LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE PASSERA PAR L’INVENTION D’UN ALGORITHME DE GESTION PLANÉTAIRE UTILISANT LA CRYPTOGRAPHIE QUANTIQUE, LA TÉLÉPORTATION ET L’INTRICATION DANS UN SYSTÈME DE CRYPTOGRAPHIEQUANTIQUE GLOBALE TEL QUE DÉVELOPPÉ PAR GILLES BRASSARD, INFORMATICIEN DE L’UNIVERSITÉ DE MONTREAL

IMAGINONS,
2289,
1: Imaginons…
que partout sur terre où il y a un conseil municipal, sous forme de village ou de ville, chaque personne humaine ayant le droit nano-citoyen de se présenter à un premier tirage au sort pour déterminer QUEL HOMME ET QUELLE FEMME DE CE VILLAGE OU DE CETTE VILLE sera éligible pour le prochain tirage au sort planétaire visant à former les deux assemblées complémentaires des justes (125 femmes et 125 hommes), et cela grâce à la science des algorithmes en dialectique avec les milliards de téléphones intelligents par le biais d’une simple application.
2: Imaginons…
qu’une fois les deux assemblées planétaires complémentaires des justes élues au tirage au sort (125 femmes et 125 hommes) doivent maintenant voter pour TROIS CANDIDATES ET TROIS CANDIDATS CHOISIS PAR CHAQUE ASSEMBLÉE DES 125… qui auront À LEUR TOUR pour défi de se présenter devant l’électorat universel ( de tous les nano-citoyennes et nano-citoyens s’étant identifiés comme tels dans le processus du ier tirage au sort), n’ayant le droit que de faire campagne à partir des 5 questions suivantes:
1: Quel est ton rêve?
2: Dans combien de jours?
3: qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?
4: comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?
5: Comment nos rêves prennent-ils soin de la beauté du monde?
3: En conséquence de quoi… imaginons que…
La présidente ou le président des deux assemblées complémentaire des justes serait donc élu ou élue parmi les 3 candidats et les 3 candidates non par tirage au sort mais simplement planétairement au vote majoritaire par voix algorithmement sécurisés, son exécutif étant constitué des 5 autres membres non élus.
4: Imaginons que cet exécutif de 6 membres et le législatif des deux assemblées des justes (maintenant 122 hommes et 122 femmes) permettent par une séparation des pouvoirs réussie une formule pour créer une institution judiciaires formée d’un tirage au sort parmi tous les juges des cours suprêmes de chaque état constitué.
EN CONSÉQUENCE DE QUOI
sera réalisée planétairement la séparation des pouvoirs de Montesquieu de qui disait Raymond Aron, dans Penser la liberté, penser la démocratie, p.347:
IL SEMBLE MÊME, PAR INSTANTS,
QUE LA SÉPARATION DES POUVOIRS SOIT,
SELON MONTESQUIEU,
PLUS QU’UN MOYEN DE DÉFENSE
CONTRE LES ABUS ET L’ILLÉGALITÉ,;
ELLE EST CONSTITUTIVE
DE LA LIBERTÉ MÊME.
Imaginons
une séparation des pouvoirs nano-citoyenne planétaire à partir de laquelle le pouvoir judiciaire est constitué de 9 juges tirés au sort parmi tous ceux ou celles des cours supremes existantes à travers le monde, et cela parmi les juges étant intéressés aux quatre questions de la vie personnelle oeuvre d’art
1: Quel est ton rêve?
2: Dans combien de jours?
3: Qu’as-tu fais aujourd’hui pour ton rêve?
4: Comment ton rêve prend-il soin de la beauté du monde?
Ces 9 juges réfléchissent aux lois planétaires de la beauté du monde pour que la cinquième question devienne réalité
5 – comment nos rêves prennent-ils soin de la beauté du monde?
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Imaginons que le nano-libéralisme réfléchisse par ses deux assemblées des justes (125 femmes et 125 hommes) sur la partie sauvage du capitaliste et vote des lois pour en réglementer les règles du jeu équitables.
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Imaginons que l’exécutif (3 femmes, 3 hommes) prennent des décisions politiques qui sont soumises par référendum à l’ensemble des vies personnelles oeuvre d’art de la planète
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IMPOSSIBLE POÉSIE DE NOTRE CONDITION HUMAINE,
2299,
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INDICATEURS DE CONCEPTS,
2289,
LE TITRE DU DOCTORAT DE L’ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD,ROCHETTE) ÉTANT MAINTENANT OPÉRATIONNEL (DES ÉTATS HOBBIENS DE L’O.N.U. À LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE PAR WOW-T=2.7K?…) LA MATRICE DE RECENSION (L’O.N.U. ET SES ÉTATS HOBBIENS), LA MÉTATHÈSE MENANT VERS UNE MÉGATHÉORIE ( DE HOBBES AUX ÉTATS HOBBIENS DU 21EME SIÈCLE), LES INDICATEURS DE CONCEPTS (LA MONTÉE DES O.N.G. MENANT À UNE CONSCIENCE NANO-PERSONNE-HUMAINE PLANÉTAIRE) CONDUISENT À UN NOUVEAU CHAMP PARADIGMATIQUE DE RECHERCHE (CHAMP HYBRIDE ENTRE LA PHILOSOPHIE DU DROIT ET LA PHILOSOPHIE POLITIQUE) PAR DES CONCEPTS CONSTRUITS PROGRESSANT À PARTIR D’UNE MÉTHODE DE THÉORIE ANCRÉE OU ENRACINÉE DE CADRES CONCEPTUELS ISSUS D’UN CONSTRUCTIVISME RADICAL À UNE CONCLUSION OUVERTE CONDUISANT À L’ARCHITECTONIE D’UN CADRE THÉORIQUE (LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE PAR WOW-T=2.7K?…» CONDUISANT À UNE MISE EN PRAXÉOLOGIE SUR TROIS ANS PAR UN CONSORTIUM D’UNIVERSITÉS.
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INTRODUCTION DE DOCTORAT,
2227,
…(INTRODUCTION DU DOCTORAT) LES 20 PREMIERES PAGES DU IER CHAPITRE DU DOCTORAT DE L’ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE) CONSACRE PAR L’ARCHITECTONIE POST-PEIRCIENNE DE L’ÉTIQUETTE WOW SON CHAMP MAGNÉTIQUE ONTO-COSMOLOGIQUE (7 PAGES), PARALLÈLEMENT À SON CHAMP MAGNÉTIQUE MÉTHO-COSMOLOGIQUE (7 PAGES) EN SYNCHRONIE DISSOLVANTE CERVEAU-ASTRONAUTE-ESPACE-CORPS LE CHAMP MAGNÉTIQUE IMPLOSÉ D’UN RÊVE BIG-BANG D’UNE PRIMÉITÉ PRÉ-ABDUCTIVE NANO-COSMOLOGIQUE, LE TOUT DANS LA LIGNÉE ALGORITHMIQUE DU MÊME DE DAWKIN TOUT EN ADOPTANT LA POSTURE RIZHOMIQUE-PROBLÉMATOLOGIQUE AUTANT QUE ANTHROPIQUE DE DELEUZE-GATTARI
JULY 19, 2018
Je soupçonne que le rêve big-bang est issu d’un rêve au service de la dramaturgie de son rêve.

