MON AMI LE PHILOSOPHE-CONCIERGE MICHEL WOODARD M’A MONTRÉ UN VIDEO SUR YOU TUBE DE jANE gOODALL REMERCIÉE PAR UN CHIMPANZÉ QUI LA PREND DANS SES BRAS AVANT D’ÊTRE RELACHÉ DANS LA FORÊT… APRÈS QU’ELLE LUI AIT SAUVÉ LA VIE DURANT PLUSIEURS ANNÉES DE SOINS…. EXTRAORDINAIRE PARABOLE DE LA NANO-CITOYENNETÉ-PLANÉTAIRE LIBÉRANT LES HUMAINS DE L’AGONIE DES PRISONS ÉPISTÉMOLOGIQUES DU VIVRE POÉTIQUEMENT SUR TERRE

Jane Goodall

Naissance
3 avril 1934 (84 ans)
Londres, Angleterre (Royaume-Uni)

Nationalité
Britannique

Institutions
Institut Jane Goodall

Diplôme
Newnham College, Cambridge
Darwin College, Cambridge

Directeur de thèse
Robert Hinde

Renommé pour
Étude des chimpanzés
Protection et bien-être animal

Distinctions
Dame commandeur de l’ordre de l’Empire britannique (2004)
Tyler Prize for Environmental Achievement (1997)

Signature

Signature de Jane Goodall

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Jane Goodall à l’université de Hong Kong en 2006.
Jane Goodall, née le 3 avril 1934 à Londres1, est une primatologue, éthologue et anthropologue britannique. Elle est la première à avoir observé et rapporté que les chimpanzés utilisent des outils pour s’alimenter. Ses travaux ont profondément transformé les rapports homme-animal.

Elle a fondé l’Institut Jane Goodall (en) pour la protection de la biodiversité, l’aide au développement durable et l’éducation.

Fille d’un ingénieur et d’une mère au foyer, elle est élevée à Londres puis à Bournemouth. Ses parents n’ayant pas les moyens de lui payer des études, elle passe un diplôme de secrétaire. Elle enchaîne ensuite des petits boulots2.

En 1957, invitée au Kenya par une amie, elle y rencontre, à l’âge de 23 ans, le docteur Louis Leakey3, archéologue et paléontologue célèbre qui effectue d’importantes fouilles dans la corne de l’Afrique. Elle devient sa secrétaire2.

Passionnée depuis sa jeunesse par les animaux (et végétarienne4), elle décide, en 1960, de vivre seule parmi eux, pour mieux les observer et les comprendre. Elle s’installe dans la région du lac Tanganyika (Tanzanie), dans ce qui est aujourd’hui le parc national de Gombe Stream, pour y étudier les mœurs des chimpanzés2.

Jane Goodall commence alors ce qui sera la plus longue étude de terrain menée sur les animaux sauvages vivant dans leur environnement naturel. Durant ses premières années à Gombe, elle découvre de nombreux aspects du comportement des chimpanzés2.

En octobre 1960, elle observe un chimpanzé en train de fabriquer et d’utiliser des outils pour attraper des termites. Cette découverte ébranle la définition de « l’être humain » de l’époque qui attribuait alors ce comportement exclusivement à l’homme2. Grâce à ses recherches, nous savons maintenant que les chimpanzés sont biologiquement semblables aux humains, qu’ils démontrent de nombreuses capacités intellectuelles, qu’ils chassent pour se procurer de la viande, qu’ils utilisent des outils et que les membres d’une même famille maintiennent des liens forts et durables, et ce, durant toute leur vie.

Pendant les années qui suivent, ses travaux continuent à profondément transformer la manière de voir les primates (aussi bien les singes que les hommes). Elle a d’abord observé que les chimpanzés ne sont pas végétariens mais omnivores, contrairement à ce que l’on pensait alors. Mais ses innombrables travaux l’ont amenée à donner des noms aux animaux qu’elle côtoyait et ainsi à leur donner une personnalité, extrayant ainsi les primates d’une image simple pour estomper en partie la distinction entre les singes et les hommes.

En 1986, elle a commencé à prendre en compte les différences de comportement des chimpanzés en fonction de la localisation géographique des différents groupes. N’entrevoyant aucune explication génétique ou environnementale pour expliquer ces différences, elle propose alors que celles-ci sont des variantes culturelles5. Son approche est reprise par la suite par d’autres chercheurs pour s’étoffer avec le temps6,7, bénéficiant éventuellement d’une collaboration systématique entre plusieurs groupes de recherche à long terme8,9.

Aujourd’hui, la Dre Goodall se donne pour mission essentielle d’alerter l’opinion publique des dangers qu’encourt notre planète et de faire évoluer les comportements individuels vers une meilleure prise de conscience de l’environnement.

Jane Goodall est aussi membre d’honneur du Club de Budapest10.

Une photo d’elle se trouve sur le Voyager Golden Record11.

Institut Jane Goodall[modifier | modifier le code]

Fondé en 1977, en Californie, par la Dre Goodall, l’Institut Jane Goodall (en) promeut la recherche, l’éducation et la conservation de la faune2.

L’Institut inscrit son action dans une démarche globale de protection de la biodiversité, d’aide à la gestion durable et équitable des ressources naturelles, et d’éducation des plus jeunes.

Depuis 1977, l’Institut Jane Goodall protège les chimpanzés sauvages, gère des réserves naturelles et a créé des refuges en Afrique pour protéger nos plus proches cousins. Ces refuges accueillent majoritairement des orphelins dont les mères ont été victimes de la chasse. Sans les refuges de l’Institut, ils seraient condamnés.

Pour préserver la faune et lutter contre les menaces (trafics, chasse, déforestation, épidémies) qui pèsent sur l’avenir des grands singes, l’Institut développe, depuis sa création, des programmes innovants : Roots & Shoots pour l’éducation des plus jeunes (il encourage les jeunes à s’impliquer dans des projets visant à prendre davantage soin des animaux, de l’environnement et de la communauté humaine), Tacare pour aider au développement durable des populations et lutter contre les maladies, ChimpanZoo pour étudier et améliorer les conditions de vie des chimpanzés en captivité.

L’Institut Jane Goodall France a été créé en 200412.

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