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ARCHIVES… QUELQUES APHORISMES PARTICULIÈREMENT PRÉMONITOURES DE MON BRILLANTISSIME AMI ET PARTENAIRE DE RECHERCHE… MICHEL LE CONCIERGE… DIGNES DE NOUS FAIRE DÉCOUVRIR UN JOUR PAR L’INSTITUT D’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE DE MONTRÉAL POUR ALGORITMÉTISER NOTRE INVENTION DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE EN MOINS DE 5 ANS PAR UNE APPLICATION DISPONIBLE SUR DE MILLIARDS DE TÉLÉPHONES CELLULAIRES

2679,

2679… CARNET DU CONCIERGE… LA SYNCHRONI-VIE-TÉ ET AUTRES APHORISMES TIRÉS DU CONSEIL D’ADMINISTRATION DE LA CRÉATIVITÉ DE CE MATIN…. SELON MON AMI ET PARTENAIRE DE RECHERCHE MICHEL LE CONCIERGE
MARCH 9, 2019
APHORISMES TIRÉS
DU CONSEIL D’ADMINISTRATION DE LA CRÉATIVITÉ
DE CE MATIN
à archiver
dans le carnet du concierge
de la philosophie d’en bas
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1) La synchroni-vie-té, c’est un accès structurel à l’invisible. (Michel le concierge)
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2) l’hologramme de l’archétype hologrammique, c’est la transparence de la non-tricherie en mode méthodologique d’ontiKation (Michel le concierge)
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3) trois archétypes hologrammiques en recherche de méthodologie d’ontikation, ce soit trois univers en vue d’un MULTIVERS (Michel le concierge)
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4) wow-t=2.7k? nous amène à une fonction du rêve big bang par les 3 wow (Michel le concierge)
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5) La terre, c’est le siège social de l’intelligence bib bang
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Pierrot vagabond

LE CERVEAU QUANTO-COSMOLOGIQUE DE TOUT NANO-CITOYEN (NE) PLANÉTAIRE EST UNE FRACTALE HOLOGRAMMIQUE EXACTE DE SON HOMONYME INTRIQUÉ QUELQUE PART ET NULLE PART DANS LA BEAUTÉ DU MONDE SUPRA-COHÉRENTISÉ HORS TEMPS ET HORS ESPACE D’UN MULTIVERS QUELQUE PART E TNULLE PART À LA FOIS, SUIVANT LES ALÉAS DE LIBERTÉ TE L’ÉMERGENCE DE RÊVES BIG BANG TELS QUE PRÉDIT PAR LA THÉORIE DES CORDES… LA TRICHERIE CONDAMNANT L’EXISTENTIEL À UNE VIE AXIOLOGIQUE ÉCRASANT DE SON MÉPRIS DES MILLIARDS DE VICTIMES FANTOMATIQUES, L’ERRANCE POÉTIQUE PASSANT D’ABORD PAR CELLE DE L’HUMANITÉ INSTITUTIONNALISÉE (L ANANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE, LES DEUX ASSEMBLÉES DES JUSTES, 125 FEMMES, 125 FEMMES ) AVANT CELLE DES NANO-HUMAINS, LES QUATRE QUESTIONS DE LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART SUCCÉDANT HISTORIALEMENT À LA CINQUIÈME QUESTION: COMMENT NOS RÊVES BIG BANG (MULTIVERS) PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

Le fil d’or du doctorat d enotre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette, se symphonise au travers de la règle des trois wow qui nous sur-humanisent depuis maintenant presque 12 ans à chacun de nos conseils d’administration de la créativité.

La théoritisation abductive  de nos dernières inventions paradgmatiques multiverses rend Michel et Marlene aussi fébriles que moi…

La nouvelle caméra arrivera Lundi et mardi… Michel a l’intention de produire un film rendant hommage à marlene et son jardin, comme symbole même d’une vie personnelle œuvre d’art consacrée à la beauté du monde en action et d’en témoigner en arrière de sa caméra à travers son amour œuvre d’art pour Marlene..

C’est à couper le souffle… Ce matin, nous étions tous les troisémus par la grandeur de nos recherches, la volonté de soulager la condition humaine, surtout celle de ces millions d’enfants se mourant de faim ou de blessures de guerre, et cela par une révolution nano-citoyenne-planétaire faisant de notre invention, la nano-citoyenneté-planétaire, un renversement des pouvoirs des états nucléaires et de leurs féodaux sur leurs personnes humaines enclavées dans des non-droits tissés d’errance acxiologique et fantomatique toxique.

en route vers l’institut dLintelligence artificielle du Québec puis vers le pris Nobel de la paix.

à suivre…

Pierrot vagabond

au nom de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette)

QU’EST-CE QUE LA NON-TRICHERIE, PROPÉDEUTIQUE À L’ALGORITHME DE LA JUSTICE SOCIÉTALE «WOW-T=2.7K?»?…… C’EST L’APPLICATION TRANSCENDANTALE KANTIENNE, MAIS HORS TEMPS, HORS ESPACE DE LA THÉORIE DES CORDES FAISANT DE NOTRE CERVEAU UNE INTRI-K-ATION ONTI-K-ATIVE PRÉCÉDANT LA MISE EN FORME D’UN RÊVE BIG-BANG PAR RÉTROACTION HALLUCINANTE ENTRE NOS MÊMES (DAWKINS) ET CEUX ISSI=US D’AUTRES PARTIES INFINIES DU MULTIVERS, DANSANT EN FIGURES DE BROSSES D’ÊTRE ET ATTAQUES D’ÊTRE LA BEAUTÉ DU MONDE, ARC-EN-CIEN ENTRE QUELQUE PART ET NULLE PART COMME À L’ÉCHELLE NANO-PLANÉTAIRE TOUT CERVEAU EN ARRIVE À SE PERCEVOIR PARADIGMATIQUEMENT COMME UN ASTRONAUTE FLOTTANT DANS L’INFINI DE SON CORPS POST-ASTRAL…LE TOUT ÉTANT CONTENU COMME DES POUSSIÈRES D’INFINI DANS UN SIMPLE POINT D’EXCLAMATION EN DIALOGUE AVEC CHAQUE POINT D’INTERROGATION DEVENUE DANS LA NANO-MODERNITÉ L’OREILLE MÊME D’UN 2.7K DE MILLIARDS ET DE MILLIARDS DE RÊVES BIG-BANG EN QUALIS ÉTERNELS

