COURRIEL AU GRAND CONTEUR INTERNATIONAL SIMON GAUTHIER … DE ST-ELIE DE CAXTON …

COURRIEL DE PIERROT À SIMON

Pierre Rochette <rochettepierre@yahoo.ca>
À :Simon Gauthier
sam. 11 avr. à 17 h 29
Salut ami oeuvre d’art…
très très cher Simon
Je ne sais trop comment tu gères cette crise du coronavirus au quotidien dans ton village de St-Elie de Caxton, mais connaissant ton fabuleux don de poète de la réalité par le conte … je ne doute pas que partout ou tu passes, tu réenchantes la vie des humains autour de toi…
La nuit… quand je m’étends sur ma planche à danser la beauté du monde par des brosses d’être et des attaques d’être …. il me rivière tout au merveilleux  de ma joie de penser à notre belle épopée du vagabond céleste que nous avons sculpté ensemble durant plus de 8 ans … des débris de la mémoire du
k-oeur te concernant ……  comme si l’humanité entière nous demandait autour du feu de camp de la condition humaine …. allez Simon… raconte-nous
l’impossible… la synchroni-vie-té …. la poésie … comme tu l’as si bien fait sur scène …. Traverse 7 milliards d’humains par tes mots pour dessiner drette entre les étoiles du K-osmos …. deux bottes de vagabond pour aller plus loin dans la vie ….
Aujourd’hui avec le recul … je dirais que toi et moi on s’est passé les bottes de mon grand-père Lucien … un peu comme dans une famille trèessss
pauvre …..  deux enfants se passent une paire de bottes pour aller à l’école du rêve big bang …..  chacun leur tour…
Tu fus mon frère de rêve …. tu l’es encore plus aujourd’hui…. et tellement profondément plus ….
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Marlene et Michel m’offrent un monastère de rêve ….24 heures par jour… 7 jours par semaine …. comme durant 13 ans nous avons appris à
danser nos archétypes hologrammiques à travers nos conseils d’administration de la créativité … inventant des principes de justice épistémique
entre nous ( nous n’avons jamais eu un argument en 13 ans) … soit … les trois archétypes hologrammiques, les trois peintres, les trois wow,  nous
transposons maintenant le tout dans la vie entre nous mêmes… et ça marche fabuleusement ….
Dans notre doctorat … dont le titre sera … si la tendance se maintient … JE TE DEMANDE PARDON … OU L’ÉPOPÉE DU RÊVE BIG BANG COMME FONDEMENT DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE …. notre 100 pages concernant le vagabond céleste et son conteur … est maintenant écrit …
et quelle joie pour moi de te célébrer par tes mots et mes mots…. Bien sur … Michel a dans ses ar-Khi-ves 2 videos du spectacle complet de ton récit
philosophique … et … avec ta permission… ces deux prestations seront et en video dans le doctorat… et sur you tube… selon ta volonté.
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Michel a envoyé à Fred Pellerin la version de la chanson du camionneur en anglais que je l’avais supplié et de traduire avec Marlene et de chanter
sur you tube… Ce merveilleux Michel le concierge a produit avec son art du visage un document émouvant… Comme Radio-Canada… nous a demandé les droits de la chanson du camionneur pour une autre année avec objectif d’utiliser la prestation de Fred sur art t.v. sur sa plateforme … Michel en a profité pour envoyer sa version de la chanson du camionneur en anglais à Fred… tout en le félicitant pour les derniers développements avec Radio-Canada.
Tout comme toi quand tu m’écris ou tu écris à Marlene et Michel… Fred m’a traversé le k-oeur par sa réponse-courriel à Michel ….
Moi qui ne vis que par et pour notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) … quand je réalise que Simon et Fred prennent soin de Marlene et Michel comme j’en prends soin moi-même (parce que je n’arriverai jamais à la cheville de ce qu’ils ont fait pour moi depuis tellement d’années) … cela m’arrache DES LARMES DE MA GRAND-MERE LUMINA … des larmes de joie … des étoiles d’amitié dans le ciel de mes rêves d’humanité oeuvre d’art.
Fred et toi … vraiment … que de classe… que d’humanisme …
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Salutation aux amis de la soirée du 7 décembre 2019 chez toi
synchroni-vie-té de tendresse pour Fred et sa famille,
pour toi et ton épopée personnelle
longue vie à nos débris de la mémoire du k-oeur ….
les nôtres… Simon … les nôtres…
dont on finira bien par en s’abreuver de joie de vivre
autour d’un feu
à St-Elie de Caxton
Pierrot vagabond,
ton céleste