Gaelle Étémé  et Pierrot Vagabond dans une de leurs marches philosophiques la nuit …

GAELLE ET LES RÊVEURS ÉQUITABLES…. 2022….

COLLOQUE INTERNATIONAL DUR LES DIMENSIONS DU RÊVE

Michel Woodard et Marlene Auld , amis-chercheurs oeuvre d’art (Auld, Woodard, Rochette) ….. par leur sens de l’amitié; aux autres et de leur amour entre eux..

Plus la pandémie nous tient à distance, plus mon k-oeur est k-oeur à k-oeur avec Marlene et Michel, mes partenaires de recherche  sur la vie personnelle oeuvre d’art, le pays oeuvre d’art et la nano-citoyenneté-planétaire.

Et je ne cesse de me trouver chanceux d’avoir vu naître la pelle jaune de Michel, une véritable oeuvre icone de la philosophie d’en bas dans notre doctorat.

La justice épistémique … – YouTube

Marlene la jardinière… – YouTube

Michel le concierge… 70 ième /th… Célébration… – YouTube

La St-Valentin – YouTube

La Pelle Jaune ?… – YouTube

Je te demande pardon… – YouTube

———–

Ab : définition du Wiktionnaire

Le Ab : c’est l’élément central de la personne humaine, c’est le cœur, muscle noble, siège de la vie et du comportement moral c’est-à-dire source du bien et du mal, élément fondamental de la vie humaine

———-

————————–

——————————–

JOURNAL D’UN VAGABOND-CHERCHEUR

1: Toutes mes recherches des dernières semaines sur le k-oeur comme siège nano-k-osmologique d’un rêve big bang unique k-omme une feuille dans un arbre me k-onduisent à revisiter la dynamique de notre interface de création, ici dans l’appartement.,  dans le sens d’une k-osmologie de danse de nos rêves de métaphysique réciproque.

2: Il faut dire que Gaelle et moi vivons une exceptionnelle qualité de respect et de complicité d’une radicalité sans concession…. En ce moment, je suis en train de copier le tape audio d’hier dont je n’ose même pas donner le titre tellement ses avancées théoritiques sont remarquables… car tout son titre articule un programme de recherche qui risque d’être déterminant au niveau de la paragdimicité même des fondaments énigmatiques à partir desquels se réfléchira à travers le monde la métaphysique de demain.

3: Alors, j’écoutais mon hockey du Canadien à 98.5 , tout en écrivant mon blogue… quand Gaelle me dit… je vais aller dans la chambre danser avec ma musique… Quand elle entre dans cette phase… cela est souvent un exercice propédeutique à une nouvelle avancée car après elle se couche en contemplation , en posture d’attention priméitive… et cela peut durer des heures…. Puis après, elle se lève et nous faisons un tape audio.

4: Donc, il est rendu minuit… mon hockey est fini… et je réalise qu’elle est encore dans la chambre, porte fermée… Je sais qu’à mon tour je dois aussi m’étendre et tomber en contemplation active … Alors je me dis… Qu’est-ce qu’il manque à notre poétique d’interface pour que la danse de nos recherches réciproques s’optimalise?

5: Bien sûr, il y a l’atelier de métaphysique de Gaelle qui occupe l’espace du salon, un bureau de recherche  neutre dans la cuisine que nous utilisons à tour de rôle et cet autre espace que j’adopte de plus en plus ou trois chaises et une petite table constituent comme un petit vaisseau spatial ou mon k-orps comme socle ab-jetal expérimente le champ k-onstellaire d’une nano-k-osmologie de pensée pour la mise en rêvons d’un abcédaire des 187 étiquettes ab-ceptuelles d’un glossaire onirique.

