ET LORSQUE NAÎT UN ENFANT, EN QUELQUE LIEU OU SIÈCLE QUE CE SOIT «LE MONDE EST AUSSI NEUF POUR LUI QU’IL LE FUT POUR LE TOUT PREMIER DES HOMMES »… THOMAS PAINE, DANS SON CÉLÈBRE LIVRE «LES DROITS DE L’HOMME»

Bernard Vincent
Thomas Paine
ou la religion de la liberté
aubier biographie 1987
p.199-200
extrait

C’est chez l’historien Randolph Bourne que le livre de Paine a sans doute trouvé son commentateur le plus inspiré. Installant «LES DROITS DE L’HOMME» dans une longue perspective qui part de la Renaissance italienne pour aboutir à la philosophie des lumières, Bourne ne craint pas de situer l’œuvre de Paine AU POINT CULMINANT DE CE LENT ESSOR DE LA RAISON; là où le rêve séculaire finit par devenir réalité, la pensée s’incarnant dans l’histoire, la philosophie se transmuant en institutions.

Rousseau et d’autres grands esprits avaient certes préparé le terrain, mais en l’absence d’un modèle existant, ils avaient fondé leurs théories sur des spéculations abstraites ou avaient tourné leurs regards vers un passé mythique peuplé de bons sauvages ou de républiques légendaires.

Paine, au contraire, «avait l’avantage d’avoir devant lui UN MODÈLE OPÉRATOIRE. Il croyait assister dans les premières années de la Révolution à la naissance de ce fameux contrat social dont les philosophes avaient parlé et à l’exercice direct de cette souveraineté et de ce fondement des droits civiques qu’ils avaient découvert dans la société originelle….

—–
…L’origine de l’homme, affirme Paine, NE FAIT QU’UN AVEC L’ORIGINE DE SES DROITS et comme Dieu fit le premier homme à son image, tout homme a dans la vie des droits égaux à ceux d’Adam, fils de Dieu.

ET LORSQUE NAÎT UN ENFANT
EN QUELQUE LIEU OU SIÈCLE QUE CE SOIT
«LE MONDE EST AUSSI NEUF POUR LUI
QU’IL LE FUT POUR LE TOUT PREMIER DES HOMMES»

Dès lors, et même si elle fait partie d’une création continue qui assure l’unité de l’homme à travers l’histoire, chaque génération, comme chaque individu, A LE DROIT ADAMIQUE DE REFAIRE LE MONDE À SA FAÇON.

SUR GOOGLE
www.simongauthier.com
www.reveursequitables.com
www.lepaysoeuvredart.com
www.wow-t.com

Marlene, jardinière de la beauté du monde
Michel, concierge de la beauté du monde
Pierrot, vagabond de la beauté du monde

«TOUT L’MONDE S’EN FOUT…» LA TRÈS BELLE CHANSON DE MON AMI MICHEL LE CONCIERGE ACCOMPAGNANT LE GÉNÉRIQUE DE SON PROCHAIN DOCUMENTAIRE «PHILOSOPHIE, LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE…»

TOUT L’MONDE S’EN FOUT

Tout l’monde s’en fout… tout l’monde s’en fout (bis)
tout l’monde s’en fout… tout l’monde s’en fout (bis)

Nathalie… veut changer de vie
Nathalie que tout le monde a trahie
Nathalie… fait plus que son possible…
Nathalie.. survit à l’impossible… Nathalie

(coda)

Faut que j’pense à moé… personne pense à moé?
qui pense à moé?… Moé j’pense à toé!
moé j’pense à toé!…

L’ami Pierrot qui me dit…
regarde en haut… comme c’est beau…
l’ami Pierrot qui me dit…
encore plus haut… c’t’encore plus beau
l’ami Pierrot

(coda)

Pierre… Jean… Jacques… Chantal… Madeleine
toi qui rêve d’aller plus loin…
fais ton idée… fais ta valise…
ta vie recommence demain… toi mon ami
donne la main

(coda)

SUR GOOGLE
www.simongauthier.com
www.reveursequitables.com
www.lepaysoeuvredart.com
www.wow-t.com

Marlene, jardinière de la beauté du monde
Michel, concierge de la beauté du monde
Pierrot, vagabond de la beauté du monde

