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PLUSIEURS SCIENTIFIQUES SOUTIENNENT QUE LE MULTIVERS EXISTE VRAIMENT? … ET SI L’ON POUVAIT S’IMAGINER QUE LE «2.7K?» DU BRUIT DE FOND COSMOLOGIQUE DU BIG BANG DE NOTRE UNIVERS EN ÉTAIT L’ONDE RADIO PAR EXCELLENCE DE LA NON-TRICHERIE PAR LA SYNCHRONI-VIE-TÉ? ET SI TOUT JARDIN CONSTELLAIRE CONSTITUAIT PAR «WOW-T=2.7K?» UNE CLÉ QUANTO-COSMOLOGIQUE CONSTRUCTIVISTE DONNANT ACCÈS AUX QUALIS CONSTITUANT LES CARACTÉRISTIQUES DE LA BEAUTÉ DU MONDE?l

Le dessin-cahier à la Paul Valery de la page 28 ne fait que abductiver de façon constructiviste l’effet miroir du champ constellaire issue de la non-tricherie sur le «2.7k?» longueur d’onde par synchroni-vie-té du multivers hologrammes autant de fois que le prévoit la théorie des cordes.

à suivre…

Pierrot vagabond

SUITE DU TITRE DU 20 PAGES DE MARLENE LA JARDINIÈRE DANS LE IER CHAPITRE DU DOCTORAT SUR LA NON-TRICHERIE ( MARLENE LA JARDINIÈRE OÙ LE JARDIN CONSTELLAIRE D’UN RÊVE BIG BANG)… JE SUGGÈRERAI À L’ÉQUIPE QUE NOUS MODIFIONS L’ÉTIQUETTE GLOSSAIRIQUE DE «CHAMP CONSTELLAIRE» POUR CELLE DE JARDIN CONSTELLAIRE»… CE QUI NOUS FACILITERA LA DÉMONSTRATION DIFFÉRENTIELLE ENTRE DES DÉSIRS ET UN RÊVE BIG BANG

Ce qui est extraordinaire dans la méthodologie post-propédeutique des dessins- cahiers à la Paul Valery, c’est qu’il est possible de modifier chirurgicalement certaines étiquettes glossairiques qui s’articulent mal dans l’harmonisation et interactions des phases historiales d’une démonstration.

Par exemple, en travaillant avec Marlene la jardinière à sketcher son 20 pages par la nouvelle caméra de Michel, il nous est apparu que l’étiquette de «JARDIN CONSTELLAIRE» faisait un bien meilleur travail que l’étiquette de «CHAMP CONSTELLAIRE».

Ainsi, dans le dessin-cahier à la Paul Valery, p.27, j’ai pu dessiner une petite boîte noire de la non-tricherie à partir de laquelle émerge un grand jardin constellaire dans lequel et DANS LEQUEL SEULEMENT peut y naître une petite poussière d’étoile constituant un rêve big-bang.

En fait, comment dans ce jardin constellaire différencie-t-on un rêve big-bang des centaines de désirs qui l’entourent? Simplement par le fait que le rêve big-bang, si petit soit-il crée un IMMENSE WOW qui convoque la personne humaine à sacrifier la plupart de ses désirs de façon à ce que le -t (la non-tricherie) succède au wow alors qu’avant l’émergence du jardin constellaire, la non-tricherie précédait tout émergence de jardin constellaire.

à suivre…

Pierrot vagabond

COURRIEL DU GRAND CONTEUR INTERNATIONAL SIMON GAUTHIER

Simon Gauthier <simondufleuve@gmail.com>
À
Pierre Rochette
Aujourd’hui à 6 h 24

Allo Pierrot, j’ai sauvergardé les fichiers dans 2 endroits
de mon jardin
Merci pour la confiance

et
je crois être ne mesure de vagabpnder vers la tuque avec toi en juin
Je Te ferai la lecture, tu dessineras!
Sim
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RÉPONSE DE PIERROT

Que tu m’accompagnes lors de mon dessinage de pensées abstraites à La Tuque pour partir à la recherche de la mémoire des lieux, celle des qualis cachés dans le jardin constellaire des non-tricheries de mon père m’enchante Simon…

Car tu vois,
j’ai acquis la conviction que ce doctorat, par le ier chapitre racontera la genèse de toute personne humaine qui prend la décision d’arrêter de tricher… l’émergence d’un jardin constellaire devenant une serre pour une graine qui s’appelle un rêve big bang.

