JE FUS MARIÉ À LA POÉSIE… J’AVAIS LES ÉTOILES COMME MAITRESSES… ET LES FEMMES QUI ONT CROISÉ MES BOTTES AUX MILLES ENCHANTEMENTS FURENT DES MIRAGES SOUS LE VENT DE MES LONGUES ONDULATIONS INCANTATOIRES…. COMME J’AI CHANTÉ MES CAHIERS AU CAFÉ ST-VINCENT… UN MILLER DE CHANSONS… JE N’EN CONNAISSAIS AUCUNE PAR COEUR… J’AIMAIS PASSER MES NUITS AU DACTYLO… À RECOPIER SANS CESSE MES CAHIERS… POUR EN TRANSBUVER LA BEAUTÉ DES MOTS…. J’AURAIS PU ME PASSER D’UN PUBLIC… JE N’AURAIS PU ME PASSER DE LA SCÈNE… SEUL ENDROIT PARFAITEMENT PROTÉGER CONTRE LA LAIDEUR DE LA FACTICITÉ HUMAINE… HORS TEMPS, HORS RÉALITÉ, HORS SERVITUDE, JE CHANTAIS COMME CHANTE LA BEAUTÉ DU MONDE EN MOI…. TOUS LES MATINS DU MONDE QUAND J,ARRIVE À L,UNIVERSITÉ LES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU COEUR RELIÉS A LA SCÈNE CHANTENT ENCORE MAJESTUEUSEMENT EN MOI… NOUS FÛMES DES ROIS HEUREUX….

LA FEMME AU CHAR DANS L’NOIR
28 mars 2009 – 20 h 23 min
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COUPLET 1

on s’est r’trouvés tout seuls
un soir dans forêt
à dormir dans ton char
dans l’noir en secret
toute habillée désespérée
le coeur en mille morceaux brisés
t’as eu besoin d’mes bras
rien qu’de mes bras

COUPLET 2

tu m’avais ramassé sa route
malgré tes doutes
tu m’as dit qu’c’est en voyant ma guitare
qu’t’as eu confiance en mon regard
comme tu pleurais tous tes secrets
le coeur brisé par un décès
t’as eu besoin d’mon âme
rien qu’de mon âme

COUPLET 3

y avait tellement pas d’place
dans l’char entre les deux bords
que t’as dormi la tête contre mon ventre
mains agrippées autour d’ma jambe
tu respirais comme UNE enfant
qui crie papa j’ai mal en dedans
t’as eu besoin d’mes ailes
rien qu’de mes ailes

COUPLET 4

mes doigts dans tes cheveux disaient
oh sois bénie amie
j’ai pas eu d’femme entre mes deux bras
depuis deux ans et demie, amie
pour toutes celles que j’ai mal aimées
que j’ai souvent abandonnées
j’ai eu besoin d’tes larmes
rien qu’de la beauté d’tes larmes

COUPLET 5

ca s’est passé le 8 juillet 2008 pas loin d’la mer
à Natasquan entre les tentes
dans un camping inou completement désert
que ma chanson chante le mystere
d’un homme et d’une femme sur cette terre
qu’y ont eu besoin d’leurs peines
rien qu’de leurs peines
en dessous dl’leur chair humaine

Pierrot
vagabond céleste

L’INVENTION PAR L’ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) DE NOS ARCHÉTYPES HOLOGRAMMIQUES (MARLENE LA JARDINIÈRE, MICHEL LE CONCIERGE, PIERROT VAGABOND) CONSTITUENT LA MISE EN FORME D’UNE CARTOGRAPHIE D’ONÉRISMES EUMÉTRIQUES FAVORISANT LE PASSAGE DES CONCEPTS AUX ABCEPTS POUR ÉCHAPPER AU RÉDUCTIONNISME DU CARTÉSIANISME… LE TOUT SOULEVANT L’ÉMERGENCE D ELA QUESTION SUIVANTE: QUELLES SONT LES CONDITIONS ÉPISTÉMOLOGIQUES POUR PASSER PARADIGMATIQUEMENT D’UNE ONTOLOGIE SUJET-OBJET À UN RFÉMISSMEENT ONTOLOGIQUE ONDULANT PAR PURE CONTEMPLATION ACTIVE DES IMAGES AUX TRANSMAGES ET DES TRANSMAGES AUX TRANSGRAMMES, TEL UN CONTE POUR UN FEU DE JOIE OÙ CHAQUE BRINDILLE SE VIT COMME UN DÉBRIS MULTIVERSEL DE LA MÉMOIRE DU COEUR DANS UN CHAMP CONSTELLAIRE WOW-T=2.7K? ….

