MICHEL LE CONCIERGE ET SON AMI PIERROT VAGABOND
Le nuit et jour consacré à la recherche a pris un élan poétique inattendu.. celui de l’amitié oeuvre d’art.… Tout se passe comme si mon k-oeur de chercheur se partageait deux univers de convivialité eumétrique…. Celui de Gaelle la métaphysicienne quand je vais dans son petit appartement métamorphosé en atelier doctoral… puis quand je retourne après un nuit e jour passé dans l’intensité de l’univers métaphysique de Gaelle dans la bulle d’amour oeuvre d’art que vivent Marlene et Michel….
Et entre les deux territoires d’amitié oeuvre d’art… je signe doucement le trajet de mes pieds vagabonds… car tout est devenu onérisme …. Je sens à peine mon corps parce que socle abjetal de mon rêve big bang…
La nuit chez Gaelle fut encore une fois d’un design eumétrique dansant…. Quand elle signe ses graphes sur son grand divan… moi je lis sur le fauteuil… en fait… je parcours livre par livre son âme bibliographique qu’elle a amassé ç travers les années…
Et je la regarde… elle si belle femme dont je ne vois que la beauté encore plus magnifique de son rêve… Je me rends compte que toute pa vie de vagabond céleste… j’ai soit allumé des rêveuses ou des rêveurs, soit serré la main à des grandes rêveuses ou rêveurs du pays… soit pris soin avec une dévotion sacrée d’un rêve en péril d’une rêveuse ou d’un rêveur…
Gaelle travaille à son doctorat oeuvre d’art… Non pas un doctorat de commentaire… mais un doctorat de pure invention métaphysique… Et jour après jour, nuit après nuit, d’un enregistrement audio à l’autre, je suis voyageur… d’un événement universitaire…
Par sa main qui trahit la pensée… Gaelle a créé un univers graphique qui a son tour a fait d’elle une conscience graphique hors de l’histoire, hors de la dialectique, hors de l’herm.neutisme…
Et voilà que cette conscience graphique par le biais méthodologique d’une boîte à syntagmes fait de sa lectrice et de son lecteur une conscience graphique , lui donnant les clés pour partir è l’exploration génétique des nouveaux chemins du merveilleux par le pari du rien sous la luminosité de la raison cosmétique….
LE VOYAGE D’UN RÊVE MUET.
Je lis un peu par terre…. retourne sur mon fauteuil…. regarde l’arbre dans la fenêtre… devient brosse d’être… Puis… chacun sur nos divans… tout habillés… avec une jetée comme couverture… nous nous enfonçons dans l’onérisme d’un sommeil réparateur avant de se réveiller et de reprendre le voyage doctoral…
Et puis… et puis…. 24 heures ont passé… Il est 7 heures du soir… je reprends le métro…. marche Côtes des neiges… entre dans l’appartement… Marlene et Michel me font un accueil remarquable… Michel a pratiqué sa guitare… Nous rions… Marlene invente la notion DE LABORATOIRE POÉTIQUE … Nous rêvons…. nous dansons notre amitié. oeuvre d’art…
Et me voilà sur ma planche… dans mon sac de couchage… visité par une formidable attaque d’être… Je ne sais même pas si je dors.. On dirait la beauté du monde qui prend soin de moi pendant que je m’assoupis… J’ai beau dormir sur une planche… c’est le rêve big bang lui-même qui se fait soie, nuage de soie orné d’humanité oeuvre d’art…
Une heure du matin… réveil…. tout en somptuétude…. pour ne pas déranger l’attaque d’être qui ne m’a pas quitté… et me voilà sur ma petite chaise devant le portable que Marlene et Michel m’ont acheté à rêver par les mots… notre équipe de recherche… Marlene, Michel Gaelle
Et me voilà implorant ces millions d’enfants se mourant de faim ou de blessures de guerre de ne pas m’en vouloir si la nano-citoyenneté-planétaire n’est pas encore survenue… si les deux assemblées des justes (39 femmes et 39 hommes) n’ont pas encore tenu leur première table ronde multiverselle sur la cinquçeme question du pays oeuvre d’art
COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?
Pierrot vagabond