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«C’EST LE MÊME ESPRIT DE DÉCOUVERTE QUI ANIMAIT LES GRECS IL Y A 2500 ANS. LA RAISON, LA SCIENCE, L’EXPLORATION. c’EST ENCORE CE QU’ON A TROUVÉ DE MIEUX POUR COMPRENDRE LE MONDE QUI NOUS ENTOURE» …. ILS ONT MARCHÉ SUR LA LUNE… PHILIPPE HENAREJOS

«Ils ont marché sur la Lune»: une brève histoire d’heure en heure de la conquête de la Lune

l’un des clichés les plus célèbres du XXe siècle.

Stéphane Baillargeon

22 décembre 2018
Critique
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24 décembre 1968. Noël, quoi, il y a tout juste 50 ans. Après un voyage de trois jours, le vaisseau Apollo 8 franchit les 370 000 kilomètres qui séparent la Terre de son satellite naturel. Les astronautes Frank Borman, James Lovell et William « Bill » Anders deviennent les premiers êtres humains à observer de si près l’astre de la nuit.

Leur capsule, de la taille d’une voiture, se trouve à une centaine de kilomètres de la surface et ils peuvent la décrire précisément. « La Lune est essentiellement grise, explique James Lovell au profit du centre de contrôle de Houston et des Terriens qui l’écoutent. Pas de couleur. Elle ressemble à du plâtre de Paris ou à une sorte de sable grisâtre. »

Son compagnon Bill Anders va en rajouter plus tard en entrevue. « La Lune était plutôt ennuyeuse, dira-t-il. C’était juste des trous d’impacts de météorites. Cela ressemblait à un champ de bataille, comme à Verdun. Le film 2001 : l’odyssée de l’espace, de Stanley Kubrick, avait montré la Lune très accidentée et anguleuse, mais ce n’était pas ça du tout. »

La perspective de désolation change du tout au tout au quatrième passage en orbite alors que le vaisseau progresse le nez vers la surface. Tout d’un coup, l’astronaute Anders est le premier à apercevoir un lever de la Terre sur un horizon lunaire. Il s’exclame (« Wouah ! Qu’est-ce que c’est beau ! ») et en profite pour prendre deux photos avec un Hasselblad 500 EL. Le cliché en couleur, non programmé, va devenir l’une des images les plus célèbres du XXe siècle.

Ces détails se retrouvent dans le court chapitre sur Apollo 8 qui ouvre le livre Ils ont marché sur la Lune, du Français Philippe Henarejos, consacré aux missions 11, 12, 14, 15, 16 et 17, lesquelles ont permis à une douzaine d’astronautes, tous des hommes et que des Américains, d’alunir et de sautiller dans ce paysage plutôt morne et franchement gris.

« Je voulais intituler ce chapitre prologue, explique l’auteur du très instructif ouvrage. Apollo 8, c’est le moment où les États-Unis reprennent l’avantage sur l’URSS dans la course à la Lune. C’est aussi le premier acte d’exploration. Pour la première fois, des êtres humains font ce long voyage et voient de leurs yeux la face cachée et la surface de la Lune. Ils le racontent et ils reviennent sur la Terre. C’est le premier acte, dans l’esprit de l’exploration. Un peu comme quand les explorateurs découvraient une nouvelle terre et l’observaient à la longue-vue avant de décider où accoster. »

Une passion

Philippe Henarejos est rédacteur en chef du magazine français Ciel et espace. On lui doit une douzaine d’ouvrages d’astronomie. Pour dire si le sujet de la conquête de la Lune lui est venu naturellement.

« Je suis tombé dans les missions Apollo quand j’étais petit », explique le journaliste joint en France. Il s’exprime dans ce bel accent du Sud qu’on entend trop peu dans les médias français. « J’étais fou des explorations lunaires. Je me suis beaucoup documenté pendant des années et je croyais bien connaître cette histoire. Je la connaissais en effet très bien par rapport au grand public, mais quand j’ai commencé à rentrer dans les détails, pour ce nouveau livre, j’ai bien vu qu’il m’en manquait des bouts. »

M. Henarejos a plongé dans la documentation de la NASA (le site Apollo Lunar Surface Journal documente très bien le sujet), lu tous les livres et réalisé des entrevues avec certains astronautes, dont Bill Anders. Sa synthèse raconte pour la première fois en français le cycle complet de l’exploration lunaire, pour ainsi dire d’heure en heure, avec moult détails. Le résultat passionnant se lit un peu comme les récits d’explorateurs des siècles passés, avec en prime une riche iconographie constituée à partir des milliers d’images rapportées par nos Christophe Colomb et capitaine Cook de l’ultime frontière.

