QUAND PIERROT LE VAGABOND CÉLESTE MARCHAIT LA NUIT, DANS LA CHALEUR DE L’ÉTÉ, LES ÉTOILES, LE PETIT VENT, LES FEUILLES …. LA BEAUTÉDU MONDE LUI SOUFFLAIT À L’OREILLE …..JE PRENDS SOIN DE TON RÊVE… MARCHE-LE SANS CRAINTE ….

Comme je fus hanté par une humanité oeuvre d’art en devenir …. Je n’avais rien, je n’étais rien… mais je rêvais d’enflammer le canada en cartographiant ses rêveuses et ses rêveurs …. J’avais faim, j’étais trempé, mes ampoules aux pieds me faisaient mal… mais je rêvais l’impossible… l’oeuvre d’art impossible…

Ne jamais rien demander… comme la solitude fut vive parfois quand un certain nombre de jours, sous un pont, j’attendais une éclaircie de soleil pour reprendre la route…..

La beauté du monde…. je ne vivais que pour elle

Pierrot vagabond