LE 16 NOVEMBRE 1963…. LA PETITE HARMONIE DE LA TUQUE A FAIT UN SPECTACLE À LA PLACE DES ARTS…. CE SOIR-LÀ, l’UNIVERS FUT MUSIQUE ET MUSIQUE FUT L’UNIVERS…. J’ALLAIS AVOIR 13 ANS…. MERCI AUX LATUQUOISERIES POUR LES PHOTOS ET LES ARTICLES TÉMOIGNANT DU RÊVE BIG-BANG D’UNE COMMUNAUTÉ

«La Petite Harmonie» :
prestigieuse ambassadrice de La Tuque

Deux concerts mémorables de l’harmonie de l’école Champagnat

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Le groupe latuquois devant la Place des Arts, Montréal.
Photo de Gilles Berthiaume; archives de Gaston Gravel.

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En deux occasions, le 16 novembre 1963 et le 18 avril 1965, ce corps de musique, dirigé à l’époque par Aubert Montgrain, a fait honneur à La Tuque en se produisant en concert à la Place des Arts de Montréal.

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16 novembre 1963 – Concert lavallois

Lors du premier concert, organisé par l’Amicale mariste du collège de Laval pour marquer le 75e anniversaire des maristes dans cet établissement, qui mettait aussi à l’affiche le célèbre ténor québécois Richard Verreau, ainsi qu’un réputé trompettiste, Leonard Smith, directeur de l’Harmonie de concert de Détroit et de l’Orchestre symphonique de Scandinavie, Aubert Montgrain avait l’heureuse idée de mettre au programme un «Festival Félix Leclerc».

Roger Rochette, journaliste, et musicien lui-même avait signé un élogieux compte-rendu de cet événement musical. Archives de Gaston Gravel.

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18 avril 1965

La petite harmonie de l’école Champagnat sur la grande scène de la Place des Arts.
Photo de Gilles Berthiaume; archives de Gaston Gravel.
En 1964, la «petite harmonie» célèbre son vingt-cinquième anniversaire et «descend» à Montréal pour y donner un troisième concert. Elle s’était rendue dans la Métropole une première fois, en août 1961. Les jeunes musiciens de l’école avaient alors joué au théâtre de verdure du parc Lafontaine à Montréal.

Julles Fiola, annonceur chef à CFLM,«habillé» par la mercerie Gaston Fortin,
avait été le présentateur de cette mémorable soirée.

Ces photos et ces documents rappelleront ces moments mémorables aux jeunes musiciens d’alors.

Gaston Gravel, qui m’a aimablement fournit tous les documents présentés ici, a procédé à l’identification de la plupart de ces jeunes musiciens. Guy Simard et Roland Boudrault, un ancien clarinettiste de l’Harmonie, ont gentiment complété la liste des noms et je les remercie tous les trois pour cette magnifique collaboration.

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Si des lecteurs se reconnaissent sur l’une de ces photos, je me ferai un plaisir de les ajouter à la présente liste des gens identifiés jusqu’ici. Il manque également quelques prénoms. L’avantage d’un blogue, c’est qu’on peut l’améliorer sans cesse et y apporter des changements et des corrections.

On pourra lire les noms en cliquant sur les photos pour les agrandir.

Gérald Arbour, Claude Ayotte, Bertrand Bégin, Gilles Bélanger, Pierre Benoît, Denis Bérubé, Bérubé, Viateur Bouchard, Yvan Boucher, Roland Boudrault, Jean Bouliane, Paul-Émile Bourassa, Alain Boutet, Réal Brassard, Claude Bruneau, Roger Cantin, Michel Charest, Tit-Blanc Croteau, Pierre Delisle, André Demers, Paul Desbiens, Johnny Deslauriers, Dompierre, Gaston Drolet, Jacques Dubois, Marc Dumont, Michel Filion, Michel Garceau, Jean Gauvin, Pierre Gingras, (?) Gobeil, Jacques Girard, Michel Grandbois, Roger Grandbois, Gaston Gravel, Jean Grenon, Michel Guillemette, Gilles Hamelin (?), Roger Houde, Denis Jean, Lucien Jutras, Richard Lambert, Jean-René Lavoie, Conrad Lortie, Serge Lortie, Paul-Eugène Marceau, Claude Marchand, [?] Martin, Gilles Mercier, Yvon Moisan, Paul Montgrain, Pierre Montgrain, Germain Morissette, Régent Ouellet, A. Perron, Luc Perron, Michel Pilon, Roger Proulx, Claude Robichaud, PIERRE ROCHETTE et son frère, Paul Ruel, Rémi Ruel, Michel Sanvido, Guy Simard, Claude Soucy, Pierre Soucy, Robert Soucy, Denis Tremblay, Jacques Tremblay , Jean Tremblay, Michel Tremblay Claude [et non Michel] Vaillancourt, Gaétan Vaillantcourt, Claude Veillette.

Des adultes accompagnaient les jeunes musiciens : le directeur de l’ensemble, Aubert Montgrain, et son épouse du temps, Laurette Blais, ainsi que Gabriel Poisson, Rémi Ruel, Guy Marcel et J. R. Tremblay.

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Un document inédit : Aubert Montgrain et Laurette Blais.
Archives de Gaston Gravel.

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Note pour l’histoire latuquoise. Le mariste Louis-Abel, ancien directeur de Saint-Zéphirin et de Champagnat, était devenu le «supérieur» du collège Laval au moment de la présentation de ce gala artistique de 1963.