Le deuxième chapitre commence donc par cette graine dans le jardin constellaire de la non-tricherie… Un wow fabuleux, un -T théorisé et un 2.7k? énigmatique….. Ce 200 pages sera consacré à l’algorithme social «wow-t=2.7k?» qui non seulement construit tout humain qui ne triche pas, mais qui a construit la ville de La Tuque quand le rêve big bang de la ville fut la musique au moulin de papier… La Tuque devenant un petit pays œuvre d’art comme l’avait imaginé Frank Scott sans être capable dans dessiner les lois texturales. Autant pour les personnes humaines que pour les collectivités, on y retrouve les trois phases d’onti-k-ation : 1) LA NON-TRICHERIE…2) LE JARDIN CONSTEILLAIRE…3) ET DANS CE JARDIN CONSTELLAIRE, UNE GRAINE D’UN RÊVE BIG-BANG.

Le troisième chapitre du doctorat consacré à la nano-citoyenneté-planétaire démontrera qu’institutionnellement, dès qu’on instaure le tirage au sort à l’échelle planétaire par une application algorithmique sur les milliards de téléphone cellulaire, on institutionnalise planétairement 1) la non-tricherie….2) un jardin constellaire planétaire de la non-tricherie… 3) une graine de rêve big bang… répondant à la question du doctorat:

QUELLE INSTITUTION PLANÉTAIRE FAUT-IL INVENTER POUR QUE SUR TERRE, PLUS AUCUN ENFANT NE MEURE DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE?

Et c’est en ce sens qu’au théâtre empire de mon enfance où on passait des films de John Wayne,. John Wayne était non pas le bien contre le mal, non pas le non-tricheur contre les tricheurs, mais finalement en l’intérieur de toute personne humaine, la non-tricherie contre la tricherie….

Et mes dessins à La Tuque partiront à la recherche des non-tricheries des John Wayne que furent mon grand-père Lucien, mon oncle Paulo et mon père Roger Rochette

Pierrot vagabond
ton céleste

LE 15 DE MAI 2019, IL Y AURA 45 ANS QUE PIERROT DAVID ET PIERROT ROCHETTE AURONT FONDÉ LA BOÎTE À CHANSONS DES DEUX PIERROTS DU VIEUX MONTRÉAL… VOICI POURQUOI JE NE SERAI PAS PRÉSENT À LA FÊTE DES CHANSONNIERS….

Si je n’ai jamais assisté au récit philosophique que le grand conteur international Simon Gauthier fait de ma vie avec «le vagabond céleste» à travers la francophonie depuis 7 ans déjà, ce n’est pas parce que je n’aime pas Simon… au contraire… mais c’est par respect pour l’anonymat et la quiétude que demande une recherche en pensées abstraites pointues (théoritique) à laquelle notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) se consacre depuis maintenant 12 ans.

Si je n’ai pas assisté et n’assisterai pas aux spectacles du brillantissime Fred Pellerin où Fred raconte en rappel et mon histoire et chante ma chanson du camionneur, ce n’est pas parce que je n’aime pas Fred… au contraire… mais c’est pour l’anonymat et la quiétude que demande une recherche en pensées abstraites pointues (théoritique) à laquelle notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) se consacre depuis maintenant 12 ans.

En conséquence de quoi

Si je n’assisterai pas à aucune fête des deux Pierrots d’ici ma mort, ce n’est pas parce que je n’aime pas mes camarades de carrière… au contraire… mais c’est pour l’anonymat et la quiétude que demande une recherche en pensées abstraites pointues (théoritique) à laquelle notre équipe de recherche se consacre depuis maintenant 12 ans.

BON 45 ANS
À TOUTE L’ÉQUIPE
DES DEUX PIERROTS

Pierrot vagabond

LA DRAMATURGIE DES TROIS ONTI-K-ATIONS SE PRÉCISE…. LA IERE CELLE DE LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART (MARLENE LA JARDINIÈRE, MICHEL LE CONCIERGE, PIERROT VAGABOND), LA SECONDE CELLE DE LA VILLE LA TUQUE OEUVRE D’ART PAR LA MUSIQUE CLASSIQUE DU MOULIN À PAPIER ET LA TROISIÈME CELLE DE L’HUMANITÉ EN MODE DE NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE… LES TROIS STRATES REPOSANT SUR LES TROIS MÊMES MÉTAMORPHOSES: (LA NON-TRICHERIE, LE CHAMP CONSTELLAIRE ET LE RÊVE BIG BANG)

Le dessin 24 du dessin-cahier à la Paul Valery m’est venu comme une révélation. J’étais en train d’écouter la pluie et l’orage dans la fenêtre sur you tube, emmitouflé dans mon foulard de l’UQAM et mes grosses mitaines d’hiver… Puis soudain…. le fil d’or de la dramaturgie qui enfile les connecteurs des trois chapitres de notre doctorat (Auld, Woodard, Rochette).

