DE LA CONSCIENCE INTERMONADIQUE DE HUSSERL À LA PLURALITÉ DU POUR-SOI DE SARTRE, TOUTE LA PROBLÉMATIQUE DE L’ERRANCE PHÉNOMÉNOLOGIQUE VERTICALE ENTRE LES TROIS ÉTAGES (PSYCHIQUES, AXIOLOGIQUES, EXTATIQUE) DE L’ÉQUIPE DE RECHERCHE (AULD, WOODARD, ROCHETTE)

Jean-Paul Sartre
l’être et le néant
l’être pour autrui
Husserl, Hegel, Heidegger
p.326-327
extrait

Lorsqu’Husserl, en effet, se préoccupe dans les Méditations cartésiennes de réfuter le solipsisme, il croit y parvenir en montrant que le recours à autrui EST CONDITION INDISPENSABLE DE LA CONSTITUTION D’UN MONDE. Sans entrer dans les détails de la doctrine, nous nous bornerons à indiquer son principal ressort: pour Husserl, le monde tel qu’il se révèle à la conscience est INTERMONADIQUE.

Autrui n’y est pas seulement présent comme telle apparition concrète et empirique mais comme UNE CONDITION PERMANENTE DE SON UNITÉ ET DE SA RICHESSE.

Que je considère dans la solitude ou en compagnie cette table ou cet arbre ou ce pan de mur, autrui EST TOUJOURS LÀ COMME COUCHE DE SIGNIFICATIONS CONSTITUTIVES qui appartiennent à l’objet même que je considère; en bref, comme le véritable garant de son objectivité.

Et comme notre moi psychiphysique est contemporain du monde, fait partie du monde et tombe avec le monde sous le coup de LA RÉDUCTION PHÉNOMÉNOLOGIQUE, autrui apparaît COMME NÉCESSAIRE À LA CONSTITUTION MÊME DE CE MOI.

….. Certes, ces vues réalisent un progrès sur les doctrines classiques. Il est indispensable que LA CHOSE-USTENSILE renvoie dès sa découverte à UNE PLURALITÉ DE POUR-SOI. Nous aurons à y revenir

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COMMENTAIRE

Pour notre groupe de recherches, les trois formes d’errance (fantomatiques, axiologiques et poétiques) que l’on retrouve horizontalement dans l’espace mondain dans l’exercice même de la néantisation du pour-soi comme acte livre, se retrouvent aussi dans l’interne vertical intuitionné par Sartre dans l’être et le néant, dont nous pourrions prospectiver le tout par l’image d’une personne humaine-maison (la cave, le plancher et le grenier)

La cave étant l’image clé de toutes les émotions de conflit psychique solispstique de la réalité humaine (colère, frustration, désir, jalousie, envie etc…)

le plancher étant l’image de toutes les interactions du pour-autrui relié à la lutte des valeurs axiologiques (le pouvoir, la place dans la société, la comparaison du plus et du moins, la richesse etc…)

Seul le grenier d’où l’on voit les étoiles de son rêve big-bang permet à son pour-soi EN TOUTE PURETÉ RÉFLEXIVE d’avoir un accès intriqué avec le pour-soi du rêve big bang de l’autre dans na négation de notre pour-autrui et pour- fragilité qualitative.

La cave renferme dans l’ipséité de la monade, le plancher installe des luttes infinies d’intermonadisme de négation de l’autre pour-autrui sous forme d’en-soi, le grenier libère exstatyiquement l’errance poétique d’une PLURALITÉ DE POUR-SOI SOUS SA FORME EXTRA-MONDAINE.

Si j’osais penser en anglais, je dirais: the worls of imagination is the key of de human reality 3 D… wow-t=2.7k? being de phénoménogical key of the praxis by the reform on law for the humanity.

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