DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU K-OEUR 4

YOU TUBE, SONDE VOYAGER, EN ROUTE VERS L’INFINI, DOCUMENTAIRE SCIENTIFIQUE, 2019.

extraits

Lorsqu’on a annoncé Récemment que Voyager avait pénétré dans l’espace interstellaire, c’était un peu comme si l’humanité ÉTAIT DEVENUE UNE ESPÈCE INTERSTELLAIRE, comme si l’éternité lui avait ouvert ses portes…. (3.10) ….. Pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, L’humanité par le biais d’un disque doré s’est fait vaisseau spatial pour communiquer avec d’autres êtres vivants dans le cosmos  si c’est possible …. LE DISQUE DORÉ ÉTAIT EN QUELQUE SORTE LE K-OEUR BATTANT DU VAISSEAU. Son objectif c’était l’exploration scientifique. Mais le disque, C’ÉTAIT SON ÂME. (10.50)

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Dans l’optique d’une philosophie spéculative radicale, ce doctorat fondera son argumentaire à partir de de l’axiome suivant : Sur la planète Terre, chaque Je est un rêve d’infini au k-oeur même de sa finitude  …. En découlera corollairement et nécessairement un deuxième axiome : Cosmologiquement, chaque big bang JE du multivers ne peut être lui aussi qu’un rêve d’infini au k-oeur même de la finitude… De là …. la question qui en découlera : COMMENT S’ASSURER ÉPISTOLOGIQUEMENT QU’IL EN EST AINSI? ET S’IL EN EST AINSI …. QUI, entre le k-osmos et l’humain,  EST LA FRACTALE DE QUI?

Ce qui nous conduira à une métaphysique spéculative radicale…. Celle de l’impossible … comme si l’un et l’autre, comme si l’un par l’autre, comme si l’un contre l’autre, par ce tout du tout qui en découle ….  Le k-osmos et l’humain ne pouvaient être issus que d’un seul et même rêve d’infini au k-oeur de la finitude, se déployant fascinamment et originalement , de fractale en fractale,  sous la forme d’un personnage hologrammique  tissant d’un même fil d’or l’aventure quanto-cosmologique nano-humaine…. Traversant ainsi notre doctorat comme s’il s’agissait d’un personnage onérique que nous identifierons tout au long de ce conte doctoral comme étant : LE RÊVE BIG BANG.

Et c’est CE RÊVE BIG BANG, personnage hologrammique-onérique de notre conte doctoral, qui portera inventivement la poiétique comme la poétique de trois étiquettes abceptuelles (un abcept, c’est la partie onérique d’un  concept)  flottantes de la nano-modernité du 21eme siècle  telles que suggérées par notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette), soit  : LA VIE PERSONNELLE ŒUVRE D’ART, LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE, LE PAYS ŒUVRE D’ART. Le tout, dans un quatrième temps,  menant à l’enjeu suivant :Dans ce troisième chapitre,  par une suite sérenpiditaire des débris de la mémoire du K-oeur, ce maître infini des songes infinis du multivers appelé LE RÊVE BIG BANG,  tisse synchroni-vie-tivement le rêve de ma vie personnelle œuvre d’art. comme les rêves de milliards d’autres vies personnelles œuvre d’art par une suite unique de débris de la mémoire du k-oeur, tel un insaisissable de la beauté du monde… faisant de mon moi onérique, un fils fractal d’une énigme enchantée …. Faisant de mon je-errant-poétique …. UN JE QUI N’A DE CESSE DE RÊVER L’INFINI AU K-OEUR MÊME DE SA FINITUDE … convoquant l’émergence  ab-ceptuelle (un ab-cept est la partie onérique d’un concept qui le rend illogiquement inopérationnel) d’une humanité œuvre d’art en devenir en moi ….  par quatre questions que peut se poser toute vie personnelle œuvre d’art de la nano-modernité en apesanteur cosmique de sens en soi : 1) Quel est ton rêve, 2) Dans combien de jours? 3) qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve? 4) comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?