DOCTORAT (AULD, WOODARD, ROCHETTE) … JE TE DEMANDE PARDON…. CHAPITRE 1 MARLENE LA JARDINIÈRE (L’ÎLE DE L’ÉTERNITÉ DE L’INSTANT PRÉSENT) , CHAPITRE 2, MICHEL LE CONCIERGE (LA NON-TRICHERIE) CHAPITRE 3, PIERROT LE VAGABOND (LE RÊVE B IG BANG)

Débris de la mémoire du K-œur… 1,
Blogue, 10 septembre 2020
LE RÊVE BIG-BANG

Dans l’optique d’une philosophie spéculative radicale[1] auto-référentielle[2] de ma vie  …. qui a vécu LE RÊVE BIG BANG qui l’a aspiré ….. comme LE personnage archétype onérique…LE souffle même du multivers… LA source vive ab-réelle (l’ab-réalité c’est la partie impossible du réel) ….. qui , même s’il ne fait pas partie du réel mais le signe….   fit, fait et fera ….  de ce socle ab-jetal (un ab-jet est un objet qui se dissout sous la beauté du rêve qu’il transporte) que fut, est et sera mon corps …. un JE ONÉRIQUE D’UNE ENNIVRANTE ERRANCE POÉTIQUE K-OSMOLOGIQUE ÉVÉNEMENTIELLE ….. dans cette optique, dis-je, ce doctorat se propose donc de raconter, dans ce troisième chapitre,  l’histoire de ce maître infini des songes infinis du multivers appelé LE RÊVE BIG BANG,  tissant ma vie parmi des milliards d’autres par une suite de débris de la mémoire du k-oeur, tel un conte insaisissable de la beauté du monde… faisant de mon moi onérique, un fils fractal d’une énigme enchantée …. Faisant de mon je-errant-poétique …. UN JE QUI N’A DE CESSE DE RÊVER L’INFINI AU K-OEUR MÊME DE SA FINITUDE … convoquant l’émergence  ab-ceptuelle (un ab-cept est la partie onérique d’un concept qui le rend illogiquement inopérationnel) d’une humanité œuvre d’art en devenir en moi ….  par quatre questions que peut se poser toute vie personnelle œuvre d’art de la nano-modernité en apesanteur cosmique de sens en soi : 1) Quel est ton rêve, 2) Dans combien de jours? 3) qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve? 4) comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

Rien n’y sera vrai, rien n’y sera faux. Juste un conte sous la forme un constat glossairique constellaire  PERCEVANT TOUT VIVANT COMME UNE FRACTALE K-OSMOLOGIQUE issue du rêve big bang multiversiel lui-même ….. et cela  dans le but de mieux réinventer spéculativement l’humain par le k-osmos et le k-osmos par l’humain …. à travers  UN VAGABONDAGE ONÉRIQUE DU RIEN QUI SE FAIT MOINS QUE RIEN AU PAYS DU CELA EST….  À LA FOIS TOUT ET RIEN.

Ego sum pauper (Je suis pauvre)

Nihil habéo (je n’ai rien)

Et nihil dabo (Je ne demande rien)

[1] PHILOSOPHIE SPÉCULATIVE RADICALE …. Posture épistémologique inspirée de Whitehead….  ré-expérimentée  par le philosophe Didier Debaise et son groupe de recherche LE GECO (groupe d’étude constructiviste ouvert, Université libre de Bruxelles). Dans une entrevue (You tube, EN COURS DE ROUTE, 28 mai 2019, Didier Debaise, 2/2 le GECO, extrait, 33.25 à 53.18, Debaise dit ceci : «  ….. Moi à l’époque, j’enseignais Whitehead et d’autres. Je donnais un cours sur Nietzsche, Deleuze, mais il y avait un enjeu au GECO. C’ÉTAIT LES PRATIQUES DE SAVOIR. Et tout doucement, la question de LA SPÉCULATION avait pris le dessus sur la question de la pratique du savoir, au sens du constructivisme, des rapports de pratique de connaissance. Et cette insistance-là venait d’isabelle et de moi et c’était difficile de convaincre les autres au GECO parce que LA PENSÉE SPÉCULATIVE avait encore très fort la réputation d’être une pensée très abstraite, générale, très philosophique ………. Bénédicte présentait un texte de Donnah Haway dans laquelle elle parlait de LA SPÉCULATION SPÉCULATIVE et on a commençé à explorer ça.  ………… Donner de l’importance à des expériences qui ne soient pas exclusivement anthropologiques , exclusivement humains … ouvrir la pensée vers d’autres foyers d’expériences, d’autres sens de l’expérience … C’était aussi interroger, susciter LA QUESTION DES POSSIBLES … Et voir la pratique de la philosophie comme une pratique d’articulation QUI NE PEUT RIEN EXCLURE, de ne jamais se mettre en posture de disqualification, sauf de toute théorie qui se présente comme disqualifiante. ……

 

[2] AUTO-RÉFÉRENTIELLE dans le sens de la fable des miroirs d’Épitecte … mais non pas sous formes de miroirs philosophiques mettant en valeur les vertus et les perversions du reflet de soi, mais plutôt vécu comme un saut épistémologique convoqué par le rêve big bang lui-même à partir duquel le JE de la personne humaine meurt à lui-même pour renaître nano-k-osmologiquement sous forme d’abjet abecptal fractal du rêve big bang lui-même.  Le JE DISSOUS PAR LE VOIR DE LA BEAUTÉ DU MONDE  devenant miroir d’un miroir à la puissance onérique wow-t=2.7k?.

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