LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE…. LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART … LE PAYS OEUVRE D’ART…. DES AB-CEPTS QUI PRENNENT LEUR PARADIGME VIRAL DANS LE SENS DE «RÊVONS» PARCE QU’UN SIMPLE VIRUS MONDIALISÉ CHANGE INSTANTANÉMENT SOUR TOUTE LA PLANÈTE EN MÊME TEMPS « LES PARAMÈTRES DE L’IMPOSSIBLE» … LES ÉTIQUETTES AUTREFOIS PORTÉES PAR LA RAISON SONT AUJOURD’HUI TÉLÉ-PORTÉES DANS LEUR VACILLEMENT ET LEUR FLOTTEMENT RHYZOMIQUE PAR LE K-OEUR …. LE PLUS RICHE COMME LE PLUS PAUVRE SE VOIT MENACÉ NON PAS PAR CES MILLIONS D’ENFANTS QUI SE MEURENT DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE… MAIS PAR L’INCONSCIENCE DU K-OEUR À NE PAS VOIR EN CHACUNE DE CES VIES PERSONNELLES OEUVRE D’ART GASPILLÉES UN DANGER «VIRUS» MÊME POUR LA MISE EN SURVIE DU PLUS RICHE COMME DU PLUS PAUVRE

Pierrot

COVID-19: «On doit comprendre notre place dans la société»


PHOTO NICK WASS, ASSOCIATED PRESS

Après avoir organisé une conférence téléphonique avec les gouverneurs des 31 formations, jeudi, la Ligue nationale de hockey a confirmé qu’elle suspendait ses activités en raison de la pandémie mondiale de coronavirus.

Ça aura pris plus de temps que certains ne l’auraient souhaité, mais la Ligue nationale s’est rendue à l’évidence : elle suspend ses activités jusqu’à nouvel ordre. Dans le contexte de pandémie mondiale de COVID-19, la question est surtout de savoir quand elles reprendront.

Guillaume Lefrançois Guillaume Lefrançois
La Presse

C’est en effet une crise d’une ampleur inégalée qui a mené à cette situation. Une crise qui ne touche pas que l’Amérique du Nord, mais bien le monde entier. Une crise qui ne touche pas que le monde du sport, mais toutes les sphères de la société. En fait, le sport devient ici une victime bien marginale d’une situation qui a des conséquences autrement graves que l’annulation de matchs de hockey.

Le président des Stars de Dallas, Brad Alberts, l’a exprimé de la façon la plus éloquente.

« En ce moment, ça dépasse les frontières de notre sport, a-t-il dit aux médias de Dallas, dans une conférence webdiffusée. C’est une crise internationale et une crise nationale. On doit comprendre notre place dans la société. »

C’est d’ailleurs ce qui ressort en faisant le tour de la LNH. Chez le Canadien, personne n’a officiellement parlé aux médias. Un groupe de journalistes couvrant les activités de l’équipe a demandé de s’entretenir avec Paul Byron, représentant du Canadien au sein de l’Association des joueurs, et avec Geoff Molson, président de l’équipe. Ces demandes ont été refusées.

Plusieurs autres organisations ont fait de même et ont seulement réagi à la nouvelle par des communiqués, car la LNH est essentiellement à la remorque des annonces des instances canadiennes et américaines.

Les réponses les plus concrètes proviennent d’ailleurs de sources gouvernementales. La plus frappante : celle du gouverneur de l’Illinois, J.B. Pritzker, qui a demandé aux propriétaires d’équipes de Chicago d’annuler tous leurs matchs jusqu’au 1er mai, ou, du moins, de les disputer à huis clos. Le gouverneur a dit que les propriétaires avaient accepté.

À Anaheim, les Ducks ont quant à eux annoncé qu’à la demande du gouverneur de l’État de la Californie, tous les événements prévus au Honda Center jusqu’au 31 mars avaient été reportés.

En Ontario, les écoles publiques seront fermées jusqu’au 5 avril. À San Francisco aussi, les écoles publiques seront fermées pour trois semaines à compter de lundi. Avec de telles annonces, on voit mal comment justifier politiquement la réouverture d’amphithéâtres avant ces dates…

Des joueurs infectés ?

En entrevue au réseau CNBC, le commissaire de la LNH, Gary Bettman, a indiqué qu’à sa connaissance, aucun joueur n’avait eu de test positif à la COVID-19.


PHOTO BRUCE BENNETT, ARCHIVES AGENCE FRANCE-PRESSE

Gary Bettman, commissaire de la Ligue nationale de hockey

Le directeur général des Stars de Dallas, Jim Nill, a toutefois expliqué que l’équipe attendait de recevoir une trousse de test afin de s’assurer que l’attaquant Alexander Radulov, qui était malade ces derniers jours, n’était pas infecté. Sur son compte Instagram, l’ancien du Canadien a assuré être en santé et n’avoir jamais été infecté.

J’ai décidé qu’il était temps de prendre les devants et de ne pas attendre qu’un de nos joueurs ait un test positif, car de toute évidence, nous n’allions pas disputer le reste de la saison sans qu’un joueur ait un test positif.

Gary Bettman, dont les propos ont été rapportés par le confrère Nick Cotsonika, journaliste pour NHL.com

Le cours des événements s’est précipité mercredi soir après qu’on eut appris qu’un joueur du Jazz de l’Utah, Rudy Gobert, avait subi un test positif à la COVID-19. La NBA a alors annoncé la suspension de ses activités, une pause qui durera au moins 30 jours, a dit le commissaire de la NBA, Adam Silver, jeudi.

La LNH n’a toutefois pas répondu aussi rapidement que l’affirme Bettman. D’abord, parce que les Sharks de San Jose et les Blue Jackets de Columbus ont disputé des matchs en dépit des recommandations contraires des autorités locales.

La LNH a ensuite publié un communiqué tard mercredi, affirmant qu’elle était « au courant » de la décision de la NBA et qu’elle évaluait ses différentes options. Mais la décision de faire une pause sur les activités n’a été annoncée qu’en début d’après-midi jeudi.

« Les joueurs arrivaient à l’aréna et avaient l’air de se dire : allons-nous vraiment jouer un match ce soir ? racontait Jon Cooper, entraîneur-chef du Lightning, en entrevue à Sirius XM.

« On est en attente, a-t-il poursuivi. C’est un peu comme lors du lock-out, mais en même temps, il y avait de la négociation, de l’espoir. Cette fois-ci, on est vraiment en territoire inconnu. »

Réactions

Jason Dickinson (Stars) et Alex Killorn (Lightning) sont deux des très, très rares joueurs à avoir répondu aux questions des journalistes. Les Bruins ont quant à eux distribué des déclarations de Zdeno Chara et de Patrice Bergeron par courriel.


PHOTO PATRICK SANFAÇON, ARCHIVES LA PRESSE

Alex Killorn, du Lightning de Tampa Bay

La ligue avait évidemment une grosse décision à prendre et elle devait le faire rapidement. Nous soutenons la décision, sachant les effets du virus.

Alex Killorn, aux médias de Tampa

Les dirigeants ont toutefois été plus nombreux à parler aux médias, même si aucun secret d’État n’a été révélé. Ceux des Kings, des Predators, des Flames, des Coyotes, des Stars, du Lightning et des Jets l’ont notamment fait.

« Depuis une dizaine de jours, on a élaboré différents plans de contingence, dans l’espoir de ne pas en arriver là où on en est aujourd’hui, a reconnu le DG des Flames, Brad Treliving.

« Ce sont des joueurs, ils veulent jouer. Mais ils reconnaissent aussi qu’un vestiaire n’est pas immunisé contre ce qui se passe dans la société. »

« Notre but est simple : recommencer à faire ce qu’on aime, dans une communauté en santé, avec une équipe capable de redonner de la joie à nos concitoyens », a de son côté dit Sean Henry, chef de la direction des Predators de Nashville, ville qui a été frappée par une tornade la semaine dernière.

Henry a par ailleurs annoncé que les employés du Bridgestone Arena seraient payés pour leurs quarts de travail prévus cette fin de semaine.

Chez le Canadien, un communiqué de quatre paragraphes a été envoyé, de même qu’un article de questions-réponses, publié sur le site Internet de l’équipe, dans lequel il était question du statut des billets achetés, des concours organisés par l’équipe et des heures d’ouverture de la boutique de souvenirs.

La Ligue américaine aussi

Sans surprise, la Ligue américaine – là où jouent les filiales des équipes – a également annoncé la suspension de ses activités, tout comme l’ECHL, la ligue professionnelle de troisième niveau en Amérique du Nord. « La Ligue américaine continuera à suivre les développements et fournira des mises à jour sur la saison 2019-2020 au moment approprié », a écrit la ligue dans un court communiqué de deux paragraphes. Si les séries devaient commencer en respectant le classement actuel, le Rocket de Laval en serait exclu. Le club-école du Canadien occupe le 4e rang de la division Nord, à quatre points de la dernière place y donnant accès, occupée par les Devils de Binghamton. Le Rocket a disputé 62 des 76 matchs inscrits au calendrier.

L’INVENTION DE L’INSTITUTION DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE PASSERA PAR LE CRYPTAGE ALGORITHMIQUE QUANTIQUE SUR TÉLÉPHONE INTELLIGENT DE CHAQUE VOTEURS OU VOTEUSES D ELA PLANÊTE TERRE…. LA PROPAGATION DE VIRUS AIDANT À LA GLOBALISATION DE LA JUSTICE ÉPISTÉMIQUE PAR LA MISE EN ESTHÉTISME DES DEUX ASSEMBLÉES DES JUSTES (39 FEMMES ET 39 HOMMES)

Pierrot

Le coronavirus pourrait avoir des répercussions insoupçonnées, notamment sur le milieu du travail

iStock

Le coronavirus et son effet insoupçonné sur le milieu du travail

 

Depuis quelques semaines déjà, le nouveau coronavirus est le sujet d’actualité numéro 1 partout dans le monde. S’il fait autant jaser, c’est que le virus se propage à vitesse grand V d’un pays à un autre, en raison de son indice de contagion plutôt élevé. Si vous vous posez toujours certaines questions sur le sujet, nous vous invitons à lire le compte-rendu de notre discussion avec le Dr Alex Carignan, microbiologiste et infectiologue.

Le Québec a été épargné par la propagation du coronavirus jusqu’à présent, puisque, au moment d’écrire ces lignes, seulement deux cas d’infection y avaient été détectés. Le ministère de la Santé de la province a d’ailleurs mentionné que « le risque global d’être infecté par le coronavirus est toujours considéré comme faible au Québec ».

Afin de prévenir ou du moins de ralentir la transmission du coronavirus et de protéger la santé des membres de leur personnel, les directions de certaines grandes entreprises aux États-Unis, pays qui compte 99 cas en ce moment, ont fortement suggéré à ceux et celles qui en avaient la possibilité de travailler de la maison jusqu’à nouvel ordre. Parmi ces entreprises, on compte notamment Microsoft, Amazon et Twitter.

Du changement à prévoir

Or, cette nouvelle mesure risque de créer bien des remous au sein de ces multinationales, qui verront leur personnel goûter au télétravail pendant une bonne période, et possiblement l’apprécier. Questionnée à ce sujet par BuzzFeed News, la directrice des ressources humaines de Twitter, Jennifer Christie, est pleinement consciente des bouleversements que pourrait avoir cette décision.

« Les gens qui étaient réticents à travailler à l’extérieur vont se rendre compte qu’ils se dépassent en travaillant de cette façon. Les membres de la direction qui ne pensaient pas pouvoir gérer des équipes à distance auront une perspective différente. Je suis convaincue qu’on ne reviendra pas en arrière. »

– Jennifer Christie, directrice des ressources humaines de Twitter

Cette intuition pourrait s’avérer si l’on se fie au cas de Telus ici, au Canada. En effet, depuis que la direction de l’entreprise a implanté le télétravail, en 2006, il est devenu de plus en plus populaire. En 2018, c’était 70 % du personnel du géant des télécommunications canadien qui effectuait ses tâches professionnelles de la maison. Catherine Bédard, directrice générale de Personnes et culture (l’équivalent des ressources humaines) à Telus Montréal, affirme que le télétravail a de nombreux bénéfices, comme une plus grande flexibilité pour les travailleurs et travailleuses. Elle ajoute que cela permet à l’entreprise de recruter les personnes les mieux qualifiées, où qu’elles soient.

Si ce type de mesures devait être aussi envisagé dans d’autres entreprises du Québec en raison du coronavirus, il serait intéressant d’observer la volonté des directions à ouvrir la porte au télétravail, puisqu’il n’est pas particulièrement populaire au Canada, l’un des pays de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) très peu développés sur ce plan.

Le télétravail et ses répercussions

Si le télétravail est de plus en plus populaire tant auprès des directions d’entreprises que du personnel, c’est qu’il comporte de nombreux avantages, selon Marianne Plamondon, avocate associée au cabinet Langlois avocats. Il permet, entre autres, aux travailleurs et travailleuses d’économiser du temps dans les déplacements, de mieux se concentrer, et donc d’augmenter leur productivité. Du côté des entreprises, cette façon de travailler réduit les coûts locatifs, en plus d’accroître leur attractivité auprès des membres du personnel ne résidant pas à proximité du lieu de travail.

Pour Katie Bussières, présidente de Nubik, une entreprise où 100 % du personnel travaille à domicile, le télétravail est très prometteur.

« C’est l’avenir. Je veux que ce soit de moins en moins avant-gardiste, je voudrais qu’il y ait plus d’entreprises qui adoptent cette façon de travailler. Il faut avoir les bons outils et adapter notre mode de gestion; c’est la clé. C’est toute une culture qu’il faut ajuster. C’est un changement organisationnel qui doit être fait. »

Évidemment, le télétravail a notamment pour conséquence de modifier la communication entre collègues. Comme elle ne se fait plus en face à face, les moyens de communication électroniques, comme des applications ou outils de messagerie instantanée (Slack, Google Hangouts et autres) sont privilégiés, ce qui permet à un plus grand nombre de personnes de s’exprimer lors de rencontres, par exemple.

Jennifer Christie mentionne d’ailleurs que les personnes introverties travaillant pour Twitter sont beaucoup plus à l’aise de s’exprimer par messagerie qu’en public. Pour illustrer son propos, elle précise que la portion « Questions et réponses » d’une récente rencontre hebdomadaire rassemblant tous les membres de l’entreprise était beaucoup plus animée qu’à l’habitude, lorsque tout le monde se rassemble dans la même pièce.

Voilà un témoignage qui risque de faire sursauter les directions d’entreprises qui sont convaincues que la communication et la participation des membres de leur personnel sont en péril en raison du télétravail.

Bientôt une révolution en raison d’un virus?

Certains préjugés subsistent toujours envers le travail de la maison, mais ils pourraient bien tomber prochainement si cette façon de faire devait être adoptée par un grand nombre d’entreprises, partout sur la planète.

Le coronavirus aura donc potentiellement des répercussions insoupçonnées sur le milieu du travail. Parions que peu de spécialistes s’étaient imaginé un tel scénario.

LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE ÉMERGERA PAR UNE RHYZOMATISATION DU K-OEUR DE L’HUMANITÉ EN CHACUN DES NANO-CITOYENS-PLANÉTAIRES… PARCE QU’UN DANGER PLANÉTAIRE MENAÇANT LE PLUS RICHE COMME LE PLUS PAUVRE CHANGERA LES PARADYGMES DE JUSTICE COMME ÉQUITÉ PAR LA NÉCESSITÉ D’UNE INVENTION…. UNE INSTITUTION… AU SERVICE DE CHAQUE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART …. POURQUOI LES GENS ACHÈTENT-ILS DU PAPIER DE TOILETTE? ….. PARCE QUE L’ESPÈC EHUMAINE EST UNE ESPÈCE IMMITATRICE….

Pierrot

Coronavirus : pourquoi les gens achètent-ils du papier de toilette?

Des personnes poussent leurs chariots remplis d'articles d'entretien ménager et de papier de toilette.

À Vancouver, de nombreux consommateurs achètent du papier de toilette.

La propagation de la COVID-19 a enclenché une ruée vers le papier de toilette chez de nombreux consommateurs. Pourquoi les gens décident-ils de s’en acheter en grande quantité, même si les autorités sanitaires mettent le public en garde contre les achats impulsifs?

Les humains s’imitent

Selon Steven Taylor, un professeur expert en psychologie des pandémies à l’Université de la Colombie-Britannique, l’espèce humaine est une espèce imitatrice.

Les images virales de tablettes vides, de chariots remplis et de bagarres sur les réseaux sociaux alimentent un sentiment de panique chez certaines personnes, les poussant alors à reproduire ces comportements.

Lorsqu’une personne commence à agir de manière effrayée, ça peut devenir contagieux.

Steven Taylor, professeur expert en psychologie des pandémies, l’UBC

Ceci cause un effet boule de neige qui retombe sur des consommateurs non alarmés, qui ne veulent tout simplement pas se retrouver sans papier de toilette en cas de pandémie.

Frank Ducote tenant un paquet de papier toilette dans ses bras.

La COVID-19 ne cause pas de panique pour Frank Ducote, un résident de Vancouver. Mais il avoue que le fait que de nombreuses personnes se ruent vers le papier de toilette a joué un rôle dans sa décision de se rendre au magasin.

Photo : Radio-Canada / Mugoli Samba

Les humains ont un instinct évolutif d’éviter les maladies possibles des autres, ajoute Steve Kates, professeur à l’école de commerce Beedie de l’Université Simon Fraser. Ils font les provisions maintenant au cas où le virus se propage. Ils n’auront pas à sortir en public pour se procurer plus de papier de toilette.

Un symbole de sécurité

Plan serré d'une main déroulant un bout de papier de toilette.

Selon Steven Taylor, le papier de toilette est devenu un symbole de sécurité pour certains consommateurs.

Photo : iStock

Le papier de toilette serait aussi devenu un symbole de sécurité, selon Steven Taylor.

Les gens accaparent le papier toilette et s’en servent comme genre d’objet porte-bonheur.

Steven Taylor, professeur expert en psychologie des pandémies, l’UBC

Les gens ont tendance à croire que les gros problèmes demandent de grandes solutions, mais le gouvernement dit : “Vous ne devez pas porter de masques et vous devez vous laver les mains, décrit-il. Dans la conscience des gens, ils ont un gros problème et on leur offre une petite solution.

C’est pour cette raison que de nombreuses personnes se tourneraient vers le papier de toilette comme symbole de sécurité : ses paquets sont gros, distincts, et plus faciles à reconnaître que des bouteilles de désinfectant, souvent plus petites et au fond des chariots.

L’antidote du dégoût

Beaucoup de boîtes vides en carton et quelques paquets de rouleaux de papier toilette dans un magasin avec des lumières fluorescentes.

Les stocks de papier toilette, lundi, au magasin Superstore de Vancouver, sont dégarnis.

Photo : Radio-Canada / Noémie Moukanda

Les consommateurs seraient aussi motivés par l’association des virus au dégoût. Le fait d’être infecté et d’être dégoûté sont intimement liés. C’est l’une des raisons pour lesquelles le papier de toilette est devenu un tel symbole de sécurité : parce qu’il est associé à l’absence de contamination, ou à l’hygiène, explique le professeur.

Le papier toilette, objet hygiénique grand et facilement identifiable, devient alors l’antidote du dégoût.

Les humains sont résilients

Ce n’est pas la première fois que les consommateurs ont choisi de se ruer vers un objet particulier face à une pandémie. Steven Taylor donne l’exemple de la grippe espagnole, qui a notamment poussé des milliers de consommateurs à s’acheter des bouteilles de Vicks VapoRub.

La fin d'un rouleau de papier de toilette.

Selon Steven Taylor, les achats de panique de certains pourraient avoir des conséquences sur les personnes qui ne peuvent pas se permettre des approvisionnements.

Photo : Getty Images / mevans

Il croit que ce réflexe de surconsommation peut avoir des conséquences marquées, notamment sur les personnes moins fortunées, qui ne peuvent se permettre de s’approvisionner lorsque ce n’est pas nécessaire. Mais le professeur demeure optimiste.

NOUS VERRONS UNE AUGMENTATION D’ALTRUISME, DE GENS QUI SE SOUTIENNENT LES UNS LES AUTRES ….., et la plupart des personnes traverseront cette période assez bien, même si elles se sentent un peu stressées, dit-il. L’espèce humaine est une espèce résiliente.

LE TRAIN DE LA CONDITION HUMAINE ET LES 2 HOBOS QUI SAUTENT DU TRAIN…

Quand j’ai vagabondé le pays comme vagabond céleste…. j’ai vu beaucoup d’histoires d’horreurs…. De celle qui ne se content qu’au compte-goutte… Pourquoi?

Pourquoi?…. Parce que je me disais… mais ça ne se peut pas….. ça ne se peut tout simplement pas….

Cet homme complètement saoul qui la nuit arrêta pour m,embarquer dans son automobile.. tellement saoul que j’ai du tenir le volant pour qu’il se stationne sur le bord de la route… et dorme…. Il n,arrêtait pas de pleurer…. «Je suis laid… Je suis trop lais…. aucune femme ne m’aime»….

Que dire… que faire…. Une fois endormi…. j’ai repris la route…. le train de la condition humaine et ses dépendances…. que faire… que dire… quand au fond de moi-même ne chantait que la beauté du monde…

Comme cette autre fois où sur la route de la Baie James, une femme se rendant à Radisson me raconta que son mari la battait…. Un jour…. elle était serveuse au mi-chemin de la Baie James… son premier chum de jeunesse y débarqua… Et de lui dire… Je t’ai toujours aimé… as-tu un conjoint? es-tu heureuse?… et elle de lui dire J’ai un conjoint et je ne suis pas heureuse…

Va chercher tes affaires…. tout de suite… Je t’emmène avec moi… Elle partit… alla charcher ses affaires… son conjoint la frappa au visage une dernière fois…

Puis cette dame garda un long silence dans l’auto… Et de me dire… Je n’ai jamais été si heureuse…. Il était un peu plus vieux que moi…. Une dizaine d’années à peine… Puis il y a 2 ans… son conjoint fut frappé par un cancer… Il ne cessa de la supplier de le quitter pour se trouver un homme de soin âge…

et elle de me dire… Je me suis juré de faire des derniers jours de sa vie…. un pur bonheur entre nous…. C’est pour lui que je me bats tous les jours….

LE TRAIN DE LA CONDITION HUMAINE… Peut-être ais-je sauté du train comme les hobos pour ramasser des histoires… de vies ratées comme de vies personnelle soeuvre d’art

Pierrot vagabond

COMME DANS «LE RÊVE DE D’ALEMBERT» DE DIDEDOT …..LE VAGABOND CÉLESTE… C’EST UN RÊVE DANS UN RÊVE …. UNE ATOPIE (NE RESSEMBLE À RIEN ) … UNE ÉNIGME DANS LA DISPARITION DES CERTITUDES… UNE PENSÉE POÉTIQUE ABSENTE …. MAIS INITIATRICE PAR SA STRATÉGIE EXISTENTIALE … LE RÊVE D’UNE ÉTIQUETTE FLOTTANTE …UN ABJET… UN SOCLE ABJETAL …. LE RÊVE D’UN RÊVE D’UN RÊVE D’UNE CONSTELLARION CHAMP- SORIELLE …. UN SONGE… UNE BÉATITUDE UN FAIT DE LA PHYSIQUE QUANTIQUE…

Pierrot vagabond

LA MYSTIQUE DE L’ÉQUIPE DE RECHERCHE PASSE PAR L’AMITIÉ… DES RÈGLES DU JEU WOW ET UNE JOIE INTRINSÈQUE AU QUOTIDIEN DE VIVRE LA SOIF DU SOULAGEMENT DE LA CONDITION HUMAINE PAR UNE INVENTION….. L’INVENTION DE L’INSTITUTION DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE

Quel beau conseil d’administration de la créativité ce matin…. Michel est un travailleur acharné… Il pellete comme concierge, il aime sa femme et chante sa condition humaine en particulier et celle des autres au travers la sienne…Avec Marlene, Il a traduit la chanson du camionneur en anglais, a mis quatre heures hier soir pour en faire une version you tube….

Moi pendant ce temps, j’ai passé la journée au 24 heures et je suis rentré vers minuit et demie hier soir….

Donc ce matin à 6 heures… j’écoutais le résultat de sa version du camionneur…. J’aime quand ca respire la vie… le garage… le non parfait…. le K-oeur d’un homme qui chante, qui aime sa femme….

et ça… ça me rend vraiment heureux…

 

Pierrot vagabond

LE DISCOURS SUR LA VÉRITÉ DE KRISHNAMURTI

LA VÉRITÉ … discours de 1930…. dissolution de la théosophie…

La vérité est un pays sans chemin, que l’on ne peut atteindre par aucune route quelle qu’elle soit, aucune religion, aucune secte. Tel est mon point de vue. Et je le maintiens d’une façon absolue, inconditionnelle. La vérité étant illimitée, inconditionnée, inapprochable par quelque sentier que ce soit , NE PEUT PAS ÊTRE ORGANISÉE.

On ne devrait donc pas créer d’organisation qui incite les hommes à suivre un chemin particulier. Si vous comprenez cela dès le début, vous verrez à quel point il est impossible D’ORGANISER UNE CROYANCE.

Une croyance est une question purement individuelle et vous ne pouvez ni ne devez l’organiser. Si on l’organise, elle devient une religion, une secte, une chose cristallisée, morte QUE L’ON IMPOSE À D’AUTRES. C’est ce que tout le monde essaie de faire.

La vérité est ainsi rétrécie et transformée en un jouet pour les faibles, pour ceux dont le mécontentement n’est que momentané. La vérité ne peut pas être rabaissée au niveau de l’individu.

Mais c’est bien plutôt l’individu qui doit faire l’effort de S’ÉLEVER JUSQU’À ELLE.  On ne peut pas amener dans la vallée le sommet de la montagne. Si on veut l’atteindre, il faut prendre par la vallée , grimper les pentes raides sans craindre les dangers des précipices. IL FAUT MONTER VERS LA VÉRITÉ. Elle ne peut pas être abaissée vers nous, organisée pour vous.

Si c’est par son organisation qu’une idée vous a intéressé, cela prouve que l’intérêt n’était ici qu’extérieur. L’intérêt qui ne naît pas de l’amour de la vérité pour elle-même est sans valeur.

VAGABONDER LA CONNAISSANCE… C’EST INSTITUER LES QUATRES QUESTIRONS DE TOUTE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART COMME PRINCIPES NON ÉCRITS DE L’UNIVERSITÉ PLANÉTAIRE DE DEMAIN… CELLE POUR LAQUELLE L’INVENTION DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE SCELLERA LA DANSE DE LA BEAUTÉ DU MONDE (WOW-T=2.7K?» AVEC LE DROIT MULTIVERSIEL À UNE ÉDUCATION UNIVERSITAIRE GRATUITE POUR CHACUN DES MILLIONS D’ENFANTS QUI SE MEURENT DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE AU SOULAGEMENT DE LA CONDITION HUMAINE PAR L’ERRANCE POÉTIQUE SUR TERRE….

L’ANECDOTE DE LA THÉRAPIE-ASCENSEUR

Un jour…. un gardien de sécurité de l’UQAM… 6 pieds et plus me dit… j’ai des tendances suicidaires pour une histoire d’amour impossible… Je ne vais pas bien Monsieur Pierrot… et moi de lui dire…. Chaque fois que tu n’en pourras plus… passe à mon bureau de la beauté du monde… puis nous irons au seul endroit où tu n’es pas surveillé par des cameras dans ton travail… un ascenseur..

C’est ainsi que durant plusieurs semaines… nous fimes de la thérapie-ascenseur…. rien de bien compliqué… On pesait sur le bouton et il racontait….. Une université ne prend jamais assez soin des gardiens de la connaissance….

C’est drôle… parce que Gilles, formateur des nouveau gardiens de l’UQAM… qui connait mon histoire de thérapie ascenseur avec Jonathan…. quand il me rencontre dans les couloirs avec son groupe de nouveaux arrivants… me présente à eux…. et moi de leur dire à titre de recteur poétique de l’UQAM… Bienvenue chez vous… mes amis…

En fait… ce qu’ils ne savent pas… c’est que c’est mon holo-arché-multiversiel qui salue en eux les reveuses et les rêveurs qu’ils vont devenir parce qu’un vieux Monsieur en pantoufle a vu en eux et elles… LA BEAUTÉ DU MONDE.

Pierrot vagabond