YOSHUA BENGIO ET LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE DE NOTRE ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD,WOODARD,ROCHETTE)… QUE NOTRE DOCTORAT ESPÈRE OPÉRATIONALISER AVEC LA COMPLICITÉ DE L’INSTITUT D’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE DU QUEBEC…. DANS LE BUT D’ALLER CHERCHER UN PRIX NOBEL DE LA PAIX AU NOM DES MILLIARDS D,ENFANTS-ERRANTS-FANTOMATISÉS DE LA TERRE SE MOURRANT DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE

«JE TE DEMANDE PARDON»
UNE MÉTHODOLOGIE DES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU CŒUR…

1 : ENJEU DU DOCTORAT (300 MOTS OU MOINS)

JE TE DEMANDE PARDON…, à toi qui, comme des centaines de millions d’enfants-errants-fantomatiques, se meurt de faim ou de blessures de guerre, et cela, au nom des 193 états hobbiens onusiens qui, sous la féodalité de monarchies nucléaires, font passer la course aux armements, les guerres et les paradis fiscaux avant TON DROIT MULTIVERSIEL à une vie personnelle œuvre d’art.

JE TE DEMANDE PARDON… au nom de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) qui depuis plus de 12 ans maintenant cherche à répondre à la question suivante : AU 21EME SIÈCLE, QUELLE INSTITUTION FAUT-IL INVENTER POUR QUE SUR TERRE, PLUS AUCUN ENFANT NE MEURE DE FAIM OU DE BLESSURES DE GUERRE ?

JE TE DEMANDE PARDON… au nom de notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) qui S’ACHARNE à déployer concrètement L’INVENTION DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE, dans le but de contribuer à la déshobbiation de l’O.N.U. Par la mise en algorithme de milliards de téléphones intelligents par « wow-t=2.7k? » , si possible avec la complicité de l’institut de l’intelligence artificielle du Québec) , nous validerons politiquement la création d’une cour suprême nano-citoyenne-planétaire composée de deux assemblées des justes (125 femmes et 125 hommes) élues ville par ville et village par village, et cela par tirage au sort, dans le but de représenter incontournablement et éthiquement toi et les centaines de millions d’enfants-errants-fantomatiques qui souffrent de la même criminalité étatique banalisée que toi.

Dans ce doctorat, PAR UNE MÉTHODOLOGIE DES DÉBRIS DE LA MÉMOIRE DU COEUR, le premier à te demander pardon sera moi, Pierrot vagabond (ier chapitre le rêve big bang), puis mon ami et partenaire de recherche Michel le concierge (2eme chapitre la non-tricherie), pour enfin laisser la parole à sa compagne œuvre d’art, Marlene la jardinière (3eme chapitre, ses jardins rêve œuvre d’art).

Pourquoi nos trois archétypes hologrammiques veulent-ils tour à tour te demander pardon? Parce que notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette) veut parler au cœur de l’humanité et non à sa raison et que, À TITRE DE MANIFESTE, nous affirmons que l’invention de la nano-citoyenneté-planétaire doit s’accompagner d’un JE TE DEMANDE PARDON , conséquence de la décision de ne plus tricher par chaque vie-personnelle-œuvre-d’art consacrée à l’ultime question :

COMMENT NOS RÊVES PRENNENT-ILS SOIN DE LA BEAUTÉ DU MONDE? (4eme et dernier chapitre).

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JE TE DEMANDE PARDON
(youtube)

COUPLET 1

S’il m’arrive de parler au travers de mon chapeau
S’il m’arrive de prendre place trop souvent
Si je m’approprie sans te voir l’espace de ta vie
Si je préoccupe ton âme en secret dans la nuit… Je te demande pardon…
Je te demande pardon…

COUPLET 2

Si je vagabonde céleste tout autour de la planète
Si je suis parti sans avis au détour de nos vies
Si je t’ai volé ton rêve, déserté, laissé meurtri,
Si j’en ai trop fait, trop dit, ou pas assez dans ta vie
Je te demande pardon…
Je te demande pardon…

COUPLET 3

Si je n’ai pas compris la beauté du monde d’ici
Si je n’ai pas admis qu’il y a la vie après la vie
Si je suis révolté parce que je suis enchaîné
Si je ne peux te rassurer quand je suis déchaîné
Je te demande pardon…
Je te demande pardon…

COUPLET 4

Et si je le savais tout ce temps que je te volais…
Et si je le savais tout ce temps que toi tu m’aimais…
Je n’ai pas d’âme pas de cœur aujourd’hui je le dis…
Je veux changer de vie et d’amour te dire merci
Je te demande pardon…
Je te demande pardon….

Chanson-manifeste
du pays œuvre d’art

Michel le concierge

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Ma Presse

Marie-Claude Lortie
La Presse

La semaine dernière, Yoshua Bengio, grand spécialiste de l’intelligence artificielle (IA) reconnu mondialement, a gagné le prix Turing, conjointement avec le chercheur torontois Geoffrey Hinton et le français Yann Le Cun, pour son travail en intelligence artificielle.

Dans le monde de l’informatique, il n’y a pas de prix Nobel. Il y a le Turing.