« Je me suis attaché à revivre l’aventure pas à pas. Il n’y a rien d’inédit ou d’exclusif, mais il y a une mise en ordre dans un fouillis et un amoncellement d’informations extrêmement techniques que seuls les spécialistes ou les geeks consultent. Mon travail a consisté à extraire d’une masse documentaire ce qui peut intéresser le public. »

Des poubelles

Des essais, des films et des séries sur cette fabuleuse conquête, il en arrive (Le premier homme, de Damien Chazelle, sorti en octobre) et il en viendra encore tout plein à l’approche du 50e anniversaire de l’alunissage d’Apollo 11 et de la célèbre phrase sur un petit pas pour un homme qui fut aussi un saut de géant pour l’humanité.

Le livre de M. Henarejos embrasse cette large perspective. Le programme Apollo a bien sûr servi, en pleine guerre froide, à remporter la course à la Lune contre les Soviétiques. Les quelques centaines de kilogrammes de cailloux rapportés ici ont permis de blinder une théorie sur l’origine et l’âge de la Lune, effectivement arrachée à la Terre après une collision astronomique il y a 4,5 milliards d’années.

« Pour moi, c’est la découverte qui tient tout l’édifice scientifique, dit le journaliste scientifique. Les échantillons rapportés ont confirmé la datation d’un corps céleste et une meilleure compréhension de notre système solaire. Sur la Terre, nous n’avons pas de roches aussi vieilles, en tout cas nous n’en avions pas à l’époque. En plus, il n’y a qu’environ 20 % des échantillons d’utilisés. Le restant est préservé pour des découvertes futures à l’aide de nouvelles techniques. »

Je crois que cette recherche est chère, mais qu’elle n’entre pas en concurrence avec d’autres problèmes sur la Terre. Je veux dire que si nous n’explorons pas la Lune ou le système solaire, l’argent économisé ne sera pas réinvesti ailleurs, par exemple dans la préservation du climat.

— Philippe Henarejos

Mais le récit inédit propose aussi un tas d’informations plus ou moins anecdotiques. On apprend, par exemple, que pour s’orienter et ne pas se perdre dans les paysages monotones, les astronautes comparaient la taille du module d’excursion lunaire (LEM) à leur pouce, bras tendu. Si le vaisseau pouvait tout entier disparaître derrière le doigt, la distance était de 106 mètres.

On apprend aussi qu’en fait, après les pattes du LEM et avant la botte d’Armstrong, la première chose à se poser sur la Lune en 1969, ce fut un sac de déchets que les deux astronautes d’Apollo 11 ont balancé après avoir ouvert le sas. D’ailleurs, les déchets vont s’empiler au fil des missions et finir par nuire aux déplacements des explorateurs. On pourra y voir une métaphore bien de notre temps.

« Ça manque cruellement de poésie, effectivement, commente M. Henarejos en entrevue. Ils se débarrassent de ce qui gêne. Les astronautes vont jeter des poubelles partout et ces images ont un côté choquant aujourd’hui. »

Une terminaison

Le dernier voyage date de décembre 1972. Harrison Schmidt, né en 1935, est le seul survivant de la mission Apollo 17 et un des quatre hommes encore vivants qui ont visité la Lune. L’intérêt commémoratif actuel pour cette exploration ne doit pas faire oublier que les Terriens se sont vite désintéressés du programme et des images de scaphandriers sautillant dans un paysage morne pour y collecter des échantillons de roche. Un des encadrés du livre rappelle que les grandes chaînes généralistes se sont contentées de résumer les travaux lunaires avec des capsules de quelques minutes diffusées après 23 h.

« Il y avait une volonté ferme de devancer les Russes tout en réalisant un exploit technique et un rêve millénaire de l’humanité, dit l’auteur. Une fois ce travail accompli, tout le reste perd beaucoup d’intérêt. Il me semble quand même qu’il y a eu un défaut d’éducation à l’intérêt scientifique des missions. Tout ce qui est arrivé après Apollo 11, c’était de l’exploration scientifique. Au fond, l’exploit technique est fait avec Neil Armstrong. Après, on le refait et, même si la caméra est magnifique sur Apollo 17, au fond, pour le public, on refait du même. »

Le triomphe de l’astronautique américaine a coûté une fortune, autour de 150 de nos milliards canadiens actuels. Les dirigeants craignaient aussi l’accident fatal qui aurait retourné le public contre eux.

