UN CHERCHEUR DE PENSÉE PURE DOIT PARFOIS SE METTRE DES OEILLÈRES DEVANT LE TROP D’INJUSTICES ET DE SOUFFRANCES RELIÉES À LA CONDITION HUMAINE…. PARCE QU’IL EST HABITÉ PAR UNE INVENTION QUI, ESPÈRE-T-IL, CONTRIBUERA DE FAÇON SIGNIFICATIVE À FAIRE LE BIEN ….. LIRE, RÉFLÉCHIR, ÉCRIRE, INSPIRER …. LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE, LES DEUX ASSEMBLÉES DES JUSTES, LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART …. QUE DE RÊVES BIG BANG QUE CETTE INSTITUTION POURRAIENT PERMETTRE… QUE D’ENFANTS AVEC LE DROIT À DES VIES PERSONNELLES OEUVRE D’ART …. QUE DE DIGNITÉ…. …

Pierrot vagabond

QU’EST-CE QU’UN ARCHÉTYPE HOLOGRAMMIQUE?… TOUTE PERSONNE HUMAINE QUI SE PENCHE SUR LES QUATRE QUESTIONS DE SA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART…. MARCHE SUR LES TRACES DE SES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU COEUR…. DONT LA CHORÉGRAPHIE PORTE INTRINSÈQUEMENT UN ARCHÉTYPE FONDATEUR QUI LA DESSINE À L’ORÉE DE SON RÊVE BIG BANG…. E TTOUT ARCHÉTYPE QUI A SOUDAINEMENT ACCÈS À LA POÉSIE DE SA NON-TRICHERIE SE FAIT LE CADEAU D’UNE HOLOGRAMMIE.. C’EST À DIRE D’UNE POROSITÉ DONT L’OUVERTURE À L’AUTRE EST PORTEUSE D’UNE HUMANITÉ OEUVRE D’ART EN SOI, POUR SOI ET POUR L’AUTRE…. L’HOLOGRAMMIE SCULPTE LA SINGULARITÉ D’UN ARCHÉTYPE PAR LA BEAUTÉ DU MONDE AU COEUR MÊME D’UNE ERRANCE POÉTIQUE SIGNÉE ….

Ce matin, Marlene la jardinière, Michel le concierge et Pierrot vagabond se sont réunis onti-kha-tivement (archétypement et hologrammement_ pendant que nos 3 vies existentielles ontiques prenaient vacance hors du cercle magique de notre vie commune de chercheurs.

Prendre vacance de soi-même…. moi je le fais la nuit… Vers 3 heures du matin, Pierre Rochette vit des rêves, des angoisses, des problématiques de désirs, des frustrations…. Je crée une boîte où je dépose ma personne pour hologrammer un espace de contre-passion (Descartes dans le traité des passions) où la générosité envers moi-même se fait hologramme, donc poreuse pour serrer la main à la générosité à travers les hologrammes de Marlene et de Michel…

Et nous voguons heureux au travers d’un rêve de doctorat en commun… l’impossible poétique sous forme de nano-citoyenneté-planétaire…

Je ne crois pas que si chacun ne prenait pas vacance de lui-même ou d’elle même nous pourrions habiter notre multivers paisible des 3 wows et des trois postures de peintre…

Le monde des affects n’est intéressant que lorsqu’il est au service des QWALIAS …..Et les QWALIAS NE SONT INTÉRESSANTS QUE LORSQU’IL SONT PORTÉS PAR LE MURMURE POÉTIQUE D’UN CONTE POUR UN FEU DE JOIE …. reprenant sans cesse et sans cesse le doux chemin des débris de la mémoire du cœur….

L’humanité oeuvre d’art passe peut-être (enfin il me semble) par le voile d’ignorance de John Rawls sous sa forme hologrammique des archétypes multiversaux… le tout fondement même de la nano-citoyenneté-planétaire

