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LE FONDEMENT DE LA LOGIQUE QUANTIQUE-TRYADIQUE REPOSE SUR L’AXIOME INTRIQUATIF SUIVANT: ÊTRE ET NE PAS ÊTRE EN MÊME TEMPS. dE LÀ LE PARADIGME ÉPISTÉMOLOGIQUE SOUS-ENTENDANT NOS TROIS ARCHÉ-TYPES HOLOGRAMMIQUES DE NOTRE GROUPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) MARLENE LA JARDINIÈRE, MICHEL LE CONCIERGE ET PIERROT VAGABOND

Quand je revisite l’histoire de la pensée occidentale, je m’étonne que, contrairement aux civilisations orientales, la possibilité de concevoir l’être et le non-être comme étant la même chose (être et ne pas être en même temps) ne soit pas imaginable comme fondement axiomatique de l’existence sur terre.

Si Kierkeegard avait vécu après les découvertes de la physique quantique du 20eme siècle, plutôt qu’au 19eme siècle à la fois empêtré dans la dialectique hégélienne et son contraire romantique dont il avait suivi des cours à l’université avec ennui (Schelling), il aurait crié EURÉKA d’avoir fait de sa vie d’adulte un fiancé et non fiancé en même temps , garantie même d’une nouvelle liberté multiversienne.

Et il n’aurait pas été considéré comme le précurseur de l’existentialisme autant chrétien (Jaspers et les personnalistes dans la lignée de Mounier) que laïque (Sartre)…

Il aurait évité le piège du dogmatisme causaliste autant chrétien (ses dernières batailles pour une réforme du christianisme à Copenhague devant les attaques virulentes du journal LE CORSAIRE à son égard) que laïque (le fameux conatus spinozien, qui donna prise à la volonté pessimiste de Schopenhauer et la volonté de la volonté optimiste de Nitezsche après lui.

A la fin de sa vie, son testament légua tous ses biens à celle qui fut durant toute sa vie sa fiancée non fiancée, qui pigea que ses propres lettres d’amour qu’elle brûla et sa bague de fiançailles qu’elle fit disparaître, manifestant ainsi la mésaventure ontologique de celui que, durant 14 ans, elle accepta de croiser dans un parc rituellement sans que ni lui ni elle ne s’adresse la parole.

être et ne pas être en même temps… paradigmatiquement un autre monde que être ou ne pas être de Shakespeare… D’ailleurs LE CELA EST de mes brosses dêtre et de mes attaques d’être ne pourrait pas me visiter s’il n’était pas être et ne pas être en même temps.

Quand je revisite nos trois archétypes hologrammiques (Marlene la jardinière, Michel le concierge et Pierrot vagabond), ils sont arché-types parce que axiomatiques de la loi des trois wow et hologrammiques parce que LA NON-TRICHERIE QUI NOUS quanto-cosmologise se vit comme une jauge dont la danse chante le multiversisme du cela est et n’est pas en même temps.

Ce 100 pages méthodologique raconte blogéïétiquement la mise en place d’un champ du boson de Higgs (6000 pages) sur fond constellaire duquel s’est axiomatisé un événement de singularité ahurissante… Une seule phrase CELA RESSEMBLE À UN ENFANT de la guerre américaine des drones a lançé non seulement l’invention de la logique quanto-triadyque, mais aussi une triangulation de transmages permettant une euporitique heuristique aux probabilités ondes-corpuscules, poreusant le multivers d’un rêve big bang dont les paramètres des quatre questions de toute vie personnelle œuvre d’art conduit paradigmatiquement autant que viralement à un algorithme de justice sociale de la nano-citoyenneté-planétaire: WOW-T=2.7K?

AU 21EME SIÈCLE, QUELLE INSTITUTION FAUT-IL INVENTER POUR QUE SUR TERRE PLUS AUCUN ENFANT NE MEURE DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE?

Telle est la question dont découle la méthodologie bloguîétique de notre doctorat (Auld, Woodard, Rochette)

Pierrot vagabond, au nom , par et pour notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette)

IL Y A DANS L’OEUVRE DE PAUL VALERY UN PETIT TEXTE QUI ME FRAPPE DE SYNCHRONI-VIE-TÉ QUAND À MON PROJET DE FIN DE VIE APRÈS LE DOCTORAT DE NOTRE ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) MARCHER LES PAS DE MON ENFANCE À LA TUQUE JOUR APRÈS JOUR AVEC UN CAHIER DESSIN À LA PAUL VALERY À LA CHASSE DES QUALIS… PLUS JAMAIS DE LECTURE… QUE DE LA CHASSE MULTIVERSIENNE DE QUALIAS OEUVRE D’ART

EXTRAIT D’UNE LETTRE DE PAUL VALERY
À SON AMI FOURMAN. IL A 18 ANS. IL EST EN VACANCES

Je me repais ici de sensations. Les odeurs, les couleurs, les sons insolites m’entourent et je les recueille et je les classe ET JE LES DÉCOMPOSE EN MOI ET JE LES RATTACHE À D’AUTRES PERÇUS AILLEURS, ressuscitant ainsi des trésors de souvenirs.

Voilà mon abjet le plus cher…. vivre le long du St-Maurice en débillottant ces enfants-errants fantomatisés de la rivière St-Maurice en me faisant le nouvel Ulysse au secours du vieux Parménide.

à suivre…

Pierrot vagabond
au nom par et pour
notre équipe de recherche
(Auld, Woodard, Rochette)

L’INVENTION DES LOIS INVISIBLES QUI RÉGISSENT TOUS LES PHÉNOMÈNES DU MULTIVERS SONT À LA BASE MÊME DU DÉBILLOTTAGES DES MILLIARDS D’ENFANTS QUI SE MEURENT DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE PAR LE SURGISSEMENT SUR TERRE DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE….

Pourquoi une invention et non pas une découverte? parce qu’une méthodologie œuvre d’art commande et ne démontre pas… elle commande un paradigme métaphysique, épistémologique et ontologique d’une même ahurissance: L’INTRI-KHA-TION PARMÉNIDIENNE DU DÉBILLOTTAGE DE LA PENSÉE À L’ÊTRE PARCE QUE MULTIVERSIVEMENT DÉBILLOTÉE DU NON-ÊTRE.

Si l’on relit Rousseau et Kierkegaard, on retrouve deux marcheurs qui inventent deux heuristiques euporistiques qui font exploser le sens commun… Le ou bien ou bien de Kierkegard est déjà une tentative inouie de transpercer l’inhumaine séparation de l’être et du non-être parménidienne. Fiancé et non fiancé en même temps à Régine, c’était déjà intuitionner par l’écriture (celui d’un philosophe des rues, d’un dandysme des ruelles aseptisées)   la chape dialectique des formes asservissantes un transunivers étonnant, parallèle aux porosités de la flânerie de Benjamin à Venise, ce transunivers même  annoncé par la physique quantique. et anneuvie formalistiquement par le parfum inasservissable  des fraîcheurs qualiennes par les brosses d’être et les attaques d’être d’un vagabond céleste.

