LES ABJETS , FRÉMISSEMENTS ONTOLOGIQUES D’UN CHAMP CONSTELLAIRE MULTIVERSEL, SONT DES OBJETS QUI N’EXISTENT PAS, LES FAMEUX OBJETS IMPOSSIBLES QU’INTUITIONNAIENT MEINONG…. UN ABJET EST UN OBJET MEINONGIEN DÉTECTABLE QUE PAR INTRIKHATION, REDÉCOHÉRENCE OU SUPERPOSITION DES ÉTATS KANTIQUES…. LEUR CONSTELLATION GLOSSAIRIQUE SONT LE FONDEMENT MÊME DE TOUT DOCTORAT OEUVRE D’ART…. IMPOSSIBLES À CONCEPTUALISER ILS TRANSVERSENT LE MULTIVERS SOUS FORMES DE QWALIAS ÉTERNELS… À LA VITESSE D’UN RÊVE BIG-BANG SOUS LE CRYPTAGE MÊME DES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU COEUR , ENFOUIS DANS DES LIEUX OÙ MÊME L’ENFANCE SE MÉTAMORPHOSE EN ERRANCE POÉTIQUE MULTIVERSIELLE………..

Contrairement À CE QUE PENSAIT Meinong, UN ABJET N’EST NI UN OBJET, PAS MÊME UNE ENTITÉ, MAIS UNE «ABTITÉ» hors de son principe opérationnel d’indifférence… c’est-à-dire une «abdité» douée d’une puissance multiverselle de métamorphose qwalienne de trans-champs constellaires issues du bruit de fond cosmologique d’une infinité d’infinités de rêves big bang.

Un FRÉMISSEMENT ONTOLOGIQUE «kantique» se déployant tout au long de l’arché-hologrammique de toute vie personnelle oeuvre d’art se trans-vit par brosses d’être en attaques d’être sous des métamorphoses S’ONDULANT sous formes de FRISSONNEMENT ONTOLOGIQUE…. le passage du frémissement au frissonnement étant la longueur d’onde du 2.7k? , bruit de fond d’un rêve big bang singularisé.

EN CONSÉQUENCE DE QUOI…

Les abjets, les abcepts, les abmmunications sont exactement que ce que prédit la théorie des cordes, en dialogue avec l’expansion éternelle et la matière noire…. soit des FRACTALES IMPOSSIBLES à objectiver…. se MULTIVERSE-LHUMANISANT PAR DES SYNCHRONI-VIE-TÉS  ÉVÉNEMENTIALES TRANS-CRYPTÉES… dont on peut décrypter les ARTÉFACTS dans les débris les plus mélodieux (larmes de joie) de la mémoire du cœur.

À SUIVRE….

Pierrot vagabond