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Publié par Hervé Tremblay à 11:23

1 commentaire:

Anonyme12 septembre 2013 à 18:58

Bonsoir
Ce fut un plaisir pour moi de trouver ce site par hasard sur le net. J’ai fait partie de cette super harmonie avec mon frère Claude et mon ami Alain. J’ai participé toutefois qu’à la présentation de 1965. Les photos montrent que 1963. En avez-vous de 1965 ? De mon côté j’ai comme archive qu’une copie jaunie du journal de La Tuque avec en-tête: Pour une deuxième année consécutive notre petite harmonie triomphe Place des Arts. Je parlais de ce souvenir dernièrement et n’ayant aucune photo je pensais aller aux archives de Place des arts. En fouillant sur le net je trouve votre site. Que de beaux souvenirs. Alors pour mes enfants j’essaie de trouver une photo souvenir du 18 avril 1965.

Merci

Georges Élie ( clarinette )
Claude Élie ( baryton )
Alain Tremblay ( clarinette )
Répondre

SUR GOOGLE…
www.wow-t.com

IL SEMBLE Y AVOIR UNE LOI PROPÉDEUTIQUE À L’IMPLOSION IMPOSSIBLE D’UN RÊVE BIG-BANG DANS UNE NANO-PERSONNE-HUMAINE-PLANÉTAIRE, CELLE D’UNE PEINE SYNTHÉTIQUE CRÉANT UN TROU NOIR ENTRE UN CERVEAU ASTRONAUTE ET L’INFINI CHAOTIQUE DE SON CORPS

Sur ma route de vagabond céleste, je fus très sensible, de l’extérieur, à d’étranges phénomènes de synchronicité … Par exemple, sur la route de Ste-Anne de Beaupré, un homme m’arrête, m’invite à visiter son magnifique chemin cultivé de plantes les plus exotiques jusqu’à ce qu’on aboutisse à un petit gazebo sur le bord d’un petit point d’eau.

Il m’explique que c’est aujourd’hui l’anniversaire de mariage de sa femme qui est à l’intérieur, mais qu’il a trop de peine pour aller la rejoindre… Il est à sa retraite (65 ans je crois) mais son père de 87 ans vient de le déshériter et cela lui crée de la rage et du ressentiment. Il a le goût de tuer, de tout casser…

Il me dit qu’il a un fils qui a une copine mais que celui-ci ne veut pas d’enfant… Alors que lui c’est son rêve le plus cher d’être grand-père…

Et alors , moi de lui dire… tu sais, parfois, l’univers semble créer de la place par un trou noir (la chicane avec son père) pour préparer l’implosion d’une arrivée… Si je ne me trompe pas, que je lui dis, tu seras bientôt grand-père…. Viens que je lui dis… on va aller rejoindre ta femme à l’intérieur, je vais vous chanter une chanson pour ton anniversaire de mariage et tout va bien aller…
puis ensuite je repartirai vagabonder mon chemin…

Quelques jours plus tard, j’ai reçu un message sur le site: www.demers.qc.ca… Son fils venait de lui téléphoner pour lui dire qu’il serait grand-père…

www.demers.qc.ca , 10 mars 2009

la beauté vient toujours de la non-tricherie
la laideur de la tricherie

Mon rêve big-bang, il a surgi d’une façon claire assez tard en moi. Je venais d’avoir 50 ans je crois. Jusqu’à ce moment, ma vie n’avait été qu’une suite de choix de carrière agréables, mais insatisfaisants… Bien sur, je vivais la bohème avec laquelle je n’avais jamais triché, mais je ressentais un terrible vide vocationnel que rien ne pouvait assouvir: succès, gloire,argent, mariage, divorce, aventures, etc…

Comme une femme enceinte, je sentais bien en dedans de moi germer quelque chose mais je n’arrivais pas a mettre le doigt sur cet innommable sans lequel je ne pouvais prétendre avoir vraiment vécu sur cette terre.

Je faisais partie du duo Rochette Lamarre. Nous avions beaucoup de succès depuis une quinzaine d’années. Et mon partenaire de scène surtout était un merveilleux monsieur parfait. J’étais béni par les Dieux. On ne s’était jamais disputé ne fusse une fois de toutes ces années, sans doute parce que nous avions divisé le pouvoir de façon équitable. Sur scène, c’est moi qui mène, en bas de la scène, c’est toi.

Nous avions depuis toujours des Noel d’automne a la Calèche qui accueillait pour nos spectacles des autobus d’aines provenant de partout a travers le Québec… Plus de 20,000 personnes par année. Les patrons, la famille Grand-Maison, nous traitaient avec respect et nous offraient tous les budgets dont nous avions besoins pour créer nos spectacles de comédie… J ‘avais même fait une thèse d e maitrise sur comment fonctionne le rire dans le cerveau humain pour mieux faire mon métier de troupier slapstic sur scène et écrire de meilleurs numéros de comédie, certains étant restés des bitts
icones…. J ‘inventais des sketches, le public riait de bon coeur, mais moi je savais que j’étais enceinte d’un rêve qui tardait a se manifester.

-V-

Ce Noel-la, probablement en 1998, nous avions ajoute a notre spectacle une jeune femme clown du prénom de Ruth je crois. Ruth avait un compagnon… Denis et moi animions de nos chansons de Noel les soupers de l’auberge La Caleche, en face du buffet ou les gens se servaient avant notre grand spectacle… Et c’est un de ces soirs debut novembre je crois, que je vis arriver devant moi un homme, immensement long et mince, habillé de noir, aux yeux presque mystiques…

C ‘était le compagnon de Ruth. Ce compagnon de Ruth était un photographe qui tenait commerce de photographie dans la ville de Quebec. Tout allait bien pour lui au point ou il trouvait maintenant du temps a consacrer a sa grande passion: l’orgue de Barbarie. Il s’était fait venir des plans, en avait construit un, puis un autre, puis avait creé lui-même ses rouleaux de vieilles chansons françaises: parlez-moi d’amour, sous les ponts de Paris, le moulin rouge… Et soudain une nuit, le fameux big- bang, le grand appel… Il rêve de parcourir les routes d’Espagne, les routes du soleil et de jouer de l’orgue de Barbarie dans les parcs… le big-bang de son reve est tellement puissant qu’il vend tout et part.

Son rêve ne lui a pas donne le choix. Les valeurs qui constituaient la base de sa survie se sont toutes écroulées en même temps…en perdant toute signification…. Au moment ou je le croisai ce soir la, il s’apprêtait a repartir pour l’Europe.
A partir de ce soir-la, je ne fus plus jamais le même homme ni sur scène, si dans la vie privée…

Je savais que cet homme en me racontant sa vie, avait servi de miroir pour allumer une lointaine caverne a l’intérieur de moi-même. Un peu comme on met le feu a des brindilles en tournant sa loupe vers le soleil.

-7-

Si j’avais pu mettre un mot clair sur mon rêve… impossible, même ce soir la, plus j’essayais, plus je me perdais… je savais que je voulais être ecrivain… mais c’était un chemin pour arriver a mon rêve…. Aujourd’hui a 60 ans, je peux écrire ce mot que j’ai cherche toute ma vie:

VAGABOND-POETE

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Quand je revois tout cela, ca me fait beaucoup sourire maintenant… je me rend compte que mon rêve a toujours été présent, tel le soleil et qu’il s’est manifeste de façon précise tout au long de ma vie… mais que je l’ai accueilli en aveugle:))))

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Quand j’étais p’tit gars, il y avait seulement trois livres chez moi. Ti-Coq de gratien Gelinas, allegro de Felix Leclerc et surtout les monologues de Jean N’arrache… et je me rappelle ce wow extraordinaire d’un petit gars de 5 ans devant le dessin du vagabond sur la couverture….et qui se dit… un jour, ce sera moi Jean N’arrache.

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Mon enfance fut paradisiaque… Et c’est a 60 ans que j’ai compris pourquoi… parce que j’avais eu la visite de mon rêve… et toute ma soif de vivre s’en trouvait rafraichie… c’est ce que j’appelle la fraicheur axiologique provoquée par la visite de son rêve, telle une rose qui ouvre ses pétales au soleil un certain matin inoubliable.

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Je me rappelle cette tendance a me cacher de mes freres et soeurs pour jouer tout seul, rêveur euphorique, des nuits ou je sortais en cachette marcher autour du lac St-Louis, de mes promenades le long de la voie ferrée a rêver un jour de monter clandestinement un train, car mon grand père m’avait raconte (il travaillait pour une compagnie de train) que parfois il donnait une soupe a un hobo qui s’etait jeté en bas d’un train….

-12-

Mais nous avions surtout a la tuque un itinérant du nom de Baptiste Tremblay, qui arrêtait les trains de sa main pour laisser le passage aux piétons… j’etais émerveillé… c’était un appel pour mon rêve, de la pure poésie… Ca existait donc des vagabonds poètes, des jean N’arrache de la rue….

Pierrot
vagabond celeste

sur Google
www.wow-t.com

COURRIEL DE L’EXCEPTIONNEL CONTEUR INTERNATIONAL SIMON GAUTHIER

COURRIEL DE L’EXCEPTIONNEL CONTEUR INTERNATIONAL
SIMON GAUTHIER

Allo Pierrot
lu et en mode d’Intégration! ;-))))

Prêt à vous donner un cup de main en tout temps!

De mon côté je retravaille le spectacle “Le Vagabond Céleste” Il reprend une série de 4 dates.

Repentigny (festival fous de théâtre) et à Trois -Rivières dans un salon privé. Et en Belgique au Festival de conte de Chiny.

Je reprends le texte et les chansons. Il a mûri durant cette année de silence. De beaux fruits sont à venir.

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Je travaille Tic TAk. Une bonne année de travail et de mûrissement sont à prévoir.

Entre temps, Nous ferons lapremière pression à froid avec toute l’équipe le 16 septembe à la salle de spectacle Francis Brisson à la ville de Grand-Mère, St_Jean de Matha, Ensuite 3-Pistoles, Pi on verra par la suite

Je pratique les tounes suivantes du Vagabond

Vieux monsieur (si je t’ai rammassé sur la route vieux monsieur….)

La femme dans le char (On s’était rencontré dans forêt à dormir dans ton char….)

Une vielle route de campagne quelques part une vielle grange abandonné….)

Ma liberté un nuit un orage un jeune pusseux que j’ak connu sur la route….)

Justine (Quand t’as rien t’as tout c’est ben épeurant c’est bien effrayant…)

Le camionneur!

😉

Je pense à toi à Michel et à Marleen

Sim

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COURRIEL-RÉPONSE DE PIERROT VAGABOND

Cher Simon…Que tu reprennes la route de la francophonie avec le conte du Vagabond céleste, dont tu as muri,  et le texte et les chansons, me traverse l’âme.  C’est comme si tu honorais cette lignée mélodieuse de rêves big-bang que fut celle de mon grand-père Lucien (qui échanger son cheval à St-Raymond de Port-neuf contre des bottes pour aller plus loin dans la vie), de mon oncle Paulo (qui échangea son piano contre une série de pianothons en plein air où il battait son record année après année pour aller plus loin dans la vie, et de mon père Roger (qui échangea sa job chez H. R. Hillier contre le ier poste de télévision sur cable au Canada) en m’apprenant le sens d’un rêve big bang par la job de caméraman à 12 ans, après l’école et les fins de semaine.

Le rêve big bang n’aurait pu naître ailleurs qu’à La Tuque… petite ville perdue entre les montagnes, à 100 kilomètres de Trois-Rivières d’un bord et à 100 kilomètres de Chicoutimi de l’autre, le rêve big bang passa par la musique et tomba comme un coup de tonnerre sous chaque maison comme si sous chacune y avait été installé un paratonnerre.

La musique…. certains y faisaient des chansons (Félix Leclerc), d’autres des symphonies (mon père avec sa trompette, ier prix de trompette à C.K.A.C en 1948) d’autres enseignaient aux oiseaux à chanter dans les parcs (le vagabond  Baptiste Tremblay qui arrêtait aussi les trains avec ses mains pour laisser passer les enfants à l’école.

Deux orchestres Rochette aux deux coins de la ville, mon grand père Lucien répétant avec ses enfants sur la galerie pour aller manger des sandwichs chez ses chums après avoir abandonné son travail à l’usine… La poésie de vivre avant tout… Les hobos qui au-dessus des trains sautaient devant chez nous et allaient manger la soupe du pauvre chez mon grand-père Lefebvre qui travaillait lui-même dans ces mêmes trains…

Dans la ville de La tuque, à cause de la musique, nous vivions tous l’errance poétique sans le savoir…

Ce n’est pas pour rien que quand la mère de Justine est morte, son errance fantomatique accentuée par le choc post-traumatique de son père englué d’errance axiologique vint chercher réconfort avec le vagabond céleste en mode d’errance poétique sur son congélateur, parce que ce vagabond céleste montait sur les épaules de son grand-père, de son oncle et de son père, pour lui enseigner l’essentiel

Chansons de Pierrot

QUAND T’AS RIEN T’AS TOUTE

REFRAIN 1

quand t’as rien t’as toute
c’est ben épeurant
c’est ben effrayant

t’as même l’amour d’une p’tite fille
une enfant d’9 ans
qui t’trouve amusant

a dit à son pere
c’te vieux monsieur-là
c’est un itinérant

y est pas pareil comme les autres
lui y a juste 5 ans
pis moé
chu sa maman d’9 ans

COUPLET 1

quand Justine
débarque de l’autobus
pis qu’a rentre dans l’restaurant

on dirait qu’est la seule qui comprend
que derrière ma guitare
il n’y a que du vent

qui charrie des feuilles perdues
entre l’automne et le printemps
pour que mes yeux deviennent pour elle
de très beaux flocons blancs

qui tombent lentement
sur un sourire d’enfant
d’enfant

émerveille

COUPLET 2

quand Justine
prend ma tête dans ses bras
puis qu’elle la sert très très très fort

on dirait
qu’est la seule qui comprend
que derrière ma guitare
le père Noël attend

que tous les sapins soyent montés
que tous les enfants soyent couchés
que les cadeaux soyent allumés
pas loin d’la cheminée

où maman Justine pis moé
on souriera aux enfants
aux enfants

émerveilles

REFRAIN FINAL

quand t’as rien t’as toute
c’est ben épeurant
c’est ben effrayant

t’as même l’amour d’une p’tite fille
une enfant d’9 ans
qui t’trouve amusant

a dit à son père
c’est le père Noel
notre itinérant

quand son beau grand traîneau blanc
montera vers le ciel
je s’rai pour toujours

sa maman d’amour
sa maman d’9 ans
sa maman Noël

Pierrot
vagabond céleste

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Tu vois, Simon, dans la ville de mon enfance, comme j’avais accès aux chansons de Félix Leclerc, à la trompette symphonique de mon père, au pianothons de mon oncle Paulo et aux cours de chants aux oiseaux du vagabond Baptiste Tremblay, je me sentais à Noel tous les jours, les hobos sautant des trains me confirmaient qu’avec l’enfance que j’avais eu, je pourrais courir le monde caché sous le costume d’un vagabond céleste.

La poésie d’un vagabond céleste, , c’est faire d’une petite fille de 9 ans sa maman pour que dans un beau grand traineau blanc, éternellement, chaque enfant puisse à son tour sur terre être le parent de ses parents… Ce qui rejoint la question du doctorat de l’équipe de recherche de l’équipe (Auld, Woodrad, Rochette)

QUELLE INSTITUTION FAUT-IL INVENTER POUR QUE SUR TERRE, AU 21EME SIÈCLE, PLUS AUCUN ENFANT NE MEURE DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE?

De là la cinquième question de la vie personnelle œuvre d’art:

COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?….

et la réponse

PAR LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE

Pierrot

 

C’EST UN PRIVILÈGE BIG-BANG EXTRAORDINAIRE QUE D’ÊTRE HABITÉ NUIT ET JOUR PAR UN RÊVE INSTITUTIONNEL PLANÉTAIRE QUI VA RÉELLEMENT CONTRIBUER AU SOULAGEMENT DE LA CONDITION HUMAINE DES ENFANTS SUR LA PLANÈTE TERRE AU 21EME SIÈCLE… TOUTE L’INTELLIGENCE ONTO-MÉTHO-NANO- PROBLÉMATOLOGIQUE DU POINT D’INTERROGATION TELLE QU’ARCHITECTONISÉE PAR MICHEL MEYER Y TROUVE UNE APPLICATION FOUDROYANTE DANS LE TITRE MÊME DU DOCTORAT DE L,ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE): «WOW-T=2.7K …?…» : «LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE …?…» PAR «WOW-T.COM …?…»

Un rêve big-bang porte en lui une force planétaire de création humaniste… Que porte l’UQAM en 2018?
moi qui en suis le recteur poétique par un vagabondage stratégique, je n’y vois que désarroi et colère des étudiants et étudiantes, surtout ceux et celles qui sont de première génération versus l’élite.

J’AIMERAIS BIEN QUE LA NOUVELLE RECTRICE DE L’UNIVERSITÉ DU QUEBEC À MONTRÉAL, MADAME MAGDA FUSARO, LISE CE COURRIEL…

Si elle faisait une table ronde avec tous les finissants et finissantes en maîtrise et en doctorat, elle verrait bien que l’UQAM est en crise de méthodologie comme de didactique dans la direction de ses finissants. Trop de blessures irréparables, trop d’abus de pouvoir et de fuite des professeurs, trop peu d’argent pour accompagner des mémoires de maîtrise et des thèses de doctorat de façon à ce que l’opérationnalité créatrice puisse permettre un rayonnement international.

L’UQAM EST EN PANNE DE CRÉDIBILITÉ INTERNATIONALE.

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Prenons par exemple cette superbe finissante de maîtrise qui a réussi sa diplomation… Qui parmi ses professeurs a pu percevoir ce qu’il y a de majeur en elle? Son originalité? Sa force d’inspiration pour l’avenir? Qui?….

Ca prend peut être un vagabond pour réveiller un système qui s’entortille dans l’utilitarisme disgracieux…

Par exemple,

j’intuitionne intensément que le concept d’«arthlétisme » d’Isabelle Mathieu (dont l’archétype hologrammique s’étiquette pour moi sous la forme d’Isabelle la boxeuse) non seulement sera fondement de la défense du droit des femmes au 21eme siècle, mais sera aussi initiatrice de la cinquième vague du féminisme (après la troisième reliée au gender et la quatrième reliée à metoo).

Est-ce que ses professeurs ont seulement vu sa grandeur?

Il ne faut jamais oublier que l’œuvre de doctorat de Walter Benjamin que ses correcteurs avaient refusée est lue à travers le monde alors que ses correcteurs sont morts et oubliés depuis longtemps.

Il ne faut jamais oublier que le peintre canadien Riopelle qui avait abandonné ses cours à l’école du meuble pour ncompétence chronique de ses professeurs est aussi enseigné à l’université pendant que ses professeurs sont oubliés depuis longtemps.

Malheureusement, ces perroquetteux de la connaissance stratifiée que constitue un corps professoral universitaire sait très mal encadrer les talents exceptionnels…

Les directions de maîtrise et de doctorat m’apparaissent, du point de vue d’un autodidacte qui encadre bénévolement et méthodologiquement des étudiants et étudiantes blessé(e)s, et cela depuis plusieurs années, incroyablement désuètes et d’un amateurisme gênant.

Isabelle fut une bûcheuse exemplaire…. Elle aura aussi un avenir exemplaire….

Isabelle Mathieu, c’est à la fois Michel Chartrand qui défend le droit de la classe ouvrière à comprendre les enjeux et Janette Bertrand déguisée en René Lévesque qui prend n’importe où ,en toute circonstance, la parole d’une manière franche, sans filtre, affirmée et vindicatrice….

QUI L’A VU PARMIS ES PROFESSEURS?

Son hygiène de vie est remarquable à tous les points de vue, tout comme sa soif de devenir conférencière articulée autant réthoriquement par ses images incendiaires que par son argumentaire bien ancré dans la réalité…

C’est non seulement une tête de doctorante majeure, mais elle pourrait bien un jour diriger un département universitaire, le réformer et l’actualiser en fonction de son ouverture majeure aux étudiants et étudiantes de première génération, premiers de leur famille à être scholarisée et cruellement abandonnés dans un système qui cherche d’abord à se reproduire entre élites.

L’UQAM est un navire pris dans une tempête vocationnelle qui ne respecte plus le pourquoi philosophique sur lequel elle a été fondée dans les années 60.

C’est peut-être ce que j’aime tant de son vitalisme… bâti pour le meilleur d’un pays œuvre d’art…. Sa maîtrise est réussie… mais c’est son œuvre à venir qui fera qu’on l’enseignera un jour à l’université.

Tant de talent et de cœur pour sa société ne peut rater.

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L’étude du point d’interrogation de la page 160-180 de la thèse de doctorat de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) donne au point d’interrogation des 4 questions de la vie personnelle œuvre d’art de chaque nano-citoyen-planétaire une valeur BIG BANG universelle.

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Michel Meyer
questionnement et historicité
Puf iere édition 2000
2eme édition 2011
p.131-132
extrait

23 / LES INTERROGATIFS
COMME SOURCE DES CONCEPTS ET DES CATÉGORIES

L’historicité, par le refoulement de l’historique, LIBÈRE L’INTERROGATION DU POIDS DE CE QUI PRÉCÈDE. Cela procure, ne fût-ce que formellement, des possibilités à la pensée qu’elle n’aurait pas si elle vouait À RÉPÉTER LES RÉPONSES ANTÉRIEURES. De même que les modalités sont des évaluations à l’intérieur d’espaces apocritiques où les réponses modalisent la problémicité, LES CATÉGORIES délimitent ces espaces (apocritiques) , la manière de les occuper, et renvoient au possible, QUE L’INTERROGATION DOIT DÉTERMINER, DONC CATÉGORISER POUR POUVOIR RÉPONDRE. Ainsi, le possible catégorisé, selon le OÙ par exemple, détermine un lieu, un espace ou il est possible que ceci ou cela se produise, et nécessairement, si c’est ici ce ne sera pas ailleurs…

à suivre

www.wow-t.com

LA QUESTION DU DOCTORAT DE L’ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) S’ÉTOFFE: ….. QUELLE INSTITUTION FAUT-IL INVENTER POUR QUE SUR TERRE AU 21EME SIÈCLE, PLUS AUCUN ENFANT NE MEURE DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE? …. LA RÉPONSE COMPRENANT MAINTENANT LE POINT D’INTERROGATION DANS LE SENS DE LA PHILOSOPHIE DE LA RÉVOLUTION PROBLÉMATOLOGIQUE INTERROGEANT LE QUESTIONNEMENT À PARTIR DE LUI-MÊME DU PHILOSOPHE MICHEL MEYER

Encore un conseil d’administration de la créativité majeur ce matin de notre équipe de recherche (auld, Woodard, Rochette).

Quand je me suis levé, j’ai apporté avec moi la dizaine de livres du philosophe Michel Meyer au sujet de sa révolution problématologique , donnant AU POINT D’INTERROGATION (?) de la formule wow-t=2.7k? des pages 160-180 du doctorat toute son envergure planétaire.

Au point où la question même du doctorat et sa réponse s’étoffent maintenant sous l’angle même de ce point d’interrogation, montant sur les épaules du philosophe inventeur de  cette révolution problématologique  qui interroge le questionnement à partir de lui-même, que notre équipe de recherche transmute comme critère de l’humanité dans sa réflexion radicale reliée aux trois questions fondmentales depuis l’origine (telle d’ailleurs qu’illustrée dans le tableau de Gauguin au musée de Boston (QUI SOMMES-NOUS, D’OÙ VENONS-NOUS? , OÙ ALLONS-NOUS? )

NOUVELLE FORME DE LA QUESTION DE NOTRE DOCTORAT:

QUELLE ISNTITUTION FAUT-IL INVENTER POUR QUE SUR TERRE AU 21EME SIÈCLE, PLUS AUCUN ENFANT NE MEURE DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE?

NOUVELLE FORME DE LA RÉPONSE DE NOTRE DOCTORAT:

«LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE…? … »

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La qualité inouie des archives accumulées ( les archives sur Marlene la jardinière et ses jardins, les 4 documentaires de Michel qui ne sont pas encore sortis en salle, le documentaire sur «Pierrot le dernier homme libre», les 125 spectacles du conteur Simon Gauthier à travers la francophonie intitulé «le vagabond céleste» dont nous avons trois versions filmées, les 150 heures filmées au cours des 10 dernières années de laboratoire, dont la moitié est archivée sur disque dur, le c.d. de Michel et Pierrot de 10 chansons dont le titre est www.reveurs équitables.com, les blogues www.lepaysoeuvredart.com et www.lepaysoeuvredart.ca, le 1000 pages d’un roman philosophique,« MONSIEUR 2.7K?». … etc… Le doctorat en marche, la marche à L’O.N.U en juin 2020 pour aller y déposer la charte de la nano-citoyenneté-planétaire… le tout pour aller chercher un prix Nobel de la paix afin d’opérationnaliser par un consortium d’universités la mise en marche de la nano-citoyenneté-planétaire par une application algorithmique sur téléphones intelligents, de façon planétaire en moins de trois ans…

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A la fin du conseil d’administration de la créativité, j’ai relu à Marlene pendant que Michel s’habillait pour aller travailler, les notes que nous avions saisies sur internet au sujet de nos deux cinéastes…

MIRIAM OUERTANI ET SVET DOYTCHINOV, LES DEUX DOCTORANTS EN SÉMIOLOGIE DU CINÉMA À L’UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL ET LEUR PROJET DE DOCUMENTAIRE À PROPOS DE L’ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE)

Notre conseil d’administration de la créativité a comme règle de jeu principale de tout orchestrer à partir du consensus des trois wow, Marlene la jardinière étant la gardienne des trois wow.

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Ce qui a frappé Marlene, ce sont le fait que ces deux cinéastes sont également des personnes de très grande qualité intellectuelle par le fait qu’elles sont doctorantes…. elles sont donc remarquablement théorisées pour bien habiter notre «?» que nous désirons inscrire dans le patrimoine humaniste universel par l’invention de l’institution de «la nano-citoyenneté-planétaire …? …»

Comme nous sommes dans un compte à rebours pour que le doctorat soit terminé avant la marche à L’ONU de 2020 et que nous en sommes à l’étape de la stratégie (par exemple, passer par le chemin ROXHAM à l’envers du Canada aux États-Unis pour se rendre à l’ONU, comment organiser le tout avec l’ambassade du Canada et des fondations universitaires… etc…) il nous apparaît à nos trois archétypes (Marlene la jardinière, Michel le concierge et Pierrot vagabond) essentiel de bien réfléchir à la façon dont il serait à la hauteur d’un pays et peut-être d’une planète que le tout soit documenté par une équipe de cinéastes, extérieure à notre travail de création méthodologique….

AU 21EME SIÈCLE, L’ERRANCE FANTOMATIQUE DE MILLIONS DE PERSONNES HUMAINES GUIDÉES PAR LE G.P.S. DE MILLIARDS DE TÉLÉPHONES INTELLIGENTS PROVOQUERONT L’ÉMERGENCE INSTANTANÉE D’UNE NOUVELLE INSTITUTION SUR TERRE…. «LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE …?… » DES DEUX ASSEMBLÉES DES JUSTES (125 FEMMES ET 125 HOMMES)

 

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8.2 DOCTORAT… ESQUISSE IER CHAPITRE P.160-180… «?»

Michel Meyer
qu’Est-ce que la philosophie?
livre de poche
biblio essai (UQAM)
1997 p.14
extrait

Qu’on le veuille ou non, l’homme est une question et s’il est le seul être à poser des questions, à s’interroger sur lui-même, tout ce que l’on peut en conclure est qu’il doit se résoudre, et se résoudre consiste parfois à adopter des résolutions, à trancher pour agir. l’HOMME EST UN QUESTIONNEUR, et il est question pour lui-même, une question qui soulève la question de ce pourquoi il est question, alors qu’une table, une étoile ou un singe sont simplement une table, une étoile ou un singe sans que cela leur pose problème

—–

P.68
extrait…

La réalité est qu’on l’admette ou non, cette indétermination qui est au-delà des déterminations que nous avons déjà en notre possession. Elle est la MULTIPLICITÉ DES QUESTIONS POSSIBLES, que nous n’avons pas encore abordées, maîtrisées, domptées de quelque façon en les posant. La réalité résiste, déborde, se démarque de nos réponses comme ce qui y fait encore question et qui APPELLE ENCORE DE NOUVELLES RÉPONSES, quitte à revoir celles que l’on a déjà. Elle est riche de réponses aux questions QUE NOUS N’AVONS PAS ENCORE PU CONCEVOIR et qui se révéleront des déterminations insoupçonnées.

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8.1 DOCTORAT… ESQUISSE IER CHAPITRE… P.160-180…. «?»

Problématologie

La problématologie est la théorie du questionnement, des mécanismes fondamentaux de la pensée, qui a vu le jour il y a plus de vingt-six ans[Quand ?] sous la plume de Michel Meyer.

La problématologie est une théorie philosophique prenant comme prémisse le concept du refoulement problématologique, inspiré du refoulement de Freud, mais appliqué au questionnement.

Un refoulement problématologique faible consiste ainsi en un refoulement faible des questions. Une période de refoulement problématologique faible est donc une période ou l’on se questionne davantage : par exemple le temps de Socrate, Platon, Aristote, Kant, Heidegger, Wittgenstein, ou plus généralement la Renaissance et les Lumières.

À l’inverse, un refoulement problématologique fort est caractérisé par un plus grand refus des questions ; les identités y sont fortes. Les mathématiques en sont un exemple : A est égal à A, A ne peut être non-A, Pi = 3,141592654, sont des identités fortes. Elles contrastent alors avec celles du refoulement problématologique faible, dans lequel les identités sont faibles : A peut être A, mais aussi B. Dans ce cas, il y a confusion : « J’ai un tigre dans mon moteur ». S’il y a confusion des sens, cet excès de littéralité conduit à l’humour, au rire (voir Le Rire de Bergson), à la comédie au théâtre. À l’inverse, un excès de métaphoricité conduit à la tragédie au théâtre.

On peut contrer le refoulement problématologique, si l’on veut favoriser le questionnement. On peut dans ce but faire appel à un refoulement apocritique (apocrisis : la réponse), consistant à refuser les réponses, permettant ainsi de compenser le rejet des questions.

L’éthique interrogative : herméneutique et problématologie de notre condition langagière ;Olivier Abel; Paris : Presses universitaires de France, 2000. (OCLC 54046237)
L’Homme et la rhétorique : l’École de Bruxelles ; Alain Lempereur; Paris : Méridiens Klincksieck, 1990. (OCLC 22307445)
De la problématologie : philosophie, science et langage ; Michel Meyer; Bruxelles : P. Mardaga, 1986.(OCLC 21596866)
Découverte et justification en science : kantisme, néo-positivisme et problématologie ; Michel Meyer; Paris : Klincksieck, 1979. (OCLC 5798930)

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LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE… LA RÉPONSE PHILO-POLITIQUE DU DROIT À LA QUESTION 21EME SIÈCLE SUIVANTE: QUE FAUT-IL INVENTER POUR QUE SUR TERRE, AU 21EME SIÈCLE, PLUS AUCUN ENFANT NE MEURE DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE

Quand nous nous levons chaque matin pour un conseil d’administration de la créativité, Marlene, Michel et moi, nous vivons un rituel qui au fur et à mesure de notre aventure intellectuelle, prend toute sa dimension planétaire.

Michel cogne d’abord 3 petits coups à la porte du plancher de la chambre à couture où je dors. Je dors sur un plancher pour que mon corps se rappelle nuit après nuit pourquoi je dors sur un plancher…. Parce que je suis solidaire de milliards d’enfants comme de personnes humaines qui souffrent odieusement sur terre de manque de structures politiques planétaires pour qu’enfin LE DROIT NANO-CITOYEN ait préséance sur LE DROIT DES ÉTATS.

Puis, je salue Michel en lui disant : Bonjour monsieur le comte, comment va le corps ce matin ? Le tout en référence au comte de Montecristo qui, creusant un trou dans le plancher de sa prison tombe directement dans la cellule d’un vieil érudit qui lui enseigne tout ce qui lui manque pour sortir de prison et aller chercher un trésor.

Comment vais-je faire pour sortir de prison?… dit le compte… et le vieil érudit de lui répondre… tu trouveras… l’impossible… Quand l’érudit meurt, le comte sort en remplaçant son corps sous le drap et en montant le corps de l’érudit dans sa cellule… C’est ainsi qu’un faux cadavre est largué à la mer … le comte nage et finit par trouver le trésor qui changera sa vie.

Michel fait le café… puis nous nous assoyons, lui à son bureau face à la camera (quand nous nous en servons) et moi devant son bureau, juste à côté de la camera.

C’est alors qe Michel, rituellement, allume ce grand cadre qu’il a désigné, construit…

Y apparaît la terre telle que vue de l’espace par la nasa…. ou on ne voit aucune frontière… sur le dessus de l’affiche on y lit la formule même de toute vie personnelle œuvre d’art.

Et en dessous on y lit le site web

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Et c’est à ce moment-là que, matin après matin, nous peaufinons l’argumentaire de notre doctorat qui tourne autour de la question suivante:

QUE FAUT-IL INVENTER POUR QUE SUR TERRE AU 21EME SIÈCLE, PLUS AUCUN ENFANT NE MEURE DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE?

La réponse que nous construisons découle constructivistement autour de l’étiquette:

LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE.