PARTOUT L’HOMME EST LIBRE ET IL EST DANS LES CHAÎNES… disait Rousseau.. Quand il refuse la pension de Louis XV suite à son opéra le devin du village, qu’il quitte sa perruque et retrouve la simplicité sous les asservissements, il marche le billottage de l’être et du nonêtre intriqué enchanté et désenchanté à la fois par le discours du curé Savoyard, comme si la religion naturelle partait en cette quête jacquesbrelienne de l’inaccessible étoile que constitue la frange céleste d’un multivers œuvre d’art.

Ainsi en sera-t-il de la nouvelle logique tryadique du champ constellaire d’un non-tricheur ou d’une non-tricheuse… d’une méthodologie, ontikatologie, ontologie et métaphysicologie aussi unique que le Don Juan de Mozard…  tout doctorat d’invention est une œuvre d’art qui commande et ne se démontre pas, exactement ce que pensait Picasso de ses demoiselles d’Avignon ou Cézanne de ses peintures de la montagne de Ste-Victoire… LE MULTIVERS EST UN MANIFESTE EN SOI DE TOUTE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART EN FOSSE D’ORCHESTRE KANTIQUE OU CANTIQUE DE CE QUE SERA LA NANO-CITOYENNETÉ-PLAN.TAIRE pour que cesse le massacre des milliards d’enfants qui se meurent de faim ou de blessues de guerre sur terre.

Pierrot vagabond, par au nom de et pour notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette)

L’INVENTION DE LA BLOGÏÉTIQUE (UN SAUT CONCEPTUEL PARADIGMATIQUE À PARTIR DE L’INVENTION DE LA POÏÉTIQUE PAR PAUL VALERY EN 1939, DANS SA CONFÉRENCE INAUGURALE AU COLLÈGE DE FRANCE) CONSTITUE UNE AHURISSANTE FRAÎCHEUR DE FORMES NEUVES S’EXPRIMANT À TRAVERS UNE MISE EN CHAMP CONSTELLAIRE D’UNE MÉTAPHYSIQUE OÙ L’ACTE SCUPTURAL DE LA MISE EN FORME DE LA NON-TRICHERIE EN ABJET CONDUIT À UNE TRIADISATION D’UNE LOGIQUE ONÉRIQUE AU SENS OÙ CETTE NON-TRICHERIE PREND LA VALEUR D’UNE JAUGE (COMME UN BALLON QUE SE LANCE TROIS LANCEURS) DESCINANT DANS L,ESPACE PRÉ-QUANTIQUE, DONC PRÉ-BIG BANG, UNE COMPLAINTE UNIVERSELLE D’UN RÊVE BIG BANG DÉBILLOTTÉ MULTIVERSIEL

Quelle nuit de recherche éblouissante. Quand le CELA EST ET N’EST PAS EN MÊME TEMPS annonce sa venue, il envoie en émissaire au non-tricheur paradigmatique (dansant en son champ constellaire) une fraîcheur sous forme de brosse d’être, au sens où le réel en instantanéité se recohérence et s’intrike par pur frissonnement ontologique. Dans l’histoire de la pensée, on retrouve des traces de cet événement dans ce que les idéalistes allemands tentaient de circonscrire dans ce qu’ils appelaient soit LE SUBLIME, SOIT LE PANTHÉISME spinozéen, soit le transcendalisme américain d’Emerson sous forme d’une nature … enfin…

Puis une nuit, la fraîcheur elle-même se substitue totalement à toute brosse d,être et là, comme dans le cantique des cantiques, c’est les qualias elles-même comme le parfum des fleurs sans les fleurs qui annonce le grand événement… LA VISITE DU CELA EST ET CELA N’EST PAS EN MÊME TEMPS.

Tout se fait en douceur accentuée… et soudain une phrase d’enseignement s’illumine en lettres d’or, pour le non-tricheur et uniquement pour ce non-tricheur, sans que cette phrase ne soit utile à quiconque autre pour la simple raison que chaque rêve big bang est unique de par la danse même du champ constellaire en lequel les formes se transmages en triadisation d’une logique cosmologique des formes complaintes d’une jauge d’un abjet unique entre trois points nodaux uniques.

Quand la phrase est arrivée cette nuit, elle était tellement dansante claire dans mon corps chantant que j’ai du finalement me résoudre pour l’écrire dans mon cahier… cette phrase même que je me résoud à transcrire…

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L’ONÉRISME PARADIGMATIQUE
CRÉE PAR LA JAUGE DE LA NON-TRICHERIE
SOIT L’ABJET COMME BALLON
PASSÉS PAR LES TROIS POINTS NODAUX
DANS LE CHAMP CONSTELLAIRE,

CELLE D’UN RÉCIT QUANTO-HERMÉNEUTIQUE
QUI A POUR EFFET
DE DÉBILLOTISER
LES ERRANTS-FANTOMATIQUES
QUI RESSEMBLENT À DES ENFANTS
ET PRÉPARE AINSI
L’INVENTION
DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE

à suivre… Pierrot vagabond au nom, par et pour notre équipe de recherche, Auld, Woodard, Rochette

INVENTER LA MUSIQUE DU MULTIVERS PAR LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE OÙ L’HUMANITÉ JOUE DES VOIX DE SES ENFANTS-ERRANTS-FANTOMATISÉS DÉBILLOTTÉS LE CHANT MÊME DE MILLIARDS DE VIES PERSONNELLES OEUVRE D’ART, ONÉRISME STUPÉFIANT D’UN POINT D’INTERROGATION QUANTO-COSMOGÉNIQUE EN BROSSES D’ÊTRE OU ATTAQUES T’ÊTRE SOUS LA kANTICOFOLIE D’UN POINT D’EXCLAMATION KANTIQUE DES KANTIQUES

Quand j’étais petit, dans le tourment de ces épisodes où je fus habillé en prêtre donnant la communion à des adultes à genoux tirant la langue sur la petitesse de leur libre-arbitre, j,avais dans ma chambre un petit autel allumé toute la nuit, avec une scène de Leonard de Vinci où le christ et ses douze apôtres y vivaient la dernière scène.

