«MICHEL A CONNU UN FRISSON DE CRÉATIVITÉ POUR VRAI» DIXIT MARLENE LA JARDINIÈRE…. QUI SUGGÈRE QUE CETTE EXPRESSION SOIT ENTRÉE DANS NOTRE LEXIQUE DU DOCTORAT

Effectivement, un frisson de créativité tel qu’exprimé par Marlene rejoint profondément «LE FRISSONNEMENT ONTOLOGIQUE» qui m’habite lorsque je réfléchis à la nature des qualias dans une vision multiversienne de toute vie personnelle œuvre d’art.

Et si l’ontologie de ce que nous appelons le réel était d’abord frissonnement… faisant de la métaphysique post-quantique un hymne à l’intri-KHA-tion, le recohérence et la superposition des états?

Un jeune homme remarquable de Côte d’Ivoire , (Abdoul) me parlait hier soir de ses questions philosophiques au sujet du bonheur… Et je me rendais compte que ce qui me faisait frissonner dans ses propositions c’est la fraîcheur avec laquelle cette question éternelle au sujet du bonheur réapparaissait dans toute sa beauté.. et que moi, vieux philosophe en guenilles royales, je n’avais aucune réponse à lui suggérer… Et pourtant, quand il a évoqué LA FRAÎCHEUR QUI RESTE D’UNE RENCONTRE» comme sa réponse possible, je n’ai pu que le féliciter d’avoir signer sa réponse….

Effectivement, la fraîcheur qui reste d’une rencontre, c’est aussi un frisson de créativité qui nous habite sous forme d’un frissonnement ontologique «qualias».

J’ai vécu cela avec le grand conteur international Simon Gauthier hier, qui est venu me saluer dans mon monastère de l’impossible après une série de spectacles en Europe où son conte philosophique « le vagabond céleste» a provoqué chez les spectateurs (entre autres en Suisse) DES LARMES DE JOIE.

Les larmes de joie sont l’expression la plus multiversienne d’une ontologie frissonnante de toute vie personnelle œuvre d’art qui ne triche pas avec son rêve big bang.

à suivre…

 

Pierrot vagabond, au nom de par et pour notre équipe de recherche (Auld, Woodard, Rochette)