LES 41ERES PAGES DE NOTRE DOCTORAT (AULD, WOODARD, ROCHETTE) DONT LE TITRE EST: «JE TE DEMANDE PARDON… UNE MÉTHODOLOGIE DES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU COEUR»

«JE TE DEMANDE PARDON»
UNE MÉTHODOLOGIE DES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU CŒUR…

1 : ENJEU DU DOCTORAT (300 MOTS OU MOINS)

JE TE DEMANDE PARDON…, à toi qui, comme des centaines de millions d’enfants-errants-fantomatiques, se meurt, jour après jour, de faim ou de blessures de guerre, et cela, au nom des 193 états hobbiens onusiens qui, sous la féodalité de monarchies nucléaires, font passer la course aux armements, les guerres et les paradis fiscaux avant TON DROIT MULTIVERSIEL à une vie personnelle œuvre d’art.

JE TE DEMANDE PARDON… au nom de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) qui, depuis plus de 12 ans maintenant, cherche à répondre à la question suivante : AU 21EME SIÈCLE, QUELLE INSTITUTION FAUT-IL INVENTER POUR QUE SUR TERRE, PLUS AUCUN ENFANT NE MEURE DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE ?

JE TE DEMANDE PARDON… au nom de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) qui S’ACHARNE à déployer concrètement L’INVENTION DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE, dans le but de contribuer à la déshobbiation de l’O.N.U. Par la mise en algorithme de milliards de téléphones intelligents « wow-t=2.7k? » , si possible avec la complicité de l’institut de l’intelligence artificielle du Québec) , nous validerons politiquement la création d’une cour suprême nano-citoyenne-planétaire composée de deux assemblées des justes (125 femmes et 125 hommes) élues ville par ville et village par village, et cela par tirage au sort, dans le but de représenter incontournablement et éthiquement toi et les centaines de millions d’enfants-errants-fantomatiques qui souffrent de la même criminalité étatique banalisée que toi.

Dans ce doctorat, PAR UNE MÉTHODOLOGIE DES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU COEUR, le premier à te demander pardon sera moi, Pierrot vagabond (ier chapitre le rêve big bang), puis mon ami et partenaire de recherche Michel le concierge (2eme chapitre la non-tricherie), pour enfin laisser la parole à sa compagne œuvre d’art, Marlene la jardinière (3eme chapitre, ses jardins rêve œuvre d’art).

Pourquoi nos trois archétypes hologrammiques veulent-ils tour à tour te demander pardon? Parce que notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) veut parler au cœur de l’humanité et non à sa raison et que, PAR UNE CHANSON -MANIFESTE, nous affirmons que l’invention de la nano-citoyenneté-planétaire doit s’accompagner d’un JE TE DEMANDE PARDON , conséquence de la décision de ne plus tricher par chaque vie-personnelle-œuvre-d’art consacrée à l’ultime question :

COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE? (4eme et dernier chapitre).

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JE TE DEMANDE PARDON

COUPLET 1

S’il m’arrive de parler au travers de mon chapeau
S’il m’arrive de prendre trop de place trop souvent
Si je m’approprie sans te voir l’espace de ta vie
Si je préoccupe ton âme en secret dans la nuit… Je te demande pardon…
Je te demande pardon…

COUPLET 2

Si je vagabonde céleste tout autour de la planète
Si je suis parti sans avis au détour de nos vies
Si je t’ai volé ton rêve, déserté, laissé meurtri,
Si j’en ai trop fait, trop dit, ou pas assez dans ta vie
Je te demande pardon…
Je te demande pardon…

COUPLET 3

Si je n’ai pas compris la beauté du monde d’ici
Si je n’ai pas admis qu’il y a la vie après la vie
Si je suis révolté parce que je suis enchaîné
Si je ne peux te rassurer quand je suis déchaîné
Je te demande pardon…
Je te demande pardon…

COUPLET 4

Et si je le savais tout ce temps que je te volais…
Et si je le savais tout ce temps que toi tu m’aimais…
Je n’ai pas d’âme pas de cœur aujourd’hui je le dis…
Je veux changer de vie et d’amour te dire merci
Je te demande pardon…
Je te demande pardon….

Chanson-manifeste du pays œuvre d’art
Michel le concierge

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INTRODUCTION DU DOCTORAT

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Débris de la mémoire du coeur 1,

1408, DRONES WOWWWWWWWWWWWW

September 18, 2016 Pierrot le Vagabond Chercheur

 

Théorie du drône Grégoire Chamayou la fabrique éditions, 2013

Prélude p.10-20

La base de Creech est le berceau de la flotte des drones de l’US Air force. Les militaires la surnomment «la demeure des chasseurs » L’organisation antiguerre « code pink » la décrit plutôt comme « un lieu d’incrudilité, de confusion et de tristesse ».

Le travail est d’un ennui extrême. Des nuits à ingurgiter des Doritos ou des M&M face à l’écran, pour voir le plus souvent toujours les mêmes images d’un autre désert, de l’autre côté de la planète, à attendre que quelque chose se passe : « des mois de monotonie pour quelques milisecondes de grabuge ».

Demain matin, un autre « équipage » viendra prendre le relais aux commandes de l’appareil. Le pilote et l’opérateur au volant de leur 4×4 pour retrouver, à 45 minutes de là, femme et enfants dans l’environnement tranquille d’une banlieue pavillonnaire de Las Végas.

Les passagers des trois véhicules partis de leur petit village de la province de Daikundi ne le savent pas, mais cela fait déjà assez longtemps que des dizaines de pupilles les observent. Parmi ces spectateurs invisibles, le pilote et « l’opérateur des capteurs » mais aussi « un coordonnateur des missions », un « observateur de sécurité », une équipe d’analystes vidéo, et un « commandant des forces terrestres » qui finira par donner le feu vert pour la frappe aérienne. Ce réseau d’yeux est en communication permanente, ils parlent entre eux, et, en cette nuit du 20 février 2010, comme à l’accoutumée, leur conversation est enregistrée.

0.45 GMT – 5h15 en Afghanistan.

Le pilote : Est-ce que c’est un putain de fusil là ?

L’opérateur : Peut-être juste une tache chaude là où il était assis, je ne peux pas vraiment le dire, là, mais ça ressemble vraiment à un objet.

Le pilote : j’espérais qu’on puisse répérer une arme, mais tant pis.

1.05 L’opérateur: ce camion ferait une belle cible. ok c’est un 4×4, un Chevy Suburban. Le pilote: ouais l’opérateur: ouais.

1.07 Le coordonnateur: Le screeber a dit qu’il y a au moins un enfant près du 4×4. L’opérateur: Putain de merde… où ça? Envoie-moi un putain de cliché, mais je ne crois pas qu’ils aient des gamins à cette heure-ci, je sais bien qu’ils sont tordus, mais faut pas pousser….

L’opérateur : Bon peut-être un adolescent mais je n’ai rien vu d’aussi petit, et ils sont tous regroupés là.

Le coordonnateur : Ils vérifient.

Le pilote : Ouais, qu’ils vérifient cette merde… Pourquoi Est-ce qu’il a pas dit : « enfant éventuel » alors ? Pourquoi ils sont si pressés de parler de putains d’enfants mais pas de putains d’armes ?

Le coordonnateur : Deux enfants à l’arrière du 4×4.

01.47 Le coordonnateur: ça ressemble à des couvertures. Ils étaient en train de prier, ils avaient… Le pilote: Jag 25, Kirk97, le compte est bon ou pas encore? l’opérateur: ils prient, ils prient.

01.48 L’opérateur: C’est ça, au final, leur force. Prier ? Je veux dire, sérieux, c’est ça qu’ils font. Le coordonnateur: Ils manigancent quelque chose.

01.50 Le coordonnateur: Adolescent près de l’arrière du 4×4. L’opérateur: Ouais, ben, des adolescents, ça peut se battre. Le coordonnateur: Prends une arme et t’es un combattant, c’est comme ça que ça marche.

01.52 L’opérateur: Un type encore en train de prier devant le camion.

Le pilote: Pour Jag25 et Kirk 97, tous les individus sont en train de finir de prier et se rassemblent maintenant près de trois véhicules. L’opérateur: Ph, la belle cible. J’essaierais de passer par l’arrière pour la mettre en plein dans le mille. L’opérateur: Oh, ça serait parfait!

