LE CANADA PAYS OEUVRE D’ART… UN CONTRAT PRAGMATIQUE ENTRE L’ÉTAT ET LA NATION OEUVRE D’ART

La stratégie contextuelle de mon doctorat…. dans son angle politique se dessine peu à peu.

Il n’est pas anodin d’argummenter que dans l’histoire de l’humanité, l’ÉTAT…. COMME STRUCTURE…. A PRÉCÉDÉ LA NATION COMME CIMENT INCONTOURNABLE DE CETTE STRUCTURE.

Louis X1V par exemple, dans une vision de l’Etat absolutiste (l’Etat c’est moi) a du systématiquement unifié le territoire, fragmenté en différents dialectes, par la langue française, au point où Versailles unissant l’état et la langue est devenue une modélisation pour les cours de Russie, d’Angleterre et d’Allemagne où le français est devenu la norme internationale.

Bien sûr, L’Etat depuis quelques siècles a utilisé la langue, la race, la religion, les droits, pour trouver un dénominateur commun.

Le Canada, contrairement aux États-Unis où le rêve américain s’EST ARCHITECTURÉ SOCIÉTAIREMENT AU CREUX DU MELTING POT, s’est trouvé HISTORIQUEMENT divisé entre une identité basée sur la langue et celle basée sur les droits des différentes ethnies.

L’état canadien de par sa singularité, m’apparaît le premier qui peut se permettre le luxe de se redéfinir comme un ETAT OEUVRE D’ART, de par sa nation pos-modernisée et nano-démocratisée de vies personnelles œuvre d’art.

LE CANADA PAYS OEUVRE D’ART, c’est le sénat de demain, des hommes et des femmes comme Michel le concierge qui, de par leur passion de servir l’autre par leur vie personnelle œuvre d’art, rêvent d’en témoigner institutionnellement.

QUAND UN CONCIERGE DEVIENDRA SÉNATEUR, parce qu’il a fait de son amour pour sa femme une oeuvre d’art, parce qu’il en est découlé un documentaire d’une heure sur LE PAYS OEUVRE D’ART, le Canada s’en trouvera grandi et lançé dans l’humanisation d’une planète œuvre d’art, telle que vue de l’espace par les astronautes ayant marché sur la lune.

Justin Trudeau m’apparaît ce visionnaire dont l’ÉTAT CANADIEN a besoin pour faire de l’autochtone comme du concierge un citoyen œuvre d’art d’une nation en célébration de son avenir plutôt qu’une nation en perte d’âme rongée parla rancoeur issue de son passé déchiré.

sur Google
Pierrot vagabond.

FORMULE COSMIQUE DE L’ÂME PHILANTHROPIQUE….W-T=2.7K

Je viens de lire dans le Devoir au sujet de GUY LACHAPELLE, professeur de science politique à l’Université Concordia, secrétaire général de l’association canadienne internationale de science politique…

Informations biographiques

Guy Lachapelle est professeur titulaire (1996) au département de science politique de l’Université Concordia. Il est coordonnateur des relations avec le gouvernement du Québec au bureau du vice-recteur aux affaires institutionnelles de l’université Concordia. Il est a été président de la Société québécoise de science politique (1996-1997) et co-responsable du Congrès mondial de science politique qui a eu lieu à Québec en 2000. Il a été membre de l’exécutif de l’Association internationale de science politique (1997-2000) pour être ensuite élu secrétaire général (2001-2004). Il a obtenu un doctorat en science politique de l’Université Northwestern – Evanston, Illinois (1986) et une spécialité en analyse des politiques et en méthodologie d’évaluation.

Il a publié plusieurs ouvrages, dont Claude Ryan et la violence du pouvoir (Québec, Presses de l’Université Laval, 2005 ), Robert Bourassa : un bâtisseur tranquille , avec Robert Comeau, (Québec, Presses de l’Université Laval, 1993), Globalization, Governance and Identity , avec John Trent, (Montréal, Presses de l’Université de Montréal, 2000), Le processus budgétaire au Québec , avec Luc Bernier et Pierre P. Tremblay (Québec, Presses de l’Université du Québec, 1999), Québec-Canada : nouveaux sentiers vers l’avenir, avec John E. Trent et Robert Young (Ottawa, Presses de l’Université d’Ottawa, 1996), The Québec Democracy: Institutions, Structures, and Policy Process , avec Gérald Bernier, Daniel Salée et Luc Bernier (Toronto, McGraw-Hill/Ryerson, 1993), Politiques provinciales comparées , avec Jean Crête et Louis M. Imbeau (Québec, Presses de l’Université Laval, 1994), L’impact référendaire avec Pierre P. Tremblay et John E. Trent (Québec, Presses de l’Université du Québec, 1995). Il est également l’éditeur de l’ouvrage Quebec Under Free Trade: Making Public Policy in North America (Québec, Presses de l’Université du Québec, 1995). Il a mené une étude sur les sondages d’opinion pour la Commission Lortie sur la réforme électorale et le financement des partis politiques: Les sondages et les médias lors des élections au Canada – Le pouls de l’opinion (Dundurn Press, 1991).

Il a également plusieurs contributions à des revues scientifiques dont Publius, la Revue canadienne de science politique, la Revue québécoise de science politique, Québec Studies, Canadian Journal of Program Evaluation, Éthique publique, Politique et Sociétés . Il est sollicité régulièrement par les médias pour des commentaires sur les élections et la politique québécoise et américaine. Ses travaux récents portent sur les théories de l’opinion publique, l’analyse comparative du comportement électoral et les politiques publiques québécoises.

—–

Comme je travaille depuis plusieurs années sur le rapport entre la vie personnelle œuvre d’art et le pays œuvre d’art, sous l’angle de quatre questions qui permettent à une âme philanthropique de vivre son rêve sous une formule cosmique WOW-T=2.7K
J’AIMERAIS BIEN UN JOUR LUI PARLER DE MES RECHERCHES. Si jamais la vie fait qu’il me croise au 4eme étage de la bibliothèque de Concordia…

—–
Après avoir consacré 3000 pages de lectures à Bergson, Sloterdijk et les astronautes qui ont marché sur la lune, je reprends où j’en étais rendu avec mes présidents américains, le 4eme livre de Caro sur Johnson….

J’arrive maintenant à lire mes 400 pages par jour…. je dois l’expressionÂME PHILANTHROPIQUE À mICHEL LE CONCIERGE, MON PARTENAIRE DE RECHERCHE… vraiment, j’apprécie terriblement nos dialogues du matin…

Pierrot vagabond

1-CITATIONS ASTRONAUTES IER VAGABONDS CÉLESTES DE L’HISTOIRE DE L’HUMANITÉ

LIVRE
j’ai été le dernier homme sur la lune
Neil Amstrong, Alan Shepard Eugène Cernan
altipresse, septembre 2010

————-

p.188

«Ici Gemini 9, on va faire une promenade» ai-je dit à tout le monde. (1965)
Lorsque l’écoutille a été ouverte en grand, j’ai à peine poussé sur le sol de la cabine que ma combinaison s’est dépliée de la position assise. J’ai attrapé le bord de l’écoutille et je me suis redressé pour tenir debout sur mon siège. La moitié de mon corps était dehors et j’avais l’impression d’être un clochard passager clandestin sur un wagon de marchandises, en attendant que le soleil se lève sur la Californie.
Et oh mon Dieu! qyelle vue. Rien ne m’avait préparé à l’immense charge émotionnelle. J’avais mis la tête dans un kaleidoscope où les formes et les couleurs changeaient mille fois par seconde.

———–

p.253

A 20.11, heure de Houston, et après avoir été en orbite toute la journée, ils sont apparus derrière la face cachée de la lune rétablissant le contact radio et télévisuel alors qu’ils se rapprochaient de la terre en cette veille de Noel comme sortis du livre de la genèse. « Au début il y avait…» cela nous donnait l’impression d’assister au premier jour d’une nouvelle ère.

——–

p.282

Certains astronautes ont décrit le voyage vers la lune comme une extension naturelle du vol. Je suis là pour dire que c’est faux. Lorsque vous quittez l’orbite terrestre, il y a une rupture totale avec ce qui vous est familier, avec ce que vous connaissez, et avec les choses sur lesquelles vous avez toujours compté en tant que pilote. Ce truc qui vous secouait le cerveau et le reste était une percée soudaine dans le domaine des essais, où le boulot du pilote consiste à pousser un appareil aux limites de son domaine de vol et à trouver des réponses à des questions prédéterminées. Mais ici, confrontés à cet environnement hostile et nouveau où il n’y a pas d’horizon, pas de haut ni de bas, et où la vitesse et le temps prennent une autre signification, non seulement on ne connaissait pas les réponses, mais même les questions étaient inconnues.

———–

p.290

Une des conséquences de mes voyages spatiaux est que je suis devenu bien plus philosophe, parfois incapable de me concentrer sur des problèmes mineurs sur terre. parce qu’ils semblent trop minimes en comparaison à ce que j’ai vécu dans ces endroits où je suis allé. Mes compagnons astronautes qui sont allés sur la lune ont éprouvé à des degrés divers le même trouble; nous avons cassé la matrice habituelle de la vie, ET CE N’EST PAS RÉPARABLE.

…. Il y a des étoiles et du noir à l’infini ici… Je ne suis pas quelqu’un de très religieux, mais je suis croyant, et lorsque j’ai regardé autour de moi, J’AI VU DE LA BEAUTÉ ET PAS DU VIDE. Personne sain d’esprit ne peut assister à ce spectacle et nier la spiritualité de l’expérience, ni l’existence d’un être suprême, que Dieu soit Bouddha, Jésus-Christ ou n’importe quel autre. Quelqu’un, une personne, une force a placé notre petit monde, notre soleil et notre lune là où ils sont dans le noir et le schéma défit tout sens logique. C’EST SIMPLEMENT TROP PARFAIT ET TROP BEAU POUR QUE CELA SOIT ARRIVÉ PAR ACCIDENT….. car il y avait vraiment des moments où sincèrement je sentais que je pouvais toucher de la main, exactement comme il le disait, le visage de Dieu.

Le monde entier était sur le qui-vive lorsque l’heure du TEI a approché, car tout le monde savait que la vie d’astronautes était en jeu alors que Noel commençait.

LA TERRE VUE DE L’ESPACE… IERE CONDITION D’INTELLIGENCE PHILANTHROPIQUE, ÉLÉMENT CLÉ DE MA STRATÉGIE CONTEXTUELLE….

Plus je lis… plus il me semble que ma question de doctorat…

QUELLES SONT LES CONDITIONS D’INTELLIGENCE PHILANTHROPIQUE NÉCESSAIRES AU SURGISSEMENT DU IER PAYS OEUVRE D’ART SUR LA PLANÈTE?

—- impose une variable…. Quand l’homme a marché sur la lune, il a vu de l’espace la planète terre comme une œuvre d’art, donc la planète terre s’impose comme le ier pays œuvre d’art…

UN PETIT PAS POUR L’HOMME, UN GRAND PAS POUR L’HUMANITÉ…

En conséquence de quoi, je suis tenté de rétrécir mon cadre théorique de 1969 à 2016, en tenant compte seulement de ce qui a été vécu dans l’espace, avec l’hypothèse forte que LA TERRE VUE DE L’ESPACE s’impose comme la iere condition d’intelligence philanthropique NÉCESSAIRE AU SURGISSEMENT DU IER PAYS OEUVRE D’ART S’ÉTENDANT SUR LA PLANÈTE ENTIÈRE….

Je fonce en ce sens… si c’est pertinent, je commencerai à prendre des notes, et ramasser des citations….

sur Google
Pierrot vagabond

OBJECTIF POUR 2016, UNE CONSTITUTION INTELLECTUELLE REMARQUABLE

Je suis très fier de mon année de vagabondage 2015…. la bibliothèque de l’UQAM en histoire de l’art de janvier à juin, puis le Nouveau-Brunswick de juin à septembre avec en prime la bibliothèque du parlement de Fredericton et enfin la bibliothèque de l’université Concordia en philosophie politique en anglais de Septembre à Janvier. J’ai augmenté mon nombre de pages lues par jour et cela systématiquement (entre 200 et 400).

MON OBJECTIF POUR 2016…. je me prépare par des lectures pertinentes et intenses en intelligence philanthropique pour mon inscription au doctorat à l’université Laval de Québec à la chaire de philanthropie.

MA QUESTION DE DOCTORAT SERA: Quelles sont les conditions d’intelligence philanthropique nécessaires au surgissement du premier pays œuvre d’art sur la planète?.

Ma stratégie contextuelle autant que ma méthodologie inductive d’argumentation se modélisera sur celle du philosophe Peter Sloterdijk.

En conséquence de quoi…. je fonce vers mon objectif…. FAIRE VOYAGER LES 4 QUESTIONS EN ÉQUIPE de façon à ce que l’équipe reçoive un diplôme… Michel et Marlène par leur documentaire et Simon Gauthier par son spectacle du vagabond céleste.

sur google

Pierrot vagabond

L’ARGUMENTATION CONTEXTUELLE PHILOSOPHIQUE TRANSHISTORIQUE DE MON DOCTORAT…

Bergson, cours 1V
cours sur la philosophie grecque
presses universitaires de France,2000
P.14

Disons simplement qu’il (Bergson) a beaucoup emprunté aux stoïciens; que dans Plotin, il laisse de côté tout ce qui est platonicien (au sens où il l’entend, c’est à dire la théorie des idées et de l’interprétation qu’il en donne) et rapporte la pensée de l’Un à l’influence juive ou chrétienne. L’UNIVERS EST UN TOUT SYMPATHIQUE et un double processus de MATÉRIALISATION/SPIRITUALISATION, comme on le voit dans matière et mémoire. Il est aussi un processus de pluralisation.

MAIS BERGSON RENVERSE LE SYSTÈME PLOTINIEN. La pluralité va dans le sens de la spiritualisation. Le devenir n’est pas une déchéance de l’Absolu mais une gloire pour Dieu. Surtout le système de la nécessité doit laisser place AU RÉCIT D’UNE HISTOIRE UNIVERSELLE, où LA PERSONNALITÉ LIBRE EST LE TERME INDÉPASSABLE DE TOUTE ÉVOLUTION…..(chez moi la vie personnelle œuvre d’art), qui exprime elle-même UN ACTE DE LIBERTÉ DIVINE; d’où l’évolution créatrice. Mais l’extase est toujours en vue, dès le début, comme UN SOMMET À DÉCOUVRIR, d’où les deux sources de la morale et de la religion….

Si elle n’a pas non plus à présenter en détail l’image de la philosophie grecque, qui se dégage des cours de Bergson, elle ne peut éviter d’en dire un mot, fut-ce en bref et à la hache. Bergson s’intéresse d’abord aux ioniens, et à Héraclite en tant que physiciens. Il s’oppose dès le départ aux éléates. Il apprécie Socrate, en tant que mystique et que soucieux d’existence morale. Il retient très peu de Platon et contourne la philosophie des idées, trop zénonisantes. Il apprécie Aristote dont le réalisme et les intuitions dessinent une approximation de sa propre pensée. Il revient pourtant aux ioniens, via les stoïciens, mais les dépasse en plotinisant.

Il est plotinien, un peu comme Marx était hégélien. Bergson paraît avoir pensé que le système de Plotin était la tête en bas, et l’a remis sur ses pieds. LA CHÛTE DES ÂMES DEVIENT LA MONTÉE DES ÂMES. L’action n’est pas une diminution mais un accomplissement dans lequel même l’extase doit se développer pour que le mysticisme soit complet. L’Un ineffable est AUSSI PERSONNEL QU’IL LE PEUT. Le point de vue de LA CULTURE DE LA PERSONNALITÉ LIBRE l’emporte décidément sur celui de la résorption dans le tout. L’inspiration générale est incontestablement mystique, mais d’un mysticisme qui se voudrait d’ailleurs aussi positif qu’il peut se faire.

p.15…

Nous sommes avec Bergson en présence d’un penseur qui professe en penseur et pense en professant, liberté souveraine, admirable et jaillissante de créativité, armé de la plénitude indivisée de son pouvoir de voir et de juger. Les parties banales de ses cours ne sont là que pour relever les plus révélatrices, comme il faut du bois pour faire résonner les cordes. Le rayonnement de son enseignement n’a d’autre explication QUE LA MANIFESTATION DE SON GÉNIE.

Bergson nous rappelle qu’un fonctionnaire qui aide un étudiant peut être aussi UN MAÎTRE QUI AIDE UN DISCIPLE À MARCHER VERS LA VÉRITÉ. Il rappelle à tous les professeurs la noblesse de leur métier. Tout ce qu’on dit est oublié, la poussière retombe, SEULS RESTENT LE FEU SACRÉ ET LA VIE

sur Google

Pierrot vagabond

L.JACQUES MENARD OU LA PHILANTHROPIE COMME SYMBOLE MOBILISATEUR DU CANADA PAYS OEUVRE D’ART

J’ai été très ému par l’article du devoir où le président de BMO groupe financier, L. Jacques Ménard présente la philanthropie comme un des devoirs du citoyen.

J’espère un jour pouvoir le rencontrer… lui faire partager les recherches en philosophie politique de notre équipe de rêveurs équitables, de notre passion à dessiner philosophiquement le CANADA PAYS OEUVRE D’ART par une masse critique DE VIES PERSONNELLES OEUVRE D’ART.

Du doctorat réfléchissant sur la question suivante: QUELLES SONT LES CONDITIONS DE PHILANTHROPIE COLLECTIVE NÉCESSAIRES AU SURGISSEMENT DU IER PAYS OEUVRE D’ART SUR LA PLANÈTE?

D’une tournée éducative dans les écoles qui pourrait être financée par BMO par exemple…. où il y aurait le film de Michel, le vagabond céleste de Simon et un colloque sur la vie personnelle œuvre d’art par la philanthropie….appuyée par une fondation, et cela `d’un océan à l’autre. De là l’idée de terminer mon doctorat à la chaire de philanthropie de l’université Laval à Québec.

à suivre

sur Google
Pierrot vagabond

COURRIEL DU CONTEUR INTERNATIONAL SIMON GAUTHIER

Simon Gauthier <simondufleuve@gmail.com> à
pierrot rêveur, pierrot@lepaysoeuvredart.ca
Aujourd’hui à 6 h 43 PM

Salut Pierrot,
nouveau recteur de l’université Guy Concordia!

Pierrot je te fais suivre un film d’une grande qualité au sens philisophique et humain. Il est pour moi un chef d’oeuvre. Ce film traite de “suivre le chemin, nos chemins… jusqu’à la mort. Et que la mort est une porte qui ouvre vers une autre éternité. Une éternité que nous savons existante de notre vivant.

C’est film Iranien, et le neurotransmetteur est le conte conter par un vieux Dervish (sage de l’islam)
Je te le recommande vivement
Voilà le lien

++++

Autrement, j’ai passé un bon moment en compagnie de Marleen et de Michel. Je me sens bien avec eux,

Et bravo pour le votre film.

Quelle beau message d’amour et de quête de sens entre un homme et une femme.
Je fus grandement touché par votre réalisation.
++++

Michel futur concierge- sénateur!!
;-))))))
Possible

À la prochaine mon cher,

Simon à St-Élie
et nos échanges font écho

—————-
COURRIEL RÉPONSE DE PIERROT

Très cher Simon

C’est vrai… je suis devenu le recteur poétique de l’université de Concordia :))))))))))))))))))) parce que contrairement à l’université de Montréal dont la valeur matrice semble LA CARRIÈRE, l’université du Québec dont la valeur matrice semble LE CONFORT SOCIALISÉ DES ÉTUDIANTS, l’université de Concordia met en vedette LA CONNAISSANCE par un interface bibliothécaire à couper le souffle….. et j’en suis devenu le recteur parce que je vis poétiquement de ce souffle:)))))

Je suis très heureux d’avoir comme complices poétiques Michel et toi:)))))))

LES COPAINS D’ABORD COMME CHANTAIT BRASSENS.

Tu sais, à propos de ma chanson L’AMOUR AU PÔLE NORD, les écrivains de l’association des écrivains des Bois-Francs se réunissaient une fois par semaine autour de la table sur laquelle je dormais quand ils étaient partis…

Suzanne Fortin, avait écrit une chanson LE BUNKER DES POÈTES…. parce que cette cave où je dormais, un jour fut inondé par des tuyaux gelés par le froid et comme dans la cale d’un navire, nous avons fait naufrage, 3 pieds d’eau, et des bras pour sauver les livres… C’était dantesque… et quelques soirs, j’ai dormi sur ma table dans la cave avec trois pieds d’eau comme tangage:)))))

Tout cela pendant que la fleur que Suzanne m’avait donné pour la St-Valentin séparait une enfilade de trente sous de clients qui gageaient sur l’amour ou l’amitié entre elle et moi.

