LE PHILOSOPHE BERNARD STIEGLER SERAIT HEUREUX DE DÉCOUVRIR «LE MANIFESTE DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE» DE L’INVENTEUR DE LA PHILOSOPHIE D’EN BAS (MICHEL LE CONCIERGE… SUR GOOGLE… LE CARNET DU CONCIERGE) ET LES INVENTIONS GLOSSAIRIQUES (WOW-T=2.7K?, QUANTICATION, SYNCHRONI-VIE-TÉ, 4 QUESTIONS DE LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART, PAYS OEUVRE D’ART…. LE TOUT SUR WWW.WOW-T.COM»

enjeu de l’invention de la nano-citoyenneté-planétaire

de l’équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette

www.wow-t.com

Grâce à la déshobbiation de l’O.N.U. par la nano-citoyenneté-planétaire au 21eme siècle, de milliards de téléphones intelligents pourront enfin , et cela par une simple application algorithmique, valider politiquement la création d’une cour suprême nano-citoyenne-planétaire composée de deux assemblées des justes (125 femmes et 125 hommes) élues ville par ville et village par village, et cela par tirage au sort, dans le but de représenter ces milliards d’enfants-errants-fantomatiques, historiquement et cruellement victimes de la faim ou de blessures de guerre, afin que justice puisse être rendue contre ces prédateurs de vies personnelles œuvre d’art que constituent ces dirigeants des ETATS hobbiens onusiens SOUS LA FÉODALITÉ DES MONARCHIES NUCLÉAIRES, mis au banc des accusés pour CRIMES CONTRE LES ENFANTS DE L’HUMANITÉ, en conséquence de leur course aux armements, leurs guerres et leurs paradis fiscaux, et cela au nom de la cinquième question de la vie personnelle œuvre d’art: COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

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Merci Pierre pour ton envoi.

Je pensais te renvoyer la balle avec une entrevue avec Bernard Stiegler

en espérant que tu regardes des vidéos de temps à autre:

Robert

Directeur de thèse

Jacques DerridaVoir et modifier les données sur Wikidata

Influencé par

Gilbert Simondon, Jacques Derrida, Edmund Husserl, André Leroi-Gourhan, Gilles Deleuze, Gérard Granel, Platon, Aristote, Sigmund Freud, Martin Heidegger, Friedrich Nietzsche, Paul ValéryVoir et modifier les données sur Wikidata

Œuvres principales

La Faute d’Épiméthée (d)Voir et modifier les données sur Wikidata

modifier – modifier le code – modifier WikidataDocumentation du modèle

Bernard Stiegler, né le 1er avril 1952 à Villebon-sur-Yvette (Essonne), est un braqueur de banque et un philosophe français qui axe sa réflexion sur les enjeux des mutations actuelles — sociales, politiques, économiques, psychologiques — portées par le développement technologique et notamment les technologies numériques1.

Bernard Stiegler, lors des 11e ROUMICS2 en 2014 à Lille, discutant de la question du « Bien commun » avec Amandine Piron3 ; Michel Bauwens ; Michel Briand4 ; Simon Sarazin5 et Emmanuel Vandamme6.
Fondateur et président du groupe de réflexion philosophique Ars industrialis créé en 2005, il dirige également depuis avril 2006 l’Institut de recherche et d’innovation (IRI) qu’il a créé au sein du centre Georges-Pompidou.

Bernard Stiegler, né le 1er avril 1952 à Villebon-sur-Yvette (Essonne), est un braqueur de banque et un philosophe français qui axe sa réflexion sur les enjeux des mutations actuelles — sociales, politiques, économiques, psychologiques — portées par le développement technologique et notamment les technologies numériques1.

Bernard Stiegler, lors des 11e ROUMICS2 en 2014 à Lille, discutant de la question du « Bien commun » avec Amandine Piron3 ; Michel Bauwens ; Michel Briand4 ; Simon Sarazin5 et Emmanuel Vandamme6.
Fondateur et président du groupe de réflexion philosophique Ars industrialis créé en 2005, il dirige également depuis avril 2006 l’Institut de recherche et d’innovation (IRI) qu’il a créé au sein du centre Georges-Pompidou.

