EN CONSEQUENCE DE QUOI, PRÉCÉDANT MÊME LA THÉORIE DES CORDES, L’AVANT-AVANT-AVANT BIG BANG ME SEMBLE CONSTITUER ÉGALEMENT DE LA MOITIÉ DE LA FORMULE (WOW-T) ET LE = CORRESPOND AU DÉCLENCHEMENT DU BIG BANG ET DE SA TRACE COMME INTENTION D’UN RÊVE …2.7K…. LE ? INSCRIVANT CETTE INTUITION SOUS LA RÉSERVE POPPÉRIENNE D’UNE POSSIBILITÉ DE FALSIFIER LE TOUT PAR DIFFERENTES EXPÉRIENCES ONTO-MÉTHO-NANO- COSMOLOGENES

La théorie des cordes (traduction du concept anglais de « string theory » – voir précisions conceptuelles ci-dessous) est un domaine actif de recherche traitant de l’une des questions de la physique théorique : fournir une description de la gravité quantique, c’est-à-dire l’unification de la mécanique quantique et de la théorie de la relativité générale. La principale particularité de la théorie des cordes est que son ambition ne s’arrête pas à cette réconciliation, mais qu’elle prétend réussir à unifier les quatre interactions élémentaires connues, on parle de théorie du tout.

Pour mieux comprendre le concept physique, une remarque linguistique s’impose en français : dans le domaine physique, le concept anglais de « string » ne désigne pas spécifiquement une « corde », mais plutôt un « brin » (ou « amas » particulaire, pas forcément rectiligne1) d’un diamètre minimal correspondant à l’échelle de Planck2.

La théorie des cordes a obtenu des premiers résultats théoriques partiels. Dans le cadre de la thermodynamique des trous noirs, elle permet de reproduire la formule de Bekenstein et Hawking pour l’entropie des trous noirs. Elle possède également une richesse mathématique notable : en particulier, elle a permis de conceptualiser la symétrie miroir en géométrie.
8.3 Liens externes

Présentation élémentaire du problème[modifier | modifier le code]

La physique théorique repose aujourd’hui sur deux grandes théories, en ce qui concerne la physique des particules :
la relativité générale, une théorie de la gravitation qui décrit l’interaction gravitationnelle dans le cadre relativiste ;
la mécanique quantique (et son extension, la théorie quantique des champs), qui décrit les particules élémentaires comme des ondes (comme la lumière dans la théorie classique pré-relativiste) ; ces particules sont plus ou moins délocalisées, contrairement aux particules classiques qui sont des objets parfaitement localisés.

La relativité générale est confortée principalement par des observations astronomiques (à l’échelle du système solaire comme l’avancée du périhélie de Mercure et à l’échelle astronomique comme les lentilles gravitationnelles et la dynamique des étoiles binaires), mais aussi par des applications concrètes comme le système GPS. La mécanique quantique est confortée par l’ensemble des observations aux échelles inférieures (du picomètre au milliard de kilomètres). Chacune de ces deux théories a conduit à des succès impressionnants (en matière d’expériences précises et fiables, cf. Mécanique Classique et Mécanique Quantique) dans son propre domaine mais la différence profonde évoquée ci-dessus est à l’origine d’incohérences. Certains physiciens ont donc adopté une attitude pragmatique : utilisons chaque outil dans son domaine de validité sans nous poser de problèmes pouvant être insolubles, cf. École de Copenhague, contrairement à d’autres qui suggèrent un point de vue plus réaliste conforme aux deux théories, cf. Théorie de De Broglie-Bohm.

Il reste que certains phénomènes nécessiteraient l’utilisation des deux théories. Ainsi, un trou noir a un champ gravitationnel tel qu’il attire tout ce qui passe à sa portée, y compris la lumière, ce qui implique la relativité générale. Pour tenter de décrire la « nature » de la « matière » dont il est constitué, ce qui implique la formulation d’une théorie des champs cohérente d’un point de vue mathématique, il faut faire appel à la mécanique quantique. Les premiers instants du Big Bang poseraient, en considérant la théorie comme valide, un problème analogue, au moins à première vue. Les théories des cordes tentent de décrire de tels phénomènes. L’Univers élégant de Brian Greene donne à ce sujet un aperçu à l’usage des non-spécialistes.

Outre les controverses fondamentales évoquées ci-après, les théories des cordes présentent un inconvénient pratique, leur complexité extrême qui ne permet pas, à ce jour, d’aboutir à des résultats utilisables sans approximations grossières. C’est à ce jour avant tout une théorie mathématique ayant des visées physiques dont le bien-fondé reste à montrer par l’expérience.

Hypothèses et prédictions[modifier | modifier le code]

La théorie repose sur deux hypothèses :
Les briques fondamentales de l’Univers ne seraient pas des particules ponctuelles mais des sortes de cordelettes vibrantes possédant une tension, à la manière d’un élastique. Ce que nous percevons comme des particules de caractéristiques distinctes (masse, charge électrique, etc.) ne seraient que des cordes vibrant différemment. Les différents types de cordes, vibrant à des fréquences différentes, seraient ainsi à l’origine de toutes les particules élémentaires de notre Univers. Avec cette hypothèse, les théoriciens des cordes admettent une échelle minimale, reliée à la taille de Planck, et permettent ainsi d’éviter facilement l’apparition de certaines quantités infinies (« divergences ») qui sont inévitables dans les théories quantiques de champs habituelles.
L’Univers contiendrait plus de trois dimensions spatiales. Certaines d’entre elles, repliées sur elles-mêmes (théories de Kaluza-Klein), passant inaperçues à nos échelles (par une procédure appelée réduction dimensionnelle).

À partir de ces hypothèses, la théorie des cordes prédit que :
Le graviton, boson (c.-à-d. médiateur) de la gravitation serait une particule de spin 2 et de masse nulle (conformément à la physique quantique). Sa corde a une amplitude d’onde nulle.
Il n’y a pas de différences mesurables entre des cordes qui s’enroulent autour d’une dimension et celles qui se déplacent dans les dimensions (c.-à-d. les effets dans une dimension de taille R sont les mêmes que dans une dimension de taille 1/R).

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L’HYPOTHÈSE ÉPISTÉMOLOGIQUE DU IER CHAPITRE DU DOCTORAT M’APPARAÎT CELLE-CI: LA SOURCE D’ÉNERGIE DE TOUTE NANO-PERSONNE HUMAINE SUR TERRE EST EXACTEMENT LA MÊME QUE LA SOURCE D’ÉNERGIE TRANSCENDANTE DE L’UNIVERS: UN RÊVE BIG-BANG BASÉE SUR L’UNITÉ FONDAMENTALE D’UNE FORMULE COSMOGÉNIQUE: WOW-T=2.7K?

Comme une série de poupées russes de tailles décroissantes placées les unes à l’intérieur des autres (symbole de fertilité), le rêve big-bang de toute nano-personne humaine sur terre symbolisée la formule wow-t (fais wow sur un rêve et ne triche pas) est = (dans le sens de synchronicité ) semble danser avec le rêve big bang de l’univers (2.7k?), le ? indiquant que le tout reste à démontrer hors de tout doute raisonnable.

Comme les ieres 160 pages du ier chapitre sont composées de blocs de légo dont le contenu de chaque bloc peut être modifié sans toucher à l’architectonie de l’ensemble, il m’apparaît intrinsèquement évident que d’une esquisse à l’autre, le dialogue entre l’onto-cosmologie, la métho-cosmologie et la nano-cosmologie de la formule est appelé à se chirurgicaliser par une réflexion sur la constellation à partir de laquelle constructivistement le cadre théorique pourra servir`au fondement onto-métho-nano- de la nano-citoyenneté-planétaire du deuxième chapitre.

1: Quel est ton rêve?
2: Dans combien de jours?
3: qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?
4: Comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

sont les quatre questions de la vie personnelle œuvre d’art qui, en conclusion du ier chapitre, serviront de fondement à l’ouverture du 2eme chapitre par la cinquième question:

COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

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7 JUIN 2018…. BOSON DE HIGGS,,,, L’ORIGINE DE LA MASSE DES QUARKS SE PRÉCISE

Le boson de Brout-Englert-Higgs n’explique pas la masse des protons et des neutrons mais il sert bel et bien à donner des masses à leurs constituants, les quarks, dans le cadre de la théorie standard des hautes énergies. Au LHC, les détecteurs Atlas et CMS viennent de le confirmer avec le quark top. Cela peut ouvrir une fenêtre sur une nouvelle physique expliquant les valeurs précises de ces masses.

Qu’est-ce que le boson de Higgs ? Avant d’être découvert, le boson de Higgs a été postulé. Cette particule singulière, qui n’est ni de la matière ni le véhicule d’une force, était une pièce manquante des théories existantes. Nathalie Besson, physicienne au CEA, nous explique pourquoi les scientifiques ont introduit cet étrange boson.

Lors de l’émouvant hommage rendu au physicien Pierre Binétruy il y a un mois, le célèbre physicien théoricien Jean Iliopoulos, membre de l’Académie des sciences, lauréat de la prestigieuse médaille Dirac et qui a été un des architectes du modèle standard (en prédisant avec Sheldon Glashow et Luciano Maiani l’existence d’un nouveau quark, qu’on appellera par la suite « charme »), a soutenu l’idée qu’il était temps désormais de parler de la « théorie standard de la physique des hautes énergies » et non plus du « modèle standard ».

En effet, avec la découverte du boson de Brout-Englert-Higgs faisant suite à celle des bosons W et Z ainsi qu’aux impressionnantes confirmations dans les collisions au LHC de bon nombre d’autres prédictions de la théorie électrofaible combinée à celle de la chromodynamique quantique, ce modèle est si solidement établi que la prudence n’est plus de mise.

Voir aussi :La masse des quarks est-elle nécessaire à l’apparition de la vie ?

N’oublions pas pour autant que la théorie standard contient de nombreux paramètres libres dont les origines restent inconnues. Il est toutefois possible de tenter de découvrir ces paramètres en faisant des mesures fines de certains d’entre eux, car ils pourraient contenir des signes d’une nouvelle physique.

Les membres des collaborations Atlas et CMS (du nom des deux détecteurs géants permettant d’analyser les produits des collisions de protons au LHC) viennent justement de faire savoir, via deux articles sur arXiv, que nous avions à nouveau des raisons de faire confiance à la théorie standard et qu’une nouvelle fenêtre sur ce qui pourrait se trouver au-delà venait de s’ouvrir.

La masse du quark top

Initialement, l’existence du boson de Brout-Englert-Higgs (BEH) ou, plus précisément, le mécanisme de Brout-Englert-Higgs qui la suppose était un moyen de donner des masses aux bosons W et Z, les particules vectrices des interactions nucléaires faibles (il n’explique pas du tout la masse des protons et neutrons, qui vient en fait des gluons de la QCD). Mais les physiciens se sont rapidement rendu compte que la théorie standard pouvait aussi donner des masses aux particules de matière, en l’occurrence, aux quarks et aux leptons. Comme expliqué dans les articles ci-dessous, ces masses sont liées à ce que l’on appelle « des paramètres de Yukawa ». Ces derniers connectent des réactions de production et de désintégration des quarks et des leptons via des productions et des désintégrations du boson de Brout-Englert-Higgs. Techniquement, il s’agit d’un couplage entre le champ du boson BEH et le champ de matière du quark top.

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«LE BOSON DE HIGGS» OU «LA PARTICULE DE DIEU»…. CLÉ DE VOUTE DE LA STRUCTURE FONDAMENTALE DE LA MATIÈRE…. 14 MARS 2013

découvrir ce qui semble fortement être le boson de Higgs © Cern

En juillet dernier, les scientifiques du Cern (organisation européenne pour la recherche nucléaire, basée en Suisse) ont annoncé qu’ils pensaient avoir enfin découvert le boson de Higgs. Les chercheurs avaient précisé que des recherches supplémentaires seraient nécessaires pour valider cette découverte.

Après de nouvelles analyses, les physiciens du Cern ont déclaré le 14 mars 2013 avoir de plus en plus la certitude que la découverte de l’été dernier correspondait bien à cette super particule.
• Qu’est-ce que le boson de Higgs ?

Dans la communauté scientifique, on le surnomme « la particule de Dieu« .

Le boson de Higgs est considéré par les physiciens comme la clef de voûte de la structure fondamentale de la matière.

Cette particule donne leur masse à toutes les autres particules de notre univers. Sans le boson de Higgs, les particules ne se rencontreraient jamais, elles ne pourraient créer des protons et neutrons, qui, combinés aux électrons, forment la matière.

C’est la première particule élémentaire découverte depuis 1994. Elle complète la théorie du « Modèle standard », sorte de table de la loi de la physique qui décrit les 12 particules et les 3 forces qui les unissent pour former la matière.

« Le boson de Higgs constituait le chaînon manquant – la seule particule encore non détectée – du modèle qui permet de décrire et comprendre le monde qui nous entoure, du moins pour ce qui concerne les particules élémentaires« , explique Michel Spiro, du Cern, dans Libération.

Depuis les années 1960, la physique est fondée sur l’existence (qui n’avait, jusqu’aujourd’hui, pas encore été démontrée) de cette fameuse particule. « Nous avons mis si longtemps à la découvrir, plus de 40 ans après son « invention théorique », parce qu’il fallait pour y parvenir construire une machine assez puissante, et seul le LHC, un collisionneur de protons de 27 kilomètres de circonférence pouvait répondre à cette exigence« , poursuit le chercheur.

Il faut dire que le boson de Higgs ne se laisse pas examiner facilement : il n’apparaît qu’une fraction de seconde lors de collisions à très grande vitesse entre des milliards de particules.

Par Marie Conquy

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L’AVANT-BIG-BANG EST QUALIFIÉ TEMPORAIREMENT DE L’ÈRE ST-AUGUSTIN….. INTÉRESSANT

A final story
science, myth and beginnings
Nasser Zakariya
chapitre 7
p.229-230
extrait

Gamow chose the Physical review letter in which to cite from an address of Pope pius x11 to the Pontifical Academy of sciences months before to make the mischevous point that the cosmological theories he defended « can be considered now as UN UNQUESTIONNAL TRUTH.» But in the creation of the univers, Gamow a more sober appeal to St-Augustine in order to explicite a more self-consciously periodized part of that cosmological history, asserting «it awas st. augustine of Hippo who first raised the question as to WHAT GOD WAS DOING BEFORE HE MADE HEAVEN AND EARTH?»

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l’HUMANISME ÉPIQUE AU 21EME SIÈCLE … LA QUESTION DE L’AVANT- BIG-BANG SOULEVÉE PAR LA FORMULE DU DOCTORAT DE L’ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) … WOW-T=2.7K? : LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE PAR WOW-T.COM

Durant les trois jours où Marlene et Michel ont été absents (travaux à leur maison secondaire de Grandes-îles) J’ai pu réfléchir à la deuxième étape de la création du ier chapitre de notre doctorat et ses 160 pages consacrées à la formule «WOW-T=2.7K?».

Il y a des étiquettes qui peu à peu prennent place dans la constellation du cadre théorique de cette formule. Comme par exemple celle D’HUMANISME ÉPIQUE… comme si pour la première fois dans l’histoire cosmogénique autant que cosmologique, l’humain avait presque accès à l’origine des règles qui ont gouverné l’univers… celles du big bang et de son bruit de fond cosmologique : 2.7k.

Le héros de ce nouveau récit à la fois épique et mythologique devenant l’humanité, peut maintenant se poser une nouvelle question: QU’Y AVAIT-IL AVANT LE BIG-BANG?

De la lecture du magnifique livre de Nasser Zakariya (a final story, university of Chicago press, 2017), chapitre 10, page 334-335, je retiens cet extrait:

EARTHRISE: NO CENTER, ONE FRAME

In 1976, The German newpaper Der Spiegel published a 1966 interview with Martin Heidegger, which they had agreed to publish only after the latter’s death. After attempting to adsress his actions as rector of the University of Freiburg in 1933-1934, the interview shifted ground to discussion of the technological inflection of the present. Heidegger’s appréhensions had been particularly stirred up THE FIRST PICTURE OF THE EARTH TAKEN FROM THE PERSPECTIVE OF THE MOON, a photograph transmitted by lunar Orbiter 1 in August of that year. Resonating with the concerns of this past student Arendt, and those in the starkly different idiom of Loren Eiseley, he declared: «We don’t need any atom bomb. The uprooting of man has already taken place. To this uprooting, and the larger distributing planetary movements at play, he declared «only a god can save us», a god who could not be summoned by philosophy of any other human effort: « we can at most awaken the readiness of expectation.» A new revelation was possible, and even necessary, but Heidegger dit not see it as beeing at hand in the work of natural scientists of the day.

The relativity of the center, and the readiness for a new revelation, were captured for Joseph Campbell bay another picture taken two years later: «The idea, it seems to me, is, in a most appropriate way illustrated in that stunning photograph… taken from the moon, and now frequently reproduced, of an earthrise, the earth rising as a radiant celestrial orb, strewing light over a lunar landscape. Is the center the earth? Is the center the moon? The center is anywhere you like. Moreover, in that photograph from its own satellite, the rising earth shows NONE OF THOSE DIVISIVE TERRITORIAL LINES THAT ON OUR MAPS ARE SO CONSPICUOUS AND IMPORTANT. The chosen center may be anywhere. The Holy land is no special place. Il is every place that has ever been recognized and mythologised by any people at home.