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Alexis Riopel

1 octobre 2018

Science

Les prix Nobel seront décernés cette semaine. Le Devoir en a profité pour s’entretenir avec Gilles Brassard, un informaticien de l’Université de Montréal qui contribua à poser les bases de la communication et de l’informatique quantiques.

Gilles Brassard a beau être informaticien, c’est la théorie qui l’intéresse. Rencontré dans son « laboratoire » — une pièce sans fenêtre avec quelques divans poussiéreux et trois machines à café différentes —, le savant navigue fébrilement entre un vieux livre scientifique, une feuille où il griffonne quelques formules et son ordinateur… mais seulement pour répondre à des courriels.

« Pour déployer un système de cryptographie quantique global, il faudrait une infrastructure qu’on n’a pas aujourd’hui, explique le professeur à l’Université de Montréal. Mais, pour moi, ce n’est pas un obstacle. Il suffit de la construire. »

En mai dernier, Gilles Brassard est devenu le premier Canadien à remporter le prix Wolf de physique pour avoir inventé, avec son complice Charles Bennett, la théorie de l’information quantique. Plus de la moitié des lauréats des prix Wolf décernés entre 1978 et 2010 ont remporté le Nobel par la suite. « S’il y a un prix Nobel en quantique théorique, j’ai des chances », convient-il.

Parmi ses plus grandes contributions, on compte la cryptographie quantique, soit l’art d’encoder des messages d’une manière absolument inviolable, et la téléportation quantique, qui permet de copier un atome d’un bout à l’autre de la galaxie sans physiquement le déplacer. Ces protocoles tirent avantage de la mécanique quantique, qui décrit le comportement des atomes et des photons.

Un autodidacte quantique

Enfant, Gilles Brassard s’était d’abord passionné pour les mathématiques. Son frère Robert, de six ans son aîné, lui répétait tout ce qu’il apprenait à l’école. En 1968, à seulement 13 ans, Gilles entre à l’Université de Montréal pour suivre un cursus scientifique général. Afin de pouvoir s’amuser avec l’unique ordinateur de l’établissement, il décide de s’inscrire au cours d’informatique. La piqûre est immédiate.