6: Et là je me dis… il y manque quelque chose…. Je fouille dans l’armoire près de la salle de bain… et j’y trouve plié un magnifique tapis que je peux déposer sur le sol, quelques coussins pour me faire un oreiller et une couverture électrique… et me voilà avec un complément à mon laboratoire vaisseau-spatial… moi qui adore dormir par terre, comme je le faisais en forêt ou chez Michel, je retrouve le compagnonnage de mes brosses d’être et attaques d’être.

7:  Et nous voilà avec 4 lieux eumétriques-laboratoires…. l’atelier de métaphysique, la chambre des contemplations, le bureau de recherche de la cuisine et la station k-osmique du socle ab-jetal… Si on avait de l’argent… on pourrait , soit habiter un 2 et demie, soit faire de la chambre des contemplations un laboratoire d’équipements virtuels pour l’épopée des graphes-spéculatifs de Gaelle avec de l’équipement fine pointe… mais ça viendra….

8: L’important me semble de danser la paragdimicité de nos métaphysiques réciproques, Gaelle celle de la raison cosmétique et moi, au nom de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) une métaphysique de l’onti-khation par le rêve big bang., le tout par un nuit et jours, 7 semaines, sans faille… dans une joie et le privilège d’être des chercheur(e)s en métaphysique.

9: Ça me fait tout drôle dans ce blogue de ne pas parler des recherches de Gaelle… parce que ça lui appartient … tout en déployant les miennes autant dans l’articulation de ses axes postulaires que dans sa parfaite imporosité à tout ce qui m’a précédé comme ce qui va suivre… Je suis conscient que le rêve big bang en soi qui signe le réel mais n’en fait pas partie me sert de point d’archiède ça toute une épopée de l’errance poétique qui ne pourrait être vécue avant notre ère nano-losmologique multiversielle que sous formes de spiritualités découlant d’une fantômagie spectrale de déités historiques en entonnoir inversé vers un Dieu personnel chrétien…

10:  L’auto-réfencialité portant l’image d’une feuille unique d’un arbre fait de l’épopée de la lettre K à partir d’un principe multiversiel ab-xiomatique….. wow-t=2.7k?  me semble la conséquence , pour ma feuille unique de la prise de posture d’une question de fondée…..  Si je prends soin de l’univers, est-ce que l’univers va prendre soin de moi? … sur  une mise en opérationnalité conséquentielle de 4 questions  ab-ceptuelles donnant forme sculptée par le k-oeur et son champ k-onstellaire au socle ab-jetal même de cette métamorphose que constitue ce corps des 3 ieres stations spatiales qui soudainement se fragilisent par 4 questions  pour mieux accéder à celle du k-oeur…

1: Quel est ton rêve?

2: Dans combien de jours?

3: Qu’as-tu fait aujourd’hui pour ton rêve?

4: Comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

——–

11:  Dans le fond, ce que j’expérimente par l’ab-chétype hologrammique de Pierrot le vagabond céleste, c’est le passage du Je- cartésien et son épopée le conduisant du romantisme à l’existentialisme en passant par le personnalisme chrétien à une dissolution par le rêve big bang d’une posture sujet objet… pour aboutir à une posture hologrammique, c’est-à dire un je qui déjà dans sa partie rêve big bang  est totalement en même temps le je rêveur big bang du tout… Je suis donc dans l’enchantement , le merveilleux d’un JE HOLOGRAMME DANS SON AB-CHÉTYPE donc le socle ab-jetal porte hologrammiquement son rêve big bang unique comme une fleur dans un arbre…. De  l’importance politique de sortir de la logique de guerre hobbienne pour transgrammer dans une logique de paix  dont les paramètres institutionnels sont convoqués à une réforme par l’invention de la nano-citoyenneté-planétaire en vue d’une mise en scuptation de pays oeuvre d’art par une masse critique de vies personnelles oeuvre d’art multiversielles, au nom des millions d’enfants qui se meurent de faim ou de blessures de guerre sur cette terre, fondement ab-xiomatique même du passage de l’errance fantomatique-axiologique à l’errance poétique comme un droit multiversiel pour tous humains vagabondant l’énigme de la vie.