LES DEUX ASSEMBLÉES DES JUSTES DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE (125 FEMMES COMPLÉMENTAIRES À 125 HOMMES) VISENT UNE VALEUR OPTIMALE ET QUALITATIVE DE LA LIBERTÉ SUR TERRE, UNE NATURE DU GOUVERNEMENT OÙ LA SÉPARATION DES POUVOIRS ENTRE LES CITOYENS(NES) ET LES ÉTATS EST CONSACRÉ PAR LE DROIT-JUSTICE COMME ÉQUITÉ ET PAR LA DIGNITÉ DE LA PERSONNE HUMAINE REPOSANT SUR LA PRIMAUTÉ DU DROIT DE TOUT ENFANT SUR TERRE À NE PAS MOURIR DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE

A l’UQAM, un vagabond de la connaissance universitaire en pantoufles vit enfin le sentiment d’être chez lui. Bénéficiant de l’estime générale par l’attention bienveillante que qu’il apporte aux autres, des contacts de joie de vivre récurante que cette posture ensemence jour après jour, le corps vivant un stoicisme minimalisme permettant au cœur d’embrasser l’univers par des intentions d’invention méthodologique au niveau de nouvelles institutions ayant rapport à la mission de protéger l’ordre social qui se doit d’habiter la nano-citoyenneté-planétaire au 21eme siècle.

Le ier qui inventa sa vie sur terre, tel que répertorié par l’archéologie des écritures fut aussi le ier qui inventa la philosophie… Thales de Milet.

Les quatre questions de la vie personnelle œuvre d’art ont pour objectif de faire de chaque personne humaine habitant la planète terre des Thales de Milet.

PENSER PAR SOI-MÊME
EN PASSANT PAS SON RÊVE,
ET CELA HORS DE TOUTE TRADITION
DE QUELQUE NATURE QUE CE SOIT.

L’individualisme radical au service de la nano-citoyenneté-plantaire radicale.

sur Google

www.simongauthier.com
www.reveursequitables.com
www.lepaysoeuvredart.com
www. wow-t.com

Marlene, jardinière de la beauté du monde
Michel, concierge de la beauté du monde
Pierrot, vagabond de la beauté du monde

L’INVENTION DE LA PHILOSOPHIE…. THALES DE MILET

Curieuses histoires des Inventions
les 100 découvertes qui ont changé le monde
Jean C. Baudet
Jourdan Editions, 2011
P.54-55
extraits

J’ai, pour la première fois exposé cette théorie «alphabétique» du miracle grec dans mon livre UNE PHILOSOPHIE DE LA POÉSIE (l’Harmattan, Paris, 2006, pp.31-33 et 40-41)

… les extraordinaires conséquences de l’idée fondamentale et profondément originale de Thales, que nous allons essayer d’exposer.

Il s’agit de l’invention de la philosophie.

Le mot« Philosophie» ne faisait probablement pas partie du vocabulaire de Thales, il apparaîtra plus tard dans le lexique grec, mais s’il n’a inventé le mot, c’est bien Thales de Milet qui a inventé la chose.

 

QU’EST-CE QUE LA PHILOSOPHIE?

C’EST LA PENSÉE PAR SOI-MÊME.

explication

Milet était, au début du v1eme siècle avant notre ère, un port maritime important. C’était le temps de Nabuchodonosor, roi de Babylone, et de Solon, archonte d’Athènes. Dans un port, il y a des  marins, venus parfois de loin. Thales était donc en présence de grecs et d’étrangers, et parmi ceux-ci circulaient les idées les plus diverses, parfois très différentes des idées des grecs, à propos de toutes les choses qui intéressent les hommes. Les dieux des Phéniciens et des Babyloniens et des Égyptiens étaient fort différents des dieux vénérés par les Grecs.  Les lois de tous ces peuples différaient parfois fortement entre elles, et ne correspondaient pas toujours aux prescriptions légales qui avaient cours en Grèce. Et d’ailleurs, la Grèce elle-même était idéologiquement morcelée, et si les grecs parlaient la même langue, leurs idées étaient fort différentes à Sparte, à Athènes, à Thèbes et à Milet. Les Hébreux, par exemple, prétendaient avec vigueur qu’il n’existe qu’un seul Dieu, alors que tout grec savait bien que les dieux étaient fort nombreux. Et puis, à propos des dieux grecs, il y avait ce qu’en disait Homère, Hésiode, les prêtres des différents temples. TOUT CELA NE CONCORDAIT PAS TOUJOURS. Si bien que, devant cette multiplicité extrême d’opinions sur les choses en somme importantes, Thales s’est mis à douter et à douter tellement qu’il a rejeté fermement tout ce qui venait des prêtres, des poètes, des législateurs, bref de la Tradition, ou des Autres. Et il s’est mis à PENSER PAR LUI-MÊME, ne faisant confiance qu’à sa propre raison.

