DANS UNE BROSSE D’ÊTRE…. LE LIBRE-ARBITRE SE SÉPARE SOUDAIN DE L’INTELLECT … PUIS SOUDAIN …. DANS UNE PHASE DE PURE JOIE …. LE LIBRE SE SÉPARE DE L’ARBITRE …. COMME SI LE VOIR LUI MÊME SE FAISAIT POINT D’EXCLAMATION AU K-OEUR MÊME DES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU K-OEUR

Prendre soin avec dévotion d’une autre vie personnelle oeuvre d’art et de son rêve big-bang illumine à ce point son propre rêve big bang que soudain …. tout perd son sens au profit du pays du rien… qui lui ne fonctionne pas par le sens… mais par la joie la plus pure de ne pas avoir de sens …

LE CELA EST  ….  n’est que pure joie abdiquée de sens …. Dès que je dépose le socle abjetal de mon rêve big bang ( soit le k-orps vu de la station spatiale du k-oeur) … que ce soit en forêt ou dans un appartement quelconque …la poésie onérique de n’être rien,,, de ne demander rien … descend lentement comme un soleil rouge un soir de bord de mer …

Je commence d’abord  à déposer mes deux mains bien au-delà de ma tête ….  couché sur le dos… J’apprécie la paix du rien ….comme un paysage de béatitude impressionnant de respect pour le libre-arbitre et son intellect qui cherche un sens à tout cela ….

Puis… des parties de moi vont se coucher … les pulsions, les sentiments, les parties actives des 5 sens sensibles ….resteht l’intellect et le libre-arbitre….

Je me vire sur le côté avec un coussin entre les bras… puis sur l’autre… et soudain… je dors sur le ventre…. le visage bien étampé contre le sol…. les deux bras comme des vols d’oiseaux…

Et le vent de fraîcheur du cela est vient… tout en douceur, tout en respect ….  l’intellect est invité à son tour à aller dormir…. ne reste que le libre arbitre…

Le cela est se déploie sous forme de séquences de vagues …. l’arbitre va se coucher à son tour ….. LE LIBRE DANSE….

Pierrot vagabond