————-

12:  Quand je pose la question de départ… Si je prends soin de l’univers, est-ce que l’univers va prendre soin de moi, je ne m’adresse pas ni à un Dieu, quelconque, ni à un Dieu personnalisé … mais  à une énigme multiversielle trans-rêvons ….  qui se manifeste au rêveur par des axes paramétraux que j’appelle encore de façon mal ficelée la synchroni-vieté, les rêvons, les qwalias, les brosses d’être, les attaques d’être, la fissure du temps…. un ensemble d’ab-cepts qui font appel à l’hologrammie co-créatrice d’une infinité d’une infinité de big-bang qui signent onériquement l’errance poétique par le merveilleux, la beauté du monde inscrite dans une logique de paix aux convocations de nature nano-quanto-politique même de ce que je surnomme institutionnellement l’invention de la nano-citoyenneté-planétaire, et ses deux assemblées des justes élues par tirage au sort et se présentant sous formes de 39 femmes et 39 hommes en ab-chétypes hologrammiques, ce qui correspond à l’application poétique du voile d’ignorance de John Rawls dans son livre la justice comme équité (1971)

————–

13:  C’est donc dire à quel point ma posture épistémologique est à mille lieu du structuralisme, comme du post-structuralisme…. qui constituent pour moi la mort du JE par l’absurde du non-je comme principe de vie métaphysique. par la stylisation de catégories absolutistes dans le rèegne même d’une logique discursive anthropologique autant que sémiotique…  ……….

—————-

 

14:  Je  qualifierais plutôt ma posture métaphysique onti-kha-tive du rêve big bang comme le saut nano-k-osmologique multiversiel dont les racines reposent sur la sortie du JE des trois stations spatiales ontikes (les 5 sens (Hume) … le cerveau (Descartes Kant…)  et viscérales (Freud) pour transgrammer sous forme multiversielle dans une hologrammie ab-chétypielle source de l’errance poétique d’une porosité paradigmatique  à l’impossible heureux,, donc au merveilleux même de ce qui constitue la danse même de toute vie personnelle oeuvre d’art qui ne triche pas avec son rêve big bang… wow-t=2.7k?… Donc, la suite logique du romantisme, du personnalisme  et de l’existentialisme comme rêve d’un infini énigmatique à l’horizon des impossibles heureux, mais sur cette terre même et dans l’optique de l’île de l’éternité de l’instant présent.

————-

15: Tout se passe comme si le multivers et ses infinis big bang dont les bruits de fond cosmologiques comportent une infinité de rêvons  se transgrammant sous des évènements de synchroni-vie-tés venaient hologrammiquement habiter par le tout le tout de la partier d’un rêve big bang dans ses ondes qwaliennes sous forme de débris de la mémoire du k-oeur…. comme si le principe même du rêve big bang multiversiel qui signe le réel humain sans en faire partie était hologrammiquement co-créateur d’une marche d’errance poétique impossible mais pourtant écho qwalien même du merveilleux s’exprimant par la fissure du temps sous forme de la beauté du monde déployée en filigranne intemporellement, hors temps, hors réalité, hors servitude…. poésie même de l’ontikhatif racical qui enlasse ce qui deviendra un jour l’humanité oeuvre d’art en danse mulktiversielle avec son énigme impossible.

————-

16: Je réalise que les différentes eumétries que créent maintenant la dynamique de nos lieux de création sont merveilleusement opérationnelles… Quand gaelle et moi on a besoin de notre bulle, je m,en vais travailler dans le bureau de la cuisine et elle s’enbullent sur son sofa sde métaphysique… Puis quand la période de réclusion chacun de notre côté a fait son temps… je m’en vais soit m’asseoir devant elle soit en arrière dans ma station spatiale… ce qui crée une dynamique vraiment respectueuses de nos cycles de création.

———–

————

———–

—————————-

————————————-