à suivre…

Pierrot vagabond

TÉMOIGNER DE LA POÉSIE D’UN ÉVÉNEMENT FUT LE FONDEMENT MÊME DE MA CARRIÈRE D’ARTISTE DE SCÈNE …..ET COMME JE CHERCHAIS LE SECRET D’UN ONÉRISME ENCHANTEUR ARCHÉTYPANT CET ÉVÉNEMENT BIG BANG DONT LES BROSSES D’ÊTRE OU LES ATTAQUES D’ÊTRE DANSAIENT EN MOI SOUS LA MUSIQUE DU CANTIQUE DES CANTIQUES …. JE FUS CONVOQUÉ PAR LA PENSÉE ABSTRAITE PURE SUR LES NUAGES DE LAQUELLE LES BOTTES POUR ALLER PLUS LOIN DANS LA VIE DE MON GRAND-PÈRE LUCIEN, LES LARMES DE JOIE DE MA GRAND-MÈRE lUMINA, LES PIANOTHONS DE MON ONCLE PAULO ET LA TROMPETTE AU SERVICE DU PLUS PETIT DE MON PÈRE ROGER ME TRANSGRAMMAIENT DE LA RIVIÈRE ST-MAURICE AU PETIT LAC ST-LOUIS DE LATUQUE…. DE L’EXPOSITION UNIVERSELLE D’OSAKA AU JAPON EN 1970 AUX ILES DE LA MADELEINE DANS LA BOÎTE À CHANSON CHEZ GASPARD…. LA PENSÉE ABSTRAITE PURE DEVINT MON TAPIS VOLANT PROPULSÉ PAR LE RÊVE BIG BANG DONT JE CHERCHAIT LES TRANSMAGES…. ET C’EST AUX ILES DE LA MADELEINE PAR UNE CHANSON DE GUY BÉART (LE BAL CHEZ TEMPOREL) QUE JE DEVINS PHILOSOPHE …. LES QUATRE PILIERS DU VAGABOND CÉLESTE Y PUISANT SES RACINES…. LA MÉTAPHYSIQUE, L’ONTOLOGIE, L’ÉPISTÉMOLOGIE ET LA MÉTHODOLOGIE DEVENANT À LA FIN DE MA VIE…. UN MERCI À LA BEAUTÉ DU MONDE SOUS UN GRAND-PÈRE OEUVRE D’ART PORTANT DANS SON SAC DE CONTEUX LES PLUS BEAUX DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU COEUR DE LA CONDITION HUMAINE EN QUÊTE D’UNE HUMANITÉ OEUVRE D’ART PAR LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE…

À presque 71 ans, je suis soudainement devenu un fragment heureux des débris de la mémoire du cœur …. Me voici ce matin au 24 heures informatique de l’UQAM, salle sm 920… seul dans le fond, en état avancé de béatitude….

Pourquoi est-ce que je sens le besoin de l’écrire? Pour me rappeler de dire merci à la vie de ce cadeau de l’ineffable en mes rêves big bang que la synchroni-vie-té continue de m’abreuver comme si les milliards de constellations chantant chacun des débris de la mémoire du cœur dansaient l’impossible…

Ma carrière vagabonde de philosophe s’est construite à partir d’une seule chanson: LE BAL CHEZ TEMPOREL de Guy Béart…. Je chantais au St-Vincent je crois… c’était avant l’ouverture des Pierrot… on vient me voir pour aller chanter aux Iles de la Madeleine dans une nouvelle boîte à chansons … «chez Gaspard» …. j’y serais le deuxième chansonnier à y mettre les pieds… le ier étant René Robitaille…

A cette époque, dans les tempêtes d’hiver du mois de janvier, prendre un petit  avion pour les îles était périlleux… et même pour revenir…. l’avion ne pouvait décoller les jours de brouillard ….

J’arrive à la boîte à chansons… on me fait coucher seul la nuit dans une chambre du grand couvent… la t.v. dans le bar n’est habitée que par Radio-Canada… et à la place des commerciaux, il y a de la neige sur les écrans…

Le ier soir… on me demande du Guy Béart… je n’en connais aucune… Et j’apprends que René Robitaille prenait plus un coup avec les clients qu’il chantait et qu’entre ses prestations il faisait jouer à répétition la cassette de Béart… dont la vérité, l’eau vive et bien sur LE BAL CHEZ TEMPOREL ….

J’apprends donc la cassette et chante LA VÉRITÉ à répétition… mais le soir à la fin je chante le bal chez Temporel… et là… la poésie de l’événement carte postale de la beauté du monde en moi se cristallise dans la condition humaine poétisée que ma guitare stradivariusse …. je chante… heureux… poète… en me jurant de chercher un jour par la pensée abstraite la plus pure… le pourquoi je suis si heureux par cette chanson…

IL ARRIVE QU’UNE SEULE CHANSON PORTE EN ELLE FRACTALEMENT TOUS LES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU COEUR DE LA CONDITION HUMAINE EN FÊTE OEUVRE D’ART

