TEXTE MAJEUR TIRÉ DES ARCHIVES (2509) (28 DÉCEMBRE 2018) SUR LE RAPPORT DE LA CHANSON DU CAMIONNEUR AVEC WOW-T=2.7K?

WOWWW

La cosmonautologie, c’est imaginer un cerveau comme un astronaute flottant dans l’infini de son corps. Le vagabond céleste que je fus sur la route de mes vagabondages tentait de vivre sur la terre LE WOW des trois astronautes devant le lever de terre il y a 50 ans… Dans une perception inédite détachée de tout systèmes de concepts et de croyances variables du premier humain préhistorique à l’humain nano-moderniste-planétaire, à l’intérieur des limites fixées par des contraintes universelles tendant de fonder l’histoire de l’ontologie, de la métaphysique autant que de la science.

A la limite, la chanson du camionneur, poésie du quotidien doit sa charge incroyable à son in situ….

Elle fut écrite par un vagabond céleste, dormant sur un congélateur d’un casse-croute-dépanneur, au lac à Beauce qui vagabondait la terre avec une question:

SI JE PRENDS SOIN DE L’UNIVERS
EST-CE QUE L’UNIVERS VA PRENDRE SOIN DE MOI?

La problématique de cette question existentiale (dans le sens de Heidegger, au sens ou le dasein traverse le souci existentiel pour s’ouvrir au voilement-dévoilement de la question de l’être), perdit toute trace d’une réponse pour se consteller dans un flottement problématologique de la question (dans le sens de Meyer)…

Mais quand je me levai de mon congélateur vers 4 h.30 du matin pour servir ce jeune camionneur qui avait dormi dans la cour, je fus sidéré de l’onérique au sens de !=? ( le point d’exclamation étant le wow et le ? étant l’algorithme social d’un rêve big bang en marche vers la somptuosité esthétique enveloppant une éthique inconnue sur terre sans son aura multivers)….de sa parole.

Nous n’étions plus dans le cri de Munch de la condition humaine…

Ce jeune camionneur parlait fort et se racontait son amour pour sa femme… J’ai fait cela pour elle, j’ai hâte à fin de semaine, je vais acheter cela… elle veut les fenêtre comme ça.

de la formule wow-t=2.7k?….. surgit de ce camionneur un design, un schème qui me fait rétrospectivement poser l’énigme suivante:

LE ! ET LE ? DE TOUT RÊVE BIG BANG NE SERAIT-IL PAS LA RACINE MÊME DE LA VERSION MULTIVERS DU RÊVE (dans le sens de l’ineinander de Merleau-Ponty, au sens d’enveloppement réciproque du multivers et de l’humain multi-big bang lorsqu’il n’y a pas tricherie)

Le ? conséquemment serait une déchirure dans le rêve, là où s’insère le multivers dans cet enveloppement réciproque propédeutique à la liberté esthétique sur terre.

Nietzsche disait que le temps est un enfant qui joue… Et moi je dis que le temps est un enfant qui rit quand on lui donne par une nano-citoyenneté-planétaire les conditions de justice et d’équité sur terre pour qu’il puisse avoir accès dès sa naissance à une vie personnelle œuvre d’art.

Mais qu’est que l’algorithme social «wow-t=2.7k?» c’est une production fictionnelle comme noyau et moteur ultime de notre existence multivers sur terre….

Cette production fictionnelle ne peut être démontrée logiquement, elle ne peut que se danser poétiquement par des larmes de joie… est-elle de nature ontologique?

Historiquement, l’ontologisation d’un concept reste le piège de toute pensées dominante qui se transforme peu à peu par le biais de la dictature de la vertu (on n’a qu’à penser à Robespierre) en entreprise métaphysique (même l’athéisme du siècle des lumières fut en soi une ontologie prenant forme d’une métaphysique pour éliminer le théisme sous toutes ses formes). Quand on réfléchit à Spinoza et son panthéisme ou à Michel Henry et son immanence phénoménologique) on est étonné de cette prétention de la certitude que constitue leur conquête ontologique de l’institationnalisation de leur architecture du réel.

Tout naturalisme méthodologique du 20eme siècle (sociologie, anthropologie, ethnologie…) souffre d’une PRÉTENTION À LA CERTITUDE qui finalement ne repose que sur la localisation d’un universalisme fragmenté en hiérarchie comme en horizontalisme transdiscipline.

Revenons au jeune camionneur de la chanson… Il n’était ni problématique, ni problématologie, il était ! (point d’exclamation) devant la grandeur de son amour pour sa femme et ? pour ne pas tricher avec son !.

De là le passage de cuisine/mélamine avec SES BRAS EN MÉLAMINE DANS LE REFRAIN FINAL.

Ce jeune camionneur vivait entre son ! et son ? un algorithme social avec procédure de décision sans tricherie. IL INVENTAIT UN NOUVEL ESPACE THÉORIQUE …. fait d’étonnement et de flottements interrogatifs.

J’avais passé plus de 14 années sur une maîtrise sur le rire… 14 années à faire des recherches par la scène, en décortiquant le burlesque du théâtre des variétés tout en créant de nouveaux numéros…

Tous les soirs, durant 32 ans, avec plus de 250 spectacles par année, je faisais systématiquement le tour de la salle en serrant des mains à la recherche de ce que j’appellerai plus tard… des vies personnelles œuvre d’art.

LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE, C’EST UN ENFANT QUI RIT PARCE QU’IL A UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART.

Ce jeune camionneur du restaurant chez Annick, cette nuit-là, m’offrit l,enfant qui rit en lui PARCE QU’IL VIVAIT UEN VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART.

Lui et moi fonctionnions en autodictatisme affectif, dansant notre faculté de connaître en big bang la vie sur terre en toute liberté ontologique (!=?). Notre réalité effective vivait l’unité de l’existence et de l’essence par le choc astronautique de nos deux rêves big-bang multivers.

Le jeune camionneur et le vagabond cleste fûrent cette nuit là par la beauté de notre (!=?) sans tricherie, symbole de puissance de l’innovation de l’être. Notre in situe poétique et poïétique nous rendaient compatibles avec l’existence de formes nouvelles, imprévisibles telles que dut le songer Hegel dans l’architectonnie (explosion dialectique de phénomène-noumène) d’une conscience en constructivisme abductif de l’esprit.

L’idée de la chanson du camionneur me tourmenta dès ce moment là, Mais comment séparer le contexte de la justification du contexte de la découverte?

J’avais mis plus de 14 ans à résoudre une problématique du rire (Pourquoi un morceau de sucre est-il toujours suvré alors qu’un gag n’est pas toujours drôle)? pour la renverser en problématologie ( passer sur scène par le découpage en barre de mesures musicales d’un rire de supériorité à un rire de libération et du rire de libération à un rire d’incongruité) pour atteindre par le pur enchantement d’un point d’exclamation (!) le point de non retour de pure joy of the laughing girl.

Aurais-je à mettre 14 ans pour écrire la chanson du camionneur? L’engagement du jeune camionneur pour sa femme, mon engagement cosmonautologique pour le co-dévoilement pré-thématique du moi et du nous dans son substrat quantique-cosmologique propédeutique à un multivers fondateur d’une ontologie impossible à sortir de l,univers du (!-?)

Ce n’est pas pour rien que ce fameux lundi soir au quai des brumes ou le chanteur Charles Prévost-Linton de l’hymne national du canadien au centre Bell durant 12 ans fut présent (quand je finis de chanter la chanson du camionneur) ses lèvres ne purent s,empêcher de murmurer: VOILA UNE CHANSON PARFAITE…. Je chantai la chanson du camionneur comme si c’était un rêve big-bang portant une charge incroyable de poésie du quotidien…

Ce n’est pas pour rien que dans le documentaire «mon ami Pierrot le dernier homme libre) lorsque je retourne chanter la chanson du camionneur sur scène et qu’on réalise que personne n’écoute, l’inconfort inoui qui se dégage de cette scène joue en contre faux le dasein et sa loi du souci se patchant par un verre de bière qui se promène devant la caméra….

UN PHILOSOPHE DOIT SE CACHER… moins il y a de personnes qui sont au courant qu’il y a un philosophe dans ce pays, plus il a la chance de faire œuvre au delà des siècles.

Le développement de réseaux de communication mondiale accompagnant l’affaiblissement des états-nations oùvre un espace public inoui à la nano-citoyenneté-planétaire par la sic=ence artificielle et ses applications sur des milliards de téléphones intelligents sur terre…. là où meurent de faim et de blessures de guerre des millions et des millions d.enfants…

SEUL UN ALGORITHME POÉTIQUE 9wow-t=2.7k?) issu des lois du rire (the pure joy of laughing girl) peut se glisser dans la perception anthropocène de cet astronaute qui il y a 50 ans a vu au nom de l’humanité entière un lever de terre.

Le défi lancé par la conscience nano-citoyenne-planétaire du 21eme siècle au matérialisme aux ontologies de la classe dominate locale consiste à expliquer, non seulement l’émergence de la subjectivité dans un univers de faits objectifs, mais surtout la COM-VENTION MULTIVERS d’un espace de droit où la logique d’auto-déploiement par open-source d’un schème de sens faisant exploser et l’essence et la valeur ontologique en quête d’éminessence éthique.

