QU’EST-CE QUE DES TRANSMAGES? CE SONT DES FORMES PURES PAR L’INTERMÉDIAIRE DES QUELLES LES QUALIAS SE MULTIVERSENT… eN CE SENS, DANS LE DOCTORAT DE NOTRE ÉQUIPE DE RECHERCHE(AULD, WOODARD, ROCHETTE) OÙ TROIS PEINTRES TÉMOIGNENT DE LA BEAUTÉ DU MONDE, LA RIVIÈRE EST NOTRE MÉTHODOLOGIE, LES BILLOTS L’ÉNIGME ÉPISTÉMOLOGIQUE DE PIERROT LE VAGABOND CÉLESTE ET L’ARC-EN-CIEL AU-DESSUS DE LA RIVIÈRE, L’AMOUR OEUVRE D’ART ONTI-KHA-TIVE DE MARLENE LA JARDINIÈRE ET MICHEL LE CONCIERGE, L’ONTOLOGIE EN RÉSULTANT SE DÉPLOYANT QUANTO-COSMOLOGIQUEMENT PAR LE «?» DE LA CONDITION HUMAINE SALUANT BIEN HUMBLEMENT PAR BROSSES D’ÊTRE ET ATTAQUES D’ÊTRE LE »CELA EST» SOUS FORME PURE INOUIE DU POINT D’EXCLAMATION DE LA BEAUTÉ DU MONDE MULTIVERSIENNE

Pour saisir la méthodologie de la rivière de notre doctorat (Auld, Woodard, Rochette), le lecteur doit d’abord accepter de ne rien comprendre par la seule raison syllogistique, inductive, déductive ou même sophistique.

Bien plus, l’introduction de notre doctorat (Auld, Woodard, Rochette) est dessinée en ABJETS, c’est à dire en une suite de sauts conceptuels que doit faire un enfant qui saute de billot en billot pour traverser les deux rives de l’errance poétique, risquant à tout moment de sombrer …. soit dans les eaux de l’errance billotisée des enfants fantomatisés se mourrant de faim ou de blessures de guerre, soit dans le courant de l’errance axiologique du capitalisme sauvage poussant 3 milliards de billots vers leur déchiquetage pour les ventres pleins de lecteurs de journaux ou de statistiques sur la faim dans le monde, les billots de désespoir se métamorphosant en papiers du déni.

D’ordinaire dans un doctorat, on passe du sujet à l’objet, de l’objet au projet…. Mais si on fait un doctorat d’invention planétairement opérationnel, on ne peut être suspendu aux abductions de Peirce tout comme aux intuitions de Pointcarré… ni même aux normes institutionnelles d’écriture de nos universités secondarisées où règnent en petits roitelets de la vanité de l’ignorance la perroquetterie même de leur savoir stratifié, qu’importe le champ enseigné.

Il faut franchir le drap blanc pythagoricien du cercle des initiés, FAIRE LE SAUT… ET C’EST LE SAUT CONCEPTUEL, autant méthodologique, épistémologique que métaphysique que sort l’ABJET (les formes pures du multivers qualien) de l’objet ( les formes asservissantes de l’univers qualitatif/quantitatif)

Pour bien comprendre la révolution des ABJETS PAR LES TRANSMAGES, il faut remonter l’histoire de la pensée méthodologique à l’envers, de façon à éviter les pièges de l’illusion du progrès, de la linéarité des gagnants de l’histoire et retrouver ainsi les débris de la connaissance métamorphosés en copeaux de bois se détachant des billots où seul l’errant poétique peut se faire le DRAVEUR de ses pensées les plus en harmonique Khantique avec le textural des notes musicales phytagoriciennes parce que énigmes mathématiques que l’on retrouve déjà dans l’enchantement même du Kantique des Kantiques de la bible.

à suivre…

Pierrot vagabond, au nom par et pour notre équipe de recherche, (Auld, Woodard, Rochette)

LE IER JET DE L’INTRODUCTION DU DOCTORAT DE NOTRE ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) ÉTANT PEINT, J’ABORDERAI MAINTENANT L’INVENTION DE NOTRE MÉTHODOLOGIE DE RECHERCHE QUI PORTERA COMME TITRE: LA MÉTHODOLOGIE DE LA COMPLAINTE DE LA RIVIÈRE CRYPTÉE PARCE QUE BILLOTTÉE…. IER CHAPITRE D’UNE CENTAINE DE PAGES AUQUEL SUCCÉDERONT LES TROIS CHAPITRES DE LA THÈSE ELLE-MÊME: IER) LA NON-TRICHERIE, 2EME) WOW-T=2.7K? , 3EME) LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE

MÉTHODOLOGIE INVENTÉE DE NOTRE DOCTORAT

QUI SE KHA…NTE (donc,  anti-khantienne) parce que K (Monsieur 2.7k?), H grand homme, Michel le concierge et A grande âme, Marlene la jardinière, trois peintres peignant côte à côte les qualias de la même questions de doctorat: AU 21EME SIÈCLE, QUELLE INSTITUTION FAUT-IL INVENTE RPOUR QUE SUR TERRE PLUS AUCUN ENFANT NE MEURE DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE.

CETTE MÉTHODOLOGIE SERA DÉMONTRÉE DANS CE 100 PAGES SOUS LE TITRE ABDUCTIF SUIVANT:

COMPLAINTE DE LA RIVIÈRE CRYPTÉE PARCE QUE BILLOTTÉE DE TROIS CONSCIENCES MULTIVERS

1: du sujet à l’objet, de l’objet au projet, du projet à L’ABJET

Pour notre équipe de recherche, Un abjet correspond un saut conceptuel, tel qu’illustré par Popper dans l’exemple suivant:

SAUT CONCEPTUEL… LE SAUT CONCEPTUEL D’ANAXIMANDRE…« SELON MOI, CETTE IDÉE D’ANAXIMANDRE …QUE LA TERRE EST SUSPENDUE DANS L’ESPACE… EST L’UNE DES IDÉES LES PLUS AUDACIEUSES, LES PLUS RÉVOLUTIONNAIRES, LES PLUS PRODIGIEUSES DE TOUTE L’HISTOIRE DE LA PENSÉE HUMAINE» POPPER.

à suivre…

Pierrot vagabond, au nom, par et pour notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette)

 

 

 

 

LES 50 IERES PAGES DE L’INTRODUCTION DU DOCTORAT DE NOTRE ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) INTITULÉ: DE LA NON-TRICHERIE À WOW-T=2.7K? : LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE

NOBEL, NOBEL, NOBEL, NOBEL
RIVIÈRE ST-MAURICE, LA TUQUE

1 : ENJEU DU DOCTORAT (300 MOTS OU MOINS) *** NOBEL, INTRO. ENJEU)
Depuis trop de siècles, des centaines de millions d’enfants-errants-fantomatiques, sont cruellement victimes de faim ou de blessures de guerre. Comment se fait-il qu’encore de nos jours, les 193 états hobbiens onusiens sous la féodalité de monarchies nucléaires font passer la course aux armements, les guerres et les paradis fiscaux avant le droit à une vie personnelle œuvre d’art pour tout enfant de cette planète terre, qu’importe sa race, sa couleur de peau ,sa langue ou sa religion? Cette première question conduisant à la suivante : Quelle institution nano-citoyenne-planétaire faut-il donc inventer pour contrebalancer le pouvoir toxique des dirigeants de ces 193 états afin qu’ils cessent de TRICHER criminellement autant qu’onti-KHA-ativement avec leur devoir d’humanité?
C’est dans le sens de ces deux questions que notre doctorat, par le biais de trois archétypes hologrammiques (Marlene la jardinière, Michel le concierge, Pierrot vagabond) s’axiomatisera d’abord par une réflexion sur la non-tricherie (ier chapitre) pour ensuite construire un algorithme de justice sociale «wow-t=2.7k?» (2eme chapitre) à partir duquel il sera possible d’inventer l’institution de la nano-citoyenneté-planétaire (3eme chapitre) dont notre planète semble avoir terriblement besoin devant la somme des urgences à laquelle elle est confrontée (entre autres, l’ère de l’anthropocène, l’ère de la colère sociétale comme l’ère de l’effondrement économique par émigrations massives )
En conséquence de ces prémisses, l’objectif de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) se veut donc le suivant :
D’abord, contribuer systémiquement à la déshobbiation de l’O.N.U. par la mise en algorithme de milliards de téléphones intelligents afin de valider politiquement la création d’une cour suprême nano-citoyenne-planétaire composée de deux assemblées des justes (125 femmes et 125 hommes) élues ville par ville et village par village, et cela par tirage au sort, dans le but de représenter incontournablement et éthiquement ces centaines de millions d’enfants-errants-fantomatiques.
Ce qui constituera, ensuite pour nous, la mise en opérationnalité concrète du voile d’ignorance de John Rawls, en faisant passer de mineur en majeur le tirage au sort précédant les deux assemblées des justes (en mode de voile d’ignorance) en vue d’établir des règles du jeu priorisant une vie personnelle œuvre d’art pour tout enfant de cette terre, et cela sous la mise en aphorisme argumenté de la question philo-politique suivante :

COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

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2 : NOTRE ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE)
1-a) Marlene la jardinière,

MARLENE AULD, ENSEIGNANTE EN DESIGN DE MODE AU COLLÈGE LASALLE, JARDINIÈRE DE LA BEAUTÉ DU MONDE DANS CETTE MAGNIFIQUE PRESQU’ÎLE DE GRANDES-ÎLES (VALLEYFIELD)
1-b) Michel le concierge

CHANSONNIER, COMPOSITEUR DE CHANSONS, PROGRAMMEUR, STYLISTE, INVENTEUR DE LA PHILOSOPHIE D’EN BAS, CONCEPTEUR D’APHORISMES, CONCIERGE DE LA BEAUTÉ DU MONDE.
1-c) Pierrot Vagabond,

PIERRE ROCHETTE, CHERCHEUR EN PHILOSOPHIE POLITIQUE: NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE, DIPLÔME M.A. U.D.M. SUR LE RIRE ET PÉDAGOGUE CERTIFIÉ
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3 : QUESTION DE DOCTORAT

AU 21EME SIÈCLE, QUELLE INSTITUTION PLANÉTAIRE FAUT-IL INVENTER POUR QUE SUR TERRE PLUS AUCUN ENFANT NE MEURE DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE?
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4 : RÉPONSE DU DOCTORAT

LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE
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5 : TITRE PROGRAMMATIQUE DU DOCTORAT

DE LA NON-TRICHERIE À «WOW-T=2.7K?» : LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE

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POUR MON AMI MICHEL LE CONCIERGE, SON VILLAGE C’EST LA PLANÈTE DONT IL EST L’ASTERIX LE GAULOIS … MANIFESTE DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE
JANUARY 23, 2019
Quel beau conseil d’administration de la créativité ce matin. Nous nous sommes levés très tôt parce que Michel à 68 ans pellete à son travail de concierge industriel. Mais le plus exceptionnel n’est pas qu’il pellete à 68 ans, mais qu’après une dure journée de travail, il crée la philosophie d’en bas… la condition humaine parle à travers sa grandeur, son humanité et son amour pour Marlene.
Je lui avais dis il y a quelques jours…. Gaelle m’a demandé c’est quoi la nano-citoyenneté-planétaire… et moi, comme d’habitude incapable de répondre…. j’en ai tellement dans la tête que j’en suis devenu bric à brac sur mon blog, comme me le dit si bien Donald à l’UQAM….
Alors avant hier soir, Michel, sans que je demande rien, a fait un document pour que je le mette dans mon portefeuille… Comme ca si on me demande sur quoi on fait des recherches, je n’aurai qu’à sortir les deux feuilles…
Surtout que me voilà enfonçé dans la philosophie de la science quantique pour mieux argumenter le rêve big bang, les qualis et notre algorithme social (wow-t=2.7k?) avec comme abduction forte que toute vie personnelle œuvre d’art fondée sur la non-tricherie déclenche une synchroni-vie-té RELATIONNELLE ENTRE LE MULTIVERS ET LA MULTI-HUMAINE DANSE EN FORME D’ERRANCE POÉTIQUE UNIVERSELLE.
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Alors je dis à Gaelle… tu sais ta question .. c’est quoi ta nano-citoyenneté-planétaire?… j’ai la réponse écrite et signée par mon partenaire de recherche et ami Michel le concierge… chaque mot vient de sa plume, de la plume d’un homme qui pellete par amour pour sa femme…
et je sors le papier du porte feuille
Gaelle le lit…
page 1
LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE?…
PLANETARY NANO-CITIZENSHIP?…
WOW-T=2.7K?…
LE PAYS OEUVRE D’ART?…
MICHEL LE CONCIERGE/ INTRODUCTION/2019-01-07
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page 2
Bienvenue?…
– L’idée du pays œuvre d’art? s’est installée peu à peu entre nous… Marlene, Michel et Pierrot…
– Peu à peu depuis nos retrouvailles en 2007, dans le contexte du POA (pays œuvre d’art) Marlene est devenue «la jardinière»… Pierrot… «le vagabond-chercheur»… et Michel «le concierge»… Ces appellations représentent les états que chacun apporte à son quotidien.
– Marlene la jardinière, Michel le concierge et Pierrot vagabond-chercheur… sont donc 3 archétypes… ayant chacun le rôle de «co-fondateur» du POA (pays œuvre d’art).
– A titre de co-fondateurs, l’équipe contribue depuis 2008 à l’installation virtuelle du POA ainsi qu’à la promotion de «la vie personnelle œuvre d’art?…» le tout en vue de l’établissement d’un nouveau principe de gouvernance humaine planétaire que nous proposons comme étant la «NANO-CITOYENNETÉ…»
L’OBJECTIF?…
Développer, tester et installer une méthode universelle et viable… qui permette à l’humanité de mieux fonctionner… en ajoutant une couche d’intelligence additionnelle par-dessus l’existante.
La nano-citoyenneté-planétaire… représente l’ensemble des êtres humains… en tenant compte que chacune et chacun est important pour l’ensemble.
LE PLAN?…
Le dépôt en 2020… au siège social de l’Organisation des Nations-Unies «l’ONU» à New York.. de notre doctorat intitulé «WOW-T=2.7K?…»
Le dépôt… représente un ensemble de documents multimédias proposant un plan détaillé d’installation de la Nano-Citoyenneté-planétaire vis les systèmes universitaires mondiaux.
Le dépôt… en conclusion de notre marche «WOW-T=2.7K?…» dont le point de départ sera la maison de Montréal du père du refus global… Paul-Emile Borduas. Pour se rendre… en marchant à pied si possible… à destination
MICHEL LE CONCIERGE…
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Et Gaelle de me dire après vu le manifeste attentivement me dit: C’est signé ça… Michel….j’aimerais ça l’afficher dans mon bureau…
au 5eme étage du département de sociologie de l’UQAM
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et moi de penser….Nul ne sait ce que vaudra cet artéfact quand nous gagnerons notre prix Nobel de la paix:))))))))))))))))))))))))))))
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«si tu es vraiment une personne humaine pratiquant la bienveillance en plus, tu te poses deux questions: a) Qui souffre sur la planète?… 2) Comment arrêter ça? »….  Michel le concierge

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6 : 1408, DRONES WOWWWWWWWWWWWW

September 18, 2016 Pierrot le Vagabond Chercheur

Théorie du drône Grégoire Chamayou la fabrique éditions, 2013

 

Prélude p.10-20

La base de Creech est le berceau de la flotte des drones de l’US Air force. Les militaires la surnomment «la demeure des chasseurs» L’organisation antiguerre «code pink» la décrit plutôt comme «un lieu d’incrudilité, de confusion et de tristesse».

