DANS LA MÉTAPHYSIQUE MULTIVERSIENNE DE NOTRE ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD,ROCHETTE) ISSUE D’UN CHAMP CONSTELLAIRE D’UN NON-TRICHEUR, LA DIFFÉRENCE QUANTO-ONTOLOGIQUE RÉSIDE SURTOUT DANS LA DIMINUTION DE LA DILUTION COHÉORENTIELLE PAR UNE RECOHÉRENCE ONDULATOIRE D’UNE SYNCHRONI-VIE-TÉ… ALORS QUE TOUT TRICHEUR CORPULISE EN MAJEUR, DONC EN DÉCOHÉRENCE STRATIFIANTE LE SENS MÊME D’UNE INVENTION CRÉATRICE PERMETTANT LA NAISSANCE AUTANT QUE LA MISE EN SERRES UNIVERSELLE D’UN RÊVE BIG-BANG.

De là les brosses d’être et des attaques d’êtres qui découlent à la fois d’une errance poétique dont on retrouve le fil d’or constellairisé tout au long de l’histoire de l’humanité… et surtout d’une amplitude étonnante d’un sens à l’existence, tout comme si d’une façon multiversienne, la superposition des états où le tiers exclu est métaphysiquement absent permettait une marche ancrée par vers et pour la beauté du monde.

En ce sens, épistémologiquement, La non-tricherie correspond à une recohérence modulatoire du multivers impossible à binairisée tout comme la tricherie signe d’une façon semblable et non semblable la décohérence corpusculaire auss impossible à binairisée, tout étant complémentaire tout en étant abyssilement aporitisée dans une euporie Kantisée comme un champ-chant-champ…. hors temps, hors réalité, hors servitude.

le champ constellaire en quête d’absence comme en quête de présence en étant la poétique poïétique d’une voie irroyalisante, parce qu’une.

à suivre…

Pierrot vagabond,
au nom par et pour notre équipe de recherche
Auld, Woodard, Rochette