C’est d’aller dans le sens de Peirce que de donner aux qualis le sens de substance et à la matière le sens d’accident (inversant ainsi la position d’Aristote) , mais surtout , comme l’a si bien posée une jeune chercheuse doctorante (Gaelle Eteme) cette quastion imminemment quantique-cosmologique

EST-CE QUE L’ESPACE PENSE?

Tout le secret des qualis se trouvait déjà dans l’univers du burlesque où j’apprenais jeune homme à déconstruire les valeurs dominantes de la morale des prêtres par le rire inscrit dans sa tonalité quali en partitions musicales d’un canevas dont seuls le début et la fin étaient maintenus.

LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE, C’EST UN ENFANT QUI RIT PARCE QU’IL A UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART?

Et c’est en ce sens que j’affirme l’assertion suivante: LE RÊVE BIG BANG EST LA CO-SIGNATURE ONTOLOGIQUE QUANTIQUE-COSMOLOGIQUE DU MULTIVERS qui par la non-tricherie se comporte comme le fait le burlesque…. Une danse d’un rire d’un enfant en mode (!). C’est en ce sens que le multivers se donne comme un événement co-appropriant dont les traces s’enfoncent dans la co-liberté créatrice telle que vé.cue dans «LA SYNCHRONIVITÉ» et non la synchronicité. Le tout dans le sens de Peirce (événement compropriatif) ou tychisme.

L’universalité de la forme nano-citoyenneté-planétaire dans chaque enfant ne peut que venir de la protection de sa vie personnelle œuvre d’art, comme antidote multivers à sa langue, sa race et sa religion. Que ce soit l’humanisme de la renaissance (entre autres Érasme) ou le néo-humanisme du début 19eme siècle en Allemagne (Goethe, Schiller, Humbolt), le projet éducatif humaniste ne pouvait dépasser l’ontologie locale pré-internet… En ce sens même l’existentialisme sartrien avec son projet pas tellement différent de l’exitentialisme chrétien (Jaspers, Mounier et son personnalisme…) ou du surhomme de Noetzsche, ne peut imaginer le (!=?) de l’algorithme social de (wow-t=2.7k?» surgissant et du regard de l’astronaute il y a 50 ans et de la préhension du muitivers prédit pas les mathématiciens… LE RÊVE BIG-BANG PART FONDAMENTALEMENT de la synchronivité inscrit dans les plis de l,espace temps du 2.7k ….

De là la coupure épistémologique entre le schème onérique (Gaelle Eteme) et toute la constellation du post-positivise logique tournant autour de la définition d’un concept (Popper entre autres)…. Le constructivisme abductif qui anime notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) touene autour d’un CHAMP CONSTELLAIRE QUI N’EST NI CONCEPT NI SCHÈME, MAIS MULTIVERSALITÉ DES ENTITÉS QUANTIS-COSMOLOGIQUES.

Quand je réfléchis à l’œuvre philosophique d’Hilary Putman pour qui

LE MONDE PORTE L’EMPREINTE

DE NOTRE ACTIVITÉ CONCEPTUELLE

et pour qui l’esprit et le monde construisent conjointement l’esprit et le monde, je ne peux que me réjouir de l’hypothèse anthropique qui peu à peu commence à surgir sous els questions scientifiques , au cœur même d el’oreille du point d’interrogation (à l’écoute) quanti-cosmologiquement du (!) point d’exclamation.

toute image engendre l’onirisme du lecteur. En ce sens, l’image porte en elle une dialectique de la constellation (Walter Benjamin et l’image dialectique en arrêt) et Ardornot dans son utilisation de l’image dialectique en arrêt au cœur de son esthétique de la musique.

Les entités de la nano-cosmologie de toute vie personnelle œuvre d’art seraient donc, par leur aura même d’archétypes des êtres réels tout en étant des êtres imaginaires qui exercent sur l’âme l’action œuvre d’art la plus durable et la plus profonde (Francois Villon la ballade des pendus)… (à la suite diachronique d’Anatole France… qui dit: ce ne sont pas des êtres réels mais des êtres imaginaires qui exercent sur l’âme l’action la plus profonde et la plus durable)

Quand Wittgenstein dit: que chaque proposition est un tableau d’un état de fait, je lui réponds: Chaque proposition est un tableau d’un état de poésie qui s’ignore.

LA VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART

C’EST L’IMAGINATION

QUI ENFIN SE LIBÈRE DE LA TUTELLE DU CONCEPT

Comme le prédisait Duchamp, Bachelard, Benjamin et Adorno. Même l’immanence de Michel Henry et sa position ontologique non hiérarchique ne peut saisir le jeune camionneur de la chanson du camionneur., habillé par L’INEINANDER de Merleau-Ponty, par l’enveloppement de la cuisine-mélamine et l’ontologisation de ses bras en mélamine dissolvant le cri de Munch sous-apeurant toute illusion métaphysique, ( Le vieux .