UN CYCLE DE 2 ANS À L’UNIVERSITÉ DE CONCORDIA , PHILOSOPHIE POLITIQUE

20 août 2015
Que mon été acadien fut merveilleux… Une nouvelle question en est résultée… Quelles sont les chances que le premier pays œuvre d’art surgisse d’une nation sans état plutôt que d’une nation étatique? L’acadie pourrait-elle aspirer à en être la première modélisation?

Je vais donc commencer un cycle de deux ans, en immersion anglaise, centré sur une présence continue (sept jours semaines) à la bibliothèque de l’université de Concordia en philosophie politique.

Après deux ans en phénoménologie comme en sociologie à la bibliothèque de l’Université de Montréal à la recherche d’une méthodologie qualitative, deux ans en histoire de l’art à la bibliotheque de l’université du Québec à la recherche d’une définition opérationelle de la vie personnelle œuvre d’art axée sur le rapport à la beauté du monde, je termine donc mon tryptique théorique par un survol le plus pointu possible des concepts permettant le surgissement d’un pays œuvre d’art par une masse critique de vies personnelles œuvre d’art et cela par un corpus de lectures en philosophie politique à l’Université Concordia.

A la suite de ce cheminement, j’entreprendrai la rédaction de ma thèse de doctorat… J’aimerais bien qu’elle soit dirigée par le sociologue Joseph Yvon Thériault.. enfin…

Merci aux acadiens, nation poétique sans état à la capitale la plus invraisemblable, Caraquet.

Longue vie au congrès mondial acadien.

Pierrot vagabond