Le rédacteur en chef de Ciel et espace pense qu’il faudrait malgré tout songer à reprendre cette exploration. « Je crois que cette recherche est chère mais qu’elle n’entre pas en concurrence avec d’autres problèmes sur la Terre. Je veux dire que si nous n’explorons pas la Lune ou le système solaire, l’argent économisé ne sera pas réinvesti ailleurs, par exemple dans la préservation du climat. La connaissance, le savoir permettent souvent de ne pas refaire des bêtises. C’est le même esprit de découverte qui animait les Grecs il y a 2500 ans. La raison, la science, l’exploration, c’est encore ce qu’on a trouvé de mieux pour comprendre le monde qui nous entoure. »

Ils ont marché sur la Lune

Philippe Henarejos, Belin éditeur, Paris, 2018, 512 pages

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LA COSMONAUTIQUE INVENTÉE PAR L’ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) TROUVE SON FONDEMENT NANO-ONTOLOGIQUE-PLANÉTAIRE DANS UN WOW BIG BANG VÉCU IL Y A 50 ANS PAR UN DES TROIS ASTRONAUTES WILLIAMN ANDERS, ALORS QUE LA TERRE SE LEVAIT AVEC APOLLO 8

Il y a 50 ans, c’est la Terre qui se levait avec Apollo 8

La Terre photographiée par les astronautes d’Apollo 8 le 24 décembre 1968

Pour ceux et celles qui ont 60 ans et plus, vous souvenez-vous du 24 décembre 1968 ?

Trois astronautes américains, Frank Borman, âgé aujourd’hui de 90 ans, James Lovell, aussi âgé de 90 ans et William Anders, âgé aujourd’hui de 85 ans, avaient quitté la Terre le 21 décembre. Et 2,8 jours plus tard, le vaisseau Apollo 8 qui les emportaient se retrouvait en orbite autour de la Lune. Pour la première fois, des astronautes étaient dans l’espace, complètement détachés gravitationnellement du berceau terrestre. Tout problème de manoeuvre astronautique aurait pu les envoyer pour toujours en orbite autour du Soleil ou les faire s’écraser sur la Lune. La mission se déroula sans anicroche sérieuse du point de vue de la navigation. Durant 20 heures, les trois astronautes effectuèrent 10 orbites autour de notre petite compagne céleste. Les communications entre l’équipage d’Apollo 8 et Houston étaient brèves, mais combien significatives et émouvantes. Le 27 décembre, les astronautes étaient déjà de retour sur Terre. Ces six jours furent un moment clef de l’exploration spatiale.

Le philosophe matérialiste grec Anaximandre de Milet (né vers 610 et décédé vers 546 av. J.-C.) fut le premier à proposer que la Terre flottait librement dans l’espace sans soutien. Le soleil et les étoiles qui disparaissaient le soir ou réapparaissaient le matin au-delà de l’horizon étaient toujours les mêmes astres, affirmait Anaximandre. Il y avait de l’espace de l’autre côté ; c’étaient les mêmes astres qui y passaient et qu’on revoyait chaque jour. Vingt-six siècles plus tard, l’astronaute William Anders obtint de magnifiques photographies, prises de la position privilégiée en orbite autour de la Lune, de la Terre se levant au-dessus de l’horizon lunaire. À ce moment privilégié, un humain cadra toute l’image de la Terre dans le champ de son appareil photo et montrait de manière dramatique la Terre dans l’espace, ce qu’avait audacieusement imaginé Anaximandre. Les images prises par Anders cette veille de Noël 1968 sont devenues quasi-fétiches et ont marqué les esprits.

Vous serez peut-être étonnés du fait que les astronautes d’Apollo 8 ne purent observer la Terre qu’en arrivant proche de la Lune. Trois des fenêtres du module de commande étaient voilées par les huiles du dégazage de joints de silicone qui le scellaient, et l’orientation du vaisseau en route vers la Lune faisait que la vue de la Terre était bloquée. D’où l’émoi à l’arrivée au voisinage lunaire. Comme l’a dit plus tard William Anders : « Nous étions venus pour découvrir la Lune, nous avons trouvé la Terre ! »

Une bribe de conversation entre les trois astronautes est ce que les jeunes d’aujourd’hui qualifieraient de cool.

Anders :

« Oh, mon Dieu ! Regardez cette vue là-bas ! C’est la Terre qui se lève. Wow, que c’est beau. »

Borman : « Hé, ne prends pas cette photo, ce n’est pas au programme. (en blaguant) »

Anders : « Tu as un film couleur, Jim ? Passe-moi vite ce rouleau couleur, s’il te plaît… (en riant) »

Lovell : « Oh man, c’est superbe ! »

La mission Apollo 8 fut une des plus inusitées de l’exploration spatiale. Il existe des versions officielles quelque peu tronquées des événements qui précédèrent l’historique mission d’Apollo 8. La version que je préfère est celle rapportée par l’astronaute David Scott et le cosmonaute Alexis Leonov dans leur magnifique livre Two Sides of the Moon (Thomas Dunne Books, 2004).

Imprévu jusqu’à quelques mois avant son exécution, le vol circumlunaire fut improvisé à la dernière minute. Le plan initial de la mission Apollo 8 était de demeurer en orbite terrestre ; il s’agissait de vérifier tous les systèmes du module lunaire dans l’espace, ainsi que les manoeuvres de rendez-vous et d’arrimage à accomplir lors de la mission d’alunissage prévue pour l’année suivante. Or, le module lunaire n’était pas du tout prêt pour la mission de tests en orbite terrestre planifiée pour décembre 1968.

Entre-temps, les Soviétiques entretenaient une activité spatiale fébrile. Plusieurs vols circumlunaires non habités successifs furent effectués en mars, en septembre et en novembre 1968. Ces vols étaient effectués au moyen de vaisseaux Zond, basés sur un Soyouz modifié. Une de ces missions emporta à son bord deux tortues sibériennes qui firent le voyage aller-retour sans encombre. Ces missions répétées énervèrent l’administration de la NASA. On supposait que l’URSS allait encore une fois effectuer autre coup d’éclat : un vol circumlunaire habité avant les États-Unis, indiquant leur avance ou marquant l’égalité des deux programmes spatiaux.

On ignorait toutefois les grandes difficultés qu’avait rencontrées le programme spatial soviétique. Depuis le décès de Sergueï Korolev (1907-1966), le leader charismatique de l’astronautique en URSS, le programme spatial soviétique piétinait, affecté par une gestion défaillante et de sérieux problèmes de vibrations liés à l’immense fusée N1-L3, compétitrice de la Saturne 5 de la NASA. Les essais de N1 furent catastrophiques, les fusées successives explosant à différentes phases du lancement ou peu après le décollage. Mais tout cela, les Américains l’ignoraient. Voulant à tout prix battre les Soviétiques, George Low, responsable du programme Apollo, proposa un vol circumlunaire, idée risquée qui emballa les astronautes et l’administration de la NASA. Ce qui suivit fit l’histoire.

Célébrons avec émerveillement cette audacieuse mission effectuée il y a un demi-siècle dans un contexte politique tendu. Contemplons les images de la Terre et de la Lune ; tirons-en la lourde signification. Il n’y a pas que les astronautes qui sont dans l’espace, nous le sommes tous ! Nous étions 3,6 milliards d’humains sur cette petite boule blanc et bleu voguant dans l’espace le 1er janvier 1969. Nous sommes maintenant plus de 7,6 milliards. En 50 ans, nous avons plus que doublé en nombre. Le génie humain demeure des plus créatif, mais ni la surface de la Terre ni les ressources disponibles ne croissent. Que l’image de la Terre qui se lève au-dessus de l’horizon lunaire nous rappelle les valeurs de justice sociale sur lesquelles nos sociétés démocratiques se fondent.

LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART ISSUE D’UN RÊVE BIG BANG CONSTITUE UNE VÉRITABLE ODYSSÉE DE LA CONSCIENCE NANO-CITOYENNE-PLANÉTAIRE PRENANT CONSCIENCE ET DE SA PROPRE CONSCIENCE ET DE LA SYNCHRONIVITÉ DÉCOULANT DU QUASI RÉALISME D’UNE CONSCIENCE MULTIVERS D’UN RÊVE BIG BANG DONT LE 2.7K (BRUIT DE FOND COSMOLOGIQUE DU BIG BANG) HABITE L’OREILLE MÊME DE L’ONTOLOGIE DANSANTE ET NON RÉFLÉCHISSANTE

À SUIVRE…
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LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART PAR UN RÊVE BIG BANG…. UNE INNOVATION DE L’IMAGINATION DONT LE CHAMP CONSTELLAIRE HYBRIDE LE COMPOSSIBLE DE LA SCHOLASTIQUE MÉDIÉVALE ET LA COMPRÉHENSION DANS LE SENS D’OUVERTURE PROPRE AU DASEIN HEIDEGGERIENNE EN TANT QUE PROJET POUR hEIDEGGER, ENTANT QUE COMFUSION DE DEUX RÊVES BIG BANF (UNIVERS ET PERSONNE HUMAINE) POUR L’ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODAR, ROCHETTE)

GRAND DICTIONNAIRE DE LA PHILOSOPHIE
Larousse, Michel Blay
p.169

COMPRÉHENSION

chez Heidegger, ouverture propre au dasein

En tant qu’existential, la compréhension n’est pas une faculté cognitive ni un sujet: ce qui est su dans la compréhension n’est pas un objet, MAIS EXISTE*** ELLE DÉSIGNE L’OUVERTURE AU DASEIN EN TANT QUE PROJET.

Avec un rapport intrinsèque à l’être, le Dasein implique une compréhension d’être et se comprend à partir d’une POSSIBILITÉ D’ÊTRE OU DE NE PAS ÊTRE LUI-MÊME.

Impliquant le dasein comme pouvoir-être, elle l’ouvre sur la dimension PROJECTIVE DU POSSIBLE.

Contrairement à son acception métaphysique, la possibilité a ici un sens positif, car elle est LA DÉTERMINITÉ ONTOLOGIQUE ULTIME DU DASEIN, LE DÉVOILANT COMME POSSIBILITÉ DE L’ÊTRE-LIBRE POUR LE POUVOIR-ÊTRE LE PLUS PROPRE.

la compréhension est donc
LA STRUCTURE EXISTENTIALE
DU PROJET
en laquelle de l’Étant
est ouvert en sa possibilité,
constituant la vue du dasein.

«l’être-éclairci»

CARACTÉRISANT L’OUVERTURE DE SON LÀ.

Un tel voir ne désigne ni l’intuition ni la pensée , mais la possibilité de rencontrer l’étant qui est accessible. Dire que toute vue se fonde sur le comprendre revient à enlever à l’intuition la primauté que la métaphysique lui accorde.

Si le dasein se comprend à partir de ce qui n’est pas son être propre, la compréhension est dire inauthentique. Ce n’est qu’en comprenant sa mort qu’il peut s’arracher à l’existence inauthentique et accéder à la temporalité constitutive de son être. L’AVENIR EST LA TEMPORALITÉ PROPRE AU COMPRENDRE.

 

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CE MATIN, J’AI ENTENDU UN MONSIEUR FREDONNER LE REFRAIN DE LA CHANSON DU CAMIONNEUR À LA PLACE DESJARDINS…. CETTE CHANSON SE COMPORTANT ANONYMEMENT COMME UN SEMEUR DE CONTES À MES OREILLES

EXTRAIT D’UN ARTICLE «LES SEMEURES DE CONTES»
ISABELLE CREPEAU
lurelu 2014

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POUR LE DOCTORAT

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Le baluchon rempli
Ce soir-là, sous les voutes de la maison Chevalier,
l’accueil est vibrant. Une ultime fois,
André présente ses compagnons. La grande
Françoise, qui faisait partie des doyens de
l’aventure, fait la lecture du mot que Gilles
Vigneault leur a laissé au départ. La toute
menue Geneviève présente le bâton de marche
dont elle a hérité. Un bâton de marche
(et de parole) qui lui a été transmis par
Pierrot Rochette, le conteur vagabond, lors
de la soirée précédant le départ. Le parcours
peu commun de cet ancien copropriétaire du
cabaret les Deux Pierrots, qui a tout laissé
pour parcourir les routes, a impressionné les
Semeurs qui ont choisi d’en faire le parrain
d’honneur de leur grande virée. Il a choisi
de confier le bâton chargé de sens à la plus
jeune du groupe, parce qu’elle incarnait la
relève… Ce dernier soir, elle en parle avec
une gravité et une émotion particulières.
Le poids du bâton est venu enrichir sa
symbolique tout au long du parcours : c’est
Yves Robitaille, doyen du groupe, le sage
au pas tranquille, qui a aidé Geneviève en
portant le lourd objet pour elle, d’une étape
à l’autre. Benoit «Bison» Davidson, à qui
il reste toujours cette fabuleuse étincelle
d’énergie pour taper du pied ou entonner
une chanson, ouvre la soirée et gagne, en un
clin d’oeil, la complicité des auditeurs.
Chacun leur tour, les huit conteurs
viennent sur scène. La douce Alice Abélia
captive l’auditoire québécois. Le jeune
Mathieu Riendeau, un conteur à surveiller,
touche tout le monde en invitant son fils à
le rejoindre sur le banc du conteur pendant
son histoire : «C’est à lui que ça demandait
le plus de courage, nous explique-t-il. À
lui qui est resté derrière sans vraiment
comprendre pourquoi je faisais ça.» La
belle Carine Casparian, lumineuse, envoute
l’auditoire à son tour. La fatigue du voyage
ne pâlit en rien sa grâce lumineuse, elle
la met en relief! Chacun des Semeurs de
contes offre une prestation toute personnelle
et chargée d’émotions. La vulnérabilité
dans laquelle les place leur état de
fatigue extrême les rend désarmants de
vérité. Les histoires partagées ce soir-là
prennent un sens spécial pour ceux qui les
content et pour le public — rejoint, touché,
ému — qui réserve une longue ovation
méritée aux Semeurs de contes.
Ces huit conteurs ont usé leurs bottes
pour faire faire au conte un pas de géant!
Et j’ai entendu raconter qu’ils songent peutêtre
déjà à un prochain départ!
À suivre… si vous en avez les mollets

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DANS LE SENS DE SCHLEGEL (LES CONFÉRENCES SUR LA PHILOSOPHIE TRANSCENDANTALE) JE DIRAIS QUE LE MOI DU NANO-CITOYEN-PLANÉTAIRE REFUSANT D’ÊTRE RÉDUIT À LA FRAGMENTATION ISSUE DU MODERNISME ET DU POST-MODERNISME , PORTE EN LUI «UN ROMAN NÉCESSAIRE QUI N’EST RIEN D’AUTRE» QUE L’EXPRESSION DE SON ÊTRE RÊVE BIG BANG TOUT ENTIER.

GRAND DICTIONNAIRE DE LA PHILOSOPHIE
COMMUNAUTÉ ET MODERNITÉ
p.156, extrait

Les Conférences sur la philosophie transcendantale de Schlegel , sont un texte injustement méconnu, sous le prétexte qu’il est apocryphe, alors qu’il s’agit d’un document de tout autant pour l’évolution de Schlegel que pour celle de l’idéalisme allemand. Sous une apparence scolairement dialectique, (Théorie du monde, théorie de l’homme, retour de la philosophie en elle-même ou philosophie de la philosophie) – cela cependant dans les années 1798-1800, donc avant la maturité hégélienne) Schlegel pose le problème de la Bildung comme HARMONISATION DES RELATIONS RÉCIPROQUES DU MOI ET DU MONDE.

Mais le moi de Schlegel n’est plus le «je pense» kantien, il n’est pas non plus le ich fitchéen; C’EST LE MOI MODERNE, qui ne connaît plus que des fragments de lui-même et qui, pourtant, PORTE EN LUI UN ROMAN NÉCESSAIRE QUI N’EST RIEN D’AUTRE QUE L’EXPRESSION DE SON ÊTRE TOUT ENTIER, c’est à dire une organisation nécessaire et non une cristallisation contingente.

La séparation, la fragmentation doit cesser, déclare le début des conférences, Schlegel cherche dont le milieu commun des oppositions afin de surmonter LA DIVISION À L’INFINI DE L’EXPÉRIENCE MODERNE.

Il est ce faisant frappant que ni la théorie du monde ni la théorie de l’homme ne partent de l’objet ou du sujet ************ PRÉCISÉMENT PARCE QUE L’UNIVERS EST INCONNAISSABLE**********

EN TANT QUE TOUT et que le sujet est devenu insaisissable en tant qu’identité. Notre tâche, la définition de l’homme, se transformera donc en **********UNE CONSTRUCTION DE LA VIE HUMAINE**** parce que la vérité de tout NE PEUT ÊTRE TROUVÉE QUE PAR LA CONSTRUCTION.

«Ce sont donc les complexes culturels qui constituent le véritable objet des Conférences. Ke milieu commun s’identifie aux œuvres de la culture ….

à suivre…

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LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE OU L’EXTENSION DE LA THÉORIE CONTRACTUALISTE AU-DELÀ DES FRONTIÈRES NATIONALES EN UTILISANT LE POUVOIR NANO-CITOYEN-PLANÉTAIRE ISSU DES MILLIARDS DE TÉLÉPHONES INTELLIGENTS PAR LA SCIENCE DES ALGORITHMES ATTRACTEURS D’APPLICATIONS DONT LE CRYPTAGE PERMET LA NON-TRICHERIE INSTITIONNALISÉE.

Pour lutter équitablement contre le pouvoir politique des monarchies nucléaires et leurs systèmes d’états féodaux, cela demande à la conscience nano-citoyenne-planétaire un objectif d’élévation de l’humanité partagé: Que les millions d’enfants de la planètes terre ne meurent plus de faim ou de blessures de guerre semble partagé de toutes les personnes humaines…

que le droit équitable à une vie personnelle œuvre d’art semble aussi institutionnalisable.

De là découle une nano-citoyenneté-planétaire positive, garantie par un ordre politico-juridique à l’échelle mondiale.

LA CONSTELLATION POST-NATIONALE se dissout même dans son utopie par une mise en marche d’une humanité post anthropocène par le droit nano-citoyen-planétaire.

