Quand Etienne Souriau dit qu’un grand amour pourrait bien être une œuvre d’art, je me dis souvent que s’ils connaissaient Marlene et Michel, il remplacerait le POURRAIT PAR EST…
Je n’ai jamais vu ni Michel ni Marlene manquer de respect l’un pour l’autre. C’est une très belle histoire d’amour de deux rêves qui par leur compatibilité prennent soin de la beauté du monde.
Marlene par ses jardins somptueux à Grandes- Iles et Michel par ses chansons et documentaires.
Comment ne pas me sentir au royaume de la beauté du monde en couple, quand je suis témoin d’une telle complicité.
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Étienne Souriau, né le 26 avril 1892 à Lille, et, mort le 19 novembre 1979 dans le 6e arrondissement de Paris1, est un philosophe français, spécialisé en esthétique. Il est le fils du philosophe Paul Souriau et le père d’Anne Souriau.
Souriau est entré à l’École normale supérieure en 1912 après un an de service militaire. Mobilisé comme sous-lieutenant d’infanterie en août 1914 il fera quatre ans de campagne et de captivité. Reçu premier à l’agrégation de philosophie en 19202, il enseigne aux lycées de Sarreguemines puis de Chartres. Il est reçu docteur ès-lettres en 1925 (mention Très Honorable), avec une thèse Pensée vivante et perfection formelle agrémentée d’une thèse complémentaire L’Abstraction sentimentale. Il devient Professeur à l’Université d’Aix-en-Provence (1925-1929) puis à Lyon (1929-1941), enfin à l’Université de Paris – la Sorbonne.
En 1939, Souriau publie aux éditions Félix Alcan, « L’Instauration philosophique » et pose les fondements de sa pensée instauratrice. Il y développe l’idée d’une philosophie esthétique des propositions philosophiques qu’il nomme « philosophèmes ».
En 1947, Souriau publie aux Éditions Flammarion, La Correspondance des Arts qui se propose de définir l’architectonique des lois et d’organiser le vocabulaire commun aux œuvres d’art par delà les disciplines artistiques. Dans cet ouvrage, il détaille son « Système des Beaux arts » selon les deux modes d’existence : Phénoménale et « réique » (ou « chosale »). Dans ce dernier mode d’existence, il distingue les arts présentatifs des arts représentatifs.
Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, Souriau participe à l’aventure de la filmologie en écrivant des articles dans la Revue Internationale de filmologie (1947 — 1962).
Il conduit les travaux du Vocabulaire de l’esthétique3 qui ne sera publié qu’après sa mort, en 1990. Parmi ses nombreux écrits, on relève également une recherche sur l’ensemble des « situations dramatiques », dont il s’efforce de définir par analyse les principales composantes.
En 1958, il est élu membre de l’Académie des sciences morales et politiques par un comité dans lequel figure Charles de Gaulle. Il sera le directeur de la thèse du cinéaste Éric Rohmer qui la soutiendra en janvier 1974 sur « L’organisation de l’espace dans le Faust de Murnau »4.
Il décède en 1979.
Esthétique de l’Art[modifier | modifier le code]
Étienne Souriau a classé les Sept arts – dans son livre : « La Correspondance des arts, Éléments d’esthétique comparés », 1947 – en distinguant entre elles leurs caractéristiques sensorielles (ou qualia sensibile). Chaque classe peut produire un art sur deux niveaux : présentatif ou représentatif, soit ;
Sculpture ou architecture ;
Dessin ou arabesque ;
Peinture représentative ou peinture pure ;
Musique dramatique (ou descriptive) ou musique pure ;
Pantomime ou danse ;
Littérature et poésie ou prosodie pure ;
Cinéma et lavis photo ou éclairage projections lumineuses
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sur google
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Marlene, jardinière de la beauté du monde
Michel, concierge de la beauté du monde
Pierrot, vagabond de la beauté du monde