Quelle nuit, mais quelle nuit de recherche lumineuse… Cela fait des mois et peut-être des années que je parcours la littérature de l’humanité vacillante entre son antiquité, son moyen-âge, sa modernité et sa post -modernité pour me rendre compte que LE`MOTIF DE LA NON-TRICHERIE n’obtient aucune assise méthodologique, épistémologique autant qu’ontologique ou ontique, faisant de toute métaphysique, mythologie, th.ogonie ou théologie, un abime de point de suspension sous formes de conventions aléatoires mais favorisant un vivre ensemble fait de précarités existentiales autant qu’existentielles.

Je savais en post-blogue ( dans sa troisième version glossairique celle par chapitre succédant aux deux autres, par thèmes et par ordre alphabétique) que le vagabond céleste fut un homme qui marcha pas ses brosses d’être et ses attaques d’être de l’univers de la condition humaine fantomatique et axiologique, au multivers, origine quanto-cosmologique même de l’errance poétique sur terre.

Mais, lorsque je réalisai que mon cerveau était UN ASTRONAUTE FLOTTANT DANS L’INFINI DE SON CORPS, je vécu une abduction constructiviste big bang au sens où je me rendis compte que mon cerveau-astronaute était exactement constitué comme analogiquement la théorie des cordes prédit et l’avant big bang et par l’accélération du big bang de notre univers, une immense matière noire porteuse d’un multivers énigmatique autant que de trous noirs hologrammiques…

Cette nuit… j’ai peu dormi… le -t (la non-tricherie) propédeutique au -t de la formule «wow-t=2.7k?» issue du champ constellaire convoqué par le ier-t, tenait en fait sur une assertion axiomatique que je décrirais un peu sous ces mots.

LE CERVEAU D’UNE NANO-PERSONNE HUMAINE-PLANÉTAIRE se veut un espace intri-k-atif autant qu’onti-k-atif dès que la décision de ne plus tricher fait émerger un champ constellaire.. et bien plus… l’intri-ka-tion multiversienne donne à la décohérence quantique un renversement cohérentique stupéfiant… au sens où ce que l’on perçoit de la réalité perd de son misérabilisme fantomatique ou axiologique pour déguster béatiquement  les qualias reliés à l’errance poétique, champ ontographique textural autant que tessural d’une incroyable onti-k-ation multiversienne.

Qu’Est-ce que la non-tricherie? Elle est un résultat provenant d’un champ constellaire à l’intérieur duquel le cerveau sort du cerveau-cuve (comme un poisson rouge dans l’eau) pour entrer dans une zone 2.7k? de dialogue inter-multivers similaire à un astronaute flottant dans l’espace infini…

Le monde transcendantal, ocntrairement à ce que pensait Kant se vit hors espace, hors temps, au paradis épistémologique même prédit par la théorie des cordes donnant accès à l,avant bib bang par le codage inscrit et aux abords de tout trou noir et dans le splis mêmes du bruit de fond de notre big bang originaire..

LA NON-TRICHERIE DEVIENT DONC UNE VOIE NOUS PERMETTANT D’AVOIR ACCÈS AUX POÉSIES DU MULTIVERS EN INTRI-K-ATION PARTOUT ET NULLE PART DANS LES FORMES DANSANTES DE LA BEAUTÉ DU MONDE.

Wow-t=2.7k? en étant l’algorithme fondateur de l’onti-ka-tion intri-kative multiversienne  du 21eme siècle  tout comme e=mc2 fut celui de la science quantique du 20eme siècle.

à suivre…

ARCHIVES SUR LE PASSAGE D ELA NOTION D’UNIVERS… À CELUI DU MULTIVERS… PAR LE «WOW-T=2.7K?»

2263, *****

…(CAMIONNEUR) LE NUIT ET JOUR D’UN CHERCHEUR UNIVERSITAIRE POUR CONTRIBUER PAR UNE INVENTION , ET CELA EN ÉQUIPE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) D’UNE INSTITUTION MULTIVERS DONT L’INTRINSÈQUE SE JUGERA PAR LE SOULAGEMENT DE LA CONDITION HUMAINE PARTOUT SUR TERRE… ET EN CE SENS, LA CHANSON DU CAMIONNEUR EN FUT UNE ÉTIQUETTE FER-DE-LANCE D’UN RÊVE BIG-BANG AUX DIMENSIONS INOUIES….MOI JE VIS JUSTE POUR TOÉ J’AI HÂTE À FIN DE SEMAINE… J’T’AIME… TOUTE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE SURGIT DE CETTE SIMPLE PHRASE ISSUE DES LÈVRES DE CE CAMIONNEUR INCONNU

AUGUST 4, 2018

Je vais avoir 70 ans…étant né le le 12 décembre 1948… Je suis passé de chansonnier fondateur de la boîte à chansons les deux Pierrots dans le Vieux Montréal à créateur de numéros issus d’un mémoire de maîtrise universitaire sur le rire par le biais du duo Rochette-Lamarre, pour aboutir au vagabond céleste… tout ça parce qu’à 20 ans, un rêve big bang de représenter le Canada au japon en 1970 suite à Expo 67 s’était réalisé après avoir gagné le championnat nors-américain des groupes folkloriques collégiaux…. Nous devions faire Ed Sullivan show… mais il est mort dans l’année ….. Le 1000 pages philosophique «monsieur 2.7k» en fut l’apogée aporitique d’une question impossible… Comment passe-t-on d’un rêveur à un rêveur big-bang dans une existence si courte à l’échelle du multivers cosmologique? Quand l’humanité entière y trouvera-t-elle le sens de la dignité existentielle à laquelle elle a droit?