———–

grand dictionnaire de philosophie

des citoyens sans états, p.140 extrait

Pour Bergson en effet, «entre la nation , si grande soit-elle, et l’humanité, il y a toute la distance du fini à l’infini, du clos à l’ouvert», ce qui fait que «« de la cité à l’humanité, on NE PÂSSERA JAMAIS PAR VOIE D’ÉLARGISSEMENT».: « Nous n’arrivons pas à l’humanité par étapes, en traversant la famille et la nation. Il faut, que d’un bond, nous nous soyons transportés plus loin  qu’elle et que nous l’ayons atteinte sans l’avoir prise pour fin, en la dépassant. LA COSMOPOLICITÉ, C’EST «LA SOCIÉTÉ OUVERTE».

DANS CETTE PERSPECTIVE GLOBALE, L’ENSEMBLE DES CITOYENS EST PENSÉ COMME «UNE TRIBU DANS LE DÉSERT AU LIEU D’UN SUJET UNIVERSEL SOUS L’HORIZON DE L’ÊTRE ENGLOBANT».

Et si le gouvernement d’un état universel est impossible et peu souhaitable, C’EST À LA SOCIÉTÉ MONDIALE DES CITOYENS QU’IL FAUT DONNER SES CHANCES (Antoine Hatzenberger)

 

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ÉMISSION RADIO-QUÉBEC…. MARC LABRÈCHE… CETTE ANNÉE-LÀ… 18 DÉCEMBRE 2018…. ÊTES-VOUS PLUS LA MANIC DE GEORGE DOR OU LA CHANSON DU CAMIONNEUR DE FRED PELLERIN?

https://www.facebook.com › Pages › Media › TV & Movies › TV Show › Cette année-là

Êtes-vous plus La Manic de Georges Dor ou La chanson du camionneur de Fred Pellerin​? …… Cette année-là, dès 20 h sur les ondes de Télé-Québec.

Cette année-là Marie-Hélène Aubry N’oubliez pas d’aller voir vos …. Êtes-vous plus La Manic de Georges Dor ou La chanson du camionneur de … Elle est en rediffusion ce lundi 13 h et ce lundi 21 h à Télé-Québec ou quand ….. 18 Shares … In 2018, at the age of 63, Lise Dion presented her new show, chu made there.

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COMMENTAIRE

dire que j’ai vagabondé de Bécomo à la Manic (avant de monter à la Baie james) pour supplier George dor de m’inspirer à écrire une chanson plus grande que la sienne:))))))))))))))))

à suivre….

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LA DISTANCE ENTRE LA QUESTION DE L’ÊTRE DE HEIDEGGER ET LE POINT D’INTERROGATION (?) DE L’ÊTRE (AU DELÀ DU RÉFLEXE PROBLÉMATOLOGIQUE DE MEYER) DE L’ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) SE SITUE IN SITU DANS L’INFINI D’UNE MARGE DERRADIENNE DE LA DIFFÉR(A)NCE INFINIE QUI SE NOMME MARGE COSMONAUTOLOGIQU….. LE ? SE DÉCRIVANT COMME UNE OREILLE (MICHEL LE CONCIERGE) ET NON COMME UNE QUÊTE DE RÉPONSE.

Quel merveilleux conseil d’administration de la créativité ce matin. Je racontais à Marlene et Michel les conséquences de deux découvertes de Michel le concierge inscrit historiquement dans ce blogue au niveau de l’émergence poïétique.

1) Un jour, à la construction abductive de la formule (wow-t=2.7k) Michel ajouta… il manque quelque chose… JE PENSE QUE C’EST UN ? car comment veux-tu que les 4 questions du pays œuvre d’art aient un effet si la formule n’insère pas le ?

Ce qui me permit de faire une recherche… à savoir qui, dans l’histoire de la pensée est le maître à penser du ?.. et c’est ainsi que je découvrir Michel Meyer (connaissant l’œuvre de son maître Peyriman dans la modernisation de la rhétorique et surtout l’œuvre du maître de Peyriman, Dupréel dans sa ttentative d’hiérarchésiser au niveau de l’essence un système de valeurs, donc l’axiologie des valeurs…

Et là je découvris que Notre équipe de recherche et Meyer ne parlait pas de la même chose ni des mêmes enjeux… Meyer invente la problématologie en contraste avec la problématique , donc la question de la question et son univers extensif ou désextensif selon les crises ou les stabilités de l’histoire des sociétés…

Alors que notre équipe de recherche s’intéresse non pas à la question de la question, mais au ?, comme fondement universel se rapprochant le plus de l’ontoloie comme champ constellaire, évitant l’ontologisation par la catégorisation d’un champ théorique ou d’un champ conceptuel, tout dépendant des disciplines.

D’un conseil d’administration de la créativité à l’autre, le fait d’allumer chaque matin un tableau désigné par Michel où la formule «wow-t=2.7k?» s’illumine au-dessus de la terre à partir d’une photographie de la nasa prise de l’espace, le ? est vite devenu notre univers «ontologique» au sens de l’être pour l’être, sans tomber dans le ier moteur d’Aristote ni dans un panthéisme spinozien, ni dans un rapport disjonctif et ustensilitaire entre les étants et leur oubli de l’être, ni dans l’existence qui précède l’essence (Jaspers et Sartre) ni, ni, ni….