Cambell appeared to accept the mythological terms of Sagan’s cosmic perspective in awareness and affirmation of the impact of space travel. And consonant with Sagan’s appeal to Einstein, almost in dialogue with it, Campbell noted that «understanding of the ubiquity of the metaphysical center perfectly matches the lesson of the galaxies and of the Michelson-Morley finding that was épitomized in Einstein’s representation of the utter impossibility of establishing abosulute rest. It is the essence of relativity. And, when translated from the heavens to this earth, it implies that MORAL JUDGMENTS depend likewise upon the relation of THE FRAME OF REFERENCE TO THE PERSON OR ACT BEING MESURED.»

Hans Blumenberg also found an affirmation in the earthrise photograph and the scientific understandings from which it emerged, but an affirmation that emphasized the earth AS THE COSMIC EXCEPTION, as the SPECIAL FRAME thar Eiseley too had in his critic of the exploration of the exploration of space. As Benjamin Lazier has pointed out, Blumemberg recognized in the context of space travel and the earthrise photograph THE POSSIBILITY OF EMBRACING rather than repudiating the earth. «Astronoetics». Blumemberg’s term for an intellectual exploration of and delibaration over space given the experience second, it could still prompt a transformation: a return to Earth by way of the rise of Earth IN THE PICTORAL IMAGINATION.

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IL Y A 30 ANS, , JAMES HANSEN DE LA NASA TIRAIT LA SONNETTE D’ALARME

Changements climatiques : il y a 30 ans, James Hansen de la NASA tirait la sonnette d’alarme

Changements climatiques : il y a 30 ans, James Hansen de la NASA tirait la sonnette d’alarme

Publié le vendredi 22 juin 2018 à 12 h 03
Mis à jour à 5 h 11

Une photographie d’archive datant de 1989 illustre James Hansen parlant devant deux micros.James Hansen s’adresse à un sous-comité du Sénat américain sur le transport en 1989. Photo : Associated Press/Dennis Cook

Le 23 juin 1988, lors d’un célèbre exposé devant le Sénat américain, James Hansen avertit les élus que le réchauffement de la planète est une réalité. Le climatologue de la NASA crée une onde de choc. Mais 30 ans plus tard, qu’en est-il? Les experts tirent toujours la même sonnette d’alarme… et les politiciens hésitent toujours à prendre des mesures à la hauteur du défi.

Un texte d’Étienne Leblanc, journaliste spécialisé en environnement

James Hansen aurait voulu s’être trompé. Mais les données de l’Institut Goddard en sciences spatiales de la NASA qu’il dirigeait à l’époque laissent peu de place au doute : « L’effet de serre est détecté et il modifie déjà notre climat », dit-il sans détour aux sénateurs américains le 23 juin 1988.

L’histoire veut que ce soit l’ex-secrétaire d’État américain John Kerry, alors sénateur, qui avait invité James Hansen à venir présenter ses résultats de recherche aux membres du Comité sénatorial sur l’énergie et les ressources naturelles. Le même John Kerry qui a joué un rôle crucial dans la signature de l’Accord de Paris sur le climat en 2015.

Dans un exposé qui n’aura duré que vingt minutes, il dit aux élus ce que la plupart des scientifiques se gardaient d’affirmer avec autant de certitude jusque là : la planète se réchauffe, et les actions de l’homme en sont responsables.

Les sénateurs sont curieux d’entendre James Hansen. En ce début d’été 1988, ce qui deviendra une des pires sécheresses du 20e siècle aux États-Unis commence à se faire sentir. Un désastre qui durera plus d’un an, mettant en péril l’agriculture américaine.

La rumeur dit même que John Kerry s’était arrangé pour que l’air conditionné de la salle soit éteint afin que les élus aient chaud. La météo s’est chargée d’aider M. Hansen, car à 2 heures du matin le 23 juin, la température avait déjà atteint 37 °C.

Le témoignage de Hansen fait son effet. Les principaux journaux américains, dont le New York Times et le Washington Post, en font leur une.

Première page du New York Times du 24 juin 1988 L’exposé de James Hansen avait fait la une de plusieurs journaux. Photo : Archives du New York Times
Quelques mois plus tard, les Nations unies et l’Organisation météorologique mondiale (OMM) donnaient naissance au GIEC, le Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat. Une organisation qui est rapidement devenue la référence en matière de science du climat.

Des prévisions audacieuses, mais justes

James Hansen, debout derrière un lutrin, semble désigner quelque chose derrière lui alors qu’il s’adresse à plusieurs personnes assises devant lui dans une pièce du Capitole de Washington. James Hansen donnant une conférence au Capitole de Washington en 2008. Photo : Associated Press/Susan Walsh
Trois décennies plus tard, force est de constater que le réchauffement que prédisait James Hansen en 1988 s’est, pour l’essentiel, avéré.

Quelques mois après le témoignage de 1988, M. Hansen et son équipe publient une étude dans laquelle ils évoquent trois scénarios différents pour les émissions de gaz à effet de serre (GES) : élevées, moyennes et faibles. Les chercheurs se concentrent sur le cas intermédiaire.

Avec ces données, James Hansen et ses collègues prédisent que d’ici 2017, la température moyenne de la Terre sur cinq ans serait d’environ 1,03 °C supérieur à la moyenne calculée par la NASA entre 1950 et 1980.

Ils n’étaient pas loin de la réalité : la température moyenne mondiale calculée par la NASA pendant la période 2012-2017 était de 0,82 °C supérieure à la moyenne des 30 dernières années.

L’ancien vice-président du GIEC, le climatologue belge Jean-Pascal van Ypersele, salue l’audace de James Hansen, notamment sur son affirmation selon laquelle les activités humaines contribuent au réchauffement.

«Il a pris des risques! Tous les scientifiques, à cette époque-là, n’étaient pas prêts à dire les choses aussi clairement que lui. Il faut lui reconnaître ça et il faut reconnaître qu’il a eu raison.»

—Jean-Pascal van Ypersele

30 ans plus tard : un dialogue de sourds?

James Hansen dans son salon à New York. Trentre ans après avoir tiré la sonnette d’alarme sur les changements climatiques, James Hansen est devenu un activiste. Photo : Associated Press/Marshall Ritzel
Trois décennies après le témoignage historique de Hansen, peu de disciplines ont évolué aussi rapidement que la science du climat. Le phénomène des changements climatiques est aujourd’hui un des champs de la science les plus étudiés de la planète. Des dizaines d’articles scientifiques sur le sujet sont publiés toutes les semaines dans les grandes revues de la planète.

Mais malgré ce dynamisme réel, les décideurs politiques sont-ils davantage à l’écoute des experts du climat qu’il y a trente ans?

« Oui et non, répond Jean-Pascal van Ypersele. Il y a des exceptions, notamment à la Maison-Blanche, mais la plupart des décideurs politiques du monde entier ont maintenant bien compris que les changements climatiques constituaient un problème sérieux et qu’il fallait agir pour réduire les émissions à zéro le plus vite possible. »

Jean-Pascal van Ypersele devant une enseigne illuminée de Radio-Canada.Jean-Pascal van Ypersele, ancien vice-président du GIEC et professeur de climatologie à l’université catholique de Louvain Photo : Radio-Canada/Étienne Leblanc
Jean-Pascal van Ypersele affirme toutefois que le fossé entre la réalité climatique que décrivent les scientifiques et les actions prises par les gouvernements est toujours immense : « Quand on compare cet objectif d’en arriver à des émissions mondiales nulles, qui est nécessaire si on veut préserver le climat de la Terre, à ce qui est fait aujourd’hui […] on doit constater que même si on est un peu plus écoutés gentiment par les décideurs, l’action n’est pas du tout au niveau de l’ambition nécessaire », dit-il.

Il en donne pour preuve les engagements des 195 pays qui ont signé l’Accord de Paris sur le climat en 2015. Les cibles de réduction des émissions qui sont actuellement sur la table nous mènent vers un réchauffement de 2,9 à 3,4 °C d’ici 2100, selon une étude du Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE).

0- INTRODUCTION «BIG BANG» MÊME CADRE THÉORIQUE POUR L’ONTO-COSMOLOGIQUE, LE MÉTHO-COSMOLOGIQUE ET LE NANO-COSMOLOGIQUE… DOCTORAT (AULD, WOODARD, ROCHETTE)

LE BIG BANG…. MÊME CADRE THÉORIQUE AU 21EME SIÈCLE, AUTANT AU NIVEAU ONTO-COSMOLOGIQUE, MÉTHO-COSMOLOGIQUE QUE NANO-COSMOLOGIQUE

June 23, 2018 Pierrot le Vagabond ChercheurEdit

RÉFLEXIONS POUR LA DRAMATURGIE (MISE EN SCÈNE THÉÂTRALE) DE NOTRE DISCOURS ARGUMENTATIF DES TROIS CHAPITRES DE MA FORMULE…. DANS LE BUT DE NOURRIR LA PLAIDOIERIE DE L’ INTRODUCTION DE NOTRE ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE)… DONT LE TITRE SERA:

wow-t=2.7k? : la nano-citoyenneté-planétaire par wow-t.com

INTRODUCTION

LE BIG BANG COMME FONDEMENT D’UN CADRE THÉORIQUE SIMILAIRE AUTANT EN ONTO-COSMOLOGIE, QU’EN MÉTHO-COSMOLOGIE QU’EN NANO-COSMOLOGIE DU DOCTORAT DE L’ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) DONT LE TITRE EST: WOW-T.COM

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Cosmologie scientifique | Cairn.info

https://www.cairn.info/revue-de-metaphysique-et-de-morale-2004-3-page-399.htm

1.Similaires

de M Lachièze-Rey – ‎2004 – ‎Cité 1 fois – ‎Autres articles

Le début du XXe siècle a marqué un renouveau total de la cosmologie, dû à la … dès le début du XX e siècle, était restée sans suite, faute de cadre théorique adéquat. …. tard, la découverte de ce rayonnement, le fond diffus cosmologique, fera basculer la cosmologie vers les modèles de big bang. ….. 2010-2018 Cairn.info.

Le début du XXe siècle a marqué un renouveau total de la cosmologie, dû à la conjonction de deux facteurs : le progrès des moyens d’observation astronomiques, notamment l’usage de grands télescopes, et le développement – à peu près contemporain – de la théorie de la relativité générale. Avant le XXe siècle, la science n’avait encore que peu à dire de la cosmologie, qui ne pouvait guère prétendre au statut de discipline scientifique. La science moderne s’est mise en place avec la physique de Newton, énoncée essentiellement dans ses Philosophiae naturalis principia mathematica (1687) : l’espace et le temps sont supposés absolus, sans propriétés géométriques particulières. L’espace reste toujours le même et n’évolue pas. Le temps de Newton s’écoule uniformément et possède une validité universelle; mais aucun phénomène remarquable ne se déroule à l’échelle cosmique. L’univers n’a pas de propriété remarquable. Il n’évolue pas. Il n’a pas d’histoire.

L’OBSERVATION DES NÉBULEUSES SPIRALES

2
À la fin du XIXe siècle, l’extension de l’univers, du moins de l’univers matériel, se réduisait à celle de notre galaxie. Ayant répertorié et compté les étoiles, les astronomes ont découvert qu’elles se répartissent dans une vaste concentration qui en rassemble une centaine de milliards : notre galaxie aussi nommée la Voie lactée. Durant le XIXe siècle, ils se sont employés à en mesurer la forme et les dimensions, à déterminer la position (centrale ou non) qu’y occupe notre système solaire. Les observations étaient difficiles, et d’âpres discussions se sont déroulées à propos de ces questions. Toujours est-il que les dimensions de la Voie lactée sont établies en dizaines de kpc (un kpc = 1 000 pc; le parsec (ou pc), unité de distance des astronomes, vaut environ trois années-lumière).

3
Les astronomes de l’époque restent cependant incertains quant à la nature des nébuleuses. Ces objets célestes diffèrent des étoiles par le fait qu’elles n’apparaissent pas ponctuelles, mais diffuses comme des nuages (d’où leur appellation). Elles ne sont (faiblement) visibles qu’au télescope. Parmi elles, les nébuleuses spirales montrent des dessins remarquables, dont les astronomes cherchent à déterminer l’origine.

4
L’astronome américain Vesto Slipher mesure les vitesses de ces nébuleuses spirales, par des observations spectroscopiques. Il est étonné, et la communauté astronomique encore davantage, par les valeurs élevées qu’il obtient, des centaines de km/sec : comment des objets qui se déplacent aussi rapidement peuvent-ils rester confinés à l’intérieur de notre galaxie aux dimensions limitées ? Il conclut que les spirales sont extérieures à la Voie lactée, et que l’univers matériel doit donc s’étendre bien au-delà. La communauté reste difficile à convaincre. Un « grand débat » s’instaure, qui mêle cette question à celle des caractéristiques de notre galaxie.

5
L’idée que d’autres systèmes stellaires puissent exister en dehors de notre propre galaxie n’est pas nouvelle. Elle fut évoquée au XVIIIe siècle, notamment par Thomas Wright (1711-1786) et Emmanuel Kant (1724-1804) [1]
[1] Voir Frédéric CHABERLOT, La Voie lactée, Paris, CNRS…
. Vesto Slipher aurait-il découvert que les nébuleuses spirales sont des « univers-îles » ? Pour en avoir le cœur net, il faut mesurer leurs distances, une tâche extrêmement difficile qu’entreprend l’astronome américain Edwin Hubble. Ses observations extrêmement minutieuses lui permettent de mesurer la distance de la plus brillante des spirales, la nébuleuse d’Andromède : environ 300 000 pc (la valeur estimée aujourd’hui est de 1 000 000 pc), ce qui la situe bien au-delà des limites de la Voie lactée. Cette nébuleuse est en fait une autre galaxie, relativement semblable à la nôtre, et bien extérieure à elle. Ce résultat, publié en 1924, marque une révolution dans la conception du monde : ce dernier ne se réduit plus à notre galaxie. Il est au contraire rempli d’un véritable « gaz cosmique »; des myriades de galaxies (dont la nôtre) en constituent les molécules.

6
Ce changement d’échelle n’est pas tout. Les vitesses très élevées mesurées par Slipher restent une énigme : ce sont (presque) toutes des vitesses d’éloignement, et pas de rapprochement. En outre, plus les galaxies sont lointaines (et donc peu lumineuses), plus leurs vitesses sont élevées. Ces régularités laissent soupçonner un phénomène d’ampleur cosmique, une loi dont l’échelle d’application dépasse celle des galaxies. Mais comment l’interpréter ? L’idée d’une expansion de l’univers, timidement évoquée par Slipher dès le début du XXe siècle, était restée sans suite, faute de cadre théorique adéquat. En 1929, Hubble publie la loi empirique qui porte son nom : la « vitesse d’expansion » (mais seul Slipher et quelques très rares astronomes parlent déjà d’expansion) d’une galaxie est proportionnelle à son éloignement. La portée de cette loi est visiblement cosmologique, mais nul ne sait comment l’interpréter. La situation sera débloquée par les travaux du physicien belge Georges Lemaître, à partir de la relativité générale.

LES THÉORIES RELATIVISTES

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Einstein énonce en 1905 la théorie de la relativité restreinte; en 1916, celle de la relativité générale, la seconde complétant la première. Même si Einstein a toujours insisté sur le fait que toute théorie doit être confrontée (a posteriori) à l’observation et l’expérience, c’est à partir de réflexions conceptuelles qu’il a construit les siennes : réflexions sur la nature de l’espace et du temps, sur la cinématique et la dynamique (de la matière et de la lumière), sur la gravitation. Son but premier est de remédier aux insuffisances conceptuelles de la vision newtonienne, soulignées notamment par Emmanuel Kant et par Ernst Mach.

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L’énoncé essentiel des deux théories, c’est que temps et espace n’existent pas séparément, mais que le cadre de la physique se constitue d’un espace-temps. La relativité générale assimile ce dernier à un objet géométrique (une variété riemannienne à quatre dimensions), dont les caractéristiques sont exprimées par un tenseur de courbure R. En même temps, ce dernier représente très exactement cette propriété physique que l’on appelle la gravitation. Ainsi, la théorie réduit cette interaction, dont Newton exprimait l’effet par des forces, à un simple aspect de la géométrie de l’espace-temps.

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Un corps en mouvement se déplace en suivant la courbure R de l’espacetemps. Ainsi s’expliquent aussi bien la chute des corps que les orbites des astres. Un rayon lumineux (trajet de la lumière) s’infléchit en épousant cette courbure. Par ailleurs, R est lui-même déterminé (au moins en partie) par le contenu énergétique de l’univers : toute forme d’énergie ou de masse (matière, rayonnements…) est source de gravitation et « déforme » ainsi l’espace-temps. Ceci est exprimé par l’équation d’Einstein que l’on notera schématiquement

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On notera dans cette équation la présence d’un terme supplémentaire appelé constante cosmologique. Cette constante, si elle existe bien (ce que contestent certains physiciens), influe aussi sur les caractéristiques de l’espace-temps. En particulier (et contrairement aux contributions de la matière ou du rayonnement), elle peut causer une accélération de l’expansion. Or, précisément, des observations récentes (voir plus bas) suggèrent une telle accélération, ce qui s’interprète naturellement comme l’effet de cette constante. Mais certains préfèrent attribuer l’origine de cette accélération à une substance inconnue, aux propriétés « exotiques » (densité d’énergie et-ou pression négative). Cette substance hypothétique est parfois qualifiée d’énergie sombre (ou « exotique »).