Toute une vie fut consacrée à me questionner sur le sens d’une existence réussie intrinsèquement…. hors temps, hors réalité, hors servitude…. hors race, hors langue hors religion…..

Il en est issu finalement une étiquette rhizomique… le rêve big-bang par quatre questions à nature virale
1: Quel est ton rêve?
2: Dans combien de jours?
3: Qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?
4: Comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

L’onto-plurivers d’une conscience nano-citoyenne-planétaire ployant majestueusement sous la pression des obstacles anthropocènes que doit affronter la race humaine au 21eme siècle donne une valeur inoui à ce que Peirce appelait: les quali. Et comme le traduisent ces simples mots de la chanson du camionneur…. les qualis sans la danse des quantis étant inaccessibles à l’espèce en mode survie.

MOI JE VIS JUSTE POUR TOÉ
J’AI HÂTE À FIN DE SEMAINE
J’T’AIME….

Au restaurant chez Annick où je dormais sur un congélateur au lac à Beauce, ce camionneur qui parlait fort, seul à sa table en déjeunant à 4h.30 du matin après avoir dormi dans le parking… m’a survolté de quête conceptuelle.

Je n’avais qu’une guitare à l’époque pour saisir et signifier son fondement axiomatique quali sous ses mots, mais je ressentais l’universel traverser toute ma pauvreté.

C’était l’hiver… La nuit, je marchais le long de la route pour m’entraîner afin de marcher jusqu’au Yukon… Les camionneurs disaient dans leur c.b. … Tabarnake, c’est le quêteux du Lac à Beauce… j’ai manqué de l’écraser hostie… Kou donc… y est pas supposé d’écrire une chanson sur nous autres lui?
Je vivais l’impossible,,, j’étais un archétype, le vagabond céleste, divorcé de ma personne humaine parce que la lourdeur de la contextualisation psycho-sociale l’empêchait de dialoguer avec le 2.7k?

Mais quand je me suis aperçu que par le conteur international Simon Gauthier, mon archétype avait divorcé de moi sans m’avertir, se promenant d’une scène à l’autre à travers toute la francophonie, j’en ai vécu un véritable deuil…

Je n’étais plus ni chanteur, ni une personne humaine, ni un compositeur…. C’est dans ce contexte que je suis devenu chercheur, sans corps, sans spiritualité, sans attache….

Depuis deux semaines, Marlene et Michel sont partis en vacance à leur maison secondaire… En leur absence, les objets de l’appartement me hantent de leur utilitaire, je vis donc hors de cet appartement n’y rentrant à la sauvette que pour y retrouver mon plancher de la salle de couture…. J’y entre le plus tard possible et en repars le plutôt possible….

Je suis devenu ces milliards d’enfants morts de faim ou de blessures de guerre et qui sortent de leur tombe pour réclamer leur droit à une vie personnelle œuvre d’art…

Ce blog, finalement, c’est simplement une poïétique au jour le jour pour ne pas perdre le fil constructiviste radical dont j’ai besoin pour la cinquième question , fondement axiomatique de tout pays œuvre d’art au 21eme siècle:

5- COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

Pierrot vagabond

SORTIE SPATIALE DE DAVID ST-JACQUES, C’ÉTAIT DE L’OR, C’ÉTAIT DE LA PURE JOIE

Sortie spatiale de David Saint-Jacques: «C’était de l’or, de la pure joie»

<p>Philippe Mercure</p>

Son sourire au moment de retirer son casque n’avait laissé aucun doute : l’astronaute québécois David Saint-Jacques a savouré chaque minute de la sortie spatiale qu’il a réalisée lundi. Hier, lors d’une conférence de presse donnée de la Station spatiale internationale, il a décrit un exercice aussi éprouvant qu’un marathon, mais qui l’a tant enthousiasmé qu’il a peiné à dormir la nuit suivante. Retour sur sa sortie en cinq mots.

Clin d’oeil

David Saint-Jacques se souviendra toujours du moment où il a émergé du sas de la Station spatiale internationale pour flotter librement dans l’espace pour la première fois. Anne McClain, sa collègue américaine, était sortie avant lui et l’y attendait. « C’était la nuit, a raconté hier l’astronaute de la Station spatiale internationale. On ne voyait pas vraiment la Terre, mais c’était le lever du Soleil. Je commençais à voir la ligne bleu, rouge, orange, avec la courbe de la Terre à l’horizon. Anne avait un grand sourire et m’a fait un clin d’oeil. J’ai compris que j’étais rendu là, qu’on était dans l’espace. Cette image-là est restée imprimée dans mon esprit et je pense qu’elle ne va jamais s’effacer. »

Miracle

David Saint-Jacques a utilisé à quelques reprises le mot « miracle » pour décrire le fait de flotter dans le vide spatial, alors que seule la paroi de son scaphandre le séparait de cet environnement hostile. Pendant la conférence de presse, l’astronaute a d’ailleurs exhibé sa combinaison, qui flottait à côté de lui, pour en montrer les différents éléments. Attaché à l’un des bras se trouvait un carnet contenant des instructions… et des photos de sa famille.

« Il y a un sentiment d’humilité de se sentir en vie par miracle dans un environnement pareil, a-t-il dit. C’est comme si l’esprit humain arrivait à aller au-delà de la fragilité par sa créativité, son inventivité. J’ai trouvé ça touchant de me retrouver, petit satellite de conscience humaine, en orbite autour de la Terre, dans l’espace, maintenu en vie grâce au génie humain, à la collaboration internationale immense qui est derrière ça. Ça me rendait fier de ce qu’on peut accomplir, les êtres humains, quand on se met à la tâche. »

Avec une plaque de batterie à déplacer, un... (PHOTO RYAN REMIORZ, LA PRESSE CANADIENNE) - image 2.0

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Avec une plaque de batterie à déplacer, un système de communication à installer, un circuit électrique à brancher et une plateforme extérieure à installer, David Saint-Jacques avait un horaire particulièrement chargé pendant sa sortie.

