SOCRATE, FRANÇOIS VILLON, NELSON MANDELA LE CARTOGRAPHE THOMPSON ÉTAIENT-ILS DES PHILOSOPHES OU DES COUREURS DES BOIS…. NI L’UN NI L’AUTRE… ILS FURENT TOUS DES VAGABONDS CÉLESTES À CAUSE DE LEUR RÊVE BIG BANG ET DE LEUR PITON DE LA LIBERTÉ STRATÉGISTE POUR CONQUÉRIR L’IMMORTALITÉ DE LEUR RÉCIT, HORS TEMPS, HORS RÉALITÉ, HORS SERVITUDE.

Dans mon premier dessin qui sera publié tel quel comme introduction au passage théoritique de notre doctorat (Auld, Woodard, Rochette), nous y voyons deux chemins qui mènent au vagabond céleste. Sur le premier à gauche marchent un philosophe (Socrate, et un poète-philosophe (François Villon) et un philosophe politique (Nelson Mandela)… tandis que sur le second chemin à droite, marchent le coureur des bois cartographe Thompson.

La question fondamentale devenant celle-ci: Est-ce que Socrate, Villon, Mandela et Thompson sont des philosophes ou des coureurs des bois?

Et moi de répondre… ni l’un ni l’autre… ILS SONT FONDAMENTALEMENT DES VAGABONDS CÉLESTES… parce qu’il sont animés toute leur vie par un rêve big-bang, qu’ils orchestrent en stratégistes parce qu’ils visent le même objectif: l’IMMORTALITÉ DE LEUR RÉCIT AU TRAVERS DES SIÈCLES.

Prenons Socrate par exemple… il n’a jamais écrit une ligne… Il commença d’abord sa carrière comme sophiste, ayant acquis toute la tradition matérialiste des pré-socratiques, mais fut rapidement habité par son daimon à creuser maïeutiquement le connais-toi toi-même. Sans se faire payer, il eut l’audace d’interroger dialectiquement des juges qui furent abasourdis de s’apercevoir qu’ils ne savaient pas ce qu’était la justice… puis des militaires qui durent admettre qu’ils ne savaient pas ce qu’était le courage… et ainsi de suite… Il fut accusé de corrompre la jeunesse, fut condamné à boire la cigue… On prépara de nuit son évasion qu’il refusa… On dit qu’il but la cigue pour respecter les lois d’Athènes… Mais non… Socrate n’était pas un philosophe… mais un VAGABOND CÉLESTE… Il connaissait sans utiliser les mêmes mots LE PITON DE LA LIBERTÉ… et architecturait le réel en fonction de son rêve big bang dont l’enjeu était L’IMMORTALITÉ DE SON RÉCIT, À TRAVERS LES SIÈCLES, hors temps, hors réalité hors servitude…. SOCRATE FUT UN FABULEUX STRATÉGISTE DE L’IMPOSSIBLE CAR IL PORTAIT LE RÊVE BIG BANG DE PARLER À L’HUMANITÉ….

Je démontrerai, dans notre doctorat (Auld, Woodard, Rochette) qu’est vagabond céleste celui ou celle ….a)…qui  prend la décision de ne pas tricher…b) qui parce qu’il ou elle prend la décision de ne pas tricher provoque l’émergence d’un champ constellaire constitué en soi (d’étiquettes non-tricheuses à l’intérieur et d’étiquette tricheuses à l’extérieur)… c) que dans ce champ constellaire protégé de la tricherie émerge un rêve big bang qui grandit en synchroni-vie-té avec le rêve big bang de l’univers… le tout (a,b,c) selon l’algorithme social constructiviste abductif suivant:

«WOW-T=2.7K?»

à suivre…

Pierrot vagabond

 

LE VAGABONDAGE À LA TUQUE AVEC MES DESSINS-CAHIER À LA PAUL VALERY SERVIRA À UNE MISE EN ABIME STRATÉGISTE DE LA SYNCHRONI-VIE-TÉ DE FAÇON À VOLER L’OR DU MULTIVERS PAR LES SOUVENIRS HORS TEMPS HORS RÉALITÉ HORS SERVITUDE DES QUALIS RELIÉES AUX LIEUX DE MON ENFANCE…

car ce vol d’onti-k-tion ayant conduit à ma vie personelle oeuvre d’art…sera en-tracé sémiologiquement par mes dessins enfouis au cœur même du champ constellaire dansant entre mes brosses d’être et mes attaques d’être.

à suivre…

INSPIRÉ PAR LES CAHIERS DE PAUL VALERIE ( L’INVENTEUR DE LA POÏÉTIQUE ET DE L’UTILISATION DES DESSINS COMME DÉCLENCHEUR DE PENSÉES ABSTRAITES THÉORITIQUES SOUS-ENTENDANT LES MOTS) J’UTILISERAI DONC LES DESSINS DE MON NOUVEAU CAHIER À DESSIN QUE MICHEL LECONCIERGE INTÉGRERA ENTRE LES PARAGRAPHES DU TEXTE DU CENTRE (3 WOWS) DE NOTRE DOCTORAT (AULD, WOODARD, ROCHETTE)… CE QUI IMPLIQUE QUE… DE LA MÊME MANIÈRE QUE J’AI JETÉ MA GUITARE DANS LE BOIS POUR ENTRER À L’UNIVERSITÉ, HIER J’AI JETÉ DANS LE FEU DU PASSÉ TOUT LIVRE POUR N’HABITER NUIT ET JOUR QUE LES TROIS ÉTAPES DE L’ÉCRITURE METTANT FIN AINSI À DES ANNÉES DE PROPÉDEUTIQUE (CONSTITUTION D’UN COFFRE D’OUTIL INTELLECTUEL (1: DESSINS ET PENSÉE ABSTRAITE THÉORITISÉE SOUS LES MOTS, 2: FIL D’OR ARGUMENTATIF SUR TROIS CHAPITRES, 3: STYLISTIQUE ET RHÉTORIQUE FINEMENT DOSÉS DANS LA FRESQUE ARCHITECTONIQUE QUE DOIT CONSTITUER TOUTE CONCLUSION OUVERTE.

Quel magnifique conseil d’administration de la créativité ce matin encore… Car je suis arrivé avec mes premiers dessins qui apparaîtront tels quels en intro-synthèse théoritique à chaque moment historial important de notre doctorat multi-média (Auld, Woodard, Rochette)

Je réalise aujourd’hui que , méthodologiquement, j’ai toujours monté sur les épaules de Paul Valery en adoptant et réinventant sa posture poïétique de l’aventure de la connaissance, et surtout, en faisant de notre doctorat un cahier multi-média comme les cahiers de Paul Valery où ses dessins sont reproduits tels quels, permettant de saisir la puissance abductive constructiviste de sa pensée créatrice.

Ainsi donc, j’ai annoncé à Michel et Marlene que mon intention à partir d’aujourd’hui était de jeter tout livre de mes mains comme j’avais jadis jeté ma guitare dans la forêt et de ne plus retoucher à aucun livre d’ici ma mort.

La patiente propédeutique (coffre d’outils) que je me suis imposée à 200 pages par jour de lectures en tout champ, y compris leur mise en forme universelle à travers différents dictionnaires de pointe a prit fin la nuit où j’ai vu clairement NOTRE CADRE THÉORIQUE se corseter autour de ce qui s’est passé dans notre bunker de l’amitié et de nos trois archétypes hologrammiques sous la forme d’une équipe de recherche travaillant en vue d’un prix Nobel de la paix.

Michel a commandé sa nouvelle camera pour filmer… elle devrait arriver d’ici quelques jours… De mon côté j’ai remis à Michel et Marlene leur partie terminée dans l’ouverture de notre  doctorat pour qu’ils le lisent attentivement en vue de 3 wows après critique. En leur suggérant bien humblement le fait que nous sommes trois peintres peignant c¸ote à côte et que ce doctorat multi-média constitue donc 3 doctorats comme trois peintres côte à côte (Marlene avec ses videos à gauche, Michel avec ses videos à droite, Pierrot avec le texte 3 wows au centre).

J’envisage donc de modifier aussi mes vagabondages futurs. Par exemple, cet été je prendrai l’autobus et me rendrai à La Tuque un nombre indéterminé de semaines pour dessiner dans mes cahiers à partir de la mémoire des lieux et écrire sur le blogue à partir de mes dessins.

J’ai montré à Marlene et Michel le premier dessin du cahier que je surnommerai «CAHIER À LA PAUL VALERY»… iL S’AGIT DE DEUX ROUTES CONDUISANT AU VAGABOND CÉLESTE, L’UNE ÉTANT PARCOURU HISTORIALEMENT PAR LES COUREURS DES BOIS, L’AUTRE PAR DES PHILOSOPHES. Et au milieu une question: Qu’Est-ce que la philosophie d’en haut a fait pour des Michel le concierge… la réponse RIEN… JAMAIS RIEN ET ENCORE RIEN…

Je m’en vais donc , ce matin photocopier ce dessin et Michel ce soin l’entrera dans un cartable-archive de dessins à publier dans le doctorat…

Je passe donc maintenant mes journées en méditation devant la beauté architectonique des pensées abstraites théoritiques qui m’habitent depuis toujours.. Je suis sur un 24 heures par jour 7 jours par semaine et un dessin après l’autre, j’accompagnerai l’écriture de chaque paragraphe dans sa construction abductive et argumentative et je n’aborderai le champ de la stylistique et de la rhétorique qu’une fois le doctorat écrit au complet.

Pierrot vagabond

 

DOCTORAT (AULD, WOODARD, ROCHETTE) OUVERTURE DU IER CHAPITRE DE 200 PAGES EN TROIS PARAGRAPHES FONDATEURS

CHAPITRE 1: LA NON-TRICHERIE
DE L’ONTI-K-UE À L’ONTI-K-ATION DE TOUTE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART

Dans un premier temps, par TROIS RÉCITS TIRÉS DE L’ ONTI-K-UE EXISTENTIEL, ce ier chapitre réfléchira sur la condition humaine et cela discursivement à partir des propos contextualisés de trois archétypes hologrammiques : Michel Concierge (la tricherie), Marlene la Jardinière (le jardin constellaire) et Pierrot Vagabond (le rêve big-bang), avec comme fondement axiomatique le fait que, pour ces trois archétypes, la décision de ne pas ou de ne plus tricher POUR SE RENDRE DISPONIBLE À AUTRE CHOSE, A, SELON LES TROIS, RADICALEMENT CHANGÉ LEUR VIE,

Dans un deuxième temps, nous avancerons l’hypothèse constructiviste SUIVANTE : Dans les trois cas, la non-tricherie semble s’accompagner de l’émergence d’un CHAMP CONSTELLAIRE dont nous tenterons d’articuler les mécanismes texturaux en les contrastant avec ceux de la didactique spéculative du 18eme siècle (Kant, Scheller, Goethe, Hegel) tout comme avec l’existentialisme continental du 20ième siècle (Jaspers, Mounier, Heidegger et Sartre), creusant ainsi la différence entre LA NOTION DE PROJET sous-entendant les deux démarches antérieures et celle DE RÊVE BIG-BANG AU 21EME SIÈCLE de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette).

Dans un troisième temps, PAR LA THÉORISATION DU PASSAGE DE L’ONTI-K-UE À L’ONTI-K-ATION PUIS DE L’ONTI-K-ATION À LA VIE PERSONNELLE ŒUVRE D’ART, nous conclurons cette avancée théoritique (non-tricherie, champ constellaire, rêve big-bang) par la mise en axiome de l’énoncé suivant : toute décision de ne pas ou de ne plus tricher constitue une initiation à la vie personnelle œuvre d’art par un champ constellaire déclencheur d’un rêve big bang ouvrant la porte à l’invention nano-planétaire d’un algorithme social : «WOW-T=2.7K?». pouvant se viraliser par une application disponible sur des milliards de téléphones intelligents.

Ceci dit, laissons d’abord la parole à notre ier archétype hologrammique : Michel le concierge :
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À TRAVERS LE CIRCUIT PAROLES VIVANTES… LE GRAND CONTEUR INTERNATIONAL SIMON GAUTHIER DE NOUVEAU ENTREPREND UNE TOURNÉE DU QUÉBEC AVEC SON RÉCIT PHILOSOPHIQUE… «LE VAGABOND CÉLESTE»

Circuit Paroles Vivantes

Un programme ambitieux de développement de marché

afin d’accroître le rayonnement du conte au Québec !
Conte – Poésie – Slam – Littérature orale

Le Regroupement du conte au Québec (RCQ), après consultation du milieu et à la lumière des besoins énormes en termes de diffusion, lance un stimulant programme de développement de marché intitulé Circuit Paroles Vivantes (CPV). C’est pour répondre de manière structurante aux enjeux de diffusion des artistes, tout en favorisant une appropriation par les diffuseurs des arts de la parole, que ce programme voit le jour. CPV se veut inclusif et déborde de l’univers spécifique du conte pour englober toute la circulation de l’oralité.

Circuit Paroles Vivantes se veut un outil de dialogue afin que se rencontrent davantage les programmateurs, les publics et les artistes de la parole. Les candidat.e.s retenu.e.s au programme bénéficieront, sur une période de deux ans, d’une mise en marché de leurs spectacles, notamment par la réalisation d’un dossier de présentation et d’une fiche technique, ainsi que par l’élaboration d’une grille tarifaire. Les candidat.e.s seront représenté.e.s lors d’événements contacts tels que la Bourse Rideau et la Rencontre d’automne – ROSEQ. Un démarchage auprès des diffuseurs pluridisciplinaires et la négociation d’ententes seront pris en charge par le programme. Les candidat.e.s seront accompagné.e.s dans leur développement d’un savoir-faire en matière de diffusion, de telle sorte qu’à la fin du programme, ils puissent poursuivre efficacement le développement de leur diffusion.

Les artistes de la cohorte 2018-2019 sont :

Françoise Crête, Esther
Suzanne De Serres, Ulysse
SIMON GAUTHIER, LE VAGABOND CÉLESTE
François Lavallée, Western
Mafane, La Ruée vers l’autre
Renée Robitaille, Vikings
Franck Sylvestre, Le Fossoyeur
Nadine Walsh, Sacré chœur de Gilgamesh

Découvrir les spectacles

D’étincelles qui ont le pouvoir phénoménal de tout
changer, ce récit de vie en est chargé. Simon Gauthier
raconte, avec toute la portée de sa chaleureuse
sensibilité, sa rencontre avec un libre rêveur qui décida
un jour d’incarner son propre rêve : être un chasse-misère.
Les épreuves traversées sont sublimées par la
beauté des rencontres humaines et par la foi en son
idéal !

Extrait

sur scène
Simon Gauthier, conteur
concepteurs
Texte : Simon Gauthier
Mise en scène : Daniel Gaudet
durée
70 min
public cible
Tout public dès 12 ans
contact
Marie Bernier
514 834-7389

circuitparolesvivantes@gmail.com
conte.quebec/circuit-paroles-vivantes

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Faire accéder le conte aux salles

Serres livrera un conte musical inspiré du mythique «Ulysse» d’Homère.

Caroline Montpetit

21 mars 2019

Culture

Le conte se passe de bouche à oreille, partout où on prend le temps de l’accueillir, autour d’un feu, dans un bar, dans une bibliothèque ou au-dessus du lit d’un enfant. Il se transmet là où il le peut, sans tambour ni trompette, et marque souvent à jamais les mémoires. En fait, le conte est peu diffusé dans les salles de spectacle. Pour pallier cet état de fait, le Conseil des arts et des lettres du Québec et le Secrétariat à la promotion et à la valorisation de la langue française ont annoncé mardi la création du Circuit Paroles vivantes, qui favoriserait la diffusion de l’art du conte en salle de spectacle.

Grâce à ce circuit, le Regroupement du conte au Québec a pu organiser des tournées à cinq conteurs dans différentes salles de spectacle à travers le Québec. Dès ce printemps, on pourra y voir Franck Sylvestre, Renée Robitaille, Suzanne De Serres, SIMON GAUTHIER et Nadine Walsh, de Gaspé à Saint-Eustache en passant par Trois-Rivières et Joliette. Ils aborderont, chacun à leur façon, l’histoire d’Ulysse ou celle de Beowulf, celle du Fossoyeur ou de Gilgamesh.

Qu’ils viennent du Québec ou de Ouagadougou, [tous les conteurs] ont les mêmes concepts, les mêmes symboles

— Mo Carpels

Dans un rapport intitulé Raconte-moi la diffusion, réalisé au cours de la dernière année pour le compte du Regroupement du conte au Québec, les chercheurs ont par ailleurs constaté le peu de représentativité de conteurs autochtones ou dits de la diversité dans les rangs des membres du Regroupement du conte au Québec. On y constate que « le bouche-à-oreille reste le moyen principal pour la découverte de conteur.euse.s par les diffuseur.e.s ». On lit encore que « presque tous les diffuseur.e.s se sont désolés d’un manque de propositions d’oeuvres d’artistes en conte. Le manque devient plus important en ce qui concerne les conteur.euse.s. autochtones et dit.e.s de la diversité culturelle ».

APRÈS TANT D’ANNÉES DE DISCIPLINE DE LECTURES À 200 PAGES PAR JOUR, J’AI ENFIN QUITTÉ LA PROPÉDEUTIQUE ET TOUTE CETTE CULTURE POINTUE…. L’ÉCRITURE D’UN FIL D’OR DRAMATURGIQUE INVENTIF M’ENVAHIT MAINTENANT DANS UN NUIT ET JOUR OÙ RIEN NE VIENT ME DISTRAIRE D’UN CHEF D’OEUVRE DE DOCTORAT EN ÉQUIPE (AULD, WOODARD, ROCHETTE), MARLENE ET MICHEL M’OFFRANT UN RESPECT ET UN ENVIRONNEMENT DE CRÉATIVITÉ D’UN TRÈS HAUT NIVEAU D’ABSTRACTION STRATÉGISTE.

Quel beau conseil d’administration de la créativité ce matin. Je suis arrivé avec les copies sur papier des 40 premières pages du ier chapitre du doctorat, dans une forme de pensée abstraite sous les mots que nous soumettrons à en fin de semaine à nos 3 wows, avant de passer à la précision de l’argumentaire sous l’euporie des connecteurs… puis pendant que Michel construira les marges de gauche et de droite par des videos (Marlene la jardinière et Michel le concierge), je revisiterai la stylistique avant l’approbation final de l’équipe pour les 40 ieres pages dans leur finalité.

Il est certain que Michel le concierge insiste surtout sur la non-tricherie dans son ier 20 pages, alors que Marlene la jardinière par son témoignage sur ses jardins en symbolisera la valence comme SYMBOLE DE CE QU’EST UN CHAMP CONSTELLAIRE (les 20 pages qui se glisseront entre Michel et Pierrot) tandis que Pierrot vagabond insistera sur la notion de rêve big bang dans son 20 pages…

Ce qui donnera dans la deuxième partie de ce chapitre (un 60 pages en soi) le fondement même de l’onti-k-ation (non-tricherie-champ constellaire, rêve big bang). J’ai déjà 9 pages d’écrites là-dessus.

Moi qui pensait terminer le ier chapitre sur trois en septembre… Tout va tellement vite qu’il est même possible qu’en juillet les 200 ieres pages du doctorat multi-média soient complétées, à la satisfaction des 3 wows de notre équipe de recherche.

Je suis tellement fébrile que mes nuits raccourcissent de joie de vivre, stylo et calepin sans cesse à mon chevet…

JE NE SAIS PLUS SI UN JOUR
JE RELIRAI UN SEUL LIVRE:))))))))))))))))))

merci à notre équipe de recherche
(Auld, Woodard, Rochette)

12 ans de pure joie intellectuelle
à faire œuvre en équipe

Pierrot vagabond

LES APHORISMES DU CARNET DU CONCIERGE DE MON AMI, PARTENAIRE DE RECHERCHE ET CRÉATEUR DE LA PHILOSOPHIE D’EN BAS SONT ÉTINCELANTS D’AUTHENTICITÉ DE LA CONDITION HUMAINE… COMME CELUI-CI PAR EXEMPLE…JE ME SUIS RÉVEILLÉ CETTE NUITEMPLE… …

JE ME SUIS RÉVEILLÉ CETTE NUIT
J’AI VU GILLES VIGNEAULT
ET SES 93 ANS…

ET JE ME SUIS DEMANDÉ :
«POURQUOI EST-IL SI BEAU À 93 ANS?»

ET LA RÉPONSE QUI A SURGI EN MOI
EST SI SYMBOLIQUE DE SA NON-TRICHERIE…

C’EST PARCE QU’IL A DANSÉ TOUTE SA VIE
Le carnet du concierge

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LA NON-TRICHERIE
C’EST LE MEILLEUR DE NOUS-MÊMES

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WWW.LEPAYSOEUVREDART.COM

ARNAUD CHAUCHOY M’ÉCRIT: « EST-CE QUE LE RÊVE DE TOMMY CLADWELL DE GRAVIR UNE INFRANCHISSABLE MONTAGNE PEUT ÊTRE CONSIDÉRÉ COMME UN RÊVE BIG BANG POUR LES IMPLICATIONS QU’IL A SUR SA VIE ET DES GENS QUE CET EXPLOIT INSPIRE?» … ET MOI DE LUI RÉPONDRE: « ET BIEN ARNAUD, T’ES À CE POINT PILE AVEC TON EXEMPLE QUE JE VAIS M’EN SERVIR POUR LE DOCTORAT (AULD, WOODARD, ROCHETTE) EN CITANT TON NOM … ET JE L’INSCRIS IMMÉDIATEMENT SUR LE BLOGUE… BRAVO POUR TON INTELLIGENCE VRAIMENT BIENVEILLANTE À MON ÉGARD…

ARNAUD CHAUCHOY M’ÉCRIT: « EST-CE QUE LE RÊVE DE TOMMY CLADWELL DE GRAVIR UNE INFRANCHISSABLE MONTAGNE PEUT ÊTRE CONSIDÉRÉ COMME UN RÊVE BIG BANG POUR LES IMPLICATIONS QU’IL A SUR SA VIE ET DES GENS QUE CET EXPLOIT INSPIRE?» … ET MOI DE LUI RÉPONDRE: « ET BIEN ARNAUD, T’ES À CE POINT PILE AVEC TON EXEMPLE QUE JE VAIS M’EN SERVIR POUR LE DOCTORAT (AULD, WOODARD, ROCHETTE) EN CITANT TON NOM … ET JE L’INSCRIS IMMÉDIATEMENT SUR LE BLOGUE… BRAVO POUR TON INTELLIGENCE VRAIMENT BIENVEILLANTE À MON ÉGARD…

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Tommy Caldwell : « Une magnifique histoire d’amour avec le Dawn Wall »

Publié le vendredi 28 septembre 2018 à 12:13 | Mis à jour le 28/09/2018 à 14:57

En 2015, Tommy Caldwell et Kevin Jorgeson ont dompté une des voies les plus difficiles du monde, la paroi de 900 mètres du Dawn Wall, sur El Capitan dans la vallée du Yosemite (Etats-Unis), réputée pour être impossible à gravir. Le film The Dawn Wall est l’histoire de cette ascension et de ces sept ans de préparation, mais aussi de la vie de Tommy Caldwell. Cet habitué des « big walls » revient sur leur exploit.

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Escalade – Escalade – Tommy Caldwell fait partie des meilleurs grimpeurs du monde. (The Dawn Wall)

Tommy Caldwell fait partie des meilleurs grimpeurs du monde. (The Dawn Wall)

Après ces sept années de préparation et tentatives, à quel moment vous avez réalisé que vous étiez capable de le faire, grimper le Dawn Wall (32 longueurs) ?
Je n’ai pas réalisé jusqu’à la dernière poussée. Quand vous êtes à 19 jours d’efforts, les derniers sont les plus durs. Pendant toute l’aventure, je me posais des questions. Là, j’ai su que c’était bon. Cette période de l’année, le milieu de l’hiver, donne les meilleures conditions pour escalader. Ça n’arrive qu’une fois dans l’année, où il fait aussi froid et sec.

Votre vision du Dawn Wall a changé depuis cette ascension ?
La première fois que j’ai envisagé de l’escalader, j’étais à un moment de ma vie où j’avais besoin d’une distraction, d’un objectif majeur. Quelque chose en quoi croire, un truc à m’obséder quand je traversais des périodes compliquées personnellement. Des années plus tard, c’est devenu un rêve positif. Escalader ce mur a été très inspirant. L’énergie sombre s’est transformée en quelque chose de positif.

Tommy Caldwell, droit dans le mur

La première fois que vous avez grimpé le Dawn Wall, vous aviez 19 ans, avec votre père. Quel souvenir vous gardez de ce moment ?
C’était mon premier « big wall » aussi grand. J’étais un bon athlète, et je pensais que ça irait. Mais le mur m’a totalement battu. J’étais très effrayé. Le challenge avait l’air si grand, ça m’a tué. Très rapidement les années qui ont suivies, je suis devenue très obsédé par ce mur, pour trouver la solution.

The Dawn Wall – Bande Annonce from Reel Rock France on Vimeo.

Aujourd’hui, qu’est-ce ce mur représente pour vous ?
Maintenant, je le vois comme une influence positive sur ma vie. Mais pas au point de le refaire, pas tout de suite. Je suis plutôt prêt à trouver d’autres murs semblables ailleurs. Mais ce genre de chose n’arrive pas tout le temps, il faut attendre le bon moment dans ta vie. Travailler si dur vers un objectif comme celui-ci, c’est une belle façon de vivre.

« Est-ce qu’on n’était pas totalement fous de passer autant de temps et investir autant de notre vie sur ce projet pour peut-être ne jamais y arriver ? »

19 jours sur le mur, à quoi ressemblait votre quotidien ?
En quelques mois, je suis devenu presque addict à ça. Parce que c’est si beau et l’expérience est tellement intense. C’est assez bizarre, tu ne peux pas marcher, juste t’asseoir d’un côté du porteledge. D’un côté, l’escalade est tellement complexe, éprouvante et difficile… Mais la vie sur le mur est simple : tu ne peux faire qu’une chose : escalader, et réfléchir à comment grimper. Il n’y a pas beaucoup d’autres distractions. Des choses simples. Chaque jour était excitant, être dehors, avec une vue magnifique. Tu n’as pas tout ce que tu as à la maison, donc la vie est plus simple et pure, et j’aime ça. Tu dois penser à tout attacher pour ne pas faire tomber. J’ai fait tomber mon portable mais au final, j’étais plutôt content. Car au fur et à mesure, on a eu de plus en plus de pression, de distraction par les médias… Avec tout ça, j’avais l’impression de ne pas vivre dans le moment présent.

Les deux grimpeurs ont vécu 19 jours sur le mur. (The Dawn Wall)
Les deux grimpeurs ont vécu 19 jours sur le mur. (The Dawn Wall)

Vous avez douté pendant ces 19 jours ?
Tout le temps. Sauf dans la dernière poussée. Mais tout le long de la grimpe et pendant ces sept années de préparation, entre la météo, les distractions, la motivation, la fatigue… il y a plein de raisons de douter. Est-ce qu’on n’était pas totalement fous de passer autant de temps et investir autant de notre vie sur ce projet pour peut-être ne jamais y arriver ?

Quel était votre sentiment en haut, une fois sur la terre ferme ?
Le meilleur moment a été juste avant de rejoindre le sommet. J’étais avec Kévin, avec les caméramans, notre équipe… c’était un instant où on a réellement apprécié ce qu’on a réussi à faire, ensemble. Puis, on a rejoint toutes ces personnes là-haut, c’était très bizarre. C’était un moment très personnel et le partager avec les médias, c’était dur pour moi.

Josh Lowell, réalisateur de The Dawn Wall : «J’ai songé à tout arrêter »
« Durant six ans, Tommy et son partenaire, Kevin Jorgeson, ont passé chaque printemps et chaque automne au Yosemite pour tenter l’ascension. Nous avions des équipes de tournage en place pour documenter le processus. Ils ont échoué à plusieurs reprises. J’ai parfois songé à tout arrêter car les chances de succès semblaient très minces. Mais en découvrant le passé de Tommy et la complexité de sa motivation, j’étais convaincu que la saga du Dawn Wall, réussie ou non, serait la toile de fond idéale pour raconter l’histoire fascinante de sa vie. »

Dompter le Dawn Wall vous a changé ?
Je suis toujours le gamin timide que j’étais avant. Les gens viennent me voir en disant que ce que j’ai fait est inspirant, ils me regardent d’une certaine manière… Ça me semble toujours bizarre.

Quel a été le meilleur moment de votre aventure ?
La veille de notre arrivée en haut du Dawn Wall. Le matin, on s’est réveillés à l’aube. On s’est dit qu’on allait le faire ensemble. Nous étions gelés à cause du froid, et le soleil est apparu. On était les premiers de tout le parc Yosemite à voir le soleil. En haut de la montagne. C’était un moment vraiment magique, il restera gravé dans ma mémoire.

Le 14 janvier 2015, Tommy Caldwell vient à bout de son rêve : grimper le Dawn Wall. (The Dawn Wall)
Le 14 janvier 2015, Tommy Caldwell vient à bout de son rêve : grimper le Dawn Wall. (The Dawn Wall)

Quels sont vos prochains projets ?
J’ai des projets, mais je ne veux plus dédicacer ma vie à un seul objectif, comme je l’ai fait pour le Dawn Wall. J’ai envie surtout de passer du temps en famille. Mais j’ai toujours une liste de « big walls » que je veux grimper. En Argentine, à travers l’Europe… J’ai également des engagements dans la protection de l’environnement. Je veux essayer d’utiliser cette plate-forme, maintenant que les gens m’écoutent. J’ai la responsabilité de faire ça. Faire quelque chose de positif pour le monde.

Adam Ondra au sommet du Dawn Wall, la grande voie la plus dure au monde

Dans le film, et le livre, vous racontez votre vie, pas seulement l’ascension du Dawn Wall. Pourquoi ?
J’ai toujours été fan des livres d’aventures. J’aime lire et je voulais me tester à l’écriture. Grâce à ce livre, j’avais l’impression de m’asseoir chez mon psy, lui raconter ma vie, et tout lâcher. Pour comprendre ce qui m’était arrivé, comme une thérapie personnelle. Avoir des enfants, ça m’a aussi donné envie de comprendre ma vie et ma façon de voir les choses. Pour comprendre comment élever mes enfants. Avant, je n’avais pas pris le temps de réfléchir et me poser comme ça. Au début, je ne pensais pas tout le temps au fait de publier un livre, mais plus à l’idée de créer quelque chose par moi-même. Les réalisateurs ont utilisé mon livre pour faire le film. Je n’avais pas vu le film avant la première, je leur ai fait totalement confiance.

« Push ! la vie au bout des mains », le récit d’une vie
La découverte de l’escalade à trois ans avec son père, son amour pour l’escalade, la prise d’otage lors d’un voyage au Kirghizistan où Tommy Caldwell pousse un de ses ravisseurs du haut d’une falaise pour s’échapper, ses histoires d’amour, sa passion dévorante pour le Dawn Wall… Plus que le récit de leur ascension magistrale du Dawn Wall, dans Push ! La vie au bout des mains (Editions Glénat), l’Américain raconte sa façon de vivre, ses doutes, ses motivations, ses peurs. Sa vie de grimpeur.

Dans votre livre, vous écrivez que vous avez un peu peur de tomber dans une relative dépression une fois l’exploit réalisé, car cela a guidé sept ans de votre vie. Maintenant que vous avez réalisé votre rêve, dans quel était d’esprit êtes-vous ?
Je ne me sens pas dépressif. J’ai l’impression d’avoir vécu une magnifique histoire d’amour avec ce mur pendant sept ans. Et maintenant, c’est fini. Je pense qu’au début, j’ai essayé de trouver autre chose qui pourrait m’obséder autant, me guider dans ma vie et mes objectifs. Ecrire ce livre a été un peu ça. Mais durant l’année que j’ai prise à l’écrire, je me suis rendu compte que j’étais chanceux d’avoir ma famille et je veux passer plus de temps avec eux. Tout en continuant de grimper, mais moins. Je suis heureux.

DOCTORAT DE L’ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE)… IER CHAPITRE: LA NON-TRICHERIE… DE L’ONTI-K-UE À L’ONTI-K-ATION DE TOUTE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART….. P.80-100…. BASE DE DONNÉES POUR LA PARTIE THÉIORIQUE SUR L’ONTI-K-ATION À PARTIR DE CE QUI RELIE LES TROIS ARCHÉTYPES HOLOGRAMMIQUES (MICHEL LE CONCIERGE, P.1-20….. MARLENE LA JARDINIÈRE, P.20-40….PIERROT VAGABOND…P.40-60…

L’ONTI-k-ATION DES TROIS ARCHÉTYPES HOLOGRAMMIQUES
2645,

2645… ONTICIEN … COURRIEL DU CONTEUR INTERNATIONAL SIMON GAUTHIER QUI DEPUIS 7 ANS MAINTENANT PAR SON RÉCIT PHILOSOPHIQUE «LE VAGABOND CÉLESTE» À TRAVERS LA FRANCOPHONIE (PRÈS DE 200 SPECTACLES) DESSINE DES ÉTOILES DANS LA NUIT DES RÊVEURS QUI ASSISTENT À SES PRESTATIONS… COMME CELA EST BEAU… COMME CELA EST GRAND.

D’ailleurs ce matin je disais à Michel et Marlene que l’étude de l’épistémologie m’avait convaincu que je ne serais jamais un épistologue, l’étude de l’ontologie… jamais un ontologue, l’étude de la méthaphysique, jamais un métaphysicien…
Mais une chose dont je suis sur… c’est que Marlene, Michel, moi, toi et Fred… sommes des onticiens…. soit des maîtres-artisans de l’ontique.
et Michel le concierge de m’en donner une magnifique définition:
C’EST QUOI UN ONTICIEN?
C’EST L’INSTANT PRÉSENT.
CE QUI EST DEVANT NOUS
DONC UN ONTIQUE QUI
PREND SOIN DES AUTRES
UN PAR UN.
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2647,

2647… ONTICIEN …L’ONTICATION DU RÉEL PAR «WOW-T=2.7K?» ACCENTUE LE DEGRÉ D’ÉLÉVATION DE LA PHILOSOPHIE D’EN BAS-CRI-DE-MUNCH (MICHEL LE CONCIERGE) DANS LA VOIE D’UNE MULTIVERS-SAGESSE DE L’INTELLIGENCE, OÙ L’ÉPISTÉMOLOGIE, L’ONTOLOGIE ET LA MÉTAPHYSIQUE REDEVIENNENT DES ACTIVITÉS PARTICULIÈRES DE LA PHILOSOPHIE D’EN HAUT, REDONNANT L’AMBITION UNIVERSALISTE À LA POÉSIE MÊME DE TOUT ENFANT QUI SE MEURT DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE AVANT L’AVÉNEMENT DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE SUR TERRE INSTITUIONNALISANT LE DROIT UNIVERSELLE À CHAQUE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART LE DROIT INOUI À LA NON-TRICHERIE DES PLUS FORTS VIS-À-VIS DES PLUS HUMBLES.
FEBRUARY 26, 2019
Peu à peu, les paramètres ÉMERGENT de ce qui constituera les attributs non essentiels mais open source du champ constellaire de tout ONTICIEN OU ONTICIENNE AU SERVICE DE LA BEAUTÉ DU MONDE,
Pierrot vagabond
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2648,
2648… ONTICIEN… VOICI VENU LE TEMPS DES HÉROS DE L’ONTIQUE MARCHANT DE LEUR ERRANCE POÉTIQUE LE MULTIVERS DE LEURS PAS EN FLAMME PORTANT DANS LEUR SAC À MÉMOIRE LE CRI DE MUNCH DES MILLIONS D’ENFANTS MORTS DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE AVANT DE DORMIR AU CRÉPUSCULE DE LA BEAUTÉ DU MONDE À NAÎTRE AUX PIEDS DES TOMBES D’UN SILENCE PROFANE INOUI DE SACRÉ DEMANDANT CONVOCATION AU NOM D’UNE NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE À ÉMERGER D’UNE MASSE CRITIQUE DE VIES PERSONNELLES OEUVRE D’ART….
FEBRUARY 26, 2019
De là le chef d’œuvre de Michel le concierge… un épitaphe qui semble venu de l’espace dont on peine à lire l’inscription mais dont on reconnait l’écho
WOW-T=2.7K?
Pierrot vagabond
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2649,

2649…ONTICIEN… TOUTE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART PAR SON ACCÈS À L’ERRANCE POÉTIQUE MULTIVERSISÉE PAR LA NON-TRICHERIE AGIT COMME UNE POÉTESSE QUI PRODUIT UN MONDE PAR LA PAROLE… L’ÉMERGENCE D’UN CHAMP CONSTELLAIRE EN DÉCOULANT, AUX ÉTIQUETTES LIBÉRÉES DE TOUTE ATTACHE SÉMIOTIQUE COMME SÉMIOLOGIQUE PAR L’ATTRACTION MÊME DE L’OPEN SOURCE AUX LUMINOSITÉS RHYZOMIQUES, VIRALES SUSCITE UNE MASSE CRITIQUE DE PERSONNES HUMAINES NANO-CITOYENNES PLANÉTAIRES AUX FORCES GÉOPOLITIQUES À LA MARGE DE LIBERTÉ CONSTRUCTIVISTE DE FORMES QUANTO-COSMOLOGIQUES SANS COSMOGONIES AUTRES QUE LES MILLIONS D’ENFANTS MORTS DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE QUI HANTENT L’HORIZON DES DROITS UNIVERSAUX
FEBRUARY 26, 2019
Jamais jusqu’ici, l’ontique n’avait été possible dans toute sa pureté abductive… car enfouie de mythologie, de religiosité comme de violences cycliques, une simple vie personnelle œuvre d’art pourtant étoile polaire d’une création éclatante (l’homme qui plantait des arbres de Giono, Marlene la jardinière) ne pouvait se modéliser sous une formule infra-intuitive:
WOW-T=2.7K?
Les héroïnes ontiques se meuvent sans tricherie au service de la beauté du monde…
Le 21eme siècle assistera à la mise en tutelle des monarchies nucléaires et leurs états féodalisés par l’impossible….
Quelques conteux de l’impossible
allumeront l’incendie
du cœur
dont a besoin l’humanité
pour s’élever sans faille.
Pierrot
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2661,

2661…ONTICIEN… HISTORIALEMENT , FONDATION DE L’ONTOLOGIE PAR ARISTOTE (SUBSTANCE ET ACCIDENTS) SUCCÈDE À LA FONDATION DE LA MÉTAPHYSIQUE SOUS SA FORME HÉNOLOGIQUE (LA RADICALITÉ DU UN) DE LA MÉTAPHYSIQUE PAR PLATON DE LA MÊME RUPTURE PARADIGMATIQUE AVEC LAQUELLE L’ONTICATION DU RÉEL PAR LE RÊVE BIG-BANG ET SON CHAMP CONSTELLAIRE SUCCÈDE À L’ÉPISTÉMOLOGIE CONTEMPORAINE
MARCH 3, 2019
Ce sera d’ailleurs mon hypothèse de recherche de la prochaine semaine en revisitant «le Parménide de platon» pour ce qui est de la métaphysique sous sa forme honologique, versus l’ontologie sous sa forme de substance versus les accidents dans la métaphysique d’Aristote…
Mon objectif étant de faire danser deux historiaux, dont la distorsion binaire (ier historial… métaphysique-ontologie dans leur point d’émergence) (2eme historial… épistémologie-onticologie d’un rêve big-bang)….. reflète une dissolution d’une flèche dirigée vers la certitude de la science pré-quantique par le flottement multivers réinversant le rapport entre le ? et le !
à suivre…
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2662,

2662… ONTICIEN… L’ONTIQUE TELLE QU’EXPLORÉE PAR LA PHILOSOPHIE TRADITIONNELLE ET L’ONTIQUATION DU RÉEL TEL QUE VÉCUE PAR LA NON-TRICHERIE D’UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART EN QUÊTE DE SON RÊVE BIG BANG AU COEUR D’UN CHAMP CONSTELLAIRE UNIVERSEL PAR SA PRÉSENCE ET SYNCHRONIVIDENCIEL PAR SA FORME DONNE L’ACCÈS AU POINT D’EXCLAMATION (!) DE L’ÉNIGME TRADUITE EN POINT D’INTERROGATION (?) PAR LES AVANCÉES MÉTAPHYSIQUES HÉNOLOGIQUES (pLATON, pLOTIN) , LES PROPÉDEUTIQUES ONTOLOGIQUES (ARISTOTE) ET LES PARAMÈTRES PROTOCOLISANTS DES LOIS ISSUS DE L’ÉPISTÉMOLOGIE…. SEULE L’ONTIKATION DU RÉEL PAR LA NON-TRICHERIE DONNANT ACCÈS À L’ERRANCE POÉTIQUE TELLE QU’ÉNIGMATISER PAR LES OBSERVATIONS QUANTO-COSMOLOGIQUES RELIÉES AU MULTIVERS
MARCH 4, 2019
Le premier devoir d’une pensée abstraite de haut niveau me semble être un devoir d’humanité.
De là découle le deuxième devoir de la pensée abstraite de haut niveau: un devoir d’ontikation personnaliste au cœur même de la question (!=?)
De là découle le troisième et le plus important devoir d’une pensée abstraite de haut niveau, celui du passage sans faille d’une humanité universaliste à une ontikation appliquée pour viraliser l’open-source même de l’ALGORYTHME SOCIAL , fondement de la nano-citoyenneté-planétaire:
WOW-T=2.7K?
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COMMENTAIRE
Je me rappelle quand j’ai commencé à vagabonder après avoir créer l’archétype hologrammique du vagabond céleste par une œuvre littéraire (Monsieur 2.7k) un 1000 pages disponible gratuitement sur internet et téléchargeable (www.reveursequitables.com/ cahier de presse/ monsieur 2.7k). J’étais parti avec une question:
SI JE PRENDS SOIN DE L’UNIVERS, EST-CE QUE L’UNIVERS VA PRENDRE SOIN DE MOI?
Mais cette question ne pouvait s’architectoniser en montant les étapes propédeutiques de ma pensée abstraite parce qu’il y manquait un élément déclencheur: CELUI DU DEVOIR D’HUMANITÉ.
Un jour, je fus invité chez un couple qui n’avait qu’un enfant handicapé… plus ou moins abandonné… on me demande d’aller chercher du pain… je suis parti avec l’enfant… au retour j’avais oublié le pain… et quand les parents m’en ont fait le reproche… je leur ai dis… c’est quoi le plus important… que j’ai pris soin de votre enfant ou que j’ai apporté du pain?
Puis je me suis mis , après avoir dormi dans un cimetière, à m’arrêter devant des tombes d’enfant… Invisibles, questionneuses, intrigantes… perdues dans le dédale des morts qui tentaient de rester vivants par des pierre tombales plus fastueuses les unes que les autres.
Puis je me suis mis à dormis au cimetière devant une tombe d’enfant… Et peu à peu ma question de doctorat s’est ancrée dans son DEVOIR D’HUMANITÉ
QUELLE INSTITUTION PLANÉTAIRE FAUT-IL INVENTER POUR QUE SUR TERRE PLUS AUCUN ENFANT NE MEURE DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE?
Puis est venu le deuxième devoir de la pensée abstraite… un rêve big bang sans tricherie pose un geste d’ontikation personnaliste d’une grande beauté dans l’élan même de son champ constellaire universel par sa présence au non-tricheur mais synchronivitalement par son unicité.

Oui j’ai composé la chanson du camionneur, oui Fred la chante… mais quand un camionneur la reprend sur you tube parce qu’il sort d’une chirurgie et qu’il veut dire merci à sa femme, l’ontikation en est d’une luminosité à couper le souffle.
Ce qui m’amène à poser des gestes sans empreinte en prenant soin des rêves des personnes humaines et non des personnes humaines, surtout des enfants (quelques enfants en Afrique par exemple) dont mon geste pourrait permettre de poursuivre leurs études selon leur rêve, reliant ainsi dans mon doctorat le devoir d’humanité universaliste au devoir d’ontikation appliqué,
FAISANT DE L’ONTIQUE L’OUVERTURE ! DONT AURA BESOIN AUTANT LA MÉTAPHYSIQUE, L’ONTOLOGIE QUE L’ÉPISTÉMOLOGIE DANS SES INTRIQUATIONS RELIÉES À L’ÉNIGME DU Multivers.
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2677,

2677… «L’ONTIQUATION» DANS LE CHAMP CONSTELLAIRE ÉMERGEANT D’UNE NON-TRICHERIE ASPIRÉE PAR UN RÊVE BIG-BANG…..C’EST LE DROIT À L’ERRANCE POÉTIQUE ARCHIVÉE SOUS FORME D’ERRANCE POÏÉTIQUE DE S’INSÉRER EUMÉTRIQUEMENT ENTRE L’ÉPISTÉMOLOGIE ET LA MÉTAPHYSIQUE, DISSOLVANT TOUTE PRÉTENTION ONTOLOGIQUE DU RAPPORT ENTRE LES ÉTIQUETTES FLOTTANTES ET LEUR HORIZON PHILOSOPHIQUE SOUS FORME D’IMAGINATION CONSTRUCTIVISTE ARTICULÉE SOUS L’ÉNIGME DU MULTIVERS.
MARCH 8, 2019
Autant la chanson du camionneur de Pierrot le vagabond que la chanson «lâche-moé pas» de Michel le concierge témoignent de l’ontiquation au quotidien que provoque la non-tricherie d’un rêve big-bang, avec pour conséquence de dessiner un champ constellaire remarquablement indivisualisé dans son rapport au prendre soin de la beauté du monde.
Dans le cas du vagabond céleste, une des énigmes des paramètres de l’ontiquation repose sur la dissolution et de la finitude et du sentiment tragique, comme si le dessein d’une finale de vie passait par une image: celle de la rivière St-Maurice que mon corps agonisant descend en canot alors que des deux côtés des berges, la naissance et la mort saluent en moi non pas la spectralité d’une peur archétype, mais l’hologrammie d’une multiversité privée œuvre d’art.
Hors temps, hors réalité, hors servitude…. hors race, hors langue hors religion… hors épistémologie, hors métaphysique… hors ontologie… exactement comme LE CANTIQUE DES CANTIQUES déposés par erreur dans une bible confuse de notions historiquement obtues.
à suivre…
Pierrot vagabond
2692,

2692… ONTICIEN… TRÈS BELLE RÉFLEXION EN ÉQUIPE CE MATIN DE LA DIFFÉRENCE ENTRE L’ONTIQUE, L’ONTIKATION ET L’ONTICIEN
MARCH 17, 2019
Michel a commencé par dire que pour lui, l’ontikation c’est l’art d’apprécier la valeur d’une unité…
J’ai suggéré à mes deux partenaires de glossairiser un peu plus ce néologisme en le considérant à partir et de la non-tricherie et du champ constellaire qui découle de la non-tricherie, ce qui donnerait à peu près ceci:
L’ONTIKATION SERAIT UNE DÉMARCHE POUR PASSER D’UNE VIE D’ERRANCE FANTOMATIQUE OU D’ERRANCE AXIOLOGIQUE À UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART FAITYE D’ERRANCE POÉTIQUE PAR LA DÉCISION DE NE PLUS TRICHER.
En quelque sorte, donner un sens poétique à sa vie par la non tricherie.
Et Michel de dire: Quelle belle façon de se promener sur les cendres du quotidien, de vivre l’enseignement par la beauté à partir de l’enfance.
En ce sens, le ier chapitre passera d’une histoire d’amour personnelle à une histoire d’amour universelle par une ontiKation réussie grâce à la non-tricherie.
Et l’onticien , serait celui qui se spécialise sur l’énigme de la réalité par son étude et de l’ontique et de sa version vie personnelle œuvre d’art qu’on appelle l’ontiKation.
Pierrot vagabond
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2692,

2692… ONTICIEN… TRÈS BELLE RÉFLEXION EN ÉQUIPE CE MATIN DE LA DIFFÉRENCE ENTRE L’ONTIQUE, L’ONTIKATION ET L’ONTICIEN
MARCH 17, 2019
Michel a commencé par dire que pour lui, l’ontikation c’est l’art d’apprécier la valeur d’une unité…
J’ai suggéré à mes deux partenaires de glossairiser un peu plus ce néologisme en le considérant à partir et de la non-tricherie et du champ constellaire qui découle de la non-tricherie, ce qui donnerait à peu près ceci:
L’ONTIKATION SERAIT UNE DÉMARCHE POUR PASSER D’UNE VIE D’ERRANCE FANTOMATIQUE OU D’ERRANCE AXIOLOGIQUE À UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART FAITYE D’ERRANCE POÉTIQUE PAR LA DÉCISION DE NE PLUS TRICHER.
En quelque sorte, donner un sens poétique à sa vie par la non tricherie.
Et Michel de dire: Quelle belle façon de se promener sur les cendres du quotidien, de vivre l’enseignement par la beauté à partir de l’enfance.
En ce sens, le ier chapitre passera d’une histoire d’amour personnelle à une histoire d’amour universelle par une ontiKation réussie grâce à la non-tricherie.
Et l’onticien , serait celui qui se spécialise sur l’énigme de la réalité par son étude et de l’ontique et de sa version vie personnelle œuvre d’art qu’on appelle l’ontiKation.
Pierrot vagabond
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2698,

2698…ONTICIEN… LE TITRE DU IER CHAPITRE DU DOCTORAT DE L’ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) SE PRÉCISE: LA NON-TRICHERIE, DE L’ONTI..K..E À L’ONTI..K…ATION DE TOUTE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART
MARCH 20, 2019
La différence entre un cerveau d’étudiant en fin de maîtrise et un étudiant en finale de doctorat m’apparaît être le très haut niveau de pensée abstraite lui permettant de passer de la recherche théorique à la recherche théoritique.
Soudainement, toutes les habiletés apprises en maîtrise, toute la culture bibliographée en doctorat… s’éloignent tel un Iceberg qui fond… Le chercheur, non seulement n’a plus besoin de lire, mais n’est hanté nuit et jour que par le fil d’or de sa question dont il connaît abductivement et intuitivement la très riche conclusion ouverte qui l’habite nuit et jour, aussi clairement qu’une carte géographique du ciel .
Bien plus, il est capable de diviser les trois opérations auquel son processus d’écriture sera confronté: 1) la pensée abstraite sous les mots, b) les blocs d’argumentation et ses connecteurs c) la stylistique harmonisant le tout.
A notre conseil d’administration de la créativité de ce matin, je soumettais donc à Marlene et à Michel les 20 pages concernant son archétype hologrammique qui sera d’abord soumis pour obtenir 3 wows à une évaluation de la pensée abstraite sous les mots… Puis une fois les 3 wos obtenus, je peaufinerai les blocs d’argumentation et les connecteurs pour resoumettre à nouveau le texte, Michel ayant durant ce temps offert une proposition signée des video de gauche (Michel) et de droite (Marlene). Puis pour la finale, je soumettrai le document avec sa version stylistique telle qu’elle devrait apparaître au dépôt du doctorat.
Doctorat que nous déposerons d’abord sur internet et qu’après seulement j’irai porter la page web sur laquelle 4 professeurs de 4 universités différentes seront invités à le lire parce que ce doctorat concerne tout particulièrement LEURS RECHERCHES, que j’ai déjà pris la peine de lire en propédeutique.
Pendant que nous orientons la conclusion ouverte de notre doctorat en vue de rencontrer une personne de l’institut d’intelligence artificielle du Québec (qui sera invitée à notre bunkler de l’amitié.. et non l’inverse), nous revisons aussi quotidiennement notre stratégie pour obtenir le prix Nobel de la paix par la collaboration d’une équipe algorithmique consacrée uniquement à cet algorithme social (wow-t=2.7k?) et son application sur des milliards de téléphones cellulaires en vue de créer en moins de 5 ans LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE.
à suivre…
Pierrot vagabond

DOCTORAT DE L’ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE)… IER CHAPITRE… LA TRICHERIE DE L’ONTI-K-UE À L’ONTO-K-ATION DE TOUTE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART… LES 20 PAGES SUR PIERROT VAGABOND SUITE AUX 20 PAGES NON ENCORE CONSTRUITES DE MARLENE LA JARDINIÈRE… SUITE AUX 20 IERES PAGES SUR MICHEL LE CONCIERGE DÉJÀ CONSTRUITES

LE 20 PAGES SUR LE VAGABOND CÉLESTE
1300
(LA TUQUE) QUEL ÉTAIT LE RÊVE DE MON GRAND-PÈRE LUCIEN, DE MON PÈRE ROGER ET MON ONCLE PAULO…. LE MÊME QUELE MIEN… LE DROIT UNIVERSEL À UNE ERRANCE POÉTIQUE PAR LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART
MAY 15, 2016
Il y a trois sortes d’errances… l’errance fantômatique (les sans-papiers du monde entier par exemple), l’errance axiologique (ceux ou celles qui se battent pour une cause contre une cause, exemple Trump contre Clinton) et l’errance poétique ( ceux et celles pour qui les malheurs de la vie ne sont qu’une gare où le bonheur de vivre fait le plein dans la marche vers son rêve épique).
Dans tous mes vagabondages poétiques, je n’ai trouvé qu’un seul environnement de nature poétique qui ressemblait à la ville de La Tuque où je suis né, et c’est Caraquet au Nouveau-Brunswick…
Oui Caraquet… Ce village cité comme le plus long du monde dans un dictionnaire était habité entre deux extrémités… par les purs à un bout (les religieux avec un lieu de pèlerinage) et les impurs à l’autre bout (lieu des marins du monde entier vivant de la pêche).
Oui Caraquet… Dans un milieu presqu’uniquement catholique, le ciel d’un côté, le purgatoire dans le milieu et l’enfer à l’autre bout… le seul errant poétique possible était celui ou celle qui le marchait comme Ulysse dans l’iliade sans se faire endoctriner autant par les esclaves du spirituel que par les esclaves du materiel. Juste le temps de prendre un café chez Tim Horton, de dormir sous la galerie du musée local les jours de pluie et de s’enfouir entre les mouettes et les vagues dans l’intemporalité de l’errance heureuse…
Je peux dire que La Tuque du temps de la jeunesse de mon grand-père Lucien, était divisé par une voie ferrée entre les anglicans capitalistes nourris à la lecture de la bible et le devoir de réussir financièrement et les catholiques prolétaires mis à genoux par le chapelet, le papisme et la moutonisation des consciences frileuses.
Mais, les anglicans qui possédaient le moulin de La Tuque adoraient à ce point la musique classique qu’ils achetèrent des instruments de musique pour que leurs ouvriers jouent d’un instrument et forment une harmonie… Et les esclaves devinrent soudain les coureurs des bois d’un univers impossible pour eux: l’errance poétique.
La musique classique devint l’ancrage de l’errance poétique de toute une ville durant plus de 50 ans…. au point où il y eux deux harmonies musicales en guerre, 2 orchestres Rochette en guerre… et Simon Gauthier, le conteur international du récit poétique «le vagabond céleste» décrit magnifiquement cette scène où en 1929 mon grand-père promène sa femme et ses enfants jouer de la musique d’une maison à l’autre pour chasser la misère sociale par leur errance poétique…. Mon grand-père Lucien et mon père avec une mandoline dans les mains à 5 ans et mon oncle Paulo à 9 ans avec une guitare je crois et ma grand-mère Lumina… furent les premiers chasses-misères de deux esclavages spirituels … celui luthérien des riches et celui papiste ultramontain des pauvres….
Et les années passèrent…. arriva 1945
Parce que La Tuque était enclavée entre deux montagnes et que Trois-rivières était à plus de 100 kilomètres, sans radio, sans télévision, La ville de La Tuque devint un immense conservatoire de musique classique par ses citoyens et pour ses citoyens… chaque été dans les parcs, il y avait concert et à chaque fête, une parade et à Noel, une arrivée du père Noel au son de la musique classique.. Mon père, qui avait gagné le premier prix de trompette provincial en 1948 à C.K.A.C en était l’âme poétique……
Et les années passèrent… arriva 1965
Moi-même, avec Madame Mongrain et quelques enfants, je fis partie d’une imitation de la famille trapp quand l’harmonie de Latuque d’Aubert Montgrain envahit poétiquement la Place des arts, en 1965

(LATUQUOISERIES) www.latuquehistoire.blogspot.com
Et j’ai retrouvé sur Internet une photo de moi à 13 ans, avec la jeune harmonie de l’école Champagnat de La Tuque au moment où nous nous apprêtions à partir pour montreal, Place des arts… on me voit debout en avant…. dans une attitude que n’auraient pas renié Mon grand-père avec ses bottes pour aller plus loin dans la vie, mon oncle Paulo et son avion de chasse-misère et mon père avec sa trompette pour annoncer la beauté du monde cachée dans le cœur de sa musique…
ET LES ANNÉES PASSÈRENT… ET EN UNE NUIT…. lA TUQUE QUI S’ÉTAIT BÂTI SUR UNE LÉGENDE MOURRUT COMME ON SE MEURT DANS LES CONTES DE FÉE.
Tout ça s’effondra en une seule nuit, quand Le directeur de l’harmonie de La Tuque, Aubert Mongrain, qui devait avoir 50 ans à l’époque, s’enfuit avec une jeune musicienne de 15 ans pour vivre une grande histoire d’amour… qui dura plus de 20 ans…
Un jour que je retrouvai Aubert à Longueuil à plus de 80 ans… je lui demandai… Pourquoi il avait choisi l’errance poétique par une histoire d’amour impossible… ET IL ME RÉPONDIT… pierrot elle était musique et je n’ai fait que marcher ma liberté par la musique toute ma vie.
Quand Aubert Mongrain est décédé…. c’est la légende même de la musique chasse-misère qui s’enfuit avec lui….
et cette légende d’une ville coureuse des bois de l’errance poétique est venue se blottir au centre même de mes angoisses de chercheur universitaire.
Il en est ressorti quatre questions
QUEL EST TON RÊVE?
DANS COMBIEN DE JOURS?
QU’AS-TU FAIS AUJOURD’HUI POUR TON RÊVE?
EN QUOI TON RÊVE PREND-IL SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?
sur Google
Pierrot vagabond
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1298,
(RÊVE BIG BANG)QU’EST-CE QUE LE RÊVE DANS LE CADRE DE LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART?….. C’EST UNE ERRANCE POÉTIQUE FABULEUSE PARCE QU’ÉPIQUE ISSUE D’UNE INTUITION FONDATRICE ENFLAMMÉE PAR L’INSTINCT SAUVAGE TOUT EN ÉTANT ÉCLAIRÉE PAR LE DIALOGUE CÉLESTEMENT JOYEUX ENTRE L’IMAGINATION ET LA RAISON.
MAY 13, 2016
Mon hypothèse forte en ce qui a trait à la définition de l’étiquette … RÊVE… dans le cadre d’une vie personnelle œuvre d’art me vient (sur une période de 20 ans de recherche)…….
a) de l’étude comparative et inductive des biographies des grands rêveurs et rêveuses de l’humanité
b) de l’étude historique et paradigmatiques des systèmes moraux et éthiques dans leurs apparitions successives (ex: l’eudémonisme chez les grecs, la téléologie de la grâce chez les chrétiens, la raison libératrice inventant l’autonomie chez Kant, le sentiment comme mode majeur opératoire chez Rousseau, la passion comme mode majeur de libération humaine chez les romantismes de la iere partie du 19eme siècle, la raison empiriste et constructiviste du positivisme européen autant que du pragmatisme américain, l’imagination comme mode majeur de libération de l’être humain chez les surréalistes, l’hyper-individualité du post-modernisme dans le fractionnement nano-monadiste (Leigniz) par l’émergence de la société nano-numérique du 21eme siècle…
Bref, le résultat en fut une systématisation des attributs essentiels de l’étiquette rêve….. à partir … DES CONFIGURATIONS COMME MON GRAND-PÈRE LUCIEN, MON ONCLE PAULO ET MON PÈRE ROGER QUI FURENT DES PASSEURS DE RÊVE… COMME MODE D’ERRANCE POÉTIQUE FABULEUSE PARCE QU’ÉPIQUE ISSUE D’UNE INTUITION FONDTRICE ENFLAMMÉE PAR L’INSTINCT SAUVAGE DANS UN DIALOGUE CÉLESTEMENT JOYEUX ENTRE L’IMAGINATION ET LA RAISON.
Une anecdote pour illustrer le tout….
La dynamique du rêve entre Mon grand-père Lucien et mon oncle Paulo ressemblait à celle entre Laurel et Hardy… un peu lunaire et complice…. tandis que la dynamique entre mon oncle Paulo et son frère… mon père Roger…. ressemblait à celle entre ABBOTT ET CASTELLO, un peu plus martienne… du fait que la base de mon père était les vertus théologiques de la religion chrétienne et celle de Paulo les quatre vertus cardinales encadrant son épicurisme intelligent.
donc allons y pour l’anecdote….
Quand mon père Roger est devenu réalisateur d’émissions de télévision à C.K.T.M. t.v. Trois-Rivières, il fut entre autres à la direction d’une émission musicale… durant plusieurs années.
Mon oncle Paulo qui habitait La Tuque et qui avait joué du piano et de l’accordéon dans l’orchestre de mon père Roger (donc son frère) durant toute leur jeunesse, avait souvent demandé à mon père de chanter une chanson au piano à son émission… Et mon père de lui répondre… jamais de mon vivant… je suis sur que tu vas me faire honte…. Et Paulo vécut ce refus sur plusieurs années comme un fabuleux évènement épique déchaîné par son intuition fondatrice enflammée par son instinct sauvage dans un dialogue célestement joyeux entre son imagination et sa raison…
Un jour, aussi grandiose que la découverte de l’Amérique par Christophe Colomb (les paroles même de mon oncle Paulo) mon père Roger dit à mon oncle Paulo… ok… tu vas faire une chanson TI-OISEAU… AU PIANO… mais pour être sur que tu me feras pas honte… je ne réaliserai pas l’émission…. Je vais la faire réaliser par un autre réalisateur très autoritaire… une vraie police des ondes… et moi, dans la détente parce que la religion chrétienne me demande d’être charitable pour mon frère… je vais la regarder chez moi en direct…. dans ma télévision… en remerciant Dieu de m’avoir donné un frère qui fait honneur à son frère par le meilleur de son talent… Il faut dire que mon père était à ce point religieux inquiet qu’il s’était fait enterrer dans la même tombe que son ami le curé de la paroisse pour être sur d’entrer au ciel… mais ça c’est une autre histoire….
Continuons l’anecdote….
Mon père s’installe donc devant sa t.v…. mon oncle Paulo chante Ti-oiseau comme prévu assis au piano… performance remarquable… sauf que petit détail… Il était déguisé en femme avec un gros rouge à levres et disait entre chaque couplet… SALUT TI-FRERE… en lui faisant des by by….
Mon père fit une colère titanesque…
dans ce temps là… les émissions étaient enregistrées sur films… il alla de nuit au poste…. découpa la performance de mon oncle Paulo pour que cela ne traine pas dans les archives… et renferma le morceau de bobine dans une filière… morceau de bobine qui existe peut-être encore comme un message dans une bouteille à la mer… la Joconde de mon oncle Paulo déguisé en femme.. version La Tuque
L’anecdote a une finale…
Jusqu’à la fin de leur vie, chaque à leur manière, ni l’un ni l’autre ne purent s’empêcher de raconter cette anecdote dans un rire gargantuesque et d’eux-mêmes et des spectateurs, comme étant le symbole même de la réussite, chez l’un comme chez l’autre de leur vie personnelle œuvre d’art.
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1303
(LA TUQUE) 1962, MON PÈRE ROGER ROCHETTE FONDAIT LE IER POSTE DE TÉLÉVISION SUR CABLE AU CANADA À LA TUQUE
MAY 18, 2016
Juin 1962
Mon père eut une idée… faire venir des États-Unis du matériel pour opérer un poste de télévision… lui qui n’y connaissait absolument rien… Quel rêveur quand même… et au deuxième étage de notre maison… un rêve devint réalité… un studio, deux caméras et l’imagination de tous et chacun dans une ville nommée La Tuque, bien enfouie entre deux montagnes, où la liberté créatrice était née en 1916 grâce à la musique classique.
M. Roger Rochette après 18 ans de loyaux services chez H.R. Hillier quittait pour fonder le poste de TV privé sous l’appellation: RALT-TV à La Tuque. Mes deux frères et moi furent cameramen tandis que mon oncle Paulo était assistant de mon père à la réalisation dans la cabine technique… Toute la population devient tour à tour des animateurs et animatrices d’émissions locales….
L’humoriste Claude Landré , qui n’avait même pas 18 ans, y commença sa carrière comme animateur dans une émission intitulée… LANDRÉ EN PRIMEUR…
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1344,
(LA TUQUE)LA LÉGENDE DE LA TUQUE …OU… L’ÉPOPÉE DE LA MUSIQUE CLASSIQUE DANS SA GUERRE CONTRE LE FÉODALISME AUTANT CAPITALISTE QUE CHRÉTIEN
JUNE 26, 2016
Si un jour j’avais à raconter l’histoire de la ville de La Tuque… J’y célèbrerais mes héros… Lucien Rochette, Paulo Rochette, Roger Rochette qui, grâce au cheval de Troie que fut, pour eux, la musique classique, purent prendre conscience des chaînes autour de leur liberté que constituèrent féodalement les curés par leur spiritualisme prédateur et les capitalistes protestants du moulin à papier par leur paternalisme prédateur.
Seul Aubert Montgrain, le professeur et le directeur de l’harmonie de La Tuque réussit à briser ses chaînes en s’enfuyant de nuit avec une de ses élèves avec qui l’histoire d’amour dura près de 20 ans.
Le roman commencerait par Aubert Mongrain qui à l’âge de 80 ans, dans son condo de Longueuil, me raconte son arrivée à La Tuque et me déroule le fil de l’épopée musicale telle que lui l’a vécue.
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EXTRAIT D’UN ARTICLE DE L’ÉCHO DE LA TUQUE
31 JUILLET 2007
CONFERENCE CAMILLE BOUCHARD
Les Années lumières auront été l’adolescence de la civilisation moderne comme l’adolescence sont les années lumières de la vie. Il faut vous dire que je l’ai vécue dans une petite ville forestière de 15000 âmes (en exagérant), particulièrement sympathique à ses adolescents : La Tuque. C’était une communauté dont l’assiette fiscale était assez bien pourvue. De fait, c’était à l’époque où la mondialisation du commerce papetier ne s’était pas encore vraiment manifestée. (…) À part le fait admis que la fumée sulfureuse de l’usine ternissait le poli des voitures au grand désespoir de leurs propriétaires, dont M. Duchesneau qui s’échinais à faire briller sa Chevrolet tous les samedis de beau temps, nous ne savions pas encore que les rejets de l’usine nous empoisonnaient, que les températures excessives auxquelles les hommes étaient soumis les détruisaient à petit feu et que nos mères se morfondaient d’ennui à la maison. (…)» « En plus de cette insouciance béate, les adolescents que nous étions profitaient d’équipements sportifs de premier ordre. Ils avaient l’embarras du choix entre le baseball, le football, la balle-molle, le basket-ball (et pour les Anglais et les fils de médecins, le golf), la salle communautaire de bowling et de billard et le cinéma à rabais du samedi après-midi. Sans compter les possibilités quasi illimitées d’aller à la pêche, à la chasse. Et puis, il y avait les petits fruits, y compris les petits fruits défendus (vous me permettrez toute la discrétion requise à ce sujet). » « Les vicaires et curés, les religieux et religieuses s’occupaient de la troupe scoute et des 4H et de l’Oeuvre des Terrains de Jeux (OTJ) qui nous accueillaient enfant, et dont nous devenions, pour certains d’entre nous, moniteurs et monitrices plus tard. Les commerçants, dont la famille Spain se montrait à la fois généreux et futés : ils en avaient guère le choix me direz-vous, mais ils le faisaient dans la bonne humeur et même, pour certains, dans l’enthousiasme. Les familles Scarpino et Scalzo produisaient des générations d’athlètes qui se transformaient au fil du temps en coach ou restaurateurs des stades sportifs. La famille Shapiro demeurait, quant à elle, mystérieuse : leur mercerie sentait quelque chose qui rappelle aujourd’hui les cornichons à l’aneth. » « Une autre famille, la famille Mongrain s’assurait que tout ce beau monde se mette quelque chose d’autre que des statistiques sportives entre les deux oreilles. Aubert Mongrain, musicien talentueux et passionné, sa femme, belle comme seule une violoncelliste peut l’être, avait convaincu la ville de se doter d’une fanfare de très haut niveau. Mais, il fallait à cette fanfare un club ferme, ce que l’Harmonie scolaire formée de plus de 60 adolescents entraînés sous la férule baguette de monsieur Mongrain, assurait. Cette Harmonie scolaire était à ce point performante qu’elle s’était mérité une invitation d’aller jouer à la Place des arts à Montréal. » « En 1958, à 13 ans, j’empruntais une fortune à mon père : 100 $ pour acheter un kiosque de cirage à chaussures. Les repose-pieds m’avaient été offerts à rabais par le propriétaire de la salle de billard voisine de la maison. La clientèle se fit si pressante (faut dire que j’étais installé devant la plus grosse taverne de la ville) que je dû engager un assistant qui touchait 10 ¢ la paire sur un tarif de 25 ¢ et devait me refiler en sus les pourboires. Après tout, je fournissais la matière première, que je lui expliquais ainsi qu’à sa mère, ma tante. J’y donc appris, adolescent, qu’un capitaliste pouvait être détesté, même par son cousin, pour de bonnes raisons! Le défi était de cirer les chaussures des hommes qui, accoutrés de leurs plus beaux pantalons noirs, nous demandaient de faire reluire leurs souliers, noirs aussi, en nous suppliant de ne pas tacher leurs chaussettes jaune citron. Il fallait nous faire confiance. Et nous en étions fiers. » « Mais le nec plus ultra, c’était le 0-100 20, club de danse sans boisson réservé aux jeunes (comme son nom l’indiquait), situé sur le bord d’un petit lac que l’on trouvait en plein centre de la ville, et ouvert les vendredis et samedis soirs. On pouvait y danser, mais aussi y louer des chaloupes à rames, premier élément tactique de chaudes soirées à ramer et à sombrer… plus dans le désir qu’autrement. La même salle de danse ouvrait aussi le dimanche en après-midi. C’était, qu’il fasse beau ou qu’il tombe des cordes (on préférait la pluie), le moment privilégié de slows collés et langoureux : tout le monde voulait danser avec la grande Catherine (nom fictif) réputée pour sa maîtrise très particulière du slow pour ensuite assister, encore lubrique, à la messe de 5 heures où tout le monde avait l’air des anges. Il fallait nous faire confiance. Et nous en étions fiers. » « Vous le voyez bien, j’ai vécu une adolescence bénie, entourée d’adultes compétents qui, eux-mêmes, se retrouvaient dans une communauté homogène et riche de capital économique, de capital humain et de capital social. Nos loisirs étaient diversifiés et, à ce point nombreux, que, pour reprendre un concept cher aux écologistes du développement, les «scènes de comportement» se retrouvaient constamment en demande de jeunes aptes à occuper tous les rôles requis pour le bon fonctionnement de ces activités. Autrement dit, les adultes de cette petite communauté s’étaient piégés : dans leur souci de contrer l’oisiveté propice à la lascivité et à la concupiscence, ils avaient créé des environnements dans lesquels nous étions des acteurs communautaires nécessaires au bon fonctionnement de leurs institutions sportives ou culturelles. Sans nous, leurs projets tombaient. Nous étions indispensables à leurs plans. Et sans doute à leur santé mentale! Autrement dit, quand on ne peut se passer des adolescents, on en prend soin. Comme à La Tuque, au début des années ’60. Pouvons-nous en dire autant maintenant? »
2195,
….. (LA TUQUE PLACE DES ARTS) LE 16 NOVEMBRE 1963…. LA PETITE HARMONIE DE LA TUQUE A FAIT UN SPECTACLE À LA PLACE DES ARTS…. CE SOIR-LÀ, L’UNIVERS FUT MUSIQUE ET MUSIQUE FUT L’UNIVERS…. J’ALLAIS AVOIR 13 ANS…. MERCI AUX LATUQUOISERIES POUR LES PHOTOS ET LES ARTICLES TÉMOIGNANT DU RÊVE BIG-BANG D’UNE COMMUNAUTÉ
JULY 3, 2018
«La Petite Harmonie» :
prestigieuse ambassadrice de La Tuque
Deux concerts mémorables de l’harmonie de l’école Champagnat
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Le groupe latuquois devant la Place des Arts, Montréal.
Photo de Gilles Berthiaume; archives de Gaston Gravel.
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En deux occasions, le 16 novembre 1963 et le 18 avril 1965, ce corps de musique, dirigé à l’époque par Aubert Montgrain, a fait honneur à La Tuque en se produisant en concert à la Place des Arts de Montréal.
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16 novembre 1963 – Concert lavallois
Lors du premier concert, organisé par l’Amicale mariste du collège de Laval pour marquer le 75e anniversaire des maristes dans cet établissement, qui mettait aussi à l’affiche le célèbre ténor québécois Richard Verreau, ainsi qu’un réputé trompettiste, Leonard Smith, directeur de l’Harmonie de concert de Détroit et de l’Orchestre symphonique de Scandinavie, Aubert Montgrain avait l’heureuse idée de mettre au programme un «Festival Félix Leclerc».
Roger Rochette, journaliste, et musicien lui-même avait signé un élogieux compte-rendu de cet événement musical. Archives de Gaston Gravel.
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18 avril 1965
La petite harmonie de l’école Champagnat sur la grande scène de la Place des Arts.
Photo de Gilles Berthiaume; archives de Gaston Gravel.
En 1964, la «petite harmonie» célèbre son vingt-cinquième anniversaire et «descend» à Montréal pour y donner un troisième concert. Elle s’était rendue dans la Métropole une première fois, en août 1961. Les jeunes musiciens de l’école avaient alors joué au théâtre de verdure du parc Lafontaine à Montréal.
Julles Fiola, annonceur chef à CFLM,«habillé» par la mercerie Gaston Fortin,
avait été le présentateur de cette mémorable soirée.
Ces photos et ces documents rappelleront ces moments mémorables aux jeunes musiciens d’alors.
Gaston Gravel, qui m’a aimablement fournit tous les documents présentés ici, a procédé à l’identification de la plupart de ces jeunes musiciens. Guy Simard et Roland Boudrault, un ancien clarinettiste de l’Harmonie, ont gentiment complété la liste des noms et je les remercie tous les trois pour cette magnifique collaboration.
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Si des lecteurs se reconnaissent sur l’une de ces photos, je me ferai un plaisir de les ajouter à la présente liste des gens identifiés jusqu’ici. Il manque également quelques prénoms. L’avantage d’un blogue, c’est qu’on peut l’améliorer sans cesse et y apporter des changements et des corrections.
On pourra lire les noms en cliquant sur les photos pour les agrandir.
Gérald Arbour, Claude Ayotte, Bertrand Bégin, Gilles Bélanger, Pierre Benoît, Denis Bérubé, Bérubé, Viateur Bouchard, Yvan Boucher, Roland Boudrault, Jean Bouliane, Paul-Émile Bourassa, Alain Boutet, Réal Brassard, Claude Bruneau, Roger Cantin, Michel Charest, Tit-Blanc Croteau, Pierre Delisle, André Demers, Paul Desbiens, Johnny Deslauriers, Dompierre, Gaston Drolet, Jacques Dubois, Marc Dumont, Michel Filion, Michel Garceau, Jean Gauvin, Pierre Gingras, (?) Gobeil, Jacques Girard, Michel Grandbois, Roger Grandbois, Gaston Gravel, Jean Grenon, Michel Guillemette, Gilles Hamelin (?), Roger Houde, Denis Jean, Lucien Jutras, Richard Lambert, Jean-René Lavoie, Conrad Lortie, Serge Lortie, Paul-Eugène Marceau, Claude Marchand, [?] Martin, Gilles Mercier, Yvon Moisan, Paul Montgrain, Pierre Montgrain, Germain Morissette, Régent Ouellet, A. Perron, Luc Perron, Michel Pilon, Roger Proulx, Claude Robichaud, PIERRE ROCHETTE et son frère, Paul Ruel, Rémi Ruel, Michel Sanvido, Guy Simard, Claude Soucy, Pierre Soucy, Robert Soucy, Denis Tremblay, Jacques Tremblay , Jean Tremblay, Michel Tremblay Claude [et non Michel] Vaillancourt, Gaétan Vaillantcourt, Claude Veillette.
Des adultes accompagnaient les jeunes musiciens : le directeur de l’ensemble, Aubert Montgrain, et son épouse du temps, Laurette Blais, ainsi que Gabriel Poisson, Rémi Ruel, Guy Marcel et J. R. Tremblay.
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Un document inédit : Aubert Montgrain et Laurette Blais.
Archives de Gaston Gravel.
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Note pour l’histoire latuquoise. Le mariste Louis-Abel, ancien directeur de Saint-Zéphirin et de Champagnat, était devenu le «supérieur» du collège Laval au moment de la présentation de ce gala artistique de 1963.
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Publié par Hervé Tremblay à 11:23
1 commentaire:
Anonyme12 septembre 2013 à 18:58
Bonsoir
Ce fut un plaisir pour moi de trouver ce site par hasard sur le net. J’ai fait partie de cette super harmonie avec mon frère Claude et mon ami Alain. J’ai participé toutefois qu’à la présentation de 1965. Les photos montrent que 1963. En avez-vous de 1965 ? De mon côté j’ai comme archive qu’une copie jaunie du journal de La Tuque avec en-tête: Pour une deuxième année consécutive notre petite harmonie triomphe Place des Arts. Je parlais de ce souvenir dernièrement et n’ayant aucune photo je pensais aller aux archives de Place des arts. En fouillant sur le net je trouve votre site. Que de beaux souvenirs. Alors pour mes enfants j’essaie de trouver une photo souvenir du 18 avril 1965.
Merci
Georges Élie ( clarinette )
Claude Élie ( baryton )
Alain Tremblay ( clarinette )
Répondre
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2434,

2434… (LA TUQUE) ÉMOUVANTE DÉCOUVERTE SUR INTERNET… LE POSTE DE TÉLÉVISION R.A.L.T.T.V. LA TUQUE DE MON PÈRE ROGER ROCHETTE OÙ MON FRÈRE CLAUDE ET MOI ÉTIONS CAMÉRAMEN…. INCROYABLE
NOVEMBER 22, 2018
https://ruesaintaugustin.blogspot.com/2018/
dimanche 24 juin 2018
RALT-TV
Claude Rochette était dans ma classe en 4e année. On “voyageait” ensemble pour aller à l’école: une distance de 1,5 km entre l’Autre bord du lac et le collège Saint-Zéphirin, quatre fois par jour. On avait donc du temps pour niaiser en masse.
En 1961, la classe de Martha Daneault
au collège Saint-Zéphirin
On va avoir un poste de télévision !
Comment ça un poste de télévision ?
Un poste de télévision, avec des caméras, un vrai poste de télévision comme à la TV.
Où ça ?
Chez-nous !
Je me disais que ça ne se pouvait pas. Un poste de télévision chez les Rochette ? En passant Le Nouvelliste, je voyais bien qu’il se préparait quelque chose au deuxième étage de la maison de Roger Rochette sur la rue Gouin, mais un poste de télévision…
Claude Rochette se rappelle:
“Mon père était vendeur chez Hillier (un magasin de vêtements), il animait à la radio CFLM, il était chef d’orchestre, organisateur et dirigeait le journal L’Éclair, un hebdomadaire qu’il avait fondé, et la fameuse station de télé qui opérait au 2e étage du 348 rue Gouin. En 1963, mon père est hospitalisé plusieurs semaines pour épuisement professionnel. Mon frère Pierre et moi avons dû prendre la relève et agir à titre de caméramen, régisseur et metteur en onde. On avait même la charge de voir à ce que la machine à liqueurs ne manquent de rien.”
Source: Pierre Cantin, LTGLE
Chez-nous, quand on ouvrait notre belle TV Dumont et qu’on tournait la roulette des postes sur le 9, on entendait la voix de Claude Landré qui disait: «Neuf, neuf, neuf, tout est neuf au 9. Ne soyons pas vieux-jeu, optons pour du neuf en regardant RALT-TV, canal 9, La Tuque».
Claude Landré, Réjean Michaud, Marie-Marthe Rivard
source: Claude Rochette, provenance des photos: Claude Landré
Claude Landré et Marie-Marthe Rivard
source: Claude Rochette, provenance des photos: Claude Landré
Marie-Marthe Rivard
source: Claude Rochette, provenance des photos: Claude Landré
C’était bien beau un poste de télévision dans notre quartier mais quand le chapelet en famille a été mis à l’horaire, les soirs de la semaine à 07:00 et que mon père s’est mis dans la tête que c’était une bonne idée de se mettre à genoux dans le salon devant la TV avec pepére, là on trouvait ça moins drôle! Au beau milieu de la partie de “bride” chez Desroches, fallait tout lâcher pour quelques dizaines de “Je vous salue Marie”… bon, ça n’a pas durer… ma mère s’en est mêlée et pepére est resté tout seul dans le salon…
L’abbé Gilles Poisson dans le studio de RALT-TV
source: Claude Rochette, provenance des photos: Claude Landré
Le poste de régie avec Claude Landré et Réjean Michaud
source: Claude Rochette, provenance des photos: Claude Landré
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♪ La Quête ♪

Rêver un impossible rêve
Porter le chagrin des départs
Brûler d’une possible fièvre
Partir où personne ne part

Aimer jusqu’à la déchirure
Aimer, même trop, même mal,
Tenter, sans force et sans armure,
D’atteindre l’inaccessible étoile

Telle est ma quête,
Suivre l’étoile
Peu m’importent mes chances
Peu m’importe le temps
Ou ma désespérance
Et puis lutter toujours
Sans questions ni repos
Se damner
Pour l’or d’un mot d’amour
Je ne sais si je serai ce héros
Mais mon cœur serait tranquille
Et les villes s’éclabousseraient de bleu
Parce qu’un malheureux

Brûle encore, bien qu’ayant tout brûlé
Brûle encore, même trop, même mal
Pour atteindre à s’en écarteler
Pour atteindre l’inaccessible étoile
Jacques Brel

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1126,
(DENIS LAMARRE) D’UN VAGABOND HOMÉRIEN À UN AMI

LAMARRE DENIS,
article sur Google
pdf, juin 2008, Flèche Mag
(Denis Lamarre)…«Mon retour à la chanson a duré près d’une vingtaine d’années, entre 1982 et 2000…
C’est pendant cette période fébrile qu’il est parti en tournée en duo avec son ami Pierre Rochette, des 2 Pierrots.

Les deux complices ont donné plus de 3 000 spectacles, parcourant le Québec dans tous les sens, sans jamais manquer de revenir régulièrement chanter à l’auberge La Calèche de Sainte-Agathe.
(Denis Lamarre) « Au milieu des années 90, Pierre et moi avons reçu un prix de l’ATL comme employés touristiques de l’année »
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DENIS LAMARRE) JE NE REMERCIERAI JAMAIS ASSEZ DENIS LAMARRE, MON PARTENAIRE DE SCÈNE, POUR LES 18 ANS DE PARFAITE EUMÉTRIE DU DUO ROCHETTE-LAMARRE, ET CELA AUTANT SUR LA SCÈNE QUE DANS LA VIE PRIVÉE
MAY 18, 2016
Il n’y a jamais eu de chicanes entre nous en 18 ans de carrière, 250 spectacles par année minimum…. Ce fut magique, intense, respectueux et nous avons pratiqué un concept du philosophe Onfrey qui s’appelle l’eumétrie…
Nous avons divisé équitablement le pouvoir… Tout ce qui se passait en bas de la scène, Denis avait la dernière décision, tout ce qui se passait sur scène… j’avais la dernière décision parce que j’avais à dessiner l’architecture théorique de ma thèse de maîtrise sur le rire, écrire les numéros de comédie, slapstick ou monologues tout en performant dans des variables thématiques où ma nature «MON ONCLE PAULO» servait bien notre duo… comme la nature DE MONSIEUR PARFAIT AU NIVEAU ÉTHIQUE… mais REMARQUABLEMENT PARFAIT DE DENIS…… le rendit unique à mes yeux et aux yeux du public…
Que de joies… je me rappelle un jour… j’avais un numéro de comédie ou je dansais un slow avec une femme dans la salle qui me dit à l’oreille… j’ai un fantasme…. danser un slow avec ton copain QUI LUI EST BEL HOMME… je conte cela à Denis rendu sur scène… il me répond dans l’oreille…. DIS LUI QUE LES PLUS BEAUX FANTASMES SONT CEUX QUI NE SE RÉALISENT JAMAIS… je retourne danser avec la dame… qui toute en chair et poitrine en guerre bien portante me serra très fort en me disant… ahhhhh… quellle réponse… j’en ai des frissons…. pis c’est toi qui va payer pour… c’est ainsi que par procuration, je dégustai les fantasmes de Madame dans son espérance qu’ils traversent mon corps pour atteindre celui de Denis….. )))))))))))))))))))))
Que de joies… je me rappelle entre autres ces nuits où Denis chauffait l’automobile, pendant que je lisais ma bibliographie pour ma maîtrise sur le rire (qui me prit 14 ans, parce que j’y répondais une question de nature doctorale tout en expérimentant une à une des hypothèses fortes sur scène à travers l’écriture et l’exécution de numéros originaux).
Et Denis, souvent puisant dans sa riche discothèque de chansonniers québécois et, pour nous reposer, nous faisions l’analyse de chansons très rares et très belles autant au niveau de la musique, de l’orchestration que du texte…
Oui… Aujourd’hui, Denis vis à St-Adolphe d’Howard, dans la forêt et à côté de sa maison, il y a un studio avec toutes nos pistes musicales, et de nombreux vidéos de tous nos numéros… et notre amitié sans tache et sans faille….
DENIS POURRAIT DIRE COMME MOI que nous fûmes, tel qu’on le dit de Félix Leclerc…. et cela durant 18 ans sans exception, ni bémols,
…… DES ROIS HEUREUX…..
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1087,
(DENIS LAMARRE)
HOMMAGE A DENIS LAMARRE
Cher Claude Demers (www.demers.qc.ca),
Comme tu as vecu jour apres jour ma rupture avec Denis Lamarre et l’auberge la Caleche, lorsque j’ai quitte la scene en plein milieu d’un spectacle, j’aimerais te confier d’une facon systemique ce qui s’est passe dans ma tete ce soir-la pendant que JE CHANTE SUR SCÈNE…. la chanson… la quete… de Jacques Brel…
CE SOIR-LA
Je chantais la quete de Jacques Brel… et soudain tout est apparu tres clair dans ma tête…
Mon merveilleux partenaire de scene qui pendant 18 ans fut d’un comportement ethique et artistique exemplaire venait de se faire offrir le théatre le Patriote en partenariat avec Percival Broomfield puis après la mort de Percivald, en successeur.
Pour lui, l’appel à une réorientation de carrière devenait évident. Mais il devenait aussi évident pour la famille Grand-Maison de l’auberge la Caleche qui a pris soin de moi comme artiste avec respect et coopération, durant 18 belles annees de s’associer à Denis et le Patriote de Ste-Agathe pour mieux réussir en affaire…
De mon côté, un photographe de Quebec qui avait tout abandonné pour jouer de l’orgue de Barbarie sur les routes du soleil de la France a l’Espagne avait aussi eu l’effet d’un coup de tonnerre sur ma vie… Je ressentais instantanement et profondement aussi l’appel à la liberté et à la créativité de l’écrivain…
Nos trois routes du rêve compatible durant 18 ans (Denis Lamarre, Pierre Rochette et la famille Grand-Maison, propriétaire de l’auberge La Calèche) venaient soudain d’exploser en un coup de tonnerre ressenti pendant que je chantais sur scène.
Dans la finale de la chanson de Jacques Brel… l’inaccessible étoile est venue me chercher de sa voix amour-présence… même s’il me restait 3 ans de contrat et que j’aurais pu rester avec Denis au patriote jusqu’à ma mort, je suis sorti de scène, j’ai déposé ma guitare en arrière et je suis sorti lentement par la porte d’en arrière qui donnait sur la ruelle de dehors… ce n’était pas prémidité…
J’ai marche jusqu’à la Butte a Mathieu ou j’habitais l’ancienne maison de Raymond levesque… je venais de devenir écrivain…Je ne sais pas si j’aurais eu le même courage si j’avais agi rationellement… Denis l’a saisi plus vite que moi en me disant… ton inconscient t’a aidé a te consacrer à l’écriture….
J’ai mis 7 ans a mon 1000 pages que tu vas bientôt offrir en téléchargement au public… 7 ans de ma vie, dont deux ans et demie en bibliotheque au cégep de Victoriaville à savoir ou était ma place dans la littérature mondiale…
A 20 ans, je savais comme Cézanne, Proust et Picasso, qu’apres ma mort, mon oeuvre serait reconnue comme une grande oeuvre canadienne..
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1080-44, (Marcel Picard est mort)
QUAND MARCEL PICARD EST MORT
7 février 2009 – 21 h 33 min
1
COUPLET 1
quand Marcel Picard est mort
tu m’as écrit un courriel
pour me dire
de ne pas
me présenter
à la soirée
des chansonniers
que j’avais besoin
d’un psychiatre
que je devais
aller me faire
soigner
mon ami…..
oh mon ami bien aimé
COUPLET 2
quand j’ai marché
de Montréal
jusqu’au bout
de la Gaspésie
parce que j’rêvais
d’une poignée de main
immortelle et jolie
tu m’as dit
que ca s’faisait pas
d’aller chez l’monde
sans téléphoner
que tu m’paierais
le psychiatre
que je devais
m’en r’tourner
mon frère….
oh mon frère bien-aimé
COUPLET 3
j’étais jeune marié
j’écrivais jour et nuit
et n’vivais que pour mes doigts
et la poésie
t’es partie
un soir d’hiver
t’es allée sonner chez mon frère
pour lui dire que j’étais fou
à ton avis
oh ma femme
mon ex-femme bien-aimée
FINALE
si de rêver jour et nuit
à la grande oeuvre de sa vie
qui traversera les siècles
comme celle de ses amis
Francois Villon
Ruthebeuf
Rimbaud
et Picasso
alors oui
mon ex-femme, mon frère
mon ami
je suis atteint
de cette
folie
qu’on appelle
la poésie
Pierrot
vagabond céleste