Le travail est d’un ennui extrême. Des nuits à ingurgiter des Doritos ou des M&M face à l’écran, pour voir le plus souvent toujours les mêmes images d’un autre désert, de l’autre côté de la planète, à attendre que quelque chose se passe: «des mois de monotonie pour quelques milisecondes de grabuge».

Demain matin, un autre «équipage» viendra prendre le relais aux commandes de l’appareil. Le pilote et l’opérateur au volant de leur 4×4 pour retrouver, à 45 minutes de là, femme et enfants dans l’environnement tranquille d’une banlieue pavillonnaire de Las Végas.

Les passages des trois véhicules partis de leur petit village de la province de Daikundi ne le savent pas, mais cela fait déjà assez longtemps que des dizaines de pupilles les observent. Parmi ces spectateurs invisibles, le pilote et «l’opérateur des capteurs » mais aussi «un coordonnateur des missions», un «observateur de sécurité», une équipe d’analystes vidéo, et un «commandant des forces terrestres» qui finira par donner le fey vert pour la frappe aérienne. Ce réseau d’yeux est en communication permanente, ils parlent entre eux, et, en cette nuit du 20 février 2010, comme à l’accoutumée, leur conversation est enregistrée.

 

0.45 GMT – 5h15 en Afghanistan.

le pilote: Est-ce que c’est un putain de fusil là?

l’opérateur: Peut-être juste une tache chaude là où il était assis, je peux pas vraiment le dire, là, mais ça ressemble vraiment à un objet.

le pilote: j’espérais qu’on puisse répérer une arme, mais tant pis.

1.05 L’opérateur: ce camion ferait une belle cible. ok c’est un 4×4, un Chevy Suburban. Le pilote: ouais l’opérateur: ouais.

1.07 Le coordonnateur: Le screeber a dit qu’il y a au moins un enfant près du 4×4. L’opérateur: Putain de merde… où ça? Envoie-moi un putain de cliché, mais je ne crois pas qu’ils aient des gamins à cette heure-ci, je sais bien qu’ils sont tordus, mais faut pas pousser….

L’opérateur: Bon peut-être un adolescent mais je n’ai rien vu d’aussi petit, et ils sont tous regroupés là.

Le coordonnateur: Ils vérifient.

Le pilote: Ouais, qu’ils vérifient cette merde… Pourquoi Est-ce qu’il a pas dit: «enfant éventuel» alors? Pourquoi ils sont si pressés de parler de putains d’enfants mais pas de putains d’armes?

Le coordonnateur: Deux enfants à l’arrière du 4×4.

01.47 Le coordonnateur: ça ressemble à des couvertures. Ils étaient en train de prier, ils avaient… Le pilote: Jag 25, Kirk97, le compte est bon ou pas encore? l’opérateur: ils prient, ils prient.

01.48 L’opérateur: C’est ça, au final, leur force. Prier? Je veux dire, sérieux, c’est ça qu’ils font. Le coordonnateur: Ils manigancent quelque chose.

01.50 Le coordonnateur: Adolescent près de l’arrière du 4×4. L’opérateur: Ouais, ben, des adolescents, ça peut se battre. Le coordonnateur: Prends une arme et t’es un combattant, c’est comme ça que ça marche.

01.52 L’opérateur: Un type encore en train de prier devant le camion.

Le pilote: Pour Jag25 et Kirk 97, tous les individus sont en train de finir de prier et se rassemblent maintenant près de trois véhicules. L’opérateur: Ph, la belle cible. J’essaierais de passer par l’arrière pour la mettre en plein dans le mille. L’opérateur: Oh, ça serait parfait!

02.41 L’opérateur: Monsieur, Est-ce que ça vous dérangerait si je faisais une pause toilettes rapide?

Le pilote: Non, pas du tout mon gars.

0.317 Un inconnu: Bon, c’est quoi le plan les gars? Le pilote: Je sais pas, j’espère qu’on va pouvoir shooter ce camion avec tous les mecs dedans. L’opérateur: ouais.

( Le drone Prédateur n’ayant plus qu’un seul missile à bord- insuffisant pour cibler trois véhicules- ordre est donné à deux hélicoptères Kiowa, nom de code «Bam bam41», de se mettre en position pour l’attaque. Un plan est arrêté: les hélicoptères tireront les premiers, puis le drone finira le travail en tirant son missile Hellfire sur les survivants.)

03.48 L’opérateur: Opérateur paré, que la fête commence! …. L’opérateur: Tu sais quoi, on pourrait avoir toute une flotte de «preds»ici. Le pilote: Oh, si seulement mec…

04.06 Le pilote:…Ecoute mec, on va probablement être en train de poursuivre des types qui s’éparpillent dans tous les sens. Euh, dans la descente, ne te préoccupe pas d’un guidage de ma part ou de Jaguar, tu n’as qu’à suivre ce qui te paraît le mieux. Reste sur celui où t’as le plus de probabilités de tirer dessus. Je suis avec toi sur ce coup. Donc je te brieferai sur un profil de tir, on aura un briefing d’attaque dès qu’on sait ce qu’on va shooter.

04.11 Les hélicoptères Kirk97, Bambam41, vous reçoit cinq sur cinq. Le pilote: Ok Bambam41, Kirk97, vous reçoit cinq sur cinq aussi. Je comprends que vous avez pris en chasse nos trois véhicules, vous avez besoin qu’on vous dise, ou vous les avez?

Les hélicoptères: 41 les a juste du côté sud de la passe de la grille indiquée, Une Highland blanche suivie de deux 4×4. Le pilote: Kirk 97, bien reçu. Ce sont vos trois véhicules. Environ 21 hommes en âge de combattre, environ trois fusils positivement identifiés jusque-là dans le groupe et, ah, ce sont vos trois cibles.

04.13 Le pilote: le tir a l’air cool.

L’opérateur: Oh, magnifique.

Les hélicoptères (inaudible)… armes et communications avec manœuvre tactique. Stop, Hum, comprenons que nous avons le feu vert pour l’engagement.

Le pilote: ok, il a le feu vert pour l’engagement, donc il a le type 3. Je vais faire tourner nos missiles aussi.

04.16 L’opérateur: Roger. Et, oh… et ça y est? (Les hélicoptères tirent sur le convoi). … L’opérateur: J’ai un autre mec… ils l’ont eu eux aussi? Ouais Le pilote: Ils ont dégommé le premier et, euh. le dernier, ils vont revenir.

04.17 Le coordonnateur: Vous voulez qu’on passe sur une autre fréquence? Le pilote: J’ai essayé, personne ne me parlait là-bas… L’opérateur: On dirait qu’ils se rendent. L’opérateur: Ils ne courent pas.

04.18 L’opérateur: Ce type est allongé? ils ne courent pas. l’observateur: Les gars, c’est bizarre. L’opérateur: ils s’éloignent juste en marchant. … L’observateur: Vous voulez regarder s’il y a des gens à l’arrière? un inconnu: Oui… L’observateur: Près de cette troisième épave… L’opérateur. Quelques-uns.. deux ou trois… L’opérateur: Oui ils décompressent. Le pilote: zoome là-dessus une seconde pour moi. Le troisième là. L’opérateur: le troisième? Le pilote: Ouais. Ils l’ont explosé? ils l’ont fait non? L’observateur: non, ils l’ont pas fait. Le pilote: Ouais, ce truc a bien l’air détruit, pourtant non? L’observateur: Ouais, ils l’ont touché. Il y a de la fumée.

L’opérateur: Ils l’ont touché. Vous… ces types sont juste… (Une roquette frappe le véhicule central) Un inconnu: oh| le pilote: Putain de Dieu!

04.22 L’opérateur: identifiez positivement les armes, je n’en vois aucune… L’opérateur: J’ai un truc qui brille sur celui à droite. L’opérateur: juste L’opérateur: c’est bizarre… Le pilote: pas la moindre idée ce qu’ils foutent. L’opérateur: probablement en train de se demander ce qui vient de leur arriver. L’observateur: Il y a un autre à gauche sur l’écran L’opérateur: oui je les vois. L’observateur: ils portent des burkas? L’observateur: ça y ressemble en tout cas. Le pilote: Mais ils étaient tous positivement identifiés comme hommes. Pas de femme dans le groupe. L’opérateur: Ce mec a l’air de porter des bijoux et des trucs comme une fille, mais ce n’est pas une fille, si ce type est une fille, c’est une grosse.

04.32 L’observateur: Un des types en haut à gauche est en train de bouger. L’opérateur: ouais, je le vois. Je crois que je l’ai vu bouger tout à l’heure, mais je ne sais pas s’il est…. s’il est en train de bouger ou s’il a des spasmes? L’opérateur: Eh, je crois qu’il a bougé, pas beaucoup, mais… L’opérateur, je ne peux pas, je ne peux pas les suivre tous les deux. Le coordonnateur: il y a un type qui s’assoit. L’opérateur ( s’adressant à un individu au sol) avec quoi tu joues? Le coordonnateur: avec son os.

04.33 L’observateur: Oh putain. Ouais, vous avez vu le sang juste là, à côté du… Le coordonnateur: ouais, je l’ai vu tout à l’heure.

04.36 Le coordonnateur: ç’ en est deux? Un type qui soutient l’autre type? L’observateur: On dirait L’opérateur: On dirait ouais Le coordonnateur: Le secourisme à la rescousse. L’observateur: J’ai oublié, comment tu traites une blessure à boyaux ouverts? L’opérateur: les remets surtout pas à l’intérieur. Tu les emballes dans une serviette. Normalement ça marche.

04.38 Le pilote: Putain, ils essaient de se rendre, non? L’opérateur: J’ai l’impression aussi. Le coordonnateur: Ouais je crois que c’est ce qu’ils font.

04.40 L’opérateur: C’est quoi ceux-là? Ils étaient dans le véhicule du milieu. Le coordonnateur: DES FEMMES ET DES ENFANTS

L’opérateur; ÇA RESSEMBLE À UN ENFANT

L’observateur: OUAIS, CELUI QUI AGITE LE DRAPEAU

04.42 L’observateur: Je vais leur dire qu’ils sont en train d’agiter leur… L’opérateur: ouais… là maintenant je ne serais…

JE NE SERAIS PAS,

PERSONNELLEMENT,

À L’AISE ,

POUR TIRER SUR CES GENS

Le coordonnateur. Non

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ÇA RESSEMBLE À UN ENFANT

ÇA RESSEMBLE À UN ENFANT

ÇA RESSEMBLE À UN ENFANT

ÇA RESSEMBLE À UN ENFANT

ÇA RESSEMBLE À UN ENFANT

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Moi aussi, Pierrot vagabond céleste, Monsieur 2.7k?….2.7K?…..2.7K?….2.7K?….2.7K? j’ai déjà ressemblé à cet enfant… KKK….KKK….KKK….KKK….KKK….KKK…    sauf que cet enfant en moi fut tué par se métamorphose en corps-enfant-adulte et non par un de ces instants toujours le même et jamais pareil qui traverse toute l’histoire de l’humanité, divisée ontologiquement en une minorité d’errants axiologiques (dominants) versus une majorité d’errants fantomatiques (dominés)…. Tout autant les uns que les autres englués dans une logique de la faim entretenue par une logique de guerre.

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ÇA RESSEMBLE À UN ENFANT

ÇA RESSEMBLE À UN ENFANT

ÇA RESSEMBLE À UN ENFANT

ÇA RESSEMBLE À UN ENFANT

ÇA RESSEMBLE À UN ENFANT

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LA FAIM MARTIN CAPARROS Buchet. Chastel Libella, Paris, 2015. p.13-14

1623,

extrait

« La destruction, chaque année, de dizaine de millions d’hommes, de femmes et d’enfants par la faim constitue LE SCANDALE DE NOTRE SIÈCLE.

Tous les cinq secondes un enfant de moins de 10 ans meurt de faim. Sur une planète qui regorge pourtant de richesses…

Dans son état actuel, en effet, l’agriculture mondiale pourrait nourrir sans problème 12 milliards d’êtres humains, soit deux fois la population actuelle.

Il n’existe donc à cet égard aucune fatalité.

«Un enfant qui meurt de faim est un enfant assassiné» écrit Jean Ziegler, ex-rapporteur spécial des Nations unies sur la question du droit à l’alimentation, dans son ouvrage, Destruction massive.….
Comment, Bordel, parvenons-nous à vivre en sachant que ces choses-là arrivent?

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1214, (Monsieur 2.7k?, enfants)

C’est le président Eisenhower qui un jour, dans son caucus a poussé un cri du cœur en disant: Savez-vous ce que j’aimerais dire aux journalistes mais que je n’ai pas le droit de dire?…. Chaque arme enlève le pain dans la bouche d’un enfant et je ne puis faire autrement que de faire des armes  car je suis victime d’une course aux armements…

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ÇA RESSEMBLE À UN ENFANT

ÇA RESSEMBLE À UN ENFANT

ÇA RESSEMBLE À UN ENFANT

ÇA RESSEMBLE À UN ENFANT

ÇA RESSEMBLE À UN ENFANT

KKK…..KKK…..KKK…..KKK……KKK….KKK….KKK….KKK….KKK….KKK…. KKK…..KKK…..KKK…..KKK……KKK….KKK….KKK….KKK….KKK….KKK…. KKK…..KKK…..KKK…..KKK……KKK….KKK….KKK….KKK….KKK….KKK…. KKK…..KKK…..KKK…..KKK……KKK….KKK….KKK….KKK….KKK….KKK….

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7 : PAINE THOMAS,

1996,

(THOMAS PAINE) ET LORSQUE NAÎT UN ENFANT, EN QUELQUE LIEU OU SIÈCLE QUE CE SOIT «LE MONDE EST AUSSI NEUF POUR LUI QU’IL LE FUT POUR LE TOUT PREMIER DES HOMMES »… THOMAS PAINE, DANS SON CÉLÈBRE LIVRE «LES DROITS DE L’HOMME»

K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K….K…K… K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K….K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K….K…K… K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K…K….K…K…

Voici l’histoire de Monsieur K… , prisonnier numérique K…ui s’évade d’Internet après avoir franchi 1000 pages dématérialisées de débrits de bitts… Son rêve, marcher la fraîcheur existentielle de la beauté du monde sans le boulet de l’information enchaîné à l’un de ses pieds, enfin libéré de 1000 pages de placenta ayant permis l’accouchement d’un vagabond céleste….MONSIEUR 2.7K?…Monsieur 2.7k?…Monsieur 2.7k?

Après avoir rencontré la bienveillance de Michel le concierge, Monsieur H (homme)… un vrai-grand- homme vivant un amour œuvre d’art pour sa compagne Marlene la jardinière, une vraie grande dame, Madame A(me)….. couple grâce auquel Monsieur K (KIKONKE) ….soit  Pierrot 2.7k?….  devint vagabond-chercheur au cœur d’une équipe de recherche multi-contextuelle  (Auld, Woodard, Rochette)… KHA…(Kikonke, Homme, Ame)

KHA…KHA…KHA…KHA…KHA…KHA…KHA…KHA…KHA…KHA…KHA… KHA…KHA…KHA…KHA…KHA…KHA…KHA…KHA…KHA…KHA…KHA…

Et une question de doctorat émergea du KHA :

AU 21EME SIÈCLE, QUELLE INSTITUTION PLANÉTAIRE FAUDRAIT-IL INVENTER POUR QUE SUR TERRE PLUS AUCUN ENFANT NE MEURE DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE?

