4 Commentaires
Sandra Doyon la camionneuse
15 février 2009 – 13 h 34 min | Permalien
Wow! Tout simple cette chanson, mais l’amour simple et sincère me tire les larmes, comme ça sans crier gare!
Merci de me l’avoir mis et d’en faire bénéficier le monde entier!
L’amour est beau! Si beau, merci Pierrot!
Pierrot
15 février 2009 – 18 h 08 min | Permalien
chere Sandra Doyon,
chere camionneuse,
j’ai mis pres de deux mois a vivre quotidiennement avec les camionneurs et camionneuses de la Mauricie, au restaurant chez Annick au Lac a Beauce, entre La Tuque et trois Rivieres… J’en ai fait des tours de camions pour entendre la voix de nos coureurs des bois modernes…
vous savez mademoiselle, je suis un peintre des mots pret a mourir pour son reve… peindre l’universel de la condition humaine en vagabondant le pays… je ne vis que pour la litterature, la beaute des mots, la passion des doigts sur un clavier ou sur 6 cordes de guitare
La radio de radio Canada a juge bon de diffuser a travers l’Amerique un montage de ma presence dans leur studio de Sept-Iles…Si vous n’aviez pas temoigner sur le blog de Claude, je ne l’aurais jamais su…
Sans la bonte de ceux et celles qui croient en vous, vous ne pouvez rien faire dans la vie qui soit porteur d’ailes d’oiseaux dansant le ciel.
Merci de croire en moi, merci a Claude de faire que vous puissiez me traverser le coeur ce soir… Ma chambre au refuge de l’armee du salut ici a Toronto n’en sera que plus benveillante a l’egard de mes camarades d’espoirs…
Pierrot
vagabond celestre
Vous savez, chacune de mes chansons est une peinture de rencontres qui ont reellement eu lieu…
on ne peut rien faire seul…
Sandra Doyon la camionneuse
15 février 2009 – 22 h 23 min | Permalien
C’est drôle que vous parliez de coureurs de bois modernes, j’avais eu la même image il y a quelques temps: « Pour les mêmes raisons que mes ancêtres ont couru les bois au 19e siècle, je cours les autoroutes en quête d’aventures et de découvertes. Tandis qu’ils troquaient les fourrures aux postes de traite, je transporte mille et un trucs pour les usines et les commerces des Amériques. Tout comme ces ancêtres, je vis des vivres que je transporte. »
voici le lien, mon texte avait été commandé par le journal de Montréal qui aimait faire la promotion de nouveaux blogues.
http://camionneuse.blogspot.com/2006_10_01_archive.html
Merci Pierrot, vous êtes une inspiration!
Pierrot
vagabond celeste
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