LE «..?..» DE LA FORMULE «WOW-T=2.7K?» EST FONDÉ AXIOMATIQUEMENT SUR 5 PRINCIPES: 1) LE PRINCIPE HOLOGRAMMIQUE D’EDGAR MORIN…. LE PRINCIPE ANTHROPIQUE DE BRANDON CARTER…. LE PRINCIPE PROBLÉMATOLOGIQUE DE MICHEL MEYER… LE PRINCIPE PROBABILISTE PRAGMATISTE DE PEIRCE …. LE PRINCIPE DE FALSIFIABILITÉ DE POPPER….

Le doctorat de l’équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) part de l’hypothèse forte suivante:

L’avant big-bang de l’univers
ne peut être intuitionné
que par l’étude
de l’avant-big-bang
d’une nano-personne-humaine-planétaire
traversée soudainement par un rêve big-bang
la rendant trans-scalaire de par son 2.7k?
onto-cosmologique, métho-cosmologique et nano-cosmologique.

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Vers du poète Yeats

je jetterais sous tes pieds
tous ces vêtements
mais je suis pauvre
et je n’ai que mes rêves.
J’ai voulu que mes rêves
soient jetés sous tes pieds
fais-toi légère
car tu foules mes rêves.

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Comme a dit mon ami Michel le concierge au conseil d’administration de la créativité de ce matin, L’ARCHÉTYPE HOLOGRAMMIQUE DE MICHEL LE CONCIERGE EST UN MODÈLE 3 D DE LA CONDITION HUMAINE PARCE QU’IL CRÉE DE L’ÉNERGIE HOLOGRAMMIQUE EN FAISANT VOYAGER LES QUATRE QUESTIONS.

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En ce sens, j’ajouterais que le nano-humain-planétaire est un relais trans-scalaire du big bang original faisant vibrer par sa non-tricherie le bruit de fond cosmologique directement relié aux fameuses cordes de la théorie des cordes, au cœur même de sa présence existentielle événementielle électro-dynamique quantique.

En ce sens, tout se passe comme si le rêve big-bang de la matière qui précéda le big-bang ( donc l’avant big-bang) avait codé dans le champ hologrammique d’un nano-rêveur-planétaire qui ne triche pas le fondement métaphysique expérimental recherché autant par les théologiens que par les cosmologiens.

WOW-T égale 2.7k?  au sens où lorsque la nano-personne-humaine planétaire vit un 2.7k? , l’étude de cet événement (wow-t) permet une fenêtre sur l’avant-big-bang autant que lors qu’on étudie le 2.7k? permet de comprendre les caractéristiques hologrammiques-anthropiques-problématologiques-probabilistes pragmaticistes- et flasiabilistes de toute vie personnelle œuvre d’art sur la lancée des quatre questions: 1) quel est ton rêve? 2) dans combien de jours? 3) qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve? 4 comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?… conduisant à la cinquième question de la nano-citoyenneté-planétaire: COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

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Quand une nano-personne-planétaire est traversée par son rêve big-bang, elle devient une chef d’orchestre de la beauté cosmologique des quatre questions de sa préméité ontologique dans le sens de Peirce.

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Les quatre questions de la vie personnelle œuvre d’art voyagées par le principe de l’archétype hologrammique de Michel le concierge vivant un amour big-bang pour sa compagne depuis 35 ans permet donc de penser le monde en images concrètes. Et c’est en ce sens que pour moi, Michel est précieux parce que , en contraste avec mon esprit analytique, le sien est intuitif-synthétique surgissant d’une vision picturale reliée à sa formation de graphiste.

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Il est possible que l’univers existe déjà avant le big bang, non pas en raison de sa gravitation quantique en boucles, comme le pensent certains cosmologues, mais par la nature ontologique probabiliste (?) d’un rêve dansant par la simple beauté de la non-tricherie mathématisées.

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wow-t=2.7k? réalise le vieux rêve d’Aristote, soit celui de la fusion des questions physiques et des questions philosophiques par la grande question métaphysique, devenue sous Leibniz : POURQUOI Y A-T-IL QUELQUE CHOSE PLUTÔT QUE RIEN.

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EDGAR MORIN ET LE PRINCIPE HOLOGRAMMIQUE…. ESSENTIEL POUR LE TROISIÈME CHAPITRE DU DOCTORAT DE NOTRE ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) PARCE QUE FONDANT AXIOLOGIQUEMENT NOS TROIS ARCHÉTYPES HOLOGRAMMIQUES: MARLENE LA JARDINIÈRE, MICHEL LE CONCIERGE ET PIERROT VAGABOND

Edgar Morin- Le principe «hologrammique»

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Le principe «hologrammique»

Le principe «hologrammique» est une des bases de la pensée complexe développée par Edgar Morin, avec le principe de la récursion organisationnelle et le principe dialogique. Ces trois principes sont interreliés. Le principe «hologrammique» met en relief l’impossibilité de connaître le tout sans connaître ses parties, mais aussi l’impossibilité de connaître les parties sans connaître le tout, l’un étant par l’autre. Morin illustre ce principe par l’ADN, patrimoine génétique complet présent dans chaque cellule d’un être humain. D’un point de vue plus social, il dira que l’individu est à la fois partie constituante de la société, qui elle-même, est partie constituante de l’individu. La société est présente en lui du fait qu’elle le construit à travers son interaction avec lui par son influence culturelle.[1] Morin avance que le principe «hologrammique» s’applique aussi aux particules qui se seraient formées dans les premiers instants de l’univers. Ces particules seraient encore aujourd’hui dans les atomes qui nous constituent. C’est à partir d’elles que le monde s’est créé et elles ont la possibilité de le recréer. Ainsi, nous sommes des parties du monde, mais le monde est en nous. Morin fait souvent référence à cette phrase de Pascal pour expliquer le principe hologrammique : « Je tiens pour impossible de connaître les parties sans connaître le tout, non plus que de connaître le tout sans connaître particulièrement les parties.» (Pascal, 1998-1999)

Pour comprendre le principe «hologrammique», il est utile de comprendre l’hologramme. Décrit par Morin dans La connaisance de la connaissance, le troisième tome de la Méthode.(Morin, 1986 : p. 101), l’hologramme est une image physique qui apparaît dans l’espace en donnant une impression de relief et de couleur, un peu comme une photo à trois dimensions. L’image est formée d’une multitude de points laser contenant chacun l’image elle-même dans une densité moindre. Les images des points laser interfèrent entre elles pour créer une grande image plus dense et plus claire. Si on enlève quelques points laser, l’image reste quand même, mais devient moins clair. L’hologramme est formé de points qui contiennent chacun l’objet représenté en entier ou presque. «Ainsi, la complexité organisationnelle du tout nécessite la complexité organisationnelle des parties, laquelle nécessite récursivement la complexité organisationnelle du tout.»(Morin, 1986 : p. 102) Les parties constituent elles-mêmes un tout. C’est là toute la richesse du principe hologrammique, selon Morin. Les parties se distinguent du tout par leur unicité tout en possédant des caractères spécifiques au tout. Les parties sont donc relativement autonomes et peuvent interagir entre elles et s’influencer, ce qui a forcément un impact sur le tout. Enfin, le tout étant dans les parties, ces dernières ont la possilibé de régénérer le tout. D’un point de vue sociologique, on dira qu’on ne peut comprendre le macro sans comprendre le micro car le micro est dans le macro et le macro dans le micro. (Mercure, 2005)

Ce principe s’appliquant tant à la nature qu’au social, il contribue non seulement à modifier la façon d’aborder le monde, mais aussi de l’enseigner. Pour Morin, la pensée complexe doit mener à une réforme de la pensée et par conséquent, à une nouvelle pédagogie. Le principe «hologrammique» comme élément constituant la pensée complexe, a un impact majeur. Il touche à la connaissance, au processus d’études, de compréhension et nécessairement d’apprentissage du monde. Suivant ce principe, non seulement on doit comprendre les parties pour comprendre le tout et le tout pour comprendre les parties, mais on doit prendre conscience du «tout» et des «parties» qui habitent notre pensée et qui l’influencent.

