LE 15 DE MAI 2019, IL Y AURA 45 ANS QUE PIERROT DAVID ET PIERROT ROCHETTE AURONT FONDÉ LA BOÎTE À CHANSONS DES DEUX PIERROTS DU VIEUX MONTRÉAL… VOICI POURQUOI JE NE SERAI PAS PRÉSENT À LA FÊTE DES CHANSONNIERS….

Si je n’ai jamais assisté au récit philosophique que le grand conteur international Simon Gauthier fait de ma vie avec «le vagabond céleste» à travers la francophonie depuis 7 ans déjà, ce n’est pas parce que je n’aime pas Simon… au contraire… mais c’est par respect pour l’anonymat et la quiétude que demande une recherche en pensées abstraites pointues (théoritique) à laquelle notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) se consacre depuis maintenant 12 ans.

Si je n’ai pas assisté et n’assisterai pas aux spectacles du brillantissime Fred Pellerin où Fred raconte en rappel et mon histoire et chante ma chanson du camionneur, ce n’est pas parce que je n’aime pas Fred… au contraire… mais c’est pour l’anonymat et la quiétude que demande une recherche en pensées abstraites pointues (théoritique) à laquelle notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) se consacre depuis maintenant 12 ans.

En conséquence de quoi

Si je n’assisterai pas à aucune fête des deux Pierrots d’ici ma mort, ce n’est pas parce que je n’aime pas mes camarades de carrière… au contraire… mais c’est pour l’anonymat et la quiétude que demande une recherche en pensées abstraites pointues (théoritique) à laquelle notre équipe de recherche se consacre depuis maintenant 12 ans.

BON 45 ANS
À TOUTE L’ÉQUIPE
DES DEUX PIERROTS

Pierrot vagabond

LA DRAMATURGIE DES TROIS ONTI-K-ATIONS SE PRÉCISE…. LA IERE CELLE DE LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART (MARLENE LA JARDINIÈRE, MICHEL LE CONCIERGE, PIERROT VAGABOND), LA SECONDE CELLE DE LA VILLE LA TUQUE OEUVRE D’ART PAR LA MUSIQUE CLASSIQUE DU MOULIN À PAPIER ET LA TROISIÈME CELLE DE L’HUMANITÉ EN MODE DE NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE… LES TROIS STRATES REPOSANT SUR LES TROIS MÊMES MÉTAMORPHOSES: (LA NON-TRICHERIE, LE CHAMP CONSTELLAIRE ET LE RÊVE BIG BANG)

Le dessin 24 du dessin-cahier à la Paul Valery m’est venu comme une révélation. J’étais en train d’écouter la pluie et l’orage dans la fenêtre sur you tube, emmitouflé dans mon foulard de l’UQAM et mes grosses mitaines d’hiver… Puis soudain…. le fil d’or de la dramaturgie qui enfile les connecteurs des trois chapitres de notre doctorat (Auld, Woodard, Rochette).

Cette dramaturgie que je cherche depuis tant d’années n’a plus maintenant qu’à rassembler les morceaux de courtepointe qui traînent dans les 6000 pages de ce blogue, bien archivées entre une base de données numéroté selon la temporalité et sa forme glossairique avec les mêmes numéros, mais entrelacés par thème…

J’y suis… J’y suis vraiment… le passage de la vie personnelle œuvre d’art (Ier chapitre, la non-tricherie) ) à la ville de La Tuque ou pays oeuvre d’art (wow-t=2.7k?» mène incontournablement et dramaturgiquement à la nano-citoyenneté-planétaire, donc à l’institut d’intelligence artificielle de Montréal et au prix Nobel de la paix parce que, selon notre argumentaire…

DANS LES TROIS CHAPITRES
CE SONT LES MÊMES TEXTURES DE L’ONTI-K-ATION

A) LA NON-TRICHERIE
B) LE CHAMP CONSTELLAIRE
C) LE RÊVE BIG-BANG.

à suivre…

Pierrot vagabond

LE FIL D’OR DU DOCTORAT DE L’ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) DONT LE TITRE EST : DE LA NON-TRICHERIE À «WOW-T=2.7K?» : LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE…. CONSISTERA À DÉMONTRER QUE L’ONTI..-K..TION DE LA PERSONNE HUMAINE (NON-TRICHERIE, CHAMP CONSTELLAIRE, RÊVE BIG-BANG) POURRAIT SUIVRE CINSTRUCTIVEMENT ET ABDUCTIVEMENT LES MÊMES PHASES DANS CE QUI CONSTITUE LE TROISIÈME CHAPITRE, SOIT L’ONTI..K..TION DE L’HUMANITÉ (NON-TRICHERIE INSTITUTIONNELLE, CHAMP CONSTELLAIRE INSTITUTIONNEL ET RÊVE BIG BANG INSTITUTIONNEL)

J’y arrive vraiment…

question de doctorat:

QUELLE INSTITUTION FAUT-IL INVENTER POUR QUE SUR TERRE PLUS AUCUN ENFANT NE MEURE DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE?

réponse de doctorat

LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE

titre de doctorat:

DE LA NON-TRICHERIE À «WOW-T=2.7K?» : LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE

les trois chapitres du doctorat
1: la non-tricherie
2: «wow-t=2.7k?»
3: la nano-citoyenneté-planétaire.

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introduction du ier chapitre (la non-tricherie)

CHAPITRE 1: LA NON-TRICHERIE
DE L’ONTI-K-UE À L’ONTI-K-ATION DE TOUTE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART

Dans un premier temps, par TROIS RÉCITS TIRÉS DE L’ ONTI-K-UE EXISTENTIEL, ce ier chapitre réfléchira sur la condition humaine et cela discursivement à partir des propos contextualisés de trois archétypes hologrammiques : Michel Concierge (la tricherie), Marlene la Jardinière (le jardin constellaire) et Pierrot Vagabond (le rêve big-bang), avec comme fondement axiomatique le fait que, pour ces trois archétypes, la décision de ne pas ou de ne plus tricher POUR SE RENDRE DISPONIBLE À AUTRE CHOSE, A, SELON LES TROIS, RADICALEMENT CHANGÉ LEUR VIE,

Dans un deuxième temps, nous avancerons l’hypothèse constructiviste SUIVANTE : Dans les trois cas, la non-tricherie semble s’accompagner de l’émergence d’un CHAMP CONSTELLAIRE dont nous tenterons d’articuler les mécanismes texturaux en les contrastant avec ceux de la didactique spéculative du 18eme siècle (Kant, Scheller, Goethe, Hegel) tout comme avec l’existentialisme continental du 20ième siècle (Jaspers, Mounier, Heidegger et Sartre), creusant ainsi la différence entre LA NOTION DE PROJET sous-entendant les deux démarches antérieures et celle DE RÊVE BIG-BANG AU 21EME SIÈCLE de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette).

Dans un troisième temps, PAR LA THÉORISATION DU PASSAGE DE L’ONTI-K-UE À L’ONTI-K-ATION PUIS DE L’ONTI-K-ATION À LA VIE PERSONNELLE ŒUVRE D’ART, Nous conclurons cette avancée théoritique (non-tricherie, champ constellaire, rêve big-bang) par la mise en axiome de l’énoncé suivant : toute décision de ne pas ou de ne plus tricher constitue une initiation à la vie personnelle œuvre d’art par un champ constellaire déclencheur d’un rêve big bang ouvrant la porte à l’invention nano-planétaire d’un algorithme social : «WOW-T=2.7K?». pouvant se viraliser par une application disponible sur des milliards de téléphones intelligents.

Ceci dit, laissons d’abord la parole à notre ier archétype hologrammique : Michel le concierge :

à suivre…
Pierrot vagabond

QU’EST-CE QUI ME REND SI FÉBRILE COMME LE ROSEAU DE PASCAL?… C’EST D EM’APERCEVOIR À 70 ANS, QUE J’AI DU BRÛLER BEAUCOUP D’ARTÉFACTS-ENLISEURS SUR MA ROUTE D’HOMME LIBRE POUR POUVOIR, COMME UN FUNAMBULE AU-DESSUS DE LA CHÛTE NIAGARA, MARCHER LE FIL D’OR DE L’ERRANCE POÉTIQUE ENTRE LES DEUX BERGES DE L’IMPOSSIBLE… CELLE DE LA NAISSANCE ET CELLE DE LA MORT…

Je vis mes nuits et jour avec mon petit cahier-dessins à la Paul Valery… Je sens bien que pour avoir accès aux qualis qui se cachent quelque part dans les lieux de mon enfance, je dois creuses la tragédie de la facticité dans laquelle les capitalistes protestants autant que l’ultra-montisme catholique enlisaient hommes et femmes d’ailleurs pour garder dans une abondance relative captive une masse de travailleurs au moulin à papier.

Je me rappelle, un jour. J’étais étudiant en philosophie à l’Université de Montréal, j’arrivais du Japon avec les Contretemps… et de dire à mon père: Nous autres, Dieu, en philosophie, on met ça entre parenthèse parce que ça nuit à nos recherches…

Mon père de me faire une de ses rares colères qui me surprit d’ailleurs: «Je ne t’ai pas envoyé à l’université pour pelleter des nuages… si tu renies le christ sur la terre… il te reniera dans les cieux…»

Je fus sidéré… Je ne dis mot…. mais je sentais bien que le chemin de la liberté ne passait pas par là… Ni d’ailleurs par le département de philosophie de l’université de Montréal où l’enseignement était des plus pitoyables… Plusieurs professeurs européens, frustrés de ne pas avoir de travail dans leur pays, plus ou moins vocationnels devant le manque de culture d’une pensée abstraite bénéficiant d’une tradition d’un jeune pays en émergence…

On n’a qu’à penser que notre premier philosophe québécois répertorié fut en fait le felquiste Vallières et le premier chapitre de son livre écrit en prison à New York : NÈGRES BLANCS D’AMERIQUE.

Des croyances prises pour des vérités, des conventions prises pour des dogmes, des opinions prises pour des argumentaires… comme tout rendait fragile autant que fébrile un hobo de je ne savais quoi encore….

Comme ce fut long … comme ce fut long cette route de l’homme libre… cette route de l’errance poétique qui ne doit rien à personne et qui se signe anonyme pour mieux dessiner la beauté du monde en algorithme social….

Plus j’avance, plus je m’en veux de ne pas garder silence… Bien sur je garde des traces dans ce blogue en vue d’alimenter le fondement théoritique du doctorat par la poïétique… Mais je me fie peut-être un peu trop au bric-à-brac du tout pour me protéger de la lecture de paires d’yeux indélicats…

Une chance qu’il y a LES JARDINS CONSTELLAIRES DU RÊVE BIG BANG DE MARLENE, LE PARC CONSTELLAIRE DU RÊVE BIG-BANG DE MICHEL ET LE PETIT LAC ST-LOUIS CONSTELLAIRE DU RÊVE BIG BANG DE PIERROT pour m’apaiser…

Giono avait bien compris dans l’homme qui plantait des arbres, la beauté énigmatique de la mémoire des lieux… là où marchent les non-tricheurs, là ou dansent les qualis du multi-vers sous le feu éblouissant de la beauté du monde.

Pierrot vagabond

LE VAGABOND CÉLESTE MARCHE L’UQAM COMME GRAND-PÈRE LUCIEN, MON ONCLE PAULO ET MON PÈRE ROGER MARCHAIENT LA VILLE DE LA TUQUE…. PAR LES LOIS DE LA MUSIQUE CLASSIQUE TELLES QUE LES TRAVAILLEURS DU MOULIN À PAPIER AVAIENT APPRIS À JOUER EN HARMONIE POUR POVOIR CÉLÉBRER LA BEAUTÉ DU MONDE PAR LEURS INSTRUMENTS

N’IMPORTE QUI
QUI NE TRICHE PAS
FAIT DES LIEUX QU’IL MARCHE
LE RÉCEPTACLE
DES QUALIS
DE LA BEAUTÉ DU MONDE

ET CELA
DE FAÇON UNIVERSELLE.

Puisque j’ai arrêté de lire et que je me consacre à mes dessins qui ne parlent que des lieux de mon enfance où , selon mon hypothèse, se cachent les qualis du multivers, je me rends compte que cet été, je vivrai à La Tuque, y prendrai une chambre et marcherai le quadrilataire que marchaient chaque jour Mon grand-père Lucien, mon oncle Paulo, et mon père Roger…

Non seulement ils étaient unis par la musique classique (qui oblige une ville à enseigner la beauté du monde par l’harmonie musicale), mais ils apprenaient que lorsque tu joues en gagne de la musique classique, la moindre tricherie devient une fausse note intolérable à l’oreille.

Alors, dimanche le 24 mars 2019, après notre conseil d’administration de la créativité du matin avec Marlene et Michel, je suis allé à l’UQAM pour écrire 3 blogues, puis faire mes dessins et enfin écouter un autre film de John Wayne.

John Wayne était notre code de conduite duquel trônait notre hégémonie mâle sur la mise en épique d’un quotidien difficile. Maurice Richard, Roger Rochette Gaston Lebel et John Wayne, c’était la même chose… Tout ce que les curés pouvaient faire, c’est de contrôler par leurs femmes au confessionnel le côté trop sauvage d’une liberté issue des coureurs des bois. Ce qui donnait un féminisme chrétien, un matriarcat en colère dirigé par des curés tricheurs. Mon grand-père Lucien qui avait été bedeau d’une paroisse m’avait dit que sur trois prêtres du presbytère, l’un était un pédéraste, l’autre un alcoolique et le troisième lui semblait avoir de l’allure.

Nous les petits gars, pour grandir, il fallait se sauver et de nos mères, et de nos curés, et regarder bien droit du côté des hobos pour faire exploser un horizon tentaculaire.

Il y avait 2 voies ferrées aux deux extrémités de la ville de La Tuque. La petite d’en haut qui menait au moulin à papier et qui séparait les capitalistes protestants qui ne parlaient qu’anglais et à l’autre extrémité, la grande voie ferrée et les hobos qui nous enseignaient la liberté en sautant des dessus des wagons de train…

Entre les deux, nous les enfants-garçons , on jouait à Zorro et à John Wayne. On apprenait les codes sociaux qui aujourd’hui ne pourraient même plus être enseignés dans les écoles à cause du féminisme radical qui, de bon droit je crois, donne enfin aux femmes du 21eme siècle un droit et un devoir de respect et d’équité.

Mais quand j’étais petit, si on jouait à la cachette avec les filles, souvent, on les laissait dans leurs cachettes sans essayer de les trouver parce qu’entre temps nous les petits gars on avait changé de jeux…

Notre rue Gouin, c’était le fondement même de la texture dysfonctionnelle d’une liberté avachie… De notre maison des Rochettes, on pouvait voir les hommes à 4h. p.m. descendre un à un la rue Tessier (celle de Felix Leclerc) avec leur boîte à lunch pendant que sur les galeries leurs femmes les attendait… Ils arrivaient… allaient dans leur atelier… 2 bières….

Mon père était pour l’époque un homme à peu près libre… Il ne travaillait pas au moulin, mais dans un magasin de linge et le soir à l’h¸otel, 4 soirs par semaine, il jouait de la musique… Comme il ne buvait que du lait, jamais de boisson et qu’il refusait de tricher en levant sa trompette dans les airs et en fermant les yeux, nous pouvions comparer le degré de liberté dont nous les enfants jouissions dans la maison avec celle des enfants de nos voisins.

DERRIÈRE CHAQUE PORTE
IL Y A UN DRAME…

C’est de mon enfance, je crois, que je tiens cette peur viscéral du matriarcat chrétien dirigé par des curés dans des confessionnaux….

A partir du dessin 17, faits hier après-midi… on voit le monde JOHN WAYNE» des hommes de La Tuque prendre espace… ex: P,17 une croix dans un cercle… Mon grand-père Lucien vide le salon, sort les meubles dehors, pour faire de la musique au jour de l’an… la boisson fait que ses fils et des amis se battent à coup de poingt… mais le lendemain matin, tous sans exception viennent recevoir la bénédiction familiale de Lucien Rochette (Le père de Lucien étant mort jeune en tombant d’une couverture pelletant de la neige… il est mort d’ailleurs en pleine tempête de neige… ordonnant à sa femme de jouer du petit accordéon à pitons pour faire danser les enfants en pieds de bas, pour pas qu’ils entendent le soir de Noel, les cris d’un agonisant.

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dessin page 18…

Le petit lac St-Louis en bas de la rue Gouin trône en gros… Le soir, les couples le marchent… Rachel Lebel et Pierrette Lebel y marchent main dans la main avec leur chum respectif… et soudain un soir… les deux sœurs changent leur chum.. qu’elles ont finalement marié.

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dessin p.19

Mon père dans un cercle, Monsieur Founier en arrière de chez nous qui construit sa maison à côté de la vieille cabane qu’il habite et lave et entretiens son auto… On ne voit jamais sa femme…

Et j’écris sur le dessin?

Où est ma mère?
Où est ma mère?
où est la mère de mon père?
Où sont les femmes de la ville?

Sur ma rue, les femmes élevaient les enfants comme si elles avaient été dans un terrain de camping…

Qui est ma mère?

J’ai eu trois mères je crois

a) une mère avant la télévision
b) une mère après la télévision
c) une mère avec l’arrivée d’Internet.

Mon père ne vivait que dans la beauté des qualis… ma mère … je ne l’ai jamais vraiment vu vivre une errance poétique… Pourquoi? Ma mère m’a déjà dit quelle avait été une très bonne mère de famille mais une très mauvaise épouse… Pourquoi?

Les qualis de mon enfance étaient-ils accessibles aux femmes de la ville de La tuque? Je marcherai la ville de La Tuque cet été en dessinant mes cahiers à la Paul Valery à partir de ces questions.

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dessin 20

Je suis petit… le ier de toute la famille des Rochette… le dimanche soir, ma mère me laisse écouter la t.v. jusqu’à minuit.. parce qu’elle attend que mon père rentre de l’hôtel où il joue de la musique et qu’il finira vers 3 heures du matin… Je découvre Henri Guillemin et ses conférences et surtout le ciné-club…

(www.reveursequitables.com/cahier de presse/ monsieur 2.7k/ un m d’un récit philosophique téléchargeable gratuitement sur internet)

Celle que j’appelle ma tante Rose est en larme… son mari prétextant s’acheter des cigarettes s’est enfui… on ne le reverra jamais… c’est mon frère Claude qui travaillant à l’impôt fédéral retrouvera par hasard…beaucoup plus tard… sa trace dans une autre province du Canada où l’homme a refait sa vie..

J’ai dessiné notre maison et y ai mis le mot musique… En effet, par mon père et sa trompette… notre maison ne fut que musique… au point où quelques années plus tard, il réunit le dimanche matin ses 5 ou 6 enfants et nous fit faire un chœur à 6 voix différentes. C’est ainsi que non seulement nous chantâmes devant l’appareil téléphonique ouvert pour le maire Filion, mais que, grâce à cet enseignement, je me retrouvai, l’année de l’ouverture de la Place des arts, sur scène dans une imitation de la famille Trapp avec l’harmonie de La Tuque.

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dessin 21

OÙ SONT LES QUALIS UNIVERSAUX?

J’ai dessiné des institutions, celles des protestants, celles des catholiques…. avec une croix sur le carré de l’hôpital… LES QUALIS UNIVERSAUX NE SE CACHENT PAS DANS AUCUNE INSTITUTION… POURQUOI?

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dessin 22

titre: les propriétaires du moulin à papier

absents…absents…absents…. la liberté… la vraie liberté… qui fut vraiment libre à La Tuque?… j’ai dessiné un petit carré avec un point d’interrogation à l’intérieur… et je me rends compte e écrivant ce blogue que seuls LES HOBBOS SUR LES TRAINS POUVAIENT FIÈREMENT REVENDIQUER D’ÊTRE UN POINT D’INTERROGATION À LA HAUTEUR DE LEUR CODITION HUMAINNE AFFRANCHIE… mais de quoi?

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dessin 23… la musique du moulin, la fanfare…

et j’écris… si tu veux vraiment avoir accès aux qualis du multivers, tu dois d’abord avoir accès AUX QUALIS DE TA NON-TRICHERIE. La ville de La Tuque, si je marche les pas de mon père Roger cet été quand il transportait sa trompette comme moi je transportais ma guitare, je découvrerai peut être la mémoire des lieux, comme les jardins de Marlene où le parc qu’on a donné à Michel en l’appelant de son nom en contient aussi…

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les dessins 24, 25, 26 ont été faits pendant le conseil d’administration de la créativité de ce lundi matin… Je dis à Michel: Je marche l’UQAM comme mon père a marché la ville de La Tuque, comme Félix Leclerc signait ses contrats d’une poignée de main uniquement, comme Maurice Richard comptait des buts, comme John Wayne marchait le far west, comme Zorro marchait la nuit…

 

En fait… nous avons fini notre conseil d’administration de la créativité de ce matin sur cette phrase écrite à la page 26 de mon cahier à la Paul Valery

 

N’IMPORTE QUI, QUI NE TRICHE PAS, FAIT DES LIEUX QU’IL MARCHE, DES ARTÉFACTS DE LA BEAUTÉ DU MONDE, TEXTURÉS DE QUALIS UNIVERSAUX.

à suivre..

Pierrot vagabond

 

VOICI UN EXEMPLE D’UN DIALOGUE D’UN DES FILMS DE JOHN WAYNE…. QUI FAIT QUE POUR MON GRAND-PÈRE LUCIEN, IL ÉTAIT POSSIBLE QUE SES FILS SE BATTENT À COUP DE POINGTS DEHORS LA NUIT DU JOUR DE L’AN ET QUE TOUS SE FAISAIENT UN DEVOIR LE LENTEMAIN MATIN, AMOCHÉS ET YEUX AU BEURRE NOIR, DE S’AGENOUILLER DEVANT LE GRAND PÈRE PATERNEL POUR RECEVOIR LA BÉNÉDICTION DU JOUR DE L’AN… JOHN WAYNE, C’ÉTAIT LA PHILOSOPHIE D’EN BAS POUR GENS NON ÉDUQUÉS… LA SAGESSE POPULAIRE EN PROVERBES, MORALES ET APHORISMES AU TRAVERS DES COUPS DE COLÈRE RÉGIS PAR DES CODES D’HONNEUR.

La fille de John Wayne, 18 ans peut-être
qui arrive d’un pensionnat privé
en âge d’être courtisée
et de se marier
levée très tôt…

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WAYNE
que fais-tu dehors?

FILLE
Je voudrais comprendre quelque chose

WAYNE
oui? quoi?

FILLE
Maman
Pourquoi maman et toi avez-vous cesser de vivre ensemble?
pourquoi vous êtes-vous séparés?
Tu ne me réponds pas?

WAYNE
non

FILLE
ça me concerne , je crois

WAYNE,
je ne crois pas, non

FILLE
Il y a une autre femme?
c’est pour ça en général.

WAYNE
à ton âge, on généralise tout.

FILLE
C’est madame Warren?

WAYNE
Becky, je ne voudrais pas fixer des règles, dès ton retour à la maison… mais je ne veux pas parler de d’ça… J’ai connu Madame Warren la semaine dernière, Elle travaille ici et fait ce travail très bien. J’espère que tu auras la courtoisie… de ne pas te mêler des affaires des autres… celles de ta mère et des miennes…

FILLE
bien tiré Papa (Wayne a tué un oiseau)
Je comprends ce que tu ressens
Maman est souvent si pétulante|

WAYNE
pétulante?
Tu as appris de jolis mots dans l’est , Becky.
Ils auraient dû t’enseigner ce qu’ils veulent dire…

Tu n’avais que six mois…
quand ta mère est restée seule avec toi dans une cabane sous 3 mètres de neige… pendant que je déplaçais le troupeau 500 kilomètres au sud pour tenter de le sauver. J’en ai sauvé environ la moitié… Tu avais un peu plus d’un an à l’époque des attaques comanches… On a repoussé 500 indiens des plaines pendant 9 jours…

Pétulante , Becky?

Tu devrais rentrer à la maison. Dis à Ching de venir chercher ces oiseaux.
Becky.. viens ici… J’ai quelque chose à te dire… Le moment n’est pas plus mal choisi qu’un autre… Tous les garçons du coin vont te courir après… et te demander ta main… D’abord parce que tu es une jolie fille… mais aussi parce que je possède une grande partie du pays… Ils s’imagineront que tu vas en hériter… MAIS C’EST FAUX… J’en lèguerai la plus grande partie à LA NATION POUR EN FAIRE UN PARC… où aucun bûcheron ne viendra abattre des arbres pour construire des maisons… où personne ne viendra tuer des castors pour en faire des chapeaux… ni des buffles pour en faire des couvertures… Ce que je vais te léguer… c’est un ranch de 500 têtes en amont de Green river… ça te semble peut-être peu… mais c’est plus qu’on avait ta mère et moi Certains diront que je fais tout ça… pour avoir un parc qui porte mon nom quand je serai là-haut…. ou que tu m’as déçu et que je ne voulais pas te donner tout cet argent… MAIS LA VRAIE RAISON, BECKY, C’EST QUE JE T’AIME. et je veux que toi et ton futur époux ayez ce que j’ai eu.

CAR TOUT L’OR DU TRÉSOR DES ÉTATS-UNIS
ET TOUTE LA MUSIQUE DU PARADIS
NE VALENT PAS CE QUI SE CRÉE
ENTRE UN HOMME ET UNE FEMME.
QUI TRAVERSENT TOUT ÇA ENSEMBLE

Je ne peux pas t’expliquer mieux que ça.

LA FILLE
d’accord Papa

WAYNE
Becky…
quand tu auras mon êge, tu me remercieras…

BECKY
Papa je suis grande maintenant
Je ne m’inquiétais pas pour moi
Je pensais seulement à maman et toi

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COMMENTAIRE

Gaston Lebel, qui habitait en face de notre maison des Rochette sur la rue Gouin, en face du petit lac St-Louis fut un véritable John Wayne… Son histoire d’amour pour sa belle fut , est, et sera, la plus belle histoire d’amour qui n’est pas arrivée dans la ville de La Tuque. Je peux en témoigner… il me l’a racontée devant sa femme après plus de 30 ans de mariage. J’en ai fait une chanson reprenant presque les mots de sa bouche

Pierrot
vagabond céleste

Chansons de Pierrot

LA LÉGENDE DE GASTON LEBEL

29 janvier 2009 – 18 h 41 min

COUPLET 1

te rappelles-tu
quand sur la rue j’t’ai abordée
j’t’ai dit qu’un jour j’te marierai

en temps et lieu
que j’te r’verrai toi la plus belle
j’m’appelle Gaston Lebel

COUPLET 2

de la rue Gouin
on peut voir l’moulin a papier
ou nuit et jour j’ai travaillé

durant 5 ans
j’t’ai jamais donné d’mes nouvelles
en plein l’genre de Gaston Lebel

COUPLET 3

Dans ville d’La Tuque
y a une maison su l’bout d’une rue
je l’ai construite de mes mains nues

les fins de semaine
mes coups d’marteau c’etait pour la belle
la belle de Gaston Lebel

COUPLET 4

dur à croire
ca s’est passé comme dans les vues
un dimanche soir t’es apparue

su l’fond d’ma rue
tenant le bras d’ma soeur Estelle
salut Gaston Lebel

COUPLET 5

Cette histoire-là
c’est arrivé y a 50 ans
plus vrai que ca y a que le vent

dans tes cheveux blancs
qui brillent à soir sous les chandelles

même la mort
m’empêchera pas d’t’aimer la belle
signé Gaston Lebel

MÊME LA MORT
M’EMPÊCHERA PAS D’T’AIMER LA BELLE
SIGNÉ GASTON LEBEL

Pierrot
vagabond céleste

à suivre…

DANS UNE SALLE MAISONNEUVE DE LA PLACE DES ARTS QUI CONTIENT 1453 SIÈGES, FRED PELLERIN Y CHANTERA EN RAPPEL LA CHANSON DU CAMIONNEUR 5 SOIRS DE SUITE ET CELA DEVANT UNE SALLE COMBLE…. CELA VEUT DIRE QUE DU 27 MARS AU 31 MARS 2019, 6065 PERSONNES SERONT CONVOQUÉES À UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART EN ÉCOUTANT LA LÉGENDE D’UN CAMIONNEUR DONT L’AMOUR POUR SA COMPAGNE FUT UN AMOUR OEUVRE D’ART… ET JE PEUX EN TÉMOIGNER CAR JE FUS L’AUTEUR NON SEULEMENT DE CETTE CHANSON, MAIS AUSSI LE TÉMOIN D’UN AMOUR-OEUVRE D’ART QUI POURRAIT SE RÉSUMER EN CES DEUX LIGNES QUI VIENNENT DE LA BOUCHE MÊME DE CE JEUNE CAMIONNEUR AU RESTAURANT CHEZ ANNICK AU LAC-À-BEAUCE OÙ JE DORMAIS SUR UN CONGÉLATEUR: «MOI JE VIS JUSTE POUR TOÉ… J’AI HÂTE À FIN DE SEMAINE… J’T’AIME»

Théâtre Maisonneuve

Salle de spectacles majeure de la Place des Arts avec ses 1453 sièges, le Théâtre Maisonneuve accueille de nombreux spectacles de danse, dont ceux des Grands Ballets Canadiens de Montréal et de Danse Danse, mais aussi des spectacles d’humour et de nombreux concerts.

Depuis 2016, de nombreuses améliorations techniques aux équipements sonores et d’éclairage, ainsi qu’aux arrière-scènes ont été apportées, en plus du changement complet du plancher de scène. Le Théâtre Maisonneuve est une salle unique. Aucune autre salle à Montréal n’a cette capacité et son rapport scène-salle est exceptionnelle.

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À l’ère de la réalité augmentée, des écrans géants, de la haute définition et de l’expérience immersive, Fred Pellerin a pris la haute résolution de s’en tenir à la légende.
Il nous revient avec un sixième spectacle de conte Un village en trois dés. Retournant à ses souliers de conteur, il retrouve l’heureux recensement du Caxton qui sera au coeur de ce nouveau voyage!

Détails
Producteur / Diffuseur : Les Productions Micheline Sarrazin Inc
Salle : Théâtre Maisonneuve
Durée (sujet à changement sans préavis) : 1h40 sans entracte
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mars 2019
Mercredi 27 mars 2019
20h00
Complet

Jeudi 28 mars 2019
20h00
Complet

Vendredi 29 mars 2019
20h00
Complet

Samedi 30 mars 2019
20h00
Complet

Dimanche 31 mars 2019
20h00
Complet

octobre 2019

Samedi 19 octobre 2019
20h00
49.00 $
Billets

février 2020
Vendredi 21 février 2020

LE TROISIÈME ARTÉFACT-CONSTRUCTIVISTE DE NOTRE ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) HOLOGRAMMISANT NOTRE BUNKER DE L’AMITIÉ POURRAIT BIEN ÊTRE UN IMMENSE CADRE ÉCLAIRÉ SUR LE MUR DU SALON DES JARDINS DE MARLENE DONT LE TITRE SERAIT: «LES JARDINS CONSTELLAIRES D’UN RÊVE BIG-BANG»… CAR LE PLUS EXTRAORDINAIRE DE CE QUE JE CONNAIS DE mARLENE DEPUIS 12 ANS, C’EST QU’ELLE A TOUJOURS EU ACCÈS AUX QUALIS DE SES JARDINS COMME CONSÉQUENCE DE SA NON-TRICHERIE AU QUOTIDIEN… tOUT Y ÉTAIT DÈS LE DÉBUT…. CAR ELLE A COMMENCÉ SON OEUVRE, TOUT ÉTAIT À FAIRE… ET TOUT Y EST ENCORE AVANT MÊME QUE SES PREMIÈRES TULIPES DU PRINTEMPS NE SOIENT ENCORE ÉCLOSES.

Quel merveilleux conseil d’administration de la créativité encore ce matin. Quand je suis arrivé dans notre bunker de l’amitié, Marlene et Michel étaient assis main dans la main sur le grand fauteuil alors que j’entrais main dans la main avec mon nouveau cahier à dessein… qui m’a coûté $6.00 et qe j’apprécie particulièrement à cause de la texture veloutée des anneaux en plastique et de la rigueur sauvage des deux couvercles carrés… cahier à desseins que j’ai intitulé: CAHIERS À LA PAUL VALERY»

L’objectif de ce cahier à dessins étant de (comme l’avait bien remarqué Paul Valery) en étudiant la poïétique de Leonard de Vinci) faire surgir de dessin à dessin la pensée abstraite en mode abductif gradué de façon à ce que la deuxième étape, celle des argumentaires par les mots portent le fil d’or corseté d’une dramaturgie sans faille menant à une conclusion ouverte aphoristique exponentielle (la nano-citoyenneté-planétaire) conduisant par vision stratégiste à l’institut de l’intelligence artificielle pour l’opérationnalité de l’algorithme social (wow-t=2.7k?) , invention dont la contribution au soulagement de la condition humaine universelle puisse nous obtenir le prix Nobel de la paix.

Je montre donc à tour les 10 premiers dessins à Marlene et Michel dans le but , qu’en équipe, nous puissions creuser la glossarisation d’un néologisme qui hante mes dernières nuits, celui de

QUALICIEN…

Qu’Est-ce que le qualicien? LE KUALICIEN EST UN ONTICIEN QUI SE SPÉCIALISE DANS L’ÉTUDE DES QUALIAS…. en conséquence de quoi. c’est ce chercheur hologrammique qui part à la recherche de l’origine des qualias dans la mémoire des lieux de son enfance en partant de l’hypothèse forte suivante:

LES QUALIAS FORMENT DE FAÇON PRIMAIRE (PEIRCE) L’ENSEMBLE DES CARACTÉRISTIQUES DE LA BEAUTÉ DU MONDE.  et la mémoire des lieux en contient le code des artéfacts en hologrammie abductive donnant accès au décryptage potentiel du multivers.

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PREMIER DESSIN… PAGE 1

….. coureur des bois// philosophes… 2 chemins avec en haut

PHIOSOPHIE D’EN HAUT et en bas PHILOSOPHIE D’EN BAS… et au milieu… une épitaphe… Ici gisent des millions d’enfants morts de faim ou de blessures de guerre…. Et j’écris  EN BAS DE PAGE,,,,en formule abductive synthétique que tou coureur des bois comme tout philosophe est un vagabond céleste parce qu’il vit par son rêve big bang… et sur le côté je signale que JE CHERCHE LES QUALIS DU MULTIVERS DANS LES PLIS DES LIEUX DE MON ENFANCE. Puis je dessine le petit lac st-Louis au milieu de la ville de La Tuque que je vois dans toute sa dimension  du haut de la maison de mes parents sur la rue Gouin et j’écris : LES QUALIS S’Y CACHENT-ILS?

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DEUXIÈME DESSIN… PAGE 2

…ville de La tuque de mon enfance…. pleine de qualis… Pourquoi?

tout en haut du dessin une petite voie ferrée… celle qui séparait les protestants des catholiques et qu’on avait pas le droit de traverser… elle menant d’ailleurs au moulin à papier où travaillaient les mâles..prolétaires catholiques…

tout en bas du dessin la grande voie ferrée… qui passait à quelques maisons de chez nous et dont les dessus de wagons étaient habités occasionnellement par des hobos qui sautaient juste en face de chez nous avant que le train ne s’arrête à la lumière de la rue commerciale où la police municipale aurait pu les arrêter.

Puis, autour de notre maison où mon père pratiquait sa trompette le dimanche matin, le lac St-Louis… en haut le moulin à papier… à gauche l’église… l’école primaire…  puis le cinema empire, et, l’autre bord de la voie ferrée des hobos,  la gagne des Lessieurs nos ennemis à la gagne des Rochette, puis en arrière de chez nous l’orphilinat des indiens… avec une phrase en exerbe: LE VAGABOND CÉLESTE RÉDUIT LA RÉALITÉ DES LIEUX DE SON ENFANCE À DES TEXTURES MINIATURES COSMOLOGIQUES TELLES QU’ELLES RESSURGISSENT DANS SA MÉMOIRE D’ENFANT.

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TROISIÈME DESSIN: PAGE 3

la rue Gouin… derrière chaque porte il y a un drame… DANS QUELLE MAISON SE CACHENT LES QUALIS?

Une rue…. sur le coté gauche, à partir d’en bas de la côte… les Olsen, les Lebel, les Martin, les Arpin… sur le côté droit… les Tremblay, les Rochette, les Duchesneau, les Bélanger… avec une phrase sur la droite: LA TROMPETTE DE MON PÈRE REFUSE DE TRICHER LE DIMANCHE MATIN QUAND IL PRATIQUE SES LÈVRES…

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QUATRIÈME DESSIN: PAGE 4

la rivière St-Maurice et le chalet de Raynald Boutin

Une rivière, des billots, un chalet… AUCUN QUALI… ILS SE SONT ENFUIS… POURQUOI?

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CINQUIÈME DESSIN: PAGE 5

la mémoire des lieux

a) M’ont-ils oubliés… b) se souviennent-ils de moi?…C) ont-ils des larmes à me partager?…. dessin d’un premier  carré avec une phrase: «LA TOMBE DE MON GRAND-PÈRE lEFEBVRE»…  dessin d’un 2eme carré… «OÙ EST LA TOMBE D EL’ENFANT MORT EN BAS DE MA RUE QUAND J’ÉTAIS PETIT… 3eme dessin d’un carré « POURQUOI LUI? POURQUOI PAS MOI?» Puis une dernière phrase d) une vie? lieu éternel?

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SIXIÈME DESSIN:  PAGE 6

le rêve américain

Un grand carré au centre… le théâtre empire… une bobine de film… qui me ramène au poste de t.v. de mon père R.A.L.T. T.V. où je passais des films, les débobinais, les rembobinais en y enlevant les comics pour en faire une émission du samedi…

Quelques phrases surgissent autour du dessin du carré du théâtre empire: 1) le théâtre empire surgit comme un artéfact en colère… censure, censure, censure… 2) les objets hurlent leur innocence perdue… 3.. rêve américain contre rêve local…. 4) je vagabonde les artéfacts des lieux de mon enfance en dessinant leur esprit tel que le vivait mon enfance…

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SEPTIÈME DESSIN: PAGE 7

notre maison de la rue Gouin… un simple carré…

1) radio-chapelet… 2) bénitier-tonnerre… une question : « POURQUOI LES FORMES DOMINENT-ELLES LES HUMAINS QUI LES ONT CRÉÉES?» 3) prêtre/catho…. en bas… le pignon rouge restaurant… Noel bouquet de fleurs au sœurs applaudissements…

Sur la droite une assertion: « la montée des artéfacts en pensée s’accompagne de la descente des qualis de honte comme des fleurs fanées.

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`HUITIÈME DESSIN: PAGE 8

objets disparus…

dessin du lac St-Louis… un simple carré… une question «OÙ VONT LES OBJETS DISPARUS?» un cheval au fond d’un lac! fait arrivé dans mon enfance…

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NEUVIÈME DESSIN: PAGE 9

La Tuque

un cercle… au centre La tuque… au-dessus la terre.

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DIXIÈME DESSIN: PAGE 10

les lois des formes pr La Tuque

Hotel Windsor brûle… le curé Corbeil… les formes…entourer La Tuque comme une ville des E.U. par le pavillon des E.U. à Expo 67.

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SUITE DU CONSEIL D’ADMINISTRATION DE LA CRÉATIVITÉ DE CE MATIN…

11EME DESSIN SE FAIT PENDANT NOTRE DISCUSSION

Après avoir pris une vingtaine de minutes à expliquer mes dessins à Marlene et Michel, j’en suis arrivé à parler d’un néologisme qui m’avait habité durant la nuit: celui de Kualicien, soit un onticien qui fait des recherches sur la beauté du monde… Et Michel de me demander..

MAIS QU’EST QU’UN QUALI?… Et moi de lui dire que jusqu’à Peirce, on les divisait entre quali primaires (Descartes) étendue, profondeur ets… et qualis secondaires (odeurs, parfum, etc… Pierce en avait inversé les catégories mais tout cela restait bien nébuleux.

Et Michel d’amener dans la réflexion les aphorismes synthétiques dont il a le secret; Et lui de dire: «LES TRICHEURS S’IMAGINENT QU’IL SONT QUELQU’UN PARCE QU’ILS BOUGENT»

Et là je réalise que, ce que mes dessins de mon enfance essaient de dire, c’est que mon père étant un non-tricheur, la mémoire des lieux qu’il habitait pouvait témoigner qu’il avait accès aux qualias de ces lieux seulement parce qu’il était un non tricheur… Par conséquence, pour moi, la ville de La Tuque de mon enfance était serpentée par un champ constellaire tracé par la non-tricherie de mon père et Michel d’en conclure:

«UN TRICHEUR N’A PAS ACCÈS AUX QUALIAS AU SENS OÙ LES QUALIAS SONT LES CARACTÉRISTIQUES FONDATRICES DE LA BEAUTÉ DU MONDE»

Et moi d’ ajouter: Les qualias sont les caractéristiques de la beauté du monde par les yeux des non-tricheurs.

VOILÀ CE QUI EST ÉCRIT À LA PAGE 11… AUCUN DESSIN.

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SUITE À LA PAGE 12

Je réécris donc à la page 12: «Les qualias , c’est la mémoire des lieux par les yeux d’un non-tricheur. Et Michel d’ajouter… et je cite directement de mon cahier à dessins:

LES QUALIS, C’EST QUELQUE CHOSE QUE J’AURAIS ACQUIS SOUS L’INFLUENCE DE LA NON-TRICHERIE DE MON PÈRE ET QUE JE TRANSPORTE AVEC MOI.

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SUITE À LA PAGE 13…

Et Michel de poursuivre:

LES TRICHEURS, POURQUOI Y TRICHENT? parce qu’ils ne possèdent pas l’influence d’un non-tricheur dans leur vie.

Pierrot…..  Par exemple Marlene, dont le père était droit comme une basse et qui travaillait dans une mine pendant que la mère de Marlene était directrice d’école primaire, quand il allait jouer au golf le dimanche il appréciait les qualis du gazon par la beauté du monde même de sa non-tricherie au quotidien.

Et Michel de poursuivre… Un tricheur ne peut pas sentir les fleurs avec la même joie qu’un non-tricheur..

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SUITE À LA PAGE 14…

Invitation par la beauté du monde à ne pas tricher… Ce qui me rappelle ce vieux Monsieur de 85 ans qui faisait pousser des fleurs odorantes dans son jardin donnant sur la rue pour donner de l’espérance à ses voisins

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PAGE 15…

John Wayne et La Tuque…

Et soudain, tous mes dessins s’éclairent en une seule image… Dans mon enfance, Mon père, Maurice Richard, John Wayne, c’était la même chose… non seulement ils ne trichaient pas mais ils refusaient de tricher et en témoignaient hologrammiquement.

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PAGE 16

Et Michel de rajouter… LE JOHN WAYNE DE NOTRE ENFANCE ÉTAIT LE SYMBOLE DE LA BEAUTÉ DU MONDE, DE LA VÉRITÉ ET DE LA JUSTICE QUI GAGNE…

à suivre…

Pierrot vagabond

 

 

 

 

 

LA PHILOSOPHIE D’EN HAUT DES ARISTOCRATES ÉDUQUÉS FONCTIONNE SELON TROIS LOIS NON-ÉCRITES (LA PENSÉE ABSTRAITE D’ABORD, LE CONSTRUCTIVISME QUI EN DÉCOULE, ET L’ABDUCTIVISME STRATÉGISTIQUE QUI LE FÉBRILISE) ALORS QUE LA PHILOSOPHIE D’EN BAS ISSUE DES SOUCIS DE LA MULTITUDE FONCTIONNE PAR PROVERBE ET APHORISME SELON TROIS PARAMÈTRES QUE L’ON RETROUVE DANS LA CULTURE POPULAIRE (L’OPINION, LES AFFECT, ET LA DIFFICULTÉ D’UN JUGEMENT ÉCLAIRÉ)… MAIS AUTANT LA PHILOSOPHIE D’EN HAUT QUE LA PHILOSOPHIE D’EN BAS NE PEUVENT SE PASSER DES QUATRES QUESTIONS DE TOUTE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART… CAR QUE TU SOIS INSTRUIT OU NON-INSTRUIT, UN RÊVE BIG BANG RESTE POUR LES DEUX CLASSES SOCIALES LE FONDEMENT D’UN SENS DE L’EXISTENCE SUR TERRE AU SENS OÙ TOUT RÊVE BIG BANG PERMET À LA NANO-PERSONNE HUMAINE D’ÊTRE AU SERVICE DE LA BEAUTÉ DU MONDE, DONC DE L’HUMANITÉ EN MARCHE VERS LE MULTIVERS, CIMENT DE TOUTE MULTITUDE KALÉIDOSCOPIQUE.

Encore un extraordinaire conseil d’administration de la créativité ce matin. Michel avait reçu son meuble-artéfact qui fera partie de notre prochain show-case… la nouvelle caméra devrait arriver au début de la semaine.

Mais bien plus… Michel et Marlene ont commencé à lire LE IER TIERS DU IER CHAPITRE, SOIT

les 3…20 pages, soit le 60 pages ouvrant le ier chapitre de notre doctorat (Auld, Woodard, Rochette)

Le ier 20 pages raconte LA NON-TRICHERIE de Michel le concierge, le second 20 pages raconte LES JARDINS CONSTELLAIRES DE MICHEL LE CONCIERGE et le troisième 20 pages raconte LE RÊVE BIG-BANG de Pierrot vagabond…

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La partie théorique du 2eme tiers ( soit un 100 pages) peut dès maintenant se synthétiser par la phrase suivante…. qui a d’ailleurs obtenu trois wow ce matin:

TOUT RÊVE BIG BANG

EST UNE PLANTE

QUI POUSSE

DANS UN JARDIN CONSTELLAIRE

QUAND T’AS ARRÊTÉ DE TRICHER

 

Donc, dès la fin de semaine prochaine à Grandes Iles, Michel filmera Marlene et ses jardins constellaires, des tulipes de mars 2019 à la fermeture des jardins de Marlene, ce 20 pages  témoignant ce que Michel et moi on voit de Marlene depuis 12 ans: Une apothéose de la vie personnelle œuvre d’art au quotidien à travers ses jardins (aussi beau que l’homme qui plantait des arbres de Giono et Bach).

Je leur ai parlé de mon rêve du corsetage de notre théorique d’il y a 2 nuits, de la décision de ne plus jamais lire un livre jusqu’à ma mort, de mon retour au vagabondage ciblé pour partir à la recherche archéologique de la mémoire des lieux où se cachent les artéfacts des qualis du multivers dans un champ constellaire que mon père avait fait surgir grâce à sa non-tricherie de sa vie personnelle œuvre d’art.

Et surtout de mon premier «artéfact ontique», le cinéma empire qui a brulé mais dont je peux retrouver les parfums qualis seulement qu’en revisitant sur you tube les films de John Wayne qui ont tant signé la sémiologie des codes non écrits de mon enfance…

LES LOIS DE L’ONTIQUATION SE TROUVANT ÊTRE LES MÊMES DANS LE MULTIVERS QUE DANS NOTRE UNIVERS USTENSILAIRE … (hypothèse forte) dont témoigneront mes dessins à la manière des cahiers de Paul Valery…

à suivre…

Pierrot vagabond

 

MON AMI ARNAUD VIENT DE DÉCOUVRIR CE MERVEILLEUX CONTEUR INTERNATIONAL QU’EST SIMON GAUTHIER AVEC SON CONTE PHILOSOPHIQUE….«LE VAGABOND CÉLESTE».. À PARTIR DUQUEL.. DEPUIS PLUS DE 7 ANS MAINTENANT… SIMON ENCEMENCE LA FRANCOPHONIE (PLUS DE 150 SPECTACLES) DES QUATRE QUESTIONS SOUS-FONDANT TOUTE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART..EN VISANT PLANTAIREMENT LA CINQUIÈME QUESTION: COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

À
Pierre Rochette

mar 22 à 8:09 PM

Salut Pierrot,

je viens de visionner avec émotion la présentation de Simon Gauthier que tu as posté récemment sur ton blog. Quelle belle rencontre tu as fait là avec ce conteur, quel merveilleux ami…

Je trouve cela heureux que la vie des Rochette en forme de conte trouve un passeur pour la transmettre à toutes les âmes attentives…Je dois voir ce show !

Et l’odyssée continue : le vagabond a d’abord troqué ses bottes pour une paire de pantoufles qui lui ont permis de parcourir sans laisser trop d’empreintes les pages innombrables des livres. Puis , sans aucun regret, il troque maintenant les livres pour des dessins valant un milliard d’étoiles que l’on peut déposer quelque part dans une banque de souvenirs cachés sous le sabot d’un cheval même pas boiteux qui broute nonchalamment les qualis d’un herbe généreuse dans un près de Saint Raymond de Portneuf .

Et le conte poursuit son chemin infini sur les épaules du vagabond comme le verbe sur celles du poète…

Amitiés,

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RÉPONSE DE PIERROT À ARNAUD…

Très cher Arnaud,

J’ai transmis ton courriel si abductif d’intelligence à Simon qui ce matin doit lui aussi le lire avec beaucoup d’ahurissement… Tu as visé juste… tu sais lire le fil d’or de cet agrégat de passeurs que constitue Simon, Fred, Marlene, Michel et Pierrot… à qui je rajoute ce matin Arnaud:)))

Quand je t’ai raconté comment une nuit, comme ce le fut pour Pascal et ses pensées cachées dans sa doublure de manteau et pour Descartes avec ses songes, j’ai vu se corseter le cadre théorique de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) évacuant fébrilement de notre champ constellaire de la non-tricherie non seulement les 6000 pages de blogue issues de mes lectures, mais aussi tout autre personnage de l’histoire sauf pour référence dans ce que Derrida appelle «LA MARGE».

Et bien plus, une voix sévère m’a dit (Sans doute le daimon de Socrate) … TU NE LIRAS PLUS JAMAIS UNE PAGE D’UN LIVRE PARCE QU’À PARTIR D’AUJOURD’HUI, NON SEULEMENT TU N’EN AURAS PLUS BESOIN, MAIS CELA S’APPELLERA TRICHER AVEC TON RÊVE BIG-BANG.

Et là, tout s’est enchaîné…. Le voyage à La Tuque pour y marcher et y dessiner les lieux constellaires de mon enfance où flottent encore les non-tricheries de mon père, l’achat d’un cahier de dessins pour accompagner les futurs blogues, et surtout la recherche des qualis du multivers à travers notre seul cinéma de la ville où on y présentait des films de John Wayne.

J’ai donc acheté un cahier à dessins, fait mon ier dessin, suis allé sur you tube écouter mon ier film de John Wayne avec les yeux de l’enfant que j’étais quand il allair au cinéma empire, poursuivi par les dessins la mise en émergence des pensées abstraites abductives synthétiques théoritiques et surtout stratégistiques, en vue de soumettre aux trois wos de notre équipe de recherche, la suite de la beauté du monde PAR LES PROCHAINES 20 PAGES DU JARDIN CONSTELLAIRE DE MARLENE OÙ se vit l’apothéose au quotidien par Marlene de ce que devrait être une vie personnelle œuvre d’art sans la tricherie, consacrée à son rêve big-bang au service DU RÊVE BIG-BANG DE L’HUMANITÉ sous sa forme d’algorithme social: «wow-t=2.7k?».

Hier matin, je suis donc allé te porter une photocopie de mon ier dessin intitulé: « COUREUR DES BOIS// PHILOSOPHE» EN ÉCRIVAT BIEN AU DESSOUS QU’IL VALAIT 4I MILLIARDS DE DOLLARS:))))))))))))))))))

Merci d’avoir lu
le fil d’or qui mènera notre équipe de recherche
(Auld, Woodard, Rochette)
non seulement à l’institut d’intelligence artificielle
du Québec, mais surtout au prix Nobel de la paix

Pierrot vagabond