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L’espace-temps courbe de la relativité générale constitue, dans sa globalité, ce que l’on appelle l’Univers, du moins son aspect géométrique. Comme Einstein s’en rendit rapidement compte, la nouvelle théorie se révèle ainsi parfaitement apte à parler de la forme géométrique de l’univers. Pour déterminer la courbure spatio-temporelle, il suffit de résoudre l’équation d’Einstein. Cette dernière, lorsqu’on l’applique à l’univers dans son ensemble, c’est-à-dire à la cosmologie, prend une forme simplifiée que l’on qualifie aujourd’hui d’équation de Friedmann. Le physicien russe Alexandre Friedmann fut le premier à l’exprimer sous cette forme en 1922.

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Einstein propose en 1917 une première solution cosmologique à sa théorie, que l’on peut considérer comme le premier modèle cosmologique véritablement scientifique. Comme la quasi-totalité des astronomes et physiciens de l’époque, Einstein ignorait les résultats de Slipher à propos de l’expansion, et son modèle décrit un univers statique. L’exploitation des caractéristiques de la nouvelle géométrie « riemannienne » (par opposition à « euclidienne »), sur laquelle est fondée la relativité générale, permet une innovation révolutionnaire : dans ce modèle, l’espace est « fini », bien que dépourvu de frontière ou de bord. Un tel espace – appelé trois-sphère S3, ou sphère à trois dimensions – généralise à trois dimensions les propriétés de la sphère ordinaire S2 bidimensionnelle. Son volume est fini. Sa circonférence est finie; on peut (en principe) la mesurer en effectuant un tour de l’univers, ce qui nécessite une durée finie, bien que très longue. Jamais personne auparavant n’avait pu concevoir de solution de ce genre. Cela met fin à une difficulté plus que millénaire : l’impossibilité de concevoir un univers fini qui soit dépourvu de frontière, jointe à l’impossibilité de concevoir une frontière de l’espace [2]
[2] Voir par exemple J.-P. LUMINET et M. LACHIÈZE-REY,…
. De fait, Einstein a introduit la constante cosmologique dans sa théorie, dans le dessein explicite de trouver une solution de ce type.

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Le modèle d’Einstein ne rend pas compte des observations de Slipher. Mais les astrophysiciens et les cosmologues ont compris qu’il faut faire appel à la relativité générale pour aborder scientifiquement la cosmologie. Informée des résultats de Slipher et Hubble, la communauté cherche à les expliquer dans le cadre relativiste. Lorsque, en janvier 1930, les résultats de Hubble sont présentés au congrès de la Royal Astronomical Society, les participants constatent leur impuissance et se séparent sur un constat d’échec.

L’EXPANSION COSMIQUE

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Le physicien belge Georges Lemaître avait pourtant déjà trouvé et publié la solution, dans les Annales de la Société scientifique de Bruxelles (1927). Il y proposait de nouvelles solutions aux équations relativistes, qui décrivaient un univers en expansion : peuplé de galaxies, pour lesquelles il prévoyait des décalages vers le rouge (c’est-à-dire des vitesses d’expansion) proportionnels aux distances ; ce qu’énoncera Hubble deux ans plus tard ! À partir des quelques décalages déjà observés, il propose même déjà une valeur du taux d’expansion, ce que l’on appellera plus tard « constante de Hubble ». Mais l’article de 1927 passe totalement inaperçu.

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Ce sera le physicien britannique Arthur Eddington, directeur de l’observatoire de Cambridge, qui permettra la diffusion du travail de Lemaître : il fait republier son article dans les Comptes rendus de la Royal Astronomical Society. Les travaux de Lemaître sont découverts et complétés, deviennent la nouvelle orthodoxie. En 1931, l’univers est en expansion. Ceci est conforme à la relativité générale, et aux lois physiques connues. L’essentiel de la nouvelle révolution cosmologique est accompli.

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L’objet de la cosmologie, en tant que discipline scientifique, est maintenant bien spécifié : l’univers dans sa globalité. Il est avéré qu’il possède au moins une propriété physique propre : l’expansion cosmique. Et on peut lui associer au moins une grandeur mesurable : son taux d’expansion, la constante de Hubble H0. La cosmologie est devenue quantitative. D’autres grandeurs physiques caractérisent l’univers : l’accélération de l’expansion, la courbure de l’espace… Leurs valeurs distinguent les différents membres de la famille des modèles d’univers en expansion. Les déterminer constitue la première tâche de la cosmologie. Les cosmologues établissent très rapidement des « tests cosmologiques » dans ce but. Tout ceci concerne l’univers en tant qu’objet physique.

VERS LE BIG BANG

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Une fois l’expansion cosmique reconnue, il reste à en tirer les conséquences. Lemaître encore sera le pionnier dans cette voie. Dès 1931, il propose sa théorie de l’« atome primitif », l’ancêtre des modèles de big bang [3]
[3] Jean-Pierre LUMINET, L’Invention du big bang, Paris,…
. Son raisonnement est très simple. L’expansion cosmique implique que l’espace grandit, si bien que la matière, qui se conserve, se retrouve dans un volume de plus en plus étendu : à l’échelle cosmique, le contenu de l’univers se dilue. Les lois de la physique énoncent que dilution entraîne refroidissement. L’expansion entraîne donc dilution et refroidissement cosmiques, ce qui implique que l’univers était d’autant plus dense et d’autant plus chaud que l’on remonte dans le passé. C’est ce qu’énoncent les modèles de big bang. Si l’on admet que la physique est bien décrite par les lois connues à l’époque (et encore aujourd’hui), on ne peut échapper à ces conclusions, et donc aux modèles de big bang, ce que je schématise ainsi :

Toute description de l’univers autre que les modèles de big bang impliquerait d’autres lois physiques fondamentales que celles que nous connaissons et que nous avons testées par l’expérience et l’observation.

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Les physiciens ne sont pas tous prêts à admettre l’idée révolutionnaire d’un univers qui évolue : le dogme plus que millénaire d’un univers toujours identique à lui-même est difficile à remettre en question. Si une majeure partie de la communauté scientifique reçoit les résultats de Lemaître avec indifférence, une opposition virulente se met également en place. Plusieurs travaux tentent de réhabiliter l’idée d’un univers toujours égal à lui-même.

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Pour le faire, il faut imaginer de nouvelles lois physiques. Ainsi seront construits les modèles « stationnaires »; bien qu’en expansion (les observations le montrent directement), l’univers y reste toujours identique à lui-même. Le prix à payer pour construire de tels modèles est qu’il faut « inventer » une nouvelle loi physique : une création spontanée et permanente de matière à partir de rien. À part cette idée qui n’est guère naturelle, ces modèles sont élégants et bien construits. Ils deviennent rapidement très populaires. En effet, des erreurs fondamentales dans l’interprétation des observations avaient conduit à de mauvaises estimations des distances stellaires et, par voie de conséquence, à une surestimation de la constante de Hubble d’un facteur 10 par rapport à sa valeur admise aujourd’hui. Il en découle une évaluation dix fois trop faible de la durée de la phase d’expansion cosmique, ce que l’on appelle âge de l’univers : il apparaissait beaucoup plus jeune que la Terre, une contradiction difficile à accepter qui empêcha la communauté d’adhérer au big bang.

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Mais à ces arguments pertinents s’en mêlaient d’autres, qui contestaient le caractère scientifique des modèles de big bang. Lemaître, chanoine de l’Église catholique, était accusé de « concordisme » : il aurait construit son modèle, non pas selon des critères scientifiques, mais pour pouvoir fournir un récit qui s’accorde au fiat lux des Écritures. Lemaître s’en défendit à juste titre, et dut même rappeler à l’ordre le pape Pie XII, qui avait fait des déclarations malencontreuses à ce sujet. La suite de l’histoire a montré que c’étaient en fait plutôt les adversaires du big bang qui étaient victimes de la vision mythique du monde, en se cramponnant aux modèles stationnaires pourtant démentis par les observations : démarche peu conforme aux critères de la science.

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C’est d’ailleurs le champion de cette résistance, le physicien britannique Fred Hoyle (qui pourtant apporta des contributions fondamentales aux modèles de big bang), qui forgea le terme « big bang », bien malheureux car chargé de contresens. Maladresse ou mauvaise intention, l’idée était de ridiculiser Lemaître. Mais ce fut bientôt le soutien inconditionnel au modèle stationnaire, contre l’accumulation des évidences, qui devint ridicule.

L’YLEM

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Malgré la présence médiatique de Hoyle, l’idée de l’univers chaud fit son chemin. Dans les années 1930, le physicien Georges Gamow – d’origine russe mais alors à Göttingen – est intrigué par l’uniformité de la distribution des éléments chimiques sur la Terre (et même dans l’univers). Il pense d’abord que ces éléments ont été fabriqués par des réactions nucléaires au cœur des étoiles. Dans les années 1940, émigré aux États-Unis, il change d’avis et, reprenant l’idée de Lemaître, commence à penser que ces éléments auraient pu être fabriqués dans une époque chaude et reculée de l’histoire de l’univers, au sein d’une « soupe primordiale » qu’il baptise « ylem ». Il pose ainsi les bases de la nucléosynthèse primordiale des modèles de big bang. Dans ce cadre, ses collaborateurs Alpher et Hermann prédisent l’existence d’un rayonnement diffus à une température de quelques K. Près de vingt ans plus tard, la découverte de ce rayonnement, le fond diffus cosmologique, fera basculer la cosmologie vers les modèles de big bang.

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Entre-temps, un groupe d’astrophysiciens de Princeton, sous la direction de Robert Dicke, s’étaient intéressés à une version légèrement modifiée de la théorie de Lemaître : l’univers serait bien passé par un état dense et chaud; mais il serait appelé à revenir à un état similaire dans le futur; puis de nouveau à se mettre en expansion, etc. Leurs calculs avaient montré la présence, dans le cadre de cet « univers oscillant », d’un fond diffus de rayonnement, une redécouverte des travaux antérieurs de Gamow et de ses collaborateurs. Dicke, au courant des techniques récentes de radioastronomie, mit sur pied une expérience afin de le détecter. Ce ne sera pas lui qui réussira le premier, mais les radioastronomes Arno Penzias et Robert Wilson, en 1964. L’importance de la découverte est rapidement reconnue (ses auteurs reçoivent le prix Nobel en 1978). Les mesures seront répétées, confirmées et affinées. Les modèles de big bang, seuls capables de l’expliquer (et encore a fortiori aujourd’hui) sont reconnus comme les seuls capables de décrire notre univers.

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Rappelons les trois piliers sur lesquels reposent, encore aujourd’hui, ces modèles.

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1.L’expansion de l’univers. Si l’on s’en tient à la physique connue, elle implique nécessairement le big bang. Tout modèle concurrent (il n’en existe aucun aujourd’hui) doit inventer de nouvelles lois physiques.

2.La nucléosynthèse des éléments légers : le deutérium, l’hélium et une partie du lithium que l’on observe dans l’univers n’ont pu être fabriqués dans les étoiles. Pour autant que l’on puisse le vérifier, leurs abondances respectives semblent universelles : les mêmes d’un endroit à l’autre de l’univers. Pas d’autre explication possible qu’une phase de nucléosynthèse dans un univers chaud. De plus, les calculs donnent les bonnes valeurs pour les trois éléments séparément. De surcroît, ils permettent de prédire qu’il n’existe pas plus de trois (à la rigueur quatre) familles de particules, alors que la physique des particules ne pouvait établir de limite comparable ; cette prédiction a été vérifiée par la suite au LEP (au CERN, à Genève).

3.Enfin et surtout, l’existence du fond diffus cosmologique ne peut s’expliquer que dans le cadre des modèles de big bang. Depuis sa découverte, ses propriétés ont été mesurées en très grand détail, et tous les résultats confirment le modèle.

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Depuis 1965, l’histoire de la cosmologie est donc écrite dans le cadre général des modèles de big bang. Ils sont fondés en premier lieu sur le Principe cosmologique qui énonce l’homogénéité (tous les points sont équivalents : pas de centre, pas de bords) et l’isotropie (pas de direction privilégiée : pas d’axe de rotation, pas de direction préférentielle pour l’expansion) de l’espace. Cette seule hypothèse est suffisamment forte pour circonscrire une famille de solutions de la relativité générale susceptibles de décrire l’univers dans son ensemble. Elles sont dites solutions de Friedmann-Lemaître. Elles se différencient les unes des autres de deux manières : par la forme de l’espace qui, sous l’hypothèse du principe cosmologique, se réduit à sa courbure C, négative, nulle ou positive (à ne pas confondre avec la courbure de l’espace-temps) ; et par la manière dont les dimensions spatiales varient avec le temps, représenté par une fonction R(t) appelée facteur d’échelle (ou rayon d’échelle). L’expansion cosmique implique que R(t) augmente avec le temps t. Au sein de la famille des modèles FriedmannLemaître, ceux de big bang sont ceux pour lesquels l’expansion se déroule depuis une durée finie, que l’on appelle âge de l’univers tu.

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Le problème cosmologique essentiel devient la détermination de C et de R(t), autrement dit l’exploration de la (chrono-)géométrie de l’espace-temps : parmi les modèles de Friedmann-Lemaître, quel est celui qui décrit le mieux notre univers ?

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Il faut comprendre que, dans un univers décrit par un modèle de Friedmann-Lemaître, il est possible de spécifier, au sein de l’espace-temps, la géométrie de l’espace (ce qui n’est pas toujours possible en relativité générale) : l’espace à trois dimensions est en effet plongé dans l’espace-temps à quatre dimensions, comme une surface à deux dimensions peut être plongée dans l’espace. Cette possibilité de scinder l’espace-temps en espace + temps légitime la possibilité de parler de la géométrie de l’espace, caractérisée par la courbure spatiale C (constante d’un point à l’autre en vertu du principe cosmologique). Quant à la fonction R(t), elle exprime l’évolution (ici, l’expansion) de l’espace en fonction du temps. Le formalisme relativiste considère C et R(t) comme deux aspects de la géométrie de l’espace-temps.

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Reconnaître le bon modèle cosmologique, c’est essentiellement déterminer C et R(t), à l’aide d’observations adéquates, que l’on qualifie de « tests cosmologiques ». La détermination complète de la fonction R(t) est hors de portée; dans un premier temps, les cosmologues se sont intéressés à ses deux premières dérivées : le taux actuel de l’expansion cosmique, représenté par H0, et le paramètre de décélération q0. Ce n’est que récemment que la communauté s’est mise d’accord sur une valeur de H0, à 10 % près environ. Un ensemble de résultats d’observations récentes (supernovae, fond diffus cosmologique, distribution des galaxies dans l’espace) suggère une valeur q0 = – 0.55 (le signe moins indiquant une accélération), encore contestée cependant. Ces mesures permettent également d’évaluer la courbure spatiale de l’univers. Comme celle-ci semble relativement faible, on parle d’« univers plat ». Il faut bien comprendre que ce qualificatif « plat », qui veut dire « sans courbure », ne s’applique pas à l’espace-temps mais à l’espace (on sait de manière certaine que la courbure de l’espace-temps n’est pas nulle). Il est à noter que, outre sa courbure, la géométrie de l’espace se caractérise aussi par ses propriétés topologiques [4]
[4] Voir à ce sujet J.-P. LUMINET, L’Univers chiffonné,…
.

STRUCTURES

30
Cette exploration de la structure globale de l’univers constitue l’essentiel de la recherche cosmologique. Néanmoins, nous savons bien que le cosmos est rempli d’étoiles, galaxies, amas de galaxies, etc. Le cosmologue les considère comme des détails infimes à l’échelle du cosmos, et l’exploration de la forme globale de l’univers les néglige; de la même manière que l’on parle de la forme (sphéroïdale) de la Terre en négligeant les montagnes, les vallées, etc. Mais un modèle ne saurait évidemment être qualifié de complet s’il ne prend pas en compte ces détails également, s’il ne permet pas de comprendre comment et pourquoi ils sont apparus. La cosmologie a donc également pour tâche de rendre compte, dans le cadre des modèles de big bang, de l’apparition et de l’évolution de toutes ces structures. On sait que la gravitation joue un rôle déterminant, et l’on parle d’instabilité gravitationnelle, même si d’autres phénomènes (par exemple électromagnétiques) sont intervenus, surtout dans les phases finales de la formation.

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L’instabilité gravitationnelle est un processus extrêmement complexe, dont nous ne comprenons pas de façon définitive tous les aspects. De nombreux détails nous échappent sans doute, car ils sont gouvernés par des équations très compliquées, que nous ne savons pas résoudre. Les cosmologues ont obtenu de nombreux résultats grâce aux calculateurs (notamment par des simulations numériques), mais cela ne répond pas à toutes les questions. Nous pensons maîtriser suffisamment les grandes lignes du phénomène pour affirmer que l’apparition des galaxies aurait été impossible si, par exemple, l’univers avait été trop peu dense, ou sa courbure trop élevée. Ainsi, ces calculs apportent des contraintes indirectes sur la forme de l’univers qui, heureusement, s’accordent avec les résultats des tests cosmologiques. Donnons un exemple : l’efficacité du processus nécessite une action suffisamment intense de la gravitation. Cela implique que la source de cette gravitation (la quantité de masse-énergie présente dans l’univers) soit suffisamment abondante ; autrement dit, que la densité globale de l’univers dépasse une certaine valeur, et qu’elle se présente sous certaines formes particulières. Cela renforce l’idée de la présence de grandes quantités de « masse cachée », très probablement sous une forme encore inconnue, non baryonique (à l’opposé de la matière ordinaire composée de protons et de neutrons, collectivement appelés baryons). Cette conclusion rejoint les implications des tests cosmologiques, qui impliquent également de la masse cachée, en grande part sous une forme non baryonique ; et, aussi, celles des analyses dynamiques des galaxies et des amas de galaxies, qui abritent, pensent les astrophysiciens, de grandes quantités de masse cachée.

