POUR TOUTE LA MÉTAPHYSIQUE TRADITIONNELLE ISSUE DES ARCHÉS IDENTIFIÉS PAR ARISTOTE( L’ARCHÉ DE LA NON-CONTRADICTION ADOUBÉ PAR LE TIERS EXCLU) LE FONDEMENT CONSISTE EN CELUI CI…. L’ÊTRE NE PEUT ÊTRE ET NE PAS ÊTRE EN MÊME TEMPS…. MAIS LE FAIT QUE LA MÉTAPHYSIQUE QUUANTIQUE A PU DÉMONTRER QUE MÊME SI C’EST CONTRE-INTUITIF, ÊTRE ET NE PAS ÊTRE EN MÊME TEMPS SE PEUT, CELA AMÈNE NÉCESSAIREMENT AU CONSTAT QUE TOUTE MÉTAPHYSIQUE EST UNE CONSTRUCTION ET ELLE NE PEUT ÊTRE LA MÊME EN MÉTAPHYSIQUE TRADITIONNELLE ET EN MÉTAPHYSIQUE QUANTIQUE… DE LÀ L’ÉMERGENCE D’UN CHAMP CONSTELLAIRE QUANTO-COSMOLOGIQUE ISSU DE LA NON-TRICHERIE ET REPOSANT PRIMORDIALEMENT SUR UNE RATIONALITÉ HOLOGRAMMIQUE MULTIVERSIENNE INCONNUE SUR TERRE JUSQU’À LA DÉMARCHE ABJETALE CONSTRUCTIVISTE RADICALE D ENOTRE ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE)

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Serge Haroche, né le 11 septembre 1944 à Casablanca, est un physicien franco-marocain1 travaillant dans le domaine de la physique quantique. Le 2 juin 2009, il reçoit la médaille d’or du CNRS2,3. Le 9 octobre 2012, il est colauréat du prix Nobel de physique avec l’Américain David Wineland pour « leurs méthodes expérimentales novatrices qui permettent la mesure et la manipulation des systèmes quantiques individuels ».

Recherches[modifier | modifier le code]

Interview de Serge Haroche après la remise de son prix Nobel en décembre 2012.

Serge Haroche est un spécialiste de physique atomique et d’optique quantique. Après une thèse sur l’atome habillé[18],[19] effectuée sous la direction de Claude Cohen-Tannoudji (1967-1971), un lauréat du prix Nobel. Il a développé dans les années 1970-1980 des méthodes nouvelles de spectroscopie laser basées sur l’étude des battements quantiques et de la superradiance. Il s’est ensuite intéressé aux atomes de Rydberg, états atomiques géants que leur sensibilité aux micro-ondes rend particulièrement bien adaptés à des études fondamentales sur l’interaction matière-rayonnement. Il a montré que ces atomes, couplés à des cavités supraconductrices contenant quelques photons, constituent des systèmes idéaux pour tester les lois de la décohérence quantique et pour démontrer qu’il est possible de réaliser des opérations de logique quantique prometteuses pour le traitement de l’information[20].

Nommé en 2001 professeur au Collège de France dans la chaire de physique quantique[13], Serge Haroche dirige le groupe d’électrodynamique quantique en cavité au sein du laboratoire Kastler Brossel, qui dépend de l’École normale supérieure, de l’université Pierre-et-Marie-Curie et du CNRS.

Ses cours et travaux au Collège de France[21] portent sur la mécanique quantique et l’information quantique[22].

Le , il se voit décerner le prix Nobel de physique avec l’Américain David Wineland pour leur recherche concernant la mesure et la manipulation des systèmes quantiques individuels[1],[4].