 

ONTI-KHA-TION…ONTI-KHA-TION…ONTI-KHA-TION…ONTI-KHA-TION…ONTI-KHA-TION…

QUANTI-KHA-TION…QUANTI-KHA-TION…QUANTI-KHA-TION…QUANTI-KHA-TION…

 

ONTI-KHA-TION…ONTI-KHA-TION…ONTI-KHA-TION…ONTI-KHA-TION…ONTI-KHA-TION…

QUANTI-KHA-TION…QUANTI-KHA-TION…QUANTI-KHA-TION…QUANTI-KHA-TION…

 

ONTI-KHA-TION…ONTI-KHA-TION…ONTI-KHA-TION…ONTI-KHA-TION…ONTI-KHA-TION…

QUANTI-KHA-TION…QUANTI-KHA-TION…QUANTI-KHA-TION…QUANTI-KHA-TION…

 

ONTI-KHA-TION…ONTI-KHA-TION…ONTI-KHA-TION…ONTI-KHA-TION…ONTI-KHA-TION…

QUANTI-KHA-TION…QUANTI-KHA-TION…QUANTI-KHA-TION…QUANTI-KHA-TION…

 

Et une réponse KHA… KHA… KHA… KHA… KHA …jaillit…

 

LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE

Les 600 pages de ce doctorat MULTI-PEINTRES (KHA) vous en feront donc le récit.

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2977

8 : RIVIÈRE KHA-RYPTÉE LE DOCTORAT De NOTRE ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) SERA UNE RIVIÈRE «KHA-RYP-TÉE» DE L’HISTOIRE D’UNE INVENTION POUR SOULAGER LA CONDITION HUMAINE MISÉRABLE DES MILLIONS D’ENFANTS-ERRANTS-FANTOMATISÉS DE LA PLANÈTE, ALORS QU’À PARTIR DES DEUX BERGES DE LA RIVIÈRE DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE, SERA DESSINÉ UN ARC-EN-CIEL AMOUR OEUVRE D’ART ENTRE UN VRAI HOMME HOLOGRAMMIQUE (MICHEL LE CONCIERGE) ET UNE VRAIE ÂME HOLOGRAMMIQUE (MARLENE LA JARDINIÈRE)

April 27, 2019 Pierrot le Vagabond Chercheur

Cette nuit, tout le design crypté de notre doctorat m’est apparu d’une grande clarté obscure….

Il était impossible de se baigner dans la rivière St-Maurice de mon enfance dans la pureté héraclienne de l’étonnement brosses-d’être-attaques d’être ( on ne se baigne jamais 2 fois dans le même fleuve).

Bien plus, toute la rivière de mon enfance était encombrée de billots qui descendaient du moulin à papier de La Tuque à Trois Rivières.

Maintenant la nuit, j’y vois les billots du St-Maurice devenus pour moi les débris de la connaissance servant scandaleusement de bouée de sauvetages illusoires à de millions d’enfants-errants fantomatisés, finissant par se noyer d’épuisement, de faim, de blessures de guerre.

C’est là que Pierrot, monsieur 2.7k? accroché lui aussi à un billot de l’humanité errante passe ses nuits et jours à descendre la rivière des impossibles, en coureur des bois, en vagabond céleste,  s’acharnant à inventer ce qui n’existe pas encore… la nano-citoyenneté-planétaire…

Voilà pourquoi  tout le 600 pages du centre est profondément crypté POUR NE PAS ÊTRE LU à moins de SOUHAITER  être initié par l’algorithme de justice sociale: (wow-t=2.7k?) , cadeau offert à toute personne humaine qui refuse de tricher ( donc qui respecte en elle la liberté de faire de sa vie personnelle une œuvre d’art au service d’une humanité œuvre d’art en devenir) provoquant ainsi le jaillissement et d’un champ constellaire et d’un rêve big bang  AU SERVICE D’UN RÊVE BIG BANG DE L’HUMANITÉ EN DEVENIR.

Et cette nuit, j’ai vu la grandeur de l’amour œuvre d’art de  l’archétype hologrammique de Marlene la jardinière sur une berge et de l’archétype hologrammique de Michel le concierge sur l’autre berge, faisant de l’arc-en-ciel surplombant la rivière des billots de la tricherie humaine, une espérance quanto-cosmologique en mode d’onti-KHA-tion en vue d’accéder à la RECOHÉRENCE QUANTI-KHA-TIVE DE LA BEAUTÉ DU MONDE.

Donc l’introduction de notre doctorat sera donc le design de Marlene et Michel  en mode d’arc-en-ciel d’espérance pendant que Pierrot vagabond céleste se métamorphosera par ses brosses d’être et ses attaques d’être en rivière st-Maurice solidaire dans son canot d’écorce des millions de billots-enfants-errants-fantomatisés signant le fleuve d’Héraclite en enfer de Dante.

Pierrot vagabond, au nom par et pour notre équipe de recherche: Auld, Woodard, Rochette.

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LES ENFANTS-BILLOTS-FANTOMES           DU ST-MAURICE

 

PORTRAIT HISTORIQUE DE LA RIVIÈRE ST-MAURICE

April 29, 2019 Pierrot le Vagabond ChercheurEdit

Historique de la rivière Saint-Maurice

K          K          K          K          K          K          K          K          K          K   AfflueKnt le pKlus imKportanKt du flKEuve  KSaint-KLaurenKt aprèsK l’OutKouais et le SaguKenay, Kla riviKère Saint-MauKicie preKnd sa K sourceK dans lK réserKvoir Gouin, Kà enviKron 40K0 kilomètres aKu nord de TroisK-Rivières. Le bassin  K  hydrogrKaphiqKue d’enKviron 43 000 Kilomètres carrésKcanalise les eauKx dK’une quinzainKe de cKours d’Keau tributaireKs. Des rapides eK des chutes y syK   K nchronisKeront lKe dévelKoppement d’iKnstallations hydKroélectriques etK l’émergeKnce deK villes iKndustrielles. EKntre les hautes Kterres boisées dKu Bouclier laurentieKn et lesK basses tKerres du SaintK-Laurent, le paKrcours du SaintK-Maurice, embarrasKsé par pKlusieurs K barrages corrKespond davantKage aux exigenKces d’un réservoir Kqu’aux cKharmes Ktranquilles d’une rivière. Pendant plus d’un sièKcle, en effet, et juKsqu’à réKcemment, Kil a surtoutK assumé le transport de quelque K

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3 milliards de « pitounes » ou billes de bois vers les scieries et les moulins à papier de la Mauricie.

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Au tournant Kdu siècle, l’incorporation Kdes villages Kde Grand-Mère (1898) Ket de Shawinigan FallsK (1901), et celle de la Kville de La Tuque (1908) complètent le tableau.

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À l’époque, la journée de travail dans les chantiers de coupe dure au moins onze heures.

 

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Les draveurs s’échinent de 4 heures du matin à 20 heures le soir.

 

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Les ouvriers sont à la tâche aussi longtemps qu’il y a du bois à retirer des ruisseaux et des affluents.

 

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On s’attaque presque exclusivement aux géants, des pins plusieurs fois centenaires dont la taille et le diamètre promettent chacun plusieurs billots. Vers 1850, le diamètre moyen des billes acheminées sur le Saint-Maurice est de 50 à 60 centimètres; dans les années 1920, les billots de plus de 75 centimètres ne font pas exception.

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Concrètement, les 4 premiers videos accompagneront ce texte…

Deux divisant le centre (LA DRAVE de Felix Leclerc de l’ONF et L’ÂME NOIRE de martine Chartrand) où la chanson de Mc Pherson est reprise 2 fois, une fois en vrai et une en animation esthétique.

Puis sur les côtés… LA COMPLAINTE DU ST-MAURICE… À GAUCHE CHANTÉE PAR FRED PELLERIN pendant que Marlene jardine la beauté du monde et à droite, la même complainte du St-Maurice chantée par Gaston Miron pendant que Michel pellete à son travail.

LE TEXTE sur la rivière st-Maurice en sera un documentaire à travers lequel DES BILLOTS EN FORME DE LETTRES K entre les mots… DESCENDRONT LA RIVIÈRE DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE À INVENTER…

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Épistémologie-Méthodologie de la bloguïétique, passant par les abjets et les transmages pour poreuser les multiversqualias sous une forme quanto-cosmologique

 

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UNE NUIT EXCEPTIONNELLE D’ATTAQUE D’ÊTRE… ME SUIS LEVÉ TROIS FOIS POUR DESSINER LE CRYPTAGE DE LA TROISIÈME SÉQUENCE DE L’INTRODUCTION DE NOTRE ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE)… LE CRI DE MUNCH… LES RAPIDES DE MATTAWIN SUR LA RIVIÈRE ST-MAURICE… MON PÈRE QUI JOUE DE LA TROMPETTE… LES CIMETIÈRES OÙ J’AI DORMI DEVANT DES TOMBES D’ENFANT… LE CAMP STE-ROSE QUI CHAQUE SOIR SUR SCÈNE SONT VENUES HANTER MA HONTE DE NE PAS HONORER L’HUMANITÉ EN MOI PAR UNE INVENTION….LA HONTE DE DIVERTIR QUAND DES MILLIARDS D’ENFANTS MEURENT DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE…

May 1, 2019 Pierrot le Vagabond Chercheur

La brosse d’être a commencé hier soir dans mon petit local informatique où je suis prisonnier intellectuel des perroquetteux de la connaissance, sauvé par mes gardiens qui me protègent de la connaissance abusive divisée par chapelles indigestes.

Isabelle et Gaelle sont dans le bunker de l’amitié (le bureau de Gaelle) elles m’écrivent un courriel: On va au restaurant… on passe te chercher… Je leur répond, je monte… mais je prends juste un café…

Ma brosse d’être m’avertit que la nuit sera prodigieuse d’intiations multivers abductentielles… que la troisième séquence de l’introduction du doctorat…sera pondue aussi claier que l’eau d’une source, chef d’œuvre de l’intemporel qui habite le vagabond céleste quand la route s’estompe sous ses pas la nuit au clair de lune.

Je suis en pantouffle… On sort… Robert Lepage est à la table en arrière.. C’est Isabelle qui l’a vu… mais moi je suis avec plus grand que lui… LE CELA EST QUI VIENT ME PARFUMER DE FRAÎCHEUR par une brosse d’être pour m’annoncer sa venue cette nuit.

A un moment donné, Isabelle me souligne que je ne parle jamais de mes recherches, que j’esquive toutes les questions, que je m’en tire par des pirouettes…

Il faut dire que pour moi, un intellectuel c’est un PEINTRE DES ABJETS, et que comme tout peintre, il mérite respect de sa configuration. On n’a pas à se mêler de sa peinture… sinon je me serais pris un directeur de recherche..

Mais, comme j’ai déjà peint deux séquences de l’introduction que je soumettrai à notre équipe de recherche pour la loi des 3 wows, paragraphe par paragraphe, numérotés les uns après ;les autres, pour que Michel habite de leur vie de peintre (comme de l’arc-en-ciel de leur amour œuvre d’art) les marges de gauche et de droite par les vidéos témoignant de leur archétype hologrammique (Marlene la jardinière, Michel le concierge).

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Soudain, j’ouvre… je tente de leur expliquer les abductions de mes inventions épistémologiques-méthodologiques… Je suis très mauvais là-dedans… Je m’épuise vite… je préfère le silence… le cryptage… Je déteste qu’on me comprenne, qu’on me saisisse, même qu’on me chante (la chanson du camionneur) j’ai l’impression de vivre un viol de l’intimité ascétique de l’anonymat dont le chercheur a devoir d’âme.

Je leur raconte que , dans la vingtaine, je fus chef de camp d’enfants les plus poqués de Montréal et en charge de 35 éducateurs spécialisés (le camp Ste-Rose). J’ai encore mon journal de camp et le 1000 pages de Monsieur 2.7k? raconte cette histoire… J’avais carte blanche… j’avais créé un programme de recherche dont je n,avais parlé à personne de peur qu’on me mette des bâtons dans les roues: La diminution du taux d’agressivité chez les socio-affectives par la thématique de camp selon le cri primal social de Janov… A la fin du camp, je fis une conférence au Queen Elisabeth je crois devant les directeurs de camp du Québec…

Mais l’année d’après… je fus atteint d’une très grande souffrance sur scène à penser à ces enfants, dont quelques uns que j’ai revu adultes… De là vient ma fureur DE FAIRE OEUVRE D’ART… en inventant tout par un doctorat… métaphysique, méthodologie, épistémologie… tout tout tout….

Ma matrice de lecture propédeutique dura des années… elle aurait pu ne jamais s’achever… n’eut été d’un passage d’un livre… des fonctionnaires qui font la guerre par les drones et qui tuent des CE QUI RESSEMBLE À DES ENFANTS… sans remord…

Dès ce moment, j’arrêtai de lire pour la vie, je quittai la bibliotheque, et je me trouvai une prison intellectuelle plus petite… le 24 heures informatique de l’UQAM…

Les 2 premieres séquences de l’intro se succédèrent dans l’euphorie d’une série de brosses d’être… CE SONT DES PEINTURES OFFERTES PAR LE CELA EST…. et parce que cela est… pas question de soumettre le tout au décryptage de qui que ce soit… Comprenne qui peut… mais APRÈS MA MORT….

Monsieur 2.,7k? m’a pris 7 ans d’écriture… IL A ÉTÉ ÉCRIT CRYPTÉ POUR QUE PERSONNE NE SOIT CAPABLE DE LE LIRE DE MON VIVANT….

Alors, après avoir dit cela à Isabelle et Gaelle, je leur ai demandé de ne pas passer de commentaires… parce que ma nuit s’annonçait jaillissante d’une troisième séquence…

Comme la deuxième séquence compare les milliards d’enfants mourant de faim ou de blessures de guerre aux trois milliards de billots qui ont descendus la rivière St-Maurice du moulin de La Tuque au trois Rivières, cette nuit, la troisième séquence a illustré le cri de Munch à travers LES CHÛTES DES PILES, pas loin de Mattawin, où était construit un hôtel (l’hôtel Martineau) où mon père a joué de la trompette (Roger Rochette avec son orchestre).

Et dans le bouillonnement des rapides DES CHÛTES DES PILES ,,, surgiront tous nos néologismes qui feront l’objet d’une exposition dans le ier chapitre… pour finir, comme des formes inassouvies, dans les cimetières le long du St-Maurice où j’ai dormi devant des tombes d’enfants pour… je ne sais trop quoi… crypter, crypter, crypter….. LES QUALIS SE CACHENT DANS LES PLIS DE L’ENFANCE tout comme ils se cachent dans les cris de Munch des enfants morts de faim ou de blessures de guerre.

Au bunker de la créativité de ce matin (j’ai ajouté les feuilles de la deuxième séquence dans les cahiers de Marlene et Michel) et sans doute ce soir, j’aurai terminé les feuilles de la troisième séquence… quoi que…

à suivre…

Pierrot vagabond-chercheur au nom par et pour notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette)

 

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LA CHUTE DES PILES, PORTAGE

 

 

DEUX VOYAGES

— SUR LE —

           SAINT-MAURICE

— PAR —

  1. L’ABBÉ N. CARON

Chanoine de la Cathédrale des Trois-Rivières.

LIBRAIRIE DU SACRÉ-COEUR-^ IF. V . A T O T T Î

LIBRAIRE—ÉDITEUK /- ^ t ~

 

 

Le premier voyage eut lieu en 1887 e t “e second en Ï888.

 

Nous continuons notre voyage; nous entrons dans une voie fort accidentée ; il y a des tranchées-considérables, des courbes et des rampes très prononcées, nous traversons des ravins et des précipices ; une chute d’un grand volume d’eau, mais de peu de hauteur mugit à notre gauche, et nous voilà dans un coquet village, bâti en amphithéâtre : c’est le village des Piles.

 

Ce nom de Piles a fort intrigué les voyageurs; les uns ont cru trouver l’origine de ce nom dans le fait que les glaces s’accumulent où s’empilent au pied de* la chute.

 

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D’autres ont pensé que ce nom avait été donné par les flotteurs de bois, à cause des grandes accumulations de bûches qui se faisaient souvent à la-chute. Ces explications nous paraissent peu satisfaisantes.

 

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Quant à en chercher dans l’imagination, nous y pourrions en trouver dix autres aussi acceptables que celles-là; mais nous présenterons quelque chose de: mieux à nos lecteurs.

 

Dans son grand dictionnaire, Littré donne d’abord au mot Pile le sens que nous venons d’y attacher i c’est, dit-il, un amas de choses placées les unes sur les autres. Mais au No 2, voici ce qu’il donne : Pile, s. f. Grosse pierre qui sert à broyer, à écraser. Eh bien! une vieille sauvage qui porte allègrement ses quatre-vingt-dix ans, Madame Tamakoua, tient de ses ancêtres que les anciens sauvages, quand ils descendaient .faire la traite des pelleteries, avaient l’habitude de., s’arrêter ici pour piler leur blé-d’Inde. Ils y trouvaient facilement des Piles, ces grosses pierres qui servent à broyer, et de là est venu le nom donné à cet endroit. Ce sont les sauvages, ou plutôt leurs- interprêtes, qui ont donné ce nom, et les flotteurs n’ont fait qu’employer un mot qui était en usage depuis longtemps.

 

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VOCABULAIRE DE BASE DE LA LANGUE D’EXPRESSION DU DOCTORAT DE NOTRE ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) DONT LE TITRE EST: DE LA NON-TRICHERIE À WOW-T=2.7K? = LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE

May 2, 2019 Pierrot le Vagabond Chercheur

Enfants-errants-fantomatiques, errants axiologiques, errants poétiques, vie personnelle œuvre d’art, onti-KHA-tion, archétype hologrammique, wow-t=2.7k?, algorythme de justice sociale, la nano-citoyenneté-planétaire, déshobbiation de l’O.N.U., deux assemblées des justes, rêve big-bang, vagabond céleste, Grand-homme, Grande-âme, KHA, kanti-KHA-tion, rivière KHA-ryptée, amour œuvre d’art, initiations multivers abductentielles, champ constellaire, humanité œuvre d’art, espérance Kanto-Kosmologique, recohérence kanti-KHA-tive, brosses d’être, attaques d’être, abjets, fil d’or de la dramaturgie, apriorisation, nanoductilité,révolution nanonistique, équipe multi-contextuelle, pays œuvre d’art, tirage au sort, olympiques de la justice, conscience éthique-esthétique planétaire, problématique trans-historique, transmage, transmagie, liberté onto-qualia de l’enchantement, champ constellaire nano-qualia-multivers, in-mêmes, épistémo-méthodologique, KHA-odex, champ magnétique conceptuel, synchroni-VIE-té, loi des 3 wows, aventure abstraite, poïétique errante, transcodance, point d’interrogation big bang, point d’exclamation big bang, quali-épistémologie de l’invention, constructionnisme qualiste, auto-induction œuvre d’art, non-tricherie œuvre d’art, fil d’or big bang, piton de la liberté, nano-référendum-planétaire, le voile du refus de l’ignorance, cadre théorique big-bang, RECOHÉRENCE QUANTI-KHA-TIVE DE LA BEAUTÉ DU MONDE, avant-rêve big bang, ontologie qualienne du multivers, mise en texture onérique de la recohérence logistique du réel, cerveau-astronaute, règles de jeu universelles, couche supplémentaire d’intelligence, doctorat multi-média, anonymat théoritique, l’inoui des formes inassouvies, peintres œuvre d’art de la pensée abstraite, fondements cosmo-génésiques, point d’exclamation Kantique, le Kantique des Kantiques, la danse des abductions à naître, ermite des formes Kantiques-kosmologiques, algorithme de la justice sociale planétaire, cosmonautologie, cerveau kanto-kosmologique, cordation des désirs, fractale multiversienne, INTRI-K-ATION BIG BANG, arc-en-ciel Kaliatif, multiversisation de la beauté du monde, frémissements ontologiques des qualias multiversels, mise en apesanteur de la mémoire déchiquetée, chansons hologrammiques, déclencheurs abductifs, artéfacts abductifs, chasse-galerie de la non-tricherie œuvre d’art, refildorisation, métamorphose big bang des formes, espace de liberté ontique ahurissant, FAISEUR DE MYTHE BIG BANG, ériquettes flottantes désémioligisées, émergence des qualis-réalité,

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Michel, ce qui fait la beauté de ce documentaire-là (PHILOSOPHIE) , c’est la finale où on fait mourir de faim Heidegger à côté d’un enfant qui meurt de faim et de blessures de guerre et qu’on l’oblige à réciter ses conneries à propos de l’être et le temps.

*******FILM DE MICHEL… PHILOSOPHIE… PASSAGE HEIDEGGER MEURT DE FAIM, SUR LE CÔTÉ DROIT DU DOCTORAT*****

Quand je lis tous ces philosophes, ces politiciens, ces économistes etc… jamais l’angle d’un seul enfant qui se meurt de faim ou de blessures de guerre ne vient illuminer la bêtise de leurs propos.

 

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COURRIEL DE PIERROT

Pierre Rochette <rochettepierre@yahoo.ca>

À Simon Gauthier Aujourd’hui à 15 h 15

très cher Simon

C’est à dormir dans les cimetières du Québec que j’ai réfléchi sur les souffrances des enfants enfouies dans leurs petite tombes…. aucun n’avait eu la chance de vivre une vie personnelle œuvre d’art… Un jour, je sors d’une forêt… et je vois briller à l’horizon une plaque… que j’ai toujours…Je l’ai retirée de la croix en vue d’en faire une chanson et de la rapporter… j’ai tenté de la rapporter…. je n’ai jamais retrouvé le chemin.. j’en ai fait une chanson que je ne peux même pas murmurer aujourd’hui sans être envahi par la peine que ressentait Abel Gance dans son film…

*****Pour moi, être connu, c’est trahir la société des invisibles, des errants fantomatiques en étant récupéré par ces errants axiologiques que constituent ces humains à la recherche d’argent, de biens matériels, de pouvoir, de reconnaissance…et j’en passe… seule ….l’errance poétique est acceptable pour avoir accès à l’énigme de millions d’enfants invisibles et bafoués******

 

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27 septembre 2018,

Le soir, à la bibli de l’UQAM, nous sommes quelques chercheurs et chercheuses dont Mado et sa maîtrise sur les contes et les enfants de la rue au Congo… et elle me parle de la réalité des enfants de la rue de son pays…et curieusement, je vois ces millions d’enfants qui s’agitent pour prendre peu à peu le centre du tableau constellaire et du cadre théorique entre la nano-citoyenneté-planétaire et l’ONU.

Quand je me couche sur le plancher, vers 11 h le soir… je dors presqu’instantanément, mais la nuit vers 3h.du matin, je me réveille et comme dans le film d’Abel Gance où les cadavres de la iere guerre mondiale sortent de leurs tombes pour crier le cri de Munch aux vivants, les cadavres des millions d’enfants fantomatisés de la terre se regroupent et fond comme un point vu du fin fond de l’espace sur la terre bleue…. et ma question de doctorat resurgit neuve, comme une étoile polaire:

QUELLE INSTITUTION FAUT-IL INVENTER POUR QUE SUR LA TERRE, AU 21EME SIÈCLE, PLUS AUCUN ENFANT NE MEURE DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE?

ET LA RÉPONSE M’APAISE UN PEU

L’INSTITUTION DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE EN CONTRE-POUVOIR ÉQUITABLE AU 189 ÉTATS HOBBIENS DE L’ONU.

Pierrot vagabond

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La nano-citoyennet-planétaire naîtra à cause des enjeux qui préoccupe la planète et non chaque pays. Un enfant qui meurt de faim ou de blessures de guerre est l’enjeu planétaire fondamental… et seule la communaute civile numérique philanthropique planétaire pourra le régler…. être vagabond céleste, c’est faire de sa vie une vie personnelle œuvre d’art et la masse critique est UN.

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(CRI DE MUNCH)…

LE CRI DE MUNCH DE MILLIARDS D’ERRANTS FANTOMATIQUES, ZOMBIES ENTERRÉS DANS LE CHARNIER DE L’HISTOIRE, BRISANT LEURS TOMBES, RÉCLAMANT QUE VILLE PAR VILLE, VILLAGE PAR VILLAGE SE LÈVE AU MOINS UN JUSTE, UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART POUR FONDER LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE

September 16, 2017 Pierrot le Vagabond Chercheur

Ce que j’aime du documentaire « LA PELLE JAUNE » De Michel le philosophe-cinéaste-concierge, c’est ce cri de ralliement chef d’orchestre de milliards de zombies fantomatiques sortant des tombes méprisées de l’histoire pour réclamer une justice nano-existentielle planétaire.

Depuis toujours, ces enfants qui meurent de faim, ces enfants qui meurent de blessure de guerre n’ont jamais eu voix au chapitre DE LA TRADITION PHILOSOPHIQUE DES OPPRIMÉS.

Bien sûr, comme le dit si bien le Philosophe allemand du début du 21oeme siècle Rickert, l’histoire se présente par la voie des lois pour sa quête de la totalité et par la voie des sens pour sa quête de l’individualité.

Mais si la voie des lois ne profite qu’à une infime partie des individualités, ne devrait -t-on pas appeler l’histoire officielle L’INJUSTICE DES BARBARES?

iL FAUT CONTESTER L’AUTORITÉ DE LA LOGIQUE DES ÉTATS EN MODE ÉTAT DE NATURE. Il faut donner priorité ontologique du sens aux errants fantomatiques,

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«WOW-T=2.7K?» OU LA FIN DU CYCLE DES ASSERVISSEMENTS PAR LES FORMES VIA LES QUATRE QUESTIONS DE LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART… CHACUN DEVENANT L’INVENTEUR COMME L’ENCHANTEUR DE SES FORMES, DANS LE RESPECT DE LA BEAUTÉ DU MONDE DÉSASSERVIE FORMELLEMENT….. DIXIT MICHEL LE CONCIERGE

May 2, 2019 Pierrot le Vagabond Chercheur

Cette nuit, quand le cela est est venu avec son enseignement, je fus trop fatigué pour me lever et noter… de sorte qu’il ne m’en est resté que des bribes…

CHAQUE INVENTION D’UNE FORME PEUT DEVENIR , À SON TOUR, UNE FOIS INVENTÉE, UN MONSTRE D’ASSERVISSEMENT DE L’HUMANITÉ ENTIÈRE.

Je me lève donc et raconte à Michel ma tristesse de n’avoir pu me lever pour noter l’enseignement dans mon cahier… et Mike de me dire…

MAIS C’EST LA FIN DU CYCLE DES ASSERVISSEMENTS PAR LES FORMES QUE NOS QUATRE QUESTIONS DE LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART…

Et soudain, je saisis en une fraction pourquoi la rivière St-Maurice et les trois milliards-d’enfants-billots, va devenir aussi TRANS-MAGIQUE que l’allégorie de la caverne de Platon… Parce que contrairement à l’allégorie de la caverne de Platon, lLA TRANS-MAGE DE LA RIVIÈRE ST-MAURICE CONDUISANT DE TROIS-RIVIÈRES À LA TUQUE à la liberté onto-qualia de l’enchantement par l’invention personnelle des formes, conduit, non seulement à la fin des cycle des asservissements de l’humanité par les formes, mais aussi à des vies personnelles œuvre d’art par un rêve big bang au cœur d’un champ constellaire nano-qualia multivers…

Nous voici donc dans la quatrième séquence de l’introduction du doctorat de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) , où les ABJETS, deviennent des IN-MÊMES, contrairement à ce que disait Dawquins (le gêne égoiste, 1971) en inventant la notion de MÊME.

Le premier chapitre, épistémo-méthodologique démontrera donc que la rivière St-Maurice de Trois-Rivières à la Tuque fut colonisée par le biais d e l’asservissement des personnes humaines par les formes, qui furent libérées par la musique classique, leur apprenant (comme à l’époque de Pythagore, à traverser le drap blanc de la connaissance exotérique qui asservit pour avoir accès de manière codée à la connaissance ésotérique qui désasservit.

J’ai dit Mike… Marlene, toi et moi, somme des enchanteurs dans ce doctorat.. Pendant que moi je crypte au milieu, toi et Marlene vous décryptez de chaque côté par vos videos…

ET MICHEL DE ME DIRE: EN INFORMATIQUE, ON APPELLE CETTE OPÉRATION UN CODEX… La machine code et décode par la suite pour que deux humains puissent se comprendre de chaque bord de la machine

Et bien, moi de lui dire… NOUS VENONS D’INVENTER…

LE KHA-ODEX

à suivre…

Pierrot vagabond-chercheur, au nom par et pour notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette)

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L’HISTOIRE DE L’INVENTION DES FORMES…

 

Historiquement, on est  passé d’un PAYSAGE CONCEPTUEL au moyen-âge (Guillaume d’Ockham) à son passage kantien (phénomène-noumène) dialectisé historiquement par Hegel) puis économiquement par Marx et Engels en tentant de rompre la séparation entre le sujet et l’objet par la praxis.

 

AU CHAMP CONCEPTUEL

Mais dans un deuxième temps, avec l’arrivée de la physique quantique et les percées cosmologiques, s’est imposée peu à peu la notion de CHAMP CONCEPTUEL)

 

La déconstruction du paysage conceptuel commence avec la mise en perspective de Lukacs (le rapport contenu et forme) et le passage d’une espérance praxiste d’une lutte des classes à un désenchantement crée par ‘émergence de la société de consommation.

Le notion de concept se radicalise avec Sartre (la critique de la raison dialectique) pour se fragiliser avec Adorno (la négation de la dialectique) et retomber dans l’utopie générationnelle (Marcuse)

LE PASSAGE DE PAYSAGE CONCEPTUEL AU CHAMP CONCEPTUEL… s’accompagne d’une critique épistomologique de tout un nouveau champ de la philosophie de la connaissance (dont le phare est Popper).

Comment éviter le nihilisme Nietzschéen , l’absurde kafkaen, ou la déconstruction radicale de Thomas Bernard dans une planète où l’irrationnalisme des monarchies nucléaires font éclater toute espérance d’opérationnalité des champs conceptuels qui d’avant- garde en avant-garde, autant en histoire de l’art qu’en histoire de la pensée rendent fluide la marge même des champs de forces qui se bombardent d’impuissance paradigmatique.

AU SCHEME CONCEPTUEL

Au 21eme siècle, planétairement, le passage de la génération silencieuse (1901-1944) à la génération baby-boom (née entre 1945 et 1960) à la génération X (né entre 1960 et 1980) à la génération Y (né entre 1980 et 2000) à la génération Z (né au tournant des années 2000) nous emmène dans une frontière schématique conceptuelle inouie.

LA GÉNÉRATION Z SONT LES PREMIER À N’AVOIR JAMAIS CONNU LE MONDE PRÉNUMÉRIQUE.

Née avec le développement exponentiel d’Internet, des téléphones intelligents et des applications mobiles, cette génération porte en elle des révolutions paradigmatiques de la NOTION DE CONCEPT. qui tiendra bien plus du constructivisme radical, c’est-à dire d’une parfaite mobilité intellectuelle entre l’étiquette conceptuelle et ses attributs essentiels dans un OBJET DE RECHERCHE DOCTORALE.

C’est en ce sens que la question de doctorat de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) se positionne:

Par la superposition d’un paysage conceptuel, d’un champ conceptuel et d’un schème conceptuel, réussir par L’AUTO-DÉDUCTION des quatre questions de la vie personnelle œuvre d’art à inventer LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE pour contribuer à résoudre la problématique de la faim dans le monde.

Quand chacun et chacune mangera à sa faim, là problématique environnementale pourra être abordée planétairement par des estomacs repus.

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Un cadre théorique, c ‘est d’abord la mise en place aléatoire d’étiquettes glossairiques dans un champs magnétique constellatoire qui suivies dans un journal bloguéïque installe l’abduction synthétique au cœur même d’un doctorat d’invention qui s’architecture hors de tout commentaire scholastique issus des perroquetterie de la connaissance stratifiée.

Tout le doctorat consistera finalement à témoigner par le multi-média de l’exceptionnel historial que constitue notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) de la non-tricherie de nos univers réciproques à la nano-citoyenneté-planétaire provenant du multivers (les 3 wows) de nos trois univers dessinant théoritiquement un algorithme social (wow-t=2.7k?) d’un tel potentiel qu’une fois mis entre les mains de l’institut d’intelligence artificielle du Québec obtiendra le prix Nobel de la paix à trois archétypes hologrammiques (Marlene la jardinière, Michel le concierge, Pierrot vagabond)

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Bruce Springsteen, en voix hors-champ, commente :

« C’est la beauté de l’invention. Tu crées ce qui n’existait pas avant, tu mêles tout ce que tu connais sans t’en apercevoir, et il y a une étincelle, et puis une explosion… »

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Qu’est-ce qui faisait chanter Elvis?

La première moitié du documentaire «The Searcher» sera diffusée par HBO samedi prochain.

Sylvain Cormier LE DEVOIR

13 avril 2018

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(CADRE THÉORIQUE)

COMME LE DIT SI BIEN MON PARTENAIRE DE RECHERCHE ET AMI MICHEL LE CONCIERGE: «LES NANO-CITOYENS-PLANÉTAIRES SONT DES VOYAGEURS SANS DESTINATION CONNUE… EN CONSEQUENCE DE QUOI L’ERRANCE POÉTIQUE REPRÉSENTE LA CONTRIBUTION LA PLUS ÉLEVÉE À L’OEUVRE DE LA PAIX UNIVERSELLE…. LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE EN DÉCOULANT EN REPRÉSENTE LE SENS SUPRÊME DE L’EXISTENCE DE L’HUMANITÉ SUR TERRE, METTANT FIN NANO-INSTITUTIONNELLEMENT AUTANT À L’ERRANCE FANTOMATIQUE QU’À L’ERRANCE AXIOLOGIQUE SYSTÉMIQUEMENT ET HISTORIQUEMENT CONSTITUÉS PAR CES ÉTATS HOBBIENS, CRIMINELS DE DROIT COMMUN MIS AU BAN DE L’HUMANITÉ ET DE LA NATURE HUMAINE….. QUE PLUS UN NANO-ENFANT NE MEURE SUR TERRE DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE.

 

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Après ma mort, il est possible que dans UN UNIVERS MULTIVERS,  tel que prédit par les mathématiciens quantiques et les cosmologues, le cri de Munch des milliards d’enfants errants fantomatisés ayant passé sur terre me disant: Monsieur Pierrot, pourquoi nous as-tu trahi? la seule garantie que nous avions de la droiture de ton errance poétique pleurant par tes chansons nos errances fantomatiques, c’est que tu ne te laisses pas acheter par l’univers scandaleusement suffisant des errants axiologiques.

Quand il est écrit:

Sortez vos mouchoirs, voici une expression de la poésie du quotidien à son meilleur…. c’est scandaleux… car personne n’a jamais sorti ses mouchoirs pour nous…

C’est cela le point big bang du fil d’or de la dramaturgie de la problématique d’un doctorat….. le souvenir d’un enfant de 4 ans qui devant la tombe de son petit compagnon de jeu se demande..,

POURQUOI LUI ET POURQUOI PAS MOI?

POURQUOI LUI EST-IL MORT ET POURQUOI MOI JE SUIS VIVANT?

Comme Michel le concierge disait hier… le seul épitaphe qui te serait d’apaisement après ta mort serait celui-ci:

ICI GIT UN ANONYME.

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1439, BLOGUE ET MÉTHODOLOGIE,

 

(BLOGUE) L’ODYSSÉE INTELLECTUELLE EST D’ABORD L’OBJECTIF DE CE BLOGUE… EN FAIRE LE JOURNAL ÉPIQUE AU CAS OÙ LES DÉCOUVERTES QUI EN RÉSULTENT SERAIenT UN ÉVÈNEMENT MAJEUR AU NIVEAU ÉCO-POLITIQUE

October 20, 2016 Pierrot le Vagabond Chercheur

Arthur Koestler Les somnambules essai sur l’histoire des conceptions de l’univers

P.310 extrait

Il est passionnant d’observer comment Kepler aboutit à sa cosmologie; je voudrais essayer de retracer les méandres de son raisonnement. Heureusement, il ne brouilla pas les pistes, comme Copernic, Galilée ou Newton, qui nous présentent les résultats de leurs travaux sans nous laisser deviner leurs démarches. Kepler était INCAPABLE D’EXPOSER SES IDÉES MÉTHODIQUEMENT EN STYLE DE MANUEL; Il les décrivait comme elles étaient venues, AVEC TOUTES LES ERREURS, LES DÉTOURS, LES PIÈGES dans lesquels il était tombé. L’astronomie nouvelle est rédigée dans un style baroque, touffu, très personnel, souvent exaspérant. MAIS C’EST UNE RÉVÉLATION EXTRAORDINAIRE SUR LE TRAVAIL D’UN ESPRIT CRÉATEUR.

« Ce qui m’importe, écrit Kepler, ce n’est pas seulement de faire savoir au lecteur ce que j’ai à dire, c’est surtout de lui narrer les raisons, subterfuges et heureux hasards qui m’ont conduit à mes découvertes. Lorsque Christophe Colomb, Magellan, les Portugais, relatent comment ils s’égarèrent dans leurs voyages, non seulement nous leur pardonnons, mais nous regretterions de ne pas avoir leur récit, sans lequel tout le grand divertissement serait perdu. Aussi ne me blâmera-t-on pas si, poussé par la même affection pour le lecteur, JE SUIS LA MÊME MÉTHODE

 

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November 24, 2018 Pierrot le Vagabond Chercheur

On dirait qu’il suffise que j’enfouisse un 6000 pages de poïétique dans ce carnet de bord pour qu’émerge soudainement le wow…. le wow d’un enfant qui naît au monde en pleurant et ouvrant les yeux. C’est cela pour moi un chercheur ou une chercheure universitaire au doctorat… Une fabuleuse aventure de la pensée abstraite… De là l’importance de vivre hors de toute réception pour en atteindre la poésie la plus sensible

IL FAUT QUE LE POÈTE POÉTISE HORS TEMPS, HORS RÉALITÉ HORS SERVITUDE… DISAIT MARCEL À GEORGES BRASSENS…

EGO SUM PAUPER NIHIL HABEO ET NIHIL DABO

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«QU’EST-CE QU’UN VAGABOND CÉLESTE? c’est un artiste-activiste-humaniste pratiquant l’art de l’infiltration sociale par le vagabondage universitaire. Il serait possible à notre équipe de recherche multi-contextuelle (Auld,Woodard, Rochette) de présenter un doctorat (sans même être inscrit dans une université) dont les bases méthodologiques pourraient permettre de lancer une dynamique entre trois concepts fondateurs: LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART, LA NANOCITOYENNETÉ OEUVRE D’ART ET LE PAYS OEUVRE D’ART.

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2624, SAUT CONCEPTUEL,

 

SAUT CONCEPTUEL LE SAUT CONCEPTUEL D’ANAXIMANDRE…« SELON MOI, CETTE IDÉE D’ANAXIMANDRE …QUE LA TERRE EST SUSPENDUE DANS L’ESPACE… EST L’UNE DES IDÉES LES PLUS AUDACIEUSES, LES PLUS RÉVOLUTIONNAIRES, LES PLUS PRODIGIEUSES DE TOUTE L’HISTOIRE DE LA PENSÉE HUMAINE» POPPER.

February 19, 2019 Pierrot le Vagabond Chercheur

Cette notion de «saut conceptuel» , notion dans le sens d’épistémologie contemporaine, soit un très haut niveau de pensée abstraite, hante tout le glossaire de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) dans le design du fil d’or dramaturgique de l’argumentaire de notre doctorat…

à suivre…

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la rencontre des formes pures, hors temps, hors réalité, hors servitude

LA RIVIÈRE ST-MAURICE ET LE ROCHER DE LA TUQUE FACE À FACE,

c’est dela aussi                              le rêve big-bang de la nano-citoyenneté-planétaire

May 1, 2019 Pierrot le Vagabond Chercheur

Le Saint-Maurice, venant de Montachingue, roule ses flots noirs avec une grande majesté ; il est profond, c’est le roi du Nord qui s’avance. Mais tout à coup une montagne, la Tuque, se rencontre juste sur son passage ; voilà deux majestés en présence; il y a combat, mais il faut bien que le fleuve cède. Il se détourne à regret, et trouve à côté de la montagne un passage de quelques pieds seulement. Quoi ! un si .petit espace pour le roi du Nord ! Deux rochers s’élèvent de chaque côté, impassibles dans leur masse, et le fleuve est obligé de se contenter de l’espace qu’on lui laisse. Il s’enfle, il gronde, puis il se précipite-avec fracas et forme la première cascade. Ses flots ne sont pas encore apaisés, qu’une arête de rocher se trouve encore sur son passage : il frappe, il bondit, il s’irrite, mais le rocher tient bon, et le fleu\e est obligé de sauter lourdement pardessus l’obstacle. Il écume de rage, et pendant l’espace d’un arpent, il lance son onde vers le ciel en jets multipliés, comme pour menacer •encore le rocher si dur qu’il vient de rencontrer. Cependant il lui faut faire un troisième et dernier saut ; alors on ne lui voit plus cette majesté qu’il déployait à la première et à la deuxième cascade : tout couvert d’écume, il s’élance irrégulièrement tantôt d’un côté, tantôt de l’autre ; c’est la colère! impuissante et lassée de ses propres excès.

Mais ici les rochers s’éloignent subitement, le fleuve comprimé voudrait prendre tout l’espace qu’il a maintenant devant lui, il s’élargit outre mesure, court encore quelque temps sans but et sans raison, puis il s’apaise peu à peu, et à là fin il s’endort comme d’épuisement. Pendant son sommeil, il laisse tomber les terres au’il tenait.en.susqensioru, et forme dei s îles qui se couvrent ensuite de verdure. L’île aux Goélands est un rêve du St-Maurice endormi.

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EN CONSÉQUENCE DE QUOI….

LE IER CHAPITRE SERA CONSACRÉ À ARCHITECTONER NOTRE ÉPISTO-MÉTHODOLOGIE TELLE QUE CUBISÉ TOUT AU LONG DE CETTE INTRODUCTION,………………

LES TROIS AUTRES CHAPITRES (2) LA NON-TRICHERIE, (3) WOW-T=2.7K?, (4) LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE, SERONT ARGUMENTÉS SELON LE FIL D’OR SUIVANT :

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CHAPITRE 2: LA NON-TRICHERIE

DE L’ONTI-K-UE À L’ONTI-K-ATION DE TOUTE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART

Dans un premier temps, par TROIS RÉCITS TIRÉS DE L’ ONTI-K-UE EXISTENTIEL, ce ier chapitre réfléchira sur la condition humaine et cela discursivement à partir des propos contextualisés de trois archétypes hologrammiques : Michel Concierge (la tricherie), Marlene la Jardinière (le jardin constellaire) et Pierrot Vagabond (le rêve big-bang), avec comme fondement axiomatique le fait que, pour ces trois archétypes, la décision de ne pas ou de ne plus tricher POUR SE RENDRE DISPONIBLE À AUTRE CHOSE, A, SELON LES TROIS, RADICALEMENT CHANGÉ LEUR VIE,

Dans un deuxième temps, nous avancerons l’hypothèse constructiviste SUIVANTE : Dans les trois cas, la non-tricherie semble s’accompagner de l’émergence d’un CHAMP CONSTELLAIRE dont nous tenterons d’articuler les mécanismes texturaux en les contrastant avec ceux de la didactique spéculative du 18eme siècle (Kant, Scheller, Goethe, Hegel) tout comme avec l’existentialisme continental du 20ième siècle (Jaspers, Mounier, Heidegger et Sartre), creusant ainsi la différence entre LA NOTION DE PROJET sous-entendant les deux démarches antérieures et celle DE RÊVE BIG-BANG AU 21EME SIÈCLE de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette).

Dans un troisième temps, PAR LA THÉORISATION DU PASSAGE DE L’ONTI-K-UE À L’ONTI-K-ATION PUIS DE L’ONTI-K-ATION À LA VIE PERSONNELLE ŒUVRE D’ART, Nous conclurons cette avancée théoritique (non-tricherie, champ constellaire, rêve big-bang) par la mise en axiome de l’énoncé suivant : toute décision de ne pas ou de ne plus tricher constitue une initiation à la vie personnelle œuvre d’art par un champ constellaire déclencheur d’un rêve big bang ouvrant la porte à l’invention nano-planétaire d’un algorithme social : «WOW-T=2.7K?». pouvant se viraliser par une application disponible sur des milliards de téléphones intelligents.

 

CHAPITRE 3 : WOW-T=2.7K?

CHAPITRE 4 : LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE

CONCLUSION OUVERTE

 

 

 

VOCABULAIRE DE BASE DE LA LANGUE D’EXPRESSION DU DOCTORAT DE NOTRE ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) DONT LE TITRE EST: DE LA NON-TRICHERIE À WOW-T=2.7K? = LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE

LA LANGUE SOUS-ANCRANT NOTRE ALGORYTHME DE JUSTICE SOCIALE: WOW-T=2.7K?

Marlene Auld,
Michel Woodard,
Pierre Rochette

Enfants-errants-fantomatiques, errants axiologiques, errants poétiques, vie personnelle œuvre d’art, onti-KHA-tion, archétype hologrammique, wow-t=2.7k?, algorythme de justice sociale, la nano-citoyenneté-planétaire, déshobbiation de l’O.N.U., deux assemblées des justes, rêve big-bang, vagabond céleste, Grand-homme, Grande-âme, KHA, kanti-KHA-tion, rivière KHA-ryptée, amour œuvre d’art, initiations multivers abductentielles, champ constellaire, humanité œuvre d’art, espérance Kanto-Kosmologique, recohérence kanti-KHA-tive, brosses d’être, attaques d’être, abjets, fil d’or de la dramaturgie, apriorisation, nanoductilité,révolution nanonistique, équipe multi-contextuelle, pays œuvre d’art, tirage au sort, olympiques de la justice, conscience éthique-esthétique planétaire, problématique trans-historique, transmage, transmagie, liberté onto-qualia de l’enchantement, champ constellaire nano-qualia-multivers, in-mêmes, épistémo-méthodologique, KHA-odex, champ magnétique conceptuel, synchroni-VIE-té, loi des 3 wows, aventure abstraite, poïétique errante, transcodance, point d’interrogation big bang, point d’exclamation big bang, quali-épistémologie de l’invention, constructionnisme qualiste, auto-induction œuvre d’art, non-tricherie œuvre d’art, fil d’or big bang, piton de la liberté, nano-référendum-planétaire, le voile du refus de l’ignorance, cadre théorique big-bang, RECOHÉRENCE QUANTI-KHA-TIVE DE LA BEAUTÉ DU MONDE, avant-rêve big bang, ontologie qualienne du multivers, mise en texture onérique de la recohérence logistique du réel, cerveau-astronaute, règles de jeu universelles, couche supplémentaire d’intelligence, doctorat multi-média, anonymat théoritique, l’inoui des formes inassouvies, peintres œuvre d’art de la pensée abstraite, fondements cosmo-génésiques, point d’exclamation Kantique, le Kantique des Kantiques, la danse des abductions à naître, ermite des formes Kantiques-kosmologiques, algorithme de la justice sociale planétaire, cosmonautologie, cerveau kanto-kosmologique, cordation des désirs, fractale multiversienne, INTRI-K-ATION BIG BANG, arc-en-ciel Kaliatif, multiversisation de la beauté du monde, frémissements ontologiques des qualias multiversels, mise en apesanteur de la mémoire déchiquetée, chansons hologrammiques, déclencheurs abductifs, artéfacts abductifs, chasse-galerie de la non-tricherie œuvre d’art, refildorisation, métamorphose big bang des formes, espace de liberté ontique ahurissant, FAISEUR DE MYTHE BIG BANG, ériquettes flottantes désémioligisées, émergence des qualis-réalité,

«WOW-T=2.7K?» OU LA FIN DU CYCLE DES ASSERVISSEMENTS PAR LES FORMES VIA LES QUATRE QUESTIONS DE LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART… CHACUN DEVENANT L’INVENTEUR COMME L’ENCHANTEUR DE SES FORMES, DANS LE RESPECT DE LA BEAUTÉ DU MONDE DÉSASSERVIE FORMELLEMENT….. DIXIT MICHEL LE CONCIERGE

Cette nuit, quand le cela est est venu avec son enseignement, je fus trop fatigué pour me lever et noter… de sorte qu’ii ne m’en est resté que des bribes…

CHAQUE INVENTION D’UNE FORME PEUT DEVENIR , À SON TOUR, UNE FOIS INVENTÉ, UN MONSTRE D’ASSERVISSEMENT DE L’HUMANITÉ ENTIÈRE.

Je me lève donc et raconte à Michel ma tristesse de n’avoir pu me lever pour noter l’enseignement dans mon cahier… et Mike de me dire… MAIS C’EST LA FIN DU CYCLE DES ASSERVISSEMENTS PAR LES FORMES QUE NOS QUATRE QUESTIONS DE LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART…

Et soudain, je saisis en une fraction pourquoi la rivière St-Maurice et les trois milliards-d’enfants-billots, va devenir aussi TRANS-MAGIQUE que l’allégorie de la caverne de Platon… Parce que contrairement à l’allégorie de la caverne de Platon, lLA TRANS-MAGE DE LA RIVIÈRE ST-MAURICE CONDUISANT DE TROIS-RIVIÈRES À LA TUQUE à la liberté onto-qualia de l’enchantement par l’invention personnelle des formes, conduit, non seulement à la fin des cycle des asservissements de l’humanité par les formes, mais aussi à des vies personnelles œuvre d’art par un rêve big bang au cœur d’un champ constellaire nano-qualia multivers…

Nous voici donc dans la quatrième séquence de l’introduction du doctorat de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) , où les ABJETS, deviennent des IN-MÊMES, contrairement à ce que disait Dawquins (le gêne égoiste, 1971) en inventant la notion de MÊME.

Le premier chapitre, épistémo-méthodologique démontrera donc que la rivière St-Maurice de Trois-Rivières à la Tuque fut colonisée par le biais d e l’asservissement des personnes humaines par les formes, qui furent libérées par la musique classique, leur apprenant (comme à l’époque de Pythagore, à traverser le drap blanc de la connaissance exotérique qui asservit pour avoir accès de manière codée à la connaissance ésotérique qui désasservit.

J’ai dit Mike… Marlene, toi et moi, somme des enchanteurs dans ce doctorat.. Pendant que moi je crypte au milieu, toi et Marlene vous décryptez de chaque côté par vos videos…

ET MICHEL DE ME DIRE: EN INFORMATIQUE, ON APPELLE CETTE OPÉRATION UN CODEX… La machine code et décode par la suite pour que deux humains puissent se comprendre de chaque bord de la machine

Et bien, moi de lui dire… NOUS VENONS D’INVENTER…

LE KHA-ODEX

 

à suivre…

Pierrot vagabond-chercheur, au nom par et pour notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette)

LA RIVIÈRE ST-MAURICE ET LE ROCHER DE LA TUQUE FACE À FACE

Le Saint-Maurice, venant de Montachingue, roule
ses flots noirs avec une grande majesté ; il est profond,
c’est le roi du Nord qui s’avance. Mais tout à coup
une montagne, la Tuque, se rencontre juste sur son
passage ; voilà deux majestés en présence; il y a combat,
mais il faut bien que le fleuve cède. Il se détourne
à regret, et trouve à côté de la montagne un
passage de quelques pieds seulement. Quoi ! un si
.petit espace pour le roi du Nord ! Deux rochers s’élèvent
de chaque côtl, impassibles dans leur masse, et le
fleuve est obligé de se contenter de l’espace qu’on lui
laisse. Il s’enfle, il gronde, puis il se précipite-avec
fracas et forme la première cascade. Ses flots ne sont
pas encore apaisés, qu’une arête de rocher se trouve
encore sur son passage : il frappe, il bondit, il s’irrite,
mais le rocher tient bon, et le fleu\e est obligé de
sauter lourdement pardessus l’obstacle. Il écume de
rage, et pendant l’espace d’un arpent, il lance son onde
vers le ciel en jets multipliés, comme pour menacer
•encore le rocher si dur qu’il vient de rencontrer.
Cependant il lui faut faire un troisième et dernier saut ;
alors on ne lui voit plus cette majesté qu’il déployait
à la première et à la deuxième cascade : tout couvert
d’écume, il s’élance irrégulièrement tantôt d’un côté,
tantôt de l’autre ; c’est la colère! impuissante et lassée
de ses propres excès.
Mais ici les rochers s’éloignent subitement, le
fleuve comprimé voudrait prendre tout l’espace qu’il a
maintenant devant lui, il s’élargit outre mesure, court
encore quelque temps sans but et sans raison, puis il
s’apaise peu à peu, et à là fin il s’endort comme d’épuisement.
Pendant son sommeil, il laisse tomber les
terres au’il tenait.en.susqensioru, et forme dei s îles qui
se couvrent ensuite de verdure. L’île aux Goélands
est un rêve du St-Maurice endormi.

UNE NUIT EXCEPTIONNELLE D’ATTAQUE D’ÊTRE… ME SUIS LEVÉ TROIS FOIS POUR DESSINER LE CRYPTAGE DE LA TROISIÈME SÉQUENCE DE L’INTRODUCTION DE NOTRE ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE)… LE CRI DE MUNCH… LES RAPIDES DE MATTAWIN SUR LA RIVIÈRE ST-MAURICE… MON PÈRE QUI JOUE DE LA TROMPETTE… LES CIMETIÈRES OÙ J’AI DORMI DEVANT DES TOMBES D’ENFANT… LE CAMP STE-ROSE QUI CHAQUE SOIR SUR SCÈNE SONT VENUES HANTER MA HONTE DE NE PAS HONORER L’HUMANITÉ EN MOI PAR UNE INVENTION….LA HONTE DE DIVERTIR QUAND DES MILLIARDS D’ENFANTS MEURENT DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE…

La brosse d’être a commencé hier soir dans mon petit local informatique où je suis prisonnier intellectuel des perroquetteux de la connaissance, sauvé par mes gardiens qui me protègent de la connaissance abusive divisée par chapelles indigestes.

Isabelle et Gaelle sont dans le bunker de l’amitié (le bureau de Gaelle) elles m’écrivent un courriel: On va au restaurant… on passe te chercher… Je leur répond, je monte… mais je prends juste un café…

Ma brosse d’être m’avertit que la nuit sera prodigieuse d’intiations multivers abductentielles… que la troisième séquence de l’introduction du doctorat…sera pondue aussi claier que l’eau d’une source, chef d’œuvre de l’intemporel qui habite le vagabond céleste quand la route s’estompe sous ses pas la nuit au clair de lune.

Je suis en pantouffle… On sort… Robert Lepage est à la table en arrière.. C’est Isabelle qui l’a vu… mais moi je suis avec plus grand que lui… LE CELA EST QUI VIENT ME PARFUMER DE FRAÎCHEUR par une brosse d’être pour m’annoncer sa venue cette nuit.

A un moment donné, Isabelle me souligne que je ne parle jamais de mes recherches, que j’esquive toutes les questions, que je m’en tire par des pirouettes…

Il faut dire que pour moi, un intellectuel c’est un PEINTRE DES ABJETS, et que comme tout peintre, il mérite respect de sa configuration. On n’a pas à se mêler de sa peinture… sinon je me serais pris un directeur de recherche..

Mais, comme j’ai déjà peint deux séquences de l’introduction que je soumettrai à notre équipe de recherche pour la loi des 3 wows, paragraphe par paragraphe, numérotés les uns après ;les autres, pour que Michel habite de leur vie de peintre (comme de l’arc-en-ciel de leur amour œuvre d’art) les marges de gauche et de droite par les vidéos témoignant de leur archétype hologrammique (Marlene la jardinière, Michel le concierge).

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Soudain, j’ouvre… je tente de leur expliquer les abductions de mes inventions épistémologiques-méthodologiques… Je suis très mauvais là-dedans… Je m’épuise vite… je préfère le silence… le cryptage… Je déteste qu’on me comprenne, qu’on me saisisse, même qu’on me chante (la chanson du camionneur) j’ai l’impression de vivre un viol de l’intimité ascétique de l’anonymat dont le chercheur a devoir d’âme.

Je leur raconte que , dans la vingtaine, je fus chef de camp d’enfants les plus poqués de Montréal et en charge de 35 éducateurs spécialisés (le camp Ste-Rose). J’ai encore mon journal de camp et le 1000 pages de Monsieur 2.7k? raconte cette histoire… J’avais carte blanche… j’avais créé un programme de recherche dont je n,avais parlé à personne de peur qu’on me mette des bâtons dans les roues: La diminution du taux d’agressivité chez les socio-affectives par la thématique de camp selon le cri primal social de Janov… A la fin du camp, je fis une conférence au Queen Elisabeth je crois devant les directeurs de camp du Québec…

Mais l’année d’après… je fus atteint d’une très grande souffrance sur scène à penser à ces enfants, dont quelques uns que j’ai revu adultes… De là vient ma fureur DE FAIRE OEUVRE D’ART… en inventant tout par un doctorat… métaphysique, méthodologie, épistémologie… tout tout tout….

Ma matrice de lecture propédeutique dura des années… elle aurait pu ne jamais s’achever… n’eut été d’un passage d’un livre… des fonctionnaires qui font la guerre par les drones et qui tuent des CE QUI RESSEMBLE À DES ENFANTS… sans remord…

Dès ce moment, j’arrêtai de lire pour la vie, je quittai la bibliotheque, et je me trouvai une prison intellectuelle plus petite… le 24 heures informatique de l’UQAM…

Les 2 premieres séquences de l’intro se succédèrent dans l’euphorie d’une série de brosses d’être… CE SONT DES PEINTURES OFFERTES PAR LE CELA EST…. et parce que cela est… pas question de soumettre le tout au décryptage de qui que ce soit… Comprenne qui peut… mais APRÈS MA MORT….

Monsieur 2.,7k? m’a pris 7 ans d’écriture… IL A ÉTÉ ÉCRIT CRYPTÉ POUR QUE PERSONNE NE SOIT CAPABLE D ELE LIRE DE MON VIVANT….

Alors, après avoir dit cela à Isabelle et Gaelle, je leur ai demandé de ne pas passer de commentaires… parce que ma nuit s’annonçait jaillissante d’une troisième séquence…

Comme la deuxième séquence compare les milliards d’enfants mourant de faim ou de blessures de guerre aux trois milliards de billots qui ont descendus la rivière St-Maurice du moulin de La Tuque au trois Rivières, cette nuit, la troisième séquence a illustré le cri de Munch à travers les rapides de Mattawin, où était construit un hotel où mon père a joué de la trompette Roger Rochette avec son orchestre.

Et dans le bouillonnement des rapides,,, surgissent tous nos néologismes qui feront l’objet d’une exposition dans le ier chapitre… pour finir, comme des formes inassouvies, dans les cimetières du Québec où j’ai dormi devant des tombes d’enfants pour… je ne sais trop quoi… crypter, crypter, crypter….. LES QUALIS SE CACHENT DANS LES PLIS DE L’ENFANCE tout comme ils se cachent dans les cris de Munch des enfants morts de faim ou de blessures de guerre.

Au bunker de la créativité de ce matin (j’ai ajouté les feuilles de la deuxième séquence dans les cahiers de Marlene et Michel) et sans doute ce soir, j’aurai terminé les feuilles de la troisième séquence… quoi que…

à suivre…

Pierrot vagabond-chercheur au nom par et pour notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette)

2EME SÉQUENCE INTRO DOCTORAT (AULD,WOODARD, ROCHETTE)… LES ENFANTS-PITOUNES DE LA RIVIÈRE ST-MAURICE

2977
8 : RIVIÈRE KHA-RYPTÉE LE DOCTORAT De NOTRE ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) SERA UNE RIVIÈRE «KHA-RYP-TÉE» DE L’HISTOIRE D’UNE INVENTION POUR SOULAGER LA CONDITION HUMAINE MISÉRABLE DES MILLIONS D’ENFANTS-ERRANTS-FANTOMATISÉS DE LA PLANÈTE, ALORS QU’À PARTIR DES DEUX BERGES DE LA RIVIÈRE DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE, SERA DESSINÉ UN ARC-EN-CIEL AMOUR OEUVRE D’ART ENTRE UN VRAI HOMME HOLOGRAMMIQUE (MICHEL LE CONCIERGE) ET UNE VRAIE ÂME HOLOGRAMMIQUE (MARLENE LA JARDINIÈRE)
APRIL 27, 2019
Cette nuit, tout le design crypté de notre doctorat m’est apparu d’une grande clarté obscure….
Il était impossible de se baigner dans la rivière St-Maurice de mon enfance dans la pureté héraclienne de l’étonnement brosses-d’être-attaques d’être ( on ne se baigne jamais 2 fois dans le même fleuve).
Bien plus, toute la rivière de mon enfance était encombrée de billots qui descendaient du moulin à papier de La Tuque à Trois Rivières.
Maintenant la nuit, j’y vois les billots du St-Maurice devenus pour moi les débris de la connaissance servant scandaleusement de bouée de sauvetages illusoires à de millions d’enfants-errants fantomatisés, finissant par se noyer d’épuisement, de faim, de blessures de guerre.
C’est là que Pierrot, monsieur 2.7k? accroché lui aussi à un billot de l’humanité errante passe ses nuits et jours à descendre la rivière des impossibles, en coureur des bois, en vagabond céleste, s’acharnant à inventer ce qui n’existe pas encore… la nano-citoyenneté-planétaire…
Voilà pourquoi tout le 600 pages du centre est profondément crypté POUR NE PAS ÊTRE LU à moins de SOUHAITER être initié par l’algorithme de justice sociale: (wow-t=2.7k?) , cadeau offert à toute personne humaine qui refuse de tricher ( donc qui respecte en elle la liberté de faire de sa vie personnelle une œuvre d’art au service d’une humanité œuvre d’art en devenir) provoquant ainsi le jaillissement et d’un champ constellaire et d’un rêve big bang AU SERVICE D’UN RÊVE BIG BANG DE L’HUMANITÉ EN DEVENIR.
Et cette nuit, j’ai vu la grandeur de l’amour œuvre d’art de l’archétype hologrammique de Marlene la jardinière sur une berge et de l’archétype hologrammique de Michel le concierge sur l’autre berge, faisant de l’arc-en-ciel surplombant la rivière des billots de la tricherie humaine, une espérance quanto-cosmologique en mode d’onti-KHA-tion en vue d’accéder à la RECOHÉRENCE QUANTI-KHA-TIVE DE LA BEAUTÉ DU MONDE.
Donc l’introduction de notre doctorat sera donc le design de Marlene et Michel en mode d’arc-en-ciel d’espérance pendant que Pierrot vagabond céleste se métamorphosera par ses brosses d’être et ses attaques d’être en rivière st-Maurice solidaire dans son canot d’écorce des millions de billots-enfants-errants-fantomatisés signant le fleuve d’Héraclite en enfer de Dante.
Pierrot vagabond, au nom par et pour notre équipe de recherche: Auld, Woodard, Rochette.
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LES ENFANTS-BILLOTS-FANTOMES DU ST-MAURICE

PORTRAIT HISTORIQUE DE LA RIVIÈRE ST-MAURICE
APRIL 29, 2019 EDIT
Historique de la rivière Saint-Maurice
K K K K K K K K K K AfflueKnt le pKlus imKportanKt du flKEuve KSaint-KLaurenKt aprèsK l’OutKouais et le SaguKenay, Kla riviKère Saint-MauKicie preKnd sa K sourceK dans lK réserKvoir Gouin, Kà enviKron 40K0 kilomètres aKu nord de TroisK-Rivières. Le bassin K hydrogrKaphiqKue d’enKviron 43 000 Kilomètres carrésKcanalise les eauKx dK’une quinzainKe de cKours d’Keau tributaireKs. Des rapides eK des chutes y syK K nchronisKeront lKe dévelKoppement d’iKnstallations hydKroélectriques etK l’émergeKnce deK villes iKndustrielles. EKntre les hautes Kterres boisées dKu Bouclier laurentieKn et lesK basses tKerres du SaintK-Laurent, le paKrcours du SaintK-Maurice, embarrasKsé par pKlusieurs K barrages corrKespond davantKage aux exigenKces d’un réservoir Kqu’aux cKharmes Ktranquilles d’une rivière. Pendant plus d’un sièKcle, en effet, et juKsqu’à réKcemment, Kil a surtoutK assumé le transport de quelque K
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3 milliards de « pitounes » ou billes de bois vers les scieries et les moulins à papier de la Mauricie.
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Au tournant Kdu siècle, l’incorporation Kdes villages Kde Grand-Mère (1898) Ket de Shawinigan FallsK (1901), et celle de la Kville de La Tuque (1908) complètent le tableau.
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À l’époque, la journée de travail dans les chantiers de coupe dure au moins onze heures.

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Les draveurs s’échinent de 4 heures du matin à 20 heures le soir.

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Les ouvriers sont à la tâche aussi longtemps qu’il y a du bois à retirer des ruisseaux et des affluents.

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On s’attaque presque exclusivement aux géants, des pins plusieurs fois centenaires dont la taille et le diamètre promettent chacun plusieurs billots. Vers 1850, le diamètre moyen des billes acheminées sur le Saint-Maurice est de 50 à 60 centimètres; dans les années 1920, les billots de plus de 75 centimètres ne font pas exception.
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Concrètement, les 4 premiers videos accompagneront ce texte…
Deux divisant le centre (LA DRAVE de Felix Leclerc de l’ONF et L’ÂME NOIRE de martine Chartrand) où la chanson de Mc Pherson est reprise 2 fois, une fois en vrai et une en animation esthétique.
Puis sur les côtés… LA COMPLAINTE DU ST-MAURICE… À GAUCHE CHANTÉE PAR FRED PELLERIN pendant que Marlene jardine la beauté du monde et à droite, la même complainte du St-Maurice chantée par Gaston Miron pendant que Michel pellete à son travail. (les deux complaintes du St-Maurice disponibles sur you tube)
LE TEXTE sur la rivière st-Maurice en sera un documentaire à travers lequel DES BILLOTS EN FORME DE LETTRES K entre les mots… DESCENDRONT LA RIVIÈRE DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE À INVENTER…
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Épistémologie-Méthodologie de la bloguïétique, passant par les abjets et les transmages pour poreuser les multiversqualias sous une forme quanto-cosmologique
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Pierrot vagabond, au nom , par et pour notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette)

PAR LE BIAIS DE NOUVELLES NOTIONS ÉPISTÉMOLOGIQUES-MÉTHODOLOGIQUES (LA BLOGUÏÉTIQUE, LES ABJETS, LES TRANSMAGES ET LES MULTIVERSQUALIS), NOTRE DOCTORAT (AULD, WOODARD, ROCHETTE) TOUT EN MÉTAMORPHOSANT LES ENFANTS-ERRANTS-FANTOMATISÉS EN RIVIÈRE ST-MAURICE, RENDRA HOMMAGE À UN GRAND AMOUR OEUVRE D’ART SUR LES DEUX BERGES DE L’INVENTION-RIVIÈRE DE LA NANO-CITOYENNETÉ…. MARLENE LA JARDINIÈRE JARDINANT LA BEAUTÉ DU MONDE SUR LA RIVE DE GAUCHE ET MICHEL LE CONCIERGE JARDINANT LA PHILOSOPHIE D’EN BAS PAR LA NON-TRICHERIE SUR LA BERGE DE DROITE, LES DEUX VIDÉANCES PRODUISANT AU-DESSUS DE LA RIVIÈRE ST-MAURICE DE LA CONDITION HUMAINE UN ARC-EN-CIEL AMOUR OEUVRE D’ART DONNANT ESPÉRANCE À TOUTE HUMANITÉ REFUSANT LA BILLOTERIE DE L,ENFANCE CRIMINELLEMENT ABIMÉE PAR L’HOBBES-IA-TION DES 193 ÉTATS ONUSIENS

8 : RIVIÈRE KHA-RYPTÉE LE DOCTORAT De NOTRE ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) SERA UNE RIVIÈRE «KHA-RYP-TÉE» DE L’HISTOIRE D’UNE INVENTION POUR SOULAGER LA CONDITION HUMAINE MISÉRABLE DES MILLIONS D’ENFANTS-ERRANTS-FANTOMATISÉS DE LA PLANÈTE, ALORS QU’À PARTIR DES DEUX BERGES DE LA RIVIÈRE DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE, SERA DESSINÉ UN ARC-EN-CIEL AMOUR OEUVRE D’ART ENTRE UN VRAI HOMME HOLOGRAMMIQUE (MICHEL LE CONCIERGE) ET UNE VRAIE ÂME HOLOGRAMMIQUE (MARLENE LA JARDINIÈRE)

APRIL 27, 2019

Cette nuit, tout le design crypté de notre doctorat m’est apparu d’une grande clarté obscure….
Il était impossible de se baigner dans la rivière St-Maurice de mon enfance dans la pureté héraclienne de l’étonnement brosses-d’être-attaques d’être ( on ne se baigne jamais 2 fois dans le même fleuve).
Bien plus, toute la rivière de mon enfance était encombrée de billots qui descendaient du moulin à papier de La Tuque à Trois Rivières.

Maintenant la nuit, j’y vois les billots du St-Maurice devenus pour moi les débris de la connaissance servant scandaleusement de bouée de sauvetages illusoires à de millions d’enfants-errants fantomatisés, finissant par se noyer d’épuisement, de faim, de blessures de guerre.

C’est là que Pierrot, monsieur 2.7k? accroché lui aussi à un billot de l’humanité errante passe ses nuits et jours à descendre la rivière des impossibles, en coureur des bois, en vagabond céleste, s’acharnant à inventer ce qui n’existe pas encore… la nano-citoyenneté-planétaire…

Voilà pourquoi tout le 600 pages du centre est profondément crypté POUR NE PAS ÊTRE LU à moins de SOUHAITER être initié par l’algorithme de justice sociale: (wow-t=2.7k?) , cadeau offert à toute personne humaine qui refuse de tricher ( donc qui respecte en elle la liberté de faire de sa vie personnelle une œuvre d’art au service d’une humanité œuvre d’art en devenir) provoquant ainsi le jaillissement et d’un champ constellaire et d’un rêve big bang AU SERVICE D’UN RÊVE BIG BANG DE L’HUMANITÉ EN DEVENIR.
Et cette nuit, j’ai vu la grandeur de l’amour œuvre d’art de l’archétype hologrammique de Marlene la jardinière sur une berge et de l’archétype hologrammique de Michel le concierge sur l’autre berge, faisant de l’arc-en-ciel surplombant la rivière des billots de la tricherie humaine, une espérance quanto-cosmologique en mode d’onti-KHA-tion en vue d’accéder à la RECOHÉRENCE QUANTI-KHA-TIVE DE LA BEAUTÉ DU MONDE.

donc l’introduction de notre doctorat sera donc le design de Marlene et Michel en mode d’arc-en-ciel d’espérance pendant que Pierrot vagabond céleste se métamorphosera par ses brosses d’être et ses attaques d’être en rivière st-Maurice solidaire dans son canot d’écorce des millions de billots-enfants-errants-fantomatisés signant le fleuve d’héraclite en enfer de Dante.

Pierrot vagabond, au nom par et pour notre équipe de recherche: Auld, Woodard, Rochette.

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Concrètement, les 4 premiers videos accompagneront ce texte…

Deux divisant le centre (LA DRAVE de Felix Leclerc de l’ONF et L’ÂME NOIRE de martine Chartrand) où la chanson de Mc Pherson est reprise 2 fois, une fois en vrai et une en animation esthétique.

Puis sur les côtés… LA COMPLAINTE DU ST-MAURICE… À GAUCHE CHANTÉE PAR FRED PELLERIN pendant que Marlene jardine la beauté du monde et à droite, la même complainte du St-Maurice chantée par Gaston Miron pendant que Michel pellete à son travail.

LE TEXTE sur la rivière st-Maurice en sera un documentaire à travers lequel DES BILLOTS EN FORME DE LETTRES K entre les mots… DESCENDRONT LA RIVIÈRE DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE À INVENTER…

Le texte étant le suivant:

PORTRAIT HISTORIQUE DE LA RIVIÈRE ST-MAURICE

Historique de la rivière Saint-Maurice

Portrait historique du Saint-Maurice

Affluent le plus important du fleuve Saint-Laurent après l’Outaouais et le Saguenay, la rivière Saint-Maurcie prend sa source dans le réservoir Gouin, à environ 400 kilomètres au nord de Trois-Rivières. Le bassin hydrographique d’environ 43 000 kilomètres carrés canalise les eaux d’une quinzaine de cours d’eau tributaires. Des rapides et des chutes y synchroniseront le développement d’installations hydroélectriques et l’émergence de villes industrielles. Entre les hautes terres boisées du Bouclier laurentien et les basses terres du Saint-Laurent, le parcours du Saint-Maurice, embarrassé par plusieurs barrages correspond davantage aux exigences d’un réservoir qu’aux charmes tranquilles d’une rivière. Pendant plus d’un siècle, en efft, et jusqu’à récemment, il a surtout assumé le transport de quelque 3 milliards de « pitounes » ou billes de bois vers les scieries et les moulins à papier de la Mauricie.

Le premier Européen à voir le Saint-Maurice est Jacques Cartier. À l’automne 1535, Jacques Cartier rentrant d’Hochelaga remonta la rivière sur une courte distance. Cartier la baptise Rivière de Fouez, sans préciser si son choix rendait hommage à la famille de Foix, proche du gouverneur de Bretagne, ou s’inspirait du mot foi, alors prononcé « foué ». Quoi qu’il en soit, le toponyme Fouez se perd à la fin du XVIe siècle, remplacé par « 3 rivières », orthographié ainsi une première fois en 1601 sur la carte de Guillaume Levasseur. L’appellation serait du cru de François Grav. Du Pont, l’homme de confiance de Champlain chargé de remonter le fleuve jusque-là quelques années auparavant. Champlain adoptera en 1668 la forme simple Les Trois-Rivières ou Rivière dite les Trois Rivières, en scellant la promesse de concéder une seigneurie à Maurice Polin de La Fontaine, procureur du gouvernement de Trois-Rivières. Cette référence à des îles partageant en trois segments l’embouchure du cours d’eau persistera jusque vers 1730-1740. S’impose ensuite le Saint-Maurice qui honore Maurice Poulin dont la seigneurie anonyme, concédée en 1676 à sa veuve, est décrite dans le jugement rendu par l’intendant Michel Bégon en 1723 : le fief Saint-Maurice est situé sur la rive ouest de la rivière vulgairement nommée fleuve du SaintpMaurice. Le nom algniquin de la rivière, Metabroutin, est mentionné dans la Relation des Jésuties en 1635. Il ferait allusion à une « décharge du vent ». Les Abénaquis, quant à eux, évoquaient la Madôbaladenitekw, la rivière qui finit. À la fin du régime français, le toponyme rivière Saint-Maurice est d’usage courant et s’étendra à la Mauricie vers le milieu du XXe siècle.

L’histoire de la Mauricie est étroitement liée à l’utilisation de la rivière Saint-Maurice. Alors que l’exploitation foresti;re prend son envol, vers 1850, avec l’installation des premières papetières, la rivière assure l’acheminement du bois par flottage. Le puissant potentiel hydroélectrique du cours d’eau soutient plus tard le développement industriel régional avec un tel succès que les villes de Shawinigan et de Trois-Rivières se retrouvent momentanément au rang des capitales mondiales de l’industrialisation. Le réservoir Gouin demeurera longtemps le plus grand réserovoir artificiel du globe.

Ces grandes ressources resteront au cœur de l’économie régionale de la Mmauricie lorsqu’elle s’apprêtera à changer de cap. Fini ke flottage des billes de bois sur la rivière à la fin des années 1990. On s’efforcera de mettre en valeur le potentiel récréotouristique du Saint-Maurice. La mosaïque des lacs et des rivières de la Mauricie jouit d’une bonne renommée grâce aux nombreux clubs de chasse et de pêche fondés durant les années 1880. Ces clubs sélects ont par la suite encouragé la protection des territoire par la création d’un parc national du Canada, de réserves fauniques, de zecs et de pourvoiries.

La vallée de la rivière Saint-Maurice et les terres du bassin versant portent jusqu’à nos jours les stigmates des diverses étapes de leur développement; d’abord la mise ç profit des richesse forestières, puis l’utilisation du potentiel, minier et la canalisation de la puissance hydroélectrique au profit de l’industrie. Plus récemment, la restauration des écosystèmes et la mise en valeur des sites naturels concrétisant la nouvelle orientation économique de la région basée sur le contrôle des ressources naturelles. La coupe du bois persiste toujours autour du réservoir Gouin.

De précieuses ressources au pays de la drave

Dès la seconde moitié du XIXe siècle, l’exploitation forestière dessine l’ébauche du peuplement original de la région : en effet, les forestiers s’installent avant l’arrivée des colons. L’économie agroforestière naîtra quand le commerce du bois aura révélé le potentiel agricole de la terre. Les pionniers, à la fois bûcherons et agriculteurs, répartiront alors leurs activit.s au gré des saisons. Le XIXe siècle préside donc l’organisation des grandes coupes de bois, du flottage de la pitoune et assure la prolifération des chantiers sur les rives du Saint-Maurice. Des localités embryonnaires s’articulent autour de ce schéma à Mont-Carmel (1858), à Saint-Boniface (1859), à Sainte-Flore (1862), à Saint-Tite (1863), à Saint-Thècle (1873).

Au tournant du siècle, l’incorporation des villages de Grand-Mère (1898) et de Shawinigan Falls (1901), et celle de la ville de La Tuque (1908) complètent le tableau.

À l’époque, la journe de travail dans les chantiers de coupe dure au moins onze heures. Les draveurs s’échinent de 4 heures du matin à 20 heures le soir. Les ouvriers sont à la tâche aussi longtemps qu’il y a du bois à retirer des ruisseaux et des affluents. On s’attaque presque exclusivement aux géants, des pins plusieurs fois centenaires dont la taille et le diamètre promettent chacun plusieurs billots. Vers 1850, le diamètre moyen des billes acheminées sur le Saint-Maurice est de 50 à 60 centimètres; dans les années 1920, les billots de plus de 75 centimètres ne font pas exception.

Rapides St-Maurice
Rapides d’un des affluents du Saint-Maurice. Photo de Histoire-du-Québec.ca.

Une fois préparés, les billots sont déposés sur la glace, à la dcéharge des lacs dans lesquels ils ont emboîtés par une estacade, jusqu’à ce qu’il y ait suffisamment d’eau pour assurer la flottabilité du bois qui empruntera successivement des lacs, des ruisseaux et des rivières affluentes dans sa descente vers le Saint-Maurice. Le glanage des billots enlisés dans les anses ou sur la grève a lieu du mois de juin au mois de novembre. Ainsi rendus au courant, les billots risquent ensuite d’être écorchés au passage des chutes. Pour aider la descente du bois jusquà Trois-Rivières, le gouvernement entreprend, en 1846-1947, la construction de digues de retenue pour les billes et de glissoires d’évitement des rapides.

Les cages ou « cribles » qui dévalent le Saint-Maurnce mesurent en général de 15 à 18 mètres de long. Sans doute, moins imoisantes que celles longues de plus de 1 kilomètre, qui descendent le fleuve Saint-Laurent à la même époque, elles exigent tout de même l’incroyable agilité du draveur de billots du Saint_Maurice pour arriver à bon port. À la fois robuste, secret et dur à la tâche, le forestier mauricien du XIXe siècle est aussi un homme simple qui s’émerveille et s’amuse de peu, commen témoigne le folklore inspiré par la vie des chantiers, scandé par la voix et les bottines à clous de ses héros.

(Rivières du Québec, Découverte d’une richesse patrimoniale et naturelle. Par Annie Mercier et Jean-François Hamel. Les éditions de l’Homme, une division du groupe Sogides).

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LA DRAVE SUR LA RIVIÈRE ST-MAURICE

La griffe à Beaudoin

La drave et le raftage en Mauricie, avec ces bûcherons qui montaient en forêt, qui vivaient dans des camps rudimentaires, sur des paillasses de branches d’arbre rapidement infectées de poux et qui avalaient en quantités industrielles des bines et du lard salé pour se faire des forces, c’est un grand pan de l’épopée mauricienne.

28 octobre 2015 / Mis à jour le 29 octobre 2015 à 7h46

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Avec l’arrêt de la drave, un passé s’est éteint

Jean-Marc Beaudoin

Le Nouvelliste

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La rivière Saint-Maurice, les Anglais l’avaient nommée Black River, en raison comme on s’en doute de ses eaux sombres, presque noires. Mais pendant plus d’un siècle et demi, il aurait plutôt fallu la baptiser Yellow River, parce que c’était la couleur dominante de sa surface.

Plus il la voyait jaune, plus l’ancien directeur de la Compagnie de flottage du Saint-Maurice, Ted Gignac, était satisfait. C’était la preuve qu’il avait bien travaillé. Il avait le mandat de la remplir d’une forêt flottante. Plus donc la rivière était recouverte de ces épinettes écorcées qui lui apportaient sa couleur, plus c’était le signe que les opérations forestières fonctionnaient rondement et que la Saint-Maurice jouait pleinement son rôle de super-convoyeur.

Son job, c’était bien sûr d’acheminer au meilleur coût et le plus efficacement possible, en fonction de leurs besoins et de leurs volumes de bois coupé, vers les papeteries, ces «pitounes» en dérive contrôlée.

À la défense de l’ancien directeur de la compagnie de flottage qui tapissait la rivière de dizaines de milliers de billes de bois, il faut rappeler qu’il avait aussi par la suite contribué à redonner une partie de la rivière aux citoyens. Gignac y était arrivé en développant son réseau d’estacades afin qu’une partie de la rivière soit dégagée de bois et ainsi la partager et permettre des utilisations récréatives.

Mais ces efforts seront jugés insuffisants dans les années 1990. C’est toute la rivière, complètement dégagée de ses estacades et de ses pitounes, qui sera réclamée par des groupes de citoyens riverains qui recevaient une écoute de plus en plus favorable de l’ensemble de la population mauricienne en plus d’exiger l’assainissement de ses eaux polluées par tant d’années de flottage et par plus d’un siècle de déversements industriels libres.

Les grandes papetières qui s’en servaient toujours pour recevoir leur bois, la Canadian International Paper et la Consolidated-Bathurst eurent beau prétendre que sans la drave, la route de La Tuque deviendrait infréquentable, tellement il y aurait de camions qui devraient l’emprunter pour transporter le bois coupé vers les usines, la cause était entendue dans l’opinion publique. Il n’y avait plus au Québec que cette rivière qui servait encore d’autoroute «pitounière».

Voilà maintenant vingt ans que la rivière Saint-Maurice a repris ses couleurs et on peut constater qu’on s’y est vite précipité pour en profiter.

C’est quand même une grande partie de l’histoire mauricienne qui avait perdu ses couleurs avec l’arrêt du flottage. La drave et le raftage en Mauricie, avec ces bûcherons qui montaient en forêt, qui vivaient dans des camps rudimentaires, sur des paillasses de branches d’arbre rapidement infectées de poux et qui avalaient en quantités industrielles des bines et du lard salé pour se faire des forces, c’est un grand pan de l’épopée mauricienne.

On n’imaginerait plus la rivière striée de bômes comme elle l’était avec son couvert de billes de bois et ses hommes armés de pics et de gaffes pour les retourner dans le courant ou pour démanteler leurs empilades. Les bateaux de plaisance ont remplacé les «Alligators» d’Arnold Fay qui fonçaient dans les amoncellements de pitounes comme des brise-glace dans les eaux gelées.

Il reste que pour beaucoup de Mauriciens, cette rivière encombrée, c’est beaucoup de souvenirs de jeunesse. Combien de fois a-t-on vu des jeunes chuter dans l’eau parce qu’ils essayaient de marcher sur les billes comme le faisaient autrefois les draveurs. En oubliant que c’était à l’époque des gros billots de pin qu’on mettait à flotter pour les faire descendre vers les scieries de Trois-Rivières. Les habiles draveurs montaient dessus en les faisant rouler pour garder l’équilibre, mais ce n’était plus possible avec les pitounes d’épinette de quatre pieds.

Car la Mauricie a été vidée deux fois de sa forêt. Au début, c’était une forêt de pins. Après, on y a fait flotter la forêt d’épinettes qui avaient repoussé à la place des grands pins.

Quant aux estacades, il n’y a pas beaucoup de jeunes qui ne s’y soient promenés dessus et n’en aient payé le prix en ecchymoses, parce qu’elles étaient plus souvent qu’autrement recouvertes de mousses ou d’un limon visqueux qui provoquaient les glissades.

Malgré tout, si beaucoup de souvenirs y sont rattachés, la nostalgie de cette occupation de la rivière n’existe pas vraiment. Personne ne voudrait aujourd’hui voir la Saint-Maurice autrement que dans sa beauté retrouvée.

Jean-Marc Beaudoin

Le Nouvelliste

La griffe à Beaudoin

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épistémologie-méthodologie de la bloguïétique, passant par les abcepts et les transmages pour poreuser les multiversqualias sous une forme quanto-cosmologique

à suivre…

Pierrot vagabond, au nom par et pour notre équipe de recherche

(Auld, Woodrad, Rochette

PORTRAIT HISTORIQUE DE LA RIVIÈRE ST-MAURICE

Historique de la rivière Saint-Maurice

Portrait historique du Saint-Maurice

Affluent le plus important du fleuve Saint-Laurent après l’Outaouais et le Saguenay, la rivière Saint-Maurcie prend sa source dans le réservoir Gouin, à environ 400 kilomètres au nord de Trois-Rivières. Le bassin hydrographique d’environ 43 000 kilomètres carrés canalise les eaux d’une quinzaine de cours d’eau tributaires. Des rapides et des chutes y synchroniseront le développement d’installations hydroélectriques et l’émergence de villes industrielles. Entre les hautes terres boisées du Bouclier laurentien et les basses terres du Saint-Laurent, le parcours du Saint-Maurice, embarrassé par plusieurs barrages correspond davantage aux exigences d’un réservoir qu’aux charmes tranquilles d’une rivière. Pendant plus d’un siècle, en efft, et jusqu’à récemment, il a surtout assumé le transport de quelque 3 milliards de « pitounes » ou billes de bois vers les scieries et les moulins à papier de la Mauricie.

Le premier Européen à voir le Saint-Maurice est Jacques Cartier. À l’automne 1535, Jacques Cartier rentrant d’Hochelaga remonta la rivière sur une courte distance. Cartier la baptise Rivière de Fouez, sans préciser si son choix rendait hommage à la famille de Foix, proche du gouverneur de Bretagne, ou s’inspirait du mot foi, alors prononcé « foué ». Quoi qu’il en soit, le toponyme Fouez se perd à la fin du XVIe siècle, remplacé par « 3 rivières », orthographié ainsi une première fois en 1601 sur la carte de Guillaume Levasseur. L’appellation serait du cru de François Grav. Du Pont, l’homme de confiance de Champlain chargé de remonter le fleuve jusque-là quelques années auparavant. Champlain adoptera en 1668 la forme simple Les Trois-Rivières ou Rivière dite les Trois Rivières, en scellant la promesse de concéder une seigneurie à Maurice Polin de La Fontaine, procureur du gouvernement de Trois-Rivières. Cette référence à des îles partageant en trois segments l’embouchure du cours d’eau persistera jusque vers 1730-1740. S’impose ensuite le Saint-Maurice qui honore Maurice Poulin dont la seigneurie anonyme, concédée en 1676 à sa veuve, est décrite dans le jugement rendu par l’intendant Michel Bégon en 1723 : le fief Saint-Maurice est situé sur la rive ouest de la rivière vulgairement nommée fleuve du SaintpMaurice. Le nom algniquin de la rivière, Metabroutin, est mentionné dans la Relation des Jésuties en 1635. Il ferait allusion à une « décharge du vent ». Les Abénaquis, quant à eux, évoquaient la Madôbaladenitekw, la rivière qui finit. À la fin du régime français, le toponyme rivière Saint-Maurice est d’usage courant et s’étendra à la Mauricie vers le milieu du XXe siècle.

L’histoire de la Mauricie est étroitement liée à l’utilisation de la rivière Saint-Maurice. Alors que l’exploitation foresti;re prend son envol, vers 1850, avec l’installation des premières papetières, la rivière assure l’acheminement du bois par flottage. Le puissant potentiel hydroélectrique du cours d’eau soutient plus tard le développement industriel régional avec un tel succès que les villes de Shawinigan et de Trois-Rivières se retrouvent momentanément au rang des capitales mondiales de l’industrialisation. Le réservoir Gouin demeurera longtemps le plus grand réserovoir artificiel du globe.

Ces grandes ressources resteront au cœur de l’économie régionale de la Mmauricie lorsqu’elle s’apprêtera à changer de cap. Fini ke flottage des billes de bois sur la rivière à la fin des années 1990. On s’efforcera de mettre en valeur le potentiel récréotouristique du Saint-Maurice. La mosaïque des lacs et des rivières de la Mauricie jouit d’une bonne renommée grâce aux nombreux clubs de chasse et de pêche fondés durant les années 1880. Ces clubs sélects ont par la suite encouragé la protection des territoire par la création d’un parc national du Canada, de réserves fauniques, de zecs et de pourvoiries.

La vallée de la rivière Saint-Maurice et les terres du bassin versant portent jusqu’à nos jours les stigmates des diverses étapes de leur développement; d’abord la mise ç profit des richesse forestières, puis l’utilisation du potentiel, minier et la canalisation de la puissance hydroélectrique au profit de l’industrie. Plus récemment, la restauration des écosystèmes et la mise en valeur des sites naturels concrétisant la nouvelle orientation économique de la région basée sur le contrôle des ressources naturelles. La coupe du bois persiste toujours autour du réservoir Gouin.

De précieuses ressources au pays de la drave

Dès la seconde moitié du XIXe siècle, l’exploitation forestière dessine l’ébauche du peuplement original de la région : en effet, les forestiers s’installent avant l’arrivée des colons. L’économie agroforestière naîtra quand le commerce du bois aura révélé le potentiel agricole de la terre. Les pionniers, à la fois bûcherons et agriculteurs, répartiront alors leurs activit.s au gré des saisons. Le XIXe siècle préside donc l’organisation des grandes coupes de bois, du flottage de la pitoune et assure la prolifération des chantiers sur les rives du Saint-Maurice. Des localités embryonnaires s’articulent autour de ce schéma à Mont-Carmel (1858), à Saint-Boniface (1859), à Sainte-Flore (1862), à Saint-Tite (1863), à Saint-Thècle (1873).

Au tournant du siècle, l’incorporation des villages de Grand-Mère (1898) et de Shawinigan Falls (1901), et celle de la ville de La Tuque (1908) complètent le tableau.

À l’époque, la journe de travail dans les chantiers de coupe dure au moins onze heures. Les draveurs s’échinent de 4 heures du matin à 20 heures le soir. Les ouvriers sont à la tâche aussi longtemps qu’il y a du bois à retirer des ruisseaux et des affluents. On s’attaque presque exclusivement aux géants, des pins plusieurs fois centenaires dont la taille et le diamètre promettent chacun plusieurs billots. Vers 1850, le diamètre moyen des billes acheminées sur le Saint-Maurice est de 50 à 60 centimètres; dans les années 1920, les billots de plus de 75 centimètres ne font pas exception.

Rapides St-Maurice
Rapides d’un des affluents du Saint-Maurice. Photo de Histoire-du-Québec.ca.

Une fois préparés, les billots sont déposés sur la glace, à la dcéharge des lacs dans lesquels ils ont emboîtés par une estacade, jusqu’à ce qu’il y ait suffisamment d’eau pour assurer la flottabilité du bois qui empruntera successivement des lacs, des ruisseaux et des rivières affluentes dans sa descente vers le Saint-Maurice. Le glanage des billots enlisés dans les anses ou sur la grève a lieu du mois de juin au mois de novembre. Ainsi rendus au courant, les billots risquent ensuite d’être écorchés au passage des chutes. Pour aider la descente du bois jusquà Trois-Rivières, le gouvernement entreprend, en 1846-1947, la construction de digues de retenue pour les billes et de glissoires d’évitement des rapides.

Les cages ou « cribles » qui dévalent le Saint-Maurnce mesurent en général de 15 à 18 mètres de long. Sans doute, moins imoisantes que celles longues de plus de 1 kilomètre, qui descendent le fleuve Saint-Laurent à la même époque, elles exigent tout de même l’incroyable agilité du draveur de billots du Saint_Maurice pour arriver à bon port. À la fois robuste, secret et dur à la tâche, le forestier mauricien du XIXe siècle est aussi un homme simple qui s’émerveille et s’amuse de peu, commen témoigne le folklore inspiré par la vie des chantiers, scandé par la voix et les bottines à clous de ses héros.

(Rivières du Québec, Découverte d’une richesse patrimoniale et naturelle. Par Annie Mercier et Jean-François Hamel. Les éditions de l’Homme, une division du groupe Sogides).