PHOTO RYAN REMIORZ, LA PRESSE CANADIENNE

Joie

Avec une plaque de batterie à déplacer, un système de communication à installer, un circuit électrique à brancher et une plateforme extérieure à installer, David Saint-Jacques avait un horaire particulièrement chargé pendant sa sortie.

« Chaque moment est chorégraphié et déterminé d’avance. On a plein de travail à faire et nulle part dans la séquence il n’y a de blocs pour la philosophie. Mais on prend le temps de regarder autour et d’absorber ça. Honnêtement, je suis sûr que ça va me prendre encore des semaines, des mois, peut-être des années à absorber l’expérience. J’ai eu quelques moments de lucidité entre deux tâches, deux connecteurs ou deux déplacements », a-t-il raconté. « La sortie d’avant-hier, pour moi, c’était de l’or, a-t-il ajouté. C’est du travail dur, mais, en même temps, de la pure joie. »

Fatigue

En matière de dépense énergétique, David Saint-Jacques a comparé une sortie spatiale à un marathon. Il a toutefois trouvé l’expérience plus facile que lors des entraînements en piscine, au cours desquels il devait combattre la résistance de l’eau.

« Dans l’espace, on bouge plus librement, a expliqué l’astronaute. On a l’air d’aller très lentement, mais il y a une grande tension interne parce qu’on veut contrôler nos mouvements. Mais c’est surtout psychologiquement que c’est épuisant. Même si c’est fantastique comme expérience, on a une grande sensibilité au fait que c’est très dangereux. Notre subconscient se rend bien compte qu’on est dans un environnement absolument extrême, qu’on est là un peu par miracle, en fait. Ça finit par être un peu fatigant. »

« Il y a comme une vague d’énergie presque cachée, et on se découvre des capacités qu’on ne pensait pas avoir quand on est tellement enthousiaste », a-t-il aussi dit.

Il avoue avoir ressenti un certain vertige en voyant la Terre tourner sous lui. « La première fois, il a fallu que mon esprit s’ajuste. La raison a pris le dessus pour dire : c’est correct, tu es en orbite toi aussi, tu ne vas pas tomber », a-t-il raconté.

Il dit s’être retrouvé « dans un drôle d’état » en regagnant la Station spatiale internationale après 6 heures et 29 minutes à l’extérieur. « J’étais très heureux de l’expérience, mais j’étais dans un tel état d’adrénaline que ç’a été difficile de dormir cette nuit-là, même si j’étais fatigué », a-t-il dit.

Confortable

Maintenant parvenu aux deux tiers de sa mission d’un peu plus de six mois dans l’espace, David Saint-Jacques a dit s’être tellement habitué à vivre en apesanteur qu’il en vient à considérer sa vie comme normale.

« Au début, c’était incroyable de se sentir à bord de la Station. On avait constamment conscience du danger qui nous entoure. […] Mais l’esprit humain est comme ça : on s’habitue. Maintenant, on pense à l’intérieur de la Station comme l’endroit le plus sécuritaire que l’on connaisse », a-t-il dit.

Il reste pourtant encore beaucoup de boulot à accomplir à bord, dont de nombreuses expériences scientifiques et la capture des vaisseaux-cargos à l’aide du bras canadien. David Saint-Jacques a aussi parlé de son retour sur Terre, prévu pour juin, comme l’un des moments les plus dangereux de toute sa mission.

« C’est facile d’être complaisant, d’oublier le danger qui nous entoure, a-t-il souligné. Il faut rester à l’affût. Le défi est d’en profiter et de ne pas baisser la garde. »

ARCHIVES… LE CHANSON DU CAMIONNEUR PAR LES TROIS WOW DE NOTRE ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE)

LA CHANSON DU CAMIONNEUR, NOS RÉFLEXIONS À LA RECHERCHE D’UN WOW ET NOTRE MÉTHODOLOGIE ARGUMENTATIVE EN ÉQUIPE DANS LE RESPECT D’UNE DISCUSSION ARGUMENTATIVE RATIONNELLE
MARCH 28, 2018
Ce que j’aime de notre équipe de recherche, c’est le respect que l’on s’accorde tous les trois quand à nos règles du jeu.

1) bien sûr que, dans chacun nos domaines (la recherche (Pierrot), le sound jugement (Marlene) et la publication (Michel) , chacun possède la dernière décision, mais cette dernière décision par chacun de nous ne fut jamais utilisée, la soif D’UN WOW qui nous surprennent tous les trois nous apportant une réelle joie de vivre…. et cela quotidiennement.

2) Bien sur que dans nos conseils d’administration de la créativité, nous ne tentons pas d’utiliser ce que j’appellerais de LA MAUVAISE RÉTHORIQUE POUR GAGNER NOTRE POINT, mais plutôt une confiance inébranlable à trouver une solution inventive qui NOUS FERA WOW À TOUS LES TROIS.
Et en ce sens, notre recherche du wow en équipe respecte les lois de l’argumentation vraie pour un dialogue qui ne triche pas entre nous.

L’horizon événementiel qui surgit soudainement à cause de la chanson du camionneur, nous oblige à une réflexion approfondie sur les effets versus l’ensemble de notre démarche.

Michel et moi considérons nos chansons réciproques comme un hymne à l’amitié et le pool commun dans lequel ces chansons sont inclues nous rend solidaires de NOTRE RÊVE EN ÉQUIPE:

Le wow de notre équipe de recherche à partir de la chanson du camionneur demeure l’enjeu de la charte de la nano-citoyenneté-planétaire, les droits dérivés issus des 150 heures vidéographiées depuis 10 ans, la chanson du camionneur faisant partie intrésèquement d’un tout.

Ca prend un vrai wow à trois
pour la suite des choses.
nous prendrons le temps de le rechercher
dans des règles de jeu
démocratiques
qui nous ont rendus si heureux
jusqu’à aujourd’hui.

L’idée est de rendre tout le monde heureux… sans concession à l’intelligence rationnelle d’une démarche désintéressée pour le bien commun de tous… et ce tout le monde prend en considération la vision de la chanson du camionneur de nos deux amis artistes.

MES 18 ANS DE CARRIÈRE À L’AUBERGE LA CALÈCHE AVEC L’ÉLÉGANTISSIME DENIS LAMARRE DE NOTRE DUO ROCHETTE, LAMARRE… FUT CONSACRÉ À UNE MAÎTRISE SUR LE RIRE PAR LA CRÉATION DE NUMÉROS ORIGINAUX DE BURLESQUE, APPUYÉE SUR UNE CONNAISSANCE THÉORITIQUE POINTUE DES LOIS DU BURLESQUE, AUTANT AMÉRICAIN QUE QUÉBÉCOIS.

1308,
(BURLESQUE) LE BURLESQUE QUÉBÉCOIS A PRODUIT UN AUTHENTIQUE GÉNIE COMIQUE…. LA POUNE… DIXIT JEAN-CLAUDE GERMAIN
MAY 21, 2016

Le burlesque québécois et américain
textes inédits
Chantal Hébert
centre de recherche en littérature québécoise
préface
Jean-Claude Germain

Dans le sketch de Bye Bye 70 qui l’a hissé à tout jamais au rang d’un mythe, Olivier Guimond campe un soldat de l’armée canadienne. Nous sommes pendant la crise d’octobre et le troufion Tizoune fait les cent pas devant la maison d’un riche anglophone de Wesmount qui pourrait aussi bien être un francophone d’Outremont. A l’instar de l’agent secret canadien-français IXE-13 qui, en fin de carrière, écopait de la mission honteuse de pourchasser les premiers séparatistes, le rejeton de Ti-coq et de Joseph Latour d’Un simple soldat a hérité, en fin de lignée, d’une tâche tout aussi ingrate, celle de protéger les nantis.

C’est la veille de Noël et le maître de la maison quitte un instant ses invités pour offrir un remontant au soldat qui monte la garde devant sa porte. Flatté par l’attention qu’on lui manifeste, Tizoune rinque volontiers avec son hôte et, de fil en aiguille, il lui confie que, d’où ils se tiennent, on peut apercevoir le quartier populaire Saint-Henri, dont on distingue les lumières au loin, en bas de la côte. Un dernier verre, une dernière claque dans le dos, puis le bourgeois retourne à son réveillon, laissant derrière lui un soldat éméché aux prises avec un escalier qui n’arrête plus de se dérober sous ses pieds – un numéro qu’OLIVIER GUIMOND A MIS UNE VIE À PARFAIRE.

En un raccourci saisissant, du moins si on adopte le point de vue du haut de la côte, c’est toute la relation du burlesque et de la bonne société qui se trouve résumée dans ce sketch. Pour l’élite québécoise, comme pour Radio-Canada qui en a été jusqu’à tout récemment l’expression fidèle, on peut certes frayer avec le comique populaire sur le bord de la porte, sur le perron, sur le trottoir, dans la rue, mais il n’est pas question de l’inviter à l’intérieur d’une maison où il va de soi que les fêtes se déroulent derrière les portes closes, entre gens de même éducation. Le burlesque n’a-t-il pas été de tout temps UNE SOUS-CULTURE DES NON-INSTRUITS ET LES VALETS DE COMÉDIE, DES CARICATURES DE LEURS MAÎTRES? De même, la culture instruite ne s’attend-elle pas à voir la culture populaire perdre pied et s’aplatir devant elle comme le p’tit gars de Saint-Henri devant la porte que Wesmount lui ferme au nez?

D’en bas, la perspective est différente, et si on rêve d’aller à la fête d’en haut, c’est pour y semer la zizanie. La fonction première du comique populaire, comme le démontre Chantal Hébert dans son livre EST DE CONTESTER L’ORDRE ÉTABLI AU NOM DE L’ANARCHIE. Le rire burlesque n’a qu’un but: avoir le dessus, même temporairement, sur l’autorité paternelle, politique, judiciaire, policière ou morale. Et pour y parvenir, tous les moyens sont bons.

Le comique populaire n’est pas mal élevé par manque d’éducation, mais bien par esprit de provocation. Son innocence est toujours feinte, mais jamais son impertinence, son impudence et son impénitence.
Dans l’esprit du burlesque, l’épouse trompée, par exemple, n’est l’objet d’aucune compassion. Dans un sketch truculent que Chantal Hébert a retrouvé pour notre plus grand plaisir, LA POUNE interprète une «guidoune» qui revient sur les lieux du crime. Négligeant la présence de la légitime avec un SANS-GÊNE MAGNIFIQUE, elle récupère les «caneçons» qu’elle a égarés quelques heures auparavant derrière le sofa lors d’un échange qu’on ne peut plus explicite avec le mari. C’est la loi du genre que de laisser la bienséance, les bonnes mœurs et le bon goût au vestiaire. Pour être admis au cénacle, les adeptes DU RIRE GRAS se doivent de déboutonner mentalement leurs braguettes ou de dégrafer leurs soutiens-gorge.
Du vivant d’Olivier Guimond, un grand nombre de comédiens et de comédiennes de théâtre admiraient sincèrement son talent comique. En même temps, la plupart d’entre eux rêvaient de le voir jouer un «vrai» rôle dans une «vraie» pièce, préférablement un classique, ce qui, dans leur esprit, aurait eu pour effet non seulement de confirmer ledit talent mais également de l’ennoblir.

Or le burlesque n’est pas un art noble: c’est un art populaire qui ne recule pas devant la grossièreté et la vulgarité pour faire rire. D’ailleurs, quand il s’assagit, IL MEURT. Ou il devient autre chose, la plupart du temps du théâtre, comme les nazzis des acteurs de la commedia dell’arte sont devenus des pièces de Molière. Il n’y a qu’une façon d’accorder au comique populaire ses lettres de créance, c ‘est de l’accepter tel qu’il est.

C’est précisément le propos de Chantal Hébert: étudier le burlesque dans son contexte, sans le trahir ni le magnifier. L’auteure a écrit un livre savant d’où le burlesque québécois sort grandi parce qu’il n’est pas comme on le croyait une pâle copie du burlesque américain, mais bien UNE CRÉATION AUTOCHTONE, dont l’originalité indéniable tient à une particularité: son public, contrairement à celui des États-Unis qui est masculin, est composé, encore aujourd’hui (1989) majoritairement de femmes.
LA CONTRIBUTION DU BURLESQUE À L’ÉVOLUTION CULTURELLE DU QUÉBEC n’est donc ni mineure ni inexistante, comme on le supposait, mais bien majeure, et ce n’est pas le moindre mérite de l’ouvrage de Chantal Hébert que de nous l’avoir révélé. Elle est majeure parce que le COMIQUE POPULAIRE proposait, dès 1930, une bonne partie DES CHANGEMENTS DE MOEURS qui devaient attendre les années soixante pour s’imposer. Elle est majeure aussi parce qu’en plus d’interprètes de grand talent tels que Tizoune père, Olivier Guimond fils, Juliette Pétrie, Manda et Gilles Latulippe, le burlesque a produit UN AUTHENTIQUE GENIE COMIQUE: LA POUNE. Elle est majeure encore parce qu’à cette époque où le théâtre était toujours au ruralisme du Prespytère en fleurs de Léopold Houlé, le burlesque s’avérait résolument QUÉBÉCOIS, MODERNE ET URBAIN.

LE PÈRE LEGAULT ET LA POUNE SONT QUÉBÉCOIS TOUT COMME ESCHYLE ET ARISTOPHANE ÉTAIENT GRECS, mais, dans un cas comme dans l’autre, ils ne mangent pas à la même table. Eschyle , à la rigueur, aurait pu s’encanailler à la table d’Aristophane en oubliant, le temps d’un repas, qu’il était Eschyle. De la même manière, l’élite québécoise se permettait à l’occasion d’assister à un spectacle de La Poune en prenant toutefois la précaution d’oublier, le temps d’une soirée, qu’elle était bien-pensante.
Aristophane, en revanche, ne pouvait jamais oublier qu’il était Aristophane. Le burlesque est depuis toujours UN BRAS D’HONNEUR AU POUVOIR ÉTABLI, CELUI DE L’ETAT COMME CELUI DE L’EGLISE ET CELUI DU THEATRE. La richesse du rire du burlesque, c’est tout ce que les tenants du pouvoir politique reproches encore aujourd’hui AUX PAUVRES; la paresse, la ruse, la liberté sexuelle, le désordre et l’anarchie. Et cette richesse-là, il semble bien que le burlesque québécois en ait fait bon usage!

Jean-Claude Germain
dramaturge

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Pierrot vagabond

COMME LE DIT SI BIEN MON AMI ET PARTENAIRE DE RECHERCHE MICHEL LE CONCIERGE… QUELLE EST LA DIFFÉRENCE ENTRE FRÉQUENTER L’UNIVERSITÉ ET LA MULTIVERSITÉ?… SIMPLEMENT D’AVOIR ACCÈS À UNE COUCHE D’INTELLIGENCE SUPÉRIEURE SANS AFFECTER L’ENSEMBLE DES INSTITUTIONS DISPONIBLES.

Encore un merveilleux conseil d’administration de la créativité ce matin. J’ai commencé par introduire Michel à toutes ces nouvelles inventions théoritiques argumentatives que me permet mon nouveau lieu de travail… Un local 24 heures où je puis enfin redevenir un anonyme chercheur consacré à la beauté du monde… Je ne ressens plus l’inconfort relié à la reconnaissance sociale qu’on tente ici et là de m’inonder… Pour moi, la renommée ou la reconnaissance sociale pressurante ressemble à la situation d’un chercheur faisant du camping sauvage pour mieux protéger son cerveau et qui occasionnellement est affecté par des mouches trop nombreuses.

Je fuis systématiquement les baptêmes, les mariages, surtout les enterrements et encore plus les colloques de toutes sortes et encore, encore, encore plus les commémorations reliées à mon ancien métier de chansonnier…. Ce n’est pas que j’ai horreur des gens, mais j’ai surtout horreur de perdre l’intensité architectonique que demande une pensée abstraite de haut niveau, ne fusse que 5 minutes…

La situation dont j’ai le plus horreur est celle où soudainement on me demande. Et vous, que faites-vous dans la vie?

Juste parler de mes recherche à un autre chercheur m’épuise… Comme mes enjeux ne sont pas les siens, sa reconnaissance comme la mienne à son égard ne fait qu’alourdir l’essaim de mouches dans mon terrain de camping.

Mon seul regret, si j’avais à recommencer ma vie, serait de ne pas être placé immédiatement en état de béatitude dans l’invention et l’adéploimentriserie de l’émergence des formes reliées au multivers quanto-cosmologique.

Ceci dit, comme Michel a un cerveau d’un grand synthétisme qui m’impressionne… Je lui disais ce matin que grâce à ma journée de travail hier, je pouvais maintenant resserrer le corsetage de mon cadre théoritique du chapitre 2 sur «wow-t=2.7k?» simplement en m’appuyant sur les nouvelles découvertes des cosmologistes concernant L’INTRI-K-ATION, la dé-K-ohérence, et l’hollogrammie de la matière quanto-cosmologique…. menant à la paradigmatisation du multivers sur toute multi-vie-personnelle-œuvre d’art.

Quelle joie… Marlene s’est levée… la nouvelle caméra arrive lundi du Japon… notre doctorat -trois peintres intriqués par la règle des 3 wows va pouvoir, à son tour, inventer instutionnellement la magie du Kosmos par la nano-citoyenneté-planétaire

à suivre…

Pierrot vagabond

LES TROIS ARCHÉTYPES HOLOGRAMMIQUES (MARLENE LA JARDINIÈRE, MICHEL LE CONCIERGE, PIERROT VAGABOND) PEUVENT AVOIR UN RÊVE BIG BANG PARCE QUE LEUR NON-TRICHERIE PAR LA FORMULE «WOW-T=2.7K?» LEUR DONNE ACCÈS AU MULTIVERS DANS SA FORME HOLOGRAMMIQUE, AU SENS OÙ TOUT CET ONÉRISME BIG BANG NE SERAIT FINALEMENT QUE LA BEAUTÉ DU MONDE SOUS SA FORME ENCODÉE, COMME LE SONT LES HOLOGRAMMES DANS LEUR FORME ENCODÉE SUR UNE PELLICULE. DE LÀ LA RÉVOLUTION DE LA DÉCOHÉRENCE INVERSÉE SOUS SES FORMES QUANTO-COSMOGONIQUES MULTIVERSELLES D’UNE HUMANITÉ EN FORME D’INOUI

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la magie du cosmos,
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qu’Est-ce que l’espace HD

extrait du texte

Notre conception de l’espace a connu une incroyable évolution. A l’époque de Newton, l’espace n’était qu’un contenant. Il ne faisait rien. Avec Einstein, il a commencé à influer sur le déplacement des objets. Ensuite, avec Casimir, les objets ont pu être littéralement poussés par l’activité qui se déploie dans l’espace vide. Et aujourd’hui, avec les idées de Higgs et L’ÉNERGIE NOIRE, l’expansion de l’univers pourrait être due à l’énergie même de l’espace vide.

Je pense que personne n’aurait pu croire que l’espace aurait un impact aussi riche et aussi profond SUR LA NATURE DE LA RÉALITÉ.

Malgré toutes ces avancées, les voyages entamés avec la vision newtonnienne de l’espace comme une sorte de scène figée n’est pas terminée.

En étudiant plus attentivement la structure du cosmos, on pourrait y trouver des surprises bien plus nombreuses que quiconque aurait pu imaginer. Tenez, moi par exemple, je parais bien réel, n’est-ce pas?    Oui, mais de nouveaux indices SURPRENANTS  semblent indiquer que, tout, vous et moi, et même l’espace, pourraient être en fait, UNE SORTE D’HOLOGRAMME.

C’est-à-dire que tous ce que nous voyons et nous ressentons, tout ce que nous appelons notre tri-dimentionalité familière pourrait être une PROJECTION D’INFORMATIONS STOCKÉE SUR UNE BI-SURFACE BI-DIMENTIONNELLE TRÈS LOINTAINE. C’est un peu comme ces informations d’hologramme sont stockées sur cette fine feuille de plastique.

Les hologrammes sont quelque chose que nous connaissons tous. Ils sont utilisés comme dispositifs de sécurité sur nos cartes de crédit.

MAIS L’UNIVERS, UN HOLOGRAMME?

C’est sans doute la remise en question la plus incroyable de notre  remise en question de l’espace et de la réalité. Et cette idée s’inspire de certains des objets les plus étranges de l’espace… LES TROUS NOIRS.

C’est une vraie rupture et c’est très difficile à appréhender. Les données livrées par les trous noirs indiquent que LA RÉALITÉ EST BI-DIMENTIONNELLE.  Que le monde tri-dimentionnelle es tune sorte d’image d’un hologramme située à la frontière de l’espace.

C’est très étrange. Plus jeune j’aurais pensé que seul un fou pourrait émettre pareille idée.

Voici comment je pourrais représenter la chose. Imaginez que je prends mon portefeuille et que je le lance dans un trou noir. Que se passerait-il? Avant, on pensait que, puisque rien, même la lumière ne peut échapper à la gravité d’un trou noir, mon portefeuille serait perdu à jamais. Mais il semble à présent que c’est peut-être plus compliqué que ça. Récemment, en étudiant les équations mathématiques qui décrivent les trous noirs, on a fait une curieuse découverte.

Lorsque mon portefeuille disparaît dans le trou noir, IL SEMBLE QU’UNE COPIE DE TOUTES LES INFORMATIONS QU’IL CONTIENT SOIT ÉTALÉE ET STOCKÉE À LA SURFACE DU TROU NOIR, un peu comme les données enregistrées  dans un ordinateur.

Ainsi au final, mon portefeuille existe AUX DEUX ENDROITS.  Il y a une version tridimentionnelle qui est perdue à jamais à l’intérieur du trou noir et une version BIDIMENTIONNELLE QUI RESTE À LA SURFACE, SOUS FORME D’INFORMATION. Mais le contenu informationnel, tout ce qui est tombé à l’intérieur du trou noir, peut être intégralement exprimé sur la surface du trou noir.

L’idée est donc , qu’on peut savoir ce qui se passe à l’intérieur, rien qu’en se référant à l’extérieur. En théorie, je pourrais utiliser les informations qui sont à l’extérieur du trou noir POUR RECONSTITUER MON PORTEFEUILLE.

Mais voilà où ça devient vraiment fascinant. L’espace à l’intérieur d’un trou noir obéit aux mêmes règles que l’espace à l’extérieur d’un trou noir, ou partout ailleurs. Donc si on peut décrire un objet à l’intérieur d’un trou noir grâce aux informations stockées à la surface,

IL SE POURRAIT QUE TOUT DANS L’UNIVERS , LES GALAXIES, LES ÉTOILES, VOUS ET MOI, ET MÊME L’ESPACE NE SOIENT QU’UNE PROJECTION DES INFORMATIONS STOCKÉES SUR UNE LOINTAINE SURFACE BIDIMENTIONNELLE QUI NOUS ENTOURE.

Autrement dit, ce que nous prenons pour la réalité, pourrait être une sorte d’hologramme. Le monde tri-dimentionnelle est-il une illusion, d ela même façon qu’un hologramme est une illusion? Peut-être, je suis enclin à penser que oui, que le monde tri-dimentionnel es tune sorte d’illusion et que la vraie réalité est la réalité bi-dimentionnelle à LA SURFACE DE L’UNIVERS.

Cette idée est si nouvelle que les physiciens en sont encore à essayer de la comprendre. Mais si elle est exacte, de même que Newton et Einstein ont transformé notre notion de l’espace, nous pourrions être à l’aube d’une révolution encore plus extraordinaire.

Pour un élément aussi essentiel de notre vie quotidienne, il est partout autour de nous, mais nous sommes encore loin d’avoir découvert sa véritable identité. Ca prendra peut-être cent ans ou mille ans, pour résoudre ce mystère, mais on aura fait un pas de géant pour comprendre la structure du cosmos.

