L’ANONYMAT, FONDEMENT D’UNE POÏÉTIQUE ÉCO-INTELLECTUELLE À EMPREINTE SYSTÉMIQUE POÉTIQUE

Ce qui m’apparaît intéressant d’un blogue, c’est l’objectif. Le mien n’est pas d’être lu mais de poser des ancrages paradigmatiques à une question qui ne retrouve pas les enjeux nécessaires à sa problématique dans les irritants actuels de la vie universitaire, affective ou civile.

En ce sens, j’admire D.H. Thoreau et son anarchisme constructif tel qu’il se dessine dans ma cabane dans le bois, comme celui de Borduas dont la maison de St-Hilaire est un brillant témoignage issu de l’ermétisme ascétique de son maître Ozéas Leduc.

Mais dans un monde où tout est incroyablement inter-relié numériquement, je ressens comme un privilège de passer 15 heures par jour, 7 jours par semaine dans le silence d’une bibliothèque universitaire, de faire un doctorat sans y être inscrit et de vagabonder la connaissance en artiste activiste humaniste pour mieux danser ma vie personnelle œuvre d’art d’ici sa finale en 2018 pour mes 70 ans par la marche anonyme au secrétariat de l’ONU.

Michel le concierge, à la suite de mes récentes lectures, a refait les scènes de dialogue du début du documentaire «LE PAYS OEUVRE D’ART?». Hier soir, Marlene Michel et moi avons visionné son travail…. Quel plaisir d’être l’ami d’un couple qui s’aime.

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Pierrot vagabond