02.41 L’opérateur: Monsieur, Est-ce que ça vous dérangerait si je faisais une pause toilettes rapide?

Le pilote: Non, pas du tout mon gars.

0.317 Un inconnu: Bon, c’est quoi le plan les gars? Le pilote: Je sais pas, j’espère qu’on va pouvoir shooter ce camion avec tous les mecs dedans. L’opérateur: ouais.

(Le drone Prédateur n’ayant plus qu’un seul missile à bord- insuffisant pour cibler trois véhicules- ordre est donné à deux hélicoptères Kiowa, nom de code « Bam bam41 », de se mettre en position pour l’attaque. Un plan est arrêté : les hélicoptères tireront les premiers, puis le drone finira le travail en tirant son missile Hellfire sur les survivants.)

03.48 L’opérateur: Opérateur paré, que la fête commence! …. L’opérateur: Tu sais quoi, on pourrait avoir toute une flotte de « preds » ici. Le pilote: Oh, si seulement mec…

04.06 Le pilote:…Ecoute mec, on va probablement être en train de poursuivre des types qui s’éparpillent dans tous les sens. Euh, dans la descente, ne te préoccupe pas d’un guidage de ma part ou de Jaguar, tu n’as qu’à suivre ce qui te paraît le mieux. Reste sur celui où t’as le plus de probabilités de tirer dessus. Je suis avec toi sur ce coup. Donc je te brieferai sur un profil de tir, on aura un briefing d’attaque dès qu’on sait ce qu’on va shooter.

04.11 Les hélicoptères Kirk97, Bambam41, vous reçoit cinq sur cinq. Le pilote: Ok Bambam41, Kirk97, vous reçoit cinq sur cinq aussi. Je comprends que vous avez pris en chasse nos trois véhicules, vous avez besoin qu’on vous dise, ou vous les avez ?

Les hélicoptères: 41 les a juste du côté sud de la passe de la grille indiquée, Une Highland blanche suivie de deux 4×4. Le pilote: Kirk 97, bien reçu. Ce sont vos trois véhicules. Environ 21 hommes en âge de combattre, environ trois fusils positivement identifiés jusque-là dans le groupe et, ah, ce sont vos trois cibles.

04.13 Le pilote: le tir a l’air cool.

L’opérateur : Oh, magnifique.

Les hélicoptères (inaudible)… armes et communications avec manœuvre tactique. Stop, Hum, comprenons que nous avons le feu vert pour l’engagement.

Le pilote : ok, il a le feu vert pour l’engagement, donc il a le type 3. Je vais faire tourner nos missiles aussi.

04.16 L’opérateur: Roger. Et, oh… et ça y est ? (Les hélicoptères tirent sur le convoi). … L’opérateur: J’ai un autre mec… ils l’ont eu eux aussi? Ouais Le pilote: Ils ont dégommé le premier et, euh, le dernier, ils vont revenir.

04.17 Le coordonnateur: Vous voulez qu’on passe sur une autre fréquence? Le pilote: J’ai essayé, personne ne me parlait là-bas… L’opérateur: On dirait qu’ils se rendent. L’opérateur: Ils ne courent pas.

04.18 L’opérateur: Ce type est allongé? ils ne courent pas. l’observateur: Les gars, c’est bizarre. L’opérateur: ils s’éloignent juste en marchant. … L’observateur: Vous voulez regarder s’il y a des gens à l’arrière? un inconnu: Oui… L’observateur: Près de cette troisième épave… L’opérateur. Quelques-uns .. deux ou trois … L’opérateur: Oui ils décompressent. Le pilote: zoome là-dessus une seconde pour moi. Le troisième là. L’opérateur: le troisième? Le pilote: Ouais. Ils l’ont explosé? ils l’ont fait non? L’observateur: non, ils l’ont pas fait. Le pilote: Ouais, ce truc a bien l’air détruit, pourtant non? L’observateur: Ouais, ils l’ont touché. Il y a de la fumée.

L’opérateur : Ils l’ont touché. Vous… ces types sont juste… (Une roquette frappe le véhicule central) Un inconnu: oh| le pilote: Putain de Dieu!

04.22 L’opérateur: identifiez positivement les armes, je n’en vois aucune… L’opérateur: J’ai un truc qui brille sur celui à droite. L’opérateur: juste L’opérateur: c’est bizarre… Le pilote: pas la moindre idée ce qu’ils foutent. L’opérateur: probablement en train de se demander ce qui vient de leur arriver. L’observateur: Il y a un autre à gauche sur l’écran L’opérateur: oui je les vois. L’observateur: ils portent des burkas? L’observateur: ça y ressemble en tout cas. Le pilote: Mais ils étaient tous positivement identifiés comme hommes. Pas de femme dans le groupe. L’opérateur: Ce mec a l’air de porter des bijoux et des trucs comme une fille, mais ce n’est pas une fille, si ce type est une fille, c’est une grosse.

04.32 L’observateur: Un des types en haut à gauche est en train de bouger. L’opérateur: ouais, je le vois. Je crois que je l’ai vu bouger tout à l’heure, mais je ne sais pas s’il est…. s’il est en train de bouger ou s’il a des spasmes? L’opérateur: Eh, je crois qu’il a bougé, pas beaucoup, mais… L’opérateur, je ne peux pas, je ne peux pas les suivre tous les deux. Le coordonnateur: il y a un type qui s’assoit. L’opérateur ( s’adressant à un individu au sol) avec quoi tu joues? Le coordonnateur: avec son os.

04.33 L’observateur: Oh putain. Ouais, vous avez vu le sang juste là, à côté du… Le coordonnateur: ouais, je l’ai vu tout à l’heure.

04.36 Le coordonnateur: ç’en est deux? Un type qui soutient l’autre type? L’observateur: On dirait L’opérateur: On dirait ouais Le coordonnateur: Le secourisme à la rescousse. L’observateur: J’ai oublié, comment tu traites une blessure à boyaux ouverts? L’opérateur: les remets surtout pas à l’intérieur. Tu les emballes dans une serviette. Normalement ça marche.

04.38 Le pilote: Putain, ils essaient de se rendre, non? L’opérateur: J’ai l’impression aussi. Le coordonnateur: Ouais je crois que c’est ce qu’ils font.

04.40 L’opérateur: C’est quoi ceux-là? Ils étaient dans le véhicule du milieu. Le coordonnateur: DES FEMMES ET DES ENFANTS.

L’opérateur ; ÇA RESSEMBLE À UN ENFANT.

L’observateur : OUAIS, CELUI QUI AGITE LE DRAPEAU.

04.42 L’observateur: Je vais leur dire qu’ils sont en train d’agiter leur… L’opérateur: ouais… là maintenant je ne serais…

JE NE SERAIS PAS,

PERSONNELLEMENT,

À L’AISE,

POUR TIRER SUR CES GENS

Le coordonnateur. Non

Le coordonnateur. Non.

Le coordonnateur   Non.

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Débris de la mémoire du coeur 2,

 

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« Si «TU» es vraiment une personne humaine pratiquant la bienveillance en plus, «TU» te poses deux questions :

  1. Qui souffre sur la planète ? … 2) Comment arrêter ça ?»

Michel le concierge, le carnet du concierge.

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Débris de la mémoire du coeur 3,

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VIDEO DES MORTS QUI SORTENT DES TOMBENT DU FILM D’ABEL GANCE AVEC LA CHANSON DE MICHEL LE CONCIERGE…. « HEY BROTHER »

ÇA RESSEMBLE À UN ENFANT

ÇA RESSEMBLE À UN ENFANT

ÇA RESSEMBLE À UN ENFANT

ÇA RESSEMBLE À UN ENFANT

ÇA RESSEMBLE À UN ENFANT

 

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Débris de la mémoire du coeur 4,

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LA FAIM MARTIN CAPARROS Buchet. Chastel Libella, Paris, 2015. p.13-14

1623,

extrait

« La destruction, chaque année, de dizaine de millions d’hommes, de femmes et d’enfants par la faim constitue LE SCANDALE DE NOTRE SIÈCLE. »

Tous les cinq secondes un enfant de moins de 10 ans meurt de faim. Sur une planète qui regorge pourtant de richesses…Dans son état actuel, en effet, l’agriculture mondiale pourrait nourrir sans problème 12 milliards d’êtres humains, soit deux fois la population actuelle. Il n’existe donc à cet égard aucune fatalité. « Un enfant qui meurt de faim est un enfant assassiné » écrit Jean Ziegler, ex-rapporteur spécial des Nations unies sur la question du droit à l’alimentation, dans son ouvrage, Destruction massive…… COMMENT, BORDEL, PARVENONS-NOUS À VIVRE EN SACHANT QUE CES CHOSES-LÀ ARRIVENT?