Pour développer la pensée complexe dont la base est le principe de récursivité, le principe dialogique et le principe «hologrammique», Morin s’est inspiré de la théorie de l’information, de la cybernétique, de la théorie des systèmes et de l’auto-organisation. La théorie de l’information amène l’idée d’extraire du nouveau, de l’information, à partir de l’ordre et du désordre en interaction. Elle est attribuée principalement au mathématicien Claude Shannon qui cherche à modéliser l’information en s’inspirant des lois du bruit, de l’entropie et du chaos. Ce dernier s’est toutefois inspiré des travaux d’Alan Turing, de John Von Neumann et de Norbert Wiener.[2] Le concept de cybernétique, théorie des machines autonomes, est d’ailleurs attribué à Wiener, qui a introduit l’idée de rétroaction, en lien étroit avec celle de récursivité. La rétroaction et la boucle causale rompent avec le principe de causalité linéaire, comme nous l’avons vu plus haut. La théorie des systèmes s’inspire quant à elle de la cybernétique. Selon Morin, elle jette les bases d’une pensée de l’organisation.[3] On y apprend que le tout serait plus que la somme des parties le constituant. Il y a donc rétroaction du tout sur les parties et des parties sur le tout. Dans la même logique, le tout serait moins que la somme de ses parties puisque ces dernières ont des propriétés qui seraient inhibées par le tout dans son ensemble. Un bon exemple qu’utilise Morin pour illustrer cette théorie est celui de l’eau et de ses constituantes, les molécules d’hydrogène et d’oxygène. Ces dernières forment ensemble un tout très différent des deux molécules séparées et retrouvent leurs caractéristiques propres lorsqu’on les aborde séparément. Quant à l’idée d’auto-organisation, elle est non négligeable dans le développement conceptuel qui mènera à la pensée complexe. Morin l’associe aux travaux de Von Neumann, Von Foerster, Atlan et Prigogine.[4] Von Neumann s’est intéressé à la propriété qu’a le vivant de pouvoir se régénérer, contrairement à la machine artificielle qui ne peut se réparer elle-même. Von Foerster s’est intéressé quant à lui à la création d’ordre à partir du désordre. Atlan, avec le «hasard organisateur», théorise la dialogique ordre/désordre/organisation que l’on retrouve lors de l’émergence de la vie et en action constante dans les constituantes du monde tant biologique, humain que physique. Cette idée mènera à celle d’auto-organisation du vivant. En effet, Prigogine a proposé une approche différente de l’idée d’organisation à partir du désordre en parlant de l’autonomie du vivant capable de régénérer son énergie en allant la chercher dans son environnement et ainsi permettre la perpétuation du système. C’est ce que Morin appelle l’auto-éco-organisation. C’est donc à partir de ces notions qu’il a pu développer la pensée complexe constituée du principe hologrammique présenté ici, du principe dialogique et de celui de la récursivité. Le Moine souligne la contribution de la récursivité aux épistémologies constructivistes ainsi : «Cette hypothèse de la boucle récursive du sujet concepteur et de l’objet conçu, sujet se connaissant construisant la connaissance, définissait le statut gnoséologique, sur lesquelles se fondent les épistémologies constructivistes ; c’est elle qui fonde aussi le «Paradigme de la complexité» par lequel nous réélaborons notre connaissance de La nature de la nature, de La vie de la vie, de La connaissance de la connaissance, de L’écologie des idées, de L’identité humaine et de l’Éthique […].»(Le Moigne, 2007 : p. 104)

[1] Morin, Edgar. Pour une réforme de la pensée, ifrance, En ligne [http://college

heraclite.ifrance.com/documents/r_actuels/em_reforme.htm], page consultée le 23 février 2009

[2] http://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9orie_de_l’information

[3] Morin, Edgar. Pour une réforme de la pensée, ifrance, En ligne [http://college

heraclite.ifrance.com/documents/r_actuels/em_reforme.htm], page consultée le 23 février 2009

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CHRISTIAN MAGNAN DU COLLÈGE DE FRANCE ET LE PRINCIPE ANTHROPIQUE…. «WOW-T=2.7K?» OU LE RÊVE BIG-BANG DE LA NANO-PERSONNE HUMAINE CODÉE AU POINT OÙ L’AVANT BIG-BANG DE L’UNIVERS PEUT EN ÊTRE INTUITIONNÉ EN HYPOTHÈSE FORTE… EN ÉTUDIANT LE PRÉ-BIG-BANG DE LA NANO-PERSONNE-PLANÉTAIRE, ON PEUT ANALOGIQUEMENT DE FAÇON PROBABILISTE ANTHROPIQUE INVENTER DE FAÇON CONSTRUCTIVISTE RADICALE UNE HYPOTHÈSE FAIBLE COMME UNE HYPOTHÈSE FORTE

LE COSMOS, MIROIR DE L’HOMME ?

En accordant à l’Homme un rôle d’observateur très privilégié, le principe anthropique sème le trouble dans les esprits. La vie est-elle issue d’un concours de circonstances ? Ou l’a-t-elle au contraire provoqué ? Une controverse irrationnelle est lancée pour savoir qui, de l’Univers ou de l’Homme, a engendré l’autre…

Christian Magnan
Collège de France, Paris
Université de Montpellier II

•SECTIONS

1.Nous habitons un endroit privilégié
2.Coïncidences fortuites ou prévisibles
3.Modifions une donnée… et tout s’écroule
4.Avancer des propositions gratuites est inacceptable pour la science
5.Pour poser une question, il faut une théorie
6.La vie relève d’une suite invraisemblable de hasards

Nous habitons un endroit privilégié

Contrairement à ce que prétendrait un strict principe copernicien, la place que nous occupons dans l’Univers, du fait même qu’elle abrite la vie, a quelque chose d’exceptionnel. La Terre se situe exactement à la bonne distance d’une étoile de bonne température, cette « ajustement » ayant permis à l’eau d’exister sous forme liquide, ce qui a rendu possible le développement d’une chimie féconde en organismes vivants. Au contraire, sur Mars, la planète désertique, ou sur Vénus, l’étouffante fournaise, aucun être humain n’aurait pu naître pour remarquer que les conditions n’étaient pas propices… à son avènement. De même l’astronome Dicke fait remarquer que l’époque à laquelle nous nous trouvons, une douzaine de milliards d’années après le big-bang, n’est pas « arbitraire ». Plus tôt, et les étoiles n’auraient pas bénéficié du temps voulu pour fabriquer en leur sein les éléments dont nous sommes constitués ; plus tard, et les étoiles se seraient éteintes.