« La session suivante, je n’avais plus le droit d’utiliser l’ordinateur, qui était réservé aux étudiants inscrits au cours. Avec deux amis, nous avons donc demandé le code d’accès à un de nos copains, pour pouvoir jouer avec la machine. À nous seuls, on a utilisé plus de temps-machine que l’ensemble de la classe ! Évidemment, on s’est fait prendre, et la direction nous a violemment punis en nous forçant à programmer tout l’été ! » dit-il en riant. Le jeune Gilles était ravi.

Sa voie se traçait devant lui. Après un baccalauréat et une maîtrise à l’Université de Montréal, il se dirige vers l’Université Cornell, aux États-Unis, où il obtient en 1979 un doctorat en informatique théorique.

La même année, il se rend à Porto Rico pour participer à une conférence. Au second jour de la réunion, il prend un moment pour aller se baigner dans la mer. « Quand j’étais seul, en train de nager, Charles Bennett, que je ne connaissais pas alors, est venu à moi et m’a raconté qu’il connaissait une façon d’utiliser la mécanique quantique pour faire des billets de banque impossibles à contrefaire. Si j’avais été sur la terre ferme, je serais peut-être parti en courant ! plaisante le chercheur. Toutefois, dans l’eau, je n’avais pas le choix de l’écouter. »

À l’époque, Gilles Brassard ne connaît strictement rien à la mécanique quantique. Charles Bennett, chercheur chez IBM, voulait s’allier à lui pour améliorer une idée dont il avait entendu parler plusieurs années auparavant de son ami Stephen Wiesner, alors doctorant à l’Université Columbia. « Quelques dizaines de minutes plus tard, quand Bennett et moi sommes retournés sur la plage, notre premier article scientifique était essentiellement écrit », raconte M. Brassard. Et une collaboration scientifique qui persiste encore aujourd’hui était née.

Dans les années suivantes, le duo se rencontre régulièrement et peaufine sa théorie. « À l’époque, c’était seulement un jeu », explique le sexagénaire. L’idée originale des billets de banque se transforme en quelque chose de beaucoup plus utile : une manière de transmettre des messages secrets. En 1984, Bennett et Brassard publient finalement leur protocole, aujourd’hui connu sous le nom de « BB84 » et cité plus de 7500 fois dans la littérature.

Déploiement chinois

Selon Gilles Brassard, c’est toutefois la théorie de la téléportation quantique qui est sa plus grande contribution à la science. « Cette découverte a complètement bouleversé l’édifice de l’informatique quantique », croit-il, ajoutant que tout ce qui se fait aujourd’hui dans le domaine en découle.

En 1992, en marge d’une présentation à l’Université de Montréal, un groupe de six scientifiques se réunit dans son bureau pour un « brainstorm de deux heures », raconte Gilles Brassard. Les chercheurs retournent ensuite de leur côté et continuent à gribouiller. Quelques heures plus tard, la téléportation quantique est née. « C’était un moment magique », se souvient Gilles Brassard.

Depuis, plusieurs laboratoires ont réussi à téléporter des photons. Le record de distance est actuellement de 1400 km.

Dès le milieu des années 1990, c’est la consécration pour Gilles Brassard. Il est fait membre de la Société royale du Canada (1996), fellow de la Royal Society of London (2013), officier de l’ordre du Canada (2013) et officier de l’ordre national du Québec (2017), en plus d’obtenir trois doctorats honorifiques.

En attendant l’ultime trophée, Gilles Brassard se plaît à assister à l’essor de la communication quantique en Chine, qui dépense 200 millions de dollars par an pour implanter un réseau. Une « épine dorsale » de fibre optique relie maintenant Beijing à Shanghai. Le gouvernement utilise déjà la ligne, et des banques ont récemment commencé à tester le réseau pour leurs activités, indique M. Brassard. En 2016, l’empire du Milieu a même lancé un satellite équipé pour la communication quantique. Ses messages sont chiffrés avec BB84.

Cryptographie quantique

Pour transmettre un message, le protocole exige l’échange d’une « clé de chiffrement ». Cette longue séquence de 0 et de 1 est encodée avec des photons, des particules qui obéissent à la mécanique quantique. Si un espion intercepte l’un des photons de la clé, son intrusion devient aussitôt évidente aux deux correspondants. Ils font alors avorter la communication. Par contre, si la clé est échangée avec succès, les correspondants transmettent le message chiffré, que le destinataire peut déchiffrer avec la clé. Les lois de la physique certifient qu’aucun espion ne peut briser ce protocole sans être détecté, même avec des ressources illimitées.