—————–

Bal chez Temporel
Si tu reviens jamais danser chez Temporel, un jour ou l’autre
Pense à ceux qui tous ont laissé leurs noms gravés auprès du nôtre
D’une rencontre au bord de l’eau, ne restent que quatre initiales
Et deux cœurs taillés au couteau dans le bois des tables bancales
Si tu reviens jamais danser chez Temporel, un jour ou l’autre
Pense à ceux qui tous ont laissé leurs noms gravés auprès du nôtre
Sur le vieux comptoir tu pourras, si le cœur t’en dit boire un verre
En l’honneur de nos vingt carats, qui depuis se sont fait la paire
Si tu reviens jamais danser chez Temporel, un jour ou l’autre
Pense aux doigts qui tous ont laissé quelques “je t’aime”
Auprès du nôtre
Dans ce petit bal mal famé, c’en est assez pour que renaisse
Ce qu’alors nous avons aimé et pour que tu le reconnaisses
Si tu reviens jamais danser chez Temporel, un jour ou l’autre
Pense aux bonheurs qui sont passés là simplement comme le nôtre.
—————-
commentaire
Comment ais-je fait pour rater autant d’histoires d’amour dans ma vie et de les avoir chanté si bien….
Pierrot vagabond

WOW-T=2.7K? … CONTE POUR UN FEU DE JOIE ÉCRIT DE L’ESPACE

CONTE POUR UN FEU DE JOIE ÉCRIT DE L’ESPACE …………

WOW-T=2.7K?

Le «?» du wow passe par des enjeux conceptuels initiés par le devenir évolutionniste et un relativisme probabiliste à visée pragmatiste et en ce sens IL PASSE PAR UN CONTE ÉCRIT DE L’ESPACE … comme un MIRACLE DE L’ESTHÉTISME COSMOLOGIQUE … construisant radicalement un poids ontologique probaliste fort …

Quand je réfléchis sur l’aventure du vagabond céleste depuis 5 ans au niveau francophonie par la poésie inouie du conteur international Simon Gauthier, je me rends bien conte que, contrairement aux discours mythologique, religieux ou scientifique, la CONSTELLATION SCALAIRE DE LA FORME CONTE correspond exactement au niveau SYMBOLIQUE PERCIEN d’une FORME BIG-BANG D’UN UN RÊVE-RÉCIT…. le wow devenant ontologique par défaut sous la puissance wowwwwwwwwwww du point d’interrogation pré-bang. … De là une RÉINVENTION DE L’HUMANISME VU DE L’ESPACE face aux périls de l’anthropocène, le tout passant par un conte sous forme de formule presque de science-fiction:WOW-T=2.7K? …

La nano-modernité se rhyzomatisera à une vitesse vertigineuse que parce que de milliards de téléphones intelligents TRANS-HUMANISÉE par l’intelligence artificielle témoigneront par une simple application d’un CONTE PLANÉTAIRE construit par un ESTHÉTISME ABDUCTIF D’UNE PRIMÉITÉ ENCHANTERESQUE:LE CONTE SOUS SA FORME DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE RÉUNIRA 2 ASSEMBLÉES DE JUSTES (125 femmes et 125 hommes) qui par tirage au sort, deviendront la nouvelle conscience d’une priméité d’un RÊVE TRIADIQUE ….

La science, même probabiliste quantique cosmologique, frappe le même mur que la théologie (religion) ou l’ontologie traditionnelle désengluée peu à peu de la mythologie… celui de l’esthétisme dont seul LE CONTE D’UN RÉCIT-RÊVE-BIG-BANG de chaque vie ŒUVRE D’ART peut espérer intuitionner cet avant-big-bang cosmologique dont on ne sait trop s’il y eut une infinité de rêves propédeutiques ou une infinité de rêveurs qu’on a par défaut d’imagination appeler Dieu …

Simon Gauthier avec le vagabond céleste et Fred Pellerin avec la chanson du camionneur deviennent au 21eme siècle les PREMIERS CONTEURS-NANO-COSMOLOGIQUES, faisant voyager les quatre questions de la vie œuvre d’art, à partir d’un vagabond dont la guitare, le bâton et le sac à dos portèrent au cœur de L’IMAGINAIRE HUMANISTE une espérance d’errance poétique pour tout errant ou errante fantomatique ou axiologique de la post-modernité en manque de sens percien.

