LES RÈGLES QWALIENNES DU COEUR NE RELÈVENT PAS DE QUELQUE CONCEPT QUE CE SOIT… MAIS DES CHANTS ABCEPTUELS QU’ELLES DÉVOILENT MULTIVERSIELLEMENT PAR LA SYMPHONIE MÊME DU CHAMP CONSTELLAIRE D’OÙ JAILLISSENT À L’INFINI ÉTRANGE UN RÊVE BIG BANG DONT LE COEUR DE L’HUMANITÉ MÊME FAIT OEUVRE D’ART EN EN TISSANT L’INOUI.

L’abceptuel comme mélodie quanto-cosmologique du cœur ressemble à un chant dont le frémissement ontologique s’onde et s’inonde de brosses d’être ou d’attaques d’être, au sens où l’être et le non-être ne se déposent que dans leur dissolution abceptuells

à suivre….

Pierrot vagabond