Cette dramaturgie que je cherche depuis tant d’années n’a plus maintenant qu’à rassembler les morceaux de courtepointe qui traînent dans les 6000 pages de ce blogue, bien archivées entre une base de données numéroté selon la temporalité et sa forme glossairique avec les mêmes numéros, mais entrelacés par thème…

J’y suis… J’y suis vraiment… le passage de la vie personnelle œuvre d’art (Ier chapitre, la non-tricherie) ) à la ville de La Tuque ou pays oeuvre d’art (wow-t=2.7k?» mène incontournablement et dramaturgiquement à la nano-citoyenneté-planétaire, donc à l’institut d’intelligence artificielle de Montréal et au prix Nobel de la paix parce que, selon notre argumentaire…

DANS LES TROIS CHAPITRES
CE SONT LES MÊMES TEXTURES DE L’ONTI-K-ATION

A) LA NON-TRICHERIE
B) LE CHAMP CONSTELLAIRE
C) LE RÊVE BIG-BANG.

à suivre…

Pierrot vagabond

LE FIL D’OR DU DOCTORAT DE L’ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) DONT LE TITRE EST : DE LA NON-TRICHERIE À «WOW-T=2.7K?» : LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE…. CONSISTERA À DÉMONTRER QUE L’ONTI..-K..TION DE LA PERSONNE HUMAINE (NON-TRICHERIE, CHAMP CONSTELLAIRE, RÊVE BIG-BANG) POURRAIT SUIVRE CINSTRUCTIVEMENT ET ABDUCTIVEMENT LES MÊMES PHASES DANS CE QUI CONSTITUE LE TROISIÈME CHAPITRE, SOIT L’ONTI..K..TION DE L’HUMANITÉ (NON-TRICHERIE INSTITUTIONNELLE, CHAMP CONSTELLAIRE INSTITUTIONNEL ET RÊVE BIG BANG INSTITUTIONNEL)

J’y arrive vraiment…

question de doctorat:

QUELLE INSTITUTION FAUT-IL INVENTER POUR QUE SUR TERRE PLUS AUCUN ENFANT NE MEURE DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE?

réponse de doctorat

LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE

titre de doctorat:

DE LA NON-TRICHERIE À «WOW-T=2.7K?» : LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE

les trois chapitres du doctorat
1: la non-tricherie
2: «wow-t=2.7k?»
3: la nano-citoyenneté-planétaire.

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introduction du ier chapitre (la non-tricherie)

CHAPITRE 1: LA NON-TRICHERIE
DE L’ONTI-K-UE À L’ONTI-K-ATION DE TOUTE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART

Dans un premier temps, par TROIS RÉCITS TIRÉS DE L’ ONTI-K-UE EXISTENTIEL, ce ier chapitre réfléchira sur la condition humaine et cela discursivement à partir des propos contextualisés de trois archétypes hologrammiques : Michel Concierge (la tricherie), Marlene la Jardinière (le jardin constellaire) et Pierrot Vagabond (le rêve big-bang), avec comme fondement axiomatique le fait que, pour ces trois archétypes, la décision de ne pas ou de ne plus tricher POUR SE RENDRE DISPONIBLE À AUTRE CHOSE, A, SELON LES TROIS, RADICALEMENT CHANGÉ LEUR VIE,

Dans un deuxième temps, nous avancerons l’hypothèse constructiviste SUIVANTE : Dans les trois cas, la non-tricherie semble s’accompagner de l’émergence d’un CHAMP CONSTELLAIRE dont nous tenterons d’articuler les mécanismes texturaux en les contrastant avec ceux de la didactique spéculative du 18eme siècle (Kant, Scheller, Goethe, Hegel) tout comme avec l’existentialisme continental du 20ième siècle (Jaspers, Mounier, Heidegger et Sartre), creusant ainsi la différence entre LA NOTION DE PROJET sous-entendant les deux démarches antérieures et celle DE RÊVE BIG-BANG AU 21EME SIÈCLE de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette).

Dans un troisième temps, PAR LA THÉORISATION DU PASSAGE DE L’ONTI-K-UE À L’ONTI-K-ATION PUIS DE L’ONTI-K-ATION À LA VIE PERSONNELLE ŒUVRE D’ART, Nous conclurons cette avancée théoritique (non-tricherie, champ constellaire, rêve big-bang) par la mise en axiome de l’énoncé suivant : toute décision de ne pas ou de ne plus tricher constitue une initiation à la vie personnelle œuvre d’art par un champ constellaire déclencheur d’un rêve big bang ouvrant la porte à l’invention nano-planétaire d’un algorithme social : «WOW-T=2.7K?». pouvant se viraliser par une application disponible sur des milliards de téléphones intelligents.