Pierrot vagabond

ENFIN LE DOCTORAT DE L’ÉQUIPE DE RECHERCHE «AULD, WOODARD, ROCHETTE» DONT LE TITRE EST «JE TE DEMANDE PARDON…. MÉTHODOLOGIE DES DÉBRIS MULTIVERSELS DE LA MÉMOIRE DU COEUR» …. PEUT SE SCUPTER PAR LA SINGULARITÉ D’UNE MÉTAPHYSIQUE ( UNE MÉTAPHYSIQUE DES LARMES DE JOIE) …. UNE ONTOLOGIE ( UN FRÉMISSEMENT ONTOLOGIQUE PAR LES QWALIAS DU COEUR) ET UNE ÉPISTÉMOLOGIE ( LA VIE OEUVRE D’ART ONTI-KHA-TIVE COMME FONDEMENT DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE OEUVRE D’ART)

AAA« JE TE DEMANDE PARDON»AAA

UNE MÉTHODOLOGIE DES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU CŒUR… (2217)

1 : ENJEU DU DOCTORAT (300 MOTS OU MOINS)
JE TE DEMANDE PARDON…, à toi qui, comme des centaines de millions d’enfants-errants-fantomatiques, se meurt, jour après jour, de faim ou de blessures de guerre, et cela, au nom des 193 états hobbiens onusiens qui, sous la féodalité de monarchies nucléaires, font passer la course aux armements, les guerres et les paradis fiscaux avant TON DROIT MULTIVERSEL à une vie personnelle œuvre d’art par un rêve big-bang.

JE TE DEMANDE PARDON… au nom de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) qui, depuis plus de 12 ans maintenant, cherche à répondre à la question suivante : AU 21EME SIÈCLE, QUELLE INSTITUTION FAUT-IL INVENTER POUR QUE SUR TERRE, PLUS AUCUN ENFANT NE MEURE DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE ?

JE TE DEMANDE PARDON… au nom de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) qui S’ACHARNE à déployer concrètement L’INVENTION DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE, dans le but de contribuer à la déshobbiation de l’O.N.U. Par la mise en algorithme de milliards de téléphones intelligents « wow-t=2.7k? » , si possible avec la complicité de l’institut de l’intelligence artificielle du Québec) , nous validerons politiquement la création d’une cour suprême nano-citoyenne-planétaire composée de deux assemblées des justes (125 femmes et 125 hommes) élues ville par ville et village par village, et cela par tirage au sort, dans le but de représenter incontournablement et éthiquement toi et les centaines de millions d’enfants-errants-fantomatiques qui souffrent de la même criminalité étatique banalisée que toi.

Dans ce doctorat, PAR UNE MÉTHODOLOGIE DES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU CŒUR (ier chapirre), le premier à te demander pardon sera moi, Pierrot vagabond (2eme chapitre le rêve big bang), puis mon ami et partenaire de recherche Michel le concierge (3eme chapitre la non-tricherie), pour enfin laisser la parole à sa compagne œuvre d’art, Marlene la jardinière (4eme chapitre, ses jardins coups-de-coeur œuvre d’art).

Pourquoi nos trois archétypes hologrammiques veulent-ils tour à tour te demander pardon? Parce que notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) veut parler au cœur de l’humanité (5eme chapitre) et non à sa raison. Par le biais d’une CHANSON – MANIFESTE, nous affirmons que l’invention de la nano-citoyenneté-planétaire doit s’accompagner d’un « JE TE DEMANDE PARDON » , en corollaire de la décision de ne plus tricher par chaque vie-personnelle-œuvre-d’art consacrée à l’ultime question :
COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE? (4eme et dernier chapitre).

————–

JE TE DEMANDE PARDON

COUPLET 1

S’il m’arrive de parler au travers de mon chapeau
S’il m’arrive de prendre trop de place trop souvent
Si je m’approprie sans te voir l’espace de ta vie
Si je préoccupe ton âme en secret dans la nuit… Je te demande pardon…
Je te demande pardon…

COUPLET 2

Si je vagabonde céleste tout autour de la planète
Si je suis parti sans avis au détour de nos vies
Si je t’ai volé ton rêve, déserté, laissé meurtri,
Si j’en ai trop fait, trop dit, ou pas assez dans ta vie
Je te demande pardon…
Je te demande pardon…

COUPLET 3

Si je n’ai pas compris la beauté du monde d’ici
Si je n’ai pas admis qu’il y a la vie après la vie
Si je suis révolté parce que je suis enchaîné
Si je ne peux te rassurer quand je suis déchaîné
Je te demande pardon…
Je te demande pardon…

COUPLET 4

Et si je le savais tout ce temps que je te volais…
Et si je le savais tout ce temps que toi tu m’aimais…
Je n’ai pas d’âme pas de cœur aujourd’hui je le dis…
Je veux changer de vie et d’amour te dire merci
Je te demande pardon…
Je te demande pardon….