Et bien sur comme elle était amoureuse de mon âme et en amitié avec mon corps… personne n’a gagné la mise:)))))))))))))))

Pierrot vagabond

HENRI BERGSON… L’UNIVERS PRIS DANS SON ENSEMBLE ET CONSIDÉRÉ COMME UNE OEUVRE D’ART

Bergson
cours 1
Leçons de psychologie et de métaphysique
presses universitaires de France, 1999
P.382

« Ce qu’il faut dire c’est que, l’univers pris dans son ensemble et considéré comme une œuvre d’art, est le plus beau, le meilleur qu’il soit possible d’imaginer, et quand nous autres hommes, nous souffrons, nous pouvons nous réconforter par cette pensée que la souffrance est dans l’ordre général des choses. C’est ainsi que notre croyance à l’optimisme peut rendre notre sort meilleur: Il suffit pour être heureux de savoir prendre les choses par le bon côté, et c’est à quoi on arrive quand on part de cette conviction qu’il y a une providence, qu’elle n’a pas voulu le mal, que tout ici-bas a sa raison d’être dans le bien et que cette souffrance même dont nous nous plaignons contribue à faire que l’ensemble soit harmonieux et beau.»

————
COMMENTAIRE

wow-t=2.7 k est une mathématique noologique concue exactement dans l’angle de cette esquisse brillante d’un cadre bergsonien plus général autour de l’élan vital,  analogique à mon cadre théorique architecturé autour de la problématique abstraite du PAYS OEUVRE D’ART versus LA MASSE CRITIQUE DES VIES PERSONNELLES OEUVRE D’ART.

sur Google
Pierrot vagabond

MARLENE LA JARDINIERE ET MICHEL LE CONCIERGE…. LÉONIE LA FORESTIÈRE ET SIMON LE CONTEUR INTERNATIONAL… DEUX COUPLES AUX AFFINITÉS ÉLECTIVES SIMILAIRES

Quand Michel le concierge me parle de son amour pour sa Marlene et que Simon le conteur international me parle de son amour pour sa Léonie, j’ai la fascination d’entendre deux hommes ayant reçu le don d’aimer avec élégance, respect en prenant soin du rêve de l’autre.

Moi qui suis en couple avec les livres, je vis le rêve de George Brassens avec Marcel et Jeanne… Un intellectuel vit tellement dans sa tête qu’il a besoin de voir l’amour de ses livres dans celui de couples exceptionnels, parce que lui-même n’a aucune chance de par sa configuration (ni le goût d’ailleurs) de vivre cette forme de joie transcendant la condition humaine.

J’ai comme principe de ne jamais voir en même temps Michel et Simon. De façon quand ils se voient ces deux-là, ce qui les rend si complémentaires, qu’ils puissent devenir sans brouillage humain, une nourriture intellectuelle l’un par l’autre…

Michel et Simon ont chacun une genèse particulière de la vie personnelle œuvre d’art et du pays œuvre d’art. Michel par ses 35 heures documentées par vidéo depuis 8 ans et Simon par tout ce qu’il a filmé de moi aussi depuis 8 ans…. pour aboutir finalement, un avec un film (le pays œuvre d’art?) et l’autre avec un spectacle (le vagabond céleste).

Mais le plus important c’est que Michel autant que Simon ont la même grandeur d’âme… FAIRE VOYAGER LES QUATRE QUESTIONS… pour donner espérance à ceux et celles qui veulent faire de leur vie une vie personnelle œuvre d’art en vue de contribuer à un futur Canada pays œuvre d’art.

Le jour où Michel montrera à Simon le making of de ce qu’il possède audio-visuellement par ordre de date et que Simon fera la même chose pour Michel avec ce qu’il possède audio-visuellement aussi par ordre de date… ce sera peut-être cette symbiose d’archives réinterprétées en fonction du futur….qui fera de mon doctorat un diplôme qui sera remis à une équipe de chercheurs et chercheuses… plutôt qu’à un seul homme. D’autant plus que la contribution si judicieuse de Marlène comme celle que je soupçonne de Léonie en ennoblit la portée dialogue équitable homme-femme…

Car, tant qu’à me confier,  nous serons peut-être une équipe de 6 personnes…. (il en a une que je ne peux encore nommer… mais dont le potentiel intellectuel me semble incontournable dans sa spécialité)… et que j’espère un jour unir à un noyau éthique d’une équipe de l’humanité œuvre d’art en devenir.

sur Google
Pierrot vagabond