Ceci dit, laissons d’abord la parole à notre ier archétype hologrammique : Michel le concierge :

à suivre…
Pierrot vagabond

QU’EST-CE QUI ME REND SI FÉBRILE COMME LE ROSEAU DE PASCAL?… C’EST D EM’APERCEVOIR À 70 ANS, QUE J’AI DU BRÛLER BEAUCOUP D’ARTÉFACTS-ENLISEURS SUR MA ROUTE D’HOMME LIBRE POUR POUVOIR, COMME UN FUNAMBULE AU-DESSUS DE LA CHÛTE NIAGARA, MARCHER LE FIL D’OR DE L’ERRANCE POÉTIQUE ENTRE LES DEUX BERGES DE L’IMPOSSIBLE… CELLE DE LA NAISSANCE ET CELLE DE LA MORT…

Je vis mes nuits et jour avec mon petit cahier-dessins à la Paul Valery… Je sens bien que pour avoir accès aux qualis qui se cachent quelque part dans les lieux de mon enfance, je dois creuses la tragédie de la facticité dans laquelle les capitalistes protestants autant que l’ultra-montisme catholique enlisaient hommes et femmes d’ailleurs pour garder dans une abondance relative captive une masse de travailleurs au moulin à papier.

Je me rappelle, un jour. J’étais étudiant en philosophie à l’Université de Montréal, j’arrivais du Japon avec les Contretemps… et de dire à mon père: Nous autres, Dieu, en philosophie, on met ça entre parenthèse parce que ça nuit à nos recherches…

Mon père de me faire une de ses rares colères qui me surprit d’ailleurs: «Je ne t’ai pas envoyé à l’université pour pelleter des nuages… si tu renies le christ sur la terre… il te reniera dans les cieux…»

Je fus sidéré… Je ne dis mot…. mais je sentais bien que le chemin de la liberté ne passait pas par là… Ni d’ailleurs par le département de philosophie de l’université de Montréal où l’enseignement était des plus pitoyables… Plusieurs professeurs européens, frustrés de ne pas avoir de travail dans leur pays, plus ou moins vocationnels devant le manque de culture d’une pensée abstraite bénéficiant d’une tradition d’un jeune pays en émergence…

On n’a qu’à penser que notre premier philosophe québécois répertorié fut en fait le felquiste Vallières et le premier chapitre de son livre écrit en prison à New York : NÈGRES BLANCS D’AMERIQUE.

Des croyances prises pour des vérités, des conventions prises pour des dogmes, des opinions prises pour des argumentaires… comme tout rendait fragile autant que fébrile un hobo de je ne savais quoi encore….

Comme ce fut long … comme ce fut long cette route de l’homme libre… cette route de l’errance poétique qui ne doit rien à personne et qui se signe anonyme pour mieux dessiner la beauté du monde en algorithme social….

Plus j’avance, plus je m’en veux de ne pas garder silence… Bien sur je garde des traces dans ce blogue en vue d’alimenter le fondement théoritique du doctorat par la poïétique… Mais je me fie peut-être un peu trop au bric-à-brac du tout pour me protéger de la lecture de paires d’yeux indélicats…

Une chance qu’il y a LES JARDINS CONSTELLAIRES DU RÊVE BIG BANG DE MARLENE, LE PARC CONSTELLAIRE DU RÊVE BIG-BANG DE MICHEL ET LE PETIT LAC ST-LOUIS CONSTELLAIRE DU RÊVE BIG BANG DE PIERROT pour m’apaiser…

Giono avait bien compris dans l’homme qui plantait des arbres, la beauté énigmatique de la mémoire des lieux… là où marchent les non-tricheurs, là ou dansent les qualis du multi-vers sous le feu éblouissant de la beauté du monde.

Pierrot vagabond

LE VAGABOND CÉLESTE MARCHE L’UQAM COMME GRAND-PÈRE LUCIEN, MON ONCLE PAULO ET MON PÈRE ROGER MARCHAIENT LA VILLE DE LA TUQUE…. PAR LES LOIS DE LA MUSIQUE CLASSIQUE TELLES QUE LES TRAVAILLEURS DU MOULIN À PAPIER AVAIENT APPRIS À JOUER EN HARMONIE POUR POVOIR CÉLÉBRER LA BEAUTÉ DU MONDE PAR LEURS INSTRUMENTS

N’IMPORTE QUI
QUI NE TRICHE PAS
FAIT DES LIEUX QU’IL MARCHE
LE RÉCEPTACLE
DES QUALIS
DE LA BEAUTÉ DU MONDE

ET CELA
DE FAÇON UNIVERSELLE.

Puisque j’ai arrêté de lire et que je me consacre à mes dessins qui ne parlent que des lieux de mon enfance où , selon mon hypothèse, se cachent les qualis du multivers, je me rends compte que cet été, je vivrai à La Tuque, y prendrai une chambre et marcherai le quadrilataire que marchaient chaque jour Mon grand-père Lucien, mon oncle Paulo, et mon père Roger…

Non seulement ils étaient unis par la musique classique (qui oblige une ville à enseigner la beauté du monde par l’harmonie musicale), mais ils apprenaient que lorsque tu joues en gagne de la musique classique, la moindre tricherie devient une fausse note intolérable à l’oreille.

