DE LA MÊME MANIÈRE QUE L’ODYSSÉE ET L’ILLIADE ONT FAÇONNÉ L’ÉDUCATION DES ENFANTS DE LA GRÈCE …. JE RECHERCHE L’IMPOSSIBLE D’UNE K-ULTURE QUI SE DÉPLOIE PAR LE MERVEILLEUX D’UN K-ONTE DE LA NANO-MODERNITÉ PAR L’ARCHÉTYPE HOLOGRAMMIQUE DU VAGABOND CÉLESTE EN THÉORITIQUE AVEC MARLENE LA JARDINIÈRE ET MICHEL LE CONCIERGE….. L’AVENTURE DE LA BEAUTÉ DU MONDE PAR LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART CONVOQUÉE PAR UN RÊVE BIG BANG PORTANT PAR L’HUMANISME MÊME DES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU K-OEUR L’HUMANITÉ OEUVRE D’ART EN DEVENIR PAR LA RHYZOMATION DES QUATRE QUESTIONS DE TOUTE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART ….1) QUEL EST TON RÊVE? ….2) DANS COMBIEN DE JOURS? ….. 3) QU’AS-TU FAIS AUJOURD’HUI POUR TON RÊVE? ….4 ) COMMENT TON RÊVE PREND-IL SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

Plus j’étudie le thème de la beauté dans l’oeuvre de Thomas d’Aquin à travers le livre d’umberto Ecco, plus je me rends compte qu’un saut paradigmatique rend la perspective grecque et son aura moyen-âgeuse (intégrité, nombre et clarté) …. tout  comme son renversement épistémologique de l’artistique humain sur l’esthétique en soi dans l’infériorité de la nature et de sa symbolisation (la renaissance)…. sur la puissance du créateur humain ….stratifiée par Baumbarten comme par Kant et sa critique du jugement….(les lumières allemandes) tout comme sa mise en abstraction graduelle par la cézannisation du réel ç partir du 19eme siècle ….. inopérant….. par le fait même des aspirations de la nano-modernité ou le travail de déconstruction de Duchamp comme de Beuys dans la modernité tardive … comme celui de Thomas Bernard dans la post-modernité initie la question de la vie personnelle comme oeuvre d’art comme mode d’éblouissement rhyzomique nano-k-osmologique d’un onérisme big bang comme droit inaliénable d’abord et avant tout pour tout enfant qui se meurt de faim ou de blessures de guerre sur cette terre..

Qu’est-ce que la beauté dans la nano-modernité? …. C’est le rêve big bang d’une seule vie personnelle oeuvre d’art comme masse critique d’un pays oeuvre d’art qui irradie l’onérisme d’un champ des impossibles par l’onti-kha-tif d’un voir ahuri que cela soit plutôt que ne soit pas…

Et c’est en ce sens que les archétype  hologrammiques de Pierrot vagabond, Michel le concierge, Marlene la jardinière deviennent par les réflexions paramétriques même concernant le basculement de l’onti-ke par l’onti-khatif le fondement axiomatique du réenchentement du monde par la beauté… QUE CELA SOIT PLUTÔT QUE NE SOIT PAS.

1) QUEL EST TON RÊVE? ….. la première question de toute vie personnelle oeuvre d’art se façonne en fait par un axiome encore plus impossible… UN RÊVE B IG BANG qui ne fait pas partie du réel mais qui le signe… colore d’impossible et de nano-syn-chroni-vie té … toute vie personnelle oeuvre d’art qui prend le pari de ne pas tricher avec la convokation de son rêve…

Le profond respect du rêve de tout autre qui découle de ses responsabilités esthétiques constitue en fait un programme … OU LES LOIS DE L’IMPOSSIBLE surgissent comme des points d’exclamation au k-oeur même du k-onte que constitue, à la manière de l’archétype hologrammique du vagabond céleste. … et par conséquent de ceux de Marlene la jardinière et de Michel le concierge … L’ÉPOPÉE DE TOUTE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART EN MARCHE VERS SON RÊVE…

Pierrot vagabond

HABILLER LE QUOTIDIEN DE SON RÊVE TOUT EN LE THÉORISANT …. VOILÀ , ME SEMBLE-T-IL, LA CLÉ DE L’INFINI AU K-OEUR DE LA FINITUDE DE TOUTE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART

Vagabonder la beauté du monde sous la mise en burla des qwalias (burla dans le sens de grossissement du tissu existentiel comme le fait l’art du burlesque) …. voilà une étonnante conséquence de la mise en enchantement de la k-0ndition humaine par un archétype hologrammique.