Pour la première fois, dans l’histoire de l’humanité, à cause de l’invention du téléphone intelligent et de ses milliards d’utilisateurs, il est possible d’imaginer une nouvelle institution politique nano-citoyenne-planétaire où, par tirage au sort, village par village, ville par ville, il est possible de créer autour des 4 questions de toute vie personnelle œuvre d’art…

1: Quel est ton rêve?
2: Dans combien de jours?
3: Qu’as-tu fait aujourd’hui pour ton rêve?
4: comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

Une institution nano-citoyenne-planétaire des deux groupes de 125 justes (125 hommes, 125 femmes) une force juridico-politique permettant de renverser le pouvoir des états hobbiens sur leurs géo-citoyens de façon à rendre imputable et poursuivable pour crimes contre l’humanité tout dirigeant ou toute dirigeante qui fait la promotion des armes ou des paradis fiscaux au lieu de consacrer cet argent au bien commun , le tout tournant au tour de la cinquième question de la vie humaniste épique sur terre…

5: COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

La mort de Paul-Gérin-Lajoie ressemble ce matin à une invitation pour notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) à monter sur ses épaules pour fonder en moins de 3 ans par un consortium de fondations et de chaires universitaires cette architecture algorithmique permettant de créer enfin la nano-citoyenneté-planétaire, propédeutique à toute chance d’éducation pour chaque enfant de la planète terre.

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LE «?» DES QUATRE QUESTIONS DU «PAYS OEUVRE D’ART» DONNENT UNE PRÉSÉANCE PROBLÉMATOLOGIQUE À L’ÊTRE DE LA QUESTION SUR LA QUESTION DE L’ÊTRE

LE «?» DES QUATRES QUESTIONS DU «PAYS OEUVRE D’ART?» DONNENT UNE PRÉSÉANCE PROBLÉMATOLOGIQUE À L’ÊTRE DE LA QUESTION SUR LA QUESTION DE L’ÊTRE.

October 28, 2016 Pierrot le Vagabond Chercheur

Le «?» est universel…. De donner quatre questions aux être humains comme fondement d’une vie personnelle œuvre d’art présuppose que la réponse n’a aucune importance.

Les quatre questions sont en fait un prétexte pour donner toute la dimension au ? dans l’aventure d’errance poétique que chaque humain vit sur la planète terre….

La nanodémocratie constitue en fait UN POINT D’INTERROGATION PLANÉTAIRE qui prend conscience de la hiérarchie des réponses comme systèmes de valeurs CONVENTIONNELS ET INTERCHANGEABLES QUI SE FONT PASSER POUR VÉRITÉ ONTOLOGIQUE POUR PROTÉGER LE PROCHAIN LUNCH.

En ce sens, même l’existentialisme de Sartre fait d’un projet une idéologie alors que le big bang d’un rêve ne peut reposer que sur un POINT D’INTERROGATION EXISTENTIEL pour qui la réponse n’est et ne sera toujours qu’un obstacle limitatif argumentionnel de la raison sylloogistique ou scientifique.

VIVRE ÉPIQUEMENT C’EST PEUT-ÊTRE HABITER UN POINT D’INTERROGATION AU COEUR DE L’ERRANCE POÉTIQUE COSMOLOGIQUE MÊME…

un vagabond céleste, c’est un point d’interrogation qui vagabonde les réponses avec le sourire ironique de Socrate interrogateur, sans la fraude des sophistes qui se font payer comme nos professeurs de réponses dans le système universitaire.

Lire des livres pour mieux les fuir
car toute réponse est d’abord infiniment toxique pour la beauté de toute question…. la beauté du monde.

S’il n’y avait pas l’être de la question, nous serions englués dans la question de l’être car la beauté du monde est d’abord la beauté de la question du monde et non de son essence.

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Marlene la jardinière
Michel le concierge
Pierrot vagabond

L’INTRODUCTION DU DOCTORAT DEVRA COMPORTER UNE BRÈVE HISTOIRE DE L’ONTOLOGIE DE FAÇON À VALIDER MÉTHODOLOGIQUEMENT LE CHOIX DE FAIRE DE L’ONTO-COSMOLOGIE UNE ÉTIQUETTE MAJEURE ET APRIORITIQUE DE LA FORMULE «WOW-T=2.7K?» CONDUISANT À LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE PAR «WOW-T.COM»

pOUR UNE HISTOIRE DE L’ONTOLOGIE
Michel Meyer
quadridge

Résumé

L’ontologie comme question de l’Être aura dominé le XXe siècle, avec L’Être et le Temps de Heidegger et l’Être et le Néant de Sartre. Mais que dire sur l’Être sans le présupposer, sans dire qu’il est ceci ou cela alors que c’est ce dire même qui fait problème ?

L’Être se présente ainsi comme la problématicité de la philosophie, et c’est du même coup cette problématicité qui pose question avant tel ou tel objet, aussi éminent soit-il.

En se voulant interrogation sur l’Être, la philosophie néglige de prendre en compte l’être de sa propre interrogation, et de s’interroger non seulement sur son questionnement, mais sur le questionnement en général, qu’elle met cependant en œuvre comme une évidence.

Le but de cet ouvrage est d’analyser, de Platon à Heidegger, en passant par Kant, Sartre, Bergson et Wittgenstein, les apories de l’ontologie et leur dépassement par la thématisation du questionnement, la problématologie.

Car qu’est-ce que la philosophie sinon un questionnement radical, à questionner enfin comme tel, et non plus au travers de l’Être ou du sujet ?

————–
COMMENTAIRE

C’est en ce sens que l’étiquette d’onto-cosmologie est surtout constituée d’articles de faits ou découvertes récentes remettant en question tout a priori-ontologique historique et mettant en valeur le «?» essentiellement et intrinsèquement fondateur de la question de l’être et non pas de l’être

à suivre…

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