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L’univers contiendrait donc, en plus de la matière visible, de grandes quantités de masse cachée, responsable essentielle de la courbure de l’univers : à la fois de C (courbure spatiale), et H0 et q0 (loi d’expansion). La nature et l’origine de cette composante nous restent inconnues. Cela constitue l’un des problèmes les plus aigus de la physique d’aujourd’hui.

VERS LA COSMOLOGIE DE PRÉCISION

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Il est bien clair en tout cas que la cosmologie scientifique a franchi une première étape. Une première phase, de confirmation de la pertinence des modèles de big bang, est terminée. Les dernières décennies du XXe siècle ont permis d’obtenir de premières estimations quantitatives des caractéristiques de l’espacetemps sous forme des grandeurs mentionnées. En même temps, les cosmologues ont de mieux en mieux compris les différentes phases de l’évolution cosmologique : la formation des galaxies et des structures, que nous venons d’évoquer, se déroule pendant la totalité des milliards d’années de l’évolution cosmique. D’autres processus se sont déroulés pendant des périodes de temps plus circonscrites. Par exemple, la nucléosynthèse primordiale a fabriqué, en quelques minutes seulement, les premiers noyaux d’atomes ; la recombinaison a émis le fond diffus cosmologique, en quelques centaines de milliers d’années. Aujourd’hui, nous arrivons à mettre sur pied des expériences qui devraient permettre de mesurer les paramètres cosmologiques avec des précisions de quelques pour cent, ce que personne n’aurait osé espérer il y a quelques décennies. Non seulement la cosmologie est aujourd’hui bien une science, mais elle est devenue une science précise.

LES LIMITES DU PASSÉ COSMIQUE

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Il reste important de comprendre les limites des modèles de big bang, sujet délicat qui a suscité beaucoup d’incompréhension. Plus on remonte dans le passé, plus l’univers est « petit », dense et chaud. Une reconstitution « naïve » conduit, dans un passé fini – ce qui définit tu –, à une limite où toutes les dimensions cosmiques deviennent nulles, la densité et la température infinies. Cette limite a été parfois considérée comme un événement initial de l’histoire cosmique, qualifié de big bang.

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Pourtant, ni la relativité générale ni aucune théorie physique ne permettent d’aborder une situation où densité et température seraient infinies. On ne peut donc considérer qu’un tel « événement » appartienne à une description scientifique du monde, big bang ou autre. L’événement n’en est pas un : il constitue une « singularité » exclue de la description ; non pas un événement initial de l’univers, mais une limite de la description que nous en donnons. Les modèles de big bang décrivent l’histoire du monde « après cette singularité », mais pas la singularité elle-même. En particulier, il est tout à fait abusif de l’assimiler à la « création » de l’univers.

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À vrai dire, les astrophysiciens se sont rendu compte que notre physique actuelle ne permettait même pas d’approcher cette singularité : non seulement elle ne permet pas de décrire une situation de densité et température infinies, mais sa validité s’amenuise, dès que ces quantités atteignent certaines valeurs élevées, finies, appelées densité et température de Planck. De telles conditions impliquent, en effet, des phénomènes quantiques et gravitationnels tout à la fois, que notre physique ne permet pas d’aborder, faute d’une théorie quantique de la gravitation. La validité des modèles de big bang s’étend donc, dans le passé, jusqu’au temps de Planck tP (ou plutôt depuis tP ), mais pas au-delà. Nul ne peut décrire ce qui s’est déroulé à ce moment, et encore moins auparavant. D’un côté, cela tranquillise les physiciens, car on peut espérer que, le jour où l’on réussira à comprendre les effets aujourd’hui inconnus de gravité quantique, on s’apercevra qu’il n’y a pas de singularité. De l’autre, ils sont frustrés de ne pouvoir prolonger leur description. C’est une insuffisance non pas des modèles – big bang ou autres –, mais de la physique actuelle.

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Toutefois, comme le montre une abondante littérature, notre ignorance n’empêche pas les spéculations sur les phases très primordiales de l’univers. Une première catégorie de travaux cherchent à « deviner » ce qui s’est passé, mais sans s’appuyer sur des théories physiques bien fondées : il s’agit d’une sorte de vision phénoménologique, dont les modèles d’inflation cosmique constituent le prototype. D’autres recherches, mieux fondées, tentent d’étendre la validité de notre physique, en recherchant une théorie plus complète, qui permettrait d’aborder les phénomènes de l’univers primordial. Ces théories mettent l’accent sur l’unité des forces (cordes), sur des symétries de la nature (supersymétrie), sur la quantification de la gravitation (gravité quantique)… Mais tous ces travaux, souvent très prometteurs, n’ont pas (encore ?) abouti. Leurs applications à la cosmologie primordiale – modèles cosmologiques supersymétriques, impliquant des cordes ou des branes, cosmologie quantique… – ont donné quelques résultats remarquables mais encore très fragiles, car reposant sur des hypothèses arbitraires, et difficiles à interpréter. Malheureusement, les aspects originaux de cette nouvelle physique ne se manifestent qu’à des températures ou des énergies inaccessibles, ce qui empêche toute expérimentation. Le plus grand espoir réside dans la possibilité que certains phénomènes de ce genre aient laissé des traces dans le fond diffus cosmologique (rappelons qu’il a été engendré très tôt dans l’histoire cosmique) : des observations futures pourraient nous dévoiler certains aspects de cette nouvelle physique inconnue.

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La cosmologie offre ainsi un véritable laboratoire, et sans doute le seul disponible, pour tester la future physique théorique du XXIe siècle.

Bibliographie

M. LACHIÈZE-REY, Au-delà de l’espace et du temps : la nouvelle physique, Paris, Le Pommier, 2003.

—, Initiation à la cosmologie, Paris, Dunod, 2004.

J.-P. LUMINET et M. LACHIÈZE-REY, Figures du ciel, Paris, Éd. du Seuil-BnF, 1998.

J.-P. LUMINET, L’Univers chiffonné, Paris, Fayard, 2002.

—, L’Invention du big bang, Paris, Éd. du Seuil, 2004.

Notes

[1]
Voir Frédéric CHABERLOT, La Voie lactée, Paris, CNRS Éditions, 2004.

[2]
Voir par exemple J.-P. LUMINET et M. LACHIÈZE-REY, Figures du ciel, Paris, Éd. du Seuil-BnF, 1998.

[3]
Jean-Pierre LUMINET, L’Invention du big bang, Paris, Éd. du Seuil, 2004.

[4]
Voir à ce sujet J.-P. LUMINET, L’Univers chiffonné, Paris, Fayard, 2002.

Résumé

Français

Depuis 1917, la cosmologie est scientifique. Cette date marque la publication par Albert Einstein du premier modèle cosmologique – le modèle d’Einstein – fondé sur sa théorie de la relativité générale, énoncée un an plus tôt. Depuis lors, de nombreux modèles ont été proposés pour décrire notre Univers, soit dans le cadre de cette même théorie, soit dans le cadre de théories encore à l’essai, qui tentent de la dépasser et de la compléter. Parmi eux, les modèles de big bang (qui forment en fait une famille) sont les plus simples. Fondés sur des théories physiques éprouvées (notamment la relativité générale), confirmés par de nombreuses observations, ils sont en fait les seuls acceptables aujourd’hui.

English abstract on Cairn International Edition

Plan de l’article
L’OBSERVATION DES NÉBULEUSES SPIRALES
LES THÉORIES RELATIVISTES
L’EXPANSION COSMIQUE
VERS LE BIG BANG
L’YLEM
STRUCTURES
VERS LA COSMOLOGIE DE PRÉCISION
LES LIMITES DU PASSÉ COSMIQUE

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SUR GOOGLE… WOW-T.COM

0- P.1-20 … WOW… DOCTORAT (AULD, WOODARD, ROCHETTE)

DOCTORAT DE L’ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) P.1-20 (CHAPITRE 1…LE WOW DANS LA FORMULE WOW-T=2.7K?

June 21, 2018 Pierrot le Vagabond ChercheurEdit

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P.1-20… DOCTORAT… LE WOW… (AULD, WOODARD, ROCHETTE)

June 20, 2018 Pierrot le Vagabond Chercheur

DOCTORAT (AULD, WOODARD, ROCHETTE)
CHAPITRE 1… LE WOW…
P.1-20

INTRODUCTION….

TOUTE LA LOGISTIQUE MÉTHODOLOGIQUE DU DOCTORAT DE L’ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) REPOSERA SUR L’ANALOGIE INTUITIVE-SYNTHÉTIQUE-PARADIGMATIQUE DE L’ARCHÉTYPE HOLOGRAMMIQUE «PIERROT VAGABOND CÉLESTE» SE VISUALISANT COMME UN CERVEAU-TEXTE COSMONAUTE HABITANT L’ESPACE-BLOG DE L’INFINI DE SON CORPS DIALOGUANT PAR MARGE-SKIPE AVEC LE CRI DE MUNCH DE LA CONDITION HUMAINE DES VIDÉOS-DOCUMENTAIRES DE L’ARCHÉTYPE HOLOGRAMMIQUE «MICHEL LE CONCIERGE TERRESTRE» ET DE SON INVENTION MAGISTRALE DE LA PHILOSOPHIE D’EN BAS, TOUT COMME AVEC L’ARCHÉTYPE HOLOGRAMMIQUE DE SA COMPAGNE-BIG-BANG « MARLENE LA JARDINIÈRE » POÉTISANT SA VIE DE SON JARDIN PARADISIAQUE PRAXÉOLOGIQUE…… L’OBLECTIF ÉTANT LE RENVERSEMENT DE LA PHILOSOPHIE D’EN HAUT PAR LA PHILOSOPHIE D’EN BAS POUR QU’ÉMERGE ENFIN AU 21EME SIÈCLE, SUR TERRE, LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE.

QU’EST-CE QU’UN FLY BEEN? C’EST LE CONTRAIRE D’UN HAS BEEN»… « L’HUMANITÉ A BESOIN DE NOUVEAUX GUIDES, PAS DE NOUVEAUX DIEUX… DES ANCIENS QUI DÉCIDENT DE LAISSER DES TRACES QUI INVITENT LE RÊVE BIG-BANG DE CHACUN À S’ENVOLER»… DIXIT MICHEL LE CONCIERGE

JUNE 20, 2018

Quel merveilleux conseil d’administration de la créativité, ce matin, de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette).
J’ai d’abord donné un résumé-synthèse d’une première esquisse en deux blogues du 40 pages consacrées à la recherche d’attributs essentiels de l’étiquette «WOW» à partir de notre méthode cosmonaute ( un rêve big bang faisant d’un archétype hologrammique un cerveau astronaute habitant l’infini de son corps) que Michel a baptisé au conseil d’administration d’hier:
«LA MÉTHODE FLY BEEN»

En gros, SELON LA VISION PHILOSOPHIE D’EN BAS DE MICHEL LE CONCIERGE, cette méthode fly been, consiste à faire d’une personne humaine has been…. un FLY BEEN, un rêve big-bang qui vole selon la méthode des quatre questions de la vie personnelle œuvre d’art? Et Michel avec une de ses phrases de la philosophie d’en bas dont il a le secret y est allé da sa définition glossairique:

Qu’est-ce qu’un nano-citoyen?

C’est un fly been qui a décidé d’activer sa machine has been pour prendre soin de la beauté du monde.

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Si la tendance se maintient, ma partie 600 pages «PHILOSOPHIE D’EN HAUT» de notre doctorat devrait être entièrement écrite dans sa première version le jour de mes 70 ans, le 12 décembre 2018…. ET SOUMIS PARAGRAPHES PAR PARAGRAPHES POUR UNE MISE EN MODE TROIS WOW DE NOTRE ÉQUIPE DE RECHERCHE.

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Ces 600 pages seront divisées en trois chapitres de deux cent pages, suivant en cela l’ordre des trois mots-maîtres du titre de notre doctorat:

«WOW-T=2.7K?» : LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE PAR WOW-T.COM

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Chaque partie de 160 pages sera divisée en 4 sections de 40 pages.

Ex: pour le ier chapitre
wow = 40 pages
-t = 40 pages
2.7k? = 40 pages
= et ? = 40 pages

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Chaque section de 40 pages sera divisée 3 sous-sections de trois modules opérationnels
1er) module opérationnel
onto-cosmologique (onto pour ontologie)
2eme) module opérationnel
métho-cosmologique (métho pour méthodologie)
3eme) module opérationnel
nano-cosmologique (nano pour nano-citoyen-planétaire)

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Chaque module opérationnel, de chaque sous-section constituera un BLOC-TABLEAU (comme si il s’agissait d’un jeu de legos) qu’il sera possible de transmuter par un autre plus efficace sans nuire au plan d’ensemble de notre doctorat dont l’objectif visé demeure celui de confronter LA PHILOSOPHIE D’EN HAUT (le texte de 600 pages de l’archétype hologrammique de Pierrot vagabond céleste) avec LA PHILOSOPHIE D’EN BAS ( dans la marge de gauche, les vidéos du jardin de l’archétype hologrammique de Marlene la jardinière, dont la progression du printemps à l’automne symbolise la terre comme jardin de la quatrième question de la vie personnelle œuvre d’art? COMMENT TON RÊVE PREND-IL SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?) … et dans la marge de droite (les vidéos parlant de l’archétype hologrammique de Michel le concierge concernant le pays œuvre d’art et les quatre questions de la vie personnelle œuvre d’art.

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Le ier module opérationnel onto-cosmologique (onto pour ontologie) sera constitué d’informations provenant d’internet D’INTÉRÊT PLANÉTAIRE, provoquant un tremblement de terre ontologique de la question du sens de notre existence sur terre au niveau des trois questions: d’où venons-nous? qui sommes-nous? Où allons-nous?

Ces informations onto-légos pourront âtre remplacées par de plus récentes, tout le long du doctorat, sans nuire aux deux autres modules opérationnels (le module métho-cosmologique et le module nano-cosmologique).

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le 2eme module opérationnel métho-cosmologique (métho pour méthodologie) sera constitué de l’auto-genèse poïétique-herméneutique-constructiviste de la méthodologie «FLY-BEEN», conséquence du dialogue dialectique entre les données accumulatives des modules opérationnels onto-cosmologiques versus les données accumulatives des modules opérationnels nano-cosmologiques, et cela tout le long de la rédaction du doctorat de l’équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette)

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Le troisième module opérationnel nano-cosmologique (nano pour nano-citoyenneté-planétaire) sera constitué de données concernant l’aventure d’un rêve big-bang dans la singularité d’un nano-citoyen-planétaire et de sa modélisation potentielle au service du soulagement de la condition humaine par la cinquième question de la vie personnelle œuvre d’art? COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

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PLACE AUX 40 PREMIÈRES PAGES D’ÉCRITURE
DE L’ÉTIQUETTE «WOW»
DE LA FORMULE «WOW-T=2.7K?»

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DÉBUT DES 160 PAGES DU IER CHAPITRE
MODÉLISATION DU NUMERO 10
QUI COMPREND 3 SECTIONS
ATYPIQUES DE LONGUEUR
PARCE QU’INSIDÉRALES DE CONTENU
(IMMATÉRIELLES PARCE QU’UNIQUEMENT
NUMÉRIQUES ET MODIFIABLES COMME SI ON JOUAIT AVEC DES BLOCS DE LÉGOS)
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CHAPITRE 1, NUMERO 10
le signal wow1

SECTION ATYPIQUE 1SUR 4
le signal wow

IER TIERS : ONTO-COSMOLOGIQUE

LE SIGNAL EXTRA-TERRESTRE WOW…. 15 AOÛT 1977…. A DURÉ 72 SECONDES
JUNE 15, 2018

Le signal Wow!
Le signal « Wow! » est un signal radio puissant, à bande étroite et centré sur la raie à 21 centimètres, capté le 15 août 1977 par le radiotélescope de l’université d’État de l’Ohio surnommé The Big Ear 1. D’origine inexpliquée, ce signal, qui a duré 72 secondes et n’a plus été détecté depuis, a fait l’objet d’une attention significative de la part des médias.

C’est l’astrophysicien Jerry R. Ehman qui observa le phénomène alors qu’il travaillait avec le radiotélescope à un projet SETI. Stupéfié de voir à quel point le signal correspondait à la signature attendue d’un signal interstellaire dans l’antenne utilisée, Ehman a entouré au stylo le passage correspondant sur la sortie imprimée et a écrit le commentaire « Wow! » (exclamation de surprise ou d’admiration en anglais, proche de l’onomatopée française « Ouah ! ») dans la marge à côté. Ce commentaire est devenu le nom du signal1.
Ce signal n’a toujours pas, en 2018, d’explication faisant consensus.

2EME TIERS : MÉTHO-COSMOLOGIQUE

Ce qui m’intéresse dans le numéro 10, c’est le big-bang métho-cosmologique constellaire puissamment magnétique, créé par cette anecdote surgissant du numérique…. d’un signal extra-terrestre de 72 secondes et de l’ étiquette «wow» qui a suivi… imprégnant tel un événement syncratique le cerveau-texte cosmonaute de l’infini du corps cosmologique de Pierrot le vagabond céleste.