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Débris de la mémoire du coeur 5,

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1214,

C’est le président Eisenhower qui un jour, dans son caucus a poussé un cri du cœur en disant :  Savez-vous  ce que j’aimerais dire aux journalistes mais que je n’ai pas le droit de dire ? …. Chaque arme enlève le pain dans la bouche d’un enfant et je ne puis faire autrement que de faire des armes car je suis victime d’une course aux armements…

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Débris de la mémoire du coeur 6,

Cette nuit, tout le design crypté de notre doctorat m’est apparu, à moi Pierrot vagabond-chercheur, d’une grande clarté obscure….

Dans mon enfance, Il était impossible de se baigner dans la rivière St-Maurice dans la pureté héraclienne de l’étonnement brosses-d’être-attaques d’être (on ne se baigne jamais 2 fois dans le même fleuve).

Bien plus, toute la rivière de mon enfance était encombrée de billots qui descendaient du moulin à papier de La Tuque à Trois Rivières.

Maintenant la nuit, j’y vois les billots du St-Maurice devenus pour moi LES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU CŒUR servant scandaleusement de bouées de sauvetages illusoires à de millions d’enfants-errants fantomatisés, finissant par se noyer d’épuisement, de faim, de blessures de guerre.

LES ENFANTS-BILLOTS-FANTOMES           DU ST-MAURICE

 

PORTRAIT HISTORIQUE DE LA RIVIÈRE ST-MAURICE

April 29, 2019 Pierrot le Vagabond ChercheurEdit

Historique de la rivière Saint-Maurice

K          K          K          K          K        K          K          K          K          K   AfflueKnt le pKlus imKportanKt du flKEuve  KSaint-KLaurenKt aprèsK l’OutKouais et le SaguKenay, Kla riviKère Saint-MauKicie preKnd sa K sourceK dans lK réserKvoir Gouin, Kà enviKron 40K0 kilomètres aKu nord de TroisK-Rivières. Le bassin  K  hydrogrKaphiqKue d’enKviron 43 000 Kilomètres carrésKcanalise les eauKx dK’une quinzainKe de cKours d’Keau tributaireKs. Des rapides eK des chutes y syK   K nchronisKeront lKe dévelKoppement d’iKnstallations hydKroélectriques etK l’émergeKnce deK villes iKndustrielles. EKntre les hautes Kterres boisées dKu Bouclier laurentieKn et lesK basses tKerres du SaintK-Laurent, le paKrcours du SaintK-Maurice, embarrasKsé par pKlusieurs K barrages corrKespond davantKage aux exigenKces d’un réservoir Kqu’aux cKharmes Ktranquilles d’une rivière. Pendant plus d’un sièKcle, en effet, et juKsqu’à réKcemment, Kil a surtoutK assumé le transport de quelque

3 milliards de « pitounes » ou billes de bois vers les scieries et les moulins à papier de la Mauricie.

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Au tournant Kdu siècle, l’incorporation Kdes villages Kde Grand-Mère (1898) Ket de Shawinigan FallsK (1901), et celle de la Kville de La Tuque (1908) complètent le tableau.

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À l’époque, la journée de travail dans les chantiers de coupe dure au moins onze heures.

 

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Les draveurs s’échinent de 4 heures du matin à 20 heures le soir.

 

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Les ouvriers sont à la tâche aussi longtemps qu’il y a du bois à retirer des ruisseaux et des affluents.

 

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On s’attaque presque exclusivement aux géants, des pins plusieurs fois centenaires dont la taille et le diamètre promettent chacun plusieurs billots. Vers 1850, le diamètre moyen des billes acheminées sur le Saint-Maurice est de 50 à 60 centimètres ;

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Concrètement, les 4 premiers videos accompagneront ce texte…

Deux divisant le centre (LA DRAVE de Felix Leclerc de l’ONF et L’ÂME NOIRE de Martine Chartrand) où la chanson de Mc Pherson est reprise 2 fois, une fois en vrai et une en animation esthétique.

Puis sur les côtés… LA COMPLAINTE DU ST-MAURICE… À GAUCHE CHANTÉE PAR FRED PELLERIN pendant que Marlene jardine la beauté du monde et À DROITE, LA MÊME COMPLAINTE DU ST-MAURICE CHANTÉE PAR GASTON MIRON.

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LE TEXTE sur la rivière st-Maurice en sera un documentaire à travers lequel DES BILLOTS EN FORME DE LETTRES K entre les mots… DESCENDRONT, PAR LES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU CŒUR, LA RIVIÈRE DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE À INVENTER…

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Débris de la mémoire du coeur 7

 

LA CHUTE DES PILES, PORTAGE

 

 

DEUX VOYAGES

— SUR LE —

           SAINT-MAURICE

— PAR —

  1. L’ABBÉ N. CARON

Chanoine de la Cathédrale des Trois-Rivières.

LIBRAIRIE DU SACRÉ-COEUR-^ IF. V . A T O T T Î

LIBRAIRE—ÉDITEUK /- ^ t ~

 

 

Le premier voyage eut lieu en 1887 e t “e second en Ï888.

 

Nous continuons notre voyage ; nous entrons dans une voie fort accidentée ; il y a des tranchées-considérables, des courbes et des rampes très prononcées, nous traversons des ravins et des précipices ; une chute d’un grand volume d’eau, mais de peu de hauteur mugit à notre gauche, et nous voilà dans un coquet village, bâti en amphithéâtre : c’est le village des Piles.

 

Ce nom de Piles a fort intrigué les voyageurs ; les uns ont cru trouver l’origine de ce nom dans le fait que les glaces s’accumulent où s’empilent au pied de* la chute.

 

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D’autres ont pensé que ce nom avait été donné par les flotteurs de bois, à cause des grandes accumulations de bûches qui se faisaient souvent à la chute. Ces explications nous paraissent peu satisfaisantes.

 

Quant à en chercher dans l’imagination, nous y pourrions en trouver dix autres aussi acceptables que celles-là ; mais nous présenterons quelque chose de mieux à nos lecteurs.

 

Dans son grand dictionnaire, Littré donne d’abord au mot Pile le sens que nous venons d’y attacher i c’est, dit-il, un amas de choses placées les unes sur les autres. Mais au No 2, voici ce qu’il donne : Pile, s. f. Grosse pierre qui sert à broyer, à écraser. Eh bien ! une vieille sauvage qui porte allègrement ses quatre-vingt-dix ans, Madame Tamakoua, tient de ses ancêtres que les anciens sauvages, quand ils descendaient faire la traite des pelleteries, avaient l’habitude de s’arrêter ici pour piler leur blé-d’Inde. Ils y trouvaient facilement des Piles, ces grosses pierres qui servent à broyer, et de là est venu le nom donné à cet endroit. Ce sont les sauvages, ou plutôt leurs interprêtes, qui ont donné ce nom, et les flotteurs n’ont fait qu’employer un mot qui était en usage depuis longtemps.

