Kant… critique de la raison pure, p. 190, extrait ….
Toute connaissance empirique suppose la synthèse du divers qu’opère l’imagination et qui toujours est successive, c’est-à-dire que les représentations s’y succèdent toujours les unes aux autres. Mais la succession n’est pas du tout déterminée dans l’imagination par rapport au point de vue de l’ordre par rapport à ce qui doit précéder, et la série des représentations qui se suivent peut être prise en remontant aussi bien qu’en descendant. Si cette synthèse est une synthèse de l’appréhension (du divers d’un phénomène donné), l’ordre est déterminé dans l’objet ou pour parler plus exactement, il y a ici un ordre de la synthèse successive qui détermine un objet et d’après lequel quelque chose doit nécessairement précéder, et, ce quelque chose une fois posé, quelque autre chose suivre nécessairement.
Si donc ma perception doit enfermer la connaissance d’un ÉVÉNEMENT, c’est-à-dire d’un point du temps ou quelque chose arrive réellement, il faut qu’elle soit un jugement empirique ou l’on conçoit que la succession est déterminée, c’est-à-dire que cette succession suppose dans le temps un autre phénomène qu’elle suit nécessairement, c’est-à-dire d’après une règle.
Au contraire, si je pose le phénomène précédent et que L’ÉVÉNEMENT ne le suive pas nécessairement, je ne devrais tenir ma perception que pour un jeu subjectif de mon imagination, et si je m’y représenterais quelque chose d’objectif, je devrais la nommer, UN SIMPLE RÊVE.
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COMMENTAIRES
1: La liberté par le rêve big bang pourrait se décrire comme l’énigme du noumène qui se déploie comme un ÉVÉNEMENT IMPOSSIBLE.
2: c’est dan s le sens nouménal que l’on pourrait parler d’ab-chétype hologrammiques et non d’archétypes hologrammiques.
3: Le rêve big bang par l’eumétrie reliée aux RITUELS D’ENCHANTEMENT permet l’onti-kha-tion de l’ontike par qwalia nouménaux.
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Contrairement à ce que déploie la critique de la raison pure, le rêve n’est pas la résultante de l’imagination dans son interprétation d’un événement, mais une pure impossibilité du noumène qui s’introduit par enchantement dans les ordres des phénomènes.
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Les phénomènes sont de l’ordre de l’ontike et les noumènes, de l’ordre de l’onti-kha-tif. En ce sens , l’onti-kha-tif est un voyage impossible de l’infini au k-oeur même de la finitude de toute vie personnelle oeuvre d’art.
L’écriture d’un rêve onti-kha-tif s’illustrant par une pictogrammie des socles abjetaux que constituele nes objets noumenaux en soi.
De là tout le problèeme de la mémoire toxique reliée à l’onti-ke le jour et aux débris de la mémoire du corps dans nos rêves la nuit pendant que l’on dort.
Un rêve big bang n’est donc pas une pensée mais un inpensé impossible fait de parfums d’enchantements onti-kha-tifs.
Le rêve big bang est le refus de l’aventure conflictuelle reliée au champ de bataille des désirs dans sa tension onti-ke accentué par une bienveillance onti-kha-tive d’une vie personnelle oeuvre d’art.
L’équité oeuvre d’art d’une relation repose sur l’onti-khja-tion de tout conflit par le confort des rituels d’enchantements.soit la présence nouménale de l’onti-khatif dans l’ontike.
Objectif: 2 rêves gagnant-gagnant dans le respect des rythme de marche de chacun des rêves big bang.
Prendre soin du rêve de l’autre, c’est faire quelque chose pour l’autre, dans l’intérêt de l,autre, sans intérêt personnel caché, par pure joie de désamorcer les tensions reliées à l’ontike.
toute qwalia est reliés au surgissement de l’événement nouménal dans le phénoménal.
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Contrairement à ce que pensait Kant, un événement ne s’insèere pas dans une suite, mais la transgresse par ses qwalias nouménales.
PIERROT VAGABOND