3EME TIERS : NANO-COSMOLOGIQUE

Qu’est-ce que le wow pour Pierrot le vagabond céleste? Le fondement même d’un rêve big-bang. Qu’est-ce qu’un rêve big-bang? C’est un wow provenant d’une synchronicité inouie et peut-être imaginaire entre l’univers et la nano-personne humaine. J’en ai vécu quelques-unes dans ma vie (dont la dernière en mode de théorisation)… mais mon existence en fut bouleversée au point où tout rapport entre l’onto-cosmologie, la métho-cosmologie et la nano-cosmologie s’unifia sur le nano-constructivisme-radical d’un wow.

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NUMÉRO 10
SECTION ATYPIQUE 2 SUR 4
le signal wow

IER TIERS: ONTO-COSMOLOGIQUE

WOWWWWWWWWWWWW……
En 2012, pour le 35e anniversaire du signal Wow!, le radiotélescope d’Arecibo a envoyé une réponse de l’humanité, contenant 10 000 messages Twitter, dans la direction d’où provenait le signal10,11. Pour cette réponse, les scientifiques d’Arecibo ont tenté d’augmenter les chances qu’une vie intelligente reçoive et décode les vidéos de célébrités et les tweets des gens en y attachant une séquence en en-tête, répétée pour chaque message, qui permettrait au destinataire de savoir que les messages sont intentionnels et proviennent d’une autre forme de vie intelligente, l’humanité.
WOWWWWWWW……………

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2EME TIERS: MÉTHO-COSMOLOGIQUE
COURRIEL DE LA DOCTORANTE MYRIAM OUERTANI

À :Pierre Rochette
16‎ ‎juin à ‎22‎:‎26
Feuilletant le parcours de Matisse, je tombe sur cette phrase:
“Le panneau de la fondation Barnes est un triomphe personnel pour Matisse, mais en même temps le triomphe d’une méthode de travail […].”
Matisse et nos temps, p. 147, 1973.
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COURRIEL DE PIERROTÀ LA DOCTORANTE MYRIAM OUERTANI….

c’est exact
«le triomphe d’une méthode de travail»…. pour moi….
…. correspond analogiquement au manifeste en création (ex: la spiritualité dans l’art de Kandinsky, le manifeste du parti communiste, Marx) … mais chez moi, cette unicité recherchée de ma méthode de travail consiste à faire d’un doctorat une véritable capsule spatiale qui regarde la terre de l’espace et qui reçoit des vidéos skypes de la condition humaine représentée par des archétypes hologrammiques… de là l’importance de cadrer ce 600 pages comme si je les voyais à travers le hublot de mon cerveau dans l’infini cosmologique de mon corps et comme si la question de ce doctorat ne pouvait venir que d’un vagabond céleste voyant la terre comme un point infini à l’horizon du cri de Munch de la condition humaine.

QUE FAUT-IL INVENTER POUR QUE SUR TERRE , AU 21EME SIÈCLE, PLUS AUCUN ENFANT NE MEURE DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE?

Ca fait 30 ans que je me documente sur l’histoire de la méthodologie, de la conceptualisation et de ses avatars aux prétentions universelles…du hiérarchique aux champs magnétiques… pour être certain de signer le triomphe d’une méthode de travail en équipe, le ier tiers (onto-cosmologique) étant sur-réfléchi par par le 2eme tiers (métho-cosmologique) de façon à ce que le troisième tiers, dans la tradition allemande de l’elbernis (le vécu intentionnel par le concept de formation) puisse dématérialiser sémiologiquement la dramaturgie à la base de la mise en scène théâtrale du discours argumentatif, sans les attributs essentiels historiques constellisant tout en déconstruisant didactiquement et scolairement la dynamique argumentative d’un tel design.

En ce sens, Marlene la jardinière de son paradis terreste praxiologique et Michel le concierge terrestre de son invention magistrale de la philosophie d’en bas, en sont les archétypes hologrammiques avec intention d’un fondement nano-citoyen à la nano-citoyenneté-planétaire en émergence pour le 21eme siècle.

à suivre
merci de me lire…
Pierrot vagabond
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3EME TIERS : NANO-COSMOLOGIQUE

1962, MON PÈRE ROGER ROCHETTE FONDAIT LE IER POSTE DE TÉLÉVISION SUR CABLE AU CANADA À LA TUQUE (le rêve big-bang de mon père)

May 18, 2016 Pierrot le Vagabond ChercheurEdit
Juin 1962

Mon père eut une idée… faire venir des États-Unis du matériel pour opérer un poste de télévision… lui qui n’y connaissait absolument rien… Quel rêveur quand même… et au deuxième étage de notre maison… un rêve devint réalité… un studio, deux caméras et l’imagination de tous et chacun dans une ville nommée La Tuque, bien enfouie entre deux montagnes, où la liberté créatrice était née en 1916 grâce à la musique classique.
M. Roger Rochette après 18 ans de loyaux services chez H.R. Hillier quittait pour fonder le poste de TV privé sous l’appellation: RALT-TV à La Tuque. Mes deux frères et moi furent cameramen tandis que mon oncle Paulo était assistant de mon père à la réalisation dans la cabine technique… Toute la population devient tour à tour des animateurs et animatrices d’émissions locales….

L’humoriste Claude Landré , qui n’avait même pas 18 ans, y commença sa carrière comme animateur dans une émission intitulée… LANDRÉ EN PRIMEUR…

sur Google
Pierrot vagabond
www.lepaysoeuvredart.com
Michel le concierge
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NUMERO 10
SECTION ATYPIQUE 3 SUR 3
le signal wow

WWW.FUTURA-SCIENCE.COM

IER TIERS: ONTO-COSMOLOGIQUE

Le signal “Wow!” est un pic d’ondes radio dans une bande étroite centrée sur la fréquence de 1.420 mégahertz, c’est-à-dire là où se trouve la fameuse raie à 21 cm de l’hydrogène, capté en 1977 par le radiotélescope Big Ear du programme Seti.

Il y a de bonnes raisons de penser que c’est LA FRÉQUENCE DES COMMUNICATIONS INTERSTELLAIRES ENTRE CIVILISATIONS PAR ONDES RADIO…..

2EME TIERS: MÉTHO-COSMOLOGIQUE

June 18, 2018 Pierrot le Vagabond Chercheur
Quel merveilleux conseil d’administration de la créativité nous avons eu ce matin, Marlene, Michel et moi. J’ai passé trois jours seul dans un nuit et jour d’une rare intensité pendant que mes amis construisaient leur patio à leur maison secondaire de Grandes-îles.

Ce matin, je leur ai donc lu la première des 15 pages du ier chapitre du doctorat qui en comprendra 200… J’ai eu les 3 wow que je rêvais d’avoir. D’autant plus que la philosophie d’en bas (Michel habitant la droite du texte par ses vidéos et Marlene la gauche de l’écran par ses vidéos) sera conçue de façon autonome à la philosophie d’en haut (l’archétype hologrammique de Pierrot le vagabond céleste).
Dans ses vidéos de la marge de droite, l’archétype hologrammique de Michel témoignera de la condition humaine des invisibles, de la nouvelle majorité nano-planétaire tandis que dans la marge de gauche, l’archétype hologrammique de Marlene construira graduellement son jardin de Grandes-Iles, symbole analogique de la terre nano-citoyenne-planétaire vue d’une révolution méthodologique percue immatériellement de l’espace.

Lorsque j’ai expliqué à mes partenaires que nous avions inventé une nouvelle méthodologie de recherche, en connaissance culturelle d’un panorama de méthodes de différents champs de recherche (philo, socio, phénoméno….) Michel m’a demandé comment j’appelais cette nouvelle méthode…. Je lui ai dit que dans ma tête, je l’appelais la méthode astronaute parce que toute son architectonie vient non pas de l’histoire des méthodes, mais de l’espace sidéral entre un cerveau astronaute et son corps cosmologie.

Et Michel de me dire: Moi, vu de la philosophie d’en bas, j’aimerais que nous appelions cette méthode la MÉTHODE «FLY BEEN» en opposition à toutes les méthodes qui l’ont précédée (les méthodes has been)…

Comme la gardienne des trois wow (Marlene) était d’accord, le nom de notre invention méthodologique fut donc adoptée à l’unanimité.

à suivre…
sur Google
wow-t.com

3EME TIERS: NANO-COSMOLOGIQUE

10. Le jeudi 31 août 2006 à 22:23, par Denis Cantin (Gladiateur)

Bonjour Pierre,
Hier, j’ai fait parvenir un courriel à toute la famille Cantin pour les informer que tu avais un site Web. J’ai reçu une réponse de Roger qui n’en revenait pas de la réponse que tu m’as écrite. Mon épouse, qui t’a connu aussi lors d’une activité qu’elle avait organisé à l’Essor Féminin de La Tuque et à laquelle tu étais l’artiste invité a découvert ton site. Elle a été très touchée par ta réponse et ce soir, en allant au resto, elle s’est aperçue que tu es resté dans le coeur des Latuquois. De plus, je t’ai fait découvrir à mes deux filles ainsi qu’à mes nièces. Si tu viens à La Tuque, tu peux frapper à ma porte et elle te sera toujours ouverte. J’aimerais que tu me donnes une autre adresse e-mail qui ne paraît pas dans ce site afin de te donner mon adresse. Salut, à +.
11. Le jeudi 31 août 2006 à 23:15, par pierrot

Cher Denis,

Tu peux même pas deviner à quel point, toute ma vie, je suis resté amoureux fébrile de La Tuque, ma ville natale. J’écris en ce moment et les frissons dansent ma chair et mes souvenirs. Je me rappelle, Roger Cantin et moi étions chanteurs pour l’orchestre des Najas. Plourde à la guitare, Miller à la basse et Johnson à la batterie je crois. (Les prénoms m’échappent). On était allé jouer à La Croche. Même pas d’argent pour revenir le soir même. On a couché là-bas. En pleine nuit, Plourde se réveille et me regarde… Pourquoi tu pleures? Je veux devenir un artiste pis je sais pas comment je vais faire pour sortir de la ville. Si je réussis pas cela je vais mourir.

Au retour, la nuit du lendemain, j’arrive en même temps que mon père en haut de la Cote St-Louis, lui et sa trompette à la main, moi et ma gêne. On a pas dit un mot. Rendu à la maison de la rue Gouin, mon père a sorti sa trompette et a joué un bout de jazz. Il était presque 3h 30 du matin. Ma mère se lève. Mon père y dit tu peux rester couché on jase Pierre et moi. Ma mère est retourné se coucher, Mon père a serré sa trompette puis m’a dit: fini la jasette pour ce soir.

Durant l’été, sans me le dire, mon père est monté à Montréal. Il est allé au collège privé Jean-de-Brébeuf. Il entre dans un bureau et dit à la personne: Vous êtes qui vous? la personne lui répond je suis père Trudeau et je suis directeur de ce collège. La suite m’a été raconté par le père Trudeau lui-même. Jamais mon père n’a su que je le savais. Mon père l’a regardé dans les yeux puis lui a dit. J’ai un problème de père de famille puis quand je vais sortir de votre bureau, vous allez avoir un problème de prêtre. Et le père Trudeau de dire, comment ça? J’ai un fils, il va étudier à votre collège, vous allez le faire travailler pour payer ses études parce que j’aii pas un sous. J’ai du fermer mon poste de télévision R.A.L.T. tv. Mon fils va habiter chez sa tante à quatre coins de rue d’ici. Et le père Trudeau de lui demander: Est-ce qu’il a des bonnes notes au moins. et mon père de répondre, non mais il va en avoir. Et le père trudeau de conclure (et ce sont ses paroles exactes) Monsieur, je ne vous connais pas, mais pour la beauté du geste que vous avez posé, j’accepte de prendre votre fils, il travaillera comme surveillant de récréation.
Mon père a attendu le dernier jour de l’été pour m’en parler. Il m’a dit, demaiin tu pars pour Montréal étudier. J’ai dis jamais. Moi je suis un artiste et je veux vivre une vie d’artiste. Et mon père de dire. Regarde mes souliers, j’ai meme pas deux lacets pareils. Je suis monté pour toi à Montréal. Va dans ta chambre, réfléchis 15 minutes. Puis au retour, ta décision sera la mienne.
Ce fut mon ier et dernier argument avec mon père. Après 15 minutes je descendis et lui dis: Ok, je monte à Montréal, mais rendu là-bas, je fonde un groupe de musique. Et mon père de dire: en autant que t’étudies le reste te regarde.

Nous créâmes le groupe les Contretemps. Groupe qui remporta le championnat nord-américain des groupes de folklore collégiaux et représenta le Canada au Japon lors de l’exposition d’Osaka.

Et qui est venu vivre chez ma tante Lucienne avec moi, Roger Cantin:))))))))))))

C’est fou. Quel est le rapport avec ma ville natale? Y a comme un arc-en ciel entre la nuit ou j’ai conté à Houde que je rêvais de devenir un artiste et ce soir ou je t’écris. Ma vie d’artiste de scène est en arrière de moi depuis 5 ans et demie déjà. Et cet arc-en-ciel, ce sont mes amis d’enfance et les gens de ma ville pour qui j’ai chanté à travers les années.

C’est viscéral, c’est intense, c’est respectueux, c’est reconnaissant. Le p’tit lac St-Louis fut mon paradis sur terre. Je ne sais pas quand je monterai à la Tuque. J’ai une bohème trop dépouillée de l’essentiel. Je commence un troisième roman. Je monterai peut-être l’été prochain a pied par la voie ferrée qui serpente le St-Maurice:)))):))))

Dans le brouillon du deuxieme roman qui traîne peut-être dans le vieux disque dur de Claude, je racontais Marlene Dietriech et mon oncle Paulo dans une allégorie qui a lieu a La Tuque:)))))))))))))))))))
Salutations à ta femme, ta famille,
à tous mes concitoyens
je t’envoie mon adresse courriel

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NUMERO 10

SECTION ATYPIQUE 4 SUR 4
le signal wow

IER TIERS: ONTO-COSMOLOGIQUE

La voix de Stephen Hawking envoyée vers un trou noir
L’enregistrement de la voix synthétisée de Stephen Hawking… (Ben STANSALL, AFP)
Agrandir
L’enregistrement de la voix synthétisée de Stephen Hawking a été envoyé dans l’espace au moment précis de son inhumation à Londres. Les cendres du chercheur britannique, décédé il y a trois mois à l’âge de 76 ans, ont été enterrées près des tombes des scientifiques Isaac Newton et Charles Darwin, en l’abbaye de Westminster. Sur cette photo, sa fille Lucy dépose des fleurs.
Scientifiques de renom, politiques et anonymes ont rendu vendredi hommage à Stephen Hawking au cours de la cérémonie d’inhumation de l’astrophysicien en l’abbaye de Westminster, pendant laquelle un enregistrement de sa voix a été envoyé vers l’espace.

Les cendres du chercheur, mort le 14 mars à l’âge de 76 ans après une vie dédiée à tenter de percer les mystères de l’univers, ont été enterrées près des tombes d’Isaac Newton et de Charles Darwin.

Dans le même temps, un enregistrement sonore de six minutes, comprenant la voix synthétisée du scientifique intégrée dans une composition du musicien grec Vangelis, a été envoyé vers le trou noir 1A 0620-00, le plus proche de la Terre, depuis une antenne parabolique de l’Agence spatiale européenne (ESA) située près de Madrid.

« C’est un beau geste, symbolique, qui crée un lien entre la présence de notre père sur cette planète, son voeu d’aller dans l’espace et ses travaux d’exploration de l’univers », a dit sa fille, Lucy Hawking.

Le message est tiré d’un discours prononcé par Stephen Hawking il y a quelques années, dans lequel il invite les hommes « à travailler ensemble pour sauver la planète », a fait savoir l’ESA. « C’est un passage très émouvant », a déclaré à l’AFP Mark McCaughrean, conseiller scientifique principal à l’ESA.
À l’abbaye de Westminster, le chercheur américain et prix Nobel de physique 2017 Kip Thorne a prononcé un discours d’hommage à Stephen Hawking, avec lequel il avait collaboré. Le professeur d’astronomie Martin Rees – membre de la Royal Society, la plus prestigieuse institution scientifique du Royaume-Uni-, et l’acteur Benedict Cumberbatch, qui avait incarné le scientifique dans un téléfilm, ont également pris la parole.
Dans l’assistance avaient notamment pris place le musicien américain Nile Rodgers, le physicien britannique Brian Cox, lui aussi membre de la Royal Society, et le chef du Parti travailliste britannique, Jeremy Corbyn.

Environ mille personnes, originaires de plus de cent pays étaient également présent. Elles ont été tirées au sort, parmi plus de 25 000 candidats.

« La contribution de Stephen Hawking à la science est aussi importante que celle d’Isaac Newton ou des autres personnes avec qui il est enterré », a jugé auprès de l’AFP Deborah Trevino, une Américaine de 65 ans, arrivée de Las Vegas avec son mari pour assister à l’inhumation. « C’était une personne extraordinaire, dont on devrait se souvenir pour toujours ».
Icône

Stephen Hawking était reconnu pour ses travaux sur les trous noirs et sur l’origine de l’univers.
Cloué dans un fauteuil roulant, il avait déjoué les pronostics des médecins qui ne lui donnaient que quelques années à vivre après lui avoir diagnostiqué, à 21 ans, la maladie de Charcot.
Il était devenu une icône après la publication, en 1988, d’« Une brève histoire du temps », un ouvrage de vulgarisation scientifique qui explique les grands principes de la cosmologie, du Big Bang à la théorie des cordes.