LA TOUTE PREMIÈRE PHOTO D’UN TROU NOIR PRÉSENTÉE AU MONDE ENTIER

La toute première photo d’un trou noir présentée au monde entier

Publié le mardi 9 avril 2019 à 11 h 43
Mis à jour il y a 12 minutes

Alain Labelle

La toute première photo d’un trou noir, l’un des objets les plus mystérieux de l’Univers, a été présentée au monde entier lors d’une conférence de presse tenue par les responsables du radiotélescope virtuel EHT (Event Horizon Telescope), un réseau international d’observation.

Les rumeurs célestes laissaient entrevoir la publication d’une première photographie du monstre situé au centre de notre notre galaxie, mais c’est celle du trou noir au centre de M87 qui est présentée aujourd’hui.

La conférence était orchestrée par la Fondation nationale pour la science à partir de Washington, aux États-Unis, mais des représentants de plusieurs autres organisations internationales, notamment européennes, chiliennes, et japonaises, participeront également à la rencontre.

Alain Labelle

La toute première photo d’un trou noir, l’un des objets les plus mystérieux de l’Univers, a été présentée au monde entier lors d’une conférence de presse tenue par les responsables du radiotélescope virtuel EHT (Event Horizon Telescope), un réseau international d’observation.

Les rumeurs célestes laissaient entrevoir la publication d’une première photographie du monstre situé au centre de notre notre galaxie, mais c’est celle du trou noir au centre de M87 qui est présentée aujourd’hui.

La conférence était orchestrée par la Fondation nationale pour la science à partir de Washington, aux États-Unis, mais des représentants de plusieurs autres organisations internationales, notamment européennes, chiliennes, et japonaises, participeront également à la rencontre.

Carte illustrant les endroits où sont situés les instruments du radiotélescope virtuel EHT.
Les endroits où sont situés les instruments du radiotélescope virtuel EHT. Photo : ESO

Un mégatélescope

Ce réseau de huit télescopes terrestres est né en 2012. Ces instruments partenaires sont situés un peu partout dans le monde, ce qui a permis de créer l’équivalent virtuel d’un radiotélescope de plusieurs milliers de kilomètres de diamètre.

L’image serait née à la suite de l’analyse de téraoctets de données recueillies en avril 2017. Depuis ce moment, plus de 200 astrophysiciens tentent de déceler la « silhouette » de l’ogre au centre de la galaxie M87

L’astrophysicien Olivier Hernandez, directeur du Planétarium Rio Tinto Alcan, explique que le défi d’une telle observation réside dans la synchronisation des différents télescopes connectés au réseau.

« Plus on ajoute de télescopes, plus l’image sera brillante, et plus la distance entre chaque antenne est grande, meilleure sera la résolution obtenue. »

— Olivier Hernandez

Il faut ensuite entreposer, puis analyser l’immense quantité de données recueillies.

Une image déjà historique

Pourtant, l’image qui a présenté n’a que de 30 à 50 pixels.

« On peut s’attendre à avoir une image qui ressemble à un anneau, à un beigne vaporisé. »

— Olivier Hernandez

Le saviez-vous?
•Si le centre d’une galaxie est difficile à observer, il laisse cependant percevoir dans certaines longueurs d’onde une activité intense.
•Cette activité tiendrait sa source dans la présence du trou noir supermassif autour duquel évoluent une douzaine d’étoiles supermassives et des nuages de gaz.
•Un trou noir est un objet céleste qui possède une masse extrêmement importante dans un volume très petit. Comme si le Soleil ne faisait que quelques kilomètres de diamètre ou que la Terre était comprimée dans la tête d’une épingle.
•Le concept de trou noir a émergé à la fin du 18e siècle.
•Ils sont si massifs que rien ne s’en échappe, ni la matière ni même la lumière. Ils sont donc pratiquement invisibles, si bien qu’aucun télescope n’a encore réussi à en « voir » un.

L’horizon des événements

Les astrophysiciens ont réussi à reconstruire une image de l’horizon des événements qui marque la limite immatérielle de l’entrée dans le trou noir. Ce « contour » du trou noir est considéré comme l’un des endroits les plus violents de l’Univers, et le point de non-retour au-delà duquel tout – c’est-à-dire les étoiles, planètes, gaz, poussière, et toute forme de rayonnement électromagnétique, y compris la lumière – serait irréversiblement aspiré.

Concrètement, cette image montre la « silhouette » de l’horizon des événements du trou noir sur le fond étoilé, et permettre par le fait même d’obtenir pour la première fois la preuve que l’objet que l’on observe au centre de notre galaxie est bien un trou noir.

Confirmer l’état de nos connaissances

Si cette image marquera certainement les esprits, la plus grande avancée sur le plan scientifique est certainement la confirmation des théories actuelles sur les trous noirs. Cette annonce valider l’un des concepts de la théorie de relativité générale d’Einstein, un peu comme l’a fait l’Observatoire LIGO il y a quelques années.

« C’est un pas dans la bonne direction. Une preuve qu’on ne s’est pas trompé. »

— Olivier Hernandez

Toujours mystérieux

Ces objets célestes restent toutefois très mystérieux, même si certaines de nos théories sont vérifiées. Où va la matière qu’ils absorbent? Comment définir leur singularité gravitationnelle? Qu’est-ce qui se trouve de l’autre côté? Autant de questions sans réponse auxquelles la science pourra continuer de s’attarder dans les prochaines années.

Plusieurs autres trous noirs

Il n’y a pas qu’un ou deux trous noirs au cœur de la Voie lactée, mais au moins une douzaine, et ce n’est que la partie émergée de l’iceberg, affirmaient des astrophysiciens américains et chiliens l’année dernière.

Outre le trou noir supermassif Sgr A*, s’y trouveraient des trous noirs stellaires, qui se forment à l’occasion de l’effondrement gravitationnel de certaines étoiles massives en fin de vie, qui explosent en supernovae.