Chanson-manifeste de la nano-citoyenneté-planétaire
Michel le concierge

LE RAPPORT DE LA PERSONNE HUMAINE OEUVRE D’ART OEUVRE D’ART PAR SON RÊVE BIG BANG AUX MULTIVERS OEUVRE D’ART PAR L’INFINITÉ DE SES RÊVES BIG BANG … POURRAIT SE CARTOGRAPHIER TRANSMAGIQUEMENT PAR CES VERS DU POÈTE YEATS … SYMBOLISANT AINSI LE CANTIQUE DES CANTIQUES SOUS LA FORME DE DEUX ONÉRISMES POÉTIQUES FAITS D’ERRANCE AMOUREUSE DE LA BEAUTÉ DU MONDE MULTIVERSELLE….

Vers du poète Yeats

(D’UNE PERSONNE HUMAINE À UNE PERSONNA MULTIVERSELLE)

je jetterais sous tes pieds
tous ces vêtements
mais je suis pauvre
et je n’ai que mes rêves.
J’ai voulu que mes rêves
soient jetés sous tes pieds
fais-toi légère
car tu foules mes rêves.

Pierrot vagabond

MÉTHODOLOGIE DES DÉBRIS MULTIVERSELS DE LA MÉMOIRE DU COEUR ….. CHACUNE DES 7 MILLIARDS DE NANO-PERSONNE-HUMAINE-PLANÉTAIRE PORTANT SON REGARD SUR LA CARTOGRAPHIE DES ÉTOILES VOIT EN SON ÉNIGME TOPOGRAPHIQUE LE MÊME HYPNOTISME CONSTELLAIRE QUE LORSQU’ELLE EST ASSISE DEVANT UN FEU DE CAMP…. MÉTHODOLOGIQUEMENT…. LES ÉTOILES FILANTES TOUT COMME LES BRINDILLES FUYANT LE FEU SONT DES TRANSMAGES DEVENANT TRANSGRAMMES PROVOQUANT LA MÉMOIRE DU COEUR DE SES DÉBRIS LES PLUS HUMILITÉ DE LA BEAUTÉ DU MONDE…. C’EST PEUT-ÊTRE CELA VIVRE…. PORTER PAR LE VOIR DU COEUR L’HUMILITÉ MULTIVERSELLE AU PLUS DOUX D’UN CONTE POUR UN FEU DE JOIE …. AINSI SE VIVRA UN JOUR LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE SUR TERRE…. UN CONTE POUR UN FEU DE JOIE OÙ CES MILLIONS D’ENFANTS MORTS DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE AURONT DROIT À UNE ERRANCE POÉTIQUE DANS LES YEUX DE TOUT ENFANT NAISSANT SUR LE VAISSEAU-TERRE.

Il y a des matins où mes pieds veulent fuir mon corps…. reprendre la route de mes impossibles intérieurs…. rencontrer le multivers sur la route de nulle part et marcher ensemble l’énigme qui nous sépare parfois quand mes nuits deviennent trop tristes de morts décevantes….. Toute vie personnelle œuvre d’art sur terre se blessure des combats perdus d’enfants innocents….

Quand mes débris multiversels de la mémoire du cœur viennent me visiter entre deux sommeils, je me sens territoire sacré d’un dire muet… L’égo en moi prend des vacances sur la route des errances axiologiques…. baissant les yeux devant les scandales des errants fantomatiques en mal de visibilité… puis enfin…. hors des tracés des affects insistants, un vent… doux…. somptueux… celui des yeux de mon père quand il jouait de la trompette … fermés pour bénir le ciel de se faire musique pour les autres….

Puis… une scène ou deux où ma guitare devint stradivarius de la beauté du monde… un soir de chance… parfois un soir de tempête de neige…

Je me rappelle, aux Pierrots… la deuxième année peut-être… Robert Ruel avait fait construire un feu de foyer… Dans ce temps-là, la boîte à chansons des Pierrots était ouverte 7 jours par semaine… les samedi et dimanche à partir de 1 h p.m. à trois heures du matin… Il arrivait souvent que l’on chante des doubles…

Alors certains lundi de l’hiver… même parmi les pires tempêtes, on ouvrait… même si il n’y avait que 2 clients…. on ouvrait…

Alors… je descendais de la scène avec ma guitare…. une chaise devant le feu de foyer… 3 clientes autour… et je fredonnais en douceur les plus beaux textes de la chanson française… en arrêtant n’importe où pour raconter la poésie qui m’habitait… la beauté des mots qui m’enchantaient…. Brassens, Felix Leclerc, Guy Béart, Ferland, mes chansons.. et les autres…. doucement… si doucement…. des heures et des heures de pur enchantement de la neige hurlant dans la fenêtre pour entrer chanter avec nous….