La reconnaissance est immense. « J’étais un peu nerveux parce qu’il fallait faire un petit discours », dit le professeur au sujet de la cérémonie de remise du prix, qui avait lieu à San Francisco. Ses idoles étaient-elles sur place ? « Oui, mais mes idoles, ce sont aussi mes amis. »

L’agenda du professeur, homme d’affaires – il est cofondateur d’Element AI -, chercheur et spécialiste de l’art de rendre les ordinateurs intuitifs est ridiculement rempli. Trouver un moment pour lui parler relève du défi olympique. Je l’attrape alors qu’il mange un sandwich végé avant l’enregistrement d’une longue entrevue à la télé avec France Beaudoin.

Bengio est devenu une superstar. Celui qui a fait de Montréal un carrefour en « intelligence profonde », en intelligence artificielle, en fondant notamment Mila, une référence en recherche dans ce secteur.

Est-il en train de montrer aux ordis à penser à notre place ?

Pas encore !

Pour le moment, même le plus intelligent des ordinateurs, même celui qui a battu l’humain au jeu de go, a à peine la même intelligence qu’une grenouille ou un chat à qui l’on aurait passé sa vie à apprendre une seule chose, explique-t-il. Ce que la recherche permet, actuellement, c’est d’amener l’ordinateur à construire sa propre intuition, basée sur l’expérience. On s’inspire de processus de notre cerveau, parfois difficiles à verbaliser tant ils sont complexes et vastes, mais on demeure néanmoins dans la reproduction de toutes petites parties de tout ce que notre tête peut accomplir.

Yoshua Bengio est né à Paris. Ses parents, originaires de Casablanca, désireux de s’éloigner d’un environnement familial traditionnel, avaient décidé d’aller étudier là-bas. Son père avait opté pour la biologie, la pharmacie et la philosophie. Il est devenu pharmacien. Sa mère a fait des études en économie, mais a passé sa vie dans la gestion de milieux culturels.

La famille a déménagé à Montréal alors que Yoshua avait 12 ans. Il a ensuite étudié dans les écoles publiques, notamment au cégep de Saint-Laurent, où l’on fumait déjà beaucoup de pot à l’époque, raconte-t-il en riant.

Ce fut ensuite McGill pour des études en génie informatique, une maîtrise, un doctorat, tout à McGill, puis un postdoc au Massachusetts Institute of Technology, avant de revenir enseigner à l’Université de Montréal et de fonder, par la suite, Mila, institut québécois d’intelligence artificielle.

Amoureux de l’IA

C’est à McGill que le jeune étudiant a commencé à lire sur les travaux de Geoffrey Hinton. C’est là, dit-il, qu’il est « tombé amoureux » des idées sur l’intelligence artificielle. « On a une relation émotionnelle avec nos idées », dit-il. Le sentiment que c’est là qu’il faut aller.

« C’est l’intuition qui nous guide dans la recherche. »

– Yoshua Bengio

Chez les Bengio, l’éducation a toujours été valorisée. Le père était « un amoureux de la science ». Le frère de Yoshua est aussi un grand chercheur en informatique, en intelligence artificielle, et travaille pour Google. Ensemble, ils ont signé nombre d’articles, souligne Yoshua.

Et, aujourd’hui, le fils du chercheur fait aussi son doctorat dans ce domaine, à McGill.

Difficile de parler d’un seul sujet avec le professeur Bengio. On va de l’utilisation de l’intelligence artificielle en politique à la surabondance d’informations dans nos cerveaux – l’humain est fait pour gérer une vie avec 200 personnes dans sa tribu, pas 1000 ! -, en passant par la place des femmes en informatique, qui s’est réduite depuis 15 ans, déplore-t-il.

On parle de changements climatiques, de l’assainissement de la démocratie, de l’absence de débats publics rationnels et de la foule de possibilités qu’offre l’intelligence artificielle dans tous ces champs.

Le professeur croit profondément dans le maillage entre la recherche et les entreprises afin que les deux camps s’entraident et se fassent avancer mutuellement.

Prévoir la transition

On parle, évidemment, beaucoup de l’avenir, des gens qui perdront leur emploi et qui devront être recyclés, reformés, revalorisés. Que ce soit les employés de bureau ou les conducteurs. Partout là où l’intelligence artificielle pourra prendre le relais, elle mettra en danger un éventail d’emplois. L’informatisation et la robotisation sont déjà implantées.

C’est pour cela, dit-il, qu’il faut absolument avoir une perspective d’affaires, une recherche de revenus pour financer les conséquences sociales de ces transformations.

Il faut se donner les moyens, collectivement, d’aider la transition pour qu’elle inclue tout le monde et n’entraîne pas de grave pauvreté.

« L’automatisation peut apporter la misère humaine, admet le chercheur. Il faudra adapter le filet social. » Il faut que la richesse créée par l’avancement de la technologie et de la science puisse aider ceux qui souffrent de ces changements.

Yoshua Bengio pense constamment à l’avenir avec ces technologies et apprécie la série télé Black Mirror, diffusée sur Netflix, dans laquelle les trames narratives montrent des répercussions potentielles des technologies sur nos vies, comme un robot qui devient fou et les réseaux sociaux qui ruinent encore davantage les vies qu’ils ne le font déjà.

« C’est une bonne série, dit-il. Une bonne façon de nous faire réfléchir. »

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Pierrot vagabond-chercheur

au nom de par et pour
notre équipe de recherche
(Auld, Woodard, rochette)