L’ARCHÉTYPE HOLOGRAMMIQUE DU «VAGABOND CÉLESTE » FUT D’ABORD UN ÉVÉNEMENT DE LA LITTÉRATURE (PAR LE 1000 PAGES MONSIEUR 2.7K? ) , CE QUI LUI A PERMIS DE VAGABONDER LA RÉALITÉ DANS UNE ONTOLOGIE DU COEUR ISSUE D’UNE MÉTHODOLOGIE DES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU COEUR OUVRANT ÉPISTÉMOLOGIQUEMENT UNE VISION MULTIVERSIELLE D’UNE MÉTAPHYSIQUE TAPIE DANS L’INFINI MÊME DE TOUTE ONTI-KHA-TION D’UNE VIE PERSONNELLE OEUVRE D’ART QUI PREND LA DÉCISION DE NE PAS TRICHER AVEC SON RÊVE BIG-BANG

L’archétype hologrammique du «vagabond céleste» ayant été vécu d’abord en littérature avant de prendre la route du Canada peut-être herméneutisé a post priori comme UNE SYMPHONIE DE LA FINITUDE EN IN-MUNICATION AVEC UNE MÉTAPHYSIQUE DES FORMES.

IMAGINONS le multivers comme un infini cœur symphonique dont chaque battement mélodique s’implose d’un rêve big-bang dont les débris de la mémoire du coeur servent à allumer d’autres rêves big-bang sous forme de cœurs aux débris de la mémoire du cœur… et cela à l’infiniment grand comme à l’infiniment petit, entre lesquels surgissent sur une planète bleue faite de personnes humaines oeuvre d’art dont les débris de la mémoire du cœur sont formés quWaliativement comme transmage-tivement de débris de la mémoire du corps.

C’est en ce sens que je pose comme axiome fondateur que toute conception ontologique ou métaphysique découlent d’une invention méthodologique et non le contraire.

En ce sens au 21eme siècle, à l’horizon même des découvertes de la physique quantique comme de la cosmologie multiversielle, que serait l’épistémologie? Peut-être une poétisation d’une poïétique dans l’éclaircie probabiliste d’un énigmatique chatoiement en quête de falsiabilité expérimentielle.

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LA MÉTHODOLOGIE DES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU COEUR… OU… WOW-T=2.7K?

Partout dans l’infini du multivers, les qualis ou débris de la mémoire multiversielle forment un champ quantique-cosmologique d’une infinie intri-kha-tion aux propriétés implosives ahurissantes. Comme le cerveau du chien n’est pas cablé pour comprendre les mathématiques, il est possible que la personne humaine ne soit pas cablée pour dénouer l’énigme multiversielle.

IMAGINONS que le corps de toute personne humaine soit constitué de 3 stations stellaires (les 5 sens, le cerveau et le bas-ventre)  et d’une station stellastique (le cœur), au sens où les trois premières sont cablées pour gérer une réalité horizontale tandis que la quatrième serait DÉCABLÉE pour franchir la décohérence, la cohérence et la recohéence des TRANSGRAMMES issus des TRANSMAGES dont les variations de poids transgrammiques  proviennent  des relations au creux du tissu de l’espace-temps interne façonnées par les différentes fonctions  attachées aux 3 stations stellaires et à la station stellastique du corps humain.

IMAGINONS un débris de la mémoire du corps… et cela dans mon propre corps et tentons d’en raconter un de ses itinéraires possibles.

Voici le petit film qui joue dans ma tête depuis plus de 60 ans. Un tout petit film… Je suis petit, je dois avoir 5 ou 6 ans. Il y a une clôture. Je ne peux sortir. je me sens prisonnier. Je m’ennuie. La maison de mes parents est située sur la rue Gouin entre le petit Lac St-Louis au centre de la ville en bas de la côte et la voix ferrée en haut de la côte. Ma seule distraction c’est quand le train passe… Et soudain, le train ralentit et du haut du train, 2 HOMMES SAUTENT.

Et le film s’arrête dans ma tête.

Mais bien plus… mon cerveau extrait une image du film: LES 2 HOMMES EN TRAIN DE SAUTER DU TRAIN.

Cette image-là c’est ce que j’appelle un DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU CORPS, qui existe en dedans de mon corps comme des infinis de centaines de centaines de milliards de débris de la mémoire du corps. Mais pourquoi ce débris de la mémoire du corps parmi les milliards d’autres va-t-il devenir fondateur de ce que j’ai mis ma vie à tenter d’identifier?

Tentons de suivre sa trace…. Regardons le contexte… De la galerie où je suis prisonnier-enfant, mes yeux ont accès à 6 maisons. De mon côté de rue, celle des Tremblay donnant sur le lac et celle des Duchesneau donnant sur la voie ferrée. Et d el’autre bord d ela rue, celle des Olsen donnant sur le lac, celle des Lebel en face, celle des Martin donnant sur la voie ferrée et celle des Arpins que j’esquisse à peine.

Pourtant je vis de la terreur. Toutes les femmes sont sur leur balcon et attendent leur mari qui arrivent du moulin à papier avec leur boîte à lunch, à la même heure, le visage aussi sans vie. Tout me semble bien lourd.

Je ne sais pas encore que toute ma vie je serai un hobo qui saute en bas du train, tous les trains quel qu’ils soient sont comme des prisons sur des roues suivant des rails.

Mais le film de mon enfance de 2 hobos sautant du train peu à peu devient une image qui peu à peu devient UNE TRANSMAGE… Comment dire…

Reprenons la vision de mon  corps comme composé de trois stations stellaires (les 5 sens, le cerveau et le bas-ventre)  et d’une station sellatique (le cœur).

La nuit quand je dors, mes quatre stations fonctionnent comme un gradateur de lumière… tout est au minimum pour n’assurer que la survie des fonctions vitales… et là, cette image-transmagée des 2 hobbos qui sautent du train s’insèrent dans une intrikation de diffrentes images-transmagées pour se scénariser sous forme de cauchemar.

Par exemple… je dois aller fair un spectacle… on me vole mon système de son, je tente de voler un camion, on me poursuit on me rattrappe , je m’enfuie puis je saute d’un train.

Cette image devenue TRANSMAGE prend soudainement différents poids TRANSGRAMMÉS selon qu’elle est accueilie par la station stellaire des 5 sens, la station stellaire du cerveau, la station stellaire du bas ventre ou la station sellactique du cœur.

Par exemple durant de nombreuses années, je disais que je m’en allais à un endroit et j’allais à un autre sans raison. Mes yeux percevant le réel comme une prison, mes mains percevant le réel comme des objets menaçant ma liberté, mes oreilles percevant le réel comme une agression par les bruis parasites, mon nez percevsant le réel comme un nauséabondage d’une consommation furieuse, ma langue percevant le réel comme menacant ma lucidité (je me suis refusé tout excitant toute ma vie… alcool, cigarette, jeu ). Mes 5 sens étant un train dut le toit duquel je sautais hors du réel…. L’IMAGE des deux hobos sautant su train de mon enfance devenue -TRANSMAGE PASSANT PAR LA PRIMAUTÉ DES 5 SENS se métamorphosa peu à peu  en un POID TRANSGRAMMIQUE qui ne chercha plus qu’à fuir les 5 sens……. et ce fut ainsi toute ma vie. Fuir, fuir et fuir encore la prison des 5 sens… mais pour aller où?

Cette image-transmage-transgramme  d’immigra dans la station stellaire du cerveau ( l’entendement, la raison et le jugement). De la philosophie aux mariages, du mariage à la scène, de la scène à la maîtrise sur les lois du rire dans le cerveau humain, l’image-transmage-transgramme ne supportait que les qualis ( les parfums sans ce qui cause les parfums des mots) reliés à la fuite. Tout ce que je bâtissans (Les pierrots, les deux Pierrots, la butte aux Pierrots, le duo Rochette-Lamarre etc.. ) me semblait des trains sur des rails pour permettre à mes 2 hobbos de s’enfuir. Le poids-imagique-transmagique- transgrammique eut soudain l’idée de se faire archétype hologrammique.

C’est en refaisant ses forces dans la station stellaire du bas-ventre que les 2 hobos sautant du train, un soir à l’auberge la Calèche dans un spectacle du duo Rochette-Lamarre, purent enfin rencontrer un VRAI HOBO QUI AVAIT EUT LE COURAGE DE SAUTER DU TRAIN DE SA VIE POUR LE VRAI.

Je me rappelle encore… Nous faisons un spectacle et Ruth un clown avec des numeros de chien en faisait partie. Elle m’avait parler de son chum avec qui elle avait vagabonder l’Europe, qui avait tout abandonner pour aller jouer de l’orgue de Barbarie dans les parcs en Espagne.

Et pendant que je chantais, il marcha devant moi… Grand très grand même, mince comme un fil de fer, LES YEUX D’UN HOBO AYANT SAUTÉ DU TRAIN… A l’intermission, je suis allé le voir et lui ai demandé de me conter son histoire.

Il me dit à peu près ceci: J’étais photographe à Québec. J’avais beaucoup de succès. Mais j,avais toujours eu le rêve d eme construire un orgue de barbarie. Et comme je suis habile de mes mains, je m’en suis fabriqué un. Puis comme il était fabriqué et que je n’arrivais pas à m,acheter des rouleaux de musique, je m’en suis fabriqué… et dès que j’en ai joué, j’ai sur que je m’étais construit un rêve… SOIT CELUI D’ALLER JOUER DE L’ORGUE DE BARBARIE DANS LES PARC EN ESPAGNE POUR LE CHAPEAU… j’ai tout quitté, j’ai tout vendu… et je suis parti sur la route de mon rêve…

Mes deux hobos imagés-transmagés-transgrammés dansaient au fond de mon cœur… et c’est au fond de mon cœur que mes 2 hobos imagés-transmagés-transgrammés-quWaliés ( les qualis prenant la forme des débris de la mémoire du cœur, soit celles de WOW-T=2.7K? assistèrent à ma dernière chanson sur scène, soit celle de la scène de jacques Brel.

paroles officielles ♪ La Quête ♪

Rêver un impossible rêve
Porter le chagrin des départs
Brûler d’une possible fièvre
Partir où personne ne part

Aimer jusqu’à la déchirure
Aimer, même trop, même mal,
Tenter, sans force et sans armure,
D’atteindre l’inaccessible étoile

Telle est ma quête,
Suivre l’étoile
Peu m’importent mes chances
Peu m’importe le temps
Ou ma désespérance
Et puis lutter toujours
Sans questions ni repos
Se damner
Pour l’or d’un mot d’amour
Je ne sais si je serai ce héros
Mais mon cœur serait tranquille
Et les villes s’éclabousseraient de bleu
Parce qu’un malheureux

Brûle encore, bien qu’ayant tout brûlé
Brûle encore, même trop, même mal
Pour atteindre à s’en écarteler
Pour atteindre l’inaccessible étoile

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Et je quittai la scène.
Mais là… il me restait à construire mon orgue de barbarie…. Je mis donc 7 ans à écrire Monsieur 2.7k… soit la lettre K qui fuit pour devenir un jour un vagabond céleste
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INTRO DU 1000 PAGES, MONSIEUR 2.7K?

Voici l’histoire de Monsieur K… , prisonnier numérique K…ui s’évade d’Internet après avoir franchi 1000 pages dématérialisées de débrits de bitts… Son rêve, marcher la fraîcheur existentielle de la beauté du monde sans le boulet de l’information enchaîné à l’un de ses pieds,enfin libéré de 1000 pages de placenta ayant permis l’accouchement d’un vagabond céleste.

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C’est donc à titre d’événement de la littérature que les 2 hobos de mon enfance sautant du train commencèrent à vagabonder le canada… avec une question:

SI JE PRENDS SOIN D EL’UNIVERS, EST-CE QUE L’UNIVERS VA PRENDRE SOIN DE MOI?

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La vraie question aujourd’hui serait plutôt celle-ci:

QUEL EST TON RÊVE QUI VIENT DU COEUR?

Car la méthodologie des débris de la mémoire du cœur présuppose épistémologiquement que les débris de la mémoire du corps formés d’images-transmages-transgrammes- sont hologrammisés (le passage de quali en qWalias) dès qu’ils franchissent la station stellastique du cœur par la non-tricherie et cristallisent l’émergence inhérente à la mémoire du cœur d’un rêve big bang dont l’image fondatrice est enfouie dans les plis d e l’enfance.

Seule la station sellastique du cœur est branchée quanto-cosmologiquement au multivers par l’intrikation au cœur même de l’onti-khation de la non-tricherie sur un rêve-big-bang…

Quand le vagabond céleste s’est mis à vagabonder comme événement de la littérature par Monsieur 2.7k , il ne pouvait qu’être poésie, qu’errance poétique en fraternité avec les enfants-errants-fantomatisés d ela planète terre.

Quand, la nuit,  le vagabond céleste, événement de la littérature par Monsieur 2.7k … n’avait qu’un crouton de pain très sec dans son sac, ce n’était pas sa bouche qui mangeait, mais son cœur issu de la littérature et battant en symphonie avec le cœur d’»humanité de ses enfants mourant de faim ou de blessures de guerre.

Quand le jour, le vagabond céleste, événement de la littérature par Monsieur 2,7k traversait différentes croyances symboliques institutionnalisées (églises, mariages nationalisme… ) il était à la fois terrifié par l’ asservissement par les formes (un autre train sur des rails en manque de hobos) et rassuré quand même qu’il y ait quelque chose plutôt que rien.

Dans le moins que rien de l’onti=kha-tion du cœur, se cache le secret d el’énigme d ela métaphysique multiversielle par le jaillissement onti-kha-tif de son ontologie-intri-kha-tive au sien du champ constellaire de la non-tricherie d’où émerge un rêve bigf-bang.

TOUT RÊVE QUI NE VIENT PAS DU COEUR N’EST PAS UN RÊVE MAIS UN DÉSIR.

La nuit, sur ma route de vagabond-poète issu de la littérature par Monsieur 2.7k, mon bâton de pèlerin martelait le sol pour réveiller l’univers et lui demander des explications: Pourquoi permets-tu que des milliards d’enfants-errants-fantomatisés se meurent de faim ou de blessures de guerre?

Le jour, sur ma route de vagabond-poète issu de la littérature, ma guitare de pèlerin écrivait des chansons pour y déposer des incantations de la condition humaine.

Maintenant que je suis devenu un vieux monsieur vagabondant la connaissance, les 2 hobos de mon enfance sautent encore du train de la connaissance parce que ses rail n’ont que protéger les riches des pauvres.

Et comme disait Michel le concierge, mon ami et partenaire de recherche ce matin.

MÉFIEZ-VOUS DE CEUX ET CELLES QUI NE SOUFFENT PAS?

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Pierrot vagabond, au nom de par et pour notre équipe de recherche: Auld, Woodard, Rochette