Son génie scientifique et son sens de l’humour avaient fait de lui une figure populaire, bien au-delà des cercles de la physique. Sa mort avait suscité une pluie d’hommages rarement égalée pour un scientifique, de la reine Elizabeth II à la Nasa en passant par l’ancien président américain Barack Obama.
La cérémonie d’inhumation a salué non seulement sa contribution à la recherche scientifique, mais aussi sa persévérance à combattre une maladie incurable.
« Nous sommes très reconnaissants envers l’abbaye de Westminster de nous offrir le privilège d’une célébration rendant hommage à la vie extraordinaire de notre père, et de lui offrir une dernière demeure aussi illustre », ont remercié ses trois enfants, Lucy, Robert et Tim.

2EME TIERS: MÉTHO-COSMOLOGIQUE

«LE JOURNALISTE DE L’ÊTRE (PIERROT VAGABOND) VERSUS LE JOURNALISTE DU PEUT-ÊTRE (MICHEL LE CONCIERGE)
February 23, 2017 Pierrot le Vagabond Chercheur
Edit
Plus la philosophie d’en haut devient oreille pour l’émergence de la philosophie d’en bas… plus des paramètres inédits se révèlent dans toute leur fraîcheur. C’est une philosophie dont la catégorie de l’existence prend forme UNIQUEMENT à partir de la parole INDIGNÉE du travailleur.

Bien sûr, Pierrot vagabond semble configuré comme un JOURNALISTE DE L’ÊTRE… On dirait qu’il est né avec un GPS fait uniquement d’errance poétique… Il dort sur un plancher, a horreur des objets, préfère connaître l’historique de l’argent que d’en posséder, calcule même le nombre de bouchées nécessaires au fonctionnement de son vivre pour ne pas nuire à la flânerie intellectuelle de son cerveau, n’a pas de vie privée, utilise l’environnement public pour ses besoins essentiels les plus discrets… Est-il platonicien? duchampsien? benjaminien?:))))))))))) il flotte dans ses pantoufles tout heureux de vagabonder les grandes questions de l’histoire de l’humanité sans être obligé de se pencher sur quelque réponse que ce soit.
Mais quand Michel le concierge cogne à la porte de la salle de couture à 6h.30 le matin… quelle joie….l’amitié entre UN JOURNALISTE DU PEUT-ÊTRE exceptionnel et un errant poétique SINGULIER ressemble à la rencontre entre le soleil et la lune:))))))) Michel est infiniment terrestre, droit, intègre, passionné, inquiet du lendemain, jamais loin du chaos, exprimant par de nombreux PEUT-ÊTRE… l’importance de passer une bonne journée car demain est TOUJOURS encore trop loin…. LA CATÉGORIE DE L’EXISTENCE EST SIGNÉE DE LA NAISSANCE À LA MORT D’ABORD PAR LA PRÉCARITÉ.
Et nos différences déclenchent d’immenses rires. Marlene la jardinière se lève vers 7h.am… le party est déjà commencé….
Et comme le dit si bien Michel, le pays œuvre d’art, c’est le programme du concierge pour jaser avec le monde…. car… quand tu as un mauvais programme, t’as beau travailler ben drette, si c’est bâti tout croche, la tour va tomber. pareil:))))))))))))))))

3EME TIERS: NANO-COSMOLOGIQUE
Pierrot
10 mars 2009 – 15 h 48 min | Permalien

MAIS QU’EST-CE QU’UN VAGABOND POETE?
A 60 ans , je commence a voir enfin la lumiere au bout du tunnel….
Pour moi, un vagabond poete, c’est un ermite des routes qui fait du bien a ceux et celles qu’il rencontre le long de son nomadisme et cela dans la chastete et la priere, sans dependance, hors temps, hors realite, hors servitude.

Il vit sur la terre comme s’il etait au ciel, ne demande jamais rien, mais ne refuse jamais rien de ce qui va lui permettre de faire du bien autour de lui.

Il dort dehors ou chez les gens quand on l’invite. Il se lave quand il peut, mange quand il peut, MÉDITE nuit et jour par le rythme de ses pieds scandant la beaute du monde.
wow-t=g3 (g3 étant la version de Gérard Cadieux)……….. il le vit nuit et jour, 7 jours par semaine.

Au mois de decembre 2008, une americaine qui avait entendu parler de ma marche a travers le Canada m’envoya par la poste une autobiographie d’une peace pilgrim de son pays qui avait fait, une generation avant moi, exactement ce que je fais… ce fut une revelation.
Je n’etais donc pas fou… il y a en avait une avant moi qui avait vecu mon reve, et d’une facon magistrale.

J ‘avais enfin le modele exceptionnel qui m’avait toujours manque….. Je sais que si j’avais eu ce livre entre mes mains a l’age de 20 ans, j’aurais tout lâché parce que ce livre eclaire mon rêve avec une precision chirurgicale.

Avant que ce livre me tombe entre les mains, j’ai reve dans les ténèbres de ce qui m’etait possible et j’ai fait mon possible>:)))) mais maintenant, je suis mieux armé pour habiter la beauté et la puissance de mon reve. Je dois juste suivre la route du soleil et cela au Canada, c’est vraiment pas facile avec nos hivers rigoureux, je vais avoir a reviser mes plans pour l’hiver prochain:)))))

http://www.peacepilgrim.com.

Une femme qui prie en marchant, qui n’appartient a aucune religion, une simple paire de chaussures, pas de sac a dos… des poches cousues a son gilet pour y deposer des sacs de gruau et des sacs de lait en poudre, elle suit le soleil, dort dehors ou dans les gares et prie pour la paix. wowwwwwww…..

Aucune dependance, aucune misere. La marche, la marche et encore la marche pour mieux prier ….. par les pieds….
Car, pour un vagabond poete, Dieu est le soleil autour duquel il tourne.

En ce sens, St-Francois d’Assise et St-Benoir Labre me rejoignent aussi beaucoup. Mais ils font partie d’une religion organisee et ca c’est pas tellement mon genre….

La peace pilgrim est maintenant devenue mon inspiration la plus creatrice de sens dans la prochaine marche vers mon reve de vagabond-poete.

Pierrot
vagabond celeste
André Mercier

20 mai 2009 – 19 h 47 min | Permalien

Bonjour,
Quelle belle découverte pour un Latuquois de coeur que d’en croiser un autre sur sa route. Bien enraciné dans ma petite ville natale où j’ai connu les Rochette de ce monde, musiciens comme les Mercier, passionnés, aimables et amusants. Un homme est venu sur mon chemin un jour, il s’appelait Roger…passionné de télévision. Après près de trente années de travail et d’efforts, je suis toujours à la barre de la télévision communautaire de La Tuque, la survivante de RALT-TV, avec tout le respect que nous devons à son fondateur.
Salutations latuquoises !

Pierrot
22 mai 2009 – 8 h 02 min | Permalien

salut Andre

wowwwwwwwwwwwww…. quel merveilleux temoignage sur mon pere Roger…. je suis tres emu…. j’avais 12 ans et j’étais cameraman dans le studio R.A.L.T. tv pendant que mon pere realisait les émissions…. wowwww….
merci de prendre si dignement la releve par des mots de reconnaissance qui me vont droit au coeur…

De mon coté, il y aura spectacle le samedi 13 juin 20h.30 au cafe culturel de la Chasse-Galerie a Lavaltrie… Parmi mes 102 chansons écrites durant 2 ans et demie sur ma route de vagabond celeste, j’en choisirai 25 et je parlerai de La Tuque.. Ce spectacle sera filme pour un documentaire. Si y a des gens de La Tuque qui veulent reserver des billets ($15.00) les sous iron aux deux jeunes cineastes pour leur oeuvre…
veroniqueleduc@hotmail.com
André Mercier
22 mai 2009 – 19 h 35 min | Permalien
Bonjour Pierre…ou Pierrot, comme tu veux. Je suis en train d’écrire l’histoire de la télé latuquoise pour le livre du centenaire qui sera publié pour l’occasion. J’ai besoin de détails sur RALT-TV, comme l’année de fondation, les émissions, etc. Dans les années 80, j’avais eu le privilège de côtoyer ton père qui avait tourné une émission avec une seule caméra et qui donnait l’impression que plusieurs caméras tournaient en studio, rappelle moi cette émission…. Ton père était un vrai Latuquois; débrouillard, inventif, créateur, avec un idéal. J’ai vraiment apprécié cet homme de talent, malheureusement bafoué par « L’élite nombriliste télévisuelle trifluvienne »

Pierrot
1 juin 2009 – 9 h 41 min | Permalien

salut André
Pour les details sur R.A.L.T. T.V, j’etais trop jeune pour avoir une memoire efficace, mais Claude Landre qui habite au lac a Beauce et ma mere Rolande Rochette qui habite Shawinigan-sud pourraient peut-etre resoudre tes enigmes d’archives…

Bonne conquete d’informations
cher Latuquois
Pierrot
vagabond du bon dieu
André Mercier
2 juin 2009 – 15 h 51 min | Permalien

Salut Pierrot !

J’aimerais réaliser une entrevue avec sur les ondes de CFLM (Le grand orchestre de Roger Rochette était de l’inauguration le 3 octobre 1959…il y a bientôt 50 ans) afin de parler avec toi de ton cheminement de poète et de vagabond céleste, mais aussi de ton spectacle que tu offriras bientôt à Lavaltrie. On pourrait en profiter pour parler de cette chanson sur Gaston Lebel !
Je te donne le numéro de la station 819-523-4575
À bientôt j’espère

June 19, 2018 Pierrot le Vagabond Chercheur
MODÉLISATION DU NUMERO 9
QUI COMPREND 4 SECTIONS
DE LONGUEURS ATYPIQUES
PARCE QU’INSIDÉRALES DE CONTENU
(IMMATÉRIELLES PARCE QU’UNIQUEMENT
NUMÉRIQUES)
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CHAPITRE 1, NUMERO 9
wow, étiquette du rêve big bang
SECTION ATYPIQUE 1SUR 3
wow, étiquette du rêve big bang

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IER TIERS : ONTO-COSMOLOGIQUE

Par Serge Brunier

Le 19 mars 2014 à 12h14 Ciel / Espace

D’abord, la prudence.
D’abord, la prudence. Avant la stupeur, l’enthousiasme, le vertige et les superlatifs, la circonspection : l’annonce faite ce lundi 17 mars 2014 par une équipe de scientifiques essentiellement américains doit-être vérifiée, confirmée, d’abord par leurs pairs, ensuite par de nouvelles analyses des données et enfin par de nouvelles observations. Voilà ; une fois cette précaution prise, et en admettant que cette observation soit finalement validée, ne boudons pas notre plaisir : la détection des « ondes gravitationnelles primordiales » serait l’une des plus belles découvertes astronomiques de ce début de siècle et l’un des plus beaux triomphes de l’histoire des sciences. C’est que, nous allons le voir, cette découverte touche à tous les grands symboles du récit scientifique moderne, constitutif de notre imago mundi : la relativité générale, la mécanique quantique, l’Univers, le BIG BANG… rien que ça ! Une découverte, mais pas une surprise, puisque les cosmologistes – ces astronomes et physiciens qui étudient l’Univers considéré dans son ensemble, quoi que cela puisse vouloir dire – l’attendaient, l’espéraient, pour certains, depuis… plus de trente ans !

Venons-en donc à cette possible et extraordinaire observation… L’équipe de la collaboration Bicep 2, dirigée par John Kovac, du Harvard-Smithsonian Center for Astrophysics, aurait détecté pour la toute première fois les « ONDES GRAVITIONNELLES PRIMORDIALES », émises lors du BIG BANG. Ou plus exactement, l’effet sur le RAYONNEMENT DE FOND COSMOLOGIQUE DE CE RAYONNEMENT GRAVITIONNEL PRIMORDIAL

Bon, l’annonce, comme ça, semble absconse, mais la découverte est réellement fondamentale. Pour en saisir la portée, revenons à l’origine de cette observation, la théorie du big bang et le rayonnement de fond cosmologique.

Pour les astrophysiciens, il existe désormais un modèle cosmologique, dit de concordance, qui explique à peu près tout de l’histoire de l’Univers depuis son origine jusqu’à nos jours.
En quelques mots, notre univers – oui, il y en a peut-être d’autres, je vais y revenir… – serait apparu voici 13,8 milliards d’années, lors d’un événement singulier, le BIG BANG.

Au moment du big bang, l’Univers était tout à la fois plus dense et plus chaud qu’aujourd’hui, chaud et dense à tel point que la matière n’existait pas encore, et que les quatre forces fondamentales de la nature que nous connaissons aujourd’hui étaient peut-être fondues en une seule et même force. Et, débordant d’énergie, le cosmos dissipait celle-ci en grandissant : en clair, l’Univers, depuis le big bang, est en expansion, sa température baisse, sa densité diminue. Mais il n’y a pas de mots pour décrire l’Univers au moment du big bang, ni d’ailleurs de concept physique ou mathématique pour le concevoir : personne ne sait ce qu’est l’Univers à l’époque, si cette expression veut dire quelque chose, puisqu’il n’y avait peut-être ni espace ni temps à « ce moment là ».

Pour les cosmologistes, qui utilisent les outils théoriques légués par leurs aînés voici un siècle, la relativité générale et la mécanique quantique, le big bang est une singularité, qui, espèrent-ils, entrera dans le giron d’une future théorie globale de l’Univers, qui pourrait s’appeler théorie des cordes, gravitation quantique à boucles, etc. Bref, la science est aujourd’hui muette quand il s’agit d’expliquer l’origine de l’Univers, même si certains physiciens ne renoncent pas à la tentation folle d’expliquer le « tout ».

Tache illusoire, probablement, puisque le big bang nous oppose un horizon des observations, qui est aussi sans doute un horizon du connaissable.
En effet, ce big bang, qui a eu lieu il y a 13,8 milliards d’années, les chercheurs ne peuvent pas l’observer. Ils ne le pourront probablement jamais : du point de vue astronomique, cet événement se situe à un redshift infini.

Ce que cherchent les astronomes et les physiciens, se sont LES TRACES DU BIG BANG DANS LE COSMOS ULTÉRIEUR les traces, cela, oui, c’est accessible, c’est même l’histoire de l’Univers, que l’on reconstitue peu à peu, depuis les observations fondatrices d’Edwin Hubble au mont Wilson, voici un siècle.
La preuve la plus spectaculaire et la plus convaincante du big bang, c’est bien sûr le fameux rayonnement fossile, ou rayonnement cosmologique, découvert en 1964, ce qui a valu à Arno Penzias et Robert Wilson le Prix Nobel de Physique 1978, rayonnement fossile photographié pour la première fois par le satellite américain Cobe, ce qui a valu à George Smoot et John Mather le Prix Nobel de Physique 2006.

Cette image du rayonnement fossile, enregistrée de nouveau dans le rayonnement submillimétrique par le télescope spatial Planck en 2012, montre l’Univers tel qu’il existait 380 000 ans après le big bang. C’est le moment exact où le cosmos est devenu transparent au rayonnement. Avant, le cosmos était un brouillard de lumière brûlant, impénétrable. Après, l’expansion universelle aidant, la lumière émise a été définitivement libérée, comme la lumière du Soleil est libérée à sa surface, alors que son globe gazeux, lui, est opaque.

Cette image du Soleil est choisie à dessein. On peut en effet facilement s’imaginer à quoi ressemblait l’Univers à l’époque, 380 000 ans après le big bang : passez un scaphandre ultra résistant, et vous voilà flottant dans un bain de chaleur et de lumière aveuglante, un bain à 3000 °C, et un brouillard, brillant, partout, comme le Soleil… Ce que Planck a photographié, c’est cela, cette lumière infernale, mais diluée, refroidie après plus de 13 milliards d’années d’expansion universelle. Aujourd’hui, le cosmos baigne dans un bain glacial, à -270,42 °C et le ciel est noir, obscur.

Cette véritable photographie du cosmos ancien, prise par Planck, est fondamentale et définitive. Définitive, parce que les astronomes considèrent que, quelle que soit la puissance des télescopes à venir, ils n’obtiendront pas d’image de meilleure qualité. Fondamentale, parce que c’est notre seul moyen de remonter plus loin dans l’espace, plus tôt dans le temps…
Car cette image, supposent les chercheurs, garde l’empreinte des événements qui ont marqué le cosmos depuis le big bang. Ce que montre, de façon spectaculaire Planck (après les satellites américains Cobe et Wmap), c’est que, DÈS CETTE ÉPOQUE, L’UNIVERS EST STRUCTURÉ : l’image n’est pas homogène, uniforme, elle est recouverte de taches, qui témoignent d’infimes différences de densité et de température dans le brouillard brûlant qu’était alors le cosmos.

Ces inhomogénéités, ces fluctuations, elles dateraient, pensent les astronomes, de l’époque primordiale de l’Univers, une époque datée – à partir d’une « instant zéro » arbitraire, fictif – de 10 puissance -35 seconde après le big bang. A cette époque, l’Univers, d’après les calculs, a une température de l’ordre de 10 puissance 30 degrés (oui, 1 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 degrés…), une densité de 10 puissance 90 (je vous fais grâce des 90 zéros après le 1), il est soumis tout à la fois aux règles de la relativité générale et de la mécanique quantique. C’EST COMME SI L’UNIVERS ENTIER ÉTAIT QUANTIQUE, c’est à dire soumis à de violentes perturbations à la fois spatiales et temporelles. Espace et temps, au sens commun du terme, n’existaient peut-être pas alors.