Le fameux « principe anthropique » (du grec anthropos : être humain), introduit explicitement en 1974 par Brandon Carter, astronome à l’observatoire de Meudon, exploite ce genre de réflexions en affirmant que les propriétés de l’Univers observé sont le signe de la présence de l’Homme. Sous sa forme « faible », le principe anthropique attire l’attention sur le fait irréfutable que les points de l’espace et du temps d’où nous observons la réalité appartiennent à la classe privilégiée de ceux où la vie possible. Sous l’apparence d’une pure évidence tautologique, le raisonnement a présenté à l’origine l’intérêt de nous inviter à distinguer parmi certaines relations physiques remarquables celles qui peuvent être déduites de lois plus fondamentales de celles qui relèvent de la coïncidence fortuite. Derrière ces dernières circonstances se cachent certaines conditions nécessaires à l’émergence de l’espèce humaine et sont donc liées à notre présence.

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Coïncidences fortuites ou prévisibles ?

Quelques coïncidences célèbres – qui ont alimenté les théories les plus hasardeuses – illustrent cette progression dans le niveau d’explication. Ainsi, l’énergie de liaison d’origine électrique d’un atome d’hydrogène est 1040 fois plus forte, en chiffres ronds, que l’énergie de gravitation de l’électron et du proton qui le composent. Par ailleurs, le nombre de particules dans une étoile est de l’ordre de 1060. Bien qu’à première vue ces deux chiffres n’aient rien à voir l’un avec l’autre une relation très simple les fait correspondre, l’exposant 40 du premier représentant les 2/3 de 60, l’exposant du second. S’agit-il d’une pure coïncidence ? Non. Ce rapport relève d’une explication scientifique à deux étages. Premièrement l’étoile doit posséder une température suffisante pour que ses atomes puissent vaincre les forces d’origine électrique et déclencher ainsi les réactions nucléaires. Deuxièmement, les forces de gravité doivent pouvoir compenser les forces de pression résultant de cette température et ayant tendance à faire exploser l’étoile. Numériquement, comme l’énergie de gravitation d’un système (ici l’étoile) croît comme la puissance 2/3 du nombre de particules mises en jeu, cette énergie rattrape l’énergie électrique, 1040 fois forte au départ, lorsque la limite précédente 1060 est atteinte.

Autre coïncidence remarquable : si l’on rapporte l’âge présumé de l’Univers, une douzaine de milliards d’années, à un temps caractéristique de l’échelle atomique, on trouve un nombre de l’ordre du fameux 1040 déjà rencontré comme rapport entre forces électriques et forces de gravitation. Après cette nouvelle correspondance de chiffres, encore plus étonnante puisqu’elle met en jeu l’infiniment petit et l’infiniment grand, le principe anthropique entre véritablement en scène. En effet, dès 1961, Dicke montre que si les deux nombres sont égaux entre eux, c’est que chacun est égal à un troisième, à savoir l’âge moyen d’une étoile. Voici pourquoi.

(i) La durée de vie d’une étoile est liée à son débit d’énergie, lequel dépend du délai nécessaire à la lumière pour s’en échapper. Or, du fait que les particules de lumière traversent l’étoile par une série de zigzags aléatoires, on montre qu’ils mettent pour sortir un temps proportionnel à la puissance 2/3 du nombre de particules que l’étoile contient. Comme cette « loi en puissance 2/3 » est identique à celle qui caractérisait plus haut la gravitation, on retrouve pour la durée de vie stellaire le fameux 1040.

(ii) L’égalité entre l’âge moyen d’une étoile et l’âge actuel de l’Univers se déduit quant à lui d’un raisonnement « anthropique » : notre présence implique que l’âge de l’Univers n’est pas quelconque par rapport à la durée de vie stellaire. En effet, comme les étoiles nous sont « vitales », il est nécessaire d’une part qu’elles aient eu le temps d’apparaître et d’autre part qu’elles n’aient pas eu le temps de disparaître.

En prime, nous expliquons pourquoi notre Univers est si vaste. Alors qu’un bon Soleil et une bonne Terre nous suffiraient, pourquoi cette débauche de centaines de milliards de galaxies contenant chacune des dizaines de milliards d’étoiles ? Réponse : pour un Univers en expansion, un âge de douze milliards d’années correspond à une taille de douze milliards d’années de lumière. Et comme les équations d’Einstein relient la dimension de l’espace à la masse qu’il contient, cette dernière est fixée elle aussi : elle correspond à la présence dans l’Univers d’au moins 1080 – soit 1040 (encore le nombre magique !) élevé au carré – particules. En revanche, un Univers qui se réduirait à une seule galaxie aurait une durée de vie de l’ordre de quelques jours seulement !

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Modifions une donnée… et tout s’écroule

Au-delà des explications précédentes, un problème demeure entier : pourquoi ces valeurs numériques plutôt que d’autres ? Pourquoi ce fameux 1040 et pas 1 ou 10 ? Peut-on invoquer un « principe anthropique » stipulant que la présence d’observateurs impose des contraintes aux propriétés même de l’Univers observé, y compris aux valeurs des paramètres fondamentaux de la physique qui le caractérise ?

Aiguillonnés par l’apparent succès du principe anthropique faible, des chercheurs ont essayé de voir ce qui se produirait dans leurs équations s’ils faisaient varier les quelques constantes fondamentales de la physique (masse du proton, masse de l’électron, constante de la gravitation, constante de Planck…). Ils découvrirent que s’ils touchaient à quoi que ce soit à l’édifice tout s’écroulait, au sens où toute possibilité de vie disparaissait. Par exemple, puisque l’immensité de l’Univers est liée la faiblesse relative de la force de gravitation, imaginons de rendre notre monde plus petit en augmentant la force de gravitation, que nous multiplierons par 1010. En reprenant textuellement les calculs présentés plus haut, le fameux 1040 devient 1030. Le nombre de particules dans une étoile, 1015 fois plus petit, tombe à 1045. Par contrecoup, la durée de vie de cette même étoile se retrouve 1010 fois plus faible qu’auparavant, pour atteindre l’ordre de l’année, ce qui est insuffisant pour qu’aient eu le temps de se produire les réactions physiques et chimiques complexes ayant conduit à l’être humain.

Le résultat est le même si on imagine de changer d’autres constantes. On aboutit ainsi à la conclusion que la fabrication des éléments chimiques et la mise en place des conditions nécessaires à la vie exigent un ajustement hautement subtil de tous les paramètres en jeu, lesquels ne tolèrent donc pas la moindre modification.

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Avancer des propositions gratuites est inacceptable pour la science

Face à cet enchevêtrement incroyable de coïncidences, les inventeurs du principe anthropique fort déclarent : si le monde a les caractéristiques que nous observons, c’est parce que nous sommes là pour les observer (puisque, s’il était différent, nous ne serions pas là…). C’est donc notre présence qui détermine les propriétés de l’Univers. À ce niveau, le « principe anthropique » est inacceptable pour un scientifique car il ne répond à aucun des critères qui distinguent la science parmi d’autres formes de pensée.

Le principe anthropique fort contient une hypothèse implicite massive : il suppose qu’il existe d’autres univers de caractéristiques différentes, dotés de paramètres physiques de valeurs numériques quelconques. Parmi ces univers multiples et hypothétiques, seul un infime sous-ensemble, dont notre Univers, serait susceptible d’abriter la vie. Mais les difficultés que soulève une telle proposition sont insurmontables.

Déjà, pour avoir un rapport avec la réalité, une proposition scientifique doit pouvoir être soumise à une interprétation physique et à une vérification par la mesure, directement ou indirectement (dans ce cas, par une expérience imaginaire dont la réalisation, impossible en pratique, ne s’oppose pas à un principe). Or il est parfaitement impossible de tester l’hypothèse de l’existence d’autres mondes qui par définition même sont inaccessibles ! En effet, on peut se demander dans quel « espace » et quel « temps » se situeraient de tels univers puisque selon nos théories actuelles notre propre Univers, étant lui-même « espace – temps – matière », englobe la totalité de l’espace et du temps. Parler d’autres univers est donc une proposition purement gratuite pour un scientifique.

Proposer, comme une variante aux multi-univers, que notre Univers constituerait une portion d’espace « vivable » au sein d’un univers infini est également absurde car l’infini, concept mathématique, n’est pas une notion physique. Utiliser l’adjectif « infini » à propos du monde réel est donc abusif et trompeur.

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Pour poser une question, il faut une théorie

Pour être valable, une proposition scientifique doit répondre à une deuxième condition : être formulée dans le cadre d’une théorie. En imaginant que l’on puisse changer et choisir les paramètres physiques d’un univers, les tenants du principe anthropique font appel ipso facto à une théorie de « création des univers à paramètres libres », laquelle… n’existe pas ! Si la relativité générale nous a permis de comprendre quelque chose à l’évolution de l’Univers, elle est incapable de traiter de sa naissance. Remontant le temps, elle rencontre en effet au départ une singularité, connue sous le nom de big bang, exclue du modèle : l’Univers ne contient pas son origine.

Il faut reconnaître que la cosmologie, étude de l’Univers dans son ensemble, occupe une place à part en sciences parce qu’elle se heurte à au moins deux difficultés de principe qu’il est utile d’analyser.

(i) La science ne raisonne que sur des classes d’objets. Forcée d’établir ses lois en comparant des situations analogues dans le fond mais diversifiée dans la forme, elle ne peut rien déduire d’une observation isolée. L’Univers étant par nature absolument unique et non duplicable, la science se trouve complètement désarmée devant cette unicité embarrassante qui lui interdit de procéder à des comparaisons expérimentales.

(ii) Ensuite, notre monde existe, au sens le plus fort du terme, c’est-à-dire comme le donné essentiel qui ne laisse précisément aucun choix. Or, cette vertu d’existence est totalement étrangère à la science, qui ne possède pas encore (!) la moindre « théorie de l’existence ». Le principe anthropique, en se permettant de parler de ce qui existerait ici-bas ou dans un au-delà inconnaissable, sort du cadre scientifique en ouvrant la porte aux déviances de toutes sortes.

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La vie relève d’une suite invraisemblable de hasards

Quelle est la place de l’Homme dans l’Univers ? Les discussions engagées autour du principe anthropique ont sans conteste fait avancer la question, mais en aboutissant à un résultat inattendu. La conclusion qui se dégage en effet c’est que l’apparition de la vie repose sur une telle série de chances qu’elle apparaît comme l’exception, même dans un Univers soi-disant « spécialement conçu » pour l’abriter. Pour bon nombre de partisans de ce principe anthropique, nous sommes très vraisemblablement les seuls habitants de l’Univers (et c’est notamment la conclusion développée dans le livre de Barrow et Tipler, The anthropic cosmological principle), ce qui est un comble pour qui voyait au départ l’Univers comme le reflet de l’Homme ! Ainsi, plus que jamais, en dépit des prétentions anthropiques, l’être humain reste-t-il (d’un strict point de vue scientifique, bien entendu) étranger à l’Univers !

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D’après un article paru dans
Ciel et Espace
Numéro Spécial juin-juillet-août 1991 Dernière modification : 16 octobre 2010

SUR GOOGLE
www.wow-t.com

«ILS ONT ESCALADÉ DES MONTAGNES D’IGNORANCE, S’APPRÊTENT À SE HISSER AU SOMMET, ET LORSQU’ILS ONT GRIMPÉ SUR LE DERNIER ROCHER, ILS SONT ACCUEILLIS PAR UN GROUPE DE THÉOLOGIENS INSTALLÉ LÀ DEPUIS DES SIÈCLES» L’ASTRONOME AMÉRICAIN ROBERT JASTROW DANS SON OUVRAGE GOD AND THE ASTRONOMERS

Chapitre 1… p.1-7

IER TIERS : ONTO-COSMOLOGIQUE

LE SIGNAL EXTRA-TERRESTRE WOW…. 15 AOÛT 1977…. A DURÉ 72 SECONDES
JUNE 15, 2018

Le signal Wow!
Le signal « Wow! » est un signal radio puissant, à bande étroite et centré sur la raie à 21 centimètres, capté le 15 août 1977 par le radiotélescope de l’université d’État de l’Ohio surnommé The Big Ear 1. D’origine inexpliquée, ce signal, qui a duré 72 secondes et n’a plus été détecté depuis, a fait l’objet d’une attention significative de la part des médias.

C’est l’astrophysicien Jerry R. Ehman qui observa le phénomène alors qu’il travaillait avec le radiotélescope à un projet SETI. Stupéfié de voir à quel point le signal correspondait à la signature attendue d’un signal interstellaire dans l’antenne utilisée, Ehman a entouré au stylo le passage correspondant sur la sortie imprimée et a écrit le commentaire « Wow! » (exclamation de surprise ou d’admiration en anglais, proche de l’onomatopée française « Ouah ! ») dans la marge à côté. Ce commentaire est devenu le nom du signal1.
Ce signal n’a toujours pas, en 2018, d’explication faisant consensus.

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SELON NOTRE PROPOSITION PARTICULIÈREMENT SPÉCULATIVE, LE WOW D’UN RÊVE-BIG-BANG SERAIT UNE PARTICULE RÉELLE DU 2.7 K HUMAIN DE PAR SA NATURE ANTHROPIQUE PROBABILISTE, CE QUI DONNERAIT ACCÈS À LA DÉCOUVERTE D’UNE THÉORIE DES CHAMPS PRÉ-BIG-BANG EN ACCORD AVEC LA THÉORIE DES CORDES.

July 14, 2018 Pierrot le Vagabond ChercheurEdit

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Simon Singh, le roman du big bang, la plus importante découverte scientifique de tous les temps… p.463-464, extrait…

Tout se passe comme si les six cadrans qui ont dicté l’évolution de l’univers avaient été ajustés avec soin pour créer les conditions nécessaires à notre existence. Selon Freeman Dyson, éminent physicien: «Plus j’examine l’univers et les détails de son architecture, plus je trouve de preuves qu’en un certain sens, IL DEVAIT SAVOIR QUE NOUS ALLIONS VENIR.»

