SCHELLING, (1775,1854) … K-LARA, L’AMOUR ET LE MONDE DES ESPRITS… 2EME PARTIE DU 2EME DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU K-OEUR

k-LARA, L’AMOUR ET LE MONDE DES ESPRITS

EXTRAIT

 

C’était au jour de la Toussaint… et nous faisions route vers la ville , le médecin et moi, pour en revenir le soir même avec k-lara. Elle s’y était déjà rendue K-uelques jours auparavant en K-ompagnie de mes deux filles. K-omme nous avions déjà devant nous la belle ville, située à peu près à la hauteur de la montagne, nous vîmes une foule de gens en K-ortège se diriger vers une K-olline en pende douce K-ue longeait notre chemin.

Nous eûmes au fait de deviner ou ils se rendaient . Nous décidâmes alors d’assister nous-mêmes à cette fête émouvante célébrée ce jour-là dans les villes K-atholiques À LA MÉMOIRE DES MORTS.

L’endroit se trouvait déjà tout rempli de monde … C’était une chose singulière à voir … LA VIE SUR CES TOMBES … éclairée de leurs mystérieuses par un pâle soleil d’automne …

Nous découvrîmes bientôt, en s’é-K-artant des sentiers fré-K-uentés, K-ue des cercles harmonieux s’étaient formés autour des tombeaux… Ici, des jeunes filles dans la fleur de leur âge …tenant par la main leurs frères et soeurs plus jeunes  déposaient une couronne sur la tombe d’une mère … là une mère se tenait en silence sur la tombe de ses enfants  tôt disparus … Nul besoin n’était d’eau bénite  pour tenir lieu de larmes … des pleurs doucement versés k-ue sanctifiait une tendre douleur répandaient leur fraîcheur sur le sol des tombeaux…