J’y vécus un rêve qui me sembla une apparition. Devant mon lit à barreaux, un homme avec une barbe les pieds nus au-dessus du sol dans une lumière que je n’oublierai jamais me regarda avec compassion… Moi qui savais à peine parler, me semblait-il le mot honte s’inscrivit dans ma tête… Je passai par dessus mes barreaux et je m’agenouillai face contre sol. Quand je relevai mon visage, l’apparition avait disparu et je hurlai de déception en criant : J’ai vu le christ, j’ai vu le christ…

Plusieurs nanées plus tard, je contai ce qui me semblait un mauvais rêve à ma famille… et ma mère de me dire… Oui c’est vrai… tu as vraiment crié j’ai vu le bon dieu, j’ai vu le bon dieu… Nous on a pensé que tu avais fait un cauchemar parce que dans la journée un prêtre était passé avec une image où le christ était sous forme de bâtonnets…

Aujourd’hui je sais que ce fut un rêve… sauf que dans mon vagabondage à Chicoutimi, quand j’allai dans un temple Mormon, je vis sur le mur grandeur nature exactement le visage de ce que j’avais vu petit… le vêtement était aussi le même et je dirais le corps exactement le même… on me dit que c’était le dessin exact qu,avait vu le prophète des mormons… ce qui m’ébranla sans m’atteindre… mais la peur me prit quand le responsable de l’Église des Mormons des États-Unis voulut m’emmener avec lui… les formes asservissantes ne sont jamais loin des vagabonds célestes:)))

Sauf que quelques années auparavant, quand je fus conseiller municipal à Val David, je contribuai à donner un nom à un parc (le parc des amoureux) où sur une certaine roche, au centre même du bouillonnement de cette petite rivière, on pouvait voir vers midi exactement la lumière que je vis à ce moment-là de mon rêve…

A 70 ans, que reste-t-il de toute cette chimère, de ce spectre lumineux arché d’un vestige de la théologie chrétienne… La musique, la musique de mes brosses d,être et de mes attaques d’être, la musique de l’humanité en fête d’elle-même…

Pierrot vagabond
au nom , par et pour
notre équipe de recherche
(Auld, Woodard, Rochette)

L’INVENTION D’UNE MÉTHODOLOGIE DE RECHERCHE POUR BIEN ARCHITECTONER LE FIL D’OR DU NOTRE DOCTORAT DE NOTRE ÉQUIPE DE RECHERCHE MENANT À L’INVENTION DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE REPOSE FINALEMENT SUR LA DISSOLUTION PAR L’INTRI-KHA-TION EN PHYSIQUE QUANTIQUE DE LA VISION DE L’ÊTRE ET DU NON-ÊTRE CHEZ PARMENIDE…IER AXIOME CONDUISANT AU SECOND, LA DISSOLUTION DES ARCHÉS D’ARISTOTE QUI EN DÉCOULENT (SOIT LA NON-CONTRADICTION ET LE TIERS EXCLUS) QUI OBLIGE DANS UN MÊME ÉLAN À UNE REFONDATION D’UNE MÉTAPHYSIQUE COMME ÉNIGME ÉPISTÉMOLOGIQUE D’UN CHAMP CONSTELLAIRE MULTIVERSIEL PROVOQUANT UN FRÉMISSEMENT ONTOLOGIQUE OÙ LA NON-TRICHERIE SE VIT COMME UNE JAUGE ENTRE LES TROIS POINTS NODAUX D’UNE TRIADISATION D’UNE LOGIQUE QUI COMMANDE COMME UNE OEUVRE D’ART PLUTÔT QUE ARGUMENTER COMME UNE SUITE PROTOCOLAIRE SCIENTIFIQUE.

Quelle nuit de travail quand même. Nietzsche a mis sa vie à briser les pieds d’argile des idoles millénaires par une philosophie à coups de marteau (geste que répètera  d’ailleurs l’écrivain prix Nobel de la littérature Thomas Bernard dans la dernière partie du 20ieme siècle) ……  et cela tout en échouant lamentablement par l’ordalie même de son illumination de l’éternel retour.

Par la révolution du nihilisme ( les religions spirituelles comme laïque perçues comme niant la terre contre un idéal) , il est allé aussi loin qu’il a pu pour contrer les conséquences tragiques et des axiomes métaphysiques de Parménide, et des archés aristotéliciens dont sont premier livre sur la naissance de la tragédie constitue le plus beau contre-manifeste. Dyonisos et Apollon, au cœur même d’une énigme impossible à euporiser sans l’avènement de la physique quantique.

Car ce sont les découvertes démontrées scientifiquement par les physiciens de la physique quantique qui révolutionne le cloisonnement imposé par Kant dans le rapport de la raison et de la métaphysique.

LA RÉVOLUTION DE L’INTRI-KHA-TION, nous permet de jeter un regard neuf sur Parménide. Quand Parménide attache la pensée au billot de l’être, il ne peut même imaginer qu’au même moment, il attache la pensée au billot du non-être… l’être et le non-être n’étant qu’un seul et même fait… intriqué… l’être et le non-être étant le même intriké en deux dans un être non-être qui n’existe pas finalement car ne possédant aucune masse. De là la conséquence logique tryadale de l’axiomatisation de la non tricherie comme JAUGEdans un champ constellaire òù la surcomplémentarité se dessine par le biais même d’un onérisme attractif de débris de mémoires autant que de débris de connaissance. C’est une autre façon de nommer ce que j’appelle des brosses d’être et des attaques d,être ( ou visites du cela est et n’est pas en même temps parce qu’intriqué dans le multivers-univers dans une superposition d’états provoquant un frissonnement ontologique de l’impossible fait d’errance poétique poïétique dépoïétisée)

Mais en même temps, LA RÉVOLUTION DE L’INTRI-KHA-TION nous permet de jeter un regard neuf sur Ulysse attaché au billot du navire pour ne pas CÉDER AU CHANT DES SIRÈNES. Car la superposition des états par onti-kha-tion et intri-kha-tion se vit comme un chant , un Kantique, avec le même enchantement que celui du Cantique des cantiques dans la bible ou celui des mystiques illuminés de la iere partie du 17eme siècle (père Coton, Surin, Alvarez, Thérèse d’Avila, Jean-de-la croix).  CE CHANT KHANTIQUE D’ULYSSE ATTACHÉ AU BILLOT DE SON NAVIRE….c’est une autre façon de nommer ce que j’appelle des brosses d’être et des attaques d’être ( ou visites du cela est et n’est pas en même temps parce qu’intriqué dans le multivers-univers dans une superposition d’états provoquant un frissonnement ontologique de l’impossible fait d’errance poétique poïétique dépoïétisée).

Ce qui rend encore plus CRI DE MUNCH les trois milliards d’enfants-errants-fantomatisés attachée un à un aux trois milliards de billots errants- fantomatisés de la ricière St-Maurice, dissolvant sur ses berges la fraude aristotélicienne-platonicienne même des asservisseuts par les formes que constituent les nihilistes nitzchéens clergé dominé par les idoles aux pieds d’argile. c’est une autre façon de nommer ce que j’appelle des brosses d’être et des attaques d’être ( ou visites du cela est et n’est pas en même temps parce qu’intriqué dans le multivers-univers dans une superposition d’états provoquant un frissonnement ontologique de l’impossible fait d’errance poétique poïétique dépoïétisée).