Alors, dimanche le 24 mars 2019, après notre conseil d’administration de la créativité du matin avec Marlene et Michel, je suis allé à l’UQAM pour écrire 3 blogues, puis faire mes dessins et enfin écouter un autre film de John Wayne.

John Wayne était notre code de conduite duquel trônait notre hégémonie mâle sur la mise en épique d’un quotidien difficile. Maurice Richard, Roger Rochette Gaston Lebel et John Wayne, c’était la même chose… Tout ce que les curés pouvaient faire, c’est de contrôler par leurs femmes au confessionnel le côté trop sauvage d’une liberté issue des coureurs des bois. Ce qui donnait un féminisme chrétien, un matriarcat en colère dirigé par des curés tricheurs. Mon grand-père Lucien qui avait été bedeau d’une paroisse m’avait dit que sur trois prêtres du presbytère, l’un était un pédéraste, l’autre un alcoolique et le troisième lui semblait avoir de l’allure.

Nous les petits gars, pour grandir, il fallait se sauver et de nos mères, et de nos curés, et regarder bien droit du côté des hobos pour faire exploser un horizon tentaculaire.

Il y avait 2 voies ferrées aux deux extrémités de la ville de La Tuque. La petite d’en haut qui menait au moulin à papier et qui séparait les capitalistes protestants qui ne parlaient qu’anglais et à l’autre extrémité, la grande voie ferrée et les hobos qui nous enseignaient la liberté en sautant des dessus des wagons de train…

Entre les deux, nous les enfants-garçons , on jouait à Zorro et à John Wayne. On apprenait les codes sociaux qui aujourd’hui ne pourraient même plus être enseignés dans les écoles à cause du féminisme radical qui, de bon droit je crois, donne enfin aux femmes du 21eme siècle un droit et un devoir de respect et d’équité.

Mais quand j’étais petit, si on jouait à la cachette avec les filles, souvent, on les laissait dans leurs cachettes sans essayer de les trouver parce qu’entre temps nous les petits gars on avait changé de jeux…

Notre rue Gouin, c’était le fondement même de la texture dysfonctionnelle d’une liberté avachie… De notre maison des Rochettes, on pouvait voir les hommes à 4h. p.m. descendre un à un la rue Tessier (celle de Felix Leclerc) avec leur boîte à lunch pendant que sur les galeries leurs femmes les attendait… Ils arrivaient… allaient dans leur atelier… 2 bières….

Mon père était pour l’époque un homme à peu près libre… Il ne travaillait pas au moulin, mais dans un magasin de linge et le soir à l’h¸otel, 4 soirs par semaine, il jouait de la musique… Comme il ne buvait que du lait, jamais de boisson et qu’il refusait de tricher en levant sa trompette dans les airs et en fermant les yeux, nous pouvions comparer le degré de liberté dont nous les enfants jouissions dans la maison avec celle des enfants de nos voisins.

DERRIÈRE CHAQUE PORTE
IL Y A UN DRAME…

C’est de mon enfance, je crois, que je tiens cette peur viscéral du matriarcat chrétien dirigé par des curés dans des confessionnaux….

A partir du dessin 17, faits hier après-midi… on voit le monde JOHN WAYNE» des hommes de La Tuque prendre espace… ex: P,17 une croix dans un cercle… Mon grand-père Lucien vide le salon, sort les meubles dehors, pour faire de la musique au jour de l’an… la boisson fait que ses fils et des amis se battent à coup de poingt… mais le lendemain matin, tous sans exception viennent recevoir la bénédiction familiale de Lucien Rochette (Le père de Lucien étant mort jeune en tombant d’une couverture pelletant de la neige… il est mort d’ailleurs en pleine tempête de neige… ordonnant à sa femme de jouer du petit accordéon à pitons pour faire danser les enfants en pieds de bas, pour pas qu’ils entendent le soir de Noel, les cris d’un agonisant.

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dessin page 18…

Le petit lac St-Louis en bas de la rue Gouin trône en gros… Le soir, les couples le marchent… Rachel Lebel et Pierrette Lebel y marchent main dans la main avec leur chum respectif… et soudain un soir… les deux sœurs changent leur chum.. qu’elles ont finalement marié.

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dessin p.19

Mon père dans un cercle, Monsieur Founier en arrière de chez nous qui construit sa maison à côté de la vieille cabane qu’il habite et lave et entretiens son auto… On ne voit jamais sa femme…

Et j’écris sur le dessin?

