L’INTHI-KHA-TION D’UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART… UNE OUVERTURE MULTIVERSIELLE EXCEPTIONNELLE À UNE MÉTAPHYSIQUE DONT L’ONTOLOGIE NE REPOSE PAS SUR L’ÊTRE EN TANT QU’ÊTRE, MAIS SUR LA QUESTION DE L’ÊTRE EN TANT QUE NON-ÊTRE MULTIVERSIEL, SOIT UN ! ÉPISTÉMOLOGIQUE ISSU DES INFINIS DE MILLIARDS DE MILLIARDS DES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU COEUR DE L’HUMANITÉ OEUVRE D’ART EN DEVENIR.

Si je n’avais pas été vagabond céleste en quête d’une iere question (si je prends soin de l’univers, Est-ce que l’univers va prendre soin de moi ? ) jamais je n’aurais été en mesure de construire une théoritique de l’onthi-kha-tion» d’une vie personnelle œuvre d’art ancrée dans mes brosses d’être et attaques d’être, tout au long de ce cheminement onérique du cœur (au sens multiversiel) que constitue une vie basée sur un algorithme de justice sociale , soit WOW-T=2.7K?

1: Quel est ton rêve?

2: Dans combien de jours?

3: Qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?

4: Comment ton rêves prend-il soin de la beauté du monde?

Le tout se traduisant par une cinquième question reliée à l’invention en équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette)…

5: Comment nos rêves prennent-ils soin de la beauté du monde?

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Quand un débris de la mémoire du cœur se métamorphose en transmage puis en qWalia onthi-khatif, il se produit dans la dynamique de mon rêve big-bang une telle apothéose de la beauté du monde que j’en suis ébranlé pendant des heures, soit par une brosse, d’être, soit par une attaque d’être.

Ce qWalia-ci par exemple vient m’abreuver d’une infinité de transmages ontikhatifs, aussi multiversiels que 2.7k? au cœur même de l’impossible dimension du tissu de l’espace-temps.

J’étais vagabond sur la route de Rouin, en Abitibi. C’est le début de l’automne si ma mémoire est bonne. C’est la nuit, je suis en culottes courtes. Mais j’ai dans mon sac à dos des jeans. J’arrive à m’installer pour dormir mais je me rend compte au réveil que j’ai perdu mes jeans dans la forêt ( elles ont du tomber de mon sac ).

Je fais confiance à l’univers pour m’en trouver d’autres. Je n’ai pas d’argent et j’ai faim. Soudain je croise un jeune homme dans le village. Il me dit: «Y fait froid, t’as pas de jeans» et moi de lui dire: non je les ai perdu dans la forêt. » Et lui de me dire… « viens ma mère va t’en donner une paire».

Il me conduit chez sa mère. Elle est coiffeuse dans un local qui lui appartient et en arrière, dans le garage, elle tient un petit entrepôt de vêtements usagés pour ceux et celles qui ont besoin de linge. Je me trouve une paire de jeans, elle me donne à manger…

Je suis assis dans le salon. Et soudain, arrive un monsieur INNOU  avec sa femme et ses deux enfants pendant qu’elle coiffe. Il lui dit: « madame, me reconnaissez-vous? j’étais un enfant dont vous étiez famille d’accueil quand j’étais petit. JE SUIS VENU VOUS MONTRER CE QUE JE SUIS DEVENU GRÂCE À VOUS».

Ce qWalia des débris de la mémoire du cœur, est devenu à travers les années un puissant TRANSMAGE dont le parfum est venu illuminer le jardin de mon cœur pour que mon rêve big-bang ne se tarisse pas.

La cartographie de mes 5 sens, de mon cerveau et de mon bas-ventre issue des trois stations stellaires ont fini par s’incliner devant la puissance onti-kha-tive d’une station stellastique assez poreuse pour se multiversier, celle du cœur.

UN COEUR A PRIS SOIN DE MOI AU NOM DU MULTIVERS. ET C’EST UN COEUR QUI PREND SOIN DES AUTRES AU NOM DU MULTIVERS QUI VIENT AUJOURD’HUI LUI DIRE MERCI.

Pierrot vagabond