CE QUI M’A VRAIMENT RENDU HEUREUX DURANT CES 71 ANS… C’EST L’ART DE LA POÉSIE DE L’EUMÉTRIE OEUVRE D’ART…..CHAQUE DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU K-OEUR DANSE EN MOI …. LA JOIE DU RIEN… COMME UNE LUCIOLE DE NUIIT VA SE BLOTTIR CONTRE LE RÊVE BIG BANG AU PETIT MATIN… ET LE SOIR VENU… È L’HORIZON D’UN COUCHER DE SOLEIL… L’ERRANCE POÉTIQUE DU FIL D’OR VAGABOND CÉLESTE È SON TOUR ALLUME UN FEU DE CAMP… CELUI DE L’HUMANITÉ OEUVRE D’ART EN LUI

Sur cette terre, il est des poèmes qui ne s’écrivent pas… ils dansent au k-oeur de débris de la mémoire comme one buche-braise fait virevolter des émerveillements transgrammiques.

Je fus dévotion…. Des fois la nuit… je me dis… comment le vagabond céleste a-t-il pu avoir si faim sans jamais souffrir de la faim,,, avoir si soif sans jamais souffrir de la soif… avoir si froid sans jamais souffrir du froid… avoir si chaud… sans jamais souffrir de la chaleur…

J’étais visité par le fil d’or de l’imnpossible… et je recevais ce rêve big bang émissaire du rien avec une poésie de l’eumétrie oeuvre d’art, Comment le dire….

Je n’ai qu’à fermer les yeux… Un débris de la mémoire du k-oeur remonte… lentement…  Le soleil descend à l’horizon… Il me reste un crouton de pain … mais par chance ma gourde est pleine… Je suis sur une route de bois… mon bâton de parole cogne è la porte de l’éniegme… Le vent est doux… Les feuilles scintillent de joie de me dire des secrets millénaires parce que je suis devenu un arbre qui relève ses racines…

Soudain… une fraîcheur … je la reconnais… elle s’avance lentement.. je sais que j’aurai une attaque d’être cette nuit… ohhhhhhhhhhhh…. je dois trouver un paysage 5 étoiles pour accueillir la visite…  J’avance … ohhhh… un petit ruisseau… une grosse roche… il ne pleuvra probablement pas cette nuit…

Je dois me dépêcher… je m’installe… entre dans mon sac de couchage… mon corps me fait signe qu’il va aller prendre une marche pour me laisser recevoir ma visite…

Et la poésie se fait présence… je deviens feu de camp… elle devient bûche de joie… aucun mot ne se prononce de part et d’autre… que le silence du rien … que la beauté du monde signée par le rien…

EGO SUM PAUPER… NIHIL HABEO… ET NIHIL DABO…

Mes pensées en profitent pour faire camp de vacance entre elles… mon libre-arbitre se fait discret… immensément discret… Je n’ai plus faim, je n’ai plus soif, je n’ai plus froid, je n’ai plus chaud… je suis ammmmmmmmmmmmmoureux du rien. Et le rien est ammmmmmmmmmmmmmmoureux du vagabond céleste en moi.

Il y a des poèmes qui ne s’écrivent pas…. parce que dévotions absolues, sacrées ….dévotions à la beauté du monde en l’autre…

1-quel est ton rêve?

2- dans combien de jours?

3: qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?

4: Comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?

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5 heures du matin… je me réveille… il est temps d’ensemencer à nouveau le pays par les 4 questions…. j’arriverai dans un village… peut-être si je suis chanceux je pourrai demander…. Bonjour madame, connaissez-vous un grand rêveur ou une grande rêveuse à qui je decrais serrai la main avec de continuer mon chemin? Aetographier la beauté du monde tout en allumant des rêveurs par les 4 questions pour qu’un jour… la cinquième question surgisse au k-oeur même de la nano-modernité… de la nano-citoyenneté-planétaire…

5: COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE?

Je me rappelle… j’avais obtenu $20,000mpour un projet Pericles comme doctorant en intelligence collective (Pierre Levy) université d’Ottawa… pour un projet Péricles (www.reveursequitables.com /cahier de presse/ monsieur 2.7k?). Ce projet consistait èa faire du village de Val-Morin le premier au monde à réaliser par internet une réunion municipale… et les décision du conseil ce soir-là seraient prises par la population…. dans un projet pilote..

J’avais demandé … que j’habite un bureau… ou il serait .écrit… BUREAU DU GARS QUI FAIT RIEN…. et j’aurais vraiment rien fait…. tout en donnant une conférence sur la différence entre rien faire et faire rien… On me dit que ça ne passerait jamais… je suis repartis… l’eumétrie poétique pour moi, c’est non négociable…

J’ai vagabondé 4 universités… avec des guenilles royales… en pantouffles …sans jamais m’inscrire.. en prenant soin du rêve de mes gardiens… dans une poésie eumétrique oeuvre d’art au fil d’or inépuisable…

Dans le temps des fêtes… a l’UQAM… comme je n’avais pas de carte… je n’aurais pu entrer au 24 heures.. Je me suis donc enfermé là nuit et jour… par pure dévotion eumétrique à la poésie du rien. Comme je connaissais tous les gardiens… chacun a senti le besoin de me protéger… parce que j’étais poésie… et une université sans recteur poétique… c’est de la misère institutionnalisée.

Terminé le vagabondage de la connaissance institutionnelle… Terminé le vagabondage du pays oeuvre d’art… il ne reste que la poésie des débris de la mémoire du k-oeur … la douce eumétrie de l’art de vivre anonymement au service de la beauté du monde à travers le rêve big bang d’une rêveuse oeuvre d’art.… dans l’élégance eumétrique sans faille d’une dévotion vagabonde.

Pierrot vagabond