Cela nous rappelle le principe anthropique mentionné au chapitre 5 et que Fred Hoyle exploita pour résoudre l’énigme de la formation du carbone dans les étoiles. LE PRINCIPE ANTHROPIQUE REPOSE SUR L’HYPOTHÈSE SELON LAQUELLE TOUTE THÉORIE COSMOLOGIQUE DOIT TENIR COMPTE DU FAIT QUE L’UNIVERS A ÉVOLUÉ JUSQU’À NOUS INCLURE. CELA IMPLIQUE QU’IL S,AGIT LÀ D’UN ÉLÉMENT SIGNIFICATIF DANS LA RECHERCHE COSMOLOGIQUE.

Le philosophe canadien John Leslie imagina un jour le scénario d’un peloton d’exécution pour élucider le principe anthropique. Imaginons que vous avez été accusé de trahison et que vous attendez votre exécution devant une vingtaine de soldats. Vous entendez l’ordre de faire feu, vous voyez la détonation des vingt fusils – et vous vous rendez compte qu’aucune des balles ne vous a atteint. Aux termes de la loi, dans une telle situation, vous êtes libre, mais tandis que vous vous éloignez, vous commencez à vous demander pourquoi vous êtes encore vivant. Est-ce le hasard qui a fait dévier toutes les balles? Est-ce qu’une telle chose arrive une fois toutes les dix mille exécutions, et avez-vous tout simplement eu de la chance? Ou bien y a-t-il une raison à votre survie? Peut-être Est-ce que tous les membres du peleton ont fait exprès de manquer le but, parce qu’ils pensaient que vous étiez innocent? Ou encore, lorsque les visées des fusils ont été étalonnées la nuit précédente, ont-elles toutes été réglées de façon erronée ;a 10 degrés vers la droite par rapport à la cible? Vous pouvez passer toute vitre vie à supposer que cette exécution manquée n’était qu’un heureux hasard, mais il serait difficile DE NE PAS VOIR UNE SIGNIFICATION PLUS PROFONDE À VOTRTE SURVIE.

De la même façon, il semble défier toute probabilité que les nombres qui caractérisent l’univers aient des valeurs tout à fait spéciales qui permettent à la vie de s’épanouir. Par conséquent, faut-il tenir aucun compte de ce fait, ou bien rechercher quelle est la signification particulière de notre bonne fortune?

Selon la version extrême du principe anthropique, le réglage fin de l’univers, qui a permis l’évolution de la vie, SUPPOSE UN HORLOGER. AUTREMENT DIT, LE PRINCIPE ANTHROPIQUE PEUT-IL ÊTRE INTERPRÉTÉ COMME UNE PREUVE DE L’EXISTENCE DE DIEU? La définition habituelle de l’univers est qu’il comprend tout, mais les cosmologistes ont tendance à le définir comme incluant tout ce que nous pouvons percevoir ou qui peut nous influencer. Ainsi il pourrait y avoir BEAUCOUP D’AUTRES UNIVERS SÉPARÉS ET ISOLÉS, chacun étant déterminé par son principe de six nombres. LE MULTIVERS SE COMPOSERAIT D’UNIVERS NOMBREUX ET VARIÉS, PEUT-ÊTRE D’UNE INFINIT. D’ENTRE EUX. L’immense majorité d’entre eux serait stérile ou éphémère, ou les deux, mais avec un peu de chance quelques-uns contiendraient le genre d’environnement capable de faire évoluer et d’entretenir la vie.  NATURELLEMENT , IL SE TROUVE QUE NOUS VIVONS DANS L’UN DES UNIVERS QUI CONDUISENT À LA VIE….

P.465…. Les cosmologistes disent en général qu’il est IMPOSSIBLE DE RÉPONDRE À LA QUESTION: «QU’Y AVAIT-IL AVANT LE BIG BANG?» parce que cette question n’a pas de sens. Après tout, le modèle expose que le big bang a donné naissance, non seulement à la matière et au rayonnement, mais aussi à l’espace et au temps. Par conséquent, si le temps a été créé au cours du Big bang, il n’existait pas avant lui et il est IMPOSSIBLE DE DONNER UNE SIGNIFICATION QUELCONQUE À L’EXPRESSION «AVANT LE BIG BANG» ….

P.466… Les critiques pourraient penser que si les cosmologistes ne peuvent rien offrir de mieux, la question «qu’y avait-il avant le big bang?» est un casse-tête qu’il convient de reléguer dans le domaine du mythe ou de la religion, gouffre inconnaissable réservé à un génie ou à un Dieu et qui restera à jamais hors de la portée de la science.

DANS SON OUVRAGE GOD AND THE ASTRONOMERS (DIEU ET LES ASTRONOMES) L’astronome américain Robert Jastrow se montre pessimiste dans ses spéculations sur le devenir final des théoriciens du big bang. « ILS ONT ESCALADÉ DES MONTAGNES D’IGNORANCE, S’APPRÊTENT À SE HISSER AU SOMMET, ET LORSQU’ILS ONT GRIMPÉ SUR LE DERNIER ROCHER, ILS SONT ACCUEILLIS PAR UN GROUPE DE THÉOLOGIENS INSTALLÉS LÀ DEPUIS DES SIÈCLES»….

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SELON NOTRE PROPOSITION PARTICULIÈREMENT SPÉCULATIVE, LE WOW D’UN RÊVE-BIG-BANG SERAIT UNE PARTICULE RÉELLE DU 2.7 K HUMAIN DE PAR SA NATURE ANTHROPIQUE PROBABILISTE, CE QUI DONNERAIT ACCÈS À LA DÉCOUVERTE D’UNE THÉORIE DES CHAMPS PRÉ-BIG-BANG EN ACCORD AVEC LA THÉORIE DES CORDES.

Chapitre 1… p.1-7

IER TIERS : ONTO-COSMOLOGIQUE

LE SIGNAL EXTRA-TERRESTRE WOW…. 15 AOÛT 1977…. A DURÉ 72 SECONDES
JUNE 15, 2018

Le signal Wow!
Le signal « Wow! » est un signal radio puissant, à bande étroite et centré sur la raie à 21 centimètres, capté le 15 août 1977 par le radiotélescope de l’université d’État de l’Ohio surnommé The Big Ear 1. D’origine inexpliquée, ce signal, qui a duré 72 secondes et n’a plus été détecté depuis, a fait l’objet d’une attention significative de la part des médias.

C’est l’astrophysicien Jerry R. Ehman qui observa le phénomène alors qu’il travaillait avec le radiotélescope à un projet SETI. Stupéfié de voir à quel point le signal correspondait à la signature attendue d’un signal interstellaire dans l’antenne utilisée, Ehman a entouré au stylo le passage correspondant sur la sortie imprimée et a écrit le commentaire « Wow! » (exclamation de surprise ou d’admiration en anglais, proche de l’onomatopée française « Ouah ! ») dans la marge à côté. Ce commentaire est devenu le nom du signal1.
Ce signal n’a toujours pas, en 2018, d’explication faisant consensus.

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QUELQUES INFORMATIONS SUR «L’EFFET WOW» DE MARLENE LA JARDINIÈRE

Jasmin le conférencier

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Jasmin Bergeron a donné plus de 1000 conférences dans plus de 12 pays à travers le monde ! De nombreuses entreprises et organisations ont pu obtenir des résultats significatifs rapidement !

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Un conférencier dont le but ultime est de faire vivre des WOW
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Conférence Effet WOW !Créer un effet WOW autour de vous, c’est une façon de se distinguer et d’améliorer la satisfaction des gens que vous côtoyez.

Le WOW est un moment d’émerveillement que nous souhaitons tous vivre souvent. L’effet WOW est percutant! On se souvient longtemps des personnes et des entreprises qui nous font vivre des WOW parce qu’elles sont fascinantes et distinctes. Qu’ont-elles en commun? Comment s’y prennent-elles pour se démarquer et séduire leur entourage? C’est dans cette perspective que la conférence « L’effet WOW ! » a été développée. Elle résume les meilleures stratégies reconnues pour provoquer des WOW!

Cette conférence est basée sur la pratique, l’interaction et l’humour. Elle a été conçue en coopération avec plusieurs personnes qui ont su se démarquer dans leur vie personnelle et professionnelle par leur habileté à faire vivre des WOW. Pendant la conférence, des principes, des exemples, des témoignages et des exercices pratiques que vous pourrez mettre en application rapidement vous seront suggérés afin de rendre votre expérience aussi enrichissante que possible !

Maintenant, passons à l’action !

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SEUL UN FEU DE CAMP DE CONTEURS SUR LA MONTAGNE DU POINT BIG-BANG OÙ SONT RÉUNIS MALGRÉ EUX THÉOLOGIENS, MÉTAPHYSICIENS, ÉPISTÉMOLOGUES,COSMOLOGUES, ÉPISTÉMOLOGUES… SE RETROUVANT LÀ DANS UNE PROMISCUITÉ INTELLECTUELLE IND.CENTE, DANS L’IMPUISSANCE D’IMAGINER MÊME L’AVANT-BIG-BANG…. SEULS LES CONTEURS ONT UNE CHANCE D’INTUITIONNER LA RÉALITÉ TRANS-SCALAIRE EN FAISANT SIMPLEMENT PAR LEURS CONTES DE L’UNIVERS UN VILLAGE NANO-CITOYEN-PLANÉTAIRE OÙ LE RÊVE BIG-BANG DE CHAQUE PERSONNE HUMAINE CONTRIBUE À LA CONCEPTION CONSTRUCTIVISTE RADICALE DE L’ÉNIGME

Cher Simon Gauthier, cher Fred Pellerin et chers autres monteur de montagne, voilà me semble-t-il la vocation des contes au 21eme siècle… Imaginer l’impossible sous forme de village céleste où même un vagabond devient partie même du point d’interrogation poétique de la formule: WOW-T=2.7K?

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site radio-canada

Jacques Farine : découvrir l’invisible pour expliquer l’origine de l’Univers

Publié le mercredi 2 août 2018

Jacques Farine, professeur de physique à l’Université Laurentienne, à Sudbury, et chercheur au SNOLAB.Jacques Farine, professeur de physique à l’Université Laurentienne et chercheur au SNOLAB. Photo : Radio-Canada/Sophie Vallée

ENTREVUE – Jacques Farine s’est établi au Canada pour venir étudier la physique des particules dans un laboratoire de renommée mondiale. C’est à cet endroit qu’il a travaillé sous la direction du Canadien Arthur B. McDonald pour découvrir la masse du neutrino, une particule fondamentale. Une découverte qui a valu à M. McDonald le prix Nobel de physique en 2015, puisqu’elle a changé notre compréhension de l’Univers.

Un texte de Sophie Vallée

Enfant, Jacques Farine se questionnait déjà sur ce qui se cachait derrière le perceptible. C’est ce qui l’a amené à étudier la physique en Suisse, où il a grandi.

Il a reçu en 1997 une bourse d’un an pour venir étudier la physique des particules dans un laboratoire de la Ville du Grand Sudbury, qui est devenu celui du SNOLAB par la suite.

Vingt ans plus tard, il est toujours dans le Nord de l’Ontario et il enseigne la physique à l’Université Laurentienne.

Quatrième portrait de la série MISSION : CHANGER LE MONDE, qui présente tout l’été des Canadiens travaillant sur des projets qui changent significativement nos vies.

La physique peut sembler être un domaine abstrait, mais le chercheur assure que c’est crucial pour comprendre l’Univers dans lequel on vit.

«Je rencontre énormément de gens pour qui c’est important. Ils ont envie d’avoir des réponses à [leurs] questions. C’est le mandat principal de la recherche fondamentale, de pousser les limites de la connaissance.»

—Jacques Farine

Qu’est-ce qui vous a poussé à vous intéresser à la physique?

Ça remonte à très longtemps, lors de promenades avec mes parents. Mon père, qui prétendait avoir une connaissance encyclopédique, pouvait soulever chaque pierre, nous montrer chaque feuille ou n’importe quel insecte, et il avait quelque chose à nous raconter. C’était notre Internet de l’époque.

«Derrière les choses qu’on voit, il y a des choses qu’on ne voit pas qui sont beaucoup plus importantes, qui déterminent leur forme et leur fonction.»

—Jacques Farine

Petit à petit, j’ai réalisé que les grandes personnes appelaient ça de la science, de la physique, une manière de voir derrière les apparences.

J’ai aussi compris qu’il y avait du calcul derrière ce qu’on voyait, des mathématiques, de la prédictibilité. On peut faire un calcul et voir, à l’avance, ce qui va se passer. En physique, on aborde les relations entre l’énergie, le temps et l’espace.

Le laboratoire de neutrinos SNOLAB est situé à deux kilomètres sous terre, dans la mine Creighton. Le laboratoire de neutrinos SNOLAB est situé à deux kilomètres sous terre, dans la mine Creighton. Photo : Radio-Canada/Yvon Thériault
À la fin de ma thèse, je voulais travailler sur une expérience qui allait apporter quelque chose de nouveau à notre connaissance du monde des particules et c’est ce qui m’a attiré à Sudbury, au Canada.

Pour moi, à l’époque, il n’y avait aucun doute que la seule expérience qui allait apporter quelque chose de très significatif dans la physique souterraine, c’était celle du projet SNO, à Sudbury.

Qu’est-ce qu’un neutrino?

C’est une particule fondamentale. On considère que le monde, tel qu’on le perçoit, est constitué d’éléments fondamentaux, les constituants de la matière. Les électrons, par exemple, tout le monde les connaît, ils portent le courant électrique. Les particules ont cette faculté d’interagir les unes avec les autres, ce sont ce qu’on appelle les forces fondamentales. On voit le monde comme un assemblage de ces constituants.

Les neutrinos sont l’équivalent des électrons, sauf qu’on ne sait pas encore vraiment quelle est leur masse. Il y a encore tout un monde à découvrir!

«On sait, par contre, que les neutrinos ont été impliqués dans les processus qui sont survenus à la suite du big bang.»

—Jacques Farine

Les neutrinos sont très difficiles à mesurer, c’est pour ça qu’on a encore tellement à apprendre et qu’on n’a pas encore tout découvert sur ces particules. Mais les conséquences de ce qu’on peut en apprendre sont phénoménales.

D’où est né le laboratoire souterrain SNOLAB?

Le « LAB » de « SNOLAB » signifie laboratoire et ce laboratoire a été créé suite à l’expérience « SNO » pour « Sudbury Neutrino Observatory ». L’idée de l’expérience « SNO » a émergé dans l’esprit des physiciens en 1985. À l’époque, on cherchait à comprendre pourquoi les étoiles et le soleil brillaient.

Dans les années 1960, on croyait avoir trouvé la solution, mais les calculs s’étaient avérés erronés. Donc l’expérience SNO a été créée dans les années 1990 pour répondre à ce problème.

Le SNOLAB est venu plus tard, dans les années 2000. Nous travaillions déjà avec la minière Vale, qui s’appelait Inco à l’époque, pour effectuer nos recherches à l’abri des rayons cosmiques. C’est à ce moment que nous avons décidé de créer ce laboratoire permanent, situé au fond de la mine de nickel, à deux kilomètres sous terre.

Début du graphique (passez à la fin)

Fin du graphique (passez au début)
L’expérience SNO a déterminé que les neutrinos n’avaient pas toutes les propriétés qu’on leur attribuait. Ils ont une masse et ils sont capables d’osciller. Et ça, c’était nouveau. C’est ce qui a valu le Prix Nobel de physique au directeur de l’expérience, Arthur B. Macdonald, avec son collègue japonais Takaaki Kajita, en 2015.

Qu’est-ce que ce domaine de recherche apporte concrètement?

Le mandat principal de la recherche fondamentale est de pousser plus loin le rideau où vous vous dites « à partir de là, je ne sais ce qu’il y a, je ne sais pas comment ça marche ». En poussant ce rideau, vous répondez à des questions fondamentales.

Je rencontre énormément de gens pour qui c’est important, ils payent des impôts aussi pour ça, ils ont envie d’avoir des réponses à ces questions. C’est le mandat principal de la recherche fondamentale, de pousser les limites de la connaissance.

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JE FAIS LE PARI QUE DANS LE PLI BIG-BANG D’UN RÊVEUR COMME DANS LE PLI BIG BANG DU 2.7K DE L’UNIVERS (LE BRUIT DE FOND COSMOLOGIQUE SOUS LA FORME -CONTE DE WOWWWWWWWWWWWWWWWW….. IL Y A LES MÊMES INFORMATIONS CODÉES ALGORITHMEMENT AU SUJET DE CE QUI S’EST PASSÉ DANS L’AVANT BIG-BANG, IMPOSSIBLES NI À RATIONNALISER PAR LA LOGIQUE, NI À IMAGINER PAR SOIT LE CONSTRUCTIVISME RADICAL, SOIT LE LE CONCEPTIVISME PROBABILISTE-PROBLÉMATOLOGIQUE-ANTHRPIQUE…. DE LÀ MA LECTURE DU 700 PAGES DE GILSON SUR JEAN DUN SCOT…. TOUT SE CACHE PEUT-ÊTRE DANS LA QUERELLE DES UNIVERSAUX SOUS SA FORME NANO-MODERNE QUANTIQUE-COSMOLOGIQUE…AU SENS D’UNE RÉALITÉ MULTI-SCALAIRE TELLE QU’ELLE SE DANSE DANS LE GÉNIE DES CONTEURS DEPUIS L’AURORE DES TEMPS HUMAINS AUTOUR D’UN FEU DE CAMP

WIKIPEDIA

Jean Duns Scot (vers 1266 à Duns – 1308 à Cologne), dit aussi John Duns Scotus en anglais, Johannes Duns Scotus en allemand, surnommé le « Docteur subtil » (Doctor subtilis), est un théologien et philosophe écossais, fondateur de l’école scolastique dite scotiste. Il fut la fierté de l’ordre franciscain, et influença profondément Guillaume d’Ockham, de la même manière que Thomas d’Aquin le dominicain fut admiré de son ordre. L’école scotiste et l’école thomiste seront constamment en conflit, suivant les rivalités des deux ordres mendiants.

La philosophie scotiste est complexe. Duns Scot oppose à la doctrine thomiste de l’analogie de l’être sa propre doctrine de l’univocité de l’être : le concept d’étant se dit de la même manière pour tout ce qui est, y compris Dieu1. La différence entre Dieu et les créatures n’est pas une différence d’être comme chez Thomas d’Aquin ou Maître Eckhart, elle tient à ce que Dieu est infini et la créature finie, sur un même plan ontologique. D’autre part, Duns Scot élabore une métaphysique de la singularité basée sur le concept d’individuation.

L’éthique de Jean Duns Scot met l’accent sur la volonté personnelle et la charité, dans la lignée d’Augustin et Bonaventure. En théologie, le docteur franciscain est surtout connu pour son angélologie, ainsi que pour sa théorie de l’Immaculée conception de Marie, critiquée par les Dominicains. On lui donne à ce propos un autre surnom, le « Docteur marial »2, qui avait également été attribué à Bernard de Clairvaux.

À SUIVRE….

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«L’ONTO-COSMOLOGIQUE… (?)… DU WOW» PASSE PAR DES ENJEUX CONCEPTUELS INITIÉS PAR LE DEVENIR ÉVOLUTIONNISTE ET UN RELATIVISME PROBABILISTE À VISÉE PRAGMATISTE ET EN CE SENS, IL PASSE PAR UN CONTE ÉCRIT DE L’ESPACE, TÉMOIGNANT DE LA TERRE COMME UN MIRACLE DE L’ESTHÉTISME COSMOLOGIQUE, CONSTRUISANT RADICALEMENT UN POIDS ONTOLOGIQUE PROBABILISTE FORT

Quand je réfléchis sur l’aventure du vagabond céleste depuis 5 ans au niveau francophonie par la poésie inouie du conteur international Simon Gauthier, je me rends bien conte que, contrairement aux discours mythologique, religieux ou scientifique, la constellation scalaire de la forme CONTE correspond exactement au niveau symbolique percien d’une FORME BIG-BANG d’un UN RÊVE-RÉCIT…. le wow devenant ontologique par défaut sous la puissance wowwwwwwwwwww du point d’interrogation pré-bang.

De là une réinvention de l’humanisme vu de l’espace face aux périls de l’anthropocène, le tout passant par un conte sous forme de formule presque de science-fiction:

WOW-T=2.7K?

La nano-modernité se rhyzomatisera à une vitesse vertigineuse que parce que de milliards de téléphones intelligents trans-humanisés par l’intelligence artificielle témoigneront par une simple application d’un conte planétaire construit par un esthétisme abductif d’une priméité enchanteresque:

LE CONTE SOUS SA FORME DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE RÉUNIRA 2 ASSEMBLÉES DE JUSTES (125 femmes et 125 hommes) qui par tirage au sort, deviendront la nouvelle conscience d’une primité d’un rêve triadique….

La science, même probabiliste quantique cosmologique, frappe le même mur que la théologie (religion) ou l’ontologie traditionnelle désengluée peu à peu de la mythologie… celui de l’esthétisme dont seul le conte d’un récit rêve big-bang de chaque vie peut espérer intuitionner cet avant-big-bang cosmologique dont on ne sait trop s’il y eut une infinité de rêves propédeutiques ou une infinité de rêveurs qu’on a par défaut d’imagination appeler Dieu

Simon Gauthier avec le vagabond céleste et Fred Pellerin avec la chanson du camionneur deviennent au 21eme siècle les premiers conteurs nano-cosmologiques, faisant voyager les quatre questions de la vie œuvre d’art, à partir d’un vagabond dont la guitare, le bâton et le sac à dos portèrent au cœur de l’imaginaire humaniste une espérance d’erance poétique pour tout errant ou errante fantomatique ou axiologique de la post-modernité en manque de sens percien.

à suivre…
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LES 20 PREMIERES PAGES DU IER CHAPITRE DU DOCTORAT DE L’ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) CONSACRENT L’ARCHITECTONIE POST-PEIRCIENNE DE L’ÉTIQUETTE WOW, EN EN DESSINANT LES PARAMÈTRES ONTO-COSMOLOGIQUES (7P.) PARALLÈLES AUX PARAMÈTRES MÉTHO-COSMOLOGIQUES (7 P.) FAISANT IMPLOSER PAR LE RÊVE BIG BANG PORTÉE PAR CE WOWWWWWWW…. SON EXPANSION NANO-COSMOLOGIQUE EN TRAITANT COMME UNE PRIMÉITÉ DISSOLVANTE D ELA FORCE BRUTE LE CERVEAU-ASTRONAUTE VERSUS L’ESPACE INFINI D’UIN CORPS PAR UN CHAMP MAGNÉTIQUE DONT LA CONSTELLATION NE S’ÉNIGME QUE PAR UNE INFINITÉ DE PROBABILITÉS S’ARTICULANT AUTOUR DES SIGNES «-, =,?»

Quel merveilleux conseil d’administration de la créativité ce matin….. comme Michel me le disait, vu de sa philosophie d’en bas… wow veut dire…

« world of wonders»

Michel allume alors notre tableau où on voit la terre vue de l’espace avec en haut la formule : wow-t=2.7k? et en bas le site web… www.wow-t.com

Et moi de lui dire: Pierrot vagabond habite en haut (tout en tournant autour de la planète terre) la formule «wow-t.2.7k?» pendant que Michel le concierge par son archétype hologrammique indique où le rejoindre pour se faire voyager dans l’espace infini d’un corps terrestre par les quatre questions de la vie personnelle œuvre d’art.

Comme j’ai dit à Michel… j’ai terminé l’historique conceptuel de chacun des signes de la formule…. et c’est l’item ou l’étiquette «wow» qui est , et de loin, la moins vampirisée par différents essais de théorisation dans l’histoire de la pensée humaine (du moins à ma connaissance)

C’est donc à partir de cette étiquette orpheline que je vais pouvoir développer ma vision ontologique, méthodologique et nanologique de ce que peut constituer dans un 21eme siècle où même le constructivisme radical doit se réfléchir devant les progrès de l’intelligence artificielle, de la transhumanité des images synthétisées où le corps et la pensée d’un pré-agissant devient élision symbolique autant qu’indicielle pour habiter d’une façon presque trop toxique le fondement iconique d’une force brute, faisant naviguer la conscience entre l’errance fantomatique et l’errance axiologique d’une secondéité post-peircienne, rendant la poésie symbolique d’une existence big-bang  d’une tiercité cosmologisée un fait onto-métho-nano de plus en plus victime de rareté.

Il y a eu quelques moments dans l’histoire de la pensée où la dématérialisation idéologisée (par exemple, le monde réel des idées platoniciennes, transmutées aux deux citées de St-Augustin, à la querelle des universaux où le réalisme minoritaire de Duns Scott posait la question du fondement des catégories versus la position nominalisme,… bref….

LE WOW D’UN FRANÇOIS D’ASSISE, par exemple, issue d’une remarquable priméiité percienne traversée par un rêve big-bang , fut rapidement récupérée par une propédeutique industrielle de la spiritualité en guerre incessante d’absolutiste idéologisé.

EN CE SENS, L’ÉTIQUETTE WOW constitue par sa virginité d’attributs essentiels pertinents (néo-positiviste autant que post-herméneutique) une remarquable plateforme pour partir à la recherche de la quatrième voie, sous la voie abstractive construite par Peirce.

LA FORMULE «WOW-T=2.7K?» EST NON SEULEMENT une aventure constructiviste radicale telle qu’on l’ont innové dans la post-modernité (Piaget, Lemoigne, Morin et les autres), mais bien plus, elle est une étiquette dématérialisée de toute fixation hiérarchique d’attributs essentiels, même sous forme d’un champ magnétique dont le cadre théorique est déconstructiviste radical, par le biais même d’une constellation sans cesse en mouvement sous les paradigmes du «?» post- problématologique (la suite de Meyer) comme du «=» post-anthropique (Brandon Carter), en parfaite symbiose post-peircienne dans une priméité comprise comme vecteur de rêve big-bang qui transcende le projet (existentialiste sartrien, tout comme le personnalisme chrétien (Mounier) par un fondement de la qualité où la question ontologique nominalisme versus réalisme se retrouve posée avec une acuité encore jamais atteinte depuis la tentative organistique de la philosophie allemande depuis Hegel, tentant de réparer la mécanistique Descartienne qui avaient réussi à instutitionnaliser la fracture sujet-objet sur lequel Popper et les néo-positivistes ont pu peu à peu insérer une perspective évolutionniste de faillibilité confirmée par toutes les d.couvertes de la physique quantique reliées à la vision probabiliste primiétisée de la cosmologie, rendant la question de L’avant-big-bang infiniment plus passionnante que la notion de catégories (Aristote, Kant et Peirce) entre autres tentait de rationnaliser.

DANS CE DOCTORAT, L’ÉTIQUETTE WOW SE GORGERA ONTOLOGIQUEMENT D’UN RÊVE BIG-BANG (7P.) POUR ENSUITE EN DÉCOULER UNE MÉTHO-COSMOLOGIE POST-PERCIENNE (7P.) ILLUSTRÉE PAR UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART NANO-COSMOLOGIQUE TRANSCENDÉE POÉTIQUEMENT D’UNE ERRANCE EN MODE DU POUR-SOI QUE RECHERCHAIT TANT SARTRE.

1: QUEL EST TON RÊVE?

2: DANS COMBIEN DE JOURS?

3: QU’AS-TU FAIS AUJOURD’HUI POUR TON RÊVE?

4: COMMENT TON RÊVE PREND-IL SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

SEUL LE WOW POST-PEIRCIEN PEUT PORTER ONTO-MÉTHO-NANO COSMOLOGIQUEMENT LA CINQUÈME QUESTION D’UNE MASSE CRITIQUE DE VIES PERSONNELLES OEUVRE D’ART

COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

Ce qui mènera au deuxième chapitre consacré en 160 pages À LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE.

à suivre

 

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