Et c’est la trace d’un événement crucial, fondateur, qui s’est passé à cette époque, que peut-être, l’équipe de Bicep 2 a détecté dans l’écho lumineux du big bang, le rayonnement cosmologique…

Il y a plus de trente ans, trois physiciens russes et américain, Alexei Starobinsky, Andrei Linde et Alan Guth, ont imaginé un processus physique, baptisé inflation, pour résoudre des problèmes que posait le cosmos aux observateurs.
En simplifiant un peu pour ne pas sortir du cadre de ce billet, l’Univers, dans le cadre de la théorie du big bang, était tout à la fois trop homogène et trop grand. Starobinsky, Linde et Guth ont proposé qu’après le big bang, un épisode d’accélération fulgurante – l’inflation – ait brutalement augmenté la taille de l’Univers par un facteur gigantesque, de plusieurs dizaines, ou centaines, d’ordres de grandeurs. Cette proposition, malgré son caractère ésotérique et ad hoc, s’est imposée progressivement, mais restait un peu gênante pour les scientifiques car bien difficile à démontrer…

À SUIVRE…

1: P.20-60… WOW… DOCTORAT (AULD, WOODARD, ROCHETTE

DOCTORAT DE L’ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) P.20-40 (CHAPITRE 1… LE WOW DANS LA FORMULE WOW-T=2.7K?

June 21, 2018 Pierrot le Vagabond ChercheurEdit

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P.20-40…. DOCTORAT…. LE WOW… (AULD, WOODARD, ROCHETTE)

June 20, 2018 Pierrot le Vagabond Chercheur

DOCTORAT (AULD, WOODARD, ROCHETTE)
CHAPITRE 1
SECTION SUR LE WOW
P.21-40

Or, c’est une prédiction de cette phase fulgurante d’inflation que l’équipe Biceps 2 a peut-être confirmée ! D’après les cosmologistes, la phase d’inflation, dans un espace-temps soumis à de violentes fluctuations quantiques, a du produire des ondes gravitationnelles, c’est à dire des vibrations de l’espace-temps… Ces ondes gravitationnelles, en déformant l’espace-temps qu’elle ont traversé, ont du, selon toujours, les théoriciens, imprimer leur empreinte dans le cosmos primordial.
Or, rappelons-nous, à l’époque, celui-ci est essentiellement un brouillard de particules élémentaires et de lumière… L’effet attendu du passage des ondes gravitationnelles dans l’Univers primordial, c’est une légère modification de la polarisation de la lumière – l’orientation du champ électromagnétique, pour être plus précis – un phénomène attendu, et recherché, par les astronomes dans le rayonnement de fond cosmologique depuis des années…

Cet effet, appelé « polarisation de mode B » a donc été détecté pour la première fois par la collaboration Bicep 2 et cette observation provoque à son tour une immense clameur dans le monde astronomique, car SES IMPLICATIONS SONT EXTRAORDINAIRES.

Triomphe, d’abord, pour Albert Einstein, qui a indirectement postulé l’existence des ondes gravitationnelles via sa théorie de la relativité générale, qui décrit un espace-temps dynamique, déformable.

L’observation de Bicep 2 validerait une nouvelle fois la relativité générale, même si il ne faut pas oublier que les ondes gravitationnelles ont déjà été indirectement observées, via l’accélération du couple de pulsars PSR B1913+16 par Russell Hulse et Joseph Taylor, observation qui leur a valu le Prix Nobel de Physique 1993.

Triomphe, peut-être, aussi, pour Starobinsky, Linde et Guth en particulier, et la cosmologie contemporaine en général, puisque cette détection serait aussi un indice de la validité de la théorie de l’inflation. Immense espoir, enfin et surtout, pour les physiciens, qui verraient POUR LA PREMIÈRE FOIS UN SIGNE, UN INDICE, DE LA POSSIBLE UNIFICATION DE LA RELATIVITÉ GÉNÉRALE ET DE LA PHYSIQUE QUANTIQUE, L’UNE DE L’INFINIMENT GRAND ET L’AUTRE DE L’INFINIMENT PETIT, irréductiblement inconciliables depuis cent ans.
Ces fluctuations quantiques de l’espace-temps, au moment du big bang, ouvriraient, enfin, la voie vers une théorie de la gravitation quantique, et permettraient d’aller voir plus près, encore, du big bang et de l’abstrait « instant zéro ».
Cette possible découverte ouvrirait donc un nouveau et immense champ d’étude à la physique et à la cosmologie, qui cherchent, encore une fois, à se retrouver dans une théorie universelle encore à écrire, une théorie de la gravitation quantique.

Première conséquence, si l’observation est validée : une ribambelle de théories cosmologiques et physiques vont pouvoir être abandonnées, toutes celles qui ne prédisent pas cette polarisation de mode B.

Seconde conséquence, les astronomes vont probablement proposer aux grands instituts internationaux de concevoir un nouveau satellite, un « super Planck » dédié à l’observation fine de la polarisation du rayonnement de fond.

Enfin, cette découverte, si elle confirmait que l’Univers a bien connu une phase d’inflation, pourrait donner du crédit aux modèles cosmologiques, étranges et vertigineux, défendus en particulier par le physicien américain d’origine russe Andrei Linde…

Pour lui, l’inflation et le big bang sont un seul et même phénomène. Linde propose, depuis un quart de siècle, une théorie véritablement vertigineuse, hypnotique, L’UNIVERS INFLATIONNEL ÉTERNEL AUTOREPRODUCTEUR».
Pour Linde, le big bang et notre cosmos ne sont qu’un aléa D’UN MULTIVERS ÉTERNEL ET INFINI DANS LEQUEL DES FLUCTUATIONS QUANTIQUES ENGENDRERAIENT SPONTANÉMENT, DE LOIN EN LOIN, DES UNIVERS EN EXPANSION…

Un Univers d’univers, gigogne, infini, éternel.
Une conception du monde qui demeurera théorique, qui ne sera jamais validée par l’observation.

LA GRANDEUR ET LE DRAME DE LA COSMOLOGIE, C’EST SA DIMENSION IRRÉDUCTIBLEMENT MÉTAPHYSIQUE.
IL EST DES QUESTIONS
POSÉES AU CIEL
QUI DEMEURERONT À JAMAIS SANS RÉPONSE.

Serge Brunier

PS : Une touchante vidéo mise en ligne par l’Université de Stanford qui montre comment a été annoncée la possible découverte de l’inflation cosmique à Andrei Linde…
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2EME TIERS: MÉTHO-COSMOLOGIQUE

LA DIFFERENCE ENTRE UN RÊVE-BIG-BANG ET UN PROJET…. LE RÊVE EST UN BIG BANG QUI S’ACCOMPAGNE D’UN BRUIT DE FOND (2.7K) DONT LES BITTS PRENNENT LA FORME D’UN RÉCIT

June 14, 2016 Pierrot le Vagabond Chercheur

Nous sommes en 2016…
je revisite « L’ÊTRE ET LE NÉANT» de Jean-Paul Sartre publié en 1943…..en soulignant systématiquement et en hurlant intérieurement de joie à chaque ligne….

Sartre libère enfin l’existence de l’essence en démontrant chirurgicalement et phénoménologiquement que la liberté néantise son être pour se désengluer de l’en-soi parce qu’elle est à la fois ipséité (du passé) et pour-soi (devenir) condamné à un projet dont il ne peut fuir la responsabilité que par la mauvaise foi ou le recours frauduleux au déterminisme comme forme de soumission au jeté dans le monde.

«LA THÉORIE DE LA JUSTICE» de John Rawls, publié en 1971 donne les conditions de justice et d’équité pour qu’un PROJET puisse être un droit inaliénable pour chaque personne humaine sur terre….

Rawls se demande quelle est la forme d’hédonisme, qu’il appelle la troisième forme non encore identifiée, est poursuivi par tout être humain dans son projet aristotélicien.

MON INTUITION HEUREUSE…

c’est que la différence entre le PROJET sartrien et Rawlien et UN RÊVE tel que le conçoit l’équipe de recherche AULD-WOODART-ROCHETT….., c’est à mon avis, LE BIG BANG QUE PROVOQUE LE RÊVE QUAND IL EXPLOSE DANS L’UNIVERS PHÉNOMÉNOLOGIQUE D’UNE PERSONNE HUMAINE. Toute la vie de cette personne humaine s’en trouve illuminée et les projets qui en constituaient historiquement la trame prennent soudainement la forme d’une ipséité sartrienne, retournant s’engluer dans la densité de l’être comme être.

POURQUOI WOW-T=2.7K?

WOW-T=2.7 K… c’est ce qui donne de la valeur au récit… comme 2.7k est à la fois le récit du big bang du début de l’univers et son degré de chaleur égal partout dans l’infini.

wow…. un rêve fait wow en toi… il explose en toi
-T……. tu prends la décision de ne pas tricher avec ce rêve
=2.7k…. le récit de la marche vers ton rêve ou de l’attraction de ton rêve sur ta marche comme l’univers se vit en expansion… constitue, à notre humble avis, cette troisième forme d’hédonisme que recherchait Rawls dans la théorie de la justice…
LA CONSEQUENCE DE CETTE INTUITION HEUREUSE…
La nano-démocratie constituant un rêve d’une citoyenneté planétaire par le tirage au sort au cœur de chaque ville et chaque village de l’espace-monde, le surgissement du premier pays œuvre d’art ne peut qu’accompagner le surgissement des vies personnelles œuvre d’art dont le big bang a été ou allumé par les quatre questions, ou témoignage empirique-inductig des quatre questions comme constitutives de tout WOW (hypothèse forte).

sur Google
Pierrot vagabond
www.lepaysoeuvredart.com
Michel le concierge

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3EME TIERS: NANO-MÉTHODOLOGIQUE
D’UN VAGABOND HOMÉRIEN À UN AMI

March 27, 2016 Pierrot le Vagabond ChercheurEdit
vagabond homérien d’écrire par votre blog à un ami:)))
HOMMAGE A DENIS LAMARRE
article sur Google
pdf, juin 2008, Flèche Mag

(Denis Lamarre)…«Mon retour à la chanson a duré près d’une vingtaine d’années, entre 1982 et 2000…

C’est pendant cette période fébrile qu’il est parti en tournée en duo avec son ami Pierre Rochette, des 2 Pierrots.
Les deux complices ont donné plus de 3 000 spectacles, parcourant le Québec dans tous les sens, sans jamais manquer de revenir régulièrement chanter à l’auberge La Calèche de Sainte-Agathe.

(Denis Lamarre) « Au milieu des années 90, Pierre et moi avons reçu un prix de l’ATL comme employés touristiques de l’année »
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Cher Denis Lamarre,

lorsque j’ai quitté la scène en plein milieu d’un spectacle, j’aimerais te confier d’une façon systémique ce qui s’est passé dans ma tête. ce soir-là, pendant la chanson

LA QUÊTE de Jacques Brel…

Rêver un impossible rêve
Porter le chagrin des départs
Brûler d’une possible fièvre
Partir où personne ne part
Aimer jusqu’à la déchirure
Aimer, même trop, même mal,
Tenter, sans force et sans armure,
D’atteindre l’inaccessible étoile
Telle est ma quête,
Suivre l’étoile
Peu m’importent mes chances
Peu m’importe le temps
Ou ma désespérance
Et puis lutter toujours
Sans questions ni repos
Se damner
Pour l’or d’un mot d’amour
Je ne sais si je serai ce héros
Mais mon cœur serait tranquille
Et les villes s’éclabousseraient de bleu
Parce qu’un malheureux
Brûle encore, bien qu’ayant tout brûlé
Brûle encore, même trop, même mal
Pour atteindre à s’en écarteler
Pour atteindre l’inaccessible étoile
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CE SOIR-LÀ….

Je chantais la quête de Jacques Brel… et soudain tout est apparu très clair dans ma tête… mon merveilleux partenaire de scène qui pendant 18 ans fut d’un comportement éthique et artistique exemplaire venait de se faire offrir le théâtre le Patriote en partenariat avec Percival Broomfield puis après la mort de Percival, en successeur. Pour lui, l’appel a une réorientation de carrière devenait évident.

Mais il devenait aussi évident pour la famille Grand-Maison de l’auberge la Calèche, qui a pris soin de moi comme artiste avec respect et coopération durant 18 belles années, de s ‘associer a Denis pour mieux réussir en affaire…

De mon côté, un photographe de Québec qui avait tout abandonné pour jouer de l’orgue de Barbarie sur les routes du soleil de la France a l’Espagne avait aussi eu l’effet d’un coup de tonnerre sur ma vie… Depuis l’enfance, mon rêve avait toujours été d’être vagabond céleste et non d’être artiste de scène.
Durant la chanson de Brel, je ressentis instantanément et profondément l’appel a la liberté comme l’appel à la créativité de l’écrivain…

Pierrot Rochette, Denis Lamarre, Mario Grand-maison de la Calèche, nos trois routes du rêve compatibles durant 18 ans explosèrent en un coup de tonnerre dans ma tête pendant que je chantais sur scène.

Dans la finale de la chanson de Jacques Brel… l ‘inaccessible étoile est venue me chercher de sa voix amour-présence… même s’il me restait trois ans de contrat et que j’aurais pu rester avec Denis au Patriote jusqu’à ma mort, j’ai quitté calmement la scène, j’ai déposé ma guitare dans la coulisse et je suis sorti par la porte d’en arrière… Ce ne fut pas prémédité… Ce fut vécu comme un coup de foudre pour le vagabondage littéraire et géographique.

J’ai marché jusqu’à la Butte a Mathieu où j’habitais l’ancienne maison de Raymond Lévesque… je venais de devenir écrivain-nomade…

Je ne sais pas si j’aurais eu le même courage si j’avais agi rationnellement…

J ‘ai mis 7 ans à mon 1000 pages , 7 ans de ma vie, dont 2 ans et demie en bibliothèque à savoir où était ma place dans la littérature mondiale…
A 20 ans, je savais comme Cézanne , Proust et Picasso, qu’après ma mort, mon oeuvre serait reconnue comme une grande oeuvre canadienne..

J ‘ai fait pour la littérature ce que Jackson Pollock a fait pour la peinture… le renversement idéologique de l’acte de peindre… pour moi la littérature, c’est le placenta de ce que je suis devenu… De la même manière qu’on ne peut comprendre les demoiselles d’Avignon et son importance culturelle sans une connaissance amoureuse de l’histoire de l’art, on ne peut saisir la musique de mon 1000 pages sans une connaissance de l’histoire de l’écriture au Québec comme au Canada
Ce MONSIEUR 2.7K, c ‘est l’histoire de Monsieur K, prisonnier numérique, qui réussit a s’évader de 1000 pages de débris de bitts pour enfin réaliser son rêve… marcher la fraîcheur existentielle de la beauté du monde sans que le boulet de l’information soit enchaîné a un de ses pieds… retrouver l’ile de l’éternité de l’instant présent telle qu’elle existait avant l’Ulysse de James Joyce et l’Épopée comme l’Iliade d ‘Homère, en faisant par l’errance philosophique le plein d’espace et de temps.… Une épopée du 21eme siècle s’évadant de la dématérialisation numérique graduelle du 20ème.

Dans la lecture de ce 1000 pages, Il ne faut pas trop accorder d’importance aux débrits de bitts (le coté éclaté de l’histoire, du récit).. il faut lire l’ oeuvre comme si on écoutait de la musique contemporaine, dodécaphonique ou sérielle… et suivre la danse concrète et visuelle de Monsieur k (Krishnamurti, Kafka ou Kerouac, selon les pages) danse euphorique comme celle de Zorba le grec, la danse de l’instant présent, la danse de l’île de l’instant présent, celle des brosses d’être et des attaques d’être, la littérature écrite par des pieds qui dansent sur des debits de bitts placentas:))))

En ce sens, mes 100 chansons écrites sur la route furent un journal de bord du journaliste de l’être pendant qu’il danse la fraicheur existentielle de la beauté du monde tout au long de son vagabondage à travers le pays.

…Est-ce folie? Est-ce l’homme du 21eme siècle tel qu’il sera dans deux générations, une masse critique de vagabonds célestes avec vie privée oeuvre d’art en marche épopée vers un pays oeuvre d’art? Seule l’histoire pourra un jour en faire le compte-rendu.

Chose certaine, la communauté des historiens de l’art finit toujours par nettoyer le fil d’or de l’histoire de la pensée en séparant le bon grain de la poussière des mots…

Servir l’histoire de l’art par une vision en signant son siècle, voila le rêve de tout créateur. Comme si on écrivait au clair de la lune et que 1000 ans plus tard , quelques enfants reprenaient le refrain sans se douter qu’ils utilisent un morceau essentiel du patrimoine universel:))))

Je n’aurais pu vagabonder le pays sans le placenta de ma gestation littéraire…

CECI DIT
ET EN CONSÉQUENCE DE QUOI

J ‘aimerais remercier publiquement Denis Lamarre pour ses 18 ans de loyauté sans faille.. et la famille Grand-Maison pour leur coopération financière durant 18 ans, aussi sans faille, à ma vie de créateur…

Ma rupture ne fut pas à la hauteur des 18 années de rêve vécues en équipe et cela uniquement a cause de ma façon romantique de concevoir les changements de cap….