Toute l’ab-réalité constitutive d’un champ k-0nstellaire relié au rêve big bang en fait un Voir de la beauté du monde qui défie l’historicité d’une vie…

Le jeu de miroirs que constitue la mise en oeuvre d’art de sa vie personnelle signe des débris de la mémoire du k-oeur d’une remarquable symphonie.

La nuit…. dans l’atelier métaphysique de G. …. soudain monte comme un jaillissement émerveillé d’une bribe du passé….. un qwalia…. qui flotte, parfume la route de soleil et de pluie que fut mon rêve big bang….

Le bruit rythmé de mon bâton de pèlerin sur une route perdue, la nuit, accompagné d’un crouton de pain dur qui me reste dans le fond de mes poches…. sous la douceur du vent dans les arbres et l’énigme des étoiles sous une lune étonnée…. voilà ce que le vagabond céleste de 72 ans aujourd’hui a dans son sac à dos….

D’avoir osé la beauté du monde par son rêve big bang… en questionnant nuit et jour l’univers: Si je prends soin de toi, vas-tu prendre soin de moi?

Et si tu prends soin de moi, univers, pourquoi ne prends-tu pas soin des millions d’enfants qui se meurent de faim ou de blessures de guerre sur cette terre? Je ne suis qu’un point d’interrogation enchanté par le point d’exclamation que constitue son wow-t=2.7k?

Et soudain…. un autre débris de la mémoire du k-oeur vient se métamorphoser… J’ai 24-25 ans… je viens de finir un set de 30 minutes sur la petite scène du café St-Vincent… C’est l’été… il est plus de minuit… j’ai droit à une demie heure de marche … il fait chaud…

J’ai ma petite chambre dans un grenier de la rue St-Paul…. Je suis passionné d’impossible… et je le chante… avec un cahier de chansons dont je refuse d’apprendre par coeur la moindre chanson …. La poésie… la poésie… l’impossible poésie … le vent dans la fenêtre de garage  du St-Vincent… grande ouverte…  La beauté du monde jaillit en brosses d’être sur scène au retour… par le plus pur émerveillement que cela soit plutôt que cela ne soit pas…

Cette magie, je l’ai encore ce soir, en écrivant dans la cuisine de l’atelier de métaphysique de G. pendant qu’elle est assoupie dans son sofa, son cahier de graphes entre ses bras….l’un et l’autre nous sommes consacrés à la beauté de notre pensée abstraite… Une grande paix, une grande lenteur… en quête d’étoiles impossibles du dire dans des danses métaphysiques inédites…

Il en sera encore de même toute la nuit… et au petit matin, avec le lever du jour, nous dormirons toute la journée , chacun nos cahiers de prise de notes au cas ou l’impossible vienne nous éblouir pendant le sommeil…

Dans le sommeil de la journée, je tenais c doit me tirer sur l’épaule parce que oussin entre les bras et me laissait bercer par la profondeur de la beauté du monde entre deux respirations … Couché vers 5 heures du matin, réveillé vers 3h.30 p.m. … je me disais…. le rêve big bang rend le socle ab-jetal qu’est le corps qwaliatif… au sens de porteur d’émerveillements onti-kha-tifs dans l’onérisme que constitue l’onti-ke vécu par une vie personnelle oeuvre d’art,

Bien sur, dans le sommeil profond, LES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU K-ORPS reliés aux dramaturgies passées et présentes de l’onti-ke m’assaillent ….De là les cauchemards… parfois G. doit me tirer par l’épaule parce que je suis incapable de bouger…

Puis peu à peu, les débris de la mémoire du k-oeur se manifestent en ordre disparate… et la soif et le devoir de réaliser mon rêve big bang  au nom de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) reprend ses droits…. qwalitatifs tout autant qu’onti-kha-tifs…

Je viens de me lever. Il est 4 heures p.m. G. s’est levée 10 minutes avant moi… Ses yeux brillent… elle a son cahier de graphes à la main…. elle sourit… elle a bien dormi… je la sens en pleine possession de la fulgurance de sa pensée métaphysique…. Dans le silence complice, je fais les lits, je prépare sa tasse d’eau chaude et mon café , j’écris le blogue avant de faire notre déjeuner……..