Où est ma mère?
Où est ma mère?
où est la mère de mon père?
Où sont les femmes de la ville?

Sur ma rue, les femmes élevaient les enfants comme si elles avaient été dans un terrain de camping…

Qui est ma mère?

J’ai eu trois mères je crois

a) une mère avant la télévision
b) une mère après la télévision
c) une mère avec l’arrivée d’Internet.

Mon père ne vivait que dans la beauté des qualis… ma mère … je ne l’ai jamais vraiment vu vivre une errance poétique… Pourquoi? Ma mère m’a déjà dit quelle avait été une très bonne mère de famille mais une très mauvaise épouse… Pourquoi?

Les qualis de mon enfance étaient-ils accessibles aux femmes de la ville de La tuque? Je marcherai la ville de La Tuque cet été en dessinant mes cahiers à la Paul Valery à partir de ces questions.

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dessin 20

Je suis petit… le ier de toute la famille des Rochette… le dimanche soir, ma mère me laisse écouter la t.v. jusqu’à minuit.. parce qu’elle attend que mon père rentre de l’hôtel où il joue de la musique et qu’il finira vers 3 heures du matin… Je découvre Henri Guillemin et ses conférences et surtout le ciné-club…

(www.reveursequitables.com/cahier de presse/ monsieur 2.7k/ un m d’un récit philosophique téléchargeable gratuitement sur internet)

Celle que j’appelle ma tante Rose est en larme… son mari prétextant s’acheter des cigarettes s’est enfui… on ne le reverra jamais… c’est mon frère Claude qui travaillant à l’impôt fédéral retrouvera par hasard…beaucoup plus tard… sa trace dans une autre province du Canada où l’homme a refait sa vie..

J’ai dessiné notre maison et y ai mis le mot musique… En effet, par mon père et sa trompette… notre maison ne fut que musique… au point où quelques années plus tard, il réunit le dimanche matin ses 5 ou 6 enfants et nous fit faire un chœur à 6 voix différentes. C’est ainsi que non seulement nous chantâmes devant l’appareil téléphonique ouvert pour le maire Filion, mais que, grâce à cet enseignement, je me retrouvai, l’année de l’ouverture de la Place des arts, sur scène dans une imitation de la famille Trapp avec l’harmonie de La Tuque.

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dessin 21

OÙ SONT LES QUALIS UNIVERSAUX?

J’ai dessiné des institutions, celles des protestants, celles des catholiques…. avec une croix sur le carré de l’hôpital… LES QUALIS UNIVERSAUX NE SE CACHENT PAS DANS AUCUNE INSTITUTION… POURQUOI?

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dessin 22

titre: les propriétaires du moulin à papier

absents…absents…absents…. la liberté… la vraie liberté… qui fut vraiment libre à La Tuque?… j’ai dessiné un petit carré avec un point d’interrogation à l’intérieur… et je me rends compte e écrivant ce blogue que seuls LES HOBBOS SUR LES TRAINS POUVAIENT FIÈREMENT REVENDIQUER D’ÊTRE UN POINT D’INTERROGATION À LA HAUTEUR DE LEUR CODITION HUMAINNE AFFRANCHIE… mais de quoi?

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dessin 23… la musique du moulin, la fanfare…

et j’écris… si tu veux vraiment avoir accès aux qualis du multivers, tu dois d’abord avoir accès AUX QUALIS DE TA NON-TRICHERIE. La ville de La Tuque, si je marche les pas de mon père Roger cet été quand il transportait sa trompette comme moi je transportais ma guitare, je découvrerai peut être la mémoire des lieux, comme les jardins de Marlene où le parc qu’on a donné à Michel en l’appelant de son nom en contient aussi…

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les dessins 24, 25, 26 ont été faits pendant le conseil d’administration de la créativité de ce lundi matin… Je dis à Michel: Je marche l’UQAM comme mon père a marché la ville de La Tuque, comme Félix Leclerc signait ses contrats d’une poignée de main uniquement, comme Maurice Richard comptait des buts, comme John Wayne marchait le far west, comme Zorro marchait la nuit…

 

En fait… nous avons fini notre conseil d’administration de la créativité de ce matin sur cette phrase écrite à la page 26 de mon cahier à la Paul Valery

 

N’IMPORTE QUI, QUI NE TRICHE PAS, FAIT DES LIEUX QU’IL MARCHE, DES ARTÉFACTS DE LA BEAUTÉ DU MONDE, TEXTURÉS DE QUALIS UNIVERSAUX.

à suivre..

