Dans l’esprit des lois, Montesquieu utilise une méthode proto-sociologique pour faire surgir une question de recherche éblouissante de nouveauté que l’on pourrait résumer en ces mots:

QUE FAUT-IL INVENTER COMME MÉCANISME UNIVERSEL POUR QUE N’IMPORTE QUELLE SORTE DE GOUVERNEMENT SUR TERRE PUISSE SE VIVRE SOUS LA FORME D’UNE VALEUR AJOUTÉE?

Il en est résulté le paradigme de LA SÉPARATION DES POUVOIRS… entre le législatif, l’exécutif et le judiciaire.

ANALOGIQUEMENT…

Notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) utilise une méthode nano-poïétique (UN BLOG) pour faire surgir une question de recherche nano-éblouissante de nouveauté que l’on pourrait résumer en ces mots:

AU 21EME SIÈCLE, QUE FAUT-IL INVENTER COMME MÉCANISME UNIVERSEL POUR QUE L’HUMANITÉ VIVANT SUR CETTE TERRE PUISSE SE VIVRE SOUS LA FORME D’UNE VALEUR AJOUTÉE?

Il en résulte L’INVENTION d’un paradigme…. d’une NOUVELLE SÉPARATION DES POUVOIRS entre l’état de nature (législatif, exécutif et judiciaire) et le nano-citoyen(ne)-planétaire (éthique-esthétique) dont l’assemblée des 125 justes élus par tirage au sort (un vote une ville, un vote un village) sera constructivement architecturée en contraste et dialogue avec toute constellation étatique de quelque nature que ce soit (ex: ONU…Unesco…).

Les grands enjeux planétaires ne peuvent être responsabilisés que par un nouveau mécanisme de gouvernance suivi d’une assemblée délibérative….. auquel les états-voyoux auront à rendre des compte et dont les dirigeants pourront être imputables en fonction de leur action judiciarisée à titre de personne humaine membre de l’humanité souffrante.

Il est temps que le flux temporel des crimes étatiques sur terre cesse d’échapper au regard conceptualisé d’une nano-citoyenneté-planétaire en marche vers une nano-modernité responsable.

Des millions d’êtres infra-humains hurlent leur droit à la dignité abstraite de toute personne humaine sur terre, droit à manger, se loger, droit à l’éducation et à la justice comme équité.

Une nano-révolution épistémologique passera par le droit citoyen planétaire comme équité.

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Michel le concierge

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Marlene SA. jardinière du pays œuvre d’art
Michel W. philosophe-cinéaste-concierge du pays œuvre d’art
Pierrot vagabond

Ce matin, 6h.30 am, mon partenaire de recherche, le philosophe-cinéaste-concierge Michel Woodard a lu le blog de la veille. Et soudain il est tombé sur l’expression conceptuelle «L’ÉDIFICE DE LA LIBERTÉ» et lui de me dire.. «Quelle belle expression»… Et moi de lui dire… en effet, elle a été inventée par le philosophe-chercheur Richard Jacob Pierre et se retrouve au cœur du résumé de sa maîtrise en philosophie (sur Spinoza) disponible gratuitement sur internet… dont voici le texte

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Résumé(s)

Chez Spinoza, la politique se construit essentiellement sur les bases de l’ÉDIFICE DE LA LIBERTÉ. En effet, la liberté se vit sous une forme institutionnelle, c’est-à-dire comme le dit Alain Billecoq, «à travers des lois qui garantissent sa stabilité et sa pérennité» (Billecoq, p. 132). Cela devrait donc exclure normalement toute éventualité de conflit entre les pouvoirs politiques et la liberté des individus. D’autant que l’État puise son fondement dans les droits et libertés qu’il se doit de garantir à ses citoyens. Autrement dit, on devrait supposer qu’il y a une certaine adéquation du pouvoir de l’État et de la liberté des individus. Or, ce n’est pas toujours le cas. Car de l’avis de certains, liberté et pouvoir de commandement ne sont pas tout à fait compatibles. Comment donc rendre possible une cohabitation de l’État comme organe de contrainte et de régulation, et de la liberté des individus, qui semble pourtant nécessaire? En passant par sa conception du droit naturel, de l’état de nature et de l’État, il sera démontré au terme de notre démarche que ce qui permet chez Spinoza la résolution de cette tension entre le pouvoir de l’État et la liberté des individus n’est rien d’autre que la démocratie.

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On peut lire ce mémoire sur…

papyrus.bib.umontreal.ca
l’idée de liberté politique chez Spinoza

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Michel le concierge

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Marlene A. jardinière du pays œuvre d’art
Michel w. philosophe-cinéaste-concierge du pays oeuvre d’art
Pierrot vagabond

Quand ce jeune chercheur haïtien se présente à ma table de la blbliothèque de l’UQAM pour me raconter la suite de son aventure intellectuelle, c’est comme si j’assistais à une partie finale de la coupe Stanley. Il est si passionné de sa problématique et si constructiviste de l’avenir de son pays Haïti.

Le plus génial, c’est que nous travaillons sur le même champ d’exploration, mais à partir de deux axiomes différents.

Pour Richard la gouvernance et la démocratie délibérative sont consubstantuels, pour notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) il n’y a pas de démocratie délibérative sans une invention géniale servant à améliorer les mécanismes de la gouvernance (Montesquieu/Rawls).

J’apprécie tellement la complémentarité de recherche intellectuelle que ce jeune chercheur m’offre, en espérant que Richard ait raison dans tous les dossiers où nous réfléchissons en commun. Je suis privilégié. Je ne connais pas sa directrice de doctorat Ryoa Chung, mais mon intuition est que Richard est entre bonnes mains.

Tel que suggéré par Richard, Je vais m’empresser de lire John Dryzek (dont le sujet est la démocratie délibérative, la gouvernance surtout mondiale)…. Pierre Calamé (la démocratie en miettes) et Jacques Rancière (la haine de la démocratie). Je ne connais pas Dominique Leydet non plus. Et je vais m’empresser de lire la maîtrise sur Spinoza de Richard Jacob Pierre, disponible sur internet.

LE RESPECT DE LA PERSONNE, LE RESPECT DES FAITS… DANS LE RESPECT AUTHENTIQUE DE L’HUMANITÉ PAR LA BEAUTÉ DU MONDE ILLUMINANT L’ÉDIFICE DE LA LIBERTÉ SUR TERRE… Voilà ce qui nous unit en philosophie politique Richard Jacob Pierre et moi, je crois.

Au nom de notre équipe de recherche (une jardinière, un concierge et un vagabond)
Merci de passer à ma table de vieux chercheur…

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Michel le concierge

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Marlene A. jardinière du pays œuvre d’art
Michel W. Philosophe-cinéaste-concierge du pays œuvre d’art
Pierrot vagabond

«Un nano-citoyen, c’est quelqu’un qui se préoccupe de la beauté du monde.» dixit Michel le concierge.

J’aime quand Michel le philosophe-cinéaste-concierge s’exprime le matin… Il y a dans ses propos la fraîcheur inconditionnelle de la philosophie d’en bas, soucieuse de la condition humaine universelle.

Michel a à son actif trois documentaires: «le pays œuvre d’art?», «la pelle jaune» et Gisèle Proulx et Ti-Poux». Il travaille maintenant sur «Brother where is the money?» à partir d’une intuition toute simple: Qu’Est-ce que cela donnerait si je filmais trois cabanes à moineaux durant une heure sous différentes conditions climatiques et qu’en voix off hors champ, trois nano-citoyen(ne)s s’exprimaient sur la beauté du monde?

Tout en travaillant sur la constitution du pays œuvre d’art, pendant que le vagabond chercheur continue à lire au nom de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) et que Marlene la jardinière dessine par un jardin le jardin d’Eden de la légende originelle.

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Marlene A. jardinière du pays œuvre d’art
Michel W. philosophe=cinéaste-concierge du pays œuvre d’art
Pierrot vagabond

Il est essentiel de séparer l’invention de la gouvernance planétaire avec en second lieu le création d’une assemblée délibérative issue des 125 nano-citoyen (ne)s par tirage au sort provenant de chaque ville et village de la planète terre, grâce à une application utilisant le téléphone intelligent.

Les états de nature étant depuis leur création un champ des affrontements des forces sans aucune référence au droit, un nouvel interlocuteur nano-citoyen-planétaire ne pourra que posséder un poids éthique-politique innovateur, laissant loin derrière les intérêts cachés des grandes organisations internationales actuelles (ONU, UNESCO, FMI, etc…)

Il pourrait même arriver qu’une fois l’invention d’une gouvernance nano-planétaire, celle-ci incite l’assemblée délibérative à statufier que seuls les maires et mairesses de chaque ville et village de la planète pourront participer au tirage au sort, ayant déjà une formation à l’orchestration d’un agir communicatif potentiel à la Habermas.

Chose certaine, l’universalité des défis tel que décrite dans le livre Culture G de Jacques Bonniot de Ruisselet, p.372 (extrait) constitue un enjeu majeur et cela plus que jamais.

P.372, EXTRAIT

1: l’universalité des défis

Parmi les défis qui se trouvent, que nous le voulions ou non, devant nous, une part croissante revêt une dimension planétaire, et la réponse à ces défis n’a de sens QU’À L’ÉCHELLE DE L’HUMANITÉ. Ces défis nous acculent donc à rechercher une solution universelle, c’est-à-dire à nous mettre d’accord au sein de l’humanité. Pour mémoire, certains problèmes écologiques (le trou de la couche d’ozone, l’effet de serre, le contrôle de l’énergie nucléaire, les OGM, la grande pénurie d’eau compte tenu de la démographie mondiale), la question de l’éradication de la famine, les nouvelles épidémies (sida, maladie de Kreutzfeld-jacob), certaines questions de bioéthique: faut-il autoriser ou interdire le clonage humain (thérapeutique ou reproductif), peut-on déposer des brevets sur le génome humain ou faut-il le déclarer patrimoine de l’humanité?), etc.

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Pierrot vagabond

Ma maîtrise sur le rire m’a pris 14 ans de recherche passionnée à partir desquelles 18 ans de carrière de scène me servirent de laboratoire chaque soir avec mon partenaire exceptionnel du duo Rochette-Lamarre, Denis Lamarre.

. Le doctorat de notre équipe de recherche (Auld, woodard, Rochette) sur LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE risque maintenant de prendre une vingtaine d’années.

Mais il me suffit d’imaginer toutes ces vies humaines qu’une nouvelle séparation des pouvoirs entre les nano-citoyens-planétaires et les États-nature pourra protéger pour que j’augmente mes heures de lecture.

Ce projet de nano-philosophie politique en est un constructiviste RAWLIEN basé sur l’intelligence dialogétique entre la citoyenneté planétaire et l’architecture des états en logique d’intérêt personnel. Il est l’application pragmatique du voile d’ignorance de John Rwls à partir duquel pourra s’instituer une assemblée délibérative créative de droits et de dignité abstraite de la personne humaine et de ses enjeux environnementaux.

LA JUSTICE COMME ÉQUITÉ….. La terre est devenue trop petite sous l’ahurissant réseau de téléphones intelligents qui lui permettra une conscience citoyenne en dialogue éthique avec les consciences étatiques. Les villages-monde et les villes monde de la planète sont les flambeaux d’espérance d’une nano-modernité en marche. Et leurs citoyens et citoyennes en seront les chantres en quête de vies personnelles œuvre d’art.

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Jacques Bonniot de Ruisselet
culture G
p.318…extrait…

« Une citoyenneté planétaire n’offre aucun sens. La présenter comme horizon, c’est contribuer à discréditer une démocratie représentative nationale déjà mal en point. Il faut s’engager dans un élargissement du cadre de la démocratie représentative….»

p.320
extrait…
«La révolution technologique nous permet-elle de penser pour demain une universalité (de la communication… des échanges…) sans domination planétaire?

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COMMENTAIRE

Ces propos feront partie de la stratégie contre-argumentative à étayer dans le doctorat de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette)

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Quel magnifique prix….. j’espère qu’un jour notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) le remportera grâce à l’invention de la nano-citoyenneté-planétaire.

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L’UE remporte le prix Princesse des Asturies

Le Nobel du monde hispanique récompense son modèle unique d’intégration supranationale

22 juin 2017 |Agence France-Presse | Actualités culturelles

Le président du Conseil européen, Donald Tusk

Photo: Dominique Faget Agence France-Presse
Le président du Conseil européen, Donald Tusk

L’Union européenne a remporté mercredi le prix Princesse des Asturies de la Concorde, considéré comme le Nobel du monde hispanique, pour son « modèle unique d’intégration supranationale ».

« L’Union européenne a permis la plus longue période de paix de l’Europe moderne » et a diffusé dans le monde « des valeurs comme la liberté, les droits de l’homme et la solidarité », a souligné à Oviedo, capitale des Asturies dans le nord-ouest de l’Espagne, le président du jury Javier Fernandez.

« C’est un honneur de recevoir le prix Princesse des Asturies de la Concorde. Une reconnaissance de 60 ans de paix, de démocratie et de prospérité de l’UE », a déclaré sur Twitter Donald Tusk, le président du Conseil européen.

60 ans après Rome

Le prix est décerné l’année du soixantième anniversaire du Traité de Rome, qui posa les bases de ce qui allait devenir l’Union européenne, et cinq ans après l’attribution du prix Nobel de la paix à l’Union.

«C’est un honneur de recevoir le prix […] Une reconnaissance de 60 ans de paix, de démocratie et de prospérité de l’UE.»

Donald Tusk, président du Conseil européen

« Aujourd’hui, alors que l’UE traverse des moments de confusion, il est bon que nous reconnaissions ce qu’elle a fait pour reprendre des forces et apporter des réponses à l’avenir », a affirmé le ministre espagnol de la Culture, Iñigo Méndez de Vigo.

L’Union européenne est aujourd’hui plongée dans une crise multiple entre multiplication des attentats, crise économique, difficultés pour accueillir les réfugiés et sortie du Royaume-Uni, dans un contexte de montée de l’euroscepticisme.

La péninsule ibérique, Européenne convaincue

L’Espagne reste en revanche l’un des pays les plus europhiles de l’Union, soutenant la monnaie unique ou le populaire programme d’échange universitaire Erasmus, dont elle est la destination la plus prisée des étudiants.

Vingt-huit candidatures provenant de seize pays avaient été présentées dans cette catégorie des prix Princesse des Asturies, les plus prestigieux du monde hispanique.

Les lauréats de ces prix, qui récompensent des personnalités ou des institutions s’étant distinguées dans des domaines aussi divers que la recherche scientifique, les lettres ou le sport, sont récompensés par 50 000 euros et une sculpture de Joan Miró.

Le roi Felipe VI et la reine Letizia remettront en octobre les prix lors d’une cérémonie à Oviedo, siège de la Fondation Princesse des Asturies, qui doit son nom à l’héritière du trône, la princesse Leonor.

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Quel magnifique article du Devoir ce matin rapporté par Sarah R. Champagne… dont le titre est… MÉTROPOLIS… REVENDICATRICES ET PROVOCANTES, LES VILLES… HIDALGO À PARIS… CODERRE À MONTRÉAL: DES MAIRES EN QUÊTE DE POUVOIRS ET DE MOYENS.

Si Anne Hidalgo, Justin Trudeau et Denis Coderre savaient à quel point ils parlent de la nano-citoyenneté-planétaire qui un jour se fera par les villes et villages du monde entier, ils n’en reviendraient pas d’avoir été des visionnaires plus grands que nature par ces simples mots: « première ligne de front de la mondialisation, laboratoire de solutions, accélérateur de mutations».

Comme l’a dit si somptueusement Anne Hidalgo, mairesse de Paris, «au 21eme siècle, LES VILLES-MONDES SERONT UN CONTREPOIDS À LA LÉTHARGIE DES ETATS-NATIONS.»

La nano-modernité est en marche. A partir du magnifique livre «CULTURE G» de Jacques Bonniot de Ruisselet, notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) entreprendrons une sélection de différentes stratégies historiques pour entreprendre la rédaction du doctorat.

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Quelle fantastique configuration particulière que l’amitié comme fondement d’une équipe de recherche. Près de 10 années maintenant. La nano-citoyenneté-planétaire sera issue d’une jardinière, d’un concierge et d’un vagabond et de leur implication nano-citoyenne-planétaire.

Énoncer des idées à vocation universelle… ce fut notre passion à tous les trois et ce le sera passionnément jusqu’à notre mort.

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