J’ai vécu l’hypnotisme du feu… des brindilles… en chantant… sans doute comme l’homme des cavernes…. puis la nuit…. je levais les yeux vers les étoiles… le froid sur mes doigts tenant mon case de guitare… je remontais la poésie de mes pas… craquelant de joie sourde sur la neige folle….

Si je reprends la route des débris de la mémoire du cœur de l’enfance à aujourd’hui… une transmage vient me chercher…. je me revoir en bas de la butte aux Pierrots à Val David… au parc des amoureux dont le nom avait été voté par un conseil municipal dont j’étais aussi membre comme conseiller municipal à l’urbanisme…. et je sautais de roche en roche pour aller rejoindre un creu dans l’eau vive… je m’y assoyais… pour voir la lumière du midi à l’horizon de ma vue scintiller sur l’eau avec une blancheur que je n’avais jamais vu ailleurs… je fermais les yeux et me revoyais la nuit en train de construire le chemin qui menait à ma tombe sous la scène de la butte aux pierrots… pierre par pierre, brouette par brouette….
pour… avant de me coucher… en pyjama… allumer la lumière de la scène de la butte et la laver avec une moppe pour le spectacle du lendemain soir….

LES DÉBRIS MULTIVERSELS DE LA MÉMOIRE DU COEUR surgissent en image éparsens dans le champ constellaire de la mémoire du cœur onti-kha-tif pour ensuite se transgrammer en chemin big bang d’un onérisme kantiquatif fredonnant la beauté du monde par la vie personnelle œuvre d’art….

Ainsi se tisse une vie d’artiste consacrée à une invention: LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE.

Pierrot vagabond

PAR NOTRE RESPECT AU QUOTIDIEN DE CHACUN DE NOS ARCHÉTYPES HOLOGRAMMIQUES (MARLENE LA JARDINIÈRE, MICHEL LE CONCIERGE, PIERROT VAGABOND), NON SEULEMENT NOTRE ÉQUIPE DE RECHERCHE A INVENTÉ DES RÈGLES DE JEU (ARCHÉTYPES HOLOGRAMMIQUES, TROIS WOW, POSTURES DE PEINTRE) QUI POURRAIENT DEVENIR DES LOIS DE LA JUSTICE ÉPISTÉMIQUE EN MODE DE RECHERCHE MULTI-CONTEXTUELLE, MAIS BIEN PLUS…. NOUS AVONS, MATIN APRÈS MATIN, À CHAQUE CONSEIL D’ADMINISTRATION DE LA CRÉATIVITÉ, LA SENSATION ÉPROUVÉE D’ÊTRE DEVENUS LES UNS PAR LES AUTRES DES JZZ MAN (WOMAN) DE LA PENSÉE ABSTRAITE…. L’ASCÉTISME, L’HUMILITÉ AU SERVICE D’UNE INVENTION POUR SOULAGER LA CONDITION HUMAINE… LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE…. INSPIRER PAR LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART UNE HUMANITÉ OEUVRE D’ART EN DEVENIR….

Ce matin, Michel me demandait: Pierrot… Comment fais-tu pour être au beau fixe tous les matins? ….. je suis devenu rire oeuvre fd’art et j’ai dit à mon partenaire des jours heureux du St-Vincent , il y a près de 50 ans maintenant… Veux-tu la vraie réponse ou la fausse?

Et Michel d’ajouter un de ses aphorismes si émouvant dont il a le secret:

UN HOMME AU BOUT DE SES GUERRES, À QUOI PENSE-T-IL?

Michel lit en moi… trop peut-être… mais on se connait tellement… on a partagé la même scène dans le Vieux Montréal avec nos guitares durant plus de 8 ans… Déjà, je souffrais en silence le fait de ne pas être à ma place sur scène…. et lui… il rayonnait chaque soir d’être à sa place….. les yeux bienveillants de merci au public qui l’accueillait…

Moi je marchais les ruelles du Vieux Montréal entre les sets… tourmenté de littérature inachevable…. comme dans mes nuits encore aujourd’hui….

