROQUES ….

Comme le colloque international sur les dimensions du rêve en 2022 sera fascinant…. cet après-midi, G. a passé 2 heures sur zoom avec son directeur de recherche….. et si la tendance de maintient… l’examen de synthèse qui suivra le dépôt de son texte-manifeste devrait être signé devant ses trois correcteurs (trices) comme un magnifique  examen de synthèse…..

L’économie de sa pensée métaphysique est tellement paradigmatique que je suis persuadé … et profondément convaincu que l’écriture du doctorat qui en suivra sera fascinamment poétique au sens ou tout le fil d’or didactique de son argumentaire est déjà chirurgicalement d’une éblouissante élégance logique. Une grande renommée internationale attend G. à la fin de son doctorat (probablement encore 2 ans d’écriture) quand elle vivra la publication de ses recherches ….. par les presses universitaires …..

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Nous travaillons de nuit…. dormons….. dans la même pièce …. moi dans le sofa elle dans le lit …… comme des soldats bien serrés dans les tranch.ées de la connaissance …..  tout l’avant-midi et l’on se réveille mutuellement quand on a des nouvelles intuitions… Comme ce matin par exemple, G. m’a demandé:  Par quel chemin théoritique je m’y étais pris pour construire l’abcédaire du glossaire de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette)

J’ai du passer une bonne demie heure à lui raconter toutes cesd années ou… à partie de l’invention de la poiéitique de Paul Valery en 1939 à son introduction comme chercheur au collège de France…

j’ai donc  imaginé une bloguiétique numérique …. qui, après 7000 pages,……  serait métamorphosée en base de données… pour ensuite se décrypter en un glossaire thématique…. suivi d’une mise en constellation d’un glossaire abceptuel alphabétique… devant servir… (et c’est là ou je serai d’ici un mois) à des définitions qui me permettront de cartographier comme des étoiles dans le ciel… le fil d’or méta-théorique sous entendant toute cette invention sur laquelle axiomatiquement est fondée notre métaphysique ontiphative (incluant la philosophie d’en bas de Michel) de toute vie personnelle oeuvre d’art dans une nano-modernité convoquant la nano-citoyenneté-planétaire en vue de mise en esthétisme de pays oeuvre d’art sur terre…. pour que plus un enfant ne meure de faim ou de blessures de guerre.

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Dans le glossaire, je suis rendu à l’item 245 (MONSIEUR 2.7K?) qui contient dans le blogue d’origine 181 entrées… Une bonne semaine de travail juste sur cet item abceptuel…..

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Je n’en reviens pas comme tout la méta-théorie de l’univers du vagabond céleste y est déjà inclue.

G. me faisait remarquer que ce glossaire ,en fait
devrait porter le nom de

LE GLOSSAIRE DE LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART

à voir avec mes partenaires de recherche, Marlene et Michel

Pierrot vagabond

ARCHIVES… MON AMI ET PARTENAIRE DE RECHERCHE MICHEL LE CONCIERGE ET MOI PIERROT VAGABOND….. CHANSONNIERS DU VIEUX MONTREAL … IL Y A PRESQUE 50 ANS MAINTENANT

(3416) (12 novembre 2019)
Au conseil d’administration de la créativité de ce matin, mon ami, complice et ancien partenaire de scène me disait : « Pierrot, le café St-Vincent fut un véritable événement poétique au Québec et il est étonnant que ce que nous avons vécu toi et moi avec nos guitares ne soit documenté nulle part… Et moi de répondre… chaque matin, 50 ans plus tard, quand tu cognes à ma porte Mike, je vois dans nos yeux de chercheurs ce que nous avons appris toi et moi, à la boîte à chansons du café St-Vincent, ruelle des peintres, porte de garage ouverte sur la gauche de la scène, la rue dansante de joie de vivre comme dans une peinture de Renoir, … en servant humblement le public avec nos guitares et nos chansons … Nous fûmes des rois heureux… deux de mes romans philosophiques… L’ÎLE DE L,ÉTERNITÉ DE L’INSTANT PRÉSENT (www.demers.qc.ca) et MONSIEUR 2.7K?… (www.reveursequitables.com) en témoignent … Michel s’est acheté un case de guitare… pour y déposer la même guitare avec laquelle il jouait et chantait sur la scène du café St-Vincent, il y a maintenant près de 50 ans… Moi je n’en joue plus, ayant jeté ma guitare dans le bois pour vagabonder la connaissance dans 4 universités…. Mais Michel en joue encore… et parfois je lui demande de me rechanter «le gros Bob d’à côté » de René Robitaille, ou «la butte» de George Langford… ou «j’ai souvenir encore» de Dubois ou «l’hymne au printemps de Felix Leclerc» … Je n’ai qu’à fermer les yeux et la poésie qui nous a unit jadis quand nous partagions la même petite scène revit en moi…. Le plus fascinant, c’était de réaliser que le rêve de la mère Martin, compagne du poète et homme de culture Paul Gouin fut un véritable rêve big bang ….J’habitais chez ma tante Lucienne… je faisais partie d’un groupe de folklore… Nous revenions de l’exposition d’Osaka au Japon en 1970 après avoir gagné le trophée du meilleur groupe de folklore collégial en Amérique du nord …. Après avoir terminé un bacc en philosophie à l’université de Montréal, je faisais mon bacc en enseignement ou l’avais terminé, ne m’en souviens pas trop… et je vivais une scolarité de maîtrise en audio-visuel….. J’avais réalisé un rêve poétique…. qui m’était venu quand j’avais passé l’été à Expo 67 avec mon passeport… Je me disais… je dois me rendre à Expo 70 … Et nous y fumes…. Il me semblait que le reste de ma vie serait inutile si je ne comprenais pas (aujourd’hui je dirais… si je ne découvrirais pas les règles du jeu du rêve qui m’avaient permis de réaliser mon rêve. … Seule la poésie d’un rêve m’intéressait…. Je n’étais attisé par aucune soif de carrière, d’honneur, de biens matériels, j’étais poésie…. Mon père avait eu un rêve… créer un poste de télévision sur cable à La Tuque… Il m’avait dit… J’ai un rêve… et il le réalisa… mes deux frères et moi étions caméramen à 12 ou 13 ans…. Mon grand-père Lucien, mon oncle Paulo, mon père…. La ville de La Ruque même par la musique et Aubert Montgrain… quand j’y pense… toute la ville de La Tuque avait appris à vaincre la lassitude du quotidien par le rêve… Un grand rêve… Nous étions perdus entre les montagnes à 100 kilomètres de Grand-mêre et à presque 100 kilomètres de Chicoutimi… Une rivière, la rivière St-Maurice, une route…. Pour vivre, IL FALLUT À NOTRE VILLE INVENTER U N RÊVE BIG BANG POUR LA COMMUNAUTÉ… le petit Lac St-Louis devint nos débris de la mémoire du cœur…Assis sur la galerie… j’y voyais les jeunes couples de partout dans la ville venir tourner autour du lac main dans la main… la poésie… et de l’autre côté des hobos sauter du train… la poésie… Je n’étais que poésie…. Je ne suis encore que poésie… Alors imaginez quand, passant une audition au café St-Vincent, avec la chanson La Bohème, je fus engagé… l’événement … le cadeau qui me fut offert… fut de chanter pour Paul Gouin… poète…. poète au point il descendait parfois de son appartement en robe de chambre pour me dire… en s’approchant de moi au micro…« P’tit gars,,, c’est le peuple que je veux entendre chanter d’en haut» par toi et non pas toi… Quelle leçon…. quelle leçon… Paul était poésie… la nuit… parfois… je le voyais à une table du père Leduc (une table lui était réservée) et il écrivait sa poésie… JE M’ENFUIS DE CHEZ MA TANTE ET JE DISPARUS … MON PÈRE DUT FAIRE DES PIEDS ET DES MAINS POUR ME RETROUVER…. JE N’ÉTAIS QUE POÉSIE.. J’OUBLIAI LE RESTE… SANS DOUTE JE SUIS ENCORE CELA AUJOURD’HUI…. A L’époque… le Vieux Montréal était un village… les gens y vivaient depuis plusieurs générations… un tout petit village…. j’y dormais dans une chambre minable où je gelais…. Je gagnais peu… $45 par semaine je crois… et J’avais 15 dollars pour ma chambre, 15 pour manger et 15 à la banque … Et j’étais heureux… J’avais froid… Quand je quittais ma chambre… pas de gants… pas de bottes… mais ma guitare… je m’en allais chanter au café St-Vincent… A l’époque, il y avait tellement peu de clients l’hiver que la mère Martin m’avait dit le tenir ouvert l’hiver pour que nous puissions manger… pour que ses p’tits gars mangent… Tous les soirs, j’ai chanté la Bohème d’Aznavour…. tous les soirs….. je savais dans ma chair ce que c’était que le froid et la faim….. mais j’écrivais des chansons (Pierre Rochette chante le vieux Montréal) …. j’étais heureux… Mais surtout… peu à peu.. des familles sont venues au café… des pères, des mères des grands-pères et des grand-mères… Nous chantonnions et les gens chantaient… nos folklores, nos grands classiques de la chanson française… nos chansons….L’hiver c’était mal chauffé… seule une salle remplie le samedi soir mettait de la chaleur là-dedans… Deux mauvais micros, un mauvais système de son, mais de belles chansons… La nuit, je copiais mes chansons à la main dans un cahier… et soudain… arrivait le printemps… le porte de garage s’ouvraient… la ruelle des peintres se remplissaient et la rue St-Amable devenait carte postale renoirdienne d’une joie de vivre… Je suis de nationalité québécoise française de Gauthier…. Je reviens che znous de Ferland… une boîte à chansons de George D’or…. Le premier qui dit la vérité de Béart…. Et de nous voir jeunes et heureux… Marcel Picard, Michel Woodard, René Robitaille et les autres…..La poésie… la poésie… 7 soirs par semaine plus les samedi et dimanche après-midi… ça venait de partout à travers le Québec… et ce partout finit par ouvrir des boîtes d’animation et nous nous mîmes à visiter la poésie du Québec avec nos guitares…. Une guitare… àl’époque même pas électrique… quelques mots… le rêve devenant un château qui semblait ne jamais vouloir mourir…. Oui…. le café St-Vincent fut un événement magique et poétique de l’histoire du Québec…. C’est peut-être cela la nano-citoyenneté-planétaire… LE CAFÉ ST-VINCENT TOUT AUTOUR DE LA PLANÈTE OU DES MILLIONS D’ENFANTS CHANTENT LEUR VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART AU LIEU DE MOURIR DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE
Pierrot vagabond