Puis, nous mangerons ensemble tout en faisant le point et sur le sommeil et sur les avancées de nos recherches respectives… puis… je retournerai à ma lecture sur le thèeme de la beauté chez Thomas d”Aquin par Umberto Ecco en vue d’étayer ma propre vision de la beauté du monde ,,,, avec carnet de note à côté pendant que G peaufinera chirugicalement l’organigramme argumentatif de son programme doctoral….

Une autre belle nuit de recherche qui s’annonce

Pierrot vagabond

 

 

LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART… LA CÉLÉBRATION DE L’ONTI-KE PAR L’ONTI-KHA-TIF….. LE RÊVE BIG-BANG ÉTANT HORIZON LUMINEUX QUI CONVOQUE L’INFINI AU K-OEUR DE LA FINITUDE HUMAINE

G. et moi menons une vie de métaphysiciens…. au sens ou nous dormons de jour pour mieux actualiser par des rituels de respect nos nuits de recherche…

G. a un rythme d’une très grande procrastination…. d’une très grande lenteur… elle qui travaille sur l’origine métaphysique du réel par le biais de la raison cosmétique est d’une foudroyante créativité…

Au petit matin, avant de nous endormir, je lui disais justement à quel point mes années de lecture peuvent témoigner de la fraîcheur paradigmatique de son doctorat…. Rien n’est commentaire chez elle… tout est intuition logique dans le sens du mathématicien Pointcarré ou abduction synthétique dans le sens de Peirce…

De mon côté, je m’aperçois que ma métaphysique issue de l’onti-kha-tif par le rêve big bang a des con séquences politiques radicales au niveau d’une humanité oeuvre d’art au sens ou l’onti-ke est convoqué à une esthétique de l’étique par une masse critique qui est UN … au sens ou, rhyzomatiquement, il suffit d’une seule vie personnelle oeuvre d’art pour enflammer une planète par la nano-citoyenneté-planétaire.

Le passage de Pierre Rochette à l’archétype hologrammique du vagabond céleste par la mise en ab-ceptualisation du corps en socle ab-jetal fut en quelque sorte une théoritisation des plus étnonnantes…

Comment un homme qui quitte la scène parce que convoqué par un rêve big bang… peut se ramasser à squatter une librairie alternative durant 4 ans en dormant sur une table dans la cave, pour ensuite vagabonder et enflammer un pays par les quatre questions de la vie personnelle oeuvre d’art … puis par la beauté même de la synchron i-vie-té même … puisse vagabonder quatre universités en lisant jusqu’à 200 pages par jour, et cela 7 jours par semaine … en vue d’un doctorat après avoir écrit un roman initiatique (Monsieur 2.7k) , 100 chansons et fait l’objet d’un documentaire (mo n ami Pierrot le dernier homme libre) et un récit philosophique ( le vagabond céleste) pour finalement se ramasser dans un atelier de métaphysique par un nuit et jour de chercheur et de chercheuse consacré à la finalisation d’une cristallisation de la nano-modernité par l’invention de la nano-citoyenneté-planétaire…..

G. est d’une étonnante plasticité… une artiste, une créatrice et surtout une formidable théoriticienne… Nous avons plus de 400 heures de tapes sur ordi, téléphone cellulaire …. sur plus de 3 ans maintenant….

Le rêve de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) est le prix Nobel de la paix par l’invention de la nano-citoyenneté-planétaire, le pays oeuvre d’art et la vie personnelle oeuvre d’art….

La célébration de l’onti-ke par l’onti-kha-tif me semble notre plus belle réussite dans notre eumétrie consacrée à une très grande joie de vivre la recherche côte à côte… Nous ne buvons pas ,ne droguons pas ni l’un ni l’autre ….

Vraiment…. le vagabond céleste vit en ce moment son plus beau vagabondage…

Pierrot vagabond

DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU K-OEUR ….9 …..

MÉTHODOLOGIE

Dans le 100 pages de notre doctorat (Auld, Woodard, Rochette) ,,,, consacré à l’archétype hologrammique du vagabond céleste …. j’invente une utilisation de TACHES DE TEXTES sous la forme DE DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU K-OEUR numérotés… de façon à déployer un ARSENAL D’IMPOSSIBLES dont la fraîcheur inassouvie même convoque le lecteur à se lover dans l’énigme même du point d’interrogation (?) que constitue notre présence sur terre .

