UN GRAND CADRE DE MARLENE DANS SES JARDINS À GRANDES-ÎLES POUR LE SHOW-CASE (SUR LE MUR DU SALON) QUI PORTERAIT LE TITRE SUIVANT: « LES JARDINS CONSTELLAIRES D’UN RÊVE BIG-BANG » EN ARC-EN-CIEL AVEC UN CADRE ILLUSTRANT LE TEXTE DE LA CHANSON «JE TE DEMANDE PARDON» DE MICHEL LE CONCIERGE, LES DEUX CADRES AVEC 2 X ROUGES, COMME SIGNES CODÉS DE LA NON-TRICHERIE AUX QUATRE COINS

Pierrot le Vagabond Chercheur

Le QUATRIÈME ARTÉFACT CONSTRUCTIVISTE de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) HOLOGRAMMISANT notre bunker de l’amitié pourrait bien être un immense cadre éclairé sur le mur du salon des jardins de Marlene dont le titre serait :
LES JARDINS CONSTELLAIRES D’UN RÊVE BIG-BANG …car le plus extraordinaire de ce que je connais de Marlene depuis 12 ans , c’est qu’elle a toujours eu accès aux qualias de ses jardins comme conséquence de sa non-tricherie au quotidien… tout y était dès le début… car quand elle a commencé son œuvre… tout était à faire… et tout y est encore avant même que ses premières tulipes n’y soient écloses… Marlene a appris la non-tricherie et la beauté du monde par sa mère et son père…

Marlene, dont le père était droit comme une barre et qui travaillait dans une mine pendant que la mère de Marlene était directrice d’école primaire, quand il allait jouer au golf le dimanche il appréciait les qwalias du gazon par la beauté du monde même de sa non-tricherie au quotidien…

VIVE NOTRE BUNKER DE L’AMITIÉ

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