En fait, d’une lecture d’un dictionnaire à l’autre, j’en suis venu à bien saisir la grande originalité de notre équipe de recherche…. Moi je lis, Michel synthétise comme un programmeur et Marlene vit la beauté du monde dans ses différentes expressions….

Ce qui donne la philosophie d’en haut (Pierrot) et toute sa culture d’en haut, la philosophie d’en bas (Michel) et toute sa colère d’une condition humaine méprisée et la philosophie d’un ? cosmonautologique de Marlene quand elle fait ses jardins en œuvre d’art comme dans l’homme qui plantait des arbres de Giono mis en images par Frédéric Back

3) Mais lorsque Michel ,un matin en arrive à dire: UN POINT D’INTERROGATION, C’EST UNE OREILLE… je fais un wow… Je profite donc du tableau vert de Gaelle Eteme (doctorante en sociologie sur la raison cosmétique) pour lui exposer le champ constellaire de notre équipe de recherche (Auld, Woodrad, Rochette) pour lui exposer la dernière invention de Michel le concierge (le ? dessiné comme une oreille) pour lui exposer par le concours d’une craie toutes les implications d’un ? comme oreille dans la tension paradigmatique autant historique entre la science, l’ontologie, la métaphysique et ses avatars (la problématique, la problématologie, la sophistique et le syllogisme paupperien).

Tout ça pour dire que ce matin, au conseil d’administration de la créativité, l’objectif de faire exploser le mur de l’étiquette ontologique sous ses différents champs de connaissances stratifiées par le point d’interrogation comme oreille nous est venus…

Dès que, par une architectonie d’un champ constellaire où sont séparées les étiquettes (énoncés, catégorisations, et dynamique logistique) , donc séparé le cadre d’un cadre théorique (qui lui appartient à toute modélisation non reliée à l’imagination pure, soit constructiviste et abductive, donc open source sans nécessité empiriste autant que théoritique, il devient possible paradigmatiquement de séparer l’étiquette du POINT D’INTERROGATION  DE L’ONTOLOGIE DE LA QUESTION DE L’ONTOLOGIE AUTANT QUE DU SAVOIR STRATIFIÉ PAR L’HISTOIRE MÊME DE L’ONTOLOGIE DANS SES TENSIONS ARCHITECTURALES ET NON ARCHITECTONIQUES.

À SUIVRE…

L’INVENTION DE L’INSTITUTION DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE SE SITUE-T-ELLE DANS L’ORDRE DU PRAGMATISME UNIVERSEL DE LA THÉORIE COMMUNICATIONNELLE D’HABERMAS DANS SES AIRS DE FAMILLE (WITTGENSTEIN) AVEC LA THÉRIE DU CHOIX SOCIAL DE K. ARROW…. OU… DANS L’ORDRE DU CONSTRUCTIVISME ABDUCTIF VISANT LA BEAUTÉ ARCHITECTONIQUE DE LA LOI UNIVERSELLE KANTIENNE COMME DU VOILE D’IGNORANCE DE JOHN RAWLS….

J’ai beau réfléchir à la manière d’Habermas , et d’Arrow, la théorie du choix social comme le pragmatisme universel de la théorie de la communication d’Habermas me semblent d’une trop faible opérationnalité architectonique.

Dès que mon cerveau cosmonaute flottant dans l’infini de mon corps se tourne vers Kant ou Rawls, on dirait le droit à une invention planétaire d’une redoutable application dans la mesure où le moteur attractif étrange d’un champ constellaire œuvre d’art où dansent entités électrons libres au bras de  catégories dissoues, surgit de ces millions d’enfants qui meurent de faim ou de blessures de guerre à travers le monde. Un rêve… un rêve big bang fou d’une humanité qui s’élève enfin à la dignité d’une errance poétique en mode d’appétance onérique, hors temps, hors réalité, hors servitude.

D’ailleurs… quand je dors dans les cimetières du Québec, dès que je me lève et chante une de mes chansons devant une tombe d’enfant la plus misérable, la plus isolée, l’errance fantomatique d’une planète écrasée par des guerres d’errance axiologiques s’illumine au cœur même d’un point d’interrogation sous forme d’oreille (Michel le concierge).

plus question de réponse (problématique) plus question de la question de l question (problématologie)…

que le ? universel open source
s’ontologisant au cœur même
de milliards de téléphones intelligents
nano-citoyens-planétaires.

à suivre…

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