Je n’ai pas changé ami… mes nuits sont des champs de bataille, des cimetières qui me hantent … ces millions d’enfants qui se meurent de faim et de blessures de guerre qui disparaissent un à un dans l’insondable d’une poésie blessée….

Cette nuit ….j’avais à côté de la planche de bois sur roulettes qui me sert de petit lit la lampe de poche que m’a donné Michel, mon cahier et mon crayon… en tentant de ne pas me réveiller… j’ai écrit

TROP DE BATAILLES ONT ÉTÉ PERDUES…..

Quand Michel cogne à ma porte le matin.. c’est comme si une trève de Noel mettait temporairement fin à mes cauchemars de guerre…. Puis mon ami me soigne par un de ses aphorismes que je note dans un cahier pour les accumuler… car un jour je sais que son CARNET DU CONCIERGE» obtiendra un très gros succès d’édition.

Ce matin j’ai noté celui-ci:

«Moi je vois un troupeau de vaches en face de moi …. Je tiens une balle de foin dans mes mains….. et je vois toujours les trois mêmes vaches qui n’auront pas de foin à manger … et la bataille pour y arriver …. c’est pas parce que les vaches sont méchantes… c’est parce qu’il n’y a pas assez de foin pour toutes… et de terminer son aphorisme par ces wrapping dont il a le secret…

« QUI SUIS-JE POUR REMETTRE EN QUESTION LE COEUR D’UN HOMME?»

Et Marlene de se lever à son tour… le café est prêt…. nous nous donnons des forces en équipe pour faire de notre journée un ÉVÈNEMENT DE JOIE DE VIVRE AU SERVICE DES AUTRES…

Au 24 heures de l’UQAM…. je suis de plus en plus convoqué à inspirer des jeunes camarades de recherche par le simple fait que je sois devenu un vieux chercheur dont les silences en disent plus que les paroles… J’écoute, j’encourage ….. Je ne dis jamais non…. ma manière à moi de dire merci à la vie d’honorer de si grands compagnons et compagnes de recherche depuis plus de 13 ans maintenant…

Pierrot vagabond

JE FUS MARIÉ À LA POÉSIE… J’AVAIS LES ÉTOILES COMME MAITRESSES… ET LES FEMMES QUI ONT CROISÉ MES BOTTES AUX MILLES ENCHANTEMENTS FURENT DES MIRAGES SOUS LE VENT DE MES LONGUES ONDULATIONS INCANTATOIRES…. COMME J’AI CHANTÉ MES CAHIERS AU CAFÉ ST-VINCENT… UN MILLER DE CHANSONS… JE N’EN CONNAISSAIS AUCUNE PAR COEUR… J’AIMAIS PASSER MES NUITS AU DACTYLO… À RECOPIER SANS CESSE MES CAHIERS… POUR EN TRANSBUVER LA BEAUTÉ DES MOTS…. J’AURAIS PU ME PASSER D’UN PUBLIC… JE N’AURAIS PU ME PASSER DE LA SCÈNE… SEUL ENDROIT PARFAITEMENT PROTÉGER CONTRE LA LAIDEUR DE LA FACTICITÉ HUMAINE… HORS TEMPS, HORS RÉALITÉ, HORS SERVITUDE, JE CHANTAIS COMME CHANTE LA BEAUTÉ DU MONDE EN MOI…. TOUS LES MATINS DU MONDE QUAND J,ARRIVE À L,UNIVERSITÉ LES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU COEUR RELIÉS A LA SCÈNE CHANTENT ENCORE MAJESTUEUSEMENT EN MOI… NOUS FÛMES DES ROIS HEUREUX….

LA FEMME AU CHAR DANS L’NOIR
28 mars 2009 – 20 h 23 min
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COUPLET 1

on s’est r’trouvés tout seuls
un soir dans forêt
à dormir dans ton char
dans l’noir en secret
toute habillée désespérée
le coeur en mille morceaux brisés
t’as eu besoin d’mes bras
rien qu’de mes bras

COUPLET 2

tu m’avais ramassé sa route
malgré tes doutes
tu m’as dit qu’c’est en voyant ma guitare
qu’t’as eu confiance en mon regard
comme tu pleurais tous tes secrets
le coeur brisé par un décès
t’as eu besoin d’mon âme
rien qu’de mon âme