Le vagabond céleste fut un évènement fondateur de l’errance poétique dont la forme eumétrique s’invite sous la mise en feu de joie d’un archétype hologrammique.

Un feu…. demeure un symbole qui garde la puissance contemplative interrogative de l’homme des cavernes au transhumain numérique…. et toute vie personnelle oeuvre d’art qui marche son rêve big bang dans le fragment éclatif de la beauté du monde fractalisée se vit comme UN CONTE POUR UN FEU DE JOIE.

Encore aujourd’hui, quand je repense à mon vagabondage à travers le Canada, je ne peux que m’émerveiller du fait que je fus protégé de l’angoisse, de la peur de mourir, de ne pas manger, d’être abandonné….

Je vivais un dénuement extrême mais j’étais milliardaire de poésie… Aujourd’huii j’ai les mots…. j’étais un archétype hologrammique habitant une poésie onti-kha-tive par la douceur extatique des débris de la mémoire du cœur qui m’étaient contés, racontés, vécus sous mes yeux, dans des instants événementiels à couper le souffle.

J’étais poésie, j’étais chanson… poésie de la condition humaine en marche vers la beauté du monde, chanson de la souffrance chantant la solidarité des plus petits … conte pour un feu de joie….

Je me rappelle ce mexicain qui ne parlait ni français et à peine anglais… à Caraquet… il me disait: I’m INVISIBLE… i’M INVISIBLE…. il souffrait de n’être rien pour personne….

Les étoiles tentaient de lui parler… elles le voyaient… il ne pouvait les voir… Je ne pus rien faire pour lui… j’étais démuni…. Ma pauvreté plus grande que la sienne me couvrait d’or, d’encens et de beauté du monde….

J’étais vagabond céleste… j’étais hologramme… lui cherchait son hologrammie… mais elle ne passe que par un rêve,… un onerisme big bang…. du moins dans le sens de Merleau-Ponty, cette conviction correspond à une FOI PERCEPTIVE… à un voir du cœur…

LE VOIR DU COEUR… c’est ce que je lui offris à chaque fois que nous nous croisâmes dans le village… un voir du cœur par une poignée de main…..

Pierrot vagabond

A POSTERIORI, L’INVENTION DES ARCHÉTYPES HOLOGRAMMIQUES FUT LA CONSÉQUENCE D’UNE LONGUE LISTE D’OBSERVATIONS CARTOGRAPHIQUES DE DIFFÉRENTS RAPPORTS ENTRE L’EUMÉTRIE ET LES HUMEURS…. QUI CONTRÔLE L’EUMÉTRIE PAR UNE CONTRE-PASSION RESCARTIENNE (LA GÉNÉROSITÉ) CONTRÔLE LA MISE EN FORME DES QWALIAS , FONDEMENT MÊME DE L,ERRANCE POÉTIQUE DESSINANT MULTIVERSELLEMENT LA BEAUTÉ DU MONDE.

ANECDOTE 1

Dans la cabane de paille de Chantal Poissant, ermite de St-Felix d’Otis, je dormais sur le sol …. et elle dans un lit de branches de sapin … C’était tout petit… Comme elle relevait de maladie et que nous pratiquions tous deux la chasteté, nous finîmes par dormir ensemble dans son petit lit de branchages de sapin.

Il faut dire , qu’en plus, à l’entrée une autre cabane de paille annexée abritait papa Lama et Maman Lama , 3 poules et un coq. …. L’ermite, maman Lama et les poules avaient leurs humeurs… et cela m’intriguait beaucoup de voir la similitude de comportement  dans les trois formes de vie animales- humaine…

Commençons par le coq et ses trois poules…. la petite communauté avait ses rituels…. Le soir, les poules perchaient sur un bâton vertical et le coq n’allaient les rejoindre que lorsqu’il avait fait le tour de l’intérieur de son abri pour vérifier si tout le groupe était protégé du renard. … Le matin…Le coq se levait le ier …. il allait à la recherche de vers…. Il chantait pur dire aux poules… vous pouvez descendre… non seulement vous êtes en sécurité (pas de renard à l’horizon) , mais j’ai des vers pour la plus méritante…. Quand je sortais du lit de branchage de l’ermite… le coq courait après moi pour me picoter pour bien indiquer aux poules qu’il se battait pour elle… L’ermite m’avait conté que si les poules n’avaient plus confiance au coq, elle pouvaient aller aussi loin que le tuer….

Un jour, l’ermite reçut en cadeau trois nouvelles poules…. Le coq vécut une très grande joie… mais la guerre prit entre les poules…. les trois vieilles poules allèrent se cacher ailleurs dans la cabane pour pondre… les nouvelles poules émigrèrent dans un coin de forêt… le coq se promena entre les deux groupes de poules…. LE RENARD MANGEA LE COQ.

L’ermite n’avait pas d’argent pour acheter un coq… le renard mangea 2 poules, puis une troisième… L’ermite construisit une petite cabane pour enfermer ses poules la nuit… PROMISCUITÉ EUMÉTRIQUE» … Le matin, on retrouva les 3 poules restantes toutes déplumées et en sang….

L’ermite me proposa de passer l’hiver avec elle dans sa cabane, avec ses 3 poules et ses deux lamas… J’eu peur qu’il m’arriva EUMÉTRIQUEMENT le même sort que le renard et les poules… je m’enfuis de nuit ….

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2EME ANECDOTE

L’ermite avait dans la même cabane que ses poules et son coq… deux lamas… Durant toute l’année, papa Lama tente de faire l’amour à maman Lama mais elle lui crache dans la face… Papa Lama tourne autour…maman Lama gémit quand il est trop proche et gémit aussi quand il est trop loin…

Mais arrive ce fameux deux semaines où maman Lama veut avoir un enfant.. et là Papa Lama se paye la traite en s’imaginant que cela va durer toute sa vie …. au moment où je suis arrivé…Maman Lama était à veille d’accoucher…

Et là… dès que maman Lama a accouché, Papa Lama doit lui faire l’amour durant au moins une semaine pour nettoyer l’utérus.. et soudain… maman Lama lui crache dans la face… et voilà une nouvelle année de sevrage pour papa Lama… Mais là, maman Lama veut élever son petit… mais elle veut le faire en toute sécurité … Alors Papa Lama est convoqué À UNE EUMÉTRIE OPTIMALE… juste à la bonne distance… Maman Lama gémit et lui crache dans la face quand Papa Lama s’approche trop et gémit quand Papa Lama s’éloigne trop….

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3EME ANECDOTE

Sur ma rue, quand j’étais petit, les hommes avaient leur cabane en arrière de leur maison…. Ils arrivaient du moulin… et s’enfermaient dans leur cabane les mauvais jours (les jours des humeurs féminines)  … Quelle intelligence eumétrique… les femmes voulaient élever leurs enfants… mais voulaient être protégées…. et les hommes de ma rue… respectaient l’eumétrie de leur couple pour le meilleur bien de leurs enfants qui voyageaient entre les deux zones de confort….

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LES ARCHÉTYPES HOLOGRAMMIQUES DE MARLENE LA JARDINIÈRE, MICHEL LE CONCIERGE ET PIERROT VAGABOND.

J’oserais dire que la distance entre Marlene Auld et Marlene la jardinière, Michel Woodard et Michel le concierge, Pierrot Rochette et Pierrot vagabond est UNE INVENTION CARTOGRAPHIQUE DES LOIS DE L’EUMÉTRIE DES AFFECTS que j’ai peu à peu théorisées sur ma route de vagabond céleste….

Dans le contexte de cette invention… je dirais que nous avons peut-être expérimenté cette fameuse contre-passion de Descartes (la générosité) par l’archéométrie hologrammique pour faire en sorte que les passions tristes et les passions passives joyeuses ne viennent pas intoxiquer la fluidité au quotidien d e notre équipe de recherche…

Et c’est peut-être en ce sens que les qwalias peuvent multiversellement faire scintilles des débris de la mémoire du cœur entr enos archétypes par les 3 lois (les trois wow, la position des trois peintres, les trois archétypes hologrammiques)

LA BEAUTÉ DU MONDE PASSE PAR LE RESPECT EUMÉTRIQUE , PAR L’INTELLIGENCE DU COEUR QUI EN DÉCOULE… possiblement tel un des fondements de toute vie personnelle oeuvre d’art…

Pierrot vagabond

 

 

DES ARTISTES MONTRÉALAIS S’EMPARENT DE LA FRONTIÈRE ENTRE LES ETATS-UNIS ET LE MEXIQUE

Des artistes montréalais s’emparent de la frontière entre les États-Unis et le Mexique

L'oeuvre représente des faisceaux lumineux au-dessus de la frontière.

L’oeuvre d’art public sera présentée du 13 au 24 novembre.

Thomas Gerbet

La clôture est ultra-sécurisée, mais elle n’arrête ni le son ni la lumière. Quand l’art et la technologie rencontrent la politique internationale, l’oeuvre promet d’être spectaculaire.

Vues du ciel, El Paso l’américaine et Ciudad Juarez la mexicaine ressemblent à une seule et même grande ville. Mais un fleuve les sépare : le Rio Grande, ainsi que des kilomètres de clôture.

Une équipe montréalaise, dirigée par l’artiste mexicano-canadien Rafael Lozano-Hemmer, a obtenu le feu vert des autorités pour créer une oeuvre d’art public de grande ampleur par-dessus la frontière, baptisée Border Tuner.

« On veut rendre visibles les liens très forts qui existent entre les deux villes », explique l’artiste, en entrevue à Radio-Canada.

Schéma illustrant l'emplacement des stations.Agrandir l’image (Nouvelle fenêtre)

Emplacement des stations de chaque côté de la frontière

Des cactus sont représentés sur le mur.

COURRIEL DE MON AMI ARNAUD QUI A BEAUCOUP TOUCHÉ MON COEUR DE GRAND-PÈRE DE LA BEAUTÉ DU MONDE

Merci a toi ami Pierrot Vagabond au fait et dans le suivi du rêve de diplomation des femmes 2.0 de rappeler que le constructivisme radical du féminisme invite a notre propre déconstruction du programme masculin encore fortement axé sur la libération sexuelle de la libido. L’homme, contrairement a la femme occupée a juste titre a affirmer sa place dans la société, dispose finalement d’une grande liberté, d’un espace énorme pour questionner, travailler par l’action chaque faille de notre matrice civilisationnelle en déclin ou en transition… La libido a plus que jamais d’infinies possibilités de réinvestissements créatifs révolutionnaires. A chacun de trouver le sien. Le sexe peut bien attendre..

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Merci Arnaud
j’ai pris sur moi de publier ce courriel
au cas où d’autres hommes en déconstruction heureuse se sentiraient convoqués par ton intelligence du cœur

Pierrot vagabond

LE MULTIVERS EXIGE DE NOUS CRÉATION BIG BANG POUR QUE NOUS EN AYIONS L’EXPÉRIENCE BIG BANG… SOIT CELLE DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE …. LA CHAIR DU COEUR DE MILLIONS D’ENFANTS QUI SE MEURENT DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE SE TISSE DE DÉBRIS MULTIVERSELS DE LA MÉMOIRE DU COEUR…. DES QWALIAS QUI RÊVENT LA BEAUTÉ DU MONDE…. COMME DES ÉTOILES FILANTES DANS L’ÉPOPÉE DE L’ÉNIGME TISSÉE DU VIVANT INTISSABLE…. L’ERRANCE POÉTIQUE SE FAIT FEU D’HUMANITÉ DANS UNE EAU DISSEMBLABLE…. L’ONTOLOGIE SE FAIT ÊTRE PAR LA FISSURE MÊME DE L’ÊTRE COMME POROSITÉ DE LA COMPASSION…. LA FISSURE DU COEUR ,,,, WOW-T=2.7K?….

Un chercheur en métaphysique se nourrit d’étoiles sillonnant le cœur même de la condition humaine … la joie… qui repose sans doute sous une abduction … la pensée abstraite part à la recherche joyeuse de l’anonymat, l’humilité où l’objet comme le concept soudain danse d’abcepts…. comme si l’invisible habillait un nuit et jour comme les lucioles la nuit sautillent entre l’ombre et la lumière… dans un champ … dans une constellation…. dans un qwalia-kantique …

Ici au 24 heures informatique de l’UQAM, je puis vivre un nuit et jour sans faille… mais tout en fissure qwalienne… du gruau, des pommes, des céréales à grignoter… de l’eau… brûler de l’impossible…. vivre de la beauté du monde en soi pour les autres…. guenilles royales, pantouffles… je marche les corridors aux deux heures d’ascétisme nouant la chairs diseuses d’affects onti-kha-tifs qui parcourent l’échine d’une énigme…. celle de l’humanité oeuvre d’art en moi…..

Plus on se fait boson de Higgs, plus le multivers baisse le voile tissant des big bang étranges….

La vie de chercheur en métaphysique c’est l’aurore boréale d’une naissance, celle du cœur et de sa constellation au service de l’humanité oeuvre d’art.

Un conte pour un feu de joie

Pierrot vagabond

SI JE PRENDS SOIN DES RÊVES BIG BANG DU MULTIVERS, EST-CE QUE LES MONDES INFINIS DU MULTIVERS VONT PRENDRE SOIN DES RÊVES BIG-BANG DE L’HUMANITÉ EN MOI ? … DE LÀ LA BEAUTÉ ONTOLOGIQUE DU «?» QUI SEMBLE ACCOMPAGNER TOUT RÊVEUR BIG BANG COMME UNE GRANDE DAME SOURIANTE QUI S’INCLINE MAJESTUEUSEMENT DEVANT TOUTE NON-TRICHERIE EN MURMURANT… TU N’AURAS JAMAIS LA RÉPONSE… MAIS QUE DU PLAISIR À LA CHERCHER AVEC MOI ….. «WOW-T=2.7K ? » .. ……«WOW-T=2.7K?…» ….. «WOW-T=2.7K? …» DE L’INFINI MULTIVERSEL CHANTE LA BEAUTÉ DU MONDE DE CES MILLIONS D’ENFANTS QUI SE MEURENT DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE…. «WOW-T=2.7K? …» …… «WOW-T=2.7K?…» «WOW-T=2.7K…» DEUX DAMES SE LÈVENT AU FOND DE MON CERVEAU GOÉLAND SUR L’OCÉAN DES LARMES DE JOIE…. DAME HUMILITÉ ET DAME COMPASSION…. AINSI VOGUE TOUTE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART SUR LE RADEAU D EL,ERRANCE POÉTIQUE DE DAME PAUVRETÉ MYSTIQUE…. LE CHEMIN DU COEUR NANO-COSMOLOGIQUE EST LE SEUL QUI VAUT VRAIMENT LA PEINE D’ÊTRE VÉCU ….. TOUTE L’INVENTION DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE SE DESSINE NUIT ET JOUR DANS LES JARDINS DE MARLENE, LES DRONES PHILOSOPHIQUES DE MICHEL ET LES CONTES POUR UN FEU DE JOIE DE PIERROT-SIMON

Dictionnaire des concepts philosophiques
Michel Blay
art et nature
esthétique

Autant que l’art, l’esthétique se préoccupe DU SENTIMENT DE L’HOMME DEVANT LE BEAU NATUREL.

Le jardin occupe à cet égard une situation privilégiée puisqu’il est une oeuvre humaine inscrite dans la matérialité même du paysage. LE MOMENT CRUCIAL DANS L’HISTOIRE DU JARDIN, celui qui ne fait un révélateur irremplaçable DE L’ÉVOLUTION DE LA SENSIBILITÉ, se place au bout d’une évolution des trois siècles, au 18eme siècle, lorsque le succès européen DU JARDIN FORMEL FRANÇAIS (théorisé par Dézallier D’Argenville en 1709) cède la place au PARC PAYSAGE ANGLAIS  et à la flambée des jardins anglo-chinois.

Le changement fondamental ne porte pas tant sur les éléments (l’eau, le végétal, la lumière) que sur un changement de paradigme à la base des relations in situ: celui de la peinture (Pope) et de la poésie (Girardin) remplace celui de l’architecture et d’une géométrie quasi-abstraite. L’art authentique des jardins et du paysage n’est plus un spectacle qui se montre d’une manière ostentatoire, il devient UN ART CACHÉ qui procède PAR L’ÉVEIL D’UN ÉTAT DE L’ÂME plutôt que par une mise en scène des corps inspirée par la danse et le théâtre.

Si scénographie il y a, c’est celle d’une nature certes artificielle mais qui se donne comme une imitation des formes et éléments de la nature de la nature capable D’ÉVEILLER LES AFFECTS correspondants , désirés autant que révélés.

C’est pourquoi la ligne serpentine (Hutcheson) est omniprésente LES FORMES D EL’EAU sont des étangs mélancoliques  ou des lacs aux contours dissimulés plutôt qu’un canal, des bassins ou des fontaines éclatantes.

DES CHAOS ROCHEUX ET SAUVAGES prennent la place des statues équestres et autres incarnations des dieux antiques. Les pelouses se répandent JUSQU’AU SEUIL D ELA DEMEURE RECHERCHANT UN ENVELOPPEMENT, un enfouissement , de l’architecture dans le végétal plutôt que sa prééminence. Des chemins étroits sinueux et courbes s’ajoutent aux grands axes et allées droites, larges et claires, qui matérialisaient l’emprise et l’efficacité des lois de la perspective sur l’organisation de l’espace, voire les remplacent.

DES FOLIES ET DES FABRIQUES DISPERSÉES accrochent et impressionnent le regard plutôt que le détail minutieux des parterres de broderies. Des tableaux et scènes presque indépendantes l’une de l’autre se présentent tour à tour aux yeux du promeneur, reliées entre elles par le pas d’une promenade méditative plutôt que par une lecture impérative ou démonstrative.

La maîtrise symbolique et économique d’un territoire agricole étant accomplie, le jardin devient une évocation nostalgique d’un paradis perdu (Stourhead) ou d’une Acadie retrouvée.

TOUTE LA TERRE PEUT ÊTRE VUE COMME UN JARDIN QUI S’ÉTEND À L’INFINI, note Walpole au sujet de William Kent. Il ne s’agit pas seulement de perception, MAIS D’UNE INTERROGATION DE LA PLACE DE L’HOMME AU SEIN D ELA NATURE- comme en témoigne le dispositif du ha-ha (saut de loup) et de la société.