Sommaire [masquer]
1 Éléments biographiques 1.1 Du PCF à la prison
1.2 Les années 1980
1.3 Les années 1990
1.4 Les années 2000
1.5 Vie privée

2 L’œuvre 2.1 Philosophie et technique
2.2 La question de l’homme

3 Publications 3.1 De Bernard Stiegler
3.2 Participations à des revues
3.3 Participations à des films

4 Notes et références
5 Voir aussi 5.1 Bibliographie
5.2 Articles connexes
5.3 Liens externes

Éléments biographiques[modifier | modifier le code]

Du PCF à la prison[modifier | modifier le code]

Il est né d’un père électronicien et d’une mère employée de banque7. Bernard Stiegler grandit à Sarcelles8 il interrompt ses études après la classe de seconde7. Il commence, en 1969, des études (qu’il n’achèvera pas) d’assistant réalisateur au Conservatoire libre du cinéma français et poursuit, en 1973, par un stage d’analyste programmeur à l’IRIA (aujourd’hui dénommé INRIA). Il exerce alors ponctuellement différents métiers : ouvrier agricole, serveur7. Après mai 68 et jusqu’en 1976, il est adhérent au Parti communiste français9.

Dès 1976, il attaque une banque à main armée. Suivront trois autres braquages, dont le quatrième s’achève par son arrestation en flagrant délit par une patrouille de police. Il est condamné à cinq ans de prison, et avouera : « J’aurais pu en prendre pour quinze ans mais j’avais un très bon avocat »10. Entre 1978 et 1983, il est incarcéré à la prison Saint-Michel de Toulouse, puis au centre de détention de Muret. Pendant son séjour carcéral, il suit par correspondance des études de philosophie à l’université Toulouse II-Le Mirail et reçoit le soutien de Jacques Derrida. Il aide aussi des codétenus à passer le baccalauréat. Plus tard, dans un essai publié en 2003 intitulé Passer à l’acte, il évoque cette incarcération, provoquée par un « passage à l’acte » accidentel, et surtout la véritable ascèse qu’il s’est imposée pour sa formation philosophique, ce qu’il nomme « mon devenir-philosophe en acte », qui « fut l’effet d’une anamnèse produite par une situation objective dans le cours accidentel de mon existence. […] cinq années de pratique philosophique, de phénoménologie expérimentale, et de passage aux limites de la phénoménologie, après ce “passage à l’acte” qui n’avait, en soi, strictement rien de philosophique. On doit toujours être prêt à philosopher à mort, comme le fait Socrate, et philosopher dans le mourir qu’est une vie ; mais “une vie”, cela veut dire ici une existence et une facticité, c’est-à-dire une accidentalité. »11

En 1983, il est consultant au cabinet TEN, spécialisé dans les questions de développement technologique et urbain.

En 1984, il est élu pour six ans directeur des programmes de recherche au Collège international de philosophie puis, en 1985, chargé par le ministère de la Recherche d’une étude sur les enjeux des technologies de l’information et de la communication.

En 1987, il conçoit l’exposition « Mémoires du futur » et en assure le commissariat au Centre Georges-Pompidou.

Enseignant-chercheur à l’Université de technologie de Compiègne en 1988, Bernard Stiegler est chargé d’un séminaire à l’École d’architecture de Marseille-Luminy, sur les instruments de communication assistée par ordinateur et sur l’image numérique.

En 1989, il est chargé de constituer et présider un groupe de recherches auprès de la Bibliothèque nationale de France pour la conception de postes de lecture assistée par ordinateur. Ce travail donnera lieu à de nombreuses publications, et à la réalisation d’un prototype industriel par la société AIS Berger-Levrault. Un changement de gouvernement et un changement de direction à la BNF, en 1993, interrompent le projet.

Les années 2000

Bernard Stiegler en 2014, en conversation avec Michel Bauwens, théoricien du Pair à pair, auteur et conférencier sur des sujets technologiques et culturels proches de ceux traités par Stiegler.
Bernard Stiegler poursuit son travail sur le numérique et la société, et publie de nombreux ouvrages.

En 2002, il est nommé directeur de l’Institut de recherche et coordination acoustique/musique (IRCAM)14. Il y reste jusqu’au 1er janvier 2006, date à laquelle il devient Directeur du développement culturel du Centre Pompidou15.

Il est nommé pour trois ans membre du Conseil national du numérique (CNN) en janvier 201316.

Il est membre du Comité d’Orientation et de Prospective du Forum Vies Mobiles17, “think tank” de la SNCF.

L’œuvre[modifier | modifier le code]

Philosophie et technique[modifier | modifier le code]

Selon Bernard Stiegler, la philosophie grecque se constitue en perdant la question de la technique. C’est en reléguant ce qu’elle surnomme la technique à un simple dehors que la philosophie crée ce dedans, cette enceinte de savoir plein à laquelle elle s’identifie. La philosophie grecque s’articule en se démarquant de ce qu’elle surnomme la technè, dont s’inspirent les sophistes. Ce dehors est supposé ne contribuer en rien au savoir plein du dedans, et n’a par conséquent de statut que comme auxiliaire. Le philosophe peut bien se servir de la technique (de l’écriture, par exemple), mais la technique n’est pas supposée participer à la constitution de la vérité philosophique. La technique n’a rien d’original ou d’originaire, elle est toujours dérivée, et elle est donc la supposition même de l’origine (la vie et le savoir pleins).

Toute « pensée » de la technique excède nécessairement les limites de la philosophie. Une approche « pensante » de la technique ne peut que toucher aux bords de la pensée, ne peut que mettre en péril les schémas philosophiques.

La question de l’homme[modifier | modifier le code]

Selon Stiegler, la technique doit être appréhendée comme une constituante anthropologique. La technicité participe originairement à la constitution de l’homme (l’hominisation). C’est pourquoi l’homme n’a d’essence que par accident : « L’homme est cet accident d’auto mobilité que provoque une panne d’essence ». L’homme est ce vivant qui n’a de qualités que dans un ajout originaire d’artificialité. Son essence est faite d’artefacts. Sa nature est originairement secondaire. Si l’essence de l’homme (sa destination, ses fins) est « artéfactuelle », elle est toujours sujet de débat, de controverse, de polémique et même de guerre : les hommes ne peuvent que se disputer sur leurs qualités. La technicité de l’homme contient toujours le risque du combat, amical ou belliqueux. Ce risque est sans fin.

C’est ainsi que la constitution technique (ou factice) de l’homme fait la nature politique de l’homme : la technicité, c’est la question de l’essence de l’homme (fins, destination, origine : des questions philosophiques, donc), ainsi que la question politique (comment vivre ensemble ?).

Publications[modifier | modifier le code]

(Voir aussi bibliographie sur le site d’Ars Industrialis19.)

De Bernard Stiegler[modifier | modifier le code]
La Technique et le temps, tome 1 : La Faute d’Épiméthée, Paris, Galilée, 1994 (ISBN 2718604409)
La Technique et le temps, tome 2 : La Désorientation, Paris, Galilée, 1996 (ISBN 2718604689)
Échographies de la télévision, entretiens filmés avec Jacques Derrida, 1996 (ISBN 2718604808)
La Technique et le Temps, tome 3 : Le Temps du cinéma et la Question du mal-être, Paris, Galilée, 2001 (ISBN 2718605634)
Passer à l’acte, Paris, Galilée, 2003 (ISBN 2718606169)
Aimer, s’aimer, nous aimer : du 11 septembre au 21 avril, Paris, Galilée, 2003 (ISBN 2718606290)
De la misère symbolique, tome 1 : L’Époque hyperindustrielle, Paris, Galilée, 2004 (ISBN 2718606355)
Philosopher par accident, entretiens avec Elie During, Paris, Galilée, 2004 (ISBN 2718606487)
Mécréance et Discrédit, tome 1 : La Décadence des démocraties industrielles, Paris, Galilée, 2004 (ISBN 2718606606)
avec Nicolas Donin, dir. et al., « Révolutions industrielles de la musique », Cahiers de médiologie no 18, 2004 (ISBN 2213621411)
De la misère symbolique, tome 2 : La Catastrophe du sensible, Paris, Galilée, 2005 (ISBN 2718606347)
Constituer l’Europe, tome 1 : Dans un monde sans vergogne, Paris, Galilée, 2005 (ISBN 2718606894)
Constituer l’Europe, tome 2 : Le Motif européen, Paris, Galilée, 2005 (ISBN 2718606908)
Mécréance et Discrédit, tome 2 : Les Sociétés incontrôlables d’individus désaffectés, Paris, Galilée, 2006 (ISBN 2718607068)
Mécréance et Discrédit, tome 3 : L’Esprit perdu du capitalisme, Paris, Galilée, 2006 (ISBN 2718607157)
Des pieds et des mains. Petite conférence sur l’homme et son désir de grandir, Paris, Bayard, 2006 (ISBN 2227475668)
La Télécratie contre la démocratie. Lettre ouverte aux représentants politiques, Paris, Flammarion, 2006 (ISBN 2082105695)
avec Marc Crépon, George Collins et Catherine Perret, Réenchanter le monde : la valeur esprit contre le populisme industriel, Paris, Flammarion, 2006 (ISBN 2082105857)
avec Marc Crépon, De la démocratie participative : fondements et limites, Paris, Mille et une Nuits, 2007 (ISBN 2755500336)
Prendre soin, de la jeunesse et des générations, Paris, Flammarion, 2008
Économie de l’hypermatériel et psychopouvoir, Entretiens avec Philippe Petit et Vincent Bontems, Paris, Mille et une Nuits, 2008
avec Alain Giffard et Christian Faure (historien), Pour en finir avec la mécroissance : quelques réflexions d’Ars industrialis, Paris, Flammarion, 2009
Pour une nouvelle critique de l’économie politique, Paris, Galilée, 2009
Repenser l’esthétique, pour une nouvelle époque du sensible, in C. Tron (dir.), Esthétique et société, Paris, L’Harmattan, 2009
avec Serge Tisseron, Faut-il interdire les écrans aux enfants ?, Paris, Mordicus, 2009
« La mécroissance », in Regards sur la crise : réflexions pour comprendre la crise… et en sortir, ouvrage collectif dirigé par Antoine Mercier, avec Alain Badiou, Miguel Benasayag, Rémi Brague, Dany-Robert Dufour, Alain Finkielkraut, Élisabeth de Fontenay et al., Paris, Éditions Hermann, 2010
Ce qui fait que la vie vaut la peine d’être vécue, de la pharmacologie, Paris, Flammarion, 2010 (ISBN 9782081220355)
L’École, le numérique et la société qui vient, avec Denis Kambouchner, Philippe Meirieu, Julien Gautier, Guillaume Vergne, Paris, Fayard/Mille et une nuits, 2012
États de choc – Bêtise et savoir au XXIe siècle, Paris, Fayard/Mille et une nuits, 2012 (ISBN 9782755506457)
Pharmacologie du Front National, suivi du Vocabulaire d’Ars Industrialis par Victor Petit, Paris, Flammarion, 2013
(dir B. Stiegler) Digital studies: organologie des savoirs et technologies de la connaissance, FYP Editions, 2014
La Société automatique : 1. L’avenir du travail, Paris, Fayard, 2015, 300 p., (ISBN 978-2213685656)
L’emploi est mort, vive le travail! entretien avec Ariel Kyrou, Paris, Fayard/Mille et une nuits, 2015, 118 p., (ISBN 978-2755507461)
Dans la disruption : Comment ne pas devenir fou ?, Paris, Les Liens qui Libèrent, 2016, comprenant aussi Entretien sur le christianisme (23 avril 2008), avec Bernard Stiegler, Alain Jugnon et Jean-Luc Nancy (ISBN 979-1020903624)
La toile que nous voulons, sous la direction de Bernard Stiegler, avec des textes de Julian Assange, Bernard Stiegler, Evgeny Morozov, Dominique Cardon, Paul Jorion, François Bon, Thomas Berns, Bruno Teboul, Ariel Kyrou, Yuk Hui, Harry Halpin, Pierre Guéhenneux, David Berry, Cristian S. Calude, Giuseppe Longo, Paris, FYP Éditions, collection « Nouveau monde industriel », 2017 (ISBN 978-2364051478)
La Technique et le temps. 1. La faute d’Épiméthée — 2. La désorientation — 3. Le temps du cinéma et la question du mal-être. Suivis de Le nouveau conflit des facultés et des fonctions dans l’Anthropocène, Paris, Fayard, 2018, 970 p. (ISBN 978-2213700878)
Qu’appelle-t-on panser ? 1. L’immense régression, Paris, Les Liens qui libèrent, 2018

Participations à des revues[modifier | modifier le code]