COUPLET 3

y avait tellement pas d’place
dans l’char entre les deux bords
que t’as dormi la tête contre mon ventre
mains agrippées autour d’ma jambe
tu respirais comme UNE enfant
qui crie papa j’ai mal en dedans
t’as eu besoin d’mes ailes
rien qu’de mes ailes

COUPLET 4

mes doigts dans tes cheveux disaient
oh sois bénie amie
j’ai pas eu d’femme entre mes deux bras
depuis deux ans et demie, amie
pour toutes celles que j’ai mal aimées
que j’ai souvent abandonnées
j’ai eu besoin d’tes larmes
rien qu’de la beauté d’tes larmes

COUPLET 5

ca s’est passé le 8 juillet 2008 pas loin d’la mer
à Natasquan entre les tentes
dans un camping inou completement désert
que ma chanson chante le mystere
d’un homme et d’une femme sur cette terre
qu’y ont eu besoin d’leurs peines
rien qu’de leurs peines
en dessous dl’leur chair humaine

Pierrot
vagabond céleste

L’INVENTION PAR L’ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) DE NOS ARCHÉTYPES HOLOGRAMMIQUES (MARLENE LA JARDINIÈRE, MICHEL LE CONCIERGE, PIERROT VAGABOND) CONSTITUENT LA MISE EN FORME D’UNE CARTOGRAPHIE D’ONÉRISMES EUMÉTRIQUES FAVORISANT LE PASSAGE DES CONCEPTS AUX ABCEPTS POUR ÉCHAPPER AU RÉDUCTIONNISME DU CARTÉSIANISME… LE TOUT SOULEVANT L’ÉMERGENCE D ELA QUESTION SUIVANTE: QUELLES SONT LES CONDITIONS ÉPISTÉMOLOGIQUES POUR PASSER PARADIGMATIQUEMENT D’UNE ONTOLOGIE SUJET-OBJET À UN RFÉMISSMEENT ONTOLOGIQUE ONDULANT PAR PURE CONTEMPLATION ACTIVE DES IMAGES AUX TRANSMAGES ET DES TRANSMAGES AUX TRANSGRAMMES, TEL UN CONTE POUR UN FEU DE JOIE OÙ CHAQUE BRINDILLE SE VIT COMME UN DÉBRIS MULTIVERSEL DE LA MÉMOIRE DU COEUR DANS UN CHAMP CONSTELLAIRE WOW-T=2.7K? ….

Le vagabond céleste fut un évènement fondateur de l’errance poétique dont la forme eumétrique s’invite sous la mise en feu de joie d’un archétype hologrammique.

Un feu…. demeure un symbole qui garde la puissance contemplative interrogative de l’homme des cavernes au transhumain numérique…. et toute vie personnelle oeuvre d’art qui marche son rêve big bang dans le fragment éclatif de la beauté du monde fractalisée se vit comme UN CONTE POUR UN FEU DE JOIE.

Encore aujourd’hui, quand je repense à mon vagabondage à travers le Canada, je ne peux que m’émerveiller du fait que je fus protégé de l’angoisse, de la peur de mourir, de ne pas manger, d’être abandonné….

Je vivais un dénuement extrême mais j’étais milliardaire de poésie… Aujourd’huii j’ai les mots…. j’étais un archétype hologrammique habitant une poésie onti-kha-tive par la douceur extatique des débris de la mémoire du cœur qui m’étaient contés, racontés, vécus sous mes yeux, dans des instants événementiels à couper le souffle.

J’étais poésie, j’étais chanson… poésie de la condition humaine en marche vers la beauté du monde, chanson de la souffrance chantant la solidarité des plus petits … conte pour un feu de joie….

Je me rappelle ce mexicain qui ne parlait ni français et à peine anglais… à Caraquet… il me disait: I’m INVISIBLE… i’M INVISIBLE…. il souffrait de n’être rien pour personne….

Les étoiles tentaient de lui parler… elles le voyaient… il ne pouvait les voir… Je ne pus rien faire pour lui… j’étais démuni…. Ma pauvreté plus grande que la sienne me couvrait d’or, d’encens et de beauté du monde….

J’étais vagabond céleste… j’étais hologramme… lui cherchait son hologrammie… mais elle ne passe que par un rêve,… un onerisme big bang…. du moins dans le sens de Merleau-Ponty, cette conviction correspond à une FOI PERCEPTIVE… à un voir du cœur…

LE VOIR DU COEUR… c’est ce que je lui offris à chaque fois que nous nous croisâmes dans le village… un voir du cœur par une poignée de main…..

Pierrot vagabond