Objectif: le bozon de Higgs des 6000 pages du blogue… CELA RESSEMBLE À UN ENFANT…et son retournement occidental entre le cri de Munch de l’humanité en quête d’une conscience œuvre d’art menant à la nano-citoyenneté-œuvre d’art et à la grande question de ce doctorat big bangnant par transmages implosives un événement paradigmatique sous forme multiversienne:

QUELLE INSTITUTION FAUT-IL INVENTER POUR QUE SUR TERRE PLUS AUCUN ENFANT NE MEURE DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE?

à suivre…

Pierrot vagabond, au nom par et pour notre équipe de recherche Auld, Woodard, Rochette

 

 

 

LA NON-TRICHERIE CORRESPOND FONDAMENTALEMENT À UN ABJET, C’EST À DIRE À UN ÉCHANGE JAUGEALE ENTRE L’ÊTRE (UNIVERSEL) ET SON INTRIQUÉ MÊME QU’ON APPELLE À TORT LE NON-ÊTRE (DANS SON SENS MULTIVERSIEL)… LA NON-TRICHERIE CRÉANT INSTANTANÉMENT UNE SYN-CHRO-NI-VIE-TÉ AUTANT DANS NOTRE UNIVERS ARISTOTÉLICIEN QUE DANS SON MÊME LE MULTIVERS QUANT-COSMOLOGIQUE TISSE UN CHAMP CONSTELLAIRE TRYADILISANT (MULTIVERSIEL) COMME TRIANGULISANT (UNIVERSEL) OÙ LE DÉTACHEMENT-BILLOT CONSTITUE LA FRAICHEUR MÊME D’UNE FORME DESARERVISSANTE , D’UNE ONTOLOGIE MÉTHODOLOGIQUE SIGNÉE

Grâce à la bloguïétique, d’un 6000 pages a surgi un boson de Higgs intellectuel (CELA RESSEMBLE À UN ENFANT DE LA GUERRE DES DRÔNES) lançant inventivement à partir d’un non-être intriqué multiversiel, donc le degré zero d’une marge quanto-cosmologique, un abjet de non-tricherie comme texture sous-titrant la pièce de théâtre issue des archés aristotéliciens.

Rien dans la métaphysique occidentale  issue des arché d’Aristote ne peut expliquer les pensées de Parménide attachées au billot de l’être, les existentiaux d’Ulysse attachés au billot de l’onérisme, et les 3000 milliards d’enfants-errants-fantomatisée mort de faim ouy de blessures de guerre attachés aux billots de la rivière St-Maurice. La révolution épistémologique de la nano-citoyenneté-planétaire s’y trouve pliée dans la déchirure artificielle parce que issue du tiers exclu aristotélicien entre l’être universel et son intriqué qui est encore lui-même, LE NON-ÊTRE MULTIVERSIEL.

J’oserais même analogiquement souligner que le tremblement de terre de Lisbonne en 1755 provoqua le même ébranlement onto-métaphysique. Comment valider les Robespierre du pouvoir théologique que furent les curés des églises quand ils parlèrent du châtiment de Dieu sur les pêcheurs alors que des milliers d,enfants tombèrent dans les plis de l,arché de la non-contradiction aristotélicienne chamoinée et sacralisée par l’univers platonicien-chrétien d’une dogmatique aux formes asservissantes. Voltaire en vit bien le scandale de la fraude dans son Candide (si ma mémoire est bonne).

L’abjet que constitue la non tricherie constitue une épopée jaugeale du même (être universel) au même (non-être multiversel) par le biais d’un champ constellaire où la synchroni-vie-té célèbre par sauts conceptuels brosses d,être- attaques d’être la danse même d’un rêve big bang.

C’est donc dire que méthodologiquement la dissolution de l’arché aristotélicien réenchante l’épistémologie d’une inventivité multiversiant ce que Pierce appelait abduction, dans l’épuration même de ce que Pointcarré appelait l’intuition dans l’invention. L’abjetion en étant le désasservissement de la logique par la contre-abjetion logicienne tryadiale.

à suivre…

Pierrot vagabond, au nom, par et pour notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette)

 

COURRIEL DU GRAND CONTEUR INTERNATIONAL SIMON GAUTHIER À PROPOS DE SON RÉCIT PHILOSOPHIQUE CONTÉ EN SUISSE

COURRIEL DU GRAND CONTEUR INTERNATIONAL SIMON GAUTHIER

Tu sais Pierre. J’ai conté en Suisse le Vagabond. Si tu voyais l’émotion après le spectacle. C’est fou. Les Suisses pleuraient du moins bcp d’entre eux et elles. J’ai l’impression que ce moment passer ensemble c’est comme faire voir la mer à des gens qui ne l’ont jamais vu.

Où leur rappeler que la mer existe. Et ils pleurent d’eau salée.

En ce qui me concerne. Je m’échappe après le spectacle par la porte de derrière et je marche vers mon logis écoutant les oiseaux. C’est ce que je trouve le plus beau. 😉

À bientôt mon ami,
je te salue chaleureusement
Toi, Michel et Marleen
Je vous porte dans mon coeur
et j’ai bien hâte de vous revoir

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RÉPONSE DE PIERROT

De mon ascétisme nuit et jour, je suis très ébranlé par tout ce que tu réussis à faire en une heure de récit philosophique… Ebranlé de grande joie d’avoir sur terre un si grand collagorateur à notre équpe de recherche (Auld, Woodard, Rochette)

Si ton public pouvait deviner par ton récit philosophique «le vagabond céleste» à quel point le seul fait de prendre la décision de ne pas tricher avec ce qui en soi convoque une vie personnelle œuvre d’art, leur permet non seulement d’avoir accès à quatre questions:

1: Quel est ton rêve?
2: Dans combien de jours?
3: qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve
4: Comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

mais bien plus, de la non-tricherie elle-même surgit tout en-dedans comme tout autour de l’être-non-être de ce non-tricheur ou de cette non-tricheuse, UN CHAMP CONSTELLAIRE d’une beauté flottante inouie.

Dans ce champ, jardin d’onti-KHA-tion de l’être-non-être dansant, tous les désirs sont encordés pour que puisse germer un rêve big-bang, unique parce que habité par le CELA EST , soit la partie humanité du toi-même.

Qu’est-ce que le CELA EST?

Dans le champ constellaire d’un non-tricheur ou d’une non-tricheuse, LE CELA EST prend la forme de brosses d’être ou d’attaques d’être… car curieusement, comme nous le dévoilent si bien les scientifiques en physique quantique, LE CELA EST consiste en l’intri-KHA-TION de l’être (tel que perçu dans notre univers) et le non-être (le même rêve ontologique dans la partie multiversienne de l’énigme cosmologique).

Quand une personne humaine triche dans cet univers-ci, (de là la transmage des billots attachés aux métamorphoses anhistoriques de l’être) il lui est impossible de sortir d’une logique binaire, basée sur des archés aristotéliciens (la non-contradiction et le tiers exclus) parce que le non-être en est évacué comme chez Parménide en attachant la pensée à l’être uniquement, alors que l’onti-kha-tion fait en sorte que la pensée est aussi attachée en même temps à la partie multiverselle de l’être que l’on appelle non-être universel, l’atrofiant de son énigme multiversielle..

Quand une personne humaine  ne triche pas dans cet univers-ci, par le surgissement ahurissant d’un champ constellaire multiversiel, se mettent en marche des encordages de tous ses  désirs pour le jaillissement cultivant d’un rêve big bang unique à cette personne hukaine non-tricheuse, la protégeant de l,environnement de la tricherie par  la triardisation ou triangulisation intriquée de transmages libératrices des formes asservissantes permettant ce que j’appelle, non seulement la visite du CELA EST par des brosses d’être et des attaques d’être, MAIS UNE INTRI-KHA-TION  être-non-être dans un châtoiement ontologique MULTIVERSIEL où la fraîcheur des formes univers-multivers se déploie en SYNCHRONI-VIE-TÉS ahurissantes, dans le sens de ce que Dawkins, Deleuze Gattari ou Auld Woodard, Rochette appelaient tour à tour mêmes, rhyzomes, ou viralisation….. CONSTITUANT AINSI  UN ABJET (différent d’un sujet, onbet ou projet)  sous forme d’algorithme de justice sociale :

WOW-T=2.7K?

Que le multivers te sculpte comme tu sculpte ce multivers par ton excellence sur scène

Pierrot vagabond, ton céleste.

LES QUALIAS (OU LA FRAÎCHEUR DU NON-ÊTRE DÉBILLOTÉ) ENFOUIS DANS LES PLIS DE L’ENFANCE, DONT EN CELLE DES 3 MILLIARDS D,ENFANTS MORTS DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE , CONSTITUENT DES DÉCLENCHEURS ENCORDÉS AVEUGLES DE TOUTE TRYADISATION CONSTITUANTE DE LA LOGIQUE MULTIVERSIENNE DISSOLVANT TOUT ASSERVISSEMENT PAR LES FORMES, ET MÊME TOUTE FORME ASSERVISSANTE CONSTITUÉES PAR LES ARCHÉS FONDATEURS DE LA LOGIQUE ARISTOTÉLICIENNE, DE LÀ, LA FRAÎCHEUR DU FRÉMISSEMENT ONTOLOGIQUE DU NON-ÊTRE QUE L’ON APPELLE DES BROSSES D’ÊTRE

MONSIEUR 2.7K
P.402
EXTRAIT

PierrotlaLune
”lampadaire”

”Ce résultat est d’une grande importance culturelle,
reprend, Antoine Suarez…. notre expérience
montre, elle, la non-temporalité de ce phénomène.
Il y a une dépendance entre évènements, mais cette dépendance ne correspond à aucun ordre temporel. Le monde quantique ne peut plus être défini en termes d’avant et d’après. Des choses se passent, mais le temps lui ne passe pas.” Plus qu’une expérience physique, c’est aussi une expérience métphysique qui s’est déroulée à Genève: Dans la ville de l’horlogerie, le temps, pendant un instant s’est arrêté.”

SCIENCE&VIE
no 1024, janvier 2003
p.43

——————
MONSIEUR 2.7K
P.362
EXTRAIT

PierrotlaLune
”lampadaire”

Dès les années 20, la mécanique quantique
prédisait la possibilité que les destins de deux
particules puissent être intimement liées…
par delàle temps et l’espace! Il aura pourtant
fallut quatre-vingtans pour que cette intrication
trouve la place qu’elle mérite.
Car si Albert Einstein a souligné l’importance
philosophique de ce phénomène, si John Bell a
réussi à le quantifier et Alain Aspect l’a fait dans
les laboratoires, ” jusqu’à la fin des années 80, la
physique dominante considérait que ce n’était pas
un sujet intéressant” souligne Nicolas Gisin.

SCIENCE&VIE
no 1024, janvier 2003
p.43

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MONSIEUR 2.7K
P.503
EXTRAIT

PierrotlaLune
”lampadaire”

L’expérience de Genève le prouve:
le temps n’a plus court au niveau atomique.
or notre expérience quotidienne
nous dit le contraire!
comment résoudre ce paradoxe?
Telle est bien désormais la question…

SCIENCE&VIE
No 1024, janvier 2003
p.44

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MONSIEUR 2.7K
P.435-436
EXTRAIT–

Menaud,
chansonnier du VieuxMontréal,
son journal personnel
extrait de livres lus…
Histoire littéraire du sentiment religieux
en France, tome 2, 1916.
notes sur la mystique, p.586.
Je n’ai pas à démontrer scientifiquement la valeur du témoignage des mystiques. pour ma part, leur seule histoire m’assure que dans l’ensemble ils ne peuvent être ni des simulateurs, ni des visionnaires. En effet, bien que nul d’entre eux ne soit jamais banal, tous néanmoins, ils traduisent, à leur façon, une même expérience. Ils ont beau ne pas se connaître, ils semblent toujours se copier les uns les autres. C’est là peu-être ce que l’histoire présente de plus émouvant.
La différence de tant de témoins ‘ne fait que rendre plus frappant” l’accord de leurs témoignages; ”italiens, anglais, néerlandais, allemands,espagnols ou français; moines ou séculiers; théologiens
ou simples; contemporains de Saint-Bernard ou de Philippe 11…” écrivain de race ou paysans presque illétrés; à côté de particularité multiples… de grandes lignes se dégagent, toujours les mêmes. des noeuds se forment, concentrant aux mêmes points la poussière subtile des observations psychologiques; des façon de parler reviennent spontanément pour caractériser les étapes de l’ascension spirituelle. Sur l’essentiel… il y a entente.”
Quel est cet essentiel; …
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Il existe de smoments courts et imprévisibles, durant lesquels l’homme a le sentiment d’entrer, non par un effort, mais par un appel, en contact immédiat, sans image, sans discours, mais
non sans lumière, avec une Bonté infinie.
2

Cette perception quasi-expérimentale de Dieu, d’une intensité et d’une clarté très variables, cette expérience douloureuse et délicieuse,parfois semblet-il les deux tous à la fois est ineffable. Les approximations les moins déficientes sont celle qu’on tire des opérations des sens; goût, saveur, vue, toucher… Aucun terme ne sert pour rendre une impression aussi nouvelle, aussi spéciale, aussi puissante… Le fait reste pourtant sujet à des doutes, des
anxiétés… subséquentes; non quant à sa réalité, mais touchant l’interprétation qu’il faut lui donner et les causes qu’il convient de lui assigner. La sécurité complète renaît avec l’impression, et est alors absolue, pour laisser place ensuite à de nouvelles vicissitudes.
3

La connaissance qui en résulte n’est pas moins sui généris que la saveur même. Elle est communément générale, pauvre en éléments enseignés, en détails… C’est plutôt une assurance donnée, un rayon tombant sur la réalité vivante et l’éclairant en profondeur.
4

Nonobstant cette généralité, la connaissance mystique est habituellement d’une richesse affective, d’une force de pénétration et de rayonnement intérieur incomparables. A la sèche et
banale connaissance abstractive se substitue une sorte d’évidence immédiate, indiscutable, imposée.
5

Ces caractères de la vie mystique justifient la langue employée d’instinct dans la plupart des écrits de ce genre… Comment rendre cette impression? Sa force, son inattendu, son originalité, pousse les mystiques à recourir aux expressions les plus frappantes…S’agissant
d’une connaissance unitive, ils prennent naturellement leurs termes de comparaison dans les unions humaines les plus étroites…; s’agissant de perceptions directes, immédiates, ou donnant l’impression d’être telles, les mystiques recourront aux métaphores tirées des opérations des sens… tout un organisme de sens spirituels senble ainsi à leur disposition….; s’agissant enfin d,un acte extrême, ébranlant l’instrument humain jusqu’en son tréfonds, exigeant de lui une tension extraordinaire, les mystiques affectionnent les antithèses, les termes opposés, affrontés, contractés jusqu’à la contradiction. Cette outrance souligne et soulage leur impuissance à tout dire…
6

Un dernier trait et capital, met d’accord tous les mystiques chrétiens, bien que des descriptions inhabiles et incomplètes, et encore plus, une hagiographie ignorante aient pu suggérer le
contraire. C’est que le fond de l’état de ”contemplation infuse” consiste dans le seul acte décrit plus haut… (c’estàdire)
le contact savoureux et (à consulter l’expression de celui qui
l’approuve) sans intermédiaire, de l’Amour premier. Là où manque ce sentiment de présence immédiate, il n’y a pas, là où il existe, il y a contemplation mystique.” L’expérience mystique sera donc toujours pour nous ”la présentation active, non symbolique, de Dieu dans l’âme, avec son corrélatif psychologique, l’intuition immédiate de Dieu par l’âme.” Immédiate autant que cela est possible ici-bas,
cette expérience a plusieurs noms: on l’appelle, assez
indifféremment: ”contemplation, ”oraison” tout court; ‘,connaissance mystique” union mystique, ou union tout court. extase, etc… Nous employons ces divers noms, suivant les
exigences ou du sujet, ou simplement de l’euphonie, mais assez communément nous prenons ”extase”.Comme les autres, ce terme est équivoque. Qu’il soit donc bien entendu que pour nous ‘,extase” et ”intuition immédiate de Dieu” c’est la même chose. Malgré ce nom de ”contemplation” qu’on lui donne souvent et qui prêterait à une méprise, il ne faut pas confondre l’expérience mystique proprement dire la seule dont nous parlions ici avec les visions, accompagnées ou non de paroles révélatrices, avec les voix de
Jeanne D’arc, par exemple , ou avec les apparitions de Lourres. Ce sont là des faits mystiques, sans doute, mais qui diffèrent profondément de ceux qu’on vient de décrire, Sainte Thérèse a eu
des visions, elle a eu des extases, et elle distingue formellement entre les deux expériences.
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MONSIEUR 2.7K,  P.863-867 ( mon vrai journal tenu et caché dans ce 1000 pages)

JOURNAL MON PERE

Toute sa vie, mon père avait pris des brosses d’être dans la taverne de la vie. En fait, il n’avait jamais senti le besoin de passer par la fissure du temps pour aller voir, de l’autre côté, ”K”…omment vivaient les hommes. Cependant, il avait dû tenir un journal, durant près d’un mois, parce que l’être l’atta…”K”…uait maintenant de ses bienfaits, une atta…”K”…ue d’être étant infiniment plus troublante qu’une brosse d’être. Et c’est de la différence entre les deux états,”K”…ue surgit impérieusement le besoin de noter, jusqu’à ce qu’il soit aussi confortable dans un état ”K”…ue dans l’autre.

8 mai

ATTA…”K”…UE D’ETRE

La douce et inépuisable abondance de l’instant présent semble avoir en plus une”K”…onscience amoureuse de l’homme. La vie m’apparaît une danse amoureuse entre le libre-arbitre de l’instant présent et le libre-arbitre de l’homme. Hier, je suis allé me coucher vers 20 heures. Puis la formidable béatitude de l’instant présent est venue me visiter ”K”…omme les vagues de la mer atta…”K”…uent la plage. Le ”K”…orps est dans un tel état de bonheur qu’il lui est même difficile de se lever pour marcher. “ Cela ” ayant pénétré en moi est rythme amoureux de mon “ ÇAJE ” ”K””..omme les feuilles ”K”…ui te saluent sous l’expression du vent, ”K”…omme les herbes ”K””..ui dansent au bord de l’asphalte fier. Chaque intime morceau de la matière chante à sa manière la ”K”…réativité ”K”…onsciente de l’instant présent. Cela a duré jusque vers 22 heures, à peu près, puis s’est estompé doucement ”K”…omme la vague se retire dans ses marées basses. Puis vers 9 heures du matin, la vague ”cela est” de l’instant présent amoureux d’un “ ça en moi ” est revenue me faire la ”K”…our. Je reconnais ses atta…”K”…ues, son pas, sa douceur, sa signature, son immortalité, son rayonnement, toujours pareil et jamais lui-même jusqu’au fin fond de l’univers à chaque instant redessiné. ”K”…ue c’est ahurissant ! Dans ma fenêtre, les milliers de brins d’herbes et les centaines de feuilles me regardent, complices de mon bonheur. L’instant présent est dans la pièce et chante pour moi l’amour qui ”K”…oule en dedans de moi”K”…omme une rivière.”K”…uand l’instant présent me visite de sa fantastique béatitude, je peux noter l’instant exact de son arrivée et l’instant exact de son départ. Il est 11 heures, trente minutes du matin. L’être s’est retiré. Pas de deuil, pas de peine, pas de tristesse. ”K”…omme l’amant après avoir fait l’amour à sa bien-aimée la laisse reposerpendant qu’il va lui cueillir des fleurs.

13 mai

BROSSE D’ETRE

864

864

De Gaulle disait : la vieillesse est un naufrage. Dans une brosse d’être, la vie ressemble à la mer. L’ego, au Titanic. Plus jeune se fait le naufrage du Titanic, plus douce est la vie sur la mer. Toute brosse d’être équivaut à vivre instantanément le naufrage du Titanic en soi, Ne reste ‘K”…ue le naufragé, ébloui d’être encore vivant…. dissolution panthéiste de la ”K”…onscience dans la vie ”K”…osmique…

19 mai

ATTA…”K’…UE D’ETRE

16 h p.m. L’être entre doucement dans la pièce. Il revient avec ses fleurs après m’avoir”K”…aressé ce matin. Le parfum de l’éternité envahit chaque cellule de mon ”K”…orps. L’être toujours pareil jamais le même est ”K”…onscient de ce qu’il fait. Tant de beauté de sa part estimpossible sans la ”K”…onscience. Il n’est pas de la nature des choses ”K””..ue l’être se dévoile en son entier en cette vie. Mais ”K”…urieusement, la symphonie de son empreinte porte toujoursla même signature, celle de la relation amoureuse égalitaire. Si le “ çaje (sage) ” n’était pas en dedans de moi, l’être mourrait d’ennui et de chagrin ”K””..ar il n’y a de danse amoureuse ”K”…ue ‘K”…uand l’indivisible est amoureux de l’indivisible dans ce ”K”…ui semble divisé. ”K”…uel mystère pour moi. Pourquoi l’être arrive comme un voleur dans ma vie et ”K”…ue moi je ne puis faire la même chose ”K”…onsciemment dans la sienne ?

21 mai

BROSSE D’ETRE

Je suis aussi incapable de provoquer ”K”…onsciemment une brosse d’être. Il y a un moment précis où dans l’abandon et le dépouillement, je me retrouve en état d’ivresse en relationamoureuse avec la taverne de la vie ”K”…ui m’héberge. …Il semble y avoir une différence entre une brosse d’être et une atta…”K”…ue d’être. Dans une atta…”K”…ue d’être, l’être ”K”…omme le chat cherche sa caresse. Il avance doucement, sensuellement. Il t’agresse artistiquement si tu ne lui donnes pas de l’affection. Dans une brosse d’être, le chat en toi dort, entraînant dans son doux sommeil, l’éternité ”K”…ui l’entoure, le pénètre et le traverse. Et toi tu te saoules dans la taverne de l’être dont les murs sont aux ”K”…onfins même de l’éternité jamais achevée. Et tu t’ypromènes ”K”…omme au paradis, la terre étant le jardin de l’être, l’émeraude du ”K”…osmos.

4 juin

ATTA…”K”…UE D’ETRE

Devenir le réceptacle d’une attaque artistique d’être ”K”…onstitue une apothéose d’éternité absolument ahurissante. C’est ”K”…omme si l’univers dans son infini entier jamais achevé rejaillissait sous la forme de geyser d’énergie au centre de ton “ ÇAJE ”. Et tu deviensinstantanément fondu dans la beauté du tout. Tu es le parfum, de la rose, le chant de l’oiseau, la vague de la mer, la tendresse des nuages, la symphonie du jour ”K”…ui se lève. Tu esl’immensité jamais achevée. Aucune religion n’approche l’être. Le ”K”….antique de l’être est sacré, par sa légèreté stupéfiante, mais non religieuse. Il ne demande pas qu’on le prie, il danse. C’est trop fou ”K”…omment ça se passe. L’être ne parle jamais. Il chante en silence.

6 juin

BROSSE D’ÊTRE

L’abandon ”K”…onduit au voir qui lui fait basculer dans l’être. Une fois dans la taverne de l’être, l’abandon et le voir disparaissent. Ne reste que la va”..”K”…uité du çaje, la visionpénétrante, la non-pensée,la brosse d’être. Une fois dans la taverne de l’être, surgit la danse amoureuse du çaje ”K”…ui fait frémir la nature jusqu’au fin fond de l’univers.

12 juin

ATTA…”K”…UE D’ETRE

Parfois les atta…”K”…ues artistiques d’être sont si intenses ”K”…ue je suis incapable de ressentir mes jambes qui marchent, incapable de travailler, de m’occuper du plus simple problème. Il n’y a rien de plus délicieux qu’une atta…”K”…ue d’être. C’est un vent ”K””..ui t’atta…”K”…ue d’amour dans une béatitude infinie. Le mur entre l’absence d’être et la présence d’être m’apparaît être ”K”…omme un poste de douane où il est passionnant de s’alléger de beaucoup de choses, le passage étant très étroit, très étroit, ”K”…omme si on se dénudait amoureusement de sa raison avant de plonger dans l’eaud’une chûte découverte en forêt. L’être m’a ”K”…uitté en ce moment à 99 pour cent, il reste délicatement présent ‘K”…omme le ciel à l’horizon en toile de fond. Pourquoi en est-il ainsi ? je ne sais pas. Le “ je ” est trop loin du ça en ce moment pour ”K”…ue je sache quoi que je sois je………Ça. ”K”…uand l’être se retire, Tout ce que je “ touche, ” “ sent ”, ou “ voit ” est vacillant. On dirait ”K”…ue je cherche la matière de mes ”K”…aresses, chaque objet étant différent dans son apparence, mais semblable dans son essence. ”K”…omme si la division ne se rappelait de sa magie ”K”…ue par l’intuition passée de son intérieur uni.

18 juin

NOUVELLE ATTA”K”…UE D’ETRE

Vers 13 h. p.m., la vibration de la béatitude s’est reglissée tellement fort à l’intérieur de moi que j’ai dû aller me ”K”…oucher sur un banc. Il m’a semblé que le ”K”…orps était fondu dans le même taux vibratoire ”K”…ue l’univers. La tête attendait. Parfois elle se fondait avec le ”K”…orps. C’est probablement ce ”K”…ui se passe après la mort. Un taux vibratoire qui chante éternellement son silence en un tout. Puis, ”K”…omme ma tête s’ennuyait, j’ai laissé vagabonder des pensées d’un sujet à l’autre, ce que probablement certains appellent le mental. Cette division entre la béatitude du ”K”…orps et la liberté du libre-arbitre qui laisse la folle du logis jacasser est très inconfortable. L’être n’est aucunement gêné par cette division. Je ne peux ”K”…oncevoir le passage sur cette terre sans cette béatitude permanente, libérée de toute souffrance. ”K”…ue chaque citoyen de cette planète n’y ait pas encore accès me semble étrange. C’est pourtant l’état original de l’homme, ce pourquoi, il a été ”K”…réé, sa vraie K…ondition humaine.,

21 juin

TENTATIVE DE BROSSE D’ETRE

J’ai essayé toute la nuit d’entrer dans la taverne de l’être par moimême. Impossible, impossible. ”K”…omment se faitil qu’aucun chemin ne semble mener à l’être ? Que de ””K…uestions sans réponses.Puis soudain, à mon insu, me voilà ivre dans la taverne de l’être. Aucun goût d’être connu, reconnu, riche, célèbre. ”K”…ue du bonheur d’être. ”K”…omme un brin d’herbe rythmant le vent au milieu des hommes pressés par le temps ”K”…ui marchent aveuglément vers le cimetière de leur vie.

16 juillet

ATTA”K”…UE D’ETRE

Ça faisait presque vingt jours ”K”…ue je n’avais pas eu de relations avec l’être. Puis hier soir, vers 22 heures, en me ”…ouchant, j’ai senti sa venue prochaine ”K”…omme le vent annonce une douceur de vivre. J’étais ”K”…ouché contre le ”K”…orps de ma douce. Elle m’a souhaité une nuit magnifique. Je lui ai dit qu’elle le serait. Je n’ai jamais osé lui dire ”K”…ue l’instant présent s’en venait, de peur ”K”…ue ce soit mon imagination qui me joue des tours. L’air autour de moi est devenu frais ”K”…omme la rosée du matin. Le “ cela ” s’estavancé amoureusement, ”K”…omme une maîtresse. Je reconnus le feutré de ses pas, la douceur de son affection. Puis le cela a fait éclater la perception ”K”…ue j’ai de mon ”K”…orps. Lesmilliards de cellules en moi-même se sont mises à chanter la visite de l’univers. Ma tête fut tout étonnée ”K”…ue “ cela ” puisse se produire. L’enveloppe ”K”…ui retient toutes ses cellules ensemble est devenue très mince, presque sans aucune sensation. Je le sus parce ”K”…ue chaque fois que ma ”K”…ompagne touchait ma chair, je ne sentis presque rien. Chaque relation avec l’être est à la fois différente et semblable. Je fis pour la première fois l’expérience d’une nuit complète et parfaite de béatitude. Ma ”K”…onscience resta toujours libre,jamais délirante ne fusse un instant. Ma pensée logique à son minimum de fonctionnement. Mon ”K”…orps incapable de se séparer de la bonté de l’instant présent par lui-même, absolument incapable. Et la folle du logis dormit profondément toute la nuit, bien ”K”…ontente d’avoir desvacances imprévues.

24 juillet

BROSSE D’ÊTRE

Ce ”K”…ui m’a impressionné cette nuit, c’est la dissolution instantanée de l’ego à la première seconde du rapport à la taverne de l’être. Cela semble fonctionner ”K”…omme ceci.”K”…omme un jeu de lego. L’ego se reconstruit lorsqu’il sort de l’être, se dissout lorsqu’il entre en lui, en étant chaque fois de plus en plus émiettable, de moins en moins noyau dur. Il est possible que l’ego soit un outil indispensable pour fonctionner en société, permettant à la personnalité de ”K””..omprendre les règles sociales. Sans ego, on est infirme socialement, mais au niveau vibratoire, un oiseau qui vole infiniment haut au-dessus de la ”K”…ondition humaine. Il n’y a pas d’élus ou de nonélus. Que des précurseurs. L’être est accessible en abondance à tous, mais, on ne ”K”…onnaît encore aucun chemin qui y mène. “”K”…ue de mystères, ”’K”…ue de mystères. Je suis un saoulon de la taverne de l’être. Trop saoul pour avoir le moindreintérêt à chercher des réponses.

Heureux qui comme Ulysse a fait un beau voyage.

EGO SUM PAUPER

NIHIL HABEO

ET NIHIL DABO

seule la chaleur de ma voix

peut me faire renaître

grâce à la noyade virtuelle

sous de milliards de bitts d’informations dépersonnalisées.

***(paquet de bitts…paquet de bitts…paquet de bitts…)***

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Pierrot vagabond, par avec et pour notre équipe de recherche (Auld Woodard, Rochette)

 

L’ARRIVÉE À LA TUQUE OU LE FONDEMENT PRÉ-ÉPISTÉMOLOGIQUE DE CE QUI MÉTHODOLOGIQUEMENT M’HABITE DANS UN ANCRAGE TRYADIQUE ISSU DU CHAMP CONSTELLAIRE D’UN MULTIVERS PERSONNALISTE D’UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART ASTRONAUTISÉE PAR UN RÊVE BIG BANG.

2 VOYAGES SUR LE ST-MAURICE
PAR L’ABBÉ CARON
CHAPITRE LA TUQUE
EXTRAIT… P.58

Le canot qui avait servi à nos pêcheurs se charge de 5 personnes qui retournent à la Rivière-aux-rats. Adieu et bon voyage.

Nous repartons et un peu après 6 heures, nous apercevons La Tuque. C’est un cri général. La Tuque! La Tuque!! Les compagnons de Christophe Colomb n’ont pas crié plus fort: Terre!, Terre!.

La Tuque est une montagne de forme ronde, un peu comme la montagne de Beloeil, mais plus régulière. Elle a la forme de ces bonnets de laine que nous appelons Tuque, mais d’une tuque bien enfoncée sur la tête de son propriétaire.

EXTRAIT P.61

On fait descendre le cheval sur la rive sud-ouest. il fait horriblement noir. mais nos guides connaissent si bien ce pays. Des détonations retentissent. On nous attend à La Tuque.

EXTRAIT P.65

La mission de La Tuque renferme 40 âmes, 7 familles catholiques, une famille protestante, 23 communiants, trois cultivateurs. Le plus ancien colon est Monsieur Jean-Baptiste Tessier, qui demeure du côté nord-est de la rivière ET QUI ARRIVAIT À CET ENDROIT IL Y A 36 ANS.

Monseigneur Laflèche donna bien ses conseils ET SES AVERTISSEMENTS PATERNELS aux habitants de La Tuque, MAIS IL NE MIT PAS LA MISSION SOUS LE PATRONAGE D’UN SAINT, comme il l’avait fait à tous les autres postes du St-Maurice. En effet, donner des patrons aux paroisses et aux missions, cela appartient à l’évêque diocésain ET MONSEIGNEUR NE VOULAIT PAS EMPIÉTRER SUR LES DROITS DE L’ÉVÊQUE DE PONTIAC. Mais la population était affligée de cette différence. Alors Monseigneur eut une inspiration qui conciliait très bien tous les intérêts. Il annonça qu’il choisissait ST-ZEPHIRIN ( paroisse ou je naîtrai, moi Pierrot Rochette dit le vagabond céleste) pour patron de la mission de La tuque, en l’honneur de Monseigneur Zéphirin Lorrain le premier évêque qui ait visité  cette mission, et aussi le premier évêque de Pontiac. De cette manière, son choix sera certainement confirmé par l’évêque diocésain et son action ne peut plus raisonnablement être considérée comme un empiètement. Tout le monde est satisfait.

EXTRAIT P.66

Maintenant, les braves chrétiens qui nous ont accompagnés de la Rivière-aux-rats s’en retournent avec notre chaland. Pour redescendre le Saint-Maurice, Monsieur Thompson nous fournira une barge et es rameurs nécessaires.

Il pleut légèrement et les maringouins nous incommodent beaucoup. Monseigneur distribue comme à l’ordinaire DES SOUVENIRS ET DES RÉCOMPENSES À TOUS CEUX QUI NOUS ONT RENDU SERVICE. Il n’oublie pas de donne rune médaille à Monsieur Tessier, le plus ancien colon.

Nous dinons un peu avant midi et à midi et demie, nous partons pour la rivière Croche.

à suivre…

Pierrot vagabond, au nom par et pour notre équipe de recherche, (Auld, Woodard, Rochette)