EN EXALTANT LA SOLITUDE ET LA RÊVERIE, la promenade prédispose au souci de l’intériorité et favorise UN SENTIMENT D’HARMONIE COSMIQUE . Terrain de prédilection qui flatte l’expression et l’expansion de la sensibilité humaine, le jardin est pourtant menacé dans ses codes esthétiques par l’excès du pittoresque (justement critiqué par Quatremère de Quincy en 1820 et ensuite par les effets de la mécanisation et de l’urbanisation. …

 

LE SECRET DE LA VÉRITÉ MYSTIQUE AGNOSTIQUE MULTIVERSELLE EST CONTENU FRACTALEMENT DANS LE COEUR ET DANS L’EXPÉRIENCE DE L’AMOUR COMME CONSÉQUENCE DU CHAMP CONSTELLAIRE DES DÉBRIS DE CETTE MÉMOIRE DU COEUR …. DE LÀ CES DRONES PHILOSOPHIQUES QUE CONSTITUENT LES APHORISMES DE MON AMI ET COMPLICE CONCEPTUEL MICHEL LE CONCIERGE, SI INSPIRÉ PAR SON AMOUR POUR MARLENE LA JARDINIÈRE

Michel le concierge,
3 aphorismes au conseil d’administration de la créativité de ce matin:

1: Selon ta disposition, la droiture ou la tricherie t’attend au prochain détour

2: La joie de vivre est dans le jeu …. les enfants qui se courent…. les écureuils qui se courent…. les oiseaux qui se courent …. la prochaine étape consiste à inviter les gens à leur tour à leur vie personnelle oeuvre d’art… pour trouver la joie de vivre des enfants, des écureuils et des oiseaux qui se courent.

3: L’effet wow, c’est quand on a tout d’un coup l’impression de se trouver en harmonie avec le big bang …. signé wow-t=2.7k?…

ME VOILÀ RENDU À UNE ÉTAPE DE MA VIE DE CHERCHEUR OÙ LA JOIE INOUIE DE 13 ANS DE MATURATION ÉPISTÉMOLOGIQUE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) BIEN ARCHIVÉE ET BIEN POÏÉTIQUÉE DONNE À NOTRE INVENTION DE LA MÉTHODOLOGIE DE LA MÉMOIRE DU COEUR UN CHAMP EXPLORATOIRE PARADIGMATIQUE DES PLUS FASCINANTS… JE SORS DE MOINS EN MOINS, JE DORS DE MOINS EN MOINS, JE MANGE DE MOINS EN MOINS, JE SUIS HEUREUX D’ASCÉTISME VÉCU EN SILENCE DANS MYSTICISME AGNOSTIQUE OUVRANT SUR UNE MÉTAPHYSIQUE ONTHI-KHA-TIVE OÙ JE SALUE BIEN BAS LES BOTTES DE MON GRAND-PÈRE LUCIEN DANS LE CIEL ÉTOILÉ DES LARMES DE JOIE DE MA GRAND-MÈRE LUMINA, ME BERÇANT AUX HORIZONS POÉTIQUES DE L’HUMANITÉ EN MARCHE VERS SON RÊVE BIG-BANG OEUVRE D’ART COMME LE FAISANT MON GRAND-PÈRE LEFEBVRE QUAND IL FUMAIT SA PIPE EN ÉCOUTANT MA MÈRE PARLER DE SON BONHEUR D’AIMER MON PÈRE ET SA TROMPETTE… LES QWALIAS DE MON ENFANCE À LA TUQUE ME CONVOQUENT … LA RIVIÈRE ST-MAURICE, LE PETIT LAC ST-LOUIS…. L’ÉPOPÉE D’UNE POÉSIE QUI M’HABITE DONT JE N’AURAIS JAMAIS SOUPÇONNÉ LE TENDRESSE ET LA DÉLICATESSE DE VIVRE…. VOILÀ LES FLEURS QUE J’AI DÉ.POSÉ CETTE NUIT SUR LES TOMBES DE MILLIONS D,ENFANTS MORT DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE… LES FLEURS D EL’IMPOSSIBLE, LES FLEURS D ELA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE… UN RÊVE BIG BANG DANSANT AU FOND D’UNE ÉNIGME MULTIVERSELLE ….. LA VIE.

Pierrot vagabond