Pierrot vagabond

 

VOICI UN EXEMPLE D’UN DIALOGUE D’UN DES FILMS DE JOHN WAYNE…. QUI FAIT QUE POUR MON GRAND-PÈRE LUCIEN, IL ÉTAIT POSSIBLE QUE SES FILS SE BATTENT À COUP DE POINGTS DEHORS LA NUIT DU JOUR DE L’AN ET QUE TOUS SE FAISAIENT UN DEVOIR LE LENTEMAIN MATIN, AMOCHÉS ET YEUX AU BEURRE NOIR, DE S’AGENOUILLER DEVANT LE GRAND PÈRE PATERNEL POUR RECEVOIR LA BÉNÉDICTION DU JOUR DE L’AN… JOHN WAYNE, C’ÉTAIT LA PHILOSOPHIE D’EN BAS POUR GENS NON ÉDUQUÉS… LA SAGESSE POPULAIRE EN PROVERBES, MORALES ET APHORISMES AU TRAVERS DES COUPS DE COLÈRE RÉGIS PAR DES CODES D’HONNEUR.

La fille de John Wayne, 18 ans peut-être
qui arrive d’un pensionnat privé
en âge d’être courtisée
et de se marier
levée très tôt…

—–

WAYNE
que fais-tu dehors?

FILLE
Je voudrais comprendre quelque chose

WAYNE
oui? quoi?

FILLE
Maman
Pourquoi maman et toi avez-vous cesser de vivre ensemble?
pourquoi vous êtes-vous séparés?
Tu ne me réponds pas?

WAYNE
non

FILLE
ça me concerne , je crois

WAYNE,
je ne crois pas, non

FILLE
Il y a une autre femme?
c’est pour ça en général.

WAYNE
à ton âge, on généralise tout.

FILLE
C’est madame Warren?

WAYNE
Becky, je ne voudrais pas fixer des règles, dès ton retour à la maison… mais je ne veux pas parler de d’ça… J’ai connu Madame Warren la semaine dernière, Elle travaille ici et fait ce travail très bien. J’espère que tu auras la courtoisie… de ne pas te mêler des affaires des autres… celles de ta mère et des miennes…

FILLE
bien tiré Papa (Wayne a tué un oiseau)
Je comprends ce que tu ressens
Maman est souvent si pétulante|

WAYNE
pétulante?
Tu as appris de jolis mots dans l’est , Becky.
Ils auraient dû t’enseigner ce qu’ils veulent dire…

Tu n’avais que six mois…
quand ta mère est restée seule avec toi dans une cabane sous 3 mètres de neige… pendant que je déplaçais le troupeau 500 kilomètres au sud pour tenter de le sauver. J’en ai sauvé environ la moitié… Tu avais un peu plus d’un an à l’époque des attaques comanches… On a repoussé 500 indiens des plaines pendant 9 jours…

Pétulante , Becky?

Tu devrais rentrer à la maison. Dis à Ching de venir chercher ces oiseaux.
Becky.. viens ici… J’ai quelque chose à te dire… Le moment n’est pas plus mal choisi qu’un autre… Tous les garçons du coin vont te courir après… et te demander ta main… D’abord parce que tu es une jolie fille… mais aussi parce que je possède une grande partie du pays… Ils s’imagineront que tu vas en hériter… MAIS C’EST FAUX… J’en lèguerai la plus grande partie à LA NATION POUR EN FAIRE UN PARC… où aucun bûcheron ne viendra abattre des arbres pour construire des maisons… où personne ne viendra tuer des castors pour en faire des chapeaux… ni des buffles pour en faire des couvertures… Ce que je vais te léguer… c’est un ranch de 500 têtes en amont de Green river… ça te semble peut-être peu… mais c’est plus qu’on avait ta mère et moi Certains diront que je fais tout ça… pour avoir un parc qui porte mon nom quand je serai là-haut…. ou que tu m’as déçu et que je ne voulais pas te donner tout cet argent… MAIS LA VRAIE RAISON, BECKY, C’EST QUE JE T’AIME. et je veux que toi et ton futur époux ayez ce que j’ai eu.

CAR TOUT L’OR DU TRÉSOR DES ÉTATS-UNIS
ET TOUTE LA MUSIQUE DU PARADIS
NE VALENT PAS CE QUI SE CRÉE
ENTRE UN HOMME ET UNE FEMME.
QUI TRAVERSENT TOUT ÇA ENSEMBLE

Je ne peux pas t’expliquer mieux que ça.

LA FILLE
d’accord Papa

WAYNE
Becky…
quand tu auras mon êge, tu me remercieras…

BECKY
Papa je suis grande maintenant
Je ne m’inquiétais pas pour moi
Je pensais seulement à maman et toi

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COMMENTAIRE

Gaston Lebel, qui habitait en face de notre maison des Rochette sur la rue Gouin, en face du petit lac St-Louis fut un véritable John Wayne… Son histoire d’amour pour sa belle fut , est, et sera, la plus belle histoire d’amour qui n’est pas arrivée dans la ville de La Tuque. Je peux en témoigner… il me l’a racontée devant sa femme après plus de 30 ans de mariage. J’en ai fait une chanson reprenant presque les mots de sa bouche

Pierrot
vagabond céleste

Chansons de Pierrot

LA LÉGENDE DE GASTON LEBEL

29 janvier 2009 – 18 h 41 min

COUPLET 1

te rappelles-tu
quand sur la rue j’t’ai abordée
j’t’ai dit qu’un jour j’te marierai

en temps et lieu
que j’te r’verrai toi la plus belle
j’m’appelle Gaston Lebel

COUPLET 2

de la rue Gouin
on peut voir l’moulin a papier
ou nuit et jour j’ai travaillé

durant 5 ans
j’t’ai jamais donné d’mes nouvelles
en plein l’genre de Gaston Lebel

COUPLET 3

Dans ville d’La Tuque
y a une maison su l’bout d’une rue
je l’ai construite de mes mains nues

les fins de semaine
mes coups d’marteau c’etait pour la belle
la belle de Gaston Lebel

COUPLET 4

dur à croire
ca s’est passé comme dans les vues
un dimanche soir t’es apparue

su l’fond d’ma rue
tenant le bras d’ma soeur Estelle
salut Gaston Lebel

COUPLET 5

Cette histoire-là
c’est arrivé y a 50 ans
plus vrai que ca y a que le vent

dans tes cheveux blancs
qui brillent à soir sous les chandelles

même la mort
m’empêchera pas d’t’aimer la belle
signé Gaston Lebel

MÊME LA MORT
M’EMPÊCHERA PAS D’T’AIMER LA BELLE
SIGNÉ GASTON LEBEL

Pierrot
vagabond céleste

à suivre…

DANS UNE SALLE MAISONNEUVE DE LA PLACE DES ARTS QUI CONTIENT 1453 SIÈGES, FRED PELLERIN Y CHANTERA EN RAPPEL LA CHANSON DU CAMIONNEUR 5 SOIRS DE SUITE ET CELA DEVANT UNE SALLE COMBLE…. CELA VEUT DIRE QUE DU 27 MARS AU 31 MARS 2019, 6065 PERSONNES SERONT CONVOQUÉES À UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART EN ÉCOUTANT LA LÉGENDE D’UN CAMIONNEUR DONT L’AMOUR POUR SA COMPAGNE FUT UN AMOUR OEUVRE D’ART… ET JE PEUX EN TÉMOIGNER CAR JE FUS L’AUTEUR NON SEULEMENT DE CETTE CHANSON, MAIS AUSSI LE TÉMOIN D’UN AMOUR-OEUVRE D’ART QUI POURRAIT SE RÉSUMER EN CES DEUX LIGNES QUI VIENNENT DE LA BOUCHE MÊME DE CE JEUNE CAMIONNEUR AU RESTAURANT CHEZ ANNICK AU LAC-À-BEAUCE OÙ JE DORMAIS SUR UN CONGÉLATEUR: «MOI JE VIS JUSTE POUR TOÉ… J’AI HÂTE À FIN DE SEMAINE… J’T’AIME»

Théâtre Maisonneuve

Salle de spectacles majeure de la Place des Arts avec ses 1453 sièges, le Théâtre Maisonneuve accueille de nombreux spectacles de danse, dont ceux des Grands Ballets Canadiens de Montréal et de Danse Danse, mais aussi des spectacles d’humour et de nombreux concerts.

Depuis 2016, de nombreuses améliorations techniques aux équipements sonores et d’éclairage, ainsi qu’aux arrière-scènes ont été apportées, en plus du changement complet du plancher de scène. Le Théâtre Maisonneuve est une salle unique. Aucune autre salle à Montréal n’a cette capacité et son rapport scène-salle est exceptionnelle.

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À l’ère de la réalité augmentée, des écrans géants, de la haute définition et de l’expérience immersive, Fred Pellerin a pris la haute résolution de s’en tenir à la légende.
Il nous revient avec un sixième spectacle de conte Un village en trois dés. Retournant à ses souliers de conteur, il retrouve l’heureux recensement du Caxton qui sera au coeur de ce nouveau voyage!

Détails
Producteur / Diffuseur : Les Productions Micheline Sarrazin Inc
Salle : Théâtre Maisonneuve
Durée (sujet à changement sans préavis) : 1h40 sans entracte
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mars 2019
Mercredi 27 mars 2019
20h00
Complet

Jeudi 28 mars 2019
20h00
Complet

Vendredi 29 mars 2019
20h00
Complet

Samedi 30 mars 2019
20h00
Complet

Dimanche 31 mars 2019
20h00
Complet

octobre 2019

Samedi 19 octobre 2019
20h00
49.00 $
Billets

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Vendredi 21 février 2020