IL VENAIT D’INVENTER LA PHILOSOPHIE.

C’est là la grande invention de Thales. NE PAS ACCEPTER LES OPINIONS D’AUTRUI – aussi vénérables et anciennes et prestigieuses soient-elles – MAIS TENTER DE SE FAIRE UNE OPINION SOI-MÊME. Inventer la philosophie, c’était accorder plus de prix à la raison humaine qu’aux traditions des hommes. J’aime bien de définir la philosophie par un paradoxe: LA PHILOSOPHIE EST UNE TRADITION QUI REJETTE TOUTES LES TRADITIONS. C’est bien une tradition parce que Thales aura une très longue prospérité – Il y a encore des philosophes aujourd’hui. Ils ne méritent le nom de philosophe que s’ils pensent par eux-mêmes, rejetant comme suspecte toute pensée émanant de quiconque, quel que soit éventuellement le prestige accordé à cette pensée par le corps social. Ce qui ne signifie pas que chaque philosophe doit rejeter tout ce qui a été pensé avant lui. Mais il doit soumettre toute idée qui lui est proposée, sans la moindre défaillance, À L’EXAMEN DE SON PROPRE JUGEMENT.

L’avènement de la Philosophie est évidemment un événement très important, décisif même pour l’histoire de la pensée. Nous verrons qu’il viendra un jour (encore lointain au v1eme siècle) où la philosophie donnera naissance à la science. Mais n’allons pas trop vite. Il a fallu des siècles à la pensée philosophique pour qu’elle accouche d’un moyen pour accéder à la vérité, ou du moins à certaines vérités.

Les successeurs de Thales furent donc nombreux, et pendant des siècles, il n’y en eut qu’en Grèce. Les plus célèbres furent Platon et Aristote.

Il est remarquable que la philosophie ne soit apparue qu’en Grèce, si toutefois on admet la définition forte de la philosophie, à savoir UNE DÉMARCHE INTELLECTUELLE REJETANT TOUTES LES TRADITIONS. Les systèmes de pensée de l’Antiquité en Inde ou en Chine, par exemple comme le confucianisme ou le bouddhisme, ne peuvent être considérés comme des philosophies, car ces systèmes ne rejettent pas toute tradition de leur lieu d’émergence. Au contraire, ces «sagesses» sont basées sur LE RESPECT SUPERSTICIEUX d’un sacré qui n’est jamais mis en doute. Alors qu’un philosophe authentique rejette toute tradition, un guru base tout son enseignement sur une tradition déterminée. On pourrait aller jusqu’à dire que l’expression, si à la mode, de «philosophie orientale» est une contradiction dans les termes. Il faut bien comprendre que, quand un philosophe du xx1eme siècle enseigne les idées de Thales de Milet, ce n’est pas par respect du Milésien, mais parce qu’il a repris à son compte les raisonnements qui conduisent à rejeter les traditions!

Ajoutons, pour qu’il n’y ait pas de confusion, que la philosophie tente de répondre à toutes les questions. Ce n’est pas une discipline intellectuelle ayant un objet limité, comme l’astronomie qui ne s’intéresse qu’aux astres, le droit qui ne s’intéresse qu’aux lois ou la zoologie qui ne s’intéresse qu’aux animaux.

La philosophie s’intéresse à tout, à l’Univers visible et invisible.  Une formule sera proposée par Aristote: LA PHILOSOPHIE S’INTÉRESSE À L,ÊTRE. C’est à dire de tout ce qui existe vraiment. Un fameux programme!

Je pourrais évidemment citer d’innombrables définitions ou caractérisations de la philosophie. Je me bornerai à une petite phrase D’Emmanuel Levinas (1906-1995) « LA POLITIQUE S’OPPOSE À LA MORALE, COMME LA PHILOSOPHIE À LA NAIVETÉ». Ceci pour rappeler que si la philosophie est née à Milet, elle est née dans un contexte politique, avec une population laborieuse, une classe aisée, des magistrats qui dirigent la cité. Si la philosophie est née contre la tradition, elle est née aussi contre la naiveté.

En résumé, la philosophie est une étude qui a une méthode: LE RAISONNEMENT ET UN OBJET, LE TOUT.

sur Google… www.wow-t.com

L’ÉTIQUETTE FONDATRICE «D’INVENTION» QUI ILLUMINE LA MÊME QUESTION DE LA SÉPARATION DES POUVOIRS CHEZ mONTESQUIEU (LÉGISLATIF,EXÉCUTIF,JUDICIAIRE) QUE CHEZ L’ÉQUIPE DE RECHERCHE aULD-WOODARD-ROCHETTE (LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE ET SES DEUX ASSEMBLÉES DES JUSTES COMPLÉMENTAIRES, SOIT 125 FEMMES ET 125 HOMMES)

Curieuses histoires des Inventions
les 100 découvertes qui ont changé le monde
Jean C. Baudet
Jourdan Editions, 2011
P.5-6
extraits

QUELQUES RÉFLEXIONS POUR COMMENCER

Le monde va mal. L’humanité souffre. Le malheur est parmi nous. La civilisation est menacée, comme jamais elle n’a été menacée. Il faut donc comprendre POURQUOI ON EN EST ARRIVÉ LÀ et, si possible, chercher des raisons d’espérer et des moyens de CHANGER LES CHOSES.

Comme la connaissance du passé est indispensable pour construire le futur, je propose ci-après la liste des inventions, découvertes et innovations qui, depuis que l’homme est sur terre, n’ont pas cessé de changer, parfois de façon radicale, ses conditions d’existence. Cette liste, me semble-t-il, outre son intérêt historique, ( l’on ne manquera même pas d’y trouver du pittoresque et du sensationnel) POSSÈDE EN ELLE-MÊME UNE VALEUR PROPREMENT PHILOSOPHIQUE****

Car il faut d’abord rappeler, à ceux qui aujourd’hui veulent RÉFLÉCHIR À LA CONDITION HUMAINE, QUE L’ENVIRONNEMENT TERRESTRE EST LE IER ENNEMI DE L’HOMME. On l’oublie trop aujourd’hui, bercé par les fantasmes d’une nature généreuse pour l’humain, entretenus par certains courants de pensée fort à la mode. Il faut en revenir à l’évidence.

l’HOMME NAÎT NU
DANS UN MONDE TROP FROID OU TROP CHAUD,
OÙ IL RISQUE LA CHÛTE À CHAQUE PAS,
OÙ LA NOURRITURE EST RARE,
ENTOURÉ D’UNE GROUILLANTE DIVERSITÉ D’ANIMAUX FÉROCES, DE PLANTES VÉNÉREUSES
ET DE MICROBES PATHOGÈNES.

DÈS SA NAISSANCE, L’HOMME EST SOUMIS À LA FAIM, À LA FATIGUE, À LA MALADIE, À LA SOUFFRANCE.
OÙ EST LA NATURE MISÉCORDIEUSE?

Et ce n’est pas tout. Si la nature est le plus dangereux, le plus implacable, le premier des ennemis de l’homme, il faut hélas convenir que L’HOMME LUI-MÊME EST LE DEUXIÈME ENNEMI DE L’HUMAIN.

Homo homini lupus, disaient déjà, il y a plus de 2000 ans, les romains. Ce n’est guère aimable pour les loups, mais ce n’est que trop vrai. Et pourtant, c’est bien parmi les hommes et au sein de la nature que nous devons vivre. Il faut donc trouver le moyen de résister aux dangers de la nature. C’est, comme je l’ai déjà dit, le but de la technique.

IL FAUT AUSSI CHERCHER LES MOYENS
DE RÉSISTER AUX AGRESSIONS HUMAINES.
C’EST CE QU’ON APPELLE LA POLITIQUE*****

sur Google
www.simongauthier.com
www.reveursequitables.com
www.lepaysoeuvredart.com
www.wow-t.com

Marlene, jardinière de la beauté du monde
Michel, concierge de la beauté du monde
Pierrot, vagabond de la beauté du monde

CE QUI ME PASSIONNE DANS WALTER BENJAMIN, MARCEL DUCHAMP ET MONTESQUIEU, C’EST LEUR EXCEPTIONNEL PARCOURS MÉTHIODOLOGIQUE ENCORE PLUS INVENTIF QUE L’INVENTION QUI EN SURGIT AU BOUT DU PROCESSUS.

Quand Walter Benjamin réfléchit à une méthodologie de la citation pour que le 19eme siècle parle de lui-même tout comme de la naissance de la modernité… Quand Marcel Duchamp réfléchit à une méthodologie de l’urinoir pour que la philosophie de l’art du 20 siècle renverse tous les fondements et de l’esthétisme du goût et des prétentions kandeskyiennes de l’art abstrait… Quand Montesquieu réfléchir sur une méthodologie d’une vision sociologique et géo-politique de l’universalisme pour que la séparation des pouvoirs déficiente fonde de nouveaux outils d’une science politique à venir, malgré son contexte de néo-féodalisme….

Ce qui me passionne… c’est l’argumentaire suivant:

Si Walter Benjamin, Marcel Duchamp et Montesquieu ont révolutionné l’histoire de la pensée par une innovation méthodologique, pourquoi notre équipe de recherche (Auld-Woodard-Rochette) ne gagnerait-elle pas le prix Nobel par la même soif d’originalité méthodologique pour lancer planétairement le 21eme siècle.

C’est ainsi que le vagabondage (d’un pays à la Montesquieu), (de bibliotheques à la Walter Benjamin) (d’une équipe multi-contextuelle (à la Marcel Duchamp avec son épouse d’historienne et Man Ray) dont la trace et le récit poïétique anime chaque page des différents blogues (à partir de l’île de l’instant présent sur le site www.demers.qc.ca) en passant par Monsieur 2.7 k (de www.reveursequitables.com) et des chansons de Michel Woodard et de Pierrot Rochette (www.reveursequitables.com) passant par mon ami pierrot le dernier homme libre et le vagabond céleste (www.simongauthier.com) et surtout par les quatre documentaires de Michel le concierge (le pays œuvre d’art?, la pelle jaune, philosophie, la nano-citoyenneté-planétaire et Ti-Poulx )….

Les 150 heures d’archives tournées depuis 10 ans auxquelles seront ajoutées la réflexion sur les 300 pages de la deuxième partie du doctorat consacrée à la nano-citoyenneté-planétaire…suivant les 300 premiers chapitres sur Montesquieu…le tout accompagnant en conclusion ouverte la marche à l’ONU (de la maison de Borduas, le refus global à l’ONU à New York) pour déposer et la charte de la nano-citoyenneté-planétaire et le doctorat…

VIVE NOTRE ÉQUIPE DE RECHERCHE
(AULD-WOODARD-ROCHETTE)

«DOCTEURS?…» NON SEULEMENT LE TITRE DU FUTUR DOCUMENTAIRE DE MICHEL LE CONCIERGE, MAIS AUSSI UNE INNOVATION SUR LA FAÇON DE FAIRE ET DE DÉPOSER UN DOCTORAT PAR UNE ÉQUIPE DE RECHERCHE MULTI-CONTEXTUELLE (AULD-WOODARD-ROCHETTE)

Quel merveilleux conseil d’administration de la créativité ce matin. Marlene, Michel et moi vivons vraiment une relation d’amitié d’une grande richesse opérationnelle parce ce que qu’ilporte ce que mes lectures d’universitaire apporte d’informations semaine après semaine, LE VOTE FINAL DE L’ÉQUIPE CONSTITUE NOTRE UNIQUE CRITÈRE, AU SENS OÙ LE RECHERCHE L’UNANIMITÉ PAR LE WOW.

Ce matin, par exemple, Michel avait lu les blogues sur l’analogie de la méthode de lecture de Montesquieu et la mienne. Pour lui, il devient de plus en plus évident que le choix stratégique et tactique du cadre théorique, de la problématique, comme de la méthodologie s’avère le bon choix.

On part de la phrase de Bacon: sera connu par l’histoire l’invention qui soulagera la condition humaine. Puis les 300 premières pages du doctorat sont consacrées à l’invention de la séparation des pouvoirs de Montesquieu tandis que les 300 dernières sont crées devant caméra par l’équipe de recherche (Auld-Woodard-Rochette) , séquences imagées qui serviront d’annotations sur le coté du texte que pourra consulté le lecteur au fur et à mesure du déroulement du texte sur internet.

La conclusion ouverte étant réservée à la charte d ela nano-citoyenneté-planétaire, son hypothèse axiomatique des deux assemblées COMPLÉMENTAIRES des justes (125 femmes et 125 hommes) ÉLUES PAR TIRAGE AU SORT, VILLAGE PAR VILLAGE, VILLE PAR VILLE de façon à ce que la conscience planétaire citoyenne issue de la séparation des pouvoirs avec les états, créent une pression d’intelligence systémique pour que de nouvelles règles du jeu planétaires permettent l’émergence DE PAYS OEUVRE D’ART par des vies personnelles œuvre d’art.

Ce doctorat sera donc… A) publié sur internet… b) déposé à l’onu à New York… c) avant d’être déposé dans les quatre universités montréalaises afin de susciter un wow permettant par un consortium de fondations et de chaires universitaires l’opérationnalité par la science des algorithmes la mise en place en trois ans de LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE PAR LA NOUVELLE DIVISION MONTESQUIENNE DES POUVOIRS  ENTRE LES CITOYENS(NES) ET LES ÉTATS.

SUR GOOGLE

www.simongauthier.com
www.reveursequitables.com
www.lepaysoeuvredart.com
www.wow-t.com

Marlene, jardinière de la beauté du monde
Michel, concierge de la beauté du monde
Pierrot, vagabond de la beauté du monde

2: MONTESQUIEU ET LA CITATION DE JAMES MADISON SUR LA SÉPARATION DES POUVOIRS ET LA PART DE MONTESQUIEU

Louis Desgraves
Montesquieu
l’œuvre et la vie
p.130
extrait

,,, et par cette appréciation de James Madison, «`le père de la constitution des États-Unis d’Amérique écrivant dans le Fédéralist:

«L’ORACLE QUI EST TOUJOURS CONSULTÉ
ET CITÉ SUR LE SUJET
EST LE CÉLÈBRE Montesquieu.
L’IL N’EST PAS L’AUTEUR
DE CE PRÉCEPTE D’INESTIMABLE VALEUR
(LA SÉPARATION DES POUVOIRS)
DANS LA SCIENCE POLITIQUE,
IL A AU MOINS LE MÉRITE
DE L’EXPOSER
ET DE LE PRÉSENTER
DE LA FAÇON LA PLUS ACCEPTABLE
À L’ATTENTION DES HOMMES.»

texte cité par Paul M. Spurlin. L’influence de Montesquieu sur la constitution américaine, dans Actes du congrès Montesquieu, Bordeaux, 1956, p.272

sur Google

www.simongauthier.com
www.reveursequitables.com
www.lepaysoeuvredart.com
www.wow-t.com

Marlene, jardinière du pays œuvre d’art
Michel, concierge du pays œuvre d’art
Pierrot, vagabond du pays œuvre d’art

1- MONTESQUIEU ET SA MÉTHODE DE LECTURE…. VERSUS LA MÉTHODE DE LECTURE DE PIERROT VAGABOND

Louis Desgraves
Montesquieu
l’œuvre et la vie
éditions l’esprit du temps
1994
LA MÉTHODE DE TRAVAIL DE MONTESQUIEU
Les pensées de Montesquieu
et l’esprit des loi
(extrait) p.63-65
au sujet de sa méthode de lecture

Parmi les carnets de notes de Montesquieu, les trois volumes de ses Pensées conservées à la Bibliothèque municipale de Bordeaux depuis la vente des manuscrits du château de la Brède, le 23 février 1939, constituent un document essentiel pour comprendre SA MÉTHODE DE TRAVAIL et saisir L’ÉVOLUTION DE SA PENSÉE SUR QUELQUES POINTS FONDAMENTAUX.

Au collège de Juilly, où Montesquieu séjourna du 11 août 1700 au 14 septembre 1705, les Oratoriens dispensaient un enseignement imprégné des idées énoncées par le P. Bernard Lamy dans ses Entretiens sur les sciences. Le sixième Entretien préconise le recours à la lecture des meilleurs livres dans les meilleures éditions possibles et donne ce précepte:

«UN HOMME D’ESPRIT
SE PROPOSE UNE FIN,
ET PENDANT UNE VINGTAINE D’ANNÉES.
IL TIRE DE TOUTES LES LECTURES
CE QUI SERVIRA À SON DESSEIN:
APRÈS QUOI,
IL EST FACILE DE TIRER DE CET AMAS
SI EXACT ET LABORIEUX
UN TRÈS RICHE OUVRAGE»

Dès ses années de perfectionnement à Paris, entre 1709 et 1713, puis tout au court de sa vie, et en particulier, pendant les vingt années au cours desquelles il a conçu, mûri et rédigé, L’ESPRIT DES LOIS, Montesquieu n’a cessé de lire LA PLUME À LA MAIN, prenant des notes ou les dictant à ses secrétaires au fut et à mesure que sa vue faiblissait. CES EXTRAITS DE LECTURE, dont beaucoup sont perdus et dont certains demeurent inédits, se présentent sous deux aspects: ceux consacrés à une matière et réunis en cahiers; ceux ne concernant qu’un seul ouvrage et consignés sur des feuilles volantes.

Des recueils de la première catégorie, seuls la Collection Juris, Le Spicilège, les Pensées et le second volume des Geographica, sont parvenus jusqu’à nous. D’autres carnets sont connus par les allusions de Montesquieu; Les Anatomicas sont cités dans le Spicilège, les Pensées renvoient à la Bibliothèque; elles permettent une reconstruction partielle du premier volume des Geographica, des deux volumes des Juridica, des deux tomes des Politica. On a recensé plus de soixante-dix extraits de lecture concernant un ouvrage ou un auteur.

Les Pensées s’insèrent donc dans un ensemble documentaire patiemment élaboré par Montesquieu depuis son premier séjour à Paris jusqu’aux derniers moments de sa vie, sans qu’il soit, cependant, possible de les situer dans une stricte chronologie. A de rares exceptions, Les Pensées ne sont pas datées. On admet qu’elles ont été commencées au moment où Montesquieu préparait les LETTRES PERSANNES; d’autre part, l’étude des écritures de ses secrétaires permet d’établir des tranches chronologiques approximatives. Enfin, des références à des évènements et aux œuvres de Montesquieu et de ses contemporains fournissent des éléments de datation. Mais il n’est pas de bonne méthode de tenter de parvenir à une datation trop précise, car Montesquieu, a utilisé, simultanément, à la même époque, tel ou tel volume des Pensées.

Dès le début, Montesquieu précise le but qu’il poursuit en rédigeant les Pensées et s’attache à en définir le contenu. ce sont…

«QUELQUES RÉFLEXIONS
OU PENSÉES DÉTACHÉES
QUE JE N’AI PAS MISES DANS MES OUVRAGES.
CE SONT DES IDÉES QUE JE N’AI POINT APPROFONDIES
ET QUE JE GARDE POUR Y PENSER DANS L’OCCASION.
JE ME GARDERAI BIEN DE RÉPONDRE
DE TOUTES LES PENSÉES QUI SONT ICI.
JE N’AI MIS LÀ LA PLUPART
QUE JE N’AI PAS EU LE TEMPS DE LES RÉFLÉCHIR
ET J’Y PENSERAI QUAND J’EN FERAI USAGE..»

Montesquieu n’a pas eu le temps de tenir un journal intime; il ne destine pas ces notes à la publication, mais les réserve à son usage personnel, afin d’y puiser, AU MOMENT DE LA RÉDACTION DE SES OUVRAGES, DES IDÉES JETÉES SPONTANÉMENT SUR LE PAPIER AU MOMENT OÙ ELLES LUI VIENNENT À L’ESPRIT, À LA SUITE DE LECTURES, DE CONVERSATIONS, DE RÉFLEXIONS PERSONNELLES.

Le premier résultat est de nous offrir un portrait de Montesquieu, d’autant plus sincère qu’il n’a jamais envisagé de publier les Pensées. Le portrait moral qu’il trace de lui-même, révèle bien des aspects de son caractère, permet de mieux comprendre son comportement dans sa famille, auprès de ses amis, dans la vie de société. Il nous y apparaît sous les traits D’UN HOMME HEUREUX DE VIVRE:

« JE M’ÉVEILLE LE MATIN
AVEC UNE JOIE SECRÈTE;
JE VOIS LA LUMIÈRE AVEC UNE ESPÈCE
DE RAVISSEMENT.
TOUT LE RESTE DU JOUR, JE SUIS CONTENT.
JE PASSE LA NUIT SANS M’ÉVEILLER;
ET LE SOIR, QUAND JE VAIS AU LIT
UNE ESPÈCE D’ENGOURDISSEMENT
M’EMPÊCHE DE FAIRE DES RÉFLEXIONS

—————

VERSUS
MÉTHODE DE LECTURE
DE PIERROT VAGABOND

Je me reconnais parfaitement dans la méthode de lecture de Montesquieu… un homme heureux, autodidacte, qui lit et dépose ses pensées dans un blog et ramasse entre 20 et 40 ans de réflexions en vue de, comme le dit si bien Montesquieu… de me comporter en

«UN HOMME D’ESPRIT
SE PROPOSE UNE FIN,
ET PENDANT UNE VINGTAINE D’ANNÉES.
IL TIRE DE TOUTES LES LECTURES
CE QUI SERVIRA À SON DESSEIN:
APRÈS QUOI,
IL EST FACILE DE TIRER DE CET AMAS
SI EXACT ET LABORIEUX
UN TRÈS RICHE OUVRAGE»

Voilà pourquoi j’ai accordé tant d’importance à la méthode de lecture de Walter Benjamin, à celle de Duchamp, au vagabondage intellectuel sans frontières entre une bibliotheque de cegep (2 ans Victoriaville) une librairie alternative Victoriaville (4 ans à dormir sur une table entourée de livres) à mes lestures sur le rire (14 ans pour une maîtrise) à celles d’une bibliotheque à l’autre dans chaque village, à celle de 4 universités à Montréal dans le plus de champs d’investigations possibles (sociologie, phénoménologie, sémiologie, histoire de l’art, science politique, philosophie politique, psychanalise….etc…) le tout filant autour d’un fil d’or poïétique d’un blogue et d’une équipe de recherche multi-contextuelle.

Oui c’est parce que j’étais fondamentalement un homme heureux

« JE M’ÉVEILLE LE MATIN
AVEC UNE JOIE SECRÈTE;
JE VOIS LA LUMIÈRE AVEC UNE ESPÈCE
DE RAVISSEMENT.
TOUT LE RESTE DU JOUR, JE SUIS CONTENT.
JE PASSE LA NUIT SANS M’ÉVEILLER;
ET LE SOIR, QUAND JE VAIS AU LIT
UNE ESPÈCE D’ENGOURDISSEMENT
M’EMPÊCHE DE FAIRE DES RÉFLEXIONS

que la nuit je dors sur un plancher avec un cahier de notes et un stylo à côté pour écrire mes idées durant la nuit en refusant de me réveiller.

D’une vie consacrée à l’érudition, Montesquieu en a inventé LA SÉPARATION DES POUVOIRS….

D’une vie consacrée à la lecture au service de notre équipe de recherche, celle-ci inventera LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE

sur Google

www.simongauthier.com
www.reveursequitables.com
www.lepaysoeuvredart.com
www.wow-t.com

Marlene, jardinière du pays œuvre d’art
Michel, concierge du pays œuvre d’art
Pierrot, vagabond du pays œuvre d,art

LA POÏÉTIQUE ENTRE L’OEUVRE ET LA VIE CHEZ MONTESQUIEU COMME CHEZ L’ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE), LE FONDEMENT MÊME DE L’INTUITION SYNTHÉTIQUE RELIÉE AU CENTRE MÊME DU GLOSSAIRE CONSTELLAIRE QUE CONSTITUE LA MISE EN ATTRIBUTS ESSENTIELS DE L’ÉTIQUETTE ATTRACTRICE DU CADRE DYNAMIQUE DE TOUT LE CADRE THÉORIQUE…. L’ÉTIQUETTE D’INVENTION

Louis Desgraves
Montesquieu, l’œuvre et la vie
l’Esprit du temps
1994
p.16-17
extrait

En ces années qui suivirent la publication des Lettres persannes et précédèrent son périple européen, Montesquieu a TRAVERSÉ UNE GRAVE CRISE MORALE DONT LES RAISONS PROFONDES MÉRITERAIENT D’ÊTRE RECHERCHÉES. Sa vie familiale et sentimentale, son expérience professionnelle de parlementaire, ses succès littéraires laissent alors Montesquieu insatisfait (**** exactement ce qui m’est arrivé avant de vagabonder****). Dans tous ces domaines, IL CHERCHE À TÂTONS LA VOIE DANS LAQUELLE IL NE S’ENGAGERA VRAIMENT QU’AU RETOUR DE SES VOYAGES LORSQU’IL AURA CONÇU LES GRANDES LIGNES DE L’ESPRIT DES LOIS (***wow… c’est aussi le fil d’or de ma vie***)…

… J’AI AIMÉ ASSEZ MA FAMILLE
A ÉCRIT MONTESQUIEU
DANS SES PENSÉES
POUR FAIRE CE QUI ALLAIT AU BIEN
DANS LES CHOSES ESSENTIELLES
MAIS
JE ME SUIS
AFFRANCHI
DES MENUS DÉTAILS (*** aussi ma vie)

sur Google
www.simongauthier.com
www.reveursequitables.com
www.lepaysoeuvredart.com
www.wow-t.com

Marlene, jardinière de la beauté du monde
Michel, concierge de la beauté du monde
Pierrot, vagabond de la beauté du monde