Dans le débris de la mémoire du k-oeur 1, … j’identifie la cible de ma quête métaphysique, soit le dévoilement d’un personnage qui signe le réel mais n’en fait pas partie, c’est-à-dire LE RÊVE BIG BANG , alors que dans le débris de la mémoire du k-oeur 2, je définis comme événement majeur de la nano-modernité, le lancement de Voyager 1 et 2 dans l’espace en 1977.

Dans le débris de la mémoire du k-oeur 3, je raconte l’itinéraire          d’une méthodologie que je surnomme la BLOGUÉTIQUE, qui constitue en fait l’âme d’un vaisseau spatial textual …. clône fractal et d’un JE CHERCHANT À SE MÉTAMORPHOSER EN VAISSEAU SPATIAL DE LA NANO-MODERNITÉ, ET d’un vaisseau spatial cherchant à communiquer avec d’autres JE NANO-COSMOLOGIQUES qu’on surnomme des exttra-terrestres. ( débris de la mémoire du k-oeur 4).

Et c’est dans les débris de la mémoire du k-oeur 5 que je convoque les lois de l’impossible…. Par pure synchro-ni-vie-té , un tout petit extrait d’un livre (théorie du drone, 2013) , égaré dans le blogue du 18 septembre 2016 se présente sous la forme nano-k-osmologique d’une tache textuale à partir de laquelle, la réflexion sur les millions d’enfants qui se meurent de faim ou de blessures de guerre m’entraînera par le biais transgrammique des billots de la rivière St-Maurice sous les traces numériques d’un passé improbable, toujours dans l’aura de Voyager 1 et 2 (débris de la mémoire du k-oeur 6,7 et 8.)

EN CONSÉQUENCE DE QUOI, les 8 PREMIERS DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU K-OEUR constituent en soi une déconstruction du corps de Pierre Rochette pour en faire tache textuale par tache textuale, UN SOCLE ABJETAL POUVANT ACCUEILLIR PAR MÉTAMORPHOSES AL-LOGIQUES UN RÊVE BIG BANG PAR LE BIAIS D’UN ARCHÉTYPE HOLOGRAMMIQUE EN FRUITATION… qui deviendra…. LE VAGABOND CÉLESTE…. pure synthèse allogrammique d’une suite de débris de la mémoire du k-oeur sillonnant l’enfance et ses artéfacts de qwalias éternels ( les qwalias éternels dansant le territoire du futur socle abjetal de son rêve  big bang autant que celui de sa mémoire des lieux  signé opar LE RÊVE BIG BANG LUI-MÊME QUI NE FAIT PAS PARTIE DU RÉEL MAIS QUI LE SIGNE..

 

 

 

LE CORDONNIER DE CARAQUET…. UN ROI HEUREUX DANS UN SYSTÈME FÉODALISANT ….

Lorsque j’ai vagabondé le Nouveau-Brunswick, j’ai eu l’honneur de rencontrer un roi heureux, le cordonnier de Caraquet.

Cet homme fumait sa pipe, travaillait quand il voulait, recevait ses ami tout en travaillant. Je lui avait demandé une ceinture… il me l’avait faite en vrai cuir, avec la fierté de la lenteur à bien faire les choses.

Comme la différence était grande avec un commerce de linge de l’autre côté de la rue… ou une dame travaillait comme employée. Féodalisée, elle vivait le drame de tout salarié… Ne faire les choses que parce qu’il faut bien manger…

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Ce village est décrit dans le dictionnaire comme le plus long au monde. Je l’ai vagabondé tout en dormant soit sur le bord de la mer quand il faisait beau, soit sous la galerie du musée de Caraquet quand il pleuvait.

Je recherchais comme vagabond céleste… une liberté radicale faite de nuances, de beauté et de lenteur. Je recherchais LES LOIS DE L’IMPOSSIBLE.

Aspiré par un rêve big bang, je passais mes journées entre le Tim Horton ou le Harveys le matin, la journée à la bibliothèque et la soirée sur le bord de la mer….

Mon bâton de pèlerin, ma guitare, mon vieux chapeau, mon sac à dos, j’arpentais la vie comme si c’était la beauté du monde… que je définirais comme L’ÉTONNEMENT QUE CELA SOIT PLUTOT QUE NE SOIT PAS….

La liberté heureuse du cordonnier de Caraquet devenant ma barre de mesure du vagabondage immobile au k-eeur de mon vagabondage mobile

Pierrot vagabond

l’ENCHANTEMENT DE L’ONTI-KE PAR L’ONTI-KHATIF ( des irritants du quotidien par le rêve big bang d’une vie personnelle oeuvre d’art) M’APPARAÎT…. AU CRÉPUSCULE D’UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART LA CONSÉQUENCE HEUREUSE D’UN ARCHÉTYPE HOLOGRAMMIQUE (PIERROT VAGABOND) …. QUI SIGNE LE RÉEL SANS EN FAIRE PARTIE PAR SON RÊVE BIG BANG… EN SYNCHRONI-VIE-TÉ IMPOSSIBLE AVEC LE RÊVE BIG BANG LUI-MÊME QUI SIGNE LE RÉEL SANS EN FAIRE PARTIE…… WOW-T=2.7K? EN ÉTANT LA CLÉ NANO-K-OSMOLOGIQUE….

1) Quel est ton rêve? ….. 2) dans combien de jours? …. 3) qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve? …. 4) comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

La nuit, quand je prend ma marche philosophique, seul ou avec G. …. je suis ébloui de voir que la question… quel est ton rêve? …..  prend une dimension de …. conte euphorique ….. de la même manière que la pratique du burlesque sur scène avec mon partenaire Denis Lamarre enchantait mes recherches sur les lois du rire dans ma maîtrise universitaire…

Je pense au rêve de G. et tout de suite cela sonne PRINCETON… Je pense au rêve de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) et cela sonn LE PRIS NOBEL DE LA PAIX…. Je pense à Simon Gauthier, le conteur international du conte LE VAGABOND CÉLESTE … et cela sonne… le colloque sur les dimensions du rêve en 2022….

Le JE qui se meurt pour mieux renaître par son archétype hologrammique devient ab-ceptuel… au sens ou le corps devient un socle ab-jetal de la partie onérique d’un concept… l’abcept.

Je me rappelle quand jai quitté la scène après avoir chanté la chanson LA QUÊTE  de jacques Brel sur la scène de l’auberge La Calèche…. Durant toute la chanson…. la sensation que ce serait mon dernier spectacle m’est apparue comme un rêve impossible.. Je cotoyais LES LOIS DE L’IMPOSSIBLE… Je convoquais…. LES LOIS DE L’IMPOSSIBLE… Je chantais la mort de moi-même pour mieux renaître au koeur même des mots ce cette chanson.

« La quête »

Rêver un impossible rêve
Porter le chagrin des départs
Brûler d’une possible fièvre
Partir où personne ne part

Aimer jusqu’à la déchirure
Aimer, même trop, même mal,
Tenter, sans force et sans armure,
D’atteindre l’inaccessible étoile

Telle est ma quête,
Suivre l’étoile
Peu m’importent mes chances
Peu m’importe le temps
Ou ma désespérance
Et puis lutter toujours
Sans questions ni repos
Se damner
Pour l’or d’un mot d’amour
Je ne sais si je serai ce héros
Mais mon cœur serait tranquille
Et les villes s’éclabousseraient de bleu
Parce qu’un malheureux

Brûle encore, bien qu’ayant tout brûlé
Brûle encore, même trop, même mal
Pour atteindre à s’en écarteler
Pour atteindre l’inaccessible étoile.

Tout le vagabond céleste, son programme nano-kosmologique, y était déjà inclu.
Pierrot vagabond

 

 

 

Pierrot vagabond

WOW-T=2.7K? ….. LA FORMULE MÉTAPHYSIQUE ONTI-KHA-TIVE SOUS LAQUELLE SE DÉPLOIE LE RÊVE BIG-BANG QUI NE FAIT PAS PARTIE DU RÉEL MAIS QUI LE SIGNE…. CONVOQUANT L’ÉMERGENCE DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE, DU PAYS OEUVRE D’ART ET DE LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART….

Comme me disait G. en fin de sommeil métaphysique …. Je suis rendu à l’âge de la synthèse … car la ligne de feu de mes débris de la mémoire du k-oeur de la naissance à cette nuit ne cesse de me rappeler que tout ne fut qu’un rêve….

Depuis des années, je fais le même rêve la nuit…. que je classerais comme un débris de la mémoire du k-orps et non du k-oeur…. J’ai mon camion vert ou je dors dedans… je dois me rendre à un spectacle, mais on m’empêche par tous les moyens de prendre la route….

G. pense que cela pourrait être relié à celles et ceux qui se sont sentis abandonnés , en particulier mes enfants …. qui me rejoint en fin de vie… comme si les sacrifices reliés à la discipline de l’enchantement (faire le métier d’artiste de scène sans boire, ni droguer, ni fumer, ni jouer) m’avaient rendu aveugles à la souffrance onti-ke de mes proches…

La puissance de la théorisation onti-kha-tive d’une métaphysique onérique par le vagabondage m’a profondément questionné…. LES LOIS DE L’IMPOSSIBLE, ….. wow-t=2.7k? …. vivre sur la terre comme si on était au ciel de soi-même avec lhumanité oeuvre d’art en toile de fond…. voilà les balises par lesquelles la nano-modernité contextuelle ne fut en moi que pur délice consacré à l’eumétrie des formes ab-ceptuelles de l’ab-réel.

Je me souviens, l’année ou j’ai été professeur de philosophie au conservatoire de musique de Montréal avec un cours que j’avais inventé: QUESTIONS SUR LA VIE D’ARTISTES À TRAVERS LES SIÈCLES…

Quand j’ai vu, en entrant dans la salle des profs… qu’on ne parlait que de char, d’argent et de retraite à venir … le dégout d’une carrière dans l’enseignement m’a saisi…. Je n’avais pas les mots… mais l’impossible ne passait pas par là.

En fait… la poésie est l’habit même du rêve big bang… Je me rappelle…Il pleuvait à boire debout, c’était l’automne… j’étais sur la 117… j’avais faim… très faim… Mais avec mon bâton de pèlerin, mon vieux chapeau, mon sac à dos… je suis rentré dans une petite épicerie qui fermait…. on m’a demandé ce que je faisais seul sur la route… et moi de direr quelque chose comme …. je parcours le pays pour prendre soin de l’âme des jeunes canadiens… et immédiatement… on m’avait rempli un  sac de plastiques de salades qu’on allait jeter de toute façon.

J’ai trouvé un dessous de galerie d’un bloc appartement en construction… J’ai disposé mes petits pots de salades autour de mon sleeping… et j’ai dormi angoissé par une question… Que vais-je faire de toute cette nourriture?

Je n’aime pas l’engluement de l’onti-ke dans les peurs du quotidien…. la poésie du rêve big bang passe par … la beauté du monde…. même sous un torrent de pluie et d’humidité sous une galerie indifférente…

Pierrot vagabond

 

G. ME RAPPELAIT AU PETIT MATIN DE NOS SOMMEILS MÉTAPHYSIQUES QUE LE SENS DE LA VIE SUR TERRE M’ÉTAIT APPARU PAR UNE EXPÉRIENCE EXISTENTIELLE DU VAGABONDAGE … ET MOI DE RAJOUTER… PAR LE BIAIS D’UN ARCHÉTYPE HOLOGRAMMIQUE, LE VAGABOND CÉLESTE…. AU SENS OU , ÉPISTÉMOLOGIQUEMENT … J’AI COTOYÉ À PLUSIEURS REPRISES LES FRUITIONS RELIÉES AUX LOIS DE L’IMPOSSIBLE… ISSUES DU RÇEVE BIG BANG ET DES 4 QUESTIONS DE LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART.

Pierrot Vagabond

RÉUSSIR PAR LA FRUITION ÉPISTÉMOLOGIQUE DU VAGABONDAGE SOUS TOUTES SES FORMES À SCULPTER SA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART PAR UN ARCHÉTYPE HOLOGRAMMIQUE AU SERVICE DES QUATRE QUESTIONS DE TOUT PAYS OEUVRE D’ART SOUS L’ÉNIGME DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE….. 1) QUEL EST TON RÊVE? …. 2) DANS COMBIEN DE JOURS? … 3) QU’AS-TU FAIS AUJOURD’HUI POUR TON RÊVE? … 4) COMMENT TON RÊVE PREND-IL SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

Comme une vie onti-kha-tive consacrée à l’humanité oeuvre d’art m’apparaît ce fascinant impossible pour quiconque ne triche pas avec son rêve big bang… , son

Quelle nuit de créativité magique nous avons connu G. et moi…. Pendant qu’elle prenait sa marche de travail métaphysique vers 4 h du matin, de mon côté , je poursuivais la lecture des écrits sur la pensée du Moyen-âge d’Umberto Eco.

Puis G. est allé dormir avant moi avec son cahier de graphe… Puis je suis alléla rejoindre une heure plus tard. Nos deux lits étant collés… soudain elle me dit… J’ai de nouvelles idées pour mon deuxième chapitre de doctorat… Je lui dis… sors le téléphone, on enregistre… Et là, je m’accotte contre le mur et durant plus d’une heure… nous voyageons en plein énigme métaphysique dans des sauts conceptuels vraiment fascinants..

Jai dit G. … il faut un jour documenter tout cela….

La fruition , contrairement à ce que pensait Dupréel, ne vient pas de l’éthique, mais de l,esthétique… et cette nuit-là, l’amitié oeuvre d’art fut fruition par esthétisme même d’une méthodologie de l’enchantement par l’eumétrie la plus intuitive.

 

Pierrot vagabond

EN MODE DE RÉCLUSION RADICALE DEPUIS PLUS DE DEUX MOIS ET DEMIE MAINTENANT ….. NOTRE VIE DE CHERCHEUSE ET DE CHERCHEUSE ….. G. ET MOI….. SE DISTANCIE EUMÉTRIQUEMENT PAR L’ENCHANTEMENT DE RITUELS DE RESPECT DANS LA CRÉATION DE TOUT CE QUE J’AI CONNU COMME VIES DE COUPLE AUPARAVANT

DEUX VIES PERSONNELLES OEUVRE D’ART EN MODE DE RÉCLUSION RADICALE

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La nuit, pendant mon sommeil, je suis confronté à d’infinis débris de la mémoire du corps issus de 72 ans d’une vie ou des images viennent me rappeler les longs épisodes de l’ontike de la condition humaine sur cette terre….

G. et moi dormons dans la même chambre, chacun dans son lit. Nous nous couchons entre 4h du matin et 7 h du matin et nous nous levons entre 1 h. p.m. et 4 h. p.m.. …… J’avoue que lorsque je me lève, je prend une marche de travail en espérant que la noirceur vienne m’enchanter le plus vite possible.

Installé dans la cuisine de G. je lis, réfléchis puis par des marches de nuit. Je meurs à moi-même pour mieux renaître à travers mon archétype hologrammique, le vagabond céleste.

Je disais justement à G. cette nuit que je suis convaincu que nous pouvons réaliser l’impossible parce que nous ne sommes pas en couple…. au sens ou l’amitié oeuvre d’art dans un respect optimal et la douceur de vivre nous permet d’inventer un art de l’eumétrie par le rêve onti-kha-tif….

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G. possède une très belle bibliothèque d’oeuvres philosophiques ou métaphysiques majeures… Et comme je n’ai pas perdu mon plaisir à frôler le 200 pagers par jour, je me suis consacré à Whitehead, Meinong et ce merveilleux livre que constitue the métahistory, the historical imagination in nineteenth-century Europe d’Hayden White…

Je suis habité par le même scandale que Michelet, celui des morts qui crient justice et de ceux et celles qui vont mourir de faim ou de blessures de guerre….

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Je sais qu’un jour notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) verra la nano-citoyenneté-planétaire devenir le cri de ralliemement de la nano-modernité en marche par ses vies personnelles oeuvre d’art en quête d’un pays oeuvre d’art.

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Je pense beaucoup à Simon Gauthier, le conteur international…. Il fait partie des débris de la mémoire du k-oeur qui jour après jour font dans mon engagement à servir un écrin de pierres précieuses tout orné de son talent si émouvant

Et que dire de Michel le concierge, de Marlene la jardinière….. je sais qu’en 2022, au colloguqe international sur les dimensions du rêve …. le théâtre de nos émerveillements vivra son feu d’artifice consacré à la connaissance…. Le tout illuminé par le savoir-faire de G. aux talents métaphysiques si singuliers

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