LE DUO ROCHETTE-LAMARRE EN SPECTACLE FURENT 18 ANS DE PUR BONHEUR…

Merci Denis
Merci Mario et la famille
Pierrot
vagabond céleste
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onglet presse
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CHAPITRE 1, NUMERO 9
wow, étiquette du rêve big bang

SECTION ATYPIQUE 2 SUR 3
wow, étiquette du rêve big bang

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IER TIERS: ONTO-COSMOLOGIQUE

Apollo 11 est une mission du programme spatial américain Apollo au cours de laquelle, pour la première fois, des hommes se sont posés sur la Lune, le 20 juillet 1969 (wikipedia)

(MONSIEUR 2.7K) EXTRAIT P.231… atterrissage sur la lune, dialogue traduit…

ALDRIN: la terre est juste en face de notre fenêtre avant
POA WARD: les renseignements radars sont satisfaisants.
l’altitude est maintenant de 10200 mètres.
AMSTRONG: donneznous
les résultats du pogramme d’alarme 1202
DUKE: Roger, nous vous recevons, vous êtes GO en ce qui concerne cette alarme…
à 6 plus 25, modification de poussée.
POE WARD: Nous sommes toujours GO. Altitude 8200 mètres.
AMSTRONG: Modification de poussée!
ALDRIN: Juste à temps! Ca marche mieux que dans le simulateur.
POA WARD: L’altitude est maintenant de 6400 mètres.
Tout fonctionne parfaitement.
La vitesse est descendue à 365 mètres secondes….
7 minutes 30 secondes depuis la mise à feu.
Altitude 4940 mètres…
Altitude 4110 mètres, vitesse 2700…
”K”…orrection, vitesse maintenant de 230 mètres/seconde…
Le FIDO dit que nous sommes GO
Altitude 2800 mètres…
(A 600 mètres de la Haute Porte, on débutera l’approche finale)
Vitesse de descente 39,30 mètres/seconde.
DUKE: Aigle, bientôt 9 minutes et vous semblez dans une forme splendide.
POA WARD Nous sommes maintenant dans la phase d’approche et tout va bien
Altitude 1580 mètres…
(600 mètres de la Haute porte à un mille terrestre de la surface lunaire)
Altitude 1280
DUKE: Aigle? Ici Houston. Vous êtes GO pour l’alunissage. Terminé.
ALDRIN: Roger. GO pour l’alunissage. 900 mètres.
ALARME ORDINATEUR….
DUKE: j’écoute.
ALDRIN: 12 01.
AMSTRONG 12 01
DUKE: Roger . ALARME 12 01. Vous êtes GO. Tenez bon. Vous êtes GO
AMSTRONG: 600 mètres. AGS 47 degrés.
DUKE: Roger
230
ALDRIN: 47 degrés.
DUKE: Aigle satisfaisant en tous points. Vous êtes GO
PAO WARD: Altitude 490 mètres…. 425 mètres.
”K”…omportement parfaitement satisfaisant.
ALDRIN: 35 degrés. 35 degrés. Altitude 228 mètres,
descendons à sept mètres/seconde.
213 mètres, 6,5 m/s 33 degrés.
182 mètres, descendons 5,8 m/s
(Ils sont presque à la Basse Porte, située à 152 mètres d’altitude;
IL LEUR RESTE DEUX MINUTES DE COMBUSTIBLE****)
165 mètres, descendons à 9….non à 4,5 m/s.
Nous sommes à 120 mètres, descendons 2,7, avançons 14,9.
106 mètres, descente 1.2. 100, descente 1,06.
Vitesse horizontale stabilitée. 90 mètres, descente 1,2.
Avançons 14. (parasites)… Descente 0,30/minute.
Descente 0,45.
AMSTRONG: 70.
ALDRIN: ON VOIT L’OMBRE DEHORS*****…
Descente à 0.75 m/s. 5.80 en avant.
Témoin d’altitude et de vitesse allumés.
Descente 1,06 m, altitude 67. 3,90 en avant.
3,30 en avant, NOUS DESCENDONS JUSTE CE QU’IL FAUT
60 mètres, descente 1m35. Descente 1,65. 48
Descente 2. Descente 1,65, 2,75 en avant.
CA SE PRESENTE BIEN*****
37 mètres, 30 mètres, descente 1,65.
2,75 en avant. 5 pour cent. temoin
tout va bien. 25 mètres
descente 0,15, 1,80 en avant…
DUKE: 60 SECONDES
ALDRIN: temoins allumés. Descente 0,75.
AVANÇONS, AVANÇONS
Bien, 12 mètres, descente o,75.
NOUS SOULEVONS UN PEU DE POUSSIERE****
OMBRE LEGERE****
I.20 en avant. !.20 en avant
DERIVONS UN PEU SUR LA DROITE…
1.80 (PARASITES) Descente 0,15.
DUKE 30 SECONDES.
ALDRIN: (Parasites)… En avant.
DERIVONS SUR LA DROITE… (parasites)
temoin de contact. Bien
Moteur coupé. ACA fixé.
AMSTRONG CA Y EST******
ALDRIN ”K”…ommandes mises en auto.
231
”K”…ommande manuelle du moteur de descente: coupée.
système d’armement du moteur.: coupé
le 413 est mis.
DUKE: La télémétrie indique que vous ETES POSES*****, Aigle.
AMSTRONG: Houston, ICI LA BASE DE LA TRANQUILLITE.
Aigle s’est posé.
DUKE: Roger. Tranquillité. D’après nous aussi,
vous êtes posés.
UN TAS DE GENS ICI ETAIENT SUR LE POINT
DE VIRER AU BLEU.
NOUS RESPIRONS DE NOUVEAU.
MERCI, MERCI BEAUCOUP ALDRIN. MERCI.

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2EME TIERS: MÉTHO-COSMOLOGIQUE

QU’EST-CE QU’UN ARTÉFACT HOLOGRAMMIQUE…. SELON LA MÉTHODE 5. D’EDGAR MORIN (L’HUMANITÉ DE L’HUMANITÉ) UN HOLOGRAMME EST UNE IMAGE OÙ CHAQUE POINT CONTIENT LA PRESQUE TOTALITÉ DE L’INFORMATION SUR L’OBJET REPRÉSENTÉ… CE QUI REJOINT LA DÉFINITION DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE DE MICHEL LE CONCIERGE

June 6, 2018 Pierrot le Vagabond Chercheur

Edit
L’hologramme : « Un hologramme est une image où chaque point contient la presque totalité de l’information sur l’objet représenté. Le principe hologrammique signifie que non seulement la partie est dans le tout, mais que le tout est inscrit d’une certaine façon dans la partie. Ainsi la cellule contient en elle la totalité de l’information génétique, ce qui permet en principe le clonage; la société en tant que tout, via sa culture, est présente en l’esprit de chaque individu. » (MORIN E. La méthode. 5 L’humanité de l’humanité. Ed. Seuil (2001) p.282.)

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QU’EST-CE QUE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE?
c’EST LA CONSTRUCTION D’UN RÉSEAU PLANÉTAIRE DE VIES PERSONNELLES OEUVRE D’ART POUR AJOUTER UNE NOUVELLE COUCHE D’INTELLIGENCE AU SERVICE DE L’HUMANITÉ (AIDER L’HUMANITÉ)
Michel le concierge

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3EME TIERS: NANO-COSMOGRAPHIQUE

vagabond céleste le 09/01/2013
Nelson Mandela
est le plus grand
rêveur equitable
de la planète
Pierrot
vagabond céleste
www.reveursequitables.com
MERCI
NELSON MANDELA

chu rien qu’un chanteur qui voyage
tu m’verras jamais à t.v.
j’ai 35 ans j’fais pas mon âge
j’fais du flolklore dans mes tournées
j’ai comme des explosions dans tête
que j’ai besoin d’te raconter
d’un coup je meurs d’un hasard bête
dans des pays trop éloignés
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Au Japon j’ai connu l’boudhisme
avec des temples de 12,000 ans
pis en Afrique des musulmans
qui ont plusieurs femmes évidemment
moi catholique baptisé
thraumatisé par le péché
y a tellement d’religions sur terre
qu’aujourd’hui j’me sens libéré
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j’ai vu des noirs bleus comme la mer
qui vendaient des serpents séchés
des noirs charbons en Côte d’Ivoire
qui m’ont donné leur amitié
du fond de la brousse ma peau blanche
a eu honte de ses préjugés
y a tellement de couleurs sur terre
qu’aujourd’hui j’me sens libéré
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j’ai vu des langues par dizaines
des dialectes par centaines
sayonara good by je t’aime
midowo antimari midowo
moi québécois enraciné
qu’on a monté contre les anglais
y a tellement de languages sur terre
qu’aujourd’hui j’me sens libéré
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les religions sont des poètes
comme les langues et les couleurs
j’ai comme des explosions dans tête
qui font qu’aujourd’hui j’ai pu peur
d’être québécois dans l’fond du coeur
et j’ose crier à la jeunesse
maudit déniaise t’as 18 ans
je sais que la planète t’attend
j’sais pas si j’ai bien fait d’parler
mais pour le reste oubliez-moé.

Pierrot
vagabond céleste
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www.reveursequitables.com
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CHAPITRE 1, NUMERO 9
wow, étiquette du rêve big bang

SECTION ATYPIQUE 3 SUR 3
wow, étiquette du rêve big bang
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IER TIERS: ONTO-COSMOLOGIQUE

L’équipage d’Apollo 10 a entendu une « musique bizarre » le 10 mai 1969, pendant qu’il survolait la face cachée de la Lune et qu’il était coupé de tout contact radio avec la Terre. La NASA vient de rendre le mystérieux enregistrement public.
Radio-Canada avec Agence France-Presse

L’étrange son a persisté durant une heure. Tout a été enregistré, puis transmis au centre de contrôle de Houston, au Texas, et archivé.

Vous entendez ça? Ce sifflement… C’est vraiment une musique bizarre.

L’astronaute Eugene Cernan sur l’enregistrement du 10 mai 1969
L’enregistrement, déclassifié en 2008, a été diffusé seulement dimanche sur la chaîne Discovery, dans le cadre de la série intitulée Les dossiers inexpliqués de la NASA.

Les trois astronautes, le commandant Thomas Stafford, John Young et Eugene Cernan, y discutent du phénomène, et ils se demandent s’ils doivent ou non le signaler à leurs supérieurs. Ils redoutaient à l’époque de ne pas être pris au sérieux et de perdre toute chance d’effectuer d’autres vols si des doutes étaient soulevés sur leur état mental. Ils n’ont donc rien dit.
Les trois astronautes effectuaient à l’époque le dernier vol de répétition avant l’alunissage du vol d’Apollo 11, prévu le 21 juillet 1969.

Pas d’origine extraterrestre, dit la NASA

Aussi bizarres que puissent avoir été ces sons, ils n’ont pas une origine extraterrestre, insiste la NASA.

Un ingénieur de l’agence spatiale interviewé pour l’émission avance l’hypothèse que « les radios dans les deux vaisseaux, le module lunaire et le module de commandement [qui étaient alors attachés] créaient des interférences entre elles ».

Le responsable du module de commande de la mission Apollo 15, Al Worden, qui intervient aussi dans la même émission, n’est toutefois pas convaincu par cette hypothèse. « La logique me dit que si quelque chose a été enregistré là-bas, il devait y avoir quelque chose », dit-il.

À ce jour, douze personnes ont marché sur la Lune.
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2EME TIERS: MÉTHO-COSMOLOGIQUE

GENÈSE DE LA MÉTHODE FLY-BEEN DE CE DOCTORAT DE L’ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULS, WOODARD, ROCHETTE)

La poïétique de constructivisme radical de la métho-cosmologique a pour objectif de préciser l’invention du cadre théorique de ce doctorat au fur et à mesure de son émergence. Deux étiquettes sources nous servent ici d’ancrage de réflexion.

Friedrich Schegel écrit: «Tous les jeux sacrés de l’art ne sont que de lointaines imitations DU JEU SANS FIN DU MONDE, cette œuvre d’art qui éternellement se donne forme. » (édition critique de Schlegel, par R. Behler 1. abt. 2 Bd. p. 284-351, p324)

Hans-Georg Gadamer, dans Vérité et méthode (p.128), qui parle du jeu comme une transmutation: « La transmutation par lequel le jeu humain atteint son véritable accomplissement, qui est de devenir art, je l’appelle LA TRANSMUTATION EN OEUVRE.»…. (p.129) «La transmutation, en revanche, signifie que quelque chose EST D’UN COUP ET EN TOTALITÉ AUTRE CHOSE et que cet autre chose . qu’il est en vertu de la transmutation, EST SON ÊTRE VRAI. au regard duquel son être antérieur est NUL ET NON AVENU. Quand nous trouvons que quelqu’un est MÉTAMORPHOSÉ, nous voulons dire précisément par là qu’il est devenu pour ainsi dire UN AUTRE HOMME.»

Imaginons que le champ de transmutation magnétique ( ier tiers: onto-cosmologique, 2eme tiers: métho-cosmologique, 3eme tiers: nano-cosmologique) que constituent les trois discours cosmologiques parallèles soient pour ainsi dire designés comme un terrain de jeu où le dialogue entre l’onto-cosmologie et la nano-cosmologie permet une métamorphose en œuvre d’un cerveau-cosmonaute dans l’espace infini de son corps, par une plénitude d’une richesse de sens qui dynamise la constellation de la métho-cosmologie elle-même.

En ce sens, la méthode fly-been d’un jeu champ magnétique prend conscience PAR LE DIALOGUE ONTO-NANO… de la constellation d’un rêve big-bang et de ses archétypes hologrammiques au fur et à mesure que ces dialogues entre l’onto et la nano-réalité métamorphose une personne humaine par sa danse de l’imaginaire impossible (l’impossible étant, selon Michel le concierge, le très, très, très,très, très, très improbable.)
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3EME TIERS: NANO-COSMOLOGIQUE

Pierrot Rochette le 10 septembre, 2010 à 13 h 29 min:
APPEL AUX CHERCHEURS DANS LE DOMAINE DE LA
NEUROPSYCHOLOGIE
Mon nom est Pierrot Rochette
Je suis présentement en pré-doctorat:

Ma question étant la suivante: Quand un être humain abandonne tout pour son rêve, Est-ce que ca fait partie du rêve de l’univers de prendre soin du rêve de cet être humain? et de quelle façon?

Mon hypothèse de réponse: oui uniquement lorsque cet être humain prend la décision d’agir en non tricheur ou autrement dit en rêveur équitable. l’univers accompagnant son rêve équitable en signant l’impossible par des évènements ponctuels de synchronicité tout au long de la flèche du temps.

EN CONSEQUENCE DE QUOI…

Même si j’ai vagabondé durant près de trois ans pour expérimenter concrètement ce champ de recherche (l’avant bigbang), je ne tiendrai d’abord compte que de mon expérience de pensée qui est avant tout d’aventure intellectuelle et esthétique, Elle tient compte des paramètres hypothétiques axiomatiques suivants:

1Qu’est-ce que Dieu? il serait un être de lumière à intensité optimale K3 = wow-t

2Qu’est-ce que l’être humain?il serait un être de lumière à intensité variable……K= wow-t

3- qu’est-ce que le big bang? ce serait le rêve de tout créateur qu’il soit Dieu ou homme, symbolisé ici par wow

4- quelle serait la barre de mesure la plus plausible du rêve de Dieu dans son actualisation le long de la flèche du temps? ce serait le bruit de fond cosmique du big bang dont la mesure est 2.7K

5- quelle serait la variable éthique fondamentale exigée par la formule ce serait la non-tricherie dans la marche vers le rêve symbolisée ici par

T6 – quelle serait la barre de mesure la plus plausible du rêve d’un humain dans son actualisation le long de la flèche du temps?

Ce serait le bruit de fond cosmique du big bang humain dans la mémoire de ce cerveau humain dont la mesure devrait être elle aussi ( à l’échelle humaine bien sur) 2.7 K

6- qu’estce que la synchronicité? ce serait hypothétiquement ce qui arrive de façon ponctuelle lorsque le rêve big bang de l’homme utilise la même fréquence- radio optimale par l’éthique que lerêve big bang de Dieu par le même modus opérandi dont la formule serait: WOW = 2.7K wow définissant le cri de l’humain lors de l’émergence de son rêve
t définissant la norme optimale de non-tricherie exigée lors de l’actualisation du dit rêve humain.
2.7 k définissant la mesure universelle de tout écho d’un big bang optimal, qu’il soit humain ou divin.

CONCLUSION
Ce qui s’est passé AVANT LE BIG BANG pourrait être intuitionné en mesurant quelque part dans la mémoire du cerveau de l’être humain le bruit de fond cosmique de son rêve big bang créateur humain….. ce qui devrait donner la formule suivante et pour le rêve big-bang de Dieu et pour le rêve big bang de l’humain, définissant les prémisses de toutes conditions ontologiques définissant le concept d’intelligence collective:
WOWT= 2.7K
Est-ce que cela pourrait inspirer une collaboration comme champ de recherche paradigmatique potentiel pour un chercheur dont la spécialité est la neuropsychologie du cerveau?
si oui j’aimerais bien que vous communiquiez avec moi à l’adresse courriel suivante : info@reveursequitables.com
Pierrot
vagabond céleste

2. Pierrot Rochette le 11 septembre, 2010 à 10 h 16 min: