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JLE VAGABOND-CHERCHEUR EN MOI A ENFIN RÉUSSI À CRÉER DANS LA PREMIÈRE PHRASE DE NOTRE DOCTORAT (AULD, WOODARD, ROCHETTE) UNE INVENTION QUE J,APPELLE: UNE DRAMATURGIE APHORISTIQUE EN UNE PHRASE…. ET CELA DANS LES MOTS SUIVANTS: ….MICHEL, TA CHANSON «JE TE DEMANDE PARDON» A BOULEVERSÉ NOTRE DOCTORAT….. AU POINT D’EN DEVENIR NON SEULEMENT LE MANIFESTE, MAIS ÉGALEMENT L’ARGUMENT ABCEPTUEL DES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU COEUR POUR QUE NAISSE PAR PURE BEAUTÉ DU MOONDE UN RÊVE BIG BANG DE L’HUMANITÉ: LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE

Quel magnifique conseil d’administration de la créativité encore ce matin….. Notre objectif poétique se précise: RÉENCHANTER LE MONDE PAR LE COEUR ET LE RÊVE BIG BANG….

De plus, un magnifique aphorisme de Michel : «LA GOUVERNANCE DE LA PHYSIQUE DEVRA PASSER PAR LA MÉTAPHYSIQUE».

Et un autre : «FAUT ÊTRE AVEUGLE POUR VOIR MOURIR QUELQU’UN DEVANT SOI PIS RIEN FAIRE»

Un jour, je l’intuitionne… tous les aphorismes de Michel le concierge que j,ai lentement collectionnés au travers des blogues seront publiés dans un petit livre jaune au titre signatif: « LE CARNET DU CONCIERGE». Et c’est de ce carnet que naîtra la philosophie d’en bas, soit la condition humaine CRI DE MUNCH s’élevant en même temps que la condition humaine sur terre par la vie personnelle oeuvre d’art dont la masse critique est UN.

Pierrot vagabond

PAR LE PRINCIPE D’HUMILITÉ (DÉCALAGE ENTRE LA PHYSIQUE ET LA MÉTAPHYSIQUE) ….. LE PHILOSOPHE DAVID KELLOGG LEWIS ET SON LIVRE PHARE «DE LA PLURALITÉ DES MONDES » … DE 1986 EN ANGLAIS TRADUIT EN FRAN^CAIS EN 2007 …….. PAR SON RÉALISME MODAL AU SENS OÙ, SELON SA THÉORIE, IL EXISTE UN NOMBRE INFINI DE MONDES POSSIBLES CONCRETS, dAVID KELLOGG LEWIS A EXERCÉ UNE INFLUENCE IMPORTANTE SUR LES DÉBATS ULTÉRIEURS EN MÉTAPHYSIQUE….

WIKIPEDIA

David Lewis

David Lewis
Naissance
28 septembre 1941
Oberlin (Ohio)
Décès
14 octobre 2001 (à 60 ans)
Princeton (New Jersey)
Sépulture
Princeton Cemetery (en)
Nationalité
Américain
Formation
Université Harvard
Swarthmore College
Principaux intérêts
philosophie analytique

David Kellogg Lewis (28 septembre 1941 – 14 octobre 2001), philosophe américain, est l’une des figures majeures de la philosophie analytique contemporaine.
Après avoir enseigné brièvement à l’université de Californie à Los Angeles (UCLA) il rejoint l’université de Princeton jusqu’à la fin de sa carrière. Il a été, avec Nicholas Wolterstorff, l’étudiant de Donald Cary Williams. Il est aussi souvent associé à la communauté philosophique australienne à laquelle il a rendu visite tous les ans pendant plus de 30 ans.

Le philosophe David Lewis est surtout connu pour avoir défendu la théorie du RÉALISME MODAL
selon laquelle IL EXISTE UN NOMBRE INFINI DE MONDES POSSIBLES CONCRETS ET CAUSALEMENT ISOLÉS LES UNS DES AUTRES… .

Sa défense détaillée de cette position dans DE LA PLURALITÉ DES MONDES… (1986, trad. fr. 2007) EXERCÉ UNE INFLUENCE IMPORTANTE SUR LES DÉBATS ULTÉRIEURS EN MÉTAPHYSIQUE.

On lui doit aussi des contributions fondamentales en philosophie du langage et de l’esprit, en métaphysique analytique, en épistémologie et en logique philosophique.

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Logique modale

David Lewis a proposé une logique modale originale, LA THÉORIE DES CONTREPARTIES, qui constitue depuis lors une alternative à la logique modale de Saul Kripke.

La sémantique de Kripke comme point de départ

La logique modale de Kripke se fonde sur une sémantique dont la fonction est de rendre compte des propositions modales comme « il est possible que p » en termes de propositions assertives comme « il est vrai que p ». Le naturalisme philosophique, adopté par Kripke et la majorité des philosophes analytiques à la suite de Quine, semble en effet ne pas être compatible avec des énoncés où LES OBJETS ET LES ÉVÉNEMENTS SONT CARACTÉRISÉS EN TERMES MODAUX.

Kripke élabore alors une sémantique des mondes possibles (notés w). Les mondes possibles sont des ensembles d’individus et de propriétés. L’ensemble des mondes possibles (noté W) comprend le monde actuel.

Dans cette sémantique, une proposition p est nécessaire si et seulement si p est vraie dans tous les mondes possibles (proposition assertive) ; une proposition p est seulement possible si et seulement si p n’est pas vraie dans au moins un monde possible, etc. Si, par exemple, il est nécessaire que Socrate soit sage, cela signifie que Socrate est sage dans tous les mondes possibles, et qu’il n’existe pas de monde possible où il ne soit pas sage. On dit alors que l’opérateur de nécessité ”
{\displaystyle \Box }
” est l’équivalent du quantificateur universel “∀”, tandis que l’opérateur de possibilité “◊” est l’équivalent du quantificateur existentiel “∃”. La modalité apparait ainsi comme une quantification sur des mondes possibles à l’intérieur desquels les événements se réalisent.

Pour Kripke, IL Y A TOUJOURS UN ONDE POSSIBLE OÙ UN INDIVIDU EST DIFFÉRENT DE CE QU’IL EST EN RÉALITÉ…

Il y a par exemple toujours un monde possible où Socrate n’est pas sage, car Socrate aurait pu ne pas être sage (au sens où il est concevable qu’il ne le soit pas). Tel est le principe de « L’IDENTITÉ TRANSMONDAINE ».

Ce point est fortement contesté par Lewi1 et sa théorie des contreparties offre une option alternative.

LA THÉORIE DES CONTREPARTIES

Le problème qui se pose d’après Lewis avec la théorie de Kripke est que si l’on a une série suffisamment longue de mondes possibles et si l’on fait varier, même de manière infinitésimale, les caractéristiques d’un individu de monde en monde, alors tout ce qui existe peut être changé en n’importe quoi, Socrate en un vase par exemple, ce qui est non seulement contraire au bon sens mais également incomptatible avec le naturalisme philosophique. Pour cette raison, notamment, Lewis a proposé sa théorie des contreparties :

« La relation de contrepartie (counterpart relation) est NOTRE SUBSTITUT DE LA RÉALITÉ DES CHOSES À TRAVERS LES MONDES…

Là où certains affirment que vous existez dans plusieurs mondes, dans lesquels vous avez des propriétés quelque peu différentes et où vous arrivent des choses dans une certaine mesure différentes, je préfère dire que vous existez dans le monde actuel et dans aucun autre, mais que vous avez des CONTREPARTIES DANS DE NOMBREUX AUTRES MONDES …

Vos contreparties vous ressemblent étroitement à beaucoup d’égards, dans le contenu et le contexte. Ils vous ressemblent plus que les autres choses dans leurs mondes.

Mais ils ne sont pas vous. »

La contrepartie d’une chose est un double numériquement différent de cette chose mais qui partage avec elle des caractéristiques essentielles.

Ainsi, Socrate ne pourra-t-il avoir, même dans un monde possible très différent du nôtre, une contrepartie qui serait un vase, car cet instrument ne possède pas d’essence en commun avec le maître de Platon.

Pour Lewis, « la relation de contrepartie est une relation de similarité ». La similarité (ou ressemblance) entre deux individus n’est pas l’identité de ces deux individus mais le fait pour ces individus d’avoir des caractéristiques en commun. La transitivité de l’identité (si x=y et y=z alors x=z) ne s’applique donc pas aux contreparties.

Si Lewis rejette ainsi l’idée qu’un individu dans un monde possible puisse être numériquement identique à un individu dans un autre monde possible (identité “transmondaine”), c’est aussi pour des considération liées à sa conception de la réalité des mondes possibles.

Métaphysique des mondes possibles

Réalisme modal et théorie indexicale
Article détaillé : Réalisme modal.

C’est avec David Lewis qu’a été soutenue pour la première fois la thèse qualifiée de RÉALISME MODAL :

« Y a-t-il d’autres mondes ? Je dis qu’il y en a.

Je plaide pour la pluralité des mondes, ou réalisme modal… qui soutient que notre monde n’est qu’un monde parmi de nombreux autres.

Il y a d’innombrables autres mondes, d’autres choses inclusives. Nous et ce qui nous entoure, même éloignés dans le temps et l’espace, constitue notre monde. […] Les mondes sont isolés : il n’y a ni relations spatiotemporelles entre des choses qui appartiennent à des mondes différents, ni une chose survenant dans un monde qui cause la survenance de quelque chose dans un autre monde. ».

Cette thèse du réalisme modal, du moins dans sa version Lewisienne, n’affirme pas seulement que tous les mondes possibles existent ; elle affirme également que ces mondes existent parce qu’ils sont tous « actuels », d’un certain point de vue.

La réalité d’un monde possible consiste même dans cette « actualité » qui est à comprendre en un sens indexical. Selon l’interprétation indexicale, « le monde actuel » signifie seulement « ce monde », « le monde dans lequel nous sommes ». L’actualité du monde ne consiste en rien d’autre que dans le fait d’être ce monde là.

Mais que veut dire « ce monde là » ? Le sens d’une expression indexicale consiste à faire référence au locuteur qui la produit (ex. “je”) ou à sa situation dans l’espace ou le temps (ex. “ici” ou “maintenant”). Par conséquent, la référence de ce type d’expressions peut varier en fonction de l’identité ou de la situation du locuteur.

Le fait pour un monde d’être ce monde ne constitue donc pas une caractéristique intrinsèque du monde en question, mais une caractéristique relationnelle — celle d’être notre monde, ou d’être le monde auquel nous nous référons.

D’après la théorie indexicale, l’actualité est une propriété que le monde actuel possède non pas absolument, mais relativement à ses habitants.

Considéré absolument, l’actuel n’a pas un statut différent du possible, et il n’a pas de PRÉÉMINENCE ONTOLOGIQUE SUR LES AUTRES MONDES.

L’illusion modale

Ce n’est pas le même lieu qui est désigné par deux habitants des États-Unis lorsque le premier situé en Californie dit « il fait souvent beau dans ce pays » alors que l’autre situé au Massachusetts dit « il pleut souvent dans ce pays ». De la même façon, dans un monde possible différent du nôtre, ses habitants disent « ce monde » ou « notre monde » en désignant leur monde comme actuel, tout comme nous le faisons à propos du nôtre.

Mais en disant « ce monde » ou « notre monde », nous pensons spontanément qu’il est le seul actuel.

Telle est l’illusion modale que dénonce Lewis, une croyance illusoire qu’il considère enracinée dans notre égocentrisme.

Cette croyance est l’équivalent modal de ce que serait l’illusion solipsiste d’une personne parfaitement auto-centrée pour qui tous les indexicaux ne feraient référence qu’à sa seule situation ou à sa seule personne, l’usage approprié du mot “je” lui étant réservé. L’ACTUALISME NAIF – pensée naïve selon laquelle notre monde est le seul actuel – devient alors l’équivalent du solipsisme qui, en niant l’existence des autres personnes, nie du même coup l’existence d’autres points de vue véridiques sur le monde.

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MÉTAPHYSIQUE DES PROPRIÉTÉS ET DES OBJETS

A l’instar de cette huile sur toile de style pointilliste (Paul Signac, Femmes au puits, 1892), le monde de Lewis est une composition très riche de qualités pures dont chacune d’elles est localisée dans l’espace-temps.

Atomisme des propriétés

La métaphysique de David Lewis est une forme d’atomisme ou de « pointillisme ».

Elle conçoit la réalité comme une collection de points déterminés, chacun doté de qualités propres ou intrinsèques, réalité que D. Lewis compare à une mosaïque.

Il compare également la constitution fondamentale de la réalité aux points d’une imprimante à aiguille, qui ne sont pas perçus comme tels, mais qui, à un niveau plus global, dessinent des lettres ou des images bien visibles.

Les points d’espace-temps où s’instancient les qualités sont analogues aux tesselles d’une mosaïque ou aux points d’impression de l’imprimante à aiguilles.

Cette conception atomiste des propriétés du monde est associée à la thèse dite de « la survenance humienne » , en référence au philosophe David Hume qui refusait l’idée qu’il existe des connexions nécessaires dans la nature.

Selon les propres mots de Lewis, cette thèse énonce que :
« […] tout ce qui existe dans le monde est une vaste mosaïque d’affaires locales de faits particuliers, rien qu’une petite chose et puis une autre et ainsi de suite.

Nous avons la géométrie : un système de points avec des relations externes de distance spatio-temporelle entre eux. […] En ces points se trouvent des qualités locales : des propriétés intrinsèques parfaitement naturelles qui n’ont besoin de rien de plus grand qu’un point auquel être instanciées. En bref : nous avons un arrangement de qualités. Et c’est tout. Il n’y a pas de différence sans différence dans l’arrangement des qualités. Tout le reste survient sur cet arrangement. »

Le terme de survenance signifie dans ce contexte que la distribution des propriétés physiques fondamentales sur l’ensemble des points de l’espace-temps détermine tout ce qu’il y a dans le monde (en termes plus techniques : si les propriétés A surviennent sur les propriétés B alors la distribution des propriétés A est identique à la distribution des propriétés B). Cette thèse est au centre de la métaphysique de Lewis, qualifiée pour cette raison de « métaphysique humienne » car, d’une part, elle énonce en quoi consiste la structure profonde du monde – une collection de choses ponctuelles – et, d’autre part, elle nie l’existence de connexions nécessaires dans la nature, y substituant le principe d’une simple conjonction entre les choses (« juste une petite chose et puis une autre »).
Principe de combinaison libre
Lewis défend un PRINCIPE DE COMBINAISON LIBRE  entre les constituants fondamentaux de la réalité, conséquence de sa conception atomiste des propriétés du monde.

Les propriétés physiques qui existent en un point ou une quelconque région du monde n’exercent aucune contrainte sur les autres propriétés qui existent ailleurs dans ce même monde, et il existe donc d’autres mondes possibles où elles sont arrangées autrement.

Chaque combinaison possible entre les constituants fondamentaux du monde réalise un monde possible, et notre monde (le monde « actuel ») n’est que l’un de ces mondes possibles (réalisme modal).
Selon Lewis, les lois de la nature sont fixées par la distribution des propriétés physiques fondamentales. Ces lois sont donc contingentes, et on peut concevoir un monde où ces lois diffèrent tandis que les propriétés demeurent.

Par exemple, si on considère un monde possible défini comme un double du « Big Bang » à l’origine de notre propre monde, le développement de la distribution des propriétés physiques fondamentales dans cet autre monde peut être entièrement différent du développement caractérisant notre monde « réel ».
Limitation cognitive et scepticisme
Une autre conséquence de l’atomisme des propriétés de Lewis est qu’il n’est pas possible d’avoir un accès cognitif à l’essence des propriétés constitutives du monde. Cette limitation découle de la présupposition concernant l’être des propriétés voulant que celles-ci soient des QUALITÉS PURES  et que leurs relations spatio-temporelles ne nous disent rien de ce qu’elles sont.

On aboutit ainsi à un DÉCALAGE PROFOND ENTRE LA MÉTAPHYSIQUE ET LA PHYSIQUE.

D’après la métaphysique humienne, les propriétés sont des qualités pures.

Or, la physique des particules décrit les entités fondamentales uniquement en fonction de leurs relations causales, comme la masse ou la charge électrique. Il n’est donc pas possible d’acquérir une connaissance de ce que sont vraiment les constituants fondamentaux du monde, quel que soit le niveau de développement de la physique.

*********Cette conséquence est connue sous le nom d’ « HUMILITÉ » *****  dans la littérature contemporaine, car elle interdit la prétention à la connaissance profonde du monde.
Philosophie de l’esprit
On doit également à David Lewis une conception naturaliste originale de l’esprit :

la version réductionniste du fonctionnalisme, aussi connue sous le nom de « fonctionnalisme des réalisateurs ».

Elle fut longtemps une position minoritaire face à la conception non réductionniste du fonctionnalisme mise en avant par Hilary Putnam et Jerry Fodor. Mais récemment, elle a pris un nouvel essor à la suite des travaux de Jaegwon Kim.
Le fonctionnalisme réductionniste n’admet pas de distinction entre des états ou des propriétés de premier ordre (les états ou propriétés physiques) et des états ou des propriétés de second ordre (les états ou propriétés fonctionnels).

Les états mentaux, tels que la douleur, sont pour Lewis des états physiques : des configurations neuronales d’un certain type, notamment. Un état physique réalise une certaine fonction de l’organisme que les concepts mentaux décrivent.

Les états fonctionnels auxquels se réfèrent les concepts mentaux sont donc des états physiques. Les descriptions en termes mentaux sont des descriptions de types d’états fonctionnels qui sont aussi des types d’états physiques.
Le fonctionnalisme de Lewis refuse de tirer une conclusion anti-réductionniste de l’argument de la réalisation multiple, car le fait qu’une même fonction de l’organisme puisse se réaliser dans des états physiques différents peut s’expliquer par le fait qu’il y a une configuration physique commune entre ces différents états.

La fonction de la douleur (fonction d’évitement) n’implique certes pas l’activation des mêmes fibres nerveuses selon les espèces animales, mais il y a bien une configuration neuronale associée à l’expérience de la douleur qui est commune à ces espèces.


Convention, Cambridge, Mass., Harvard University Press, 1969
Counterfactuals, Oxford, Blackwell, 1973
Philosophical papers, Vol I, Oxford, Oxford University Press, 1983.
On the plurality of worlds, Oxford, Blackwell, 1986
Parts of classes, Oxford, Blackwell, 1991
Papers in philosophical logic, Cambridge, Cambridge University Press, 1998
Papers in metaphysics and epistemology, Cambridge, Cambridge University Press, 1999
Papers in ethics and social philosophy, Cambridge, Cambridge University Press, 2000
Dont une traduction en français[modifier | modifier le code]
De la pluralité des mondes (1986), Paris Tel-Aviv, Editions de l’éclat, 2007 (traduit par M. Caveribère et J.-P. Cometti)
Articles traduits en français[modifier | modifier le code]
« Douleur de fou et douleur de Martien » (1978), in D. Fisette et P. Poirier (éds.), Philosophie de l’esprit, Psychologie du sens commun et sciences de l’esprit, Paris, Vrin, 2002, p. 289-306
« La vérité dans la fiction » (Truth in Fiction, 1978), traduction de Yann Schmitt, in Klesis, Revue philosophique n°24, La philosophie de David Lewis, 2012, pp. 36-55.
« Une nouvelle tâche pour une théorie des universaux » (1983), in Concept et Catégorie: numéro spécial des Cahiers Philosophiques de Strasbourg, vol. 17, Paris, 2004, pp. 345-404.
« Contre les universaux structuraux » (1986), in E. Garcia et F. Nef (eds.), Métaphysique contemporaine. Propriétés, mondes possibles et personnes, Paris, Vrin, 2007.
« Ce que nous apprend l’expérience » (1991), in L’expérience, collection GF Corpus, Paris, Flammarion, 1999
« Langages et langage », traduction E. Zeitlin & L. Quéré in Réseaux, volume 11 n°62. pp. 9-18, 1993.
« Insaisissable connaissance » (1996), in Dutant et Engel (éds.), Philosophie de la connaissance, Paris, Vrin, 2005.
Citation[modifier | modifier le code]
« Il y a tant et tant de manières dont un monde pourrait être, et l’une de ces nombreuses manières est la manière dont ce monde est. »14
Notes et références[modifier | modifier le code]
↑ D. Lewis, “Counterpart Theory and Quantified Modal Logic”, Journal of Philosophy, 65, 1968, p. 115
↑ Ibidem, pp. 113-126
↑ D. Lewis, “Counterpart Theory and Quantified Modal Logic” (1968), Philosophical Paper, Oxford University Press, 1983, repris et traduit dans Métaphysique contemporaine : Propriétés, mondes possibles et personnes, Vrin, pp. 288-289
↑ D. Lewis, Philosophical papers, vol. 1, Oxford, Oxford University Press,1983, p. 28
↑ D. Lewis, On the Plurality of Worlds, Oxford, Blackwell, 1986, p. 2, repris et traduit dans Métaphysique contemporaine : Propriétés, mondes possibles et personnes
↑ Butterfield, 2006.
↑ F. Nef, « La philosophie de David Lewis », Klesis, 2012 : 24, p. 78.
↑ D. Lewis, De la pluralité des mondes (1986), Editions de l’éclat, Paris, 2007, introduction, pp. IX-X.
↑ M. Esfeld, Physique et métaphysique, Presses polytechniques universitaires romandes, Lausanne, 2012.
↑ a et b M. Esfeld, Physique et métaphysique, Presses polytechniques universitaires romandes, Lausanne, 2012, p. 34.
↑ M. Esfeld, Physique et métaphysique, Presses polytechniques universitaires romandes, Lausanne, 2012, p. 41.
↑ D. Lewis, “An Argument for the Identity Theory,” Journal of Philosophy, 63, 1966, pp. 17–25.
↑ J. Kim, Mind in a Physical World, MIT Press, 1998 – tr. fr. L’esprit dans un monde physique : Essai sur le problème corps-esprit et la causalité mentale, Éditions Syllepse, 2006
↑ De la pluralité des mondes (1986), Paris Tel-Aviv, Editions de l’éclat, 2007, p. 16
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
Jacques Roubaud, La pluralité des mondes de Lewis, Paris, Gallimard, 1991.
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Logique modale
Métaphysique humienne
Mondes possibles
Philosophie de l’esprit
Physicalisme
Réalisme modal
Sémantique de Kripke
Liens externes[modifier | modifier le code]
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UN GRAND CADRE DE MARLENE DANS SES JARDINS À GRANDES-ÎLES POUR LE SHOW-CASE (SUR LE MUR DU SALON) QUI PORTERAIT LE TITRE SUIVANT: « LES JARDINS CONSTELLAIRES D’UN RÊVE BIG-BANG » EN ARC-EN-CIEL AVEC UN CADRE ILLUSTRANT LE TEXTE DE LA CHANSON «JE TE DEMANDE PARDON» DE MICHEL LE CONCIERGE, LES DEUX CADRES AVEC 2 X ROUGES, COMME SIGNES CODÉS DE LA NON-TRICHERIE AUX QUATRE COINS

Pierrot le Vagabond Chercheur

Le QUATRIÈME ARTÉFACT CONSTRUCTIVISTE de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) HOLOGRAMMISANT notre bunker de l’amitié pourrait bien être un immense cadre éclairé sur le mur du salon des jardins de Marlene dont le titre serait :
LES JARDINS CONSTELLAIRES D’UN RÊVE BIG-BANG …car le plus extraordinaire de ce que je connais de Marlene depuis 12 ans , c’est qu’elle a toujours eu accès aux qualias de ses jardins comme conséquence de sa non-tricherie au quotidien… tout y était dès le début… car quand elle a commencé son œuvre… tout était à faire… et tout y est encore avant même que ses premières tulipes n’y soient écloses… Marlene a appris la non-tricherie et la beauté du monde par sa mère et son père…

Marlene, dont le père était droit comme une barre et qui travaillait dans une mine pendant que la mère de Marlene était directrice d’école primaire, quand il allait jouer au golf le dimanche il appréciait les qwalias du gazon par la beauté du monde même de sa non-tricherie au quotidien…

VIVE NOTRE BUNKER DE L’AMITIÉ

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MICHEL, TA CHANSON «JE TE DEMANDE PARDON» A BOULEVERSÉ NOTRE DOCTORAT (AULD, WOODARD, ROCHETTE) AU POINT D’EN DEVENIR NON SEULEMENT LE MANIFESTE, MAIS ÉGALEMENT L’ARGUMENT ABCEPTUEL DES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU COEUR POUR QUE NAISSE PAR PUR BEAUTÉ DU MONDE PAR UN RÊVE BIG BANG DE L’HUMANITÉ LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE… DE LÀ LES 5 PREMIÈRES PAGES DU DOCTORAT QUE DÉPOSE SUR NOTRE BLOGUE CE MATIN.

AAA« JE TE DEMANDE PARDON »AAA
UNE MÉTHODOLOGIE DES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU CŒUR… (2639)

1 : ENJEU DU DOCTORAT (300 MOTS OU MOINS)
JE TE DEMANDE PARDON…, à toi qui, comme des centaines de millions d’enfants-errants-fantomatiques, se meurt, jour après jour, de faim ou de blessures de guerre, et cela, au nom des 193 états hobbiens onusiens qui, sous la féodalité de monarchies nucléaires, font passer la course aux armements, les guerres et les paradis fiscaux avant TON DROIT MULTIVERSEL à une vie personnelle œuvre d’art par un rêve big-bang.

JE TE DEMANDE PARDON… au nom de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) qui, depuis plus de 12 ans maintenant, cherche à répondre à la question suivante : AU 21EME SIÈCLE, QUELLE INSTITUTION FAUT-IL INVENTER POUR QUE SUR TERRE, PLUS AUCUN ENFANT NE MEURE DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE ?

JE TE DEMANDE PARDON… au nom de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) qui S’ACHARNE à déployer concrètement L’INVENTION DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE, dans le but de contribuer à la déshobbiation de l’O.N.U. Par la mise en algorithme de milliards de téléphones intelligents « wow-t=2.7k? » , si possible avec la complicité de l’institut de l’intelligence artificielle du Québec) , nous validerons politiquement la création d’une cour suprême nano-citoyenne-planétaire composée de deux assemblées des justes (125 femmes et 125 hommes) élues ville par ville et village par village, et cela par tirage au sort, dans le but de représenter incontournablement et éthiquement toi et les centaines de millions d’enfants-errants-fantomatiques qui souffrent de la même criminalité étatique banalisée que toi.

Dans ce doctorat, PAR UNE MÉTHODOLOGIE DES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU CŒUR (ier chapirre), le premier à te demander pardon sera moi, Pierrot vagabond (2eme chapitre le rêve big bang), puis mon ami et partenaire de recherche Michel le concierge (3eme chapitre la non-tricherie), pour enfin laisser la parole à sa compagne œuvre d’art, Marlene la jardinière (4eme chapitre, ses jardins coups-de-coeur œuvre d’art).
Pourquoi nos trois archétypes hologrammiques veulent-ils tour à tour te demander pardon? Parce que notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) veut parler au cœur de l’humanité (5eme chapitre) et non à sa raison. Par le biais d’une CHANSON – MANIFESTE, nous affirmons que l’invention de la nano-citoyenneté-planétaire doit s’accompagner d’un « JE TE DEMANDE PARDON » , en corollaire de la décision de ne plus tricher par chaque vie-personnelle-œuvre-d’art consacrée à l’ultime question :
COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE? (4eme et dernier chapitre).

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JE TE DEMANDE PARDON

COUPLET 1

S’il m’arrive de parler au travers de mon chapeau
S’il m’arrive de prendre trop de place trop souvent
Si je m’approprie sans te voir l’espace de ta vie
Si je préoccupe ton âme en secret dans la nuit… Je te demande pardon…
Je te demande pardon…
COUPLET 2

Si je vagabonde céleste tout autour de la planète
Si je suis parti sans avis au détour de nos vies
Si je t’ai volé ton rêve, déserté, laissé meurtri,
Si j’en ai trop fait, trop dit, ou pas assez dans ta vie
Je te demande pardon…
Je te demande pardon…
COUPLET 3
Si je n’ai pas compris la beauté du monde d’ici
Si je n’ai pas admis qu’il y a la vie après la vie
Si je suis révolté parce que je suis enchaîné
Si je ne peux te rassurer quand je suis déchaîné
Je te demande pardon…
Je te demande pardon…
COUPLET 4
Et si je le savais tout ce temps que je te volais…
Et si je le savais tout ce temps que toi tu m’aimais…
Je n’ai pas d’âme pas de cœur aujourd’hui je le dis…
Je veux changer de vie et d’amour te dire merci
Je te demande pardon…
Je te demande pardon….
Chanson-manifeste de la nano-citoyenneté-planétaire
Michel le concierge
INTRODUCTION DU DOCTORAT
(VIDEO DE MICHEL LE CONCIERGE ET PIERROT VAGABOND)

COMMENTAIRE DE RAYMOND-LOUIS LAQUERRE FACE AU CHANGEMENT DE TITRE DE NOTRE DOCTORAT (DE LA NON-TRICHERIE À WOW-T=2.7K?: LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE) , PAR LE TITRE DE LA CHANSON DE MICHEL LE CONCIERGE… JE TE DEMANDE PARDON… OU UNE MÉTHODOLOGIE DES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU COEUR… PIERROT VAGABOND-CHERCHEUR ET MICHEL LE CONCIERGE FILMÉS PAR MARLENE LA JARDINIÈRE) CONSÉQUENCE TOUTE EN SYNCHRONI-VIE-TÉ DE SON REMARQUABLE SPECTACLE POUR CÉLÉBRER LE 50-EME ANNIVERSAIRE DE SON CENTRE DE LECTURE RAPIDE (JE TE DEMANDE PARDON)

JUNE 19, 2019
À
Pierre Rochette, Michel Woodard
Aujourd’hui à 13 h 15

Bonjour Pierrot le vagabond,
Bonjour Michel le concierge
Cela ne me surprend par de ce qui est arrivé comme impact avec la merveilleuse chanson de Michel.
Ce n’est pas le fruit du hasard si parmi tout le répertoire des chansons de Michel, j’ai sélectionné « Je te demande pardon ».
Si tu te rappelles bien, au tout début du spectacle j’ai lu le texte de Ramtha intitulé : La joie, l’état d’Être suprême ».
Les chansons « La beauté du monde » et « Je te demande pardon » ont entré en résonance avec le texte initial sur la joie.
J’ai donc atteint l’objectif que je m’étais fixé : celui de mettre un fond spirituel où les gens vont ressentir une joie profonde et non seulement des émotions de surface.
Je me réjouis que ce spectacle et particulièrement la prestation de Michel vont ont permis d’orienter votre doctorat différemment et pour le mieux…
Bonne continuation dans votre projet tout à fait original, passionnant et d’une portée universelle.
Raymond-Louis
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réponse de Pierrot
Tu sais, Raymond-Louis… monter sur scène fut toujours difficile dans ma carrière parce que je voyais les visages des gens dans la salle et que j’étais trop sensible pour ne pas souffrir avec ceux ou celles qui étaient en détresse profonde (deuil, maladie, dépendance etc…)
Mais quand tu m’as demandé : Pierrot, peux-tu m’aider à réaliser mon rêve ? je me suis senti convoqué à plus grand que moi malgré mes flashs la nuit qui m’assaillent encore sous forme de cauchemar.
Mais, jusqu’à la dernière minute…je me suis senti surtout aspiré par la très belle chanson de Michel le concierge et je voulais voir des coulisses le visage des gens quand Michel chanterait « je te demande pardon »
Tous les matins, à notre conseil d’administration de la créativité, j’assiste à la très grande humanité de cet homme qui chante la condition humaine si humblement et surtout à la dévotion au quotidien qu’il porte à Marlene, sa compagne, son amour œuvre d’art.
A ta soirée, j’ai d’abord chanté a capella LA BEAUTÉ DU MONDE avec ma feuille dans ma main… puis je suis resté dans les coulisses. Et là j’ai vu l’effet Michel Woodard, le même qu’il avait au café St-Vincent il y a presque 50 ans quand je le regardais chanter dans la salle.
« JE TE DEMANDE PARDON » , je savais, comme toi d’ailleurs, que c’était un hymne humaniste à la condition humaine… mais ce soir-là… grâce à toi, j’ai vu clairement pendant que Michel chantait que le public qui l’applaudissait venait de signer le titre de notre doctorat…Un homme est venu me voir pour me dire que la chanson de Michel lui faisait devoir de demander pardon à sa femme…
Ce matin, j’ai dis Mike : TU VIENS DE SIGNER LE MANIFESTE DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE.
Merci Raymond-Louis
tu as vu 2 coups d’avance
Pierrot vagabond
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«TOUTE PERSONNE QUI APPELLE ET PROCLAME LA GUERRE DOIT OBLIGATOIREMENT ÊTRE LE IER EN AVANT AVEC SA FAMILLE».
Et Michel le concierge de poursuivre au travers de mes rires gargantuesques (Pierrot) :

«MERCI POUR TA DISPONIBILITÉ… VOICI MAINTENANT TOUTES TES MÉDAILLES AU CAS QU’ON NE TE REVOIE PAS».
Michel le concierge, le carnet du concierge.
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VICTOR DUARTE…. «MONSIEUR TROP C’EST PAS ASSEZ» UN HOMME D’EXCEPTION CONCIERGE DE LA BEAUTÉ DU MONDE À L’UQAM À LA GRANDEUR DE « LA CHANSON DU CAMIONNEUR » ET LE CHAMP CONSTELLAIRE D’UNE VRAIE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART…. LA MIENNE D’ABORD… CELLE DE GEORGE D’OR ENSUITE AVEC SA CHANSON LA MANIC ET CE JEUNE CAMIONNEUR RENCONTRÉ DANS DES CONDITIONS DE SYNCHRONI-VIE-TÉS IMPOSSIBLES… ET SURTOUT MARLENE ET MICHEL QUI AYANT SAUVÉ LA VIE À UN VAGABOND DORMANT DEHORS EN PLEIN MOIS DE DÉCEMBRE 2007 ONT PERMIS AUTOUR DE LEUR TABLE À GRANDES ILES QUE CET HYMNE À LA BEAUTÉ DU MONDE PAR UN RÊVE BIG BANG PUISSE TROUVER UNE FORME DE LARMES DE JOIE, UNE FORME DES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU COEUR QUI ENCORE AUJOURD’HUI ME BOULEVERSENT AU PLUS PROFOND DE MA FRAGILITÉ DE CHERCHEUR

Comme l’été a passé vite….. J’AIMERAIS SALUER VICTOR DUARTE, UN HOMME D’EXCEPTION QUI PREND SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE COMME CONCIERGE À L’UQAM…. quand il me demande comment ça va? Je lui répond TROP, TROP… et il en rajoute en disant: TROP C’EST PAS ASSEZ…. Comme il a raison… Trop ce ne sera jamais assez cher Victor….

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Les débris de ma mémoire multiverselle du cœur transpercent mon champ constellaire de vie personnelle œuvre d’art avec tellement de «cela est» au sens de propédeutique à des brosses d’être et attaques d’être incroyablement intrikhantes….

On dirait des ÉVÉNEMENTS FRACTAUX , dansant la beauté du monde sous des transmages des plus en plus fragiles dans un moi-même heureux de vieillir entour autant d’amitiés…..

La chanson du camionneur, c’est aussi ce jeune camionneur que je n’ai jamais revu… et qui n’avait pas les mots pour dire je t’aime à sa femme…. je me sens un peu coupable d’avoir volé l’image de la cuisine et du comptoir à mélamine de sa bouche…… j’ai tellement travaillé mon jeu de guitare pour orfêvrer un style unique afin d’accueillir un bouquet de fleurs abceptuel pour les je t’aime à chanter à sa femme…

De ne pouvoir écrire la chanson de mes rêves me rendait furieux intérieurement….

Je me rappelle… j’ai même marché jusqu’à la Manic… pour hurler à George D’or mon désespoir de ne pas être capable d’écrire une chanson à la grandeur de LA MANIC….

HOMMAGE À GEORGE D’OR

REFRAIN 1

je vagabondais
la route de Bécomeau au Labrador
en pleine nuit
je tombe sur la Manic
de George D’Or

c’t’impressionnant
c’que l’Québec a fait avec du ciment

plus qu’un barrage
l’âme d’un peuple comme monument
sur la rivière Manicouagan

REFRAIN 2

j’vagabondais
la route de Bécomeau au Labrador
en pleine nuit
j’tombe sur la Manic
de George d’Or

dans la forêt
j’ai fait un feu, j’ai sorti ma guitare

j’me suis juré
qu’un jour j’écrirais un trésor
pour rendre hommage à George d’Or

REFRAIN 3

j’vagabondais
la route de Bécomeau au Labrador
en pleine nuit
je tombe sur la Manic de George d’Or

que mon trésor
se rende à lui plus loin plus loin
qu’la mort

comme le rêve des gars
qui ont bati c’pays-là
par ma guitare et ma voix
redescendent en chantant
la rivière Manicouagan

Pierrot
vagabond céleste

Puis je suis monté à la Baie James par la même route… affamé, en écrivant chanson sur chanson… toutes plus signées d’une condition humaine plus précaire d’une chanson à l’autre… J’aurais préféré mourir plutôt que de demander à mange ou à dormir…. et j,ai bien failli mourir de froid … de panique devant des animaux sauvages la nuit…

Sur le chemin du retour de la Baie James, j’ai écrit la chanson de Cassandre… une vraie histoire… comme toutes me chansons… un débris de la mémoire du cœur qui fait que je ne peux chanter aucune de mes chansons aujourd’hui sans vivre de grands vertiges existentiaux de la beauté du monde d’un rêve big bang multiversel.

CASSANDRE

COUPLET 1

nous fumes nomades Cassandre
nous fumes nomades Cassandre

hier j’ai dormi
dans la forêt du labrador
j’ai fais un feu
mais j’avais froid
sans toi dehors

nous fumes nomades Cassandre
Nous fumes nomades Cassandre

hier on m’avait
donne deux sandwichs au poulet
j’aurais aimé les partager
tu me manquais

REFRAIN

tes 19 ans Cassandre

c’etait la vie
avant l’barrage de Manic 5

c’etait l’mont Wright Cassandre
avant l’enfer
d’la mine de fer
en plein hiver

c’était surtout
la jeune femelle caribou
et le vieux mâle encore debout

c’etait surtout
la jeune femelle caribou
et le vieux mâle
vagabond fou

COUPLET 2

vieux mâle au doux regard
celui d’monsieur Bernard

qui s’est battu
pour sauver son chalet du feu
avec son fils
4 nuits sans fermer les yeux

c’est fascinant à voir
un bout d’forêt toute noire

y a des souvenirs de jeune femme
qui s’enflamment au fond de soi
se consumant tout comme
un ancien feu de joie

COUPLET 3

debout je marche la vie
debout je prie la vie

pour que la riviêre de tes rêves
soit aussi belle
que la petite Manicouagan

devant laquelle j’écris
la tendresse de mes cris

parce qu’une nuit
t’as pris l’bateau
qui t’a conduite
de Bécomo à Rimouski

Pierrot

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J’ai passé l’été à travailler comme un fou sur la méthodologie de la mémoire du cœur de notre doctorat ( Auld, Woodard, Rochette)… sans jamais rater une journée d’ascétisme, d’anonymat et de discipline intellectuelle…

Pendant ce temps… mon ami le grand conteur international Simon Gauthier parcourait le Québec avec une série de représentations de son récit philosophique: Le vagabond céleste….

L’été achève… mes amis chercheurs Marlene la jardinière et Michel le concierge sont revenus de leurs trois semaines de vacance…. Leur amour oeuvre d’art me rend si heureux…. J’ai hâte que ses deux chansons «je te demande pardon» et «lâche-moé pas» connaissant le succès …. je sais qu’un jour…. la vie offrira à Michel le cadeau wow-t=2.7k? symbole même de sa non-tricherie au quotidien….

LA MATIÈRE NOIRE, PLUS ANCIENNE QUE LE BIG BANG?

Alain Labelle
2019-08-16 | Mis à jour hier à 4 h 15

Une nouvelle théorie selon laquelle la matière noire serait apparue avant le big bang formateur de l’Univers est avancée par des astrophysiciens américains, qui pensent aussi avoir trouvé une façon de la détecter.

La matière noire, qui composerait environ le quart de l’Univers, est certainement l’un des mystères les plus insaisissables de la physique.

L’Univers décomposé

À ce jour, l’humanité n’a observé qu’une infime partie de l’Univers : la matière visible (ou ordinaire). Celle-ci comprend les gaz et les éléments plus lourds, comme le fer, qui constituent les objets célestes tels que les étoiles et les planètes. Elle ne représente pourtant que 5 % de la composition de l’Univers.

Il existerait une autre forme de matière, selon la vaste majorité des astrophysiciens, qui formerait une toile cosmique entre les objets célestes, grands et petits.

Si plusieurs indices observationnels tendent aujourd’hui à conforter son existence, cette matière noire, dont l’influence gravitationnelle mènerait aussi à la formation des grandes structures de l’Univers, reste à observer. Elle composerait 27 % de l’Univers.

Puisqu’aucune des propriétés prédites dans les modèles n’a encore été mesurée, certains scientifiques préfèrent la décrire comme une masse manquante dont l’abondance et la répartition restent à déterminer.

Le saviez-vous?

Il existerait aussi de l’énergie noire dans l’Univers.

Encore une fois, il s’agit d’une théorie puisque celle-ci n’a toujours pas été observée. Elle constituerait un peu moins de 70 % de l’Univers, et elle expliquerait diverses observations astrophysiques, notamment l’accélération de l’expansion de l’Univers.

Repenser le big bang

L’astrophysicien Tommi Tenkanen et ses collègues de l’Université Johns Hopkins ont créé un nouveau modèle mathématique qui laisse à penser que la matière noire serait apparue en quelques fractions de seconde, juste avant le big bang, au moment de l’inflation cosmique durant laquelle l’espace commençait sa rapide expansion.

Cette théorie va à l’encontre de celle généralement admise selon laquelle cette inflation se serait produite quelques secondes après le big bang.

Nos travaux révèlent un nouveau lien entre la physique des particules et l’astronomie.
Tommi Tenkanen

Si la matière noire se compose de particules inconnues nées avant le big bang, celles-ci influencent certainement la façon dont les galaxies sont réparties dans l’espace d’une manière unique. Ce lien peut être utilisé pour révéler leur identité et tirer des conclusions sur l’époque qui a précédé le big bang, explique le scientifique.

À l’heure actuelle, les astronomes estiment que les effets de gravitation de la matière noire façonnent les déplacements et la distribution de la matière visible dans l’espace.

Depuis bon nombre d’années, donc, les astrophysiciens pensaient que la matière noire était une substance résiduelle du big bang, malgré le fait que toutes les recherches expérimentales pour le montrer aient échoué.

Si la matière noire était vraiment un vestige du big bang, les chercheurs auraient dû en détecter des signaux directs dans différentes expériences de physique des particules.
Tommi Tenkanen

La matière noire aurait ainsi été présente avant le reste de la matière contenue dans l’Univers naissant.
L’inflation cosmique aurait conduit à la production abondante d’un nouveau type de particules appelées SCALAIRES. Jusqu’à présent, une seule particule de ce type a été découverte, le boson de Higgs. Ces particules possèdent un spin nul. En physique quantique, le spin est l’une des propriétés des particules, telles que la masse et la charge électrique.

Nous ne savons pas ce qu’est la matière noire, mais si elle a quelque chose à voir avec des particules scalaires, elle pourrait être plus vieille que le big bang.
Tommi Tenkanen

Avec notre scénario mathématique, nous n’avons pas à supposer de nouveaux types d’interactions entre la matière visible et la matière sombre au-delà de la gravité, dont nous connaissons déjà l’existence, explique Tommi Tenkanen.

Un concept déjà connu

Si l’idée selon laquelle la matière noire existait avant le big bang n’est pas nouvelle, personne n’avait été en mesure de réaliser des calculs qui appuient cette idée.
Les chercheurs ont toujours négligé le scénario mathématique le plus simple possible pour les origines de la matière noire.
Tommi Tenkanen

Ces travaux suggèrent également un moyen de découvrir l’origine de la matière noire en observant les signatures de la présence de la matière noire dans la distribution de la matière de l’Univers.

Bientôt des réponses

Toutes ces questions pourraient trouver des réponses à l’horizon 2022 avec la mise en orbite du télescope spatial Euclide par l’Agence spatiale européenne.

L’INVENTION D’UNE MÉTAPHYSIQUE DU DASEIN MULTIVERSEL PAR L’ONTI-KHA-TION DE TOUTE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART SOUS LA MISE EN CHAMP CONSTELLAIRE DE SA NON-TRICHERIE MÉTAMORPHOSÉE EN RÊVE BIG BANG …. DE LÀ L’IMPLOSION DES CONCEPTS HEIDEGGÉRIENS (L’ONTO-MÉTAPHYSIQUE, L’ONTOLOGIE FONDAMENTALE, L’ONTOLOGIE DU DASEIN ET L’ONTIQUE DE L’OUBLI DE L’OUBLI DE L’ÊTRE) PAR LES BROSSES D’ÊTRE ET LES ATTAQUES D’ÊTRE DE L’ÉTANTÉITÉ SOUS SES FORMES ABCEPTUELLES ET ACOSMIQUES…. DANS UN FLOTTEMENT SYMPHONIQUE D’UNE INFINITÉ D’INFINITÉS DE RÊVES BIG BANG MULTIVERSIELS

à suivre…

Pierrot vagabond

POUR MOI, PIERROT VAGABOND CÉLESTE, SE SCULPTER PAR UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART, C’EST À LA FOIS CRYPTER LE MULTIVERS DU FIL D’OR DES DÉBRIS DE SA MÉMOIRE DU COEUR TOUT EN RECEVANT LA VISITE DE LA BEAUTÉ DU MONDE SOUS FORME DE BROSSES D’ÊTRE ET ATTAQUES D’ÊTRE, FRÉMISSEMENT ONTOLOGIQUE MÊME DU MULTIVERS DANS SA DANSE AU COEUR DU CHAMP CONSTELLAIRE DU NON-TRICHEUR OU DE LA NON-TRICHEUSE , ET CELA PAR LES INFINIS DES INFINIS DES RÊVES BIG-BANG A-COSMIQUES… UNE SYMPHONIE ÉNIGMATIQUE RÉSULTANT D’UNE LIBERTÉ ONTI=KHA-TIVE PARTAGÉE

à suivre…

Pierrot vagabond

QU’EST-CE QU’ON ONTI-KHA-TI-KHA-TI-CIEN?… C’EST FONDAMENTALEMENT UN NANO-PHILOSOPHE-PLANÉTAIRE QUI S’INTÉRESSE À L’ÉTANTITÉ DES ÉTANTS SOUS LE PARADIGME D’UN RÊVE BIG-BANG MULTIVERSEL AVEC SES FLOTTEMENTS ISSUS DU POINT D’INTERROGATION ” OREILLE DU POINT D’EXCLAMATION, AUTANT EN ONTIQUE (ÉTONNEMENT SCIENTIFIQUE), ON ONTOLOGIE FONDAMENTALE ( ÉTONNEMENT DE LA QUESTION DE L’ÊTRE HORS DE LA MÉTAPHYSIQUE ET DE L’ONTO-THÉOLOGIE ( LA QUESTION DES CAUSES PREMIÈRES ET DES FINS RÉSOLUES AUTANTPAR LES MYTHOLOGIES, LES RELIGIONS ET LES PHILOSOPHIES CARTÉSIENNES (DESCARTES, LEIBNIZ, SPINOZA)…. eN CE SENS ET EN CE SENS SEULEMENT L’ONTI-KHA-TI-KHA-TICIEN MULTIVERSEL CHERCHE PAR L’ÉTANTITÉ DE TOUT RÊVEUR LA CLÉ MÊME DU RÊVE COMME MATRICE MULTIVERSELLE…

à suivre…

Pierrot vagabond

UN GRAND CADRE DES JARDINS DE MARLENE DANS LE SALON DU BUNKER DE LA CRÉATIVITÉ … QUI PORTERAIT LE TITRE SUIVANT…… LES JARDINS CONSTELLAIRES DU RÊVE BIG BANG DE MARLENE LA JARDINIÈRE……

POUR NOTRE SHOW-CASE… UN GRAND CADRE SUR LES JARDINS DE MARLENE DANS LE SALON QUI PORTERAIT LE TITRE SUIVANT: LES JARDINS CONSTELLAIRES D’UN RÊVE BIG-BANG…….. CE QUI COMPLÈTERAIT À MERVEILLE NOS 3 AUTRES CADRES… 1) WOW-T=2.7K?….. 2) LE MULTIVERS….3) LA CHANSON JE TE DEMANDE PARDON DE MON AMI ET PARTENAIRE DE RECHERCHE MICHEL LE CONCIERGE………

Pierrot le Vagabond Chercheur

Le QUATRIÈME ARTÉFACT CONSTRUCTIVISTE de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) HOLOGRAMMISANT notre bunker de l’amitié pourrait bien être un immense cadre éclairé sur le mur du salon des jardins de Marlene dont le titre serait :
LES JARDINS CONSTELLAIRES D’UN RÊVE BIG-BANG …car le plus extraordinaire de ce que je connais de Marlene depuis 12 ans , c’est qu’elle a toujours eu accès aux qualias de ses jardins comme conséquence de sa non-tricherie au quotidien… tout y était dès le début… car quand elle a commencé son œuvre… tout était à faire… et tout y est encore avant même que ses premières tulipes n’y soient écloses… Marlene a appris la non-tricherie et la beauté du monde par sa mère et son père…

Marlene, dont le père était droit comme une barre et qui travaillait dans une mine pendant que la mère de Marlene était directrice d’école primaire, quand il allait jouer au golf le dimanche il appréciait les qwalias du gazon par la beauté du monde même de sa non-tricherie au quotidien…

VIVE NOTRE BUNKER DE L’AMITIÉ