 

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Débris de la mémoire du coeur 8

 

Vocabulaire de base de la langue d’expression du doctorat de notre équipe de recherche dont le titre est : «JE TE DEMANDE PARDON»

DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU CŒUR, Enfants-errants-fantomatiques, errants axiologiques, errants poétiques, vie personnelle œuvre d’art, onti-KHA-tion, archétype hologrammique, wow-t=2.7k?, algorithme de justice sociale, la nano-citoyenneté-planétaire, déshobbiation de l’O.N.U., deux assemblées des justes, rêve big-bang, vagabond céleste, Grand-homme, Grande-âme, KHA, kanti-KHA-tion, rivière KHA-ryptée, amour œuvre d’art, initiations multivers abductentielles, champ constellaire, humanité œuvre d’art, espérance Kanto-Kosmologique, recohérence kanti-KHA-tive, brosses d’être, attaques d’être, abjets, fil d’or de la dramaturgie, apriorisation, nanoductilité,révolution nanonistique, équipe multi-contextuelle, pays œuvre d’art, tirage au sort, conscience éthique-esthétique planétaire, problématique trans-historique, transmage, transmagie, liberté onto-qwalia de l’enchantement, champ constellaire nano-qwalia-multiversielle, in-mêmes, épistémo-méthodologique, KHA-odex, champ magnétique conceptuel, synchroni-VIE-té, loi des 3 wows, aventure abstraite, poïétique errante, transcodance, point d’interrogation big bang, point d’exclamation big bang, qwalia-épistémologie de l’invention, constructionnisme qwaliste, auto-induction œuvre d’art, non-tricherie œuvre d’art, fil d’or big bang, piton de la liberté, nano-référendum-planétaire, le voile du refus de l’ignorance, cadre théorique big-bang, RECOHÉRENCE QUANTI-KHA-TIVE DE LA BEAUTÉ DU MONDE, avant-rêve big bang, ontologie qwalienne du multivers, mise en texture onérique de la recohérence logistique du réel, cerveau-astronaute, règles de jeu universelles, couche supplémentaire d’intelligence, doctorat multi-média, anonymat théoritique, l’inoui des formes inassouvies, peintres œuvre d’art de la pensée abstraite, fondements cosmo-génésiques, point d’exclamation Kantique, le Kantique des Kantiques, la danse des abductions à naître, ermite des formes Kantiques-kosmologiques, algorithme de la justice sociale planétaire, cosmonautologie, cerveau kanto-kosmologique, cordation des désirs, fractale multiversienne, INTRI-K-ATION BIG BANG, arc-en-ciel qwaliatif, multiversisation de la beauté du monde, frémissements ontologiques des qwalias multiversels, mise en apesanteur de la mémoire déchiquetée, chansons hologrammiques, déclencheurs abductifs, artéfacts abductifs, chasse-galerie de la non-tricherie œuvre d’art, refildorisation, métamorphose big bang des formes, espace de liberté ontique ahurissant, FAISEUR DE MYTHE BIG BANG, ériquettes flottantes désémioligisées, émergence des qwalias-réalité,

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Débris de la mémoire du coeur 9

 

SOUDAIN… LE LONG DE LA RIVIÈRE ST-MAURICE… UN ÉVÉNEMENT… «UN HOMME FORT SE MET À PLEURER COMME UN ENFANT.. 10 PERSONNES CHÈRES FURENT EMPORTÉES PAR LA FIÈVRE ET LA DYSPHÉRIE EN QUELQUES JOURS…

LES DEUX VOYAGES SUR LA RIVIÈRE ST-MAURICE PAR L’ABBÉ NAPOLÉON CARON p.83-84 extrait

La demeure actuelle de Monsieur Vaugeois se trouve à l’embouchure de la rivière caribou, mais il doit se bâtir une nouvelle maison cet automne même, à une dizaine d’arpents plus bas, vis-à-vis de l’établissement de Monsieur Louis Descoteaux. Je n’hivernerai certainement pas ici, nous dit-il avec conviction. ET CET HOMME FORT SE MET À PLEURER COMME UN ENFANT ;

Oui, les cœurs de lion sont les vrais cœurs de pères.

Cet Homme a vu de trop grands deuils dans la maison qu’il habite aujourd’hui. Il n’en peut plus supporter la vue. L’AIR DE SES CHAMBRES L’ÉTOUFFE. IL Y A VU TROP DE CERCUEILS. Il ira demeurer plus loin.  En effet l’hiver dernier, des fièvres malignes jointes à la terrible diphtérie SE JETAIENT SUR CETTE MAISON ET L’Y FAISAIENT L’UNE DE CES MOISSONS QUI FONT DRESSER LES CHEVEUX SUR LA TÊTE.

Dix personnes furent emportées dans l’espace de quelques jours. Le soleil de ce joyeux jour de Pâques éclairait quatre cadavres dans la maison de de ce père malheureux…

LES CADAVRES DE SES QUATRE FILLES.

Non seulement ses enfants furent ainsi moissonnés, MAIS LA MORT ALLA AUSSI FRAPPER SES PETITS-FILS. TOUS LES ENFANTS DE SA FILLE FURENT EMPORTÉS AVEC LEUR MÈRE.

La mort semblait ne vouloir plus borner ses fureurs.

VRAIMENT DIEU N’ENVOIE DE PAREILLES ÉPREUVES QU’À CEUX QU’IL PRÉFÈRE, ET QU’ENSUITE IL VEUT RÉCOMPENSER D’UNE MANIÈRE.

 

Quia acceptus eras Deo, necesse fuit ut tentatio probaret te,

Tob. XII, 13 ( Parce que vous étiez agréable à Dieu, il a été nécessaire que la tentation vous éprouva ).

Père tendre, mère chrétienne dévouée, je sais que votre douleur a été terrible et qu’elle dépasse toute expression, MAIS CONSOLEZ-VOUS EN REGARDANT AU CIEL. Le ciel a des splendeurs qui peuvent nous faire pénétrer l’énigme de cette vie. VOUS AVEZ ÉTÉ TRAITÉ MOINS SÉVÈREMENT QUE LE SAINT HOMME JOB, puisque Dieu vous a laissé l’aîné de vos fils, l’espoir de votre maison. Quand vous aurez accompli votre tâche ici-bas, quand la mort vous détachera de la mort de ce cher enfant, votre cœur devra éprouver peu d’angoisse et de terreur, TOUTE UNE FAMILLE VOUS SOURIRA DU HAUT DU CIEL.

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COMMENTAIRE DE PIERROT VAGABOND

Si ‘on regarde cette pièce de théâtre à partir de la triangulation de 3 milliards d’enfants-errants fantomatisés attachés un par un aux billots du st-Maurice, en relation quanto-multiversienne (masse détachée de toute matière) avec Ulysse attaché au billot de son navire et avec les pensées de Parménide attachées à l’être… VOILA UN ARCHEVÊQUE DONT LA FONCTION IERE FUT D’ASSERVIR DES PERSONNES HUMAINES EN LES ATTACHANT AUX BILLOTS DE LA GUERRE DES DRÔNES SPIRITUELS.

CELA RESSEMBLE À UN ENFANT

CELA RESSEMBLE À UN ENFANT

CELA RESSEMBLE À UN ENFANT…

DANS CES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU CŒUR, Il y a « événement multiversien » parce que brisure spontanée de symétrie aristotélicienne, l’être et le non-être dans leur non-contradiction injurie les qualias du désespoir. Méthodologiquement, épistémologiquement, ontologiquement, scientifiquement, IMPOSSIBLE D’ÉVACUER LE TIERS EXCLU.

à suivre…

Pierrot vagabond,

Au nom par et pour notre équipe de recherche

Auld, Woodard, Rochette

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Débris de la mémoire du coeur 10

 

2 VOYAGES SUR LE ST-MAURICE PAR L’ABBÉ CARON CHAPITRE LA TUQUE EXTRAIT… P.58

Le canot qui avait servi à nos pêcheurs se charge de 5 personnes qui retournent à la Rivière-aux-rats. Adieu et bon voyage.

Nous repartons et un peu après 6 heures, nous apercevons La Tuque. C’est un cri général. La Tuque ! La Tuque ! Les compagnons de Christophe Colomb n’ont pas crié plus fort : Terre ! Terre!.

La Tuque est une montagne de forme ronde, un peu comme la montagne de Beloeil, mais plus régulière. Elle a la forme de ces bonnets de laine que nous appelons Tuque, mais d’une tuque bien enfoncée sur la tête de son propriétaire.

EXTRAIT P.61

On fait descendre le cheval sur la rive sud-ouest. Il fait horriblement noir. Mais nos guides connaissent si bien ce pays. Des détonations retentissent. On nous attend à La Tuque.

EXTRAIT P.65

La mission de La Tuque renferme 40 âmes, 7 familles catholiques, une famille protestante, 23 communiants, trois cultivateurs. Le plus ancien colon est Monsieur Jean-Baptiste Tessier, qui demeure du côté nord-est de la rivière ET QUI ARRIVAIT À CET ENDROIT IL Y A 36 ANS.

Monseigneur Laflèche donna bien ses conseils ET SES AVERTISSEMENTS PATERNELS aux habitants de La Tuque, MAIS IL NE MIT PAS LA MISSION SOUS LE PATRONAGE D’UN SAINT, comme il l’avait fait à tous les autres postes du St-Maurice. En effet, donner des patrons aux paroisses et aux missions, cela appartient à l’évêque diocésain ET MONSEIGNEUR NE VOULAIT PAS EMPIÉTRER SUR LES DROITS DE L’ÉVÊQUE DE PONTIAC. Mais la population était affligée de cette différence. Alors Monseigneur eut une inspiration qui conciliait très bien tous les intérêts. Il annonça qu’il choisissait ST-ZEPHIRIN (paroisse ou je naîtrai, moi Pierrot Rochette dit le vagabond céleste) pour patron de la mission de La tuque, en l’honneur de Monseigneur Zéphirin Lorrain le premier évêque qui ait visité cette mission, et aussi le premier évêque de Pontiac. De cette manière, son choix sera certainement confirmé par l’évêque diocésain et son action ne peut plus raisonnablement être considérée comme un empiètement. Tout le monde est satisfait.

EXTRAIT P.66

Maintenant, les braves chrétiens qui nous ont accompagnés de la Rivière-aux-rats s’en retournent avec notre chaland. Pour redescendre le Saint-Maurice, Monsieur Thompson nous fournira une barge et les rameurs nécessaires.

Il pleut légèrement et les maringouins nous incommodent beaucoup. Monseigneur distribue comme à l’ordinaire DES SOUVENIRS ET DES RÉCOMPENSES À TOUS CEUX QUI NOUS ONT RENDU SERVICE. Il n’oublie pas de donner une médaille à Monsieur Tessier, le plus ancien colon.

Nous dînons un peu avant midi et à midi et demie, nous partons pour la rivière Croche.

à suivre…

Pierrot vagabond, au nom par et pour notre équipe de recherche, (Auld, Woodard, Rochette)

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Débris de la mémoire du coeur 11

LA RIVIÈRE ST-MAURICE ET LE ROCHER DE LATUQUE, FACE À FACE,

TEL UN futur RÊVE BIG-BANG DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE

May 1, 2019 Pierrot le Vagabond Chercheur

Le Saint-Maurice, venant de Montachingue, roule ses flots noirs avec une grande majesté ; il est profond, c’est le roi du Nord qui s’avance. Mais tout à coup une montagne, la Tuque, se rencontre juste sur son passage ; voilà deux majestés en présence; il y a combat, mais il faut bien que le fleuve cède. Il se détourne à regret, et trouve à côté de la montagne un passage de quelques pieds seulement. Quoi ! un si .petit espace pour le roi du Nord ! Deux rochers s’élèvent de chaque côté, impassibles dans leur masse, et le fleuve est obligé de se contenter de l’espace qu’on lui laisse. Il s’enfle, il gronde, puis il se précipite-avec fracas et forme la première cascade. Ses flots ne sont pas encore apaisés, qu’une arête de rocher se trouve encore sur son passage : il frappe, il bondit, il s’irrite, mais le rocher tient bon, et le fleu\e est obligé de sauter lourdement par-dessus l’obstacle. Il écume de rage, et pendant l’espace d’un arpent, il lance son onde vers le ciel en jets multipliés, comme pour menacer encore le rocher si dur qu’il vient de rencontrer. Cependant il lui faut faire un troisième et dernier saut ; alors on ne lui voit plus cette majesté qu’il déployait à la première et à la deuxième cascade : tout couvert d’écume, il s’élance irrégulièrement tantôt d’un côté, tantôt de l’autre ; c’est la colère! impuissante et lassée de ses propres excès.

Mais ici les rochers s’éloignent subitement, le fleuve comprimé voudrait prendre tout l’espace qu’il a maintenant devant lui, il s’élargit outre mesure, court encore quelque temps sans but et sans raison, puis il s’apaise peu à peu, et à là fin il s’endort comme d’épuisement. Pendant son sommeil, il laisse tomber les terres au il tenait en suspension, et forme des îles qui se couvrent ensuite de verdure. L’ÎLE AUX GOÉLANDS                                              EST UN RÊVE DU ST-MAURICE ENDORMI.

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Débris de la mémoire du coeur 12

 

NOTRE DOCTORAT (AULD, WOODARD, ROCHETTE) PARCOURERA LES QUALIAS DES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU CŒUR, AVEC POUR BUT DE DEMANDER PARDON AUX ENFANTS FANTOMATISÉS ET BILLOTISÉS DE LA RIVIÈRE ST-MAURICE …QUI SE MEURENT DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE, REQWALIANT CES DÉBRIS QUALIAS PAR L’INVENTION DE L’INSTITUTION DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE.

Dans ce doctorat de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette), le pré-chapitre consacré à notre méthodologie des débris de la mémoire du coeur consistera à décrire comment nous sommes passés d’une exploration poïétique par le blogue (6000 pages) à une maîtrise affranchie d’un 300 mots programmatique (fondement argumentatif de plus de 12 ans afin de construire un laboratoire QUWALIANTATIF visant à expérimenter quotidiennement l’invention de trois archétypes hologrammiques (Pierrot vagabond, Michel le concierge, Marlene la jardinière, animée par des règles du jeu autant humanistes qu’opérationnelles (la règle des trois peintres, la règle des trois wows, la règle d’un triple doctorat en un par le multi-média) nous conduisant à trois chapitres consacrés à trois inventions conceptuelles fondatrices : le rêve big bang (Pierrot vagabond, ier chapitre), la non-tricherie (Michel le concierge 2eme chapitre) et le jardin de toute vie personnelle œuvre d’art (Marlene la jardinière, 3eme chapitre), l’ensemble conduisant à la création de LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE (4eme chapitre)  pour que sur terre, au 21eme siècle, plus aucun enfant ne meure de faim ou de blessures de guerre.

LE IER CHAPITRE : PIERROT VAGABOND ET L’INVENTION DU RÊVE BIG BANG COMME FONDEMENT DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE.

La fondation de la ville de La Tuque à une des extrémités de la rivière St-Maurice permettra à Pierrot vagabond de revisiter son passé pour retracer, de débris de la mémoire du cœur en débris de la mémoire du coeur, comment une série de rêves hétéronomes ont conduit toute une ville par le biais de la musique à RÊVER LA BEAUTÉ DU MONDE, même si les billots qui descendaient la rivière St-Maurice vers trois-Rivières témoignaient quotidiennement d’un asservissement par les formes d’un capitalisme orchestré…au point où LA POSSIBILITÉ. D’ÊTRE ASPIRÉ PAR UN RÊVE BIG-BANG devint comme un horizon inoui d’impossible… à partir duquel LE VAGABOND CÉLESTE de l’œuvre littéraire « monsieur 2,7k? » en conçut les principaux attributs essentiels multiversiels.

LE 2EME CHAPITRE : MICHEL LE CONCIERGE ET L’INVENTION DE LA NON-TRICHERIE COMME FONDEMENT DE LA VIE PERSONNELLE ŒUVRE D’ART

Nous descendrons donc la rivière St-Maurice avec ses billots pour rejoindre Michel le concierge à Trois-Rivières dont tout le cheminement, des débris de la mémoire du cœur en débris de la mémoire du cœur, jusqu’à son mariage avec Marlene la jardinière, le porta à théoriser la non-tricherie comme fondement même de toute vie personnelle œuvre d’art. Nous le suivrons dans son déménagement à Valleyfield, puis dans son arrivée comme chansonnier dans le Vieux-Montréal jusqu’à ce qu’il soit conduit à ancrer sa vie de couple œuvre d’art à Grandes-Iles avec sa compagne Marlene la jardinière.

LE 3EME CHAPITRE : MARLENE LA JARDINIÈRE ET L’INVENTION DU JARDIN COMME SYMBOLE MÊME DE LA BEAUTÉ DU MONDE.

Nous quitterons donc la rivière St-Maurice et ses enfants-fantomatisés et billottés pour nous utopisés dans l’univers enchanteur de Marlene la jardinière qui quotidiennement, des débris de la mémoire du cœur en débris de la mémoire du cœur, se consacre à la beauté du monde en action par ses jardins. Ce qui nous permettra, Michel le concierge son conjoint et Pierrot vagabond l’ami du couple, de réfléchir au jardin de la beauté du monde que constitue leur amitié tout comme leur équipe de recherche tout en en dessinant les paramètres paradigmatiques de ce que pourrait être la nano-citoyenneté-planétaire grâce aux quatre questions de la vie personnelle œuvre d’art jardinées par une personne humaine : 1) Quel est ton rêve ? 2) dans combien de jours ? 3) qu’as-tu fais pour ton rêve aujourd’hui ? 4) Comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde ?

LE 4EME CHAPITRE : NOTRE ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) ET L’INVENTION DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE EN COMPLICITÉ SOUHAITÉE AVEC L’INSTITUT D’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE DU QUÉBEC.

Nous quitterons donc Grand-îles et les jardins de Marlene la jardinière pour habiter (dans un condo à Montréal près de l’oratoire St-Joseph) par des extraits du 6000 pages du blogue en plus d’archives filmées, notre conseil d’administration de la créativité qui, depuis plus de 12 ans maintenant, de débris de la mémoire du cœur en débris de la mémoire du cœur, et cela tous les matins à partir de 6h.00 am, s’acharnent à fonder les paramètres de ce que pourrait devenir LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE dans le but de répondre à la cinquième question du pays œuvre d’art : COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE? Tout en articulant la problématique fondatrice qui pourrait s’articuler sous ces mots : AU 21EME SIÈCLE, QUELLE INSTITUTION FAUT-IL INVENTER POUR QUE SUR TERRE, PLUS AUCUN ENFANT NE MEURE DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE ?

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MÉTHODOLOGIE DES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU CŒUR (100p.)

-1- blogue, (19 juin, 2019)

COMMENTAIRE DE RAYMOND-LOUIS LAQUERRE FACE AU CHANGEMENT DE TITRE DE NOTRE DOCTORAT (de la non-tricherie à wow-t=2.7k?: la nano-citoyenneté-planétaire) , PAR LE TITRE DE LA CHANSON DE MICHEL LE CONCIERGE… JE TE DEMANDE PARDON… ou une méthodologie des débris de la mémoire du coeur… PIERROT VAGABOND-CHERCHEUR ET MICHEL LE CONCIERGE FILMÉS PAR MARLENE LA JARDINIÈRE) CONSÉQUENCE TOUTE EN SYNCHRONI-VIE-TÉ DE SON REMARQUABLE SPECTACLE POUR CÉLÉBRER LE 50-EME ANNIVERSAIRE DE SON CENTRE DE LECTURE RAPIDE (you tube, je te demande pardon)

June 19, 2019 Pierrot le Vagabond Chercheur

À Pierre Rochette, Michel Woodard Aujourd’hui à 13 h 15 Bonjour Pierrot le vagabond,

Bonjour Michel le concierge

Cela ne me surprend par de ce qui est arrivé comme impact avec la merveilleuse chanson de Michel.

Ce n’est pas le fruit du hasard si parmi tout le répertoire des chansons de Michel, j’ai sélectionné « Je te demande pardon ».

Si tu te rappelles bien, au tout début du spectacle j’ai lu le texte de Ramtha intitulé : La joie, l’état d’Être suprême ».

Les chansons « La beauté du monde » et « Je te demande pardon » ont entré en résonance avec le texte initial sur la joie.

J’ai donc atteint l’objectif que je m’étais fixé : celui de mettre un fond spirituel où les gens vont ressentir une joie profonde et non seulement des émotions de surface.

Je me réjouis que ce spectacle et particulièrement la prestation de Michel vont ont permis d’orienter votre doctorat différemment et pour le mieux…

Bonne continuation dans votre projet tout à fait original, passionnant et d’une portée universelle.

Raymond-Louis

—————– réponse de Pierrot

Tu sais, Raymond-Louis… monter sur scène fut toujours difficile dans ma carrière parce que je voyais les visages des gens dans la salle et que j’étais trop sensible pour ne pas souffrir avec ceux ou celles qui étaient en détresse profonde (deuil, maladie, dépendance etc…)

Mais quand tu m’as demandé : Pierrot, peux-tu m’aider à réaliser mon rêve ? je me suis senti convoqué à plus grand que moi malgré mes flashs la nuit qui m’assaillent encore sous forme de cauchemar.

Mais, jusqu’à la dernière minute…je me suis senti surtout aspiré par la très belle chanson de Michel le concierge et je voulais voir des coulisses le visage des gens quand Michel chanterait «je te demande pardon »

Tous les matins, à notre conseil d’administration de la créativité, j’assiste à la très grande humanité de cet homme qui chante la condition humaine si humblement et surtout à la dévotion au quotidien qu’il porte à Marlene, sa compagne, son amour œuvre d’art.

A ta soirée, j’ai d’abord chanté a capella LA BEAUTÉ DU MONDE avec ma feuille dans ma main… puis je suis resté dans les coulisses. Et là j’ai vu l’effet Michel Woodard, le même qu’il avait au café St-Vincent il y a presque 50 ans quand je le regardais chanter dans la salle.

JE TE DEMANDE PARDON, je savais, comme toi d’ailleurs, que c’était un hymne humaniste à la condition humaine… mais ce soir-là… grâce à toi, j’ai vu clairement pendant que Michel chantait que le public qui l’applaudissait venait de signer le titre de notre doctorat…Un homme est venu me voir pour me dire que la chanson de Michel lui faisait devoir de demander pardon à sa femme…

Ce matin, j’ai dis Mike : TU VIENS DE SIGNER LE MANIFESTE DU PAYS OEUVRE D’ART.

Merci Raymond-Louis tu as vu 2 coups d’avance

Pierrot vagabond

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-2- blogue (11 mai 2019)

UNE MÉTHODOLOGIE DE LA FRAÎCHEUR DES FORMES, PAR UNE ÉPISTÉMOLOGIE DONT L’AXIOME FONDATEUR REPOSE SUR L’ARCHÉ QUANTIQUE ( ÊTRE ET NE PAS ÊTRE EN MÊME TEMPS, INTRIQUANT LE TIERS NON EXCLUS) RENVERSANT MÉTAPHYSIQUEMENT L’ARCHÉ FONDATEUR DE LA PHILOSOPHIE PREMIÈRE D’ARISTOTE (RIEN NE PEUT ÊTRE ET NE PAS ÊTRE EN MÊME TEMPS, VALIDÉ LOGIQUEMENT PAR LE TIERS EXCLUS)

May 11, 2019 Pierrot le Vagabond Chercheur

Que d’années de recherche… Je me rappelle le jour où je découvris l’invention de la poïétique par Paul Valery dans une conférence lors de son entrée au collège de France en 1937 je crois.

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-3- (retour au blogue du12 mars 2015)

1149 ….. 12 MARS 2015

1149…(VAGABOND-CHERCHEUR)

 

L’OEUVRE, LA SIGNATURE ET LA POÏÉTIQUE trois quasi-paradigmes en dynamique à travers l’histoire de l’art Pour moi, un doctorat, c’est une démarche qui passe par uniquement par l’athlète intellectuel auto-didacte, investissant en majeure sur la lecture et la poïétique d’un journal de performeur, sans être inscrit à l’université, sans directeur de thèse, sans travaux, sans exercices méthodologiques… Pourquoi? Internet permettant la gestion de contenus, les applications du téléphone cellulaire le rhyzome et le viral de toute intuition synthétique a priori, il n’est plus nécessaire de se donner une formation pré-constructionniste. Prenons Joachin Winckelman né en 1717 et assassiné en 1868. Il passe sa vie à recopier des livres qu’il retrouve dans les bibliothèques privées de ses bienfaiteurs, mais surtout, ses carnets sont constitués de ses commentaires. Il fonde l’histoire de l’art parce qu’à lui tout seul, il internationalise l’art et en bâtit la communication en définissant l’idéal d’une œuvre d’art. Il fut à lui seul l’internet de ce temps-là. La dynamique entre l’œuvre, la signature et la poïétique qui aurait pu basculer du côté de la signature (Vassari à la Renaissance) est victime de l’impossibilité de réunir l’information en un tout cohérant. Même André Malraux avec son musée imaginaire (1951) vit encore dans la même dynamique systémique. Il n’est donc pas étonnant que celui qui m’apparaît l’historien de l’art paradygmatique de la modernité (l’œuvre en majeure, la signature et la poïétique en mineure) soit Greenberg, parce que, dans une lecture nano-moderne que je fais de sa démarche, il n’a pu saisir pourquoi le saut historique entre l’œuvre et la signature (Winckelmann et Duchamp) ne peut être compris par lui, alors qu’il a déjà eu lieu. On note aussi cette impossibilité dans le parcours de l’historien d’art Elie Faure, qui médecin de Renoir, sans jamais lui avoir dit qu’il était historien d’art, tente de déchiffrer les secrets DE SON OEUVRE et non le pourquoi de sa signature ou de sa poïétique. Et comme le note si bien Greenberg, l’avant-garde (Cézanne, Seurat, Picasso, Matisse etc… ) est impossible à déchiffrer pour Elie Faure parce qu’il n’a pas le génie de Greenberg pour en détacher les illusions du changement du fondement de l’épuration d’une forme, toujours la même et jamais pareille. Autant Marcel Duchamp m’apparaît le Winckelmann de la post-modernité, autant l’historien d’art Arthur Danto m’apparaît son chantre. Comment on reconnaît un saut paradigmatique dans la hiérarchie des valeurs dans un champ artistique ? C’est par l’inversion des hiérarchies des attributs essentiels sous une étiquette (Dupréel). Il est certain que dans la mesure ou Duchamp, par pure stratégie épistémologique détermine que ceci est de l’art parce qu’il le dit et non parce qu’il le fait (le ready made, la signature passe en majeure et dissous l’œuvre en mineure ALORS QUE LA POÏÉTIQUE COMME VALEUR PRIMAIRE N’EST PAS ENCORE NÉE (PAUL VALERY, 1937, JE CROIS, CONFÉRENCE DE SON INAUGURATION AU COLLÈGE DE FRANCE. Danto en démontrant qu’un même carré rouge fait par 3 différents auteurs n’a pas la même poïétique et que même si ce sont trois carrés identiques, ce sont trois signatures différentes, nous amène au bord même de la fin de la signature dans l’histoire de l’art. Il me semble encore trop tôt pointer le créateur de la nano-modernité par la pratique de la poïétique comme œuvre d’art et son chantre historien de l’art, même si l’historien d’art Nelson Goodman par son système de notations (allographiques entre autres) annonce toute la dématérialisation de l’art par le renacting, la copie,l’art virtuel réseauté entre plusieurs intervenants etc…) En fait, Tant que les performeurs du 21eme siècle s’imagineront être dans un contexte post-moderne, il sera impossible pour eux ou pour elles d’échapper au micro-récit-spectacle, hanté par la lutte et de l’œuvre comme symbole de la définition de l’art et de la signature comme symbole de la définition de l’artiste duchampien. Comment reconnait-on un nouveau champ quasi-paradygmatique? Par la force de son étiquette, souvent mise au monde par hasard (ex: l’étiquette impressionniste donnée par un journaliste aux peintres du salon des refusée ou l’étiquette Big bang donné par un contestataire de la théorie d’un début à l’univers) mais surtout la vitesse avec laquelle les artisans d’un champ épistémologique de l’art sentent qu’enfin une porte d’espérance a été construite (constructivisme) pour leur permettre de sortir de la prison de la pratique de leur art. C’est en ce sens que pour le doctorat, le passage de l’œuvre, à la signature, à la poïétique ayant permis l’éclatement des catégories de l’art (la boxe, la vie personnelle et toute autre catégorie ayant le droit de se définir comme catégorie de l’art parce qu’il y a de la poïétique dans toutes forme d’art) il me semble que la performance d’une vie personnelle œuvre d’art peut par constructivisme laboratiser une iere modélisation à partir de quatre questions: Quel est ton rêve? Dans combien de jours ? Qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve ? Et en quoi ton rêve prend-il soin de la beauté du monde? Pierrot

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                 -4- (retour au blogue 11 mai 2019)

Mai 11 2019… suite

Je me sentis exactement survolté comme le fut Walter Benjamin quand Hesserl lui fit découvrir le paysan de Paris d’Aragon et qu’il lui apprit à flâner Paris à la manière des surréalistes. Benjamin savait qu’Aragon par Hesserl lui faisait vivre une révolution épisétmologique, mais bien plus, il intuitionnait que son chemin de l’errance poétique serait autre, infiniment autre…. ( Ex: Il découvrir la porosité des lieux dans ses errances à Venise, et celle du 19eme siècle par l’invention d’un patrimoine immatériel par une méthode de lecture vagabondée à la bibliothèque de France (Paris capitale du 19eme siècle).

Donc, à partir de la poïétique de Paul Valery, notre équipe de recherche (AULD, WOODARD, ROCHETTE) inventa ce qu’on appelle aujourd’hui LA BLOGUÏÉTIQUE.

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                               -5- (retour au blogue du 5 mai 2019)

5 mai 2019,

DANS UN DOCTORAT D’INVENTION, UNE MÉTHODOLOGIE SE SIGNE COMME LE MANIFESTE D’UNE OEUVRE D’ART…. EN FORME PURE, PERSONNALISTE IMPOSSIBLE NI À REPRODUIRE, NI À CRITIQUER, CRYPTÉE, ÉSOTÉRIQUE, KHAODEXÉE, BÉNÉFICIANT DES MÊMES PRIVILÈGES HISTORIALAUX QUE LES MANIFESTES DES PEINTRES (EXEMPLE LE PLUS CÉLÈBRE: LA SPIRITUALITÉ DANS L’ART DE KANDINSKY), FAISANT DE TOUTE RÉCEPTION UN COMMENTAIRE EXOTÉRIQUE, ET DE TOUTE INITIATION (LE FAMEUX DRAP BLANC DE PYTHAGORE) UN ADOUBAGE ÉSOTÉRIQUE , AU SENS DE DONNER LE FLAMBEAU FIL D’OR ET UNIVERSEL DE LA CONDITION HUMAINE RECOHÉRENCÉE DE FORMES NEUVES EN FORMES NEUVES

May 5, 2019 Pierrot le Vagabond Chercheur

Dans la ville de La Tuque où je fus naissant, chaque personne humaine vécut sous l’esclavage des formes asservissantes parce qu’elles n’avaient aucune idée c’était quoi inventer des formes par et pour soi-même, complètement protégés des formes colonisantes (soit la différence entre un philosophe et un professeur de philo.) Penser par soi-même fut impossible.

C’est ainsi que, les curés prédateurs de consciences naïves, dirigeant les hommes par leurs femmes dans les confessionnaux, en vinrent à installer un appareil idéologique ultramontain d’une remarquable perversité.

Mon père était croyant. Il aurait aimé devenir prêtre mais il ne dépassa pas la 6eme année de scolarité je crois… Pour lui Dieu c’était vrai et Jésus-Christ encore plus. Le ciel et l’enfer étaient ses barres de mesure au point où il adopta la croyance suivante : Si on consacre à Dieu le ier enfant de la famille en en faisant un prêtre, toute la famille était pour aller au ciel.

Très petit, on me construisit donc un autel, et je fus habillé d’un costume de prêtre sur mesure, et me rappelle avoir donné la communion avec des hosties non consacrées que mon grand-père Lucien, bedeau de paroisse, apportait de son église.

Combien de temps cela dura… aucune idée J’ai juste le le souvenir de mon oncles et de ma tantes à genoux devant moi pour recevoir ma communion.

C’EST AINSI QUE JE DEVINS UN ROI-ENFANT.

C’est très particulier de devenir un roi-enfant. On se rend compte qu’on a besoin de personne pour penser, pour vivre, pour manger, on se sent complet, avec nul besoin de régner sur qui que ce soit. On est comme habité par la poésie de l’inouie.

Je me rappelle. Le matin, je me levais avant ma mère, mon père, mes frères et sœurs pour sentir l’odeur de ma toast brulée dans le silence ahurissant des bruits qui coulent sur ma rêverie anonyme.

Je ne sentis jamais le besoin d’en référer à un professeur, une enseignante. je grandissais comme une forme neuve dans un univers saturé de formes avilissantes.

Pourquoi je raconte tout cela ? Parce qu’une méthodologie dans un doctorat d’invention, c’est d’abord UNE SIGNATURE DE PEINTRE SOUS L’ÉCRITURE D’UN MANIFESTE.

Voilà pourquoi j’inventai, au nom de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) ce que j’appelle aujourd’hui… LA BLOGUÏÉTIQUE… un immense feu d’artifice découlant d’un coup de cœur pour l’invention de la poïétique de Paul Valery lors de sa conférence à son introduction au collège de France, en 1939… tout en ayant un mépris profond pour son disciple PASSERON qui l’enseigna stupidement la méthode en espérant acquérir un statut universitaire,  UNE MÉTHODE NE S’ENSEIGNE PAS… ELLE SE DÉPASSE.

Ainsi donc, la bloguïétique fut vécue comme un vagabondage, un rêve où déposant jour après jour plus de 6000 pages de réflexion de lectures analogiques tout autant que de laboratoirisation de formes neuves, visait à garder trace de l’émergence soudaine de formes neuves issues de ma posture de peintre de formes abstraites. Emergence dans le sens surabondant de l’élan vital de Bergson, mais sous ses questions de factures formelles issues de la biologie des formes.

Et pendant des années, je lus à peu près 200 pages par jour, vagabondant la connaissance, les universités comme j’avais vagabondé le Canada à la recherche des rêveurs… attendant comme un peintre que SOUDAIN UNE ÉMERGENCE INOUIE METTE FIN ABRUPTEMENT À MA PROPÉDEUTIQUE (un coffre d’outil raffiné par les formes d’autrui analogisées pour dissolution future en vue de l’invention de nouvelles formes ésotériquisées.

En transformant les 6000 pages du blogue en base de données historique, puis la base de données historique en base de données glossairiques sous forme alphabétique, puis de base de données glossairiques sous forme alphabétique en base de données glossairique thématique, je fus BIG BANGISÉ par u n extrait d’un livre au sujet de la guerre des drones à partir des États-Unis qui tuent des enfants par accident… CELA RESSEMBLE À UN ENFANT….

Comme un peintre, ce fut instantanément la fin de mon aventure propédeutique… je déménageai dans un local 24 heures et me mis à crire l’introduction du doctorat de notre équipe de recherche… Et soudain, LE MANIFESTE DE NOTRE MÉTHODOLOGIE JAILLIT TOUT EN PEIGNANT LES ENFANTS-BILLOTS DE LA RIVIÈRE ST-MAURICE…

L’invention d’une langue cryptée, ésotérique, passant par LES TRANSMAGES, LES ABJETS, ET LES ARCHÉHOLOGRAMMIES, comme si notre équipe de recherche multi-contextuelle, aux archétypes hologrammiques fractaux (Marlene la jarcinière, Michel le conciere, Pierrot vagabond) par la règle des trois wow et la position multi-médias des trois peintres, venaient soudainement et éternellement de méthodologiser un manifeste des formes du multivers par le rêve big-bang.

Voilà pourquoi, le 100 pages consacré à la méthodologie de notre équipe de recherche, sera crypté de façon à ne pas être reproduisible (toute reproduction des formes neuves correspond à u n crime contre l’humanité, à l’asservissement des cerveaux par les formes, à de la perroquetterie institutionnelle de la connaissance stratifiée, donc à l’asservissement institutionnelle des cerveaux par l’histoire de sformes, comme si la llinéarité et le progrès leur donnaient un ascendant sur la création atemporelle de toute forme neuve.

VOILÀ POURQUOI J’APPELLE NOTRE MÉTHODOLOGIE

LA MÉTHODOLOGIE DE LA RIVIÈRE CRYPTÉE ET BILLOTTÉE DES CONSCIENCES MULTIVERSIENNES

à suivre

Pierrot vagabond, au nom par et pour notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette)

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-6- (retour au blogue du 11 mai 2019)

Mai 11 2019… suite

La différence! c’est retenir une trace quanto-cosmologique d’une fraîcheur des formes non seulement en émergence, mais un déclencheur big bang d’une métaphysique  non aristotélicienne.

J’avais 6000 pages d’écrit…. je recherchais la trace d’une sorte de bozon de Higgs, soit la particule du multivers…. Un déclencheur de la fraîcheur des formes qui me ferait basculer dans une brosse d’être fabuleuse, un chemin d’ontikhation exceptionnel.

Je mis quelques mois à transformer ce 6000 pages en base de données sur Word… rien… puis je retransformai cette base de données en glossaire alphabétique…. rien… puis je persistai à transformer cette base glossairique alphabétique en base glossairique thématique… puis soudain… soudain… cette fraîcheur inouie d’une forme impossible provoqua en moi une brosse d’être comme je n’en avais jamais connu.

Un simple extrait d’un livre où des drones tirés des États-Unis tuent CE QUI RESSEMBLE À DES ENFANTS… par accident, par corrélativité.

Ce fut instantané. Je quittai la bibliothèque, sut instantanément que je ne lirais plus jamais aucun livre dans ma vie, j’allai me réfugier dans une salle 24 heures pour comme Mozart ou Beethoven, faire oeuvre, ne faire qu’œuvre, tout ce parcours propédeutique étant dérivant comme un iceberg.

Je saisis en cours de route que le renversement de la philosophie iere d’Aristote deviendrait l’événement fondateur d’une métaphysique quanto-kosmologique car, grâce à la physique quantique, être et ne pas être en même temps par intrikation libre du tiers exclus était enfin devenu possible.

La rationalité hollogrammique multiversielle venait de naître par ontikation, intrikation et recohérence, et cela tels que je l’avais toujours vécu comme vagabond céleste dans mes brosses d’être et mes attaques d’être.

La triangulation de la fraîcheur des formes venait de me livrer son secret. Toute personne humaine qui a pris la décision de ne pas tricher avec la vie personnelle œuvre d’art qui la convoque en elle permet instantanément le surgissement d’un champ constellaire où par l’encordement des désirs et le triangle d’or de trois formes dont la fraîcheur est unique à cette vie personnelle œuvre d’art- là, assiste non seulement à la création d’un rêve big bang unique en soi, mais aussi à un triangle d’or de trois fraîcheurs formalisées donnant métaphysiquement le cryptage du chemin hollogrammique et eumétrique de la beauté du monde.

Dans mon cas, le texte des drones qui à partir des États-Unis tuent par accident CE QUI RESSEMBLE À DES ENFANTS, ne put jamais entrer dans mon champ constellaire parce qu’il ne venait pas de moi. Par contre il transmagea les trois points nodaux garantissant le cryptage unique de la fraîcheur de trois formes intriquées:

Les 3 milliards d’enfants errants-fantomatisés billots de la rivière St-Maurice de mon enfance entre Trois-Rivières et La Tuque, Ulysse attaché au billot de son navire pour ne pas céder au chant des sirènes et Parménide dont la pensée est attachée au poteau de l’être avec l’interdiction de visiter le non-être qui n’existe pas.

La métaphysique non aristotélicienne par la décatégorisation du multivers venait de naître. UNE LOGIQUE DES TRANSMAGES, UNE MÉTHODOLOGIE DE LA FRAÎCHEUR DES FORMES, UNE ÉPISTÉMOLOGIE DE L’ERRANCE POÉTIQUE.

Je pouvais enfin comparer la descente du St-Maurice de ce curé dans deux versions du récit, celle de la philosophie iere d’Aristote et celle de la métaphysique quanto-cosmologique de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) par nos trois archétypes hologrammiques réciproques…

à suivre…

Pierrot vagabond… au nom, par et pour notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette)

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-7-

« CE QUI RESSEMBLE À DES ENFANTS» ,

Ce simple extrait d’un livre où des drones tirés des États-Unis tuent CE QUI RESSEMBLE À DES ENFANTS… par accident, par corrélativité….

EST SOUDAINEMENT DEVENU POUR NOTRE DOCTORAT (AULD, WOODARD, ROCHETTE) UN FASCINANT DÉBRIS DE MÉMOIRES DU CŒUR SURPLOMBANT LES 6000 PAGES DE CE BLOGUE DONT LA MISE EN CRI DE MUNCH A LANCÉ L’EXPLORATION CONCEPTUELLE D’UNE MÉTHODOLOGIE ISSUE D’UN IMPOSSIBLE ALÉATOIRE TELLE UNE ŒUVRE D’ART DONT L’ARCHITECTONIE REPOSE A POSTÉRIORI SUR UNE TRYADE D’ARCHÉS HOLOGRAMMIQUES MULTIVERSIELS.

 

Mais , méthodologiquement , qu’est-ce donc qu’un débris de la mémoire du cœur?

À SUIVRE…