IL SEMBLE MÊME, PAR INSTANTS, QUE LA SÉPARATION DES POUVOIRS SOIT, SELON MONTESQUIEU, PLUS QU’UN MOYEN DE DÉFENSE CONTRE LES ABUS ET L’ILLÉGALITÉ,; ELLE EST CONSTITUTIVE DE LA LIBERTÉ MÊME (RAYMOND ARON, PENSER LA LIBERTÉ, PENSER LA DÉMOCRATIE, P.347)

RAYMOND ARON
Penser la liberté, penser la démocratie
quarto gallimard
de la liberté politique
Montesquieu et Jean-Jacques Rousseau
p.344-350

Comme Thibaudet aimait à le répéter, la pensée française se développe par dialogues. Nous ne songeons pas seulement à ce que Barres appelait la diversité des familles spirituelles de la France: à une même époque, à l’intérieur d’une même famille, les idées françaises trouvent leur expression la plus exacte dans l’opposition de deux hommes qui présentent soit les deux nuances les plus caractéristiques des mêmes aspirations, soit les deux attitudes extrêmes, concevables à une époque, voire à travers le temps.

Parmi ces dialogues, l’un des plus intéressants, dans l’ordre politique est celui de Montesquieu et de Rousseau. L’un et l’autre vivant au même siècle et écrivant leur livre essentiel à moins de vingt ans d’intervalle, ont en commun LA HAINE DES TYRANS, c’est-à-dire des usurpateurs et des despotes, c’est-à-dire des souverains oppressifs et arbitraires. Ils sont tous deux pénétrés des idées auxquelles se ralliaient alors les philosophes; revendications de la tolérance, de la légalité, esprit d’examen appliqué aux institutions, effort pour améliorer ces institutions et les rendre plus favorables à la prospérité des nations.

Mais, par leur origine sociale, par leur existence, par leur manière de penser, par les idéaux qu’ils suggèrent, Montesquieu et Rousseau sont aussi éloignés que possible l’un de l’autre; le citoyen de Genève, plein de fierté populaire et ombrageuse, semble reprendre un idéal républicain, nourri par les souvenirs ou plutôt par des images plus ou moins fantaisistes de la cité antique et par son expérience personnelle d’une ville-État, et d’autre part, le président au parlement de Bordeaux, admirateur de la Constitution anglaise, se montre soucieux dans son propre pays, non de révolution ou même de réformes brutales, mais du maintien de corps intermédiaires dont dépendent LA MODÉRATION DES POUVOIRS ET LA LIBERTÉ MÊME.

Certes, le citoyen de Genève et le grand parlementaire ne représentent que deux types, entre autres, parmi les penseurs du XV111ème siècle. Et, sur plus d’un point, leur pensée est liés à des circonstances plus ou moins accidentelles. Même parmi les partisans de la monarchie tempérée, Montesquieu fait figure de modéré, si on le compare aux écrivains de la deuxième moitié du siècle. A mesure que celui-ci s’avance, les réformateurs de la monarchie insistait bien moins sur les corps intermédiaires que sur les Etats généraux. Mais il n’en reste pas moins que, par le privilège du génie, Montesquieu et Rousseau ont été, et restent pour nous, caractéristiques de deux manières d’aborder le problème politique, de deux manières DE CONCEVOIR LA SOLUTION.

Or, il n’est pas d’idée, à propos de laquelle l’opposition apparaisse aussi nettement que celle de la liberté: notion équivoque que les philosophes ne se lassent pas d’analyser, dont les hommes infatigablement entrechoquent les dé.finitions contradictoires, notion décisive parce que tant d’émotions et tant d’aspirations se cristallisent autour de ce mot qu’il n’est pas de tyran qui renonce à l’invoquer, fut-ce en réservant àa la nation en bloc le bénéfice d’un bien retiré à chaque individu. Mais, cette notion, chargée d’incertitudes et de passions, est aussi centrales dans toutes les théories politiques, plus centrales encore peut-être au siècle de la Révolution française.

L’homme naît libre et partout il est dans les fers. Comment ce changement s’est-il faît? je l’ignore. Qu’est-ce qui peut le rendre légitime? Je crois pouvoir résoudre cette question?” Cette interrogation commande tout le Contrat social. Et Montesquieu consacre les livres X1 et X11 dans l’Esprit des lois de son grand ouvrage à la liberté par rapport à la constitution et par rapport au citoyen.

Ces livres, sans avoir dans l’Esprit des lois la même signification que le chapitre inaugural dans le Contrat social – ce qui est exclu par le plan et la méthode de l’ouvrage- ont une extrême portée, puisqu’ils traitent longuement DE LA CONSTITUTION ANGLAISE. Ils montrent donc l’organisation des pouvoirs dans laquelle Montesquieu voit L’ACHÈVEMENT DE LA LIBERTÉ, du même coup ils permettent de préciser, par rapport à cet idéal, les caractères propres de la Constitution française et ils laissent deviner dans quel sens s’orientent les intentions réformatrices de Montesquieu.

SÉPARATION DES POUVOIRS ET SÉCURITÉ DU CITOYEN

” Dans un état, c’est=à-dire dans une société ou il y a des lois, la liberté ne peut consister qu’à pouvoir faire ce que l’on doit vouloir et à n’être point contraint de faire ce que l’on ne doit pas pouvoir”.

Une telle définition de la liberté est l’équivalent, sur le plan politique, d’une des définitions classiques, en philosophie, de la liberté. En effet, les philosophes ont toujours reconnu une antinomie dans le concept de liberté: la liberté est-elle la capacité de faire tout ce que l’on désire, d’agir selon son bon plaisir? La liberté se confond-elle avec l’indépendance totale par rapport à toutes les causes extérieures, même par rapport à notre passé et aux motifs? Ou bien, au contraire, la liberté se caractérise-t-elle par une certaine qualité.é de notre conduite, par la souveraineté aux impératifs de la raison , l’indépendance se réduisant à l’absence de contraintes et d’entraînements irrationnels? Montesquieu ADOPTE LE DEUXIÈME TERME DE CETTE ALTERNATIVE. Il écarte l’équivalence, si souvent posée, entre pouvoir du peuple et liberté du peuple. Un peuple auquel la constitution donnerait le droit de tout faire ne serait pas plus libre qu’un individu qui, sous prétexte de liberté, laisserait libre cours à ses passions. La liberté politique . EST LE DROIT DE FAIRE TOUT CE QUE LES LOIS PERMETTENT” , de même que la liberté, selon Kant est essentiellement le pouvoir DE FAIRE SON DEVOIR.

La distinction traditionnelle des régimes en monarchie, aristocratie et démocratie, et même la distinction essentielle dans L’Esprit des lois de la république, de la monarchie et du despotisme, restent donc extérieure à la question de la liberté. Ou, du moins, s’il est vrai que, par essence, le despotisme élimine la liberté, ni la république, ni la monarchie, par elles-mêmes, n’en garantissent l’existence. CAR NI L’UNE NI L’AUTRE N’IMPLIQUENT QUE LES LOIS SERONT OBSERVÉES et les citoyens assurés à la fois de toute la protection des lois et de toute l’indépendance compatible avec ces lois elles-mêmes. Enfin, on doit faire abstraction des préjugés ou de la psychologie des foules. Peu importe que les hommes aient l’impression d’être libres, soit qu’ils aient ” la facilité de déposer celui à qui ils avaient donner un pouvoir tyrannique, soit ” qu’ils aient la faculté d’élire celui à qui ils doivent obéir” , soit enfin, plus simplement, que la constitution soit conforme aux coutumes et aux inclinations populaires. Pour les peuples comme pour les individus, LA LIBERTÉ ne se reconnait pas à la conscience plus ou moins illusoire qu’en ont les individus, MAIS AU RESPECT DES LOIS, ENTRAÎNANT LE RESPECT DES PERSONNES.

De cette conception de la liberté suit L’IMPORTANCE EXCEPTIONNELLE, DANS LA THÉORIE DE MONTESQUIEU, DE LA DIVISION DES POUVOIRS; car cette division est par excellence LE REMPART DE LA LÉGALITÉ, L’OBSTACLE QUE LA PRUDENCE DES LÉGISLATEURS DOIT ÉLEVER CONTRE L’ARBITRAIRE. ” Tout homme qui a du pouvoirs porté à en abuser, il va jusqu’à ce qu’il trouve des limites. Les fleuves courent se mêler dans la mer: LES MONARCHIES VONT SE PERDRE DANS LE DESPOTISME”. Alain a repris cette idée que tous les hommes ont tendance à abuser de leur pouvoir et il a justifié, par ce danger, la résistance des citoyens. Montesquieu proposait, pour maintenir les pouvoirs dans leurs bornes, DE LES MULTIPLIER ET D’ÉTABLIR ENTRE EUX UNE SORTE D’ÉQUILIBRE. En d’autres termes, la séparation des pouvoirs ne naît pas d’un scrupule juridique, elle répond À UNE NÉCESSITÉ POLITIQUE, elle-même résultant D’UN TRAIT PERMANENT DE LA NATURE HUMAINE.

IL SEMBLE MÊME, PAR INSTANTS,
QUE LA SÉPARATION DES POUVOIRS,
SOIT, SELON MONTESQUIEU,
PLUS QU’UN MOYEN DE DÉFENSE
CONTRE LES ABUS ET L’ILLÉGALITÉ:

ELLE EST
CONSTITUTIVE
DE LA LIBERTÉ MÊME.

Une constitution qui, telle la Constitution anglaise, a pour but la liberté, doit donc avant tout établir un tel rapport entre les différents pouvoirs qu’aucun d’eux ne puisse déborder au-delà de ses frontières et que tous coopèrent ensemble à la bonne marche des services publics et à la sauvegarde DES DROITS FONDAMENTAUX DES PERSONNES ET DE L’ÉTAT.

Ainsi, par exemple, la puissance exécutive doit être en mesure d’arrêter la puissance législative, faute de quoi celle-ci pourrait se donner tout le pouvoir imaginable et anéantir toutes les autres puissances.

En revanche, la puissance législative ne doit pas être en mesure d’arrêter la puissance exécutive ( car celle-ci est par essence bornée, puisqu’elle n’a pas le droit de légiférer.) , mais elle doit avoir la faculté d’examiner de quelle manière les lois qu’elle a faites ont été exécutées. En un mot, la puissance exécutive prend part à la législation par sa seule faculté d’empêcher et non sa faculté de statuer.

MONTESQUIEU
ATTACHE AUTANT DE PRIX
À L’INDÉPENDANCE DU POUVOIR JUDICIAIRE
QU’À CELLE DES DEUX AUTRES POUVOIRS.

Bien plus, il ne s’agit pas seulement en ce cas de maintenir la liberté politique de la constitution, mais de donner AU CITOYEN LA JOUISSANCE DU BIEN LE PLUS PRÉCIEUX: LA SÛRETÉ. Celle-ci exige en effet l’autonomie du pouvoir judiciaire, la limitation des pouvoirs accordés à l’exécutif.

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Marlene, jardinière de la beauté du monde
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L’ESTHÉTIQUE DE LA RÉCEPTION POLITIQUE D’UNE ÉTIQUETTE REPOSE SUR L’HORIZON ÉVÉNEMENTIEL D’UNE QUESTION FONDAMENTALE DISSOLVANT LES FRONTIÈRES (MARGES DÉCONSTRUCTIVÉES) ENTRE LES DIFFÉRENTS ATTRIBUTS ESSENTIELS VIVANT UN MALAISE SÉMIOLOGIQUE AUTANT QUE SÉMANTIQUE, TRANSGRESSANT LA HIÉRARCHIE ENTRE LA PHILOSOPHIE DU DROIT ET LE DROIT, L’HISTOIRE DE L,ART ET LA PHILOSOPHIE DE L,ART, LA PHILOSOPHIE POLITIQUE ET LA SCIENCE POLITIQUE

Revenons sur la table ronde organisée par l’institut du patrimoine de l’UQAM (Yves Bergeron) où la question posée: «LE MOT PATRIMOINE EST–IL SEXISTE?» tentait de se réfléchir à partie des différents champs du savoir (ethnologie, sémiologie, féminisme, histoire de l’art, droit). Chaque participante avait 4 minutes pour argumenter sa réponse, plus ou moins biaisée par le binairisme de la question.

De réfléchir sur un mot et sa définition plutôt que sur une étiquette et ses attributs essentiels comporte des inconvénients majeurs, impossibles à désaporieser, surtout lorsque l’on S’ADRESSE À DE LA PERROQUETTERIE DE LA CONNAISSANCE STRATIFIÉE PAR CHAMP DE COMPÉTENCE UNIVERSITAIRE, plus sur des pointures institutionnelles que des pointures intellectuelles (qui présuppose une érudition transdisciplinaire beaucoup plus fine pointe au sens où ne pas se laisser piéger par le binairisme de la question de départ constitue déjà une marque d’indépendance intellectuelle autant que de liberté de caractère naviguant avec infiniment d’originalité  au centre même de l’inventivité du troisième degré de la pensée abstraite).

Pourtant, il y A DES EXEMPLES REMARQUABLES dans les différents champs des étiquettes de l’histoire intellectuelle  de l’humanité dont la dynamique déconstructiviste d’une marginéisation fluctuante fut foudroyante

(ex: impressionnisme pour l’histoire de l’art,…..

L’Impressionnisme
son histoire
        L’impressionnisme n’apparaît pas spontanément. Il est le fruit de nombreuses recherches ou discussions. Ce mouvement pictural naît en France dans le dernier tiers du 19ème siècle. Il se veut d’être en réaction contre la peinture académique officielle. Mais il désigne quand même moins une école, qu’une tendance qui a entraîné derrière elle toute une révolution stylistique au début du 20ème siècle.

L’origine du mot Impressionnisme

L’impressionnisme doit son nom au titre d’un tableau de Claude MONET, « Impression soleil levant ». Edmond RENOIR chargé de la réalisation du catalogue de l’exposition de Mai-Juin 1874 où figurait ce tableau, critiqua la monotonie des tableaux de MONET, et lui rétorqua « Mettez l’impression ».
Un peu plus tard, quand on lui demanda le nom de ce tableau, MONET répondit “Mettez l’impression”. Par ce titre, UN PETIT JOURNALISTE LOUIS LEROY VOULAIT MARQUER SON MÉPRIS POUR LES PEINTRES, qui lui semblaient délaisser la forme au profit de leur impression visuelle.

Qu’est ce que l’impressionnisme ?

Si l’on s’en tient à une définition historique, il est né en 1874 pour s’étreindre avec la dernière manifestation du groupe : Caillebotte, Cézanne, Degas,Gauguin, Monet, Pissarro, Renoir, Sisley en 1884. L’impressionnisme consiste à rendre purement et simplement l’impression visuelle, telle qu’elle est ressentie matériellement par l’artiste, sans se préoccuper des règles généralement admises jusqu’alors. Contrairement aux paysagistes classiques qui peignaient une nature irréelle et idéalisée, les impressionnistes s’efforceront de fixer l’éphémère, la vision passagère.

—-

big bang POUR LA COSMOLOGIE

Qui a créé le Big Bang ?
Le terme Big Bang a été utilisé pour la première fois en 1950. Au début, c’est un physicien, Fred Hoyle (wp), qui a créé ce terme pour se moquer de cette nouvelle théorie cosmologique. Ce physicien croyait, comme beaucoup d’autres scientifiques de cette époque, que l’Univers avait toujours été le même pour la science…
—–

burka de chair de Nelli Arcand pour la littérature, la personne pour la philosophie du droit….)

——

LE MALAISE D’UN MOT dans sa fonction sociale vient de la dynamique inversée de son étiquette versus la paragdigmisation de ses attributs essentiels.

En ce sens, si on suit le fil d’or de l’horizon événementiel de la question fondamentale versus le malaise de l’étiquette PATRIMOINE versus LE MALAISE ressenti par toutes les participantes du colloque, on n’aurait sans doute pas tort d’en voir l’implosion originelle dans la fameuse question des guérillas girls en 1989.

————–

WIKIPEDIA

QUI SONT LES GUERILLAS GIRLS?

C’est ainsi qu’à partir des données récoltées au Met en 1989 elles ont montré dans une de leurs plus célèbres affiches,

DANS LA SECTION DES ARTS MODERNES
MOINS DE 5% DES OEUVRES MODERNES
ÉTAIENT CRÉES PAR DES FEMMES ARTISTES
TANDIS QUE 85% DES NUS
ÉTAIENT FÉMININS

————

C’est ainsi, qu’en fonction de l’esthétique de la réception politique, l’étiquette NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE vise la participation au trésor commun de l’humanité, à l’élévation au niveau de l’intérêt général, à la paix universelle spinozienne, conçue comme une vertu positive faite de force d’âme et de générosité, dans une vision internationale qui élimine l’éventualité des conflits armés, en fait, la dignité et le droit au respect de la personne humaine institutionnalisée planétairement.

En conséquence de quoi, les attributs essentiels de l’étiquette NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE, se rhizomatise en open source (algorithmes) en fonction des quatre questions de la vie personnelle œuvre d’art

1: Quel est ton rêve?
2: Dans combien de jours?
3: Qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?
4: Comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

avec l’objectif suivant: que deux assemblées des justes élues planétairement (village par village, ville par ville) (125 femmes et 125 hommes) complémentaires parce qu’assemblées RÉFLÉCHISSENT ENSEMBLE EN MODE DU VOILE D’IGNORANCE DE JOHN RAWLS, en vue d’un horizon événementiel de la résolution aporitique d’une 5eme question fondamentale:

5: COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

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ET MICHEL LE CONCIERGE DE DIRE: « NOUS FAISONS LA DÉMONSTRATION À L’INTÉRIEUR DU NOYAU DE NOTRE ÉQUIPE DE RECHERCHE QU’IL EST POSSIBLE QUE CHAQUE PARTICIPANT SE SENTE ÉLEVÉ PAR L’ÉQUIPE.

Une vraie joie de vivre illumine chacun de nos conseils de la créativité.

Hier soir, par exemple, pendant que Michel travaillait à une auto-formation concernant l’utilisation d’une application informatique, de mon côté de bûchais avec intensité sur «l’essence du politique» de Julien Freund avec une grille analytique de lecture en troisième niveau de la pensée abstraite.

Je disais à Michel… « je ne sais pas si c’est de travailler comme un déchaîné qui me donne cette joie de vivre ou si c’est CETTE JOIE DE VIVRE QUI ME DONNE CETTE FORCE DE TRAVAILLER.

Et Michel de me répondre: » Quand dans une équipe, les participants se sentent élevés par l’équipe, mettons que t’es dans le bon chemin»

C’est peut-être cette amitié intellectuelle qui nous donne tant de plaisir à rechercher par une invention des conditions de vie raisonnable pour toutes les personnes humaines par la nano-citoyenneté-planétaire.

Chose certaine, nous faisons la démonstration à l’intérieur du noyau de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) qu’il est possible que chaque participant se sente élevé par le simple fait que LA NON-TRICHERIE NOUS SERVE À CHACUN DE RÈGLE DE JEU

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MONTESQUIEU ET LA SÉPARATION DES POUVOIRS… INTERPRÉTÉE COMME UNE DÉLÉGATION DES POUVOIRS PAR ALTHUSSER DANS SON ESSAI «L’ESPRIT DES LOIS ET LA SÉPARATION DES POUVOIRS»

Julien Freund
L’essence du politique
p.329
note de bas de page
extrait

«Il est clair que Montesquieu ne s’est jamais fait l’avocat de la séparation des pouvoirs, au sens qu’on lui attribue généralement. En lisant ces textes, on peut constater qu’il n’a employé qu’une seule fois le verbe «SÉPARER» et qu’il emploie de préférence l’expression: DISTRIBUTION DES POUVOIRS; Il demande même que les pouvoirs «RESTENT FONDUS» (l’esprit des lois, liv. X1, chap. V11)

Son principal souci est de PONDÉRER LES POUVOIRS, non de les CLOISONNER, comme si chacun devait administrer une zone définie et exclusive du public.

Montesquieu n’a jamais pensé que LE PUBLIC SE LAISSAIT DIVISER, mais il croyait que le meilleur moyen d’éviter le despotisme était DE DISTRIBUER PRATIQUEMENT LES COMPÉTENCES

CHACUN DES TROIS POUVOIRS
REPRÉSENTANT LE PUBLIC
EN ENTIER.

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L’INVENTION DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE DE L’ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) CONSTITUE UNE SINGULARITÉ DANS LE TROU NOIR DE L’INTERÉTATIQUE HOBBIEN, D’UNE TELLE PUISSANCE QU’ELLE CONSTITUERA CE BIG BANG DONT LA NANO-MODERNITÉ A BESOIN AU 21EME SIÈCLE POUR DONNER UN POUVOIR POLITIQUE AUX NANO-CITOYENS-(NES) PLANÉTAIRE PARCE QUE INFINIMENT PLUS PUISSANT RHYZOMATIQUEMENT QUE LES SOUVERAINETÉS DES ÉTATS QUE NE SONT JAMAIS ARRIVÉ À ENCADRER TOUTES LES CONSTRUCTIONS JURIDIQUES DE L’ANTIQUITÉ TARDIVE À LA POST-MODERNITÉ

Le célèbre astrophysicien britannique Stephen Hawking est décédé mercredi à Cambridge, en Angleterre, à l’âge de 76 ans.

Radio-Canada avec BBC

« Il a déjà dit que l’Univers n’en vaudrait pas la peine s’il n’abritait pas les gens que l’on aime. Il va toujours nous manquer », ont déclaré ses enfants, Lucy, Robert et Tim.

«C’était un grand scientifique et un homme extraordinaire dont les travaux et l’héritage se perpétueront pendant encore de nombreuses années.»

—Déclaration des enfants de Stephen Hawking

Son « courage et sa détermination », ainsi que « son intellect et son humour » ont inspiré quantité de gens partout dans le monde, ont-ils aussi souligné.

Parcours spectaculaire

L’astrophysicien Stephen Hawking s’adresse à une foule lors d’une conférence à Cape Town, en Afrique du Sud, le 11 mai 2008. L’astrophysicien Stephen Hawking s’adresse à une foule lors d’une conférence à Cape Town, en Afrique du Sud, le 11 mai 2008. Photo : Reuters/Mike Hutchings
Certainement l’un des plus grands génies de la physique depuis Albert Einstein, M. Hawking souffrait depuis de nombreuses années de la sclérose latérale amyotrophique (SLA), aussi appelée maladie de Lou Gehrig, et était confiné à un fauteuil roulant depuis des décennies.

Né le 8 janvier 1942 – le jour de la mort de Galilée, en 1642 –, Stephen Hawking a reçu un diagnostic de SLA en 1962. L’espérance de vie des gens atteints de cette maladie est de deux à trois ans, mais l’astrophysicien aura survécu plus de 55 ans en dépit d’une grave détérioration de sa condition physique au fil des années.

Marié et père de trois enfants

Déterminé à faire mentir les pronostics, il se mariera deux fois et aura trois enfants. Dans son fauteuil roulant, il ne pouvait communiquer qu’avec un système de synthèse vocale. Le chercheur sera d’ailleurs connu pour cette voix robotisée, artificielle, qu’il conservera en l’état pendant des années.

Il s’est éteint le 14 mars, soit le jour de la naissance d’Albert Einstein (né en 1879), à qui il a consacré sa carrière.

M. Hawking occupait la chaire Newton à l’Université de Cambridge, au Royaume-Uni, où il s’est appliqué pendant des années à retravailler les théories d’Einstein sur la cosmologie et la relativité, fasciné par l’essence de l’Univers, par son processus de formation et par la manière dont il pourrait finir.

À lire aussi : L’héritage scientifique de Stephen Hawking

Titulaire d’une chaire de recherche au Canada

L’astrophysicien était également titulaire, depuis 2008, d’une chaire de recherche distinguée au prestigieux Perimeter Institute for Theoretical Physics à Waterloo, en Ontario.

Stephen Hawking aura été probablement l’un des grands, sinon le plus grand astrophysicien de tous les temps.

«Mon objectif est simple : c’est la compréhension totale de l’Univers […] comprendre pourquoi il est comme il est, et pourquoi il existe.»

—Stephen Hawking

Stephen Hawking lors de son premier vol en apesanteur, en 2007. Stephen Hawking lors de son premier vol en apesanteur, en 2007 Photo : NASA / NO: KSC-07PD-0958
Ses travaux et découvertes

Au cours de ses 40 années de carrière, il s’est d’abord illustré dans les années 1960 par ses travaux sur…

LES TROUS NOIRS DES OBJETS CÉLESTES
DONT LA FORCE GRAVITIONNELLE EST SI FORTE
QUE NI MATIÈRE NI RAYONNEMENT
NE PEUVENT S’EN ÉCHAPPER,
EN THÉORIE.

Or, en mariant des principes de la physique quantique, de la relativité générale et de la thermodynamique, Stephen Hawking a démontré à l’aide de modèles mathématiques que

LES TROUS NOIRS
PEUVENT ÉMETTRE
DES PARTICULES ET DU RAYONNEMENT
.

Selon le raisonnement de Stephen Hawking,

LES TROUS NOIRS
NE SERAIENT DONC PAS DES OBJETS ÉTERNELS
ET POURRAIENT MÊME FINIR PAR S’ÉVAPORER
AU TERME DE MILLIARDS D’ANNÉES,
À FORCE DE RAYONNER ET D’ÉMETTRE
DES PARTICULES.

CE PRINCIPE
CONSIDÉRÉ COMME RÉVOLUTIONNAIRE
A ÉTÉ BAPTISÉ
LA RADIATION DE HAWKING.

. Ce principe, considéré comme révolutionnaire, a été baptisé la radiation de Hawking.

Au début des années 1970, ses théorèmes sur les singularités, développés avec son collègue Roger Penrose, toujours sur les trous noirs, ont déterminé les conditions qui conduisent à la formation des trous noirs ou d’une singularité gravitationnelle.

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L’UNITÉ DE L’HUMANITÉ EST LE PRÉSUPPOSÉ INDISPENSABLE DE L’INVENTION DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE POUR UN DROIT INALIÉNABLE À UNE VIE PRIVÉE (4 QUESTIONS DE LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART) NON HANDICAPÉE PAR LES EXIGENCES ÉTATIQUES AUTANT QU’INTERÉTATIQUES D’UNE VIE PUBLIQUE MANIPULÉE PAR LE NATIONALISME (RACE, LANGUE, RELIGION)

Julien Freund
L’essence du politique
p.473
extrait.
suite…

Il ne s’agit pas ici d’opposer aux fins prophétiques des partisans de la communauté internationale d’autres fins aussi prophétiques, mais moins optimistes.

Notre propos est plus modeste: examiner à la lumière des analyses précédentes la cohérence et la consistance de ces rêveries, sachant qu’elles contribuent à orienter la politique au même titre que les justifications en général.

On aurait tort de prendre prétexte de l’aspiration vers une communauté internationale pour interpréter la multiplication des conventions et des institutions internationales comme autant d’étapes qui nous conduiraient progressivement VERS CETTE COMMUNAUTÉ RÊVÉE.

Il n’est pas faux de parler d’un ordre international, concrétisé par l’ONU et dans les accords assurant par exemple la protection des prisonniers de guerre, des minorités et des droits des nationaux vivant à l’étranger; toutefois ces accords pouvant être défaits par dénonciation unilatérale ou tournés faute d’une autorité internationale capable de prendre des sanctions contre les contrevenants, il y a quelque naïvetés À PARLER D’UN PROGRÈS DU DROIT INTERNATIONAL ou d’une évolution caractéristique des esprits.

Certes, il y aura toujours des enthousiastes qui présenteront chaque nouvelle convention internationale comme un nouveau pas VERS L’AMITIÉ DU GENRE HUMAIN.

Ils oublient seulement de considérer l’autre face de la question et de collectionner avec le même zèle les ruptures et les manquements AU CODE DE LA BONNE CONDUITE INTERNATIONALE.

Force est de reconnaître que dans l’ensemble les violations et les respects s’équilibrent aujourd’hui comme autrefois.

l’homme a vécues depuis qu’il existe une histoire?

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LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE FAIT APPEL À LA NOUVELLE MULTITUDE PLANÉTAIRE PRIVÉE, C’EST-À-DIRE CELLE QUI MANGE, QUI ÉLÈVE SA FAMILLE, QUI A BESOIN DE TRAVAILLER, QUI NE VEUT PLUS SOUFFRIR DE BLESSURES DE GUERRE OU DES INJUSTICES CRÉÉES PAR LES PARADIS FISCAUX… SÉPARANT LES POUVOIRS DU NANO-CITOYEN-PLANÉTAIRE PRIVÉ DE CEUX DU CITOYEN PUBLIC QUE L’ON APPELLE PEUPLE PAR SES ATTRIBUTS NATIONALISTES DE LANGUE, DE RACE ET DE RELIGION.

Julien Freund
L’essence du politique
p.472-473
suite
extrait

Cette aspiration s’exprime de diverses manières. Les juristes, conscients de la précarité du droit international, espèrent par là donner à ce droit le caractère obligatoire qui lui fait défaut et en même temps établir LE RÈGNE DE LA LOI ENTRE LES NATIONS.

Ils préconisent en ce sens une limitation toujours plus accentuée des souverainetés, afin de surmonter les ANTAGONISTES INTERÉTATIQUES, quand ils ne devancent théoriquement la suppression de toute souveraineté en la niant purement et simplement, sous prétexte qu’elle serait un concept métaphysique.

Les moralistes du politique sont convaincus que l’on arrivera par cette voie non seulement à mettre fin aux guerres, mais encore à supprimer toute violence et toute contrainte.

Enfin LES HOMMES DE BONNE VOLONTÉ y voient la fin de toutes les horreurs absurdes et un terme DES ACTIVITÉS AVENTUREUSES DE L’HUMANITÉ.

Tous, enfin, imaginent CETTE FUTURE COMMUNAUTÉ INTERNATIONALE, comme une société GLOBALE ET DÉMOCRATIQUE, offrant toutes les chances d’épanouissement aux valeurs civilisatrices DE LA SCIENCE, DE LA MORALE, DU DROIT ET INSTITUANT DÉFINITIVEMENT le respect de la personne humaine****

La question qui se pose est donc la suivante: la politique d’alliance et par conséquent de puissance est-elle un système périmé ou condamné à poérir?

ou encore: existe-t-il des chances de bouleverser les relations internationales PAR LA CRÉATION D’UN SYSTÈME ENTIÈREMENT NOUVEAU ET TOTALEMENT DIFFÉRENT des expériences que l’homme a vécues depuis qu’il existe une histoire?

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LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE OU UNE VOIX POUR LES NANO-CITOYENS (NES) DE LA PLANÈTE ENCHAÎNÉS DANS LA LOGIQUE DE GUERRE INTERATIQUE HOBBIEN RENVERSANT AINSI LA HIÉRARCHIE DE LA SÉPARATION DES POUVOIRS POLITIQUES ENTRE LES NANO-CITOYENS(ES) PLANÉTAIRES ET LES ÉTATS.

Julien Freund
L’essence du politique
p.472
extrait
suite

Le fait est que, si les hommes demeurent attachés à leur patrie et donc à la multiplicité des souverainetés, ils trouvent déplorable le système d’alliances et la politique de puissance qu’ils accusent d’être à l’origine des guerres. D’où la question qu’on ne saurait résoudre unilatéralement: L’alliance est-elle la cause des guerres ou un moyen de les prévenir?

Chacun des termes de l’alternative est contestable et se laisse justifier par d’excellentes raisons. En outre, AVEC LE DÉVELOPPEMENT RÉCENT ET COMBIEN DANGEREUX DE LA STRATÉGIE THERMONUCLÉAIRE, l’Etat apparaît de moins en moins COMME UN HÂVRE DE SÉCURITÉ.

D’où l’aspiration assez confuse VERS UNE COMMUNAUTÉ INTERNATIONALE qui règlerait par le droit et par les juges les conflits que depuis toujours on a réglé par la force.

Ce que l’on voudrait, c’est une espèce de contrat qui mettrait fin à l’état de nature caractéristique du domaine international, à la manière dont le pacte social de Hobbes est censé avoir mis un terme à l’état de nature entre les individus singuliers PAR LA CRÉATION DELA SOCIÉTÉ CIVILE DE L’ÉTAT.

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Marlene, jardinière de la beauté du monde
Michel, concierge de la beauté du monde
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TANT QU’IL Y AURA UNE PLURALITÉ D’ÉTATS SOUVERAINS, LE MONDE INTERNATIONAL CONTINUERA À RESSEMBLER À L’ÉTAT DE NATURE DE hOBBES… (JULIEN FREUND, L’ESSENCE DU POLITIQUE)….. LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE AURAIT ÉTÉ UNE INVENTIONIMPOSSIBLE À CONCEVOIR POUR APPORTER UNE SOLUTION À CETTE PROBLÉMATIQUE SANS L’ÉMERGENCE DES MILLIARDS DE TÉLÉPHONES INTELLIGENTS AU 21EME SIÈCLE (AULD, WOODARD, ROCHETTE)

Julien Freund
l’essence du politique
p.471-472
extrait

107- L’alliance au sein des relations internationales.

Tant qu’il existera une pluralité d’États souverains, la politique d’alliance subsistera et les relations internationales seront soumises À LA LOI DE LA PUISSANCE ET NON DU DROIT. Il n’y a pas d’espoir qu’une quelconque théorie juridique puisse modifier cette situation, d’abord parce qu’il n’appartient pas au droit de se substituer à la politique, ensuite parce que seule la volonté politique peut décider de se soumettre aux normes juridiques et à une légalité internationale.

Le droit ne possède pas les moyens indispensables à un tel bouleversement. Il ne sert de rien de prendre modèle sur le droit interne des collectivités politiques, tout simplement parce que la constitution des états modernes avec leur régime légal est L’OEUVRE DE LA VOLONTÉ POLITIQUE ET NON D’UNE NORME JURIDIQUE.

Le pluralisme politique implique que chaque unité politique pose sa propre norme. Bien qu’il arrive parfois que ces diverses normes concurrentes semblent s’harmoniser et qu’alors un immense désir de paix durable soulève les humains, le plus souvent et même en général, ces normes sont contradictoires et se combattent et l’on constate que l’espoir n’était qu’une illusion d’époque; IL N’EXISTE PAS D’INSTANCE POLITIQUE SUPÉRIEURE CAPABLE DE RÉDUIRE CES CONTRADICTIONS.

Ainsi, la politique d’alliance signifie primauté et permanence de la puissance. Conflits et différends trouvent leur solution DANS LES RAPPORTS DE FORCES, par la lutte ou l’équilibre, souvent dictée par la peur. L’alliance exclut de ce fait une politique fondée sur l’arbitrage d’un tiers, d’un neutre ou d’un tribunal. Pourquoi? La décision du neutre risquerait à la longue de modifier le rapport de forces à son profit ou du moins il pourrait vouloir être partie dans ce rapport, car la neutralité est elle aussi une attitude politique.

D’un autre côté, la politique répugne à se laisser déposséder de ses prérogatives au profit d’un tribunal qui tôt ou tard finirait par devenir une instance plus politique que judiciaire.

Or le problème politique n’est pas de régler les affaires à la manière dont on conduit un procès, mais de prendre des décisions opportunes et efficaces.

TANT QU’IL Y AURA UNE PLURALITÉ D’ÉTATS SOUVERAINS, LE MONDE INTERNATIONAL CONTINUERA À RESSEMBLER À L’ÉTAT DE NATURE DE HOBBES, c’est à dire que, si cette notion est impropre à rendre compte de l’origine du politique, elle décrit parfaitement la situation des relations internationales.

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PAR SON 4EME DOCUMENTAIRE «PHILOSOPHIE, LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE» L’ARCHÉTYPE DE MICHEL LE CONCIERGE ALLUME LE FEU DE LA CONDITION HUMAINE AUTOUR DE LAQUELLE NES NANO-CITOYENS DE LA PLANÈTE ENTIÈRE POURRONT SE RASSEMBLER POUR RÉFLÉCHIR PAR LES QUATRE QUESTIONS DE LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART AUX ACTIONS POSÉES POUR PRENDRE SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE.

A notre conseil d’administration de la créativité de ce matin, Michel me disait: JE ME TROUVE CHANCEUX D’AVOIR UNE CONFIGURATION QUI PERMET L’AMITIÉ». Comme il a raison. Et c’est moi qui en bénéficie.

Parce que comme vagabond chercheur, dont on entend la voix sans jamais voir le visage dans son documentaire «PHILOSOPHIE, LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE», je bénéficie de son immense respect de ma configuration.

Je recherche l’anonymat comme Spinoza recherchait la NEUTRALITÉ CRITIQUE. La liberté du chercheur provenant du hors temps, hors réalité, hors servitude, navigant hors du gouvernant-gouverné, à la marge de l’ami-ennemi, transcendant par le vagabondage de la connaissance universitaire le public-privé.

Je suis à ma place en arrière de la camera… Mais Michel, par l’Intégrité de l’archétype hologtammique du concierge qui aime sa femme est tellement à sa place EN AVANT DE LA CAMERA.

Robert, un employé de l’UQAM particulièrement brillant, me faisait remarquer après avoir écouté www.lepaysoeuvredart.com, à quel point la formule était didactique. Le philosophe en arrière, la condition humaine en avant… Michel le concierge, c’est notre condition humaine à chacun de nous.

Oui
et dire que c’est Marlene qui par sa superbe convivialité au quotidien qui donne à cette équipe
de recherche (Auld, Woodard, Rochette) toute son universalité.

NOUS VIVONS TOUS LES TROIS LA BEAUTÉ DU MONDE AU QUOTIDIEN…. LA JOIE DE VIVRE QUE NOUS SOUHAITONS